vendredi 30 janvier 2015

Bienheureuse CARMEN GARCÍA MOYÓN, vierge laïque et martyre



Bienheureuse Carmen García Moyón, martyre

Carmen García Moyón naquit à Nantes le 13 septembre 1888. Fervente enseignante de la doctrine chrétienne en Espagne, elle fut violée, puis brûlée vive par des miliciens à cause de sa foi au Christ, pendant la persécution religieuse à Torrent, l’an 1936.

SOURCE : http://www.paroisse-saint-aygulf.fr/index.php/prieres-et-liturgie/saints-par-mois/icalrepeat.detail/2015/01/30/2285/-/bienheureuse-carmen-garcia-moyon-martyre

 Bienheureuse Carmen García Moyón

martyre en Espagne (+ 1936)

Carmen García Moyón, catholique, née à Nantes en France le 13 septembre 1888, fut brûlée vive par des miliciens pour la seule raison qu'elle était croyante.

Béatifiée par Jean-Paul II le 11 mars 2001 - Béatification des serviteurs de Dieu, José Aparicio Sanz, prêtre et 232 compagnons prêtres, religieux, religieuses et laïcs (en espagnol)

À Torrent en Espagne, l’an 1936, la bienheureuse Carmen Garcia Moyon, martyre. Fervente enseignante de la doctrine chrétienne, à cause de la foi au Christ, pendant la persécution religieuse, elle fut violée, puis brûlée vive.

Martyrologe romain

SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/11401/Bienheureuse-Carmen-Garcia-Moyon.html

Bienheureuse Carmen García Moyon

Vierge Laïque Martyre en Espagne

Fête le 22 septembre

Nantes, France, 13 septembre 1888 – † Barranc de les Canyes, Torrent, Valencia, 30 janvier 1937

Cf. Martyrs de l’Archidiocèse de Valencia

Béatifiée le 11 mars 2001

Autre graphie : María Carmen García Moyon

La Congrégation pour la cause des saints a promulgué le 18 décembre 2000, en la salle du consistoire et en présence de Jean-Paul II, 1 nouveau décret concernant le martyre de la servante de Dieu Maria Carmen Garcia Moyon, laïque (+1937), tuée en haine de la foi durant la persécution religieuse de la seconde République espagnole

SOURCE : http://www.martyretsaint.com/carmen-garcia-moyon/

Carmen Marie Anne García Moyon

1888-1937

Carmen naquit le 13 septembre 1888 à Nantes (Loire-Atlantique), avant-dernière des cinq enfants d’un père espagnol et d’une mère française. C’est cette situation qui est à l’origine du surnom de Carmen, la Francesita, la petite Française.

Le père, José García, s’était exilé après avoir participé à la guerre civile de 1872-1876 du côté «carliste» ; la mère s’appelait Marie Joséphine Octavie Moyon, et ce nom ne doit donc pas porter d’accent sur le o, comme on le voit parfois dans les textes espagnols.

Vers 1900, la famille revint s’installer à Barcelone, où moururent les deux jeunes garçons, puis à Sogorg (Castellón), le pays d’origine du père. C’est là que Carmen rencontra les Sœurs Tertiaires Capucines de la Sainte Famille, où elle demanda son admission en 1917.

Après six mois de postulat, le noviciat commença en 1918, et Carmen prit le nom de Esperanza de Nantes. De ces deux années, on ne sait pratiquement rien, car les archives de la Congrégation furent détruites dans l’incendie de 1936.

Ce qui est certain, c’est qu’au terme de cette étape, ni elle ni sa compagne (Asunción) ne renouvelèrent leurs vœux et choisirent un mode de vie, toujours consacrée à Dieu, mais dans l’activité et le témoignage au milieu du monde.

Elles s’installèrent à Manises (Valencia) de 1921 à 1925, où elles travaillèrent au four de Aliaga, puis à Torrent, non loin des pères Tertiaires Capucins Amigoniens.

Au premier étage de leur maison s’installa Asunción, désormais mariée, tandis que Carmen restait au rez-de-chaussée, recevant des jeunes filles pour leur enseigner la broderie, la couture et la confection. C’était l’occupation principale, «officielle», dont profitait Carmen pour faire passer un message évangélique, un enseignement chrétien, puis tout ce monde se transportait joyeusement chez les Pères pour nettoyer l’église, entretenir les ornements, repasser les aubes et les linges sacrés…

A ces saintes occupations, Carmen ajouta celle de la Pieuse Union de Saint Antoine de Padoue, dont elle fut pratiquement la fondatrice, y ayant adhéré dès que son fondateur la proposa en 1934. Elle organisa l’association, en fut la trésorière et la guide infatigable.

Dès avant la guerre civile, les éléments anti-cléricaux de Torrent firent abattre la croix qui dominait le Calvaire ; Carmen n’hésita pas un instant à la remplacer par une autre, et à aller protester avec ses compagnes auprès des autorités. Un courage qui déjà la faisait «ficher».

Le 24 juillet 1936, le couvent des Pères fut évacué et incendié ; tout en continuant la formation et l’enseignement des jeunes filles, Carmen organisa des visites pour apporter des vêtements, des vivres, du soutien psychologique, l’Eucharistie, à tous les Chrétiens en difficulté.

Le comité révolutionnaire de Torrent avait émis une instruction - peut-être l’unique dans toute l’Espagne - de ne faire aucun mal aux femmes de Torrent. Il est établi qu’aucune femme ne subit le martyre à Torrent ; aucune - une tout de même, Carmen, justement. Voici comment.

En janvier 1937, une jeune fille demanda à Carmen de lui tailler une robe de mariage et Carmen, sans aucune arrière-pensée, lui fit remarquer que pour le moment, le mariage ne pourrait se faire qu’à la mairie, mais qu’en attendant un peu, elle pourrait aussi se marier à l’Eglise. La fille alla le dire à son fiancé, qui alla le dire au Comité, qui envoya deux voitures et six hommes à la porte de Carmen, au soir du 30 janvier. Ce sont eux mêmes qui, le soir, racontèrent comment ils s’y prirent : les faits furent de nouveau confirmés lors du procès qui eut lieu plus tard.

L’arrestation fut mouvementée. Carmen tenta de se défendre, tandis que le petit garçon qui se trouvait alors près d’elle, s’accrochait à ses jambes, et que la voisine s’approchait pour l’aider. Un milicien lui pointa le fusil devant la poitrine, et Carmen n’avait plus qu’à se rendre.

Les deux voitures partirent en direction de Montserrat, jusqu’au lieu-dit Barranc de les Canyes. Les miliciens tentèrent de la violer, mais Carmen leur résista encore plus violemment que lors de son arrestation, hurlant Vous me tuerez avant de me violer. Alors, ils la sortirent de la voiture, lui versèrent de l’essence de la tête aux pieds et mirent le feu.

Les bourreaux reconnurent que le spectacle les remplit d’horreur et de dégoût, voyant cette torche ardente qui s’agitait sous leurs yeux. Carmen cria plusieurs fois Vive le Christ Roi, avant de s’écrouler à terre.

Carmen fut ainsi brûlée vive pour sa foi inébranlable, le 30 janvier 1937.

Dès la fin des hostilités, son amie Asunción chercha à dénoncer cet assassinat aux autorités, qui répondirent d’abord qu’on ne pouvait rendre justice parce que la Francesita n’était pas du pays ; puis les témoins n’osèrent pas parler ni même se présenter, de sorte que les assassins eux-mêmes, qu’on avait pourtant bien reconnus et arrêtés, furent remis en liberté.

Pour l’Eglise, les choses avaient une autre importance : Carmen avait donné sa vie en témoignage de sa fidélité au Christ, c’était une authentique martyre de la foi. 

Elle fut béatifiée en 2001.

SOURCE : http://www.samuelephrem.eu/article-carmen-marie-anne-garcia-moyon-121994710.html

BLESSED CARMEN MARIE ANNE GARCÍA MOYON

 A rather unknown beatus is the lay woman from the archdiocese of Valencia, Spain, who vocation it was to be a Catechist and Martyr is honored today. Blessed Carmen Marie (1888-1937) was born in Nantes, France; she met the Lord after being raped and martyred in the Spanish Civil War; burned alive on 30 January 1937 in Torrent, Valencia, Spain.

A brief biography available in French can be read here.

John Paul II beatified García Moyon on March 11, 2001.

Blessed Carmen Marie, pray for all teachers of Christian Doctrine and those who live with the trauma of rape.

SOURCE : http://communio.stblogs.org/index.php/2016/01/blessed-carmen-marie-anne-garcia-moyon/

Blessed Carmen Marie Anne García Moyon


Memorial

Profile

Lay woman in the archdiocese of ValenciaSpainCatechistRaped and martyred in the Spanish Civil War.

Born

Died

Venerated

Beatified

Additional Information

MLA Citation

  • “Blessed Carmen Marie Anne García Moyon“. CatholicSaints.Info. 28 January 2017. Web. 18 January 2021. <https://catholicsaints.info/blessed-carmen-marie-anne-garcia-moyon/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-carmen-marie-anne-garcia-moyon/

Beata Carmela Garcia Moyon Martire

30 gennaio

>>> Visualizza la Scheda del Gruppo cui appartiene

Nantes, Francia, 13 settembre 1888 – Torrent, Spagna, 30 gennaio 1937

Carmen Marie Anne Garcia Moyon, fedele laica dell’arcidiocesi di Valencia, nacque a Nantes, in Francia, 13 settembre 1888. Trasferitasi poi in Spagna, fu convinta insegnante della dottrina cristiana. Allo scoppio della guerra civile e della feroce persecuzione religiosa che attraversò la Spagna, Carmen fu chiamata ad effondere il suo sangue e donare la vita per difendere la sua fede in Cristo il 30 gennaio 1937 a Torrent, nei pressi di Valencia: fu violentata per la sua fede e bruciata ancora viva. Papa Giovanni Paolo II l’11 marzo 2001 elevò agli onori degli altari ben 233 vittime della medesima persecuzione, tra le quali la Beata Carmela Garcia Moyon, che viene festeggiata nell’anniversario del suo martirio.

Martirologio Romano: Nel villaggio di Torrent in Spagna, beata Carmela García Moyón, martire: fervida insegnante di dottrina cristiana, durante la persecuzione religiosa, per la sua fede in Cristo fu violentata e bruciata mentre era ancora viva.

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/39160

Beata María Carmela García Moyon

"Los creyentes acudían asiduamente a la enseñanza, a la fracción del pan y a las oraciones... tenían un solo corazón y una sola alma." (Hch. 2, 42 y 4, 32).

Carmen García, penúltima de cinco hermanos, nace el 13 de Septiembre de 1888 en la ciudad francesa de Nantes. Hija de padre español y madre francesa, a los ocho días recibe las aguas bautismales en la parroquia de Notredame de Bon Port de su ciudad natal.

Educada religiosamente, Carmen da muy pronto muestras de sus verdaderos sentimientos cristianos, que posteriormente defiende con todas sus fuerzas. Mujer de temperamento heróico y de una amabilidad sin límites, se revuelve valiente sintiendo hervir en su interior la ira de Dios, cual otro San Juan Eudes ante un hereje, para defender sus propios derechos y los de la Iglesia.

A principios de siglo la familia García-Moyon vuelve a España, instalándose en la ciudad de Segorbe, Castellón. Seguramente que por el contacto de la joven Carmen con las hijas del Venerable Luis Amigó prende en ella la vocación religiosa. De hecho el 11 de enero de 1918 ingresa en la congregación de las Terciarias Capuchinas y, al concluir sus votos religiosos, no los renueva. En 1926 la encontramos ya en la ciudad de Torrent, Valencia.

En seguida entra en contacto con los frailes del convent de Monte Sión. Con el tiempo la francesita, así se la conocía, se emplea en dar catequesis a los niños del convento, repasar las ropas sagradas, limpieza de la hermosa iglesia, y hasta puso un taller de costura en su casa, donde enseñaba a las jóvenes torrentinas el arte de coser, zurcir y bordar ropas. Una verdadera catequista, cooperadora parroquial y trabajadora social.

Sus convicciones religiosas le llevan a sufrir muerte violenta la noche del 30 de enero de 1937 en el Barranc de les Canyes, frente a la casa de Camineros, camino de Montserrat. ¡Viva Cristo Rey! fueron sus últimas palabras.

Quienes la conocieron nos dicen que Carmen, humanamente, era muy cariñosa y comprensiva; físicamente era de pequeña estatura, llenita, bien parecida y de mirada serena y penetrante; y moralmente, una persona muy religiosa y sumamente piadosa. Fue una auténtica líder del pensamiento cristiano femenino.

Beatos Españoles

SOURCE : https://www.aciprensa.com/testigosdefe/martires/maria.htm

Carmen García Moyon

Nantes 1888 - Montserrat (Valencia) 30 enero 1937

Carmen García, penúltima de cinco hermanos, nació el 13 de Septiembre de 1888 en la ciudad francesa de Nantes. Hija de padre español y madre francesa, fue educada religiosamente y muy pronto mostró verdaderos sentimientos cristianos. Mujer de temperamento heroico y de una amabilidad sin límites.

A principios de siglo la familia García-Moyon volvió a España, instalándose en la ciudad de Segorbe, Castellón. En 1926 Carmen ya vivía en la ciudad de Torrent, Valencia, muy vinculada a los frailes del convento de Monte Sión. Con el tiempo la francesita, así se la conocía, se empleó en dar catequesis a los niños del convento, repasar las ropas sagradas, limpieza de la iglesia, y hasta puso un taller de costura en su casa, donde enseñaba a las jóvenes torrentinas el arte de coser, zurcir y bordar ropas.

Sus convicciones religiosas le llevaron a sufrir muerte violenta la noche del 30 de enero de 1937 en el Barranc de les Canyes, frente a la casa de Camineros, camino de Montserrat. Su festividad litúrgica se celebra el 22 de septiembre.

SOURCE : http://www.archivalencia.org/contenido.php?a=1&pad=98&modulo=65&martir=236

BEATA CARMEN GARCÍA MOYÓN

30 de enero

1937 d.C.

   Nació en Nantes, Francia; era hija de padre español y madre francesa; el padre era un carlista exiliado en Francia. El padre decidió regresar a España y se estableció en Barcelona, aquí pasó Carmen toda su juventud. Creyó que su vocación era la vida religiosa y por ello ingresó en el noviciado de las Hermanas Terciarias Capuchinas de la Sagrada Familia, haciendo sus primeros votos en 1920, pero comprobó que este no era su camino y dejó la comunidad.

   Se propuso ser una verdadera apóstol seglar, y junto con su amiga Asunción Fernández Roig, que también había estado en el mismo convento, se trasladó a Manises. Se ganó la vida como costurera y todo su tiempo libre fue para las obras apostólicas. Hacia 1928, ambas amigas se establecieron en Torrente y trabajaron algunas horas en el convento de los Terciarios Capuchinos de la Virgen de los Dolores, con quienes colaboraron apostólicamente. Fue catequista. Cuando su amiga se casó, Carmen montó un taller de costura donde realizó un gran trabajo apostólico entre sus alumnas. También emprendió numerosas obras de caridad, visitando a los enfermos pobres. Al crearse en el convento la rama femenina de la Pía Unión de San Antonio, Carmen fue una de las primeras en inscribirse y colaboró como catequista de niñas.

   Cuando llegó la revolución de 1936, no dudó en exponerse a fin de sostener el ánimo de los católicos perseguidos. Llevaba la Eucaristía por las casas y servía de enlace entre los sacerdotes y los fieles. Cuando mataron a los Terciarios Capuchinos del convento de Torrente, no decayó su ánimo. No se escondió y no disimuló su condición de católica. Fue apresada y la llevaron a la carretera de Montserrat y junto al Barranc de les Canyes, intentaron violarla, pero ella se defendió diciendo que prefería la muerte. Entonces fue rociada de gasolina y convertida en una tea viva, fue gritando vivas a Cristo Rey, de un lado a otro, sin poder tampoco reprimir gritos de dolor, mientras los milicianos se burlaban de ella, hasta que murió tan cruelmente. Fue elevada a los altares en el grupo de 233 mártires de la misma persecución beatificados por SS Juan Pablo II el 11 de marzo de 2001.


(Pbro. José Manuel Silva Moreno)

SOURCE : http://www.parroquiasanmartin.com/carmengarciamoyon.html

Voir aussi http://causa.sanctorum.free.fr/martyrs_espagnols_08.htm

http://persecution-religieuse.la-guerre-d-espagne.net/articles.php?lng=fr&pg=22

https://www.xn--elespaoldigital-3qb.com/carmen-garcia-moyon-una-rosa-de-verdad/