lundi 2 février 2015

Bienheureux ANDREA CARLO FERRARI (ANDRE-CHARLES), évêque, cardinal archevêque de MILAN et fondateur


Bienheureux André-Charles Ferrari, évêque

Ce cardinal archevêque de Milan de 1894 à 1921 se préoccupa, dès les premières années de son sacerdoce, des enfants et des jeunes abandonnés. Il fonda pour les ouvriers de nombreuses «Maisons du Peuple» multipliant à leur intention ses initiatives sociales : maison des enfants, centre de rééducation pour les détenus libérés. Il fut aussi le promoteur de journaux et revues. Le cardinal soutint également l'Université catholique de Milan qui venait de naître. Enfin, à dos d'âne ou à pied, il visita quatre fois son grand diocèse, même dans les localités les plus inaccessibles, là où depuis des temps immémoriaux, les quelques villageois n'avaient vu un évêque se préoccuper de leur petite bourgade. 
Il mourut en 1921.

SOURCE : http://www.paroisse-saint-aygulf.fr/index.php/prieres-et-liturgie/saints-par-mois/icalrepeat.detail/2015/02/02/4215/-/bienheureux-andre-charles-ferrari-eveque



Bienheureux André Charles Ferrari

Cardinal archevêque de Milan (+ 1921)

Il se préoccupa, dès les premières années de son sacerdoce, des enfants et des jeunes abandonnés. Il fonda pour les ouvriers de nombreuses «Maison du Peuple» multipliant à leur intention ses initiatives sociales: maison des enfants, centre de rééducation pour les détenus libérés. Il fut aussi le promoteur de journaux et revues. Le cardinal soutint également l'Université catholique de Milan qui venait de naître. Enfin, à dos d'âne ou à pied, il visita quatre fois son grand diocèse, même dans les localités les plus inaccessibles, là où depuis des temps immémoriaux, les quelques villageois n'avaient vu un évêque se préoccuper de leur petite bourgade. 

Il fut béatifié en mai 1987.

Lire aussi sur le site de l'abbaye Saint Benoît (Suisse).

À Milan, l’an 1921, le bienheureux André-Charles Ferrari, évêque, qui cultiva avec soin la tradition religieuse de son peuple et ouvrit de nouvelles voies pour faire connaître au monde le Christ et la charité de l’Église.

Martyrologe romain

SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/5507/Bienheureux-Andre-Charles-Ferrari.html

Andrea Carlo Ferrari, ante 1912 - Archivio Meraviglioso ICM BC1912n11f3


Bienheureux André Charles FERRARI

Nom: FERRARI

Prénom: André Charles (Andrea Carlo)

Pays: Italie

Naissance: :    .08.1850  à Prato Piano (Parme)

Mort: 02.02.1921  à Milan

Etat: Archevêque - Cardinal - Fondateur

Note: Prêtre en 1873. Evêque de Guastalla en 1890, puis de Côme. Cardinal. Archevêque de Milan en 1894. Il fonde la Compagnie de St Paul (=Œuvre du  Card. Ferrari) pour l'action pastorale de tout genre.

Béatification: 10.05.1987  à Rome  par Jean Paul II

Canonisation:

Fête: 2 février

Réf. dans l’Osservatore Romano: 1987 n.20

Réf. dans la Documentation Catholique: 1987 p.690

Notice

Andrea Carlo (André Charles) Ferrari naît en août 1850 au lieu-dit Lalatta dans la commune de Prato Piano au diocèse de Parme en Italie. Ordonné prêtre en 1873, il est professeur de mathématique et physique au séminaire de Parme où il a lui-même étudié et dont il devient vice-recteur puis recteur. Il est nommé évêque de Guastalla en 1890, puis de Côme. En 1894, Léon XIII le crée cardinal et le nomme archevêque de Milan. Il restera 27 ans à la tête du diocèse jusqu’à sa mort. Il a une activité pastorale intense et il pense qu’il ne suffit pas d’attendre passivement que les fidèles viennent à l’église, mais qu’il faut aller au-devant d’eux, à la manière du Christ, en parlant leur langage. A quatre reprises, il visite son grand archidiocèse, se rendant parfois à dos de mulet et à pieds dans les localités les plus lointaines et les plus difficiles d’accès, où l’on n’avait pas vu un évêque depuis des temps immémoriaux. « Saint Charles est revenu » dit-on (saint Charles Borromée, évêque de Milan au XVIe siècle connu pour son zèle pastoral dans l’application du Concile de Trente). Il a une grande activité sociale qui finit par se focaliser dans une œuvre, existant encore de nos jours : la Compagnie de Saint Paul, appelée aussi “Œuvre Cardinal Ferrari”. C’est une Maison du Peuple qui rassemble l’apostolat des laïcs et les œuvres d’assistance : cantines pour travailleurs, missions ouvrières, maison de l’enfant, réinsertion des prisonniers, pèlerinages de masses, presse catholique (création d’un journal). Il est un des premiers évêques à mettre en application l’encyclique de Léon XIII ‘Rerum novarum’. Issu lui-même d’un milieu modeste, il parle haut face aux patrons d’ateliers ou aux propriétaires de latifundia, demandant qu’on respecte en chaque homme l’image de Dieu. En somme, sa grande intuition est l’apostolat des laïcs. Mais le secret de son action infatigable est à chercher dans « sa vie intérieure fondée sur de profondes convictions théologiques, imprégnée par une tendre et filiale dévotion à la Vierge, centrée sur l’eucharistie et le crucifix » (Jean-Paul II). D’où sa patience héroïque dans la souffrance physique et morale.

Lors de la crise moderniste et de la lutte anti-moderniste qui s’ensuit, il se produit parfois des dénonciations à la légère, des soupçons infondés. Dès 1908, dans une lettre de carême, l’évêque parle de ceux qui voient partout des déviations ‘modernisantes’. Lui-même est inquiété (visite canonique, etc.) car des malentendus l’ont rendu suspect aux yeux même du pape saint Pie X. Il souffre jusqu’à ce que le malentendu soit dissipé, et le pape suivant, Benoît XV, fera son éloge.

Il dépense beaucoup d’énergie pour réaliser son projet de créer une université catholique à Milan et c’est une joie pour lui d’en voir un début de réalisation. Un de ses derniers actes officiels, alors qu’il est déjà sur son lit de mort, est d’approuver les statuts de l’université. La maladie qui doit l’emporter commence par un mal de gorge. Le 29 septembre, au milieu des douleurs lancinantes qui l’étouffent, il écrit dans son journal ces dernières paroles : « Que la volonté de Dieu soit faite toujours et partout ! »Il meurt le 2 février 1921. Son successeur sur le siège de Milan ne sera autre qu’un certain Mgr Achille Ratti, son ami et collaborateur, le futur Pie XI. Il fallait bien cela pour consoler les Milanais de la perte d’un si grand pasteur.

SOURCE : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0281.htm

Blessed Andrea Carlo Ferrari, Duomo, Milan


Blessed Andrea Carlo Ferrari

Also known as

Andreas Ferrari

Memorial

2 February (Roman martyrology)

1 February (in Milan)

Profile

Educated in the seminary of ParmaItalyOrdained on 20 December 1873 in Parma. Episcopal delegate of Mariano, February 1874Coadjutor Bishop of Fornovo di TaroItaly on 4 July 1874. Vice-rector of the Parma seminary, and professor of physics and mathematics in 1875Rector of the seminary in 1877Professor of fundamental theology, ecclesiastical history and moral theology in 1878Bishop of GuastallaItaly on 29 May 1890Bishop of ComoItaly on 29 May 1891. Created cardinal on 18 May 1894Archbishop of MilanItaly on 21 May 1894. Chose his middle name of Carlo in honour of Saint Charles Borromeo. Participated in the conclave of 1903 that elected Pope Saint Pius X, and of 1914 that chose Pope Benedict XV.

Born

13 August 1850 at Lalatta, Pratopiano, diocese of ParmaItaly

Died

2 February 1921 at MilanItaly of natural causes

buried in the chapel Virgo Potens, cathedral of Milan

Venerated

1 February 1975 by Pope Paul VI

Beatified

10 May 1987 by Pope John Paul II

Additional Information

books

Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints

other sites in english

Catholic-Hierarchy.Org

Catholic Online

images

Santi e Beati

sitios en español

Martirologio Romano2001 edición

fonti in italiano

Calendario Francescano Secolare

Cathopedia

Parrocchia del Beato Cardinal Ferrari

Santi e Beati

Works

1885: Summula theologiae dogmaticae generalis

MLA Citation

“Blessed Andrea Carlo Ferrari“. CatholicSaints.Info. 5 October 2021. Web. 3 November 2021. <https://catholicsaints.info/blessed-andrea-carlo-ferrari/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-andrea-carlo-ferrari/

Milano, San Gottardo al Corso, memoria della riconsacrazione e dell'arcivescovo Andrea Carlo Ferrari (31 dicembre 1900)


FERRARI, ANDREA CARLO, BL.

Cardinal; archbishop of Milan; founder of the Company of Saint Paul (Compagnia di San Paolo ); b. Aug. 13, 1850, Lalatta di Protopiano (diocese of Parma), Emilia–Romagna, Italy; d. Feb. 2, 1921, Milan, Lombardy, Italy. Son of Giuseppe Ferrari and Maddalena Langarine, Andrea received both his early education and seminary training at Parma, where he was ordained to the priesthood on Dec. 20, 1873. Thereafter he was appointed vice–rector of Parma's seminary (1873), rector (1876), and cathedral canon (1878). He was named bishop of Guastalla (1890), then transferred to the diocese of Como, Lombardy (1891), where he proved himself a true "Father of Souls." Three years later he was made archbishop of Milan (1894) and created a cardinal. He founded the Company of Saint Paul for pastoral work, many churches, the Catholic University of the Sacred Heart, and charitable institutions. During World War I, Ferrari organized a group to care for soldiers and prisoners, for which he received the Grand Cross of Saints Maurizio and Lazarro (1919). He continued his pastoral work until death, even when bedridden. At his beatification (May 10, 1987) Pope John Paul II likened Ferrari's pastoral heart to that of the Good Shepherd and praised his fervent charity.

Feast: Feb. 1 (Archdiocese of Milan).

Bibliography: G. Caracciolo, La fede e le opere: la figura del cristiano nella pastorale del cardinal Ferrari e nella Compagnia di San Paolo (Milan 1994). A. Majo, A. C. Ferrari: uomo di Dio, uomo di tutti (Milan 1994); Il Card. Ferrari, i cattolici e il catechismo nella scuola (Milan 1995). L. Montagna, Il cardinale Andrea Carlo Ferrari e l'ora presente (Milan 1969). G. Ponzini, Il cardinale A. C. Ferrari a Milano, 1894-1921: fondamenti e linee del suo ministero episcopale (Milan 1981). G. Rossi, Il cardinal Ferrari (Assisi 1956). C. Snider, L'episcopato del cardinale Andrea C. Ferrari (Vicenza 1982). Acta Apostolicae Sedis (1987):690. L'Osservatore Romano, Eng. ed., no. 21 (1987): 18–19.

[K. I. Rabenstein]

SOURCE : https://www.encyclopedia.com/religion/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/ferrari-andrea-carlo-bl

Ultima fotografia del Cardinal Ferrari benedicente sul letto di morte, 1920


Beato Andrea Carlo Ferrari Vescovo

2 febbraio

Prato Piano, Parma, 13 agosto 1850 - Milano, 2 febbraio 1921

Cardinale arcivescovo di Milano dal 1894 alla morte avvenuta nel 1921, Andrea Ferrari nacque a Lalatta (Parma) nel 1850, fu ordinato sacerdote nel 1873 e nominato vescovo nel 1890: quattro anni dopo Leone XIII lo volle pastore a Milano. Qui Ferrari si spese per dare corso ai cammini indicati dal pontefice nella Rerum novarum attraverso numerose iniziative pastorali e sociali. Fondò un giornale, L'Unione, che poi divenne L'Italia, una delle due testate dalle quali nel 1968 nacque Avvenire. Tra i suoi ultimi atti vi fu l'approvazione degli statuti dell'Università Cattolica.

Etimologia: Andrea = virile, gagliardo, dal greco

Martirologio Romano: A Milano, beato Andrea Carlo Ferrari, vescovo, che valorizzò la tradizione religiosa del suo popolo e aprì nuove vie per far conoscere nel mondo Cristo e la carità della Chiesa.

Nato a Lalatta, frazione del comune di Prato Piano (Parma) nell'agosto 1850, Andrea Ferrari percorse la normale "carriera" ecclesiastica del tempo. Accolto presso il seminario di Parma, nel '73 venne ordinato sacerdote; l'anno dopo venne nominato parroco, successivamente vicerettore al seminario di Parma e professore di fisica e matematica; in seguito divenne rettore dello stesso istituto. Nel 1890 venne eletto vescovo di Guastalla, e fu trasferito poi a Como; successivamente Leone XIII lo nominò cardinale destinandolo, nel 1894, alla diocesi di Milano dove Andrea Ferrari rimase fino alla morte (1921).

Fu un pastore molto attivo; ma talvolta la sua opera e i suoi scritti suscitarono contrasti e richiami. Nel 1911 dovette affrontare prima una visita canonica e poi anche la sospensione della parola perché, in alcuni ambienti più conservatori, era ritenuto vicino alle idee moderniste. Tale posizione in seguito venne chiarita: il santo vescovo era infatti attento alla parola del papa e rispettoso della Chiesa. Ebbe a scrivere: "Nessun altro magistero al mondo può essere paragonato a quello del Romano Pontefice, a cui fu promessa la speciale assistenza dello Spirito Santo, che è Spirito di Verità. Si dice: Ma il papa è un uomo! Ma una cosa io veggo e sento, ed è la mano di Dio che a mostrare la sua potenza elegge le cose ignobili e spregevoli e che dalle pietre istesse può suscitare figliuoli di Abramo".

Svolse, nella sua diocesi, una intensissima vita pastorale visitando tutti gli ambienti, gruppi e associazioni, classi e strati sociali.

La sua era una presenza instancabile, con la parola, con le lettere pastorali, con le direttive. "Portiamo agli Esercizi con noi tutto il nostro buon volere, grande generosità di cuore, ferma risoluzione di mantenere assoluto e rigoroso silenzio senza del quale gli Esercizi sarebbero un perditempo e un controsenso. Però nessuno creda che per mantenere raccoglimento e silenzio occorra recarsi qua o là a fare gli Esercizi da solo. Anzi, il più delle volte (come lo mostra l'esperienza) è allora che più facilmente manca il valido sussidio alla parola viva assai più efficace di quella che leggiamo sui libri".
Sapeva cogliere e valorizzare nei suoi sacerdoti gli aspetti umani, ma era anche inflessibile, perché dava un giusto valore alla disciplina. Inoltre teneva molto alla loro preparazione culturale.

Di lui si conservano moltissimi documenti scritti; si calcola che abbia tenuto circa 20 mila discorsi. Dotato di forte intelligenza, affrontava i problemi con immediatezza ma con calma e con serenità.
Un posto di rilievo nella sua spiritualità lo ebbero l'Eucaristia e la Vergine Maria.

Fu tra i primi vescovi che si interessarono ai problemi sociali nella scia della enciclica Rerum Novarum di Leone XIII; istituì, nel seminario, una cattedra di economia sociale affidandola al professor Giuseppe Toniolo, reputato uno dei più preparati studiosi. Narra un suo biografo: "Proprio per venire incontro ai nuovi problemi creati dall'industria, aveva istituito i "Cappellani del lavoro". Venuto dal popolo, seppe alzare ripetutamente e fieramente la voce di pastore vigile contro i latifondisti e i padroni delle officine a difesa dei diritti dei lavoratori e del rispetto dovuto alla persona umana. I padroni (diceva con accenti che, dopo molti secoli, echeggiavano ancora le parole di sant'Ambrogio) non abbiano gli operai in conto di schiavi, ma li riguardino come fratelli, rispettando pur in loro l'immagine del Salvatore Divino. Retribuiscano l'operaio con giusta mercede".

Non si limitava soltanto a esprimere idee, ma, nella sua diocesi, per affrontare i momenti difficili in cui l'ltalia cercava un suo assestamento economico, diede il suo patrocinio e aiutò la fondazione di leghe operaie, agricole, industriali, società di mutuo soccorso, casse rurali. Ebbe molto a cuore anche la stampa: avviò la fondazione di un giornale, "L'Unione", che in seguito divenne un diffuso quotidiano con il nome "L'Italia".

Durante la campagna antimodernista, avviata con dura intransigenza dai periodici "La Riscossa" di Vicenza e "La Liguria" di Genova, subì una forte contestazione: anche in queste difficili circostanze difese chiaramente, nella sua diocesi, la posizione del suo clero e dei fedeli.

In quel periodo, dato che Pio X era "blindato" da una segreteria che non permetteva contatti e tanto meno dialogo, si chiuse in silenzio e in preghiera. "Tra lui e il papa san Pio X era venuta a formarsi una cortina fumogena di malintesi, di dubbi, di sospetti, che altri, all'insaputa dei due santi, in nome di una miope intransigenza e con disinvoltura poco scrupolosa, avevano reso più densa e più cupa. Così avvenne che il santo cardinale ebbe molto da soffrire non solo per la Chiesa, ma dalla Chiesa e precisamente dal papa san Pio X. Al papa pareva non solo che l'arcivescovo di Milano fosse troppo tiepido nella lotta contro il modernismo e troppo remissivo verso i modernisti, ma che talvolta rasentasse la slealtà. Il peggio si è che i sentimenti del papa trapelavano e di bocca in bocca giungevano a Milano, e taluni del clero e del laicato, per dimostrarsi amanti del papa, ritiravano il cuore e la stima dal loro arcivescovo".

In seguito il nuovo papa, Benedetto XV, ebbe parole di attenzione e di forte ammirazione per questo cardinale che nella realtà del lavoro quotidiano sapeva esprimersi con il carisma di una fede indiscussa e di una grande spiritualità.

Andrea Ferrari volle lavorare fino allo stremo delle forze: la malattia cominciò con i sintomi di una raucedine.

Morì il 2 febbraio del 1921. Uno degli ultimi atti ufficiali, già sul letto di morte, fu l'approvazione degli statuti dell'Università Cattolica di Milano. Questo vescovo e cardinale è annoverato tra i grandi santi del nostro secolo: spiriti di Dio che conobbero la sofferenza, le difficoltà ma che, abbracciati a Cristo, contribuirono a esprimere concretamente la ricerca della perfezione umana e cristiana.

E' stato beatificato il 10 maggio 1987. Il martirologio romano lo celebra il 2 febbraio, mentre la Chiesa Ambrosiana e la diocesi di Como lo celebrano il 1° febbraio.

Autore: Giuseppe Gottardo, da 'Santi verso il Giubileo' - Ediz. Messaggero Padova

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/39400

Firma del cardinale Andrea Carlo Ferrari, arcivescovo di Milano


FERRARI, Andrea

di Giov. Battista Penco - Enciclopedia Italiana (1932)

FERRARI, Andrea. - Cardinale, nato a Lalatta di Pratopiano (Parma) il 13 agosto 1850, morto a Milano il 2 febbraio 1921. Ordinato sacerdote il 19 dicembre 1873, viceparroco a Mariano e a Fornovo per breve tempo, nel 1875 era insegnante di fisica e matematica in seminario, e, a 26 anni, ne diveniva rettore, continuando l'insegnamento e laureandosi in teologia a Parma. Teologo diocesano (1884), vicario gener. (1885), esaminatore sinodale (1888), segretario dell'accademia di S. Tommaso e autore di un testo di teologia dogmatica e di monografie filosofiche, attirò l'attenzione di Leone XIII, che nel 1890 lo nominò vescovo di Guastalla, e, dopo pochi mesi, lo promosse alla diocesi di Como. Creato cardinale nel 1894, successe all'arcivescovo L. Nazari di Calabiana in Milano; ivi rimase per oltre 25 anni caratterizzati da un'intensissima attività pastorale, specialmente nel campo dell'educazione della gioventù. Riunì i cattolici, divisi nelle due opposte tendenze dei moderati e degl'intransigenti, e unificò i seminarî. Si prodigò durante la grande guerra, con la sua inesauribile carità verso soldati e famiglie, incorando al sacrificio e alla vittoria.

Lasciò iniziative di assistenza sociale, sviluppate in seguito in Italia e all'estero dall'"Opera cardinal Ferrari", dalla Compagnia di S. Paolo, congregazione religiosa che da lui prese l'ispirazione. Fu anche uno dei principali cooperatori alla fondazione della prima università cattolica italiana (Università del S. Cuore, Milano).

SOURCE : https://www.treccani.it/enciclopedia/andrea-ferrari_res-de45355a-8bae-11dc-8e9d-0016357eee51_(Enciclopedia-Italiana)/

Chiesa di Santa Maria della Passione a Milano. Navata destra - 03 - "Sacro Cuore". Lapide per la traslazione del corpo di Luigi Nicora, vescovo di Como (+ 1890), avvenuta nel 1912. Foto di Giovanni Dall'Orto, 26-2-2008.


Ferrari, Andrea Carlo

Enciclopedia on line

Ferrari, Andrea Carlo. - Ecclesiastico italiano (Lalatta, Palanzano, 1850 - Milano 1921), sacerdote (1873), rettore del seminario di Parma (1876), vescovo di Guastalla (1890) e quindi di Como (1891), poi cardinale e arcivescovo di Milano (1894); resse questa diocesi per oltre un quarto di secolo, riorganizzando il clero/">clero, i seminarî e la stampa cattolica, appoggiando la pastorale del mondo del lavoro e l'impegno politico dei cattolici, non insensibile al problema di una pacificazione tra Stato e Chiesa. Tomista e tuttavia aperto alle esigenze di una "sana modernità di metodo" nell'insegnamento della teologia e nell'azione pastorale, fu più volte accusato e coinvolto nella reazione al modernismo. La sua opera di assistenza religiosa e sociale fu proseguita dall'Opera cardinal Ferrari, nata come Casa del popolo e sostenuta dalla Compagnia di san Paolo, un'associazione diocesana di preti e laici di ambo i sessi. Fu anche uno dei principali cooperatori alla fondazione/">fondazione della prima università cattolica (Università del S. Cuore, Milano).

SOURCE : https://www.treccani.it/enciclopedia/andrea-carlo-ferrari