Bienheureux Jean Baptiste Du Cormier et ses
compagnons, martyrisés pendant la Révolution française (+ 1794)
dont quatorze prêtres et plusieurs religieuses de Laval, martyrisés pendant la Révolution française pour leur fidélité à l'Église romaine et à leurs engagements sacrés.
"Fin 1792, les prêtres âgés ou infirmes ne pouvant être déportés sont emprisonnés dans le couvent des Cordeliers à Laval. En octobre 1793, au moment où les Vendéens approchent de Laval, certains d'entre eux sont évacués sur Chartres puis sur Rambouillet; les autres, au nombre de quatorze, quittent leur prison le 21 janvier 1794 pour être présentés devant les juges de la Commission révolutionnaire. Sommés de prêter serment, ils refusent à l'image de René Ambroise: "Je veux bien obéir au gouvernement mais je ne veux pas renoncer à la religion" ou de Jean-Baptiste Trinquerie: "Ah! vraiment non, citoyen! Je serai fidèle à Jésus-Christ jusqu'au dernier soupir". Ils sont condamnés à mort et sont immédiatement guillotinés place de la Révolution (actuellement place de La Trémoille) à Laval.
Le 19 juin 1955, ils sont béatifiés par Pie XII. Avec deux autres prêtres, trois religieuses, deux appartenant à la congrégation des Sœurs de la Charité Notre-Dame d'Evron et une appartenant à la congrégation des Augustines Hospitalières de la Miséricorde de Jésus, et cinq laïcs, ils sont les Martyrs de la Foi en Mayenne." (21 janvier 1794, 14 prêtres sont guillotinés: les Martyrs de Laval)
Martyrologe romain
Bienheureux Jean Baptiste Turpin du Cormier et ses
compagnons, prêtres et martyrs
Avec treize compagnons : Jean-Baptiste Triquerie
(des Frères mineurs conventuels), Jean-Marie Gallot, Joseph Pellé, René Louis
Ambroise, Julien François Morvin de la Gérardière, François Duchesne, Jacues
André, André Duliou, Louis Gastineau, François Migoret Lambardière, Julien
Moulé, Augustin Emmanuel Philippot, Pierre Thomas, il fut guillotiné en 1794 à
Laval en haine de la foi catholique.
BBX Jean-Baptiste Turpin
du Cormier et treize compagnons
Prêtres
et martyrs à Laval († 21 janvier 1794)
Jean-Baptiste Turpin du
Cormier et treize compagnons, le 21 janvier 1794, juste un an après Louis XVI,
furent guillotinés à Laval puis jetés dans une fosse commune à "La Croix
Bataille".
En Octobre 1792, quatorze
prêtres lavallois réfractaires (qui refusaient de prêter serment à la
Constitution civile du clergé) sont emprisonnés au couvent de Patience où ils
ne bénéficient que de deux heures de visite par mois. Ne sont admis à les voir
que les frères et sœurs obligatoirement assistés par le concierge du lieu.
Le 13 décembre 1793, la
guillotine est installée à Laval, place du Blé (actuelle place de la Trémoille)
près du Tribunal révolutionnaire.
A partir du 9 janvier
1794, tous les cultes sont interdits en France. L’église de la Trinité de Laval
est transformée en "étable et magasin de fourrage" pour l’armée,
puis, plus tard, en Temple de la Raison.
Le 21 janvier 1794, à
8h30, les quatorze prêtres franchissent le seuil du tribunal où ils vont être
jugés par la Commission révolutionnaire. Dix marchent péniblement et quatre
sont dans une charrette ; cinq d’entre eux ont plus de 70 ans.
Entre le 5 janvier et le
2 novembre 1794, en 150 audiences, cette Commission prononcera 328 peines de
mort.
L’accusateur public,
Volcler, un ancien prêtre apostat, leur demande une dernière fois de prêter
serment. « Aidé de la grâce de Dieu, je ne salirai pas ma
vieillesse », lui répond le Père Philippot, 78 ans.
« Quoi, c'est toi
Volcler qui demande ma mort ? Toi que j'ai accueilli dans ma maison, admis à ma
table, que j'ai tendrement aimé...», ajoute le père Migoret.
Ils sont exécutés après
avoir été empêchés par leurs gardiens de chanter ensemble un dernier
"Salve Regina". Ils seront suivis de 5 vendéens qui comparaissaient
eux aussi en tant qu’ennemis de la République.
Les 4 juges, dont 2
prêtres renégats, qui assistent à l’exécution de la fenêtre d’un immeuble
voisin, boivent un verre de vin rouge à chaque tête qui tombe et encouragent la
foule à crier avec eux: «Vive la République, à bas la tête des calotins
! ».
Les corps des 14 prêtres,
tout comme les défunts du moment, sont jetés dans une fosse commune, à
Avesnières, dans une lande nommée "La Croix Bataille" sur la route
d’Entrammes.
Dès le jour de leur
exécution, les prêtres sont vénérés comme des martyrs ; on envoie des
enfants tremper des mouchoirs dans leur sang.
En 1803, un rapport de
gendarmerie signale des pèlerinages, allant de 50 à 600 personnes, à "La
Croix Bataille", près de la fosse commune où ils ont été ensevelis.
Le 6 août 1816, suite aux
démarches du curé d’Avesnières, les corps des 14 martyrs sont exhumés et
déposés dans la chapelle Saint Roch du cimetière paroissial d’Avesnières.
Le 9 août, ils sont
transférés dans le transept sud de l'église d'Avesnières, au pied d'un
monument. Une chapelle expiatoire est dressée à "La Croix Bataille" à
la mémoire du prince de Talmont et des autres victimes de la Révolution. Le
bâtiment est détruit en 1869.
En 1945, Max Ingrand
dessine un vitrail pour la basilique. Les 14 prêtres y sont symbolisés par 14
palmes.
Le 19 juin 1955, le
Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958) béatifie les 14
prêtres ainsi qu’un curé et quatre religieuses également guillotinés en
1794. Les corps sont transférés dans le chœur de la basilique.
Les quatorze prêtres
guillotinés le 21 janvier 1794 :
- Jean-Baptiste
Turpin du Cormier, 64 ans, curé de la Trinité, reconnu comme le responsable,
sera exécuté le dernier à la demande de Volcler, l’accusateur public.
- Six curés : Jacques
André, 50 ans,
André Dulion, 66 ans,
Louis Gastineau, 66 ans,
François
Migoret-Lamberdière, 65 ans,
Julien Moulé, 77 ans
et Augustin-Emmanuel
Philippot, 77 ans.
- Quatre aumôniers : Pierre
Thomas, 75 ans, chez les Augustines de Château-Gontier,
Jean-Marie Gallot, 46
ans, chez les Bénédictines,
Joseph Pelé, 74 ans, chez
les Clarisses,
et Jean-Baptiste
Triquerie, 57 ans, diverses maisons franciscaines.
- Trois hors
ministères : René-Louis Ambroise, 74 ans,
Julien-François Morin de
la Girardière, 64 ans,
et François
Duchesne, 58 ans.
Source principale :
laval53000.fr/avesnieres/(« Rév. x gpm »).
14 Bienheureux prêtres guillotinés à Laval le 21 janvier 1794
Jean-Baptiste Turpin du Cormier
Prêtre du diocèse de Laval
Né en 1732
Curé de la paroisse de la Trinité à Laval (aujourd’hui cathédrale de Laval
Prêtre - Franciscain
Né 1er juillet 1737 à Laval
Jean-Marie Gallot
Prêtre du diocèse de Lava l
Né le 14 juillet 1747 à Laval
Prêtre à la Trinité
Joseph Pellé
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 22 janvier 1720 à Laval
Prêtre à la Trinité
René Louis Ambroise
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 1er mars 1720 à Laval
Prêtre à la Trinité
Julien François Morin de la Gérardière
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 14 décembre 1733 à Saint-Fraimbault-de-Prières, Mayenne
Prêtre à Saint Vénérand
François Duchesne
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 8 janvier 1736 à Laval
chapelain du Chapitre Saint Michel
Jacques André
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 15 octobre 1743 à Saint-Pierre-la-Cour, Mayenne
curé de Rouessé-Vassé
André Duliou
Prêtre du diocèse de Laval
Né le18 juillet 1727 Saint-Laurent-des-Mortiers,
Mayenne
curé de Saint-Fort
Louis Gastineau
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 10 novembre 1727 à Loiron
chapelain de Port-Brille
François Migoret Lambardiêre
Prêtre du diocèse de Laval
Né en 1728 à Saint-Fraimbault-de-Lassay, Mayenne
curé de Rennes-en-Grenouilles
Julien Moulé
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 29 mars 1716 au Mans, Sathe
curé de Saulges
Augustin Emmanuel Philippot
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 11 juin 1716 à Paris
curé de la Bazouge-des-Alleux
Pierre Thomas
Prêtre du diocèse de Laval
Né le 13 décembre 1729 à Mesnil-Rainfray, Manche
aumônier de l'hôpital de Château-Gontier
Dossier : n° 459
Vénérables : 3 mai 1955
Béatifiés le 19 juin 1955 à Rome par
Pie XII
Fête le 21 janvier ou 19 juin
SOURCE : http://saintsdefrance.canalblog.com/archives/2012/09/17/25124080.html
Aujourd' hui fête de sainte Agnès, nous nous rappelons aussi le martyre, le 21 janvier 1794, de quatorze prêtres à Laval qui furent spécialement guillotinés le jour anniversaire de la mort de Louis XVI, en haine de la Foi.
Le Pape Pie VI exprima sa douleur de la mort du roi par la bulle Quare Lacrymae, le 17 juin 1793.
Les révolutionnaires, acharnés à éradiquer la révolte vendéenne, firent de la mort de ces prêtres un exemple.
Arrêtés pour les premiers en octobre 1792, ils passèrent de longs mois comme otages et bientôt victimes du nouveau régime.
Ils furent béatifiés le 19 juin 1955.
Le premier à être arrêté dans l' ancien couvent des Clarisses ( le Couvent de la Patience* ), le 12 octobre 1792, fut le Chanoine François Duchêne, né à Laval en 1736, qui menait une vie ascétique.
Deux jours plus tard, d' autres prêtres vinrent le rejoindre :
René-Louis Ambroise, né à Laval en 1720 dans une famille de tendance janséniste. Il desservait la paroisse de la Trinité.
Louis Gastineau, né à Loiron en 1727, qui fut vicaire dans diverses paroisses, et s' était réfugié à Laval chez sa soeur. Il avait été particulièrement actif dans l' apostolat de la jeunesse.
François Migoret-Lamberdière, né à St Fraimbault en 1728, qui fut vicaire à Oisseau, puis recteur d' un collège et curé de Rennes-en-Gronouille. Il était lui aussi animé d' un zèle ardent pour l' éducation de la jeunesse. Il avait prêté serment en 1791 ; mais il s' était vite rétracté, après la condamnation de Pie VI, ce qui lui coûta d' être éloigné de sa paroisse.
Julien Moulé, né au Mans en 1716, s' était aussi heureusement rétracté. Auparavant, il avait été recteur de collège et curé de Saulges.
Joseph Pellé, né à Laval en 1720. Il était l' aumônier des Clarisses de la Patience. Droit et sincèrement pieux, malgré un caractère rude, il avait été un confesseur écouté.
Pierre Thomas, né au Mesnil-Rainfray en 1729. Il était chapelain de l' hôpital de Château-Gontier.
A ce premier groupe, les révolutionnaires ajoutèrent, les mois suivants :
Le 2 novembre 1792, Augustin-Emmanuel Philippot, né à Paris en 1716, qui fut curé à Bazouge pendant cinquante ans ! Il distribuait de larges aumônes et était aimé de ses paroissiens.
Le 17 décembre 1792, Julien-François Morin de La Girardière, né à St Fraimbaut-de-Prières en 1733. Il avait étudié la théologie à Angers. Après de nombreuses années de ministère, il s' était retiré chez son frère pour s' occuper de l' éducation de ses neveux. Sa générosité était reconnue.
Le 18 décembre 1792, Jean-Marie Gallot, né à Laval en 1747 vicaire à Bazouge et aumônier des religieuses bénédictines de Laval. Il était devenu infirme et avait été secouru par d' anciens paroissiens.
Le 5 janvier 1792, Jacques André, né à St Pierre-la-Cour en 1743 avait été curé de Rouessé-Vassé. Il avait été arrêté à Laval.
Le même jour, Jean-Baptiste Triquerie né à Laval en
1737. Il était entré dans à seize ans chez les Frères Mineurs Récollets (
Franciscains ) d' Olonne dont il devint le Gardien ( c-à-d Supérieur ). En
1771, les Récollets passèrent à la règle des Frères Mineurs Conventuels. Par la
suite, étant d' une grande piété et de stricte observance, il fut le confesseur
de divers monastères de Clarisses. Après la suppression du Couvent de Buron, il
s' était réfugié chez un cousin à Laval où il fut arrêté. Il s' écria avant de
mourir : " Je serai fidèle à Jésus-Christ jusqu' au dernier soupir !
"
Ensuite deux prêtres qui avaient été arrêtés auparavant furent transférés au Couvent de la Patience, devenu prison. Il s' agit de :
André Duliou, né à St Laurent-des-Mortiers en 1727, qui fut curé de St Fort.
Jean-Baptiste Turpin du Cormier, né en 1732 à Laval, considéré comme la tête du groupe. Il était en effet un modèle des vertus sacerdotales. Il était prêtre à la Sainte-Trinité ( aujourd' hui cathédrale de Laval ).
Lorsqu' en octobre 1793, les Vendéens réussirent à reprendre Laval, les quatorze prêtres furent libérés de la prison de la Patience. Mais peu de temps après, les Bleus envahirent la ville. Ils furent à nouveau incarcérés.
A leur procès, ils furent interrogés par le cruel Clément. Il demanda à l' abbé Turpin du Cormier pourquoi il n' avait pas prêté serment à la Constitution Civile du Clergé ? Celui-ci répondit : " parce qu' il attaque ma religion et qu' il est contraire à ma conscience. " Le juge répliqua : " donc tu es un fanatique ! " L' abbé avait aussi refusé le serment de 1792 contre les voeux religieux. Les autres prêtres firent de semblables réponses.
Ils se rendirent à l' échafaud en chantant le Salve Regina et le Te Deum. L' abbé Turpin du Cormier fut guillottiné en dernier. Leurs corps furent jetés dans une fosse et, en 1816, ils furent transférés dans la basilique ND d' Avesnières.
* 400 prêtres y furent incarcérés pendant la révolution. Il abrita ensuite un hôpital militaire. Des messes selon le rite de saint Pie V sont aujourd' hui célébrées dans l' église de l' ancien couvent, ND des Cordeliers.
SOURCE : http://ut-pupillam-oculi.over-blog.com/article-15872643.html
Au mois d’octobre 1792, quatorze prêtres qui refusaient de prêter serment à la constitution civile du clergé furent emprisonnés à Laval, dans le couvent de Patience ; ils n’étaient autorisés à recevoir que deux heures de visite par mois, et seulement de leurs frères ou sœurs ; ces visites se passaient obligatoirement en présence du concierge. Leur nourriture ne se composait pratiquement que de ce que leur faisaient apporter leurs anciens paroissiens, fidèles à leurs pasteurs légitimes. La plupart de ces prêtres étaient âgés ; quelques uns étaient même malades ou infirmes.
C’étaient l’Abbé Jean Turpin du Cormier, 64 ans, curé de la paroisse de la Sainte- Trinité à Laval, qui fut comme l’âme et le catalyseur des énergies spirituelles du petit groupe, le Révérend Père Jean-Baptiste Triquerie, 57 ans, moine cordelier, les Abbés Jean-Marie Gallot, 46 ans, aumônier des Bénédictines, Joseph-Marie Pellé, 74 ans, aumônier des Clarisses, René-Louis Ambroise, 74 ans, Julien-François Morin de la Gérardière, 64 ans, prêtre à Saint-Vénérand, François Duchesne, 58 ans, chapelain du chapitre Saint-Michel, Jacques André, 50 ans, curé de Rouessé-Vassé, André Dulion, 66 ans, curé de Saint-Fort, Louis Gastineau, 66 ans, chapelain de Port-brillet, François Migoret-Lambarière, 65 ans, curé de Rennes-en-Grenouilles, Julien Moulé, 77 ans, curé de Saulges, Augustin-Emmanuel Philippot, 78 ans, curé de Bazouges-des-Alleux, et Pierre Thomas, 75 ans , aumônier de l’hôpital des Augustines à Château-Gontier.
Le 13 décembre 1793, la guillotine arriva à Laval. Elle fut installée, sur la « place du blé » (actuelle place de La Trémoille), à proximité du tribunal révolutionnaire : ainsi les condamnés n’auraient-ils pas à faire un long trajet et, en outre, pour les révolutionnaires cela réduisait les risques de voir ceux qui marchaient au supplice libérés par la foule, majoritairement hostile à la révolution.
Le 21 janvier 1794, à 8h30, formant un cortège émouvant (cinq d’entre eux ont plus de 70 ans, dix marchent péniblement et quatre sont dans une charrette), les quatorze prêtres furent amenés à comparaître devant la commission révolutionnaire, établie le 22 décembre précédent, normalement pour un mois…
L’accusateur public était un prêtre apostat, du nom de Volcler. Ce triste individu avait diffusé dans le département de la Mayenne une circulaire qui commençait ainsi : « Citoyens, ils sont passés ces temps de modération et d’insouciance où vous laissâtes les ennemis de la patrie tranquillement vaquer sur le sol de la liberté. L’instant de la justice nationale est à l’ordre du jour pour faire tomber la hache sur la tête du traître et du parjure… »
A ses anciens confrères dans le sacerdoce, Volcler demanda de prêter le serment constitutionnel qu’ils avaient déjà refusé, et que, bien évidemment, ils refusèrent encore. L’Abbé Philippot, âgé de 78 ans, répondit noblement : « Aidé de la grâce de Dieu, je ne salirai pas ma vieillesse ».
Leurs gardiens les empêchèrent de chanter ensemble le « Salve Regina » sur le chemin de l’échafaud. En revanche, une phrase est demeurée célèbre, celle de l’Abbé Pellé qui, après avoir assisté héroïquement au supplice de ses premiers confrères déclara avant d’être décapité : « Nous vous avons appris à vivre, apprenez de nous à mourir ! ».
Après ces quatrorze prêtres furent également suppliciés ce même jour cinq Vendéens, condamnés comme ennemis de la république.
Les quatre juges, parmi lesquels se trouvaient deux
prêtres renégats, assistèrent à l’exécution depuis la fenêtre d’un immeuble
voisin, et fêtèrent leur « triomphe patriotique » en buvant un verre de vin à
chaque tête qui tombait. Ils encourageaient la foule à crier avec eux : «
Vive la république, à bas la tête des calotins ! ».
Au cours de cette année 1794 furent aussi suppliciées cinq autres martyrs, qui ont été béatifiés en même temps que ces quatorze prêtres, le 19 juin 1955, par le Vénérable Pie XII. Ce sont :
- Françoise Mézière, pieuse femme qui s’était donnée tout entière à l’instruction des enfants et aux soins des malades. Guillotinée à Laval le 5 février.
- au mois de mars, Soeur Françoise Tréhet, guillotinée à Ernée, et Soeur Jeanne Vérondeux, guillotinée à Laval : c’étaient deux Sœurs de la Charité de Notre-Dame d’Évron.
- Le 25 juin, Soeur Marie Lhuilier, soeur converse des Augustines de la Miséricorde. Toute dévouée aux malades.
- Et le 17 octobre : l’Abbé Jacques Burin,
prêtre, curé de St-Martin de Connée. Il avait été arrêté une première fois en
raison de son refus du serment schismatique, et condamné à s’exiler. Entré dans
la clandesinité, il continua son ministère mais fut trahi en octobre 1794 par
deux femmes qui l’avaient fait appeler pour se confesser : c’était en réalité
un traquenard et il fut tué d’un coup de fusil.
SOURCE : http://leblogdumesnil.unblog.fr/2014/01/21/2014-10-des-bienheureux-martyrs-de-laval/
Blessed John Baptist Turpin du Cormier
Profile
Parish priest in the diocese of Laval, France. Leader of
the Blessed Martyrs
of Laval.
Born
- 21 January 1794 in
Laval, Mayenne, France
Additional Information
- Book of Saints, by the Monks of Ramsgate
- Hagiography
Circle
- Our Sunday Visitor’s
Encyclopedia of Saints
MLA Citation
- “Blessed John Baptist
Turpin du Cormier“. CatholicSaints.Info. 12 April 2015. Web.
4 February 2021.
<https://catholicsaints.info/blessed-john-baptist-turpin-du-cormier/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-john-baptist-turpin-du-cormier/
Blessed Martyrs of Laval
Also
known as
- Nineteen
Martyrs of Laval
- 21 January
- formerly 19 June
Profile
Fifteen men and four
women who were martyred in Laval, France by anti-Catholic French Revolutionaries.
- Blessed André Duliou
- Blessed Augustin-Emmanuel
Philippot
- Blessed François Duchesne
- Blessed François
Migoret-Lamberdière
- Blessed Françoise Mézière
- Blessed Françoise Tréhet
- Blessed Jacques André
- Blessed Jacques Burin
- Blessed Jean-Baptiste Triquerie
- Blessed Jean-Marie Gallot
- Blessed Jeanne Veron
- Blessed John Baptist Turpin du
Cormier
- Blessed Joseph Pellé
- Blessed Julien Moulé
- Blessed Julien-François Morin
- Blessed Louis Gastineau
- Blessed Marie Lhuilier
- Blessed Pierre Thomas
- Blessed René-Louis Ambroise
Born
Additional Information
- books
- Book of Saints, by the Monks of Ramsgate
- Our Sunday Visitor’s
Encyclopedia of Saints
- other
sites in english
- sitios
en español
- Martirologio Romano, 2001 edición
- fonti
in italiano
MLA Citation
- “Blessed Martyrs of
Laval“. CatholicSaints.Info. 20 January 2017. Web. 4
February 2021. <https://catholicsaints.info/blessed-martyrs-of-laval/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-martyrs-of-laval/
LAVAL, MARTYRS OF
A group of 19 beatified victims of the french
revolution, martyred in 1794. The martyrs (14 secular and one religious priest,
three religious women, and one lay woman) were among the many whom the
revolutionists put to death for religious reasons in the area of the
present département of Mayenne in western France, whose capital is
Laval.
At Laval 14 priests, arrested at various times in the
preceding months, were guillotined (Jan. 21, 1794) for refusing to subscribe to
the civil constitution of the clergy, to which two of them had previously
subscribed with restrictions. They were: René Ambroise (b. 1720), Jacques
André (b. 1763), François Duchesne (b. 1736), André Duliou (b. 1727),
Jean Gallot (b. 1747), Louis Gastineau (b. 1727), François Migoret-Lambardeère
(b.1728), Julien Morin de la Girardière (b. 1733), Julien Moulé (b. 1716),
Joseph Pellé (b. 1720), Augustin Philippot (b. 1716), Pierre Thomas (b.
1729), Jean Baptiste Turpin du Cormier (b. 1732), and Jean Baptiste Triquerie
(b. 1737), a Conventual Franciscan.
Jacques Burin (b. 1756) was imprisoned in 1791 after
reading publicly, with approval, Pius
VI's condemnation of the Civil Constitution, to which he had subscribed
with reservations a few months previously. After his release he disguised
himself as a merchant and continued his priestly ministrations until he was
shot to death in an ambush at Champgenêteux (Oct. 17, 1794). His murderer
rejoiced when a chalice, found on Burin's person, indicated that his victim was
a priest.
Françoise Mézière (b. 1745), a very pious laywoman and
teacher, was guillotined at Laval (Feb. 5, 1794), after being apprehended while
caring for wounded Vendean soldiers. At Ernée the guillotine made martyrs of
two sisters belonging to the congregation of Charit é de la
Chapelle-au-Riboul. For refusing to take the prescribed oath, Françoise Tréhet
(b. 1756) was executed March 13, 1794, and Jeanne Véron (b. 1766), seven days
later. On June 25, Sister St. Monica (Marie Lhullier, b. 1744), an illiterate
lay sister belonging to the congregation of the Hospital Sisters of the Mercy
of Jesus, was executed at Laval for refusing to take the oath condemned by the
Church.
All 19 were beatified June 19, 1955.
Bibliography: E. Cesbron, Les Martyrs de
Laval (Rennes 1955). J. L. Baudot and L. Chaussin, Vies des saints et
des bien-heueux selon l'ordre du calendrier avec l'historique des fêtes, ed.
by The Benedictines of Paris, 12 v. (Paris 1935–56) 13:105–114.
[M. Lawlor]
New Catholic Encyclopedia
SOURCE : https://www.encyclopedia.com/religion/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/laval-martyrs
Beati Giovanni Battista Turpin du Cormier e 13 compagni Martiri di Laval
>>> Visualizza la Scheda del Gruppo cui appartiene
† Laval, Francia, 21 gennaio 1794
Martirologio Romano: A Laval in Francia, beati Giovanni Battista Turpin du Cormier e tredici compagni, sacerdoti e martiri, che per la loro tenace fedeltà alla Chiesa cattolica durante la rivoluzione francese morirono ghigliottinati.
Il 12 ottobre 1792 fu arrestato e imprigionato nell’antico convento delle Clarisse soprannominato “Patience” François Duchesne, canonico di Laval, nato in tale città l’8 gennaio 1736, che conduceva vita da anacoreta e digiunava tutti i giorni.
Due giorni dopo, il 14 ottobre, una retata di gendarmi condusse diversi preti in prigione:
René-Louis Ambroise, nato a Laval il 1° marzo 1720 da famiglia giansenista, che dopo l’ordinazione era stato destinato alla parrocchia della Santissima Trinità;
Louis Gastineau, nato a Loiron il 10 novembre 1727, che dopo avere esercitato in vari luoghi il suo ministero come viceparroco, si era rifugiato a Laval presso una sorella e si era occupato con frutto dell’educazione della gioventù;
François Migoret-Lamberdière, nato a St-Fraimbault-de-Lassay nel 1728, che era stato viceparroco di Oisseau, rettore di un collegio locale e successivamente parroco di Rennes-en-Gronouille, si era segnalato per il grande zelo nell’educazione della gioventù, aveva prestato nel 1791 un giuramento condizionato alla costituzione civile del clero, ma dopo la condanna di Papa Pio VI aveva ritrattato a costo di essere allontanato dalla parrocchia;
Julien Moulé, nato a Le Mans il 29 marzo 1716, che era stato prima viceparroco a Beaufray e rettore del collegio, poi parroco a Saulges, anch’egli aveva prestato il giuramento, poi ritrattato dopo la condanna papale;
Joseph Pellé, nato a Laval il 22 gennaio 1720, cappellano e confessore delle monache clarisse nei convento della Patience, molto retto e sinceramente pio nonostante il carattere rude;
Pierre Thomas, nato a Mesnil-Rainfray il 13 dicembre 1729, che dopo essere stato viceparroco a Peùton era stato eletto cappellano dell’ospedale di Chàteau-Gontier.
Il 2 novembre 1792 fu rinchiuso nell’ex-convento della “Patience” Augustin-Emmanuel Philippot, nato a Parigi l’11 giugno 1716, che per ben cinquant’anni era stato parroco a Bazouge-des-Alleux, purtroppo avveduto nella distribuzione delle elemosine ai poveri.
Il 17 dicembre seguente fu arrestato Julien-François Morin de la Girardière, nato a St-Fraimbault-de-Prières il 14 dicembre 1733. Egli aveva studiato teologia all’università di Angers. Dopo qualche anno di ministero si ritirò presso il fratello per occuparsi dell’educazione dei suoi nipoti. Di carattere mite, alargiva molte elemosine ai poveri.
Il giorno seguente, 18 dicembre, fu arrestato Jean-Marie Gallot, nato a Laval 14 luglio 1747, già viceparroco a Bazougers e quindi cappellano delle monache benedettine di Laval. Ormai infermo, viveva ritirato e sostenuto dalla carità dei fedeli.
Il 5 gennaio 1793 venne arrestato Jacques André nato a Saint-Pierre-la-Cour il 15 ottobre 1743, prima viceparroco a Rouez-en-Chanipagne e quindi parroco di Rouessé-Vassé. Ritiratosi poi a Laval dopo che i rivoluzionari gli avevano invaso il presbiterio.
Il medesimo giorno fu arrestato anche Jean-Baptiste Triquerie, nato a Laval il 1° luglio 1737, che in giovane età era entrato tra i Frati Minori Conventuali di Olonne, di cui fu pure superiore. In seguito, essendo un religioso di singolare pietà e di stretta osservanza, fu eletto cappellano e confessore delle clarisse di diversi monasteri. Dopo la soppressione del convento di Buron presso il quale esercitava il ministero, si ritirò a Laval presso un cugino.
Due altri preti anteriormente arrestati furono trasferiti alla “Patience”: André Duliou, nato a St- Laurent-des-Mortiers il 18 luglio 1727, assai stimato per la pietà, lo zelo e il distacco dai beni terreni dimostrato nei paesi in cui era stato cooperatore parrocchiale e a St-Fort, ove era stato parroco, e Jean-Baptiste Turpin du Cormier, nato a Laval nel 1732. Costui “era uomo veramente buono, un pastore pieno di zelo. Dedito completamente alle cure pastorali, consacrava tutto il tempo all’adempimento dei suoi doveri, all'istruzione dei fedeli, alla riconciliazione dei peccatori con Dio, al sollievo dei poveri, alla visita degli ammalati. Il suo cuore era pieno di bontà, il suo tratto dolce ed affabile, la sua condotta regolare ed edificante, tutta la vita un modello di ogni virtù sacerdotale”. Quale parroco della chiesa della Santissima Trinità, l’odierna cattedrale di Laval, alla “Patience” pose il prestigio di cui godeva al servizio dei confratelli che lo considerarono loro capo.
Per i quattordici prigionieri i mesi trascorsero lunghi e monotoni. I vandeani, insorti contro i rivoluzionari, nell’ottobre 1793 erano riusciti ad occupare Laval ed a rimetterli in libertà, ma essendo stati ricacciati quasi subito dall’esercito repubblicano, i sacerdoti furono nuovamente improgionati nell’ex-convento. Il 21 gennaio 1794 ricorreva l’anniversario della decapitazione del re Luigi XVI, che il pontefice Pio VI con la bolla “Quare lacrymae” il 17 giugno 1793 aveva riconosciuto quale martire ucciso in odio alla fede cattolica.
Per la commissione rivoluzionaria, volta a punire il fanatismo vandeano, l’anniversario costituiva una data assai propizia per vendicarsi degli scacchi subiti. Perciò. la mattina del 21 gennaio i quattordici sacerdoti progionieri furono condotti al palazzo di giustizia per essere giudicati. Il presidente Clément domandò a Jean-Baptiste Turpin perché non avesse prestato il giuramento prescritto dalla legge e questi gli rispose: “Perché attacca la mia religione ed à contrario alla mia coscienza”. Replicò il giudice: “Dunque, tu sei un fanatico. Credi ancora in Dio e non ti accontenterai di adorare "L’Essere Supremo"? Hai esercitato il tuo ministero dopo il rifiuto del giuramento ed hai detto Messa?”. Il sacerdote non temette di rispondere afermativamente ed ammise anche di aver consigliato tale comportamteno ai fedeli durante la confessione. Rifiùto infine di prestare anche il giuramento del 1792, quello di Libertà e Uguaglianza, “perché contrario alla legge di Dio”.
La stessa richiesta fu fatta a Jean-Marie Gallot, che ammise anch’egli di non avere prestato il giuramento e pregò che gliene venisse spiegato il significato. Disse allora il presidente: “Essere fedele alla repubblica e non professare alcuna religione, né la cattolica, né qualsiasi altra”. Il sacerdote allora gli rispose prontametne: “Cittadino, sulle pubbliche piazze in qualunque luogo, io mi professerò sempre cattolico, non arrossirò mai di Gesù Cristo”.
Joseph Pellé rispose invece al giudice: “Voi mi domandate un giuramento che la religione mi proibì di fare nel 1791; ma il giuramento che oggi richiedete non è altro che una derisione; esso non sarà mai da me prestato, anche a costo della vita: la mia coscienza non me lo permette”. Poiché il presidente insisteva, il futuro martire gli rispose con vivacità: “Mi state proprio seccando con questo vostro giuramento. Non lo farò, non lo farò, non lo farò!”.
Con René-Louis Ambroise l’accusatore fu perfido: “Spero che almeno tu non sarai ribelle alla legge giacché non hai condiviso i sentimenti dei tuoi confratelli”, ma il beato con grande senso civico replicò: “Io voglio ubbidire al governo, ma non voglio rinunciare alla mia religione”. Al giudice risultava che l’imputato fosse giansenista, ma questi spiegò: “Ammetto di avere sostenuto alcune opinioni che non erano conformi alla sana dottrina, ma Dio mi ha concesso la grazia di riconoscere i miei errori, di confessarli dinanzi ai miei confratelli e di riconciliarmi con la Chiesa. Al momento di comparire davanti a Dio, sono lieto di lavare con il sangue il mio errore”.
L’interrogatorio di Jean-Baptiste Triquerie, come già quello del Gallot, manifestò in modo inequivocabile il motivo religioso della persecuzione e della condanna. Alla richiesta del giuramento, infatti, egli rispose: “Cittadino, io sono figlio di San Francesco; in forza del mio stato devo essere morto al mondo, ne ignoro quindi le leggi. Mio unico scopo quello di pregare Dio per la mia patria, cosa che non ho mai cessato di fare”. Assai turbato il presidente lo ammonì: “Non venire qui a farci delle prediche. Dal momento che non sei più cappellano delle monache, chi ti ha dato i mezzi per vivere, non avendo tu beni di fortuna?”. Il frate rispose di esserre sopravvissuto grazie alla carità dei fedeli e che sarebbe comunque rimasto “fedele a Gesù Cristo sino all’ultimo respiro”.
Anche tutti gli altri sacerdoti rifiutarono categoricamente il giuramento loro richiesto, poiché contrario alla coscienza, e furono perciò condannati alla ghigliottina. Udita la sentenza, i condannati esclamarono “Deo gratias!” e poi si prepararono alla morte confessandosi vicendevolmente. Si misero poi in coda aspettando il loro turno ,cantando la Salve Regina ed il Te Deum. Il Turpin, offertosi come aprifila, fu però mandato per ultimo poiché ritenuto maggior colpevole e, prima di essere legato, volle baciare con venerazione il tavolato bagnato dal sangue dei suoi confratelli.
A mezzogiorno di quel 21 gennaio 1794 tutto era finito. I corpi dei giustiziati furono seppelliti nelle lande di Croix-Bataille, ma nel 1816, con la restaurazione dell’antico regime, i loro resti furono esumati e traslati nella chiesa di Avesnières. Già durante la Rivoluzione, però, i fedeli non avevano mai cessato di recarsi a pregare di nascosto sulle loro tombe. Il 19 giugno 1955 giunse finalmente il giorno della glorificazione terrena di questi martiri, che vennero beatificati insieme ad altre cinque vittime uccise singolarmente sempre a Laval.
Autore: Fabio Arduino
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/38420
Beati Martiri di Laval Vittime della Rivoluzione
Francese
Senza data
(Celebrazioni singole)
† Laval, Francia, 1794
Nel 1839 infine, ebbe inizio l'inchiesta canonica che si concluse nel 1841. Per evitare, tuttavia, il riaccendersi degli odi ancora mal sopiti a Laval, come del resto in tutta la Francia, si attese per proseguire la procedura. Il 25 giugno 1917, nel corso di una udienza a lui concessa da Benedetto XV, il vescovo di Laval monsignor Grellier espose al pontefice il desiderio del suo clero e di un gran numero di diocesani di vedere elevate agli altari alcune delle vittime del Terrore, uccise in odio alla fede. Il papa approvò il progetto ed lo incoraggiò a mettersi all’opera senza più indugi. Per evitare ogni difficoltà, vennero scartate tutte quelle vittime della Rivoluzione la cui morte avrebbe potuto essere attribuita almeno in parte, a motivi politici e non unicamente di ordine religioso. Questa fu la ragione della scelta e della designazione di soli diciannove martiri, mentre la diocesi di Laval in quel periodo aveva avuto un incalcolabile numero di vittime, di cui una buona parte cadde proprio per il suo attaccamento alla religione. Nella selezione si tenne pure in considerazione che i personaggi prescelti godessero già prima del martirio di una grande fama di santità e per cui la morte aveva solamente messo un suggello alla loro erioca esistenza terrena: parroci di parrocchie urbane e rurali, un religioso, suore votate ad opere di misericordia ed infine una maestra la cui attività pare anticipare l’opera dei numerosi santi sociale a partire dal secolo successivo.
Da quel momento la causa seguì il suo iter normale: venne introdotta nel 1941 e finalemnte il 19 giugno 1955 Pio XII potè procedere alla solenne beatificazione dei diciannove martiri di Laval, la cui fama acquistò così nuovo splendore. Il Martyrologium Romanum commemora i martiri singolarmente o in gruppo nell’anniversario del loro martirio, quindi a questi 19 beati abbiamo dedicato delle schede nei giorni della loro festa.
Ecco i loro nomi:
Autore: Fabio Arduino
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/93292
Voir aussi : https://nominis.cef.fr/contenus/MartyrsdeLavalMgrMaillardetPereLouisBoyer.pdf