Sainte
Dévote entourée de Saint Georges et de Sainte Lucie (cathédrale Saint Nicolas
de Monaco). Offert vers 1560-1570 par Isabelle Grimaldi épouse du prince Honoré Ier.
Sainte Dévote
Vierge et martyre (+ 304)
A Mariana en Corse, l'on
fête cette jeune martyre qui est aussi la patronne de la principauté de Monaco.
Vierge et martyre,
patronne principale de la Corse, martyrisée au IIIe siècle à Mariana, près de
Quercio, le lieu attribué à sa naissance par la Tradition. (saints du diocèse
d'Ajaccio)
Lire aussi Sainte Dévote ou le courage de la Foi sur le site internet du diocèse de Monaco et découvrez la paroisse Sainte Dévote: "Sainte Dévote, est une jeune chrétienne native de Corse, martyrisée sous les empereurs Dioclétien et Maximien, en l'an 304. Son corps fut dérobé de nuit, par des fidèles soucieux qu'il soit enterré dignement. Ils le déposèrent dans une barque pour être dirigé vers l'Afrique où se trouvait une importante communauté chrétienne. Cependant les vents contraires conduisirent l'esquif vers Monaco. Les restes de la sainte furent ensevelis, près du port, dans une grotte du vallon des Gaumates, où, plus tard, fut édifiée une chapelle dont les religieux de l'abbaye de Saint-Pons demeurèrent propriétaires jusqu'au XVIe siècle
SOURCE : http://www.avecmariepourjesus.net/t3093-saints-et-saintes-du-27-janvier
Sainte Dévote
Vierge et
martyre (+ 304)
A Mariana en Corse, l'on
fête cette jeune martyre qui est aussi la patronne de la principauté de Monaco.
Vierge et martyre, patronne principale de la Corse, martyrisée au IIIe siècle à
Mariana, près de Quercio, le lieu attribué à sa naissance par la tradition.
Découvrez la paroisse Sainte Dévote: "Sainte Dévote, est une jeune chrétienne native de Corse, martyrisée sous les empereurs Dioclétien et Maximien, en l'an 304. Son corps fut dérobé de nuit, par des fidèles soucieux qu'il soit enterré dignement. Ils le déposèrent dans une barque pour être dirigé vers l'Afrique où se trouvait une importante communauté chrétienne. Cependant les vents contraires conduisirent l'esquif vers Monaco. Les restes de la sainte furent ensevelis, près du port, dans une grotte du vallon des Gaumates, où, plus tard, fut édifiée une chapelle dont les religieux de l'abbaye de Saint-Pons demeurèrent propriétaires jusqu'au XVIe siècle."
- vidéos, diocèse de Monaco, entretien avec S.A.S. le Prince Albert II, Sainte Dévote 2023 et Une vie de sainte Dévote...
par le curé de la paroisse de Sainte-Dévote.
Martyrologe romain
C'est le Prince Louis II
qui, en 1924, a donné un éclat particulier à la fête de la Sainte Patronne de
la Principauté, en instaurant, notamment, le rite de l'embrasement d'une
barque. (diocèse de Monaco)
SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/514/Sainte-D%C3%A9vote.html
Статуя
мученицы Девоты, покровительницы Корсики и Монако, подарок Успенскому собору
Каноника в Мариане от князя Монако Ренье II
Sainte Dévote, vierge
et martyre
Selon la légende, qui est peut-être un dédoublement de la Passion de sainte Julie, Dévote (Dei vota) serait une jeune chrétienne native de Corse (Quercio, près de Mariana ?) martyrisée sous les empereurs Dioclétien et Maximien, en l'an 304 ou même sous le Préfet de Sardaigne Quintus Gabinus Barbarus (202). Son corps fut dérobé de nuit, par des fidèles soucieux qu'il soit enterré dignement. Ils le déposèrent dans une barque pour être dirigé vers l'Afrique où se trouvait une importante communauté chrétienne. Cependant les vents contraires conduisirent l'esquif vers Monaco. Les restes de la sainte furent ensevelis, près du port, dans une grotte du vallon des Gaumates, où, plus tard, fut édifiée une chapelle dont les religieux de l'abbaye de Saint-Pons demeurèrent propriétaires jusqu'au XVIème siècle.
Reliques
de Sainte Dévote, patronne du Diocèse de Monaco
Relics of st. Devota (Monaco cathedral)
Reliques
de Sainte Dévote, patronne du Diocèse de Monaco
Relics
of st. Devota (Monaco cathedral)
Sainte Dévote
Vierge et martyre
Patronne de la
Principauté de Monaco
Patronne principale de la Corse
Au tout début du IVe siècle, en Corse (en ce temps-là province romaine), le gouverneur romain Dioclétien ordonne la grande persécution des chrétiens.
Une jeune chrétienne, Dévote, fut arrêtée, emprisonnée et torturée. Elle mourut sans renier sa foi. Après sa mort, le gouverneur de la province ordonna de brûler son corps mais des chrétiens l’enlevèrent et le placèrent sur une barque en partance pour l’Afrique où, pensaient-ils, on lui donnerait une sépulture chrétienne.
Dès les premières heures de la traversée, une tempête se leva. C’est alors que de la bouche de Dévote sortit une colombe qui guida la barque sans encombre jusqu'à Monaco où elle vint s’échouer dans le vallon des Gaumates (emplacement de l’actuelle église Sainte-Dévote). C’était le sixième jour avant les calendes de février, ce qui correspond approximativement à la date du 27 janvier.
Un oratoire marqua l’emplacement de la tombe. Les fidèles, habitants de Monaco ou navigateurs de passage, vinrent s’y recueillir nombreux et les premiers miracles s’accomplirent. Cependant, une nuit, un homme déroba les reliques de la sainte dans l’intention d’en négocier les bienfaits. Le sacrilège tourna court car un groupe de pêcheurs poursuivit le malfaiteur et le rattrapa en quelques coups de rame. La barque du voleur fut ensuite brûlée sur la plage en sacrifice expiatoire.
On raconte aussi qu’au XVIe siècle, au cours d’une guerre contre les Génois et les Pisans, la sainte protégea Monaco : les ennemis assiégeaient la forteresse. Pendant plus de six mois, leurs attaques furent repoussées par les Monégasques à qui Sainte Dévote était apparue, les assurant de la protection divine et de la victoire. Le 15 mars 1507, les Génois abandonnèrent le siège.
Le culte de Sainte Dévote demeure toujours fervent en Principauté de Monaco. Son culte, lié à Monaco et à ses Princes, se retrouve officiellement dans chaque église de la Principauté et sur des monnaies. C'est l'âme protectrice de l'identité monégasque, dont les reliques ont été implorées dans les joies et les peines. A noter que le premier livre écrit en monégasque par le poète monégasque Louis Notari s'appelle “A legenda de Santa Devota” (La légende de Sainte Dévote).
Pour un approfondissement
:
>>> Biographie
de Sainte Dévote
SOURCE : https://levangileauquotidien.org/FR/display-saint/ff93e2e8-4f4a-4843-9728-32c580f74c9a
Relique
de Saint-Dévote, située dans la nef de la chapelle des Pénitents Noirs à
Monaco.
Reliquary
of Sainte-Dévote in the nave of the chapelle des Pénitents Noirs in Monaco.
SAINTE DEVOTE
Selon sa légende, la jeune Divota serait née au hameau de Quercio, sur la commune de Lucciana (Corse)le 27 janvier 284, même si de rares voix discordantes font état d’une naissance à Nice, menant une enfance très pieuse elle connu hélas le martyr sous le règne de l’Empereur romain Dioclétien.
Ce dernier étant devenu César en 285 semblait avoir voué son règne à la lutte contre le christianisme, cette "religio illicita", et pour tout dire celui qui était surpris en train de s’adonner à la foi était puni d’une mort aussi sure que douloureuse. Il faut dire en effet que Dioclétien était descendant de Jupiter et de la parenté d’Hercule, ce en quoi réside sans doute le pourquoi du comment.
Toujours est-il que la Corse, une terre soumise à Rome et qui était le plus proche et le plus sûr refuge pour les futurs martyrs de ce règne policier et sanguinaire n’allait pas être un havre de paix. Cela fut la règle de toutes les îles "italiques" puisque par exemple Sainte Lucie reçu le martyr en Sicile à la même époque que Divota.
De fait l’Empereur romain chargea un dénommé Barbarus de gouverner l’ile sous le plus strict respect des lois, ce que ledit gouverneur, fidèle à son nom, s’empressa de faire d’autant qu’il appris que Divota, la jeune dévote qui avait pour coutûme de s’adonner à la prière dans la grotte de Nepiticcia, avait trouvé refuge chez un noble de nos contrées dénommé Eutice qui habitait à Mariana (commune actuelle de Lucciana) alors colonie romaine.
Devant les résistances dudit noble à lui livrer la jeune fille, il ne fit pas dans la demi mesure et fit empoisonner le récalcitrant avant de s’attacher à faire renier ses croyances à la future martyre. Bon joueur Barbarus demanda en premier lieu à la jeune fille de sacrifier aux dieux mais fort mécontent de son refus, décida de la faire passer au supplice pour ce refus d’apostasier. << Laisse ton Dieu crucifié, lui dit Barbarus, et adore le génie de l’empereur.>>
<< A Dieu ne plaise, j’appartiens à Jésus >>
On raconte ainsi que Divota fut trainée les pieds et poings liés jusqu’au lieu où loin d’en venir à renier sa foi elle succombera sous les coups et tortures, ce lieu ne serait autre que celui qu’occupe l’église Santa Maria Assunta de Lucciana, soit la Canonica. Cathédrale Santa Maria Assuntà de Lucciana, dite la Canonica.
Ici, la légende diverge puisque s’il est admis qu’une colombe serait sortie de la bouche de la suppliciée à l’instant même de son dernier soupir, selon certains elle parla et déclara que Divota serait désormais sainte patronne de la Corse, selon d’autres elle se posa simplement sur la dépouille mortelle que deux hommes, des croyants, eurent pour mission de déposer dans une barque a destination d’ailleurs. Cette mission qu’ils reçurent d’un ange, ils l’honorèrent puisqu’ils trouvèrent tant la barque que le pécheur qui allait la conduire vers une calme sépulture.
C’est là que, chez les seconds, la colombe recouvre toute son importance, car
Gratien, le pécheur, avait du mal à démarrer pour la bonne et simple raison
qu’il ne savait pas ou conduire sa barque entendit la voix de Divota qui lui
conseilla de suivre le vol de la colombe et que celle-çi lui indiquerait le
lieu où il faudrait s’arrêter ; ainsi fut fait jusqu’au côtes monégasques, là
où s’élevait une petite chapelle dédiée à Saint Georges.
Le culte de Sainte Dévote Sainte Dévote est à juste titre honorée par les monégasques, elle est ainsi Sainte Patronne tant de la principauté que de la famille princière, à ce titre plusieurs journées de célébration sont prévues chaque année dans différents lieux de Monte-Carlo, les 26 et 27 janvier (ont met, entre autres actes commémoratifs, le feu à une barque de pêche comme il le fut peut-être fait en 304).
En Corse le culte de la Sainte n’eut pas le même succès que dans ce qui sera la future principauté de Monaco, mais comment pouvait-il en aller autrement si l’on tient compte de la taille respective de ces deux endroits et surtout de l’époque. Quoiqu’il en soit ce seront bien les monégasques qui participeront à la reconnaissance de la sainteté de la martyre en Corse, notamment en organisant le trajet de deux reliques vers la Corse aux XVIIe et XVIIe siècle.
Les corses se ré-approprièrent alors quasi-immédiatement Sainte Dévote à qui, on raconte, ils confièrent le haut patronage de la Corse en 1731 au début de la Révolution de Corse, les nationaux partant à l’assaut des troupes génoises sous les cris de "Santa Divota", ou encore par le fait de la création par le Général en chef de la nation corse, d’un ordre de chevalerie dont les membres portaient comme signe distinctif un médaillon à l’effigie de la Sainte.
Ce Saint patronage sera finalement consacré par un décret de la Congrégation des Rites en date du 14 mars 1820 qui fera de sainte Dévote l’égal de Sainte Julie (Santa Giulia) en Corse.
C’est évidemment à Lucciana que la ferveur est actuellement la plus présente dans l’île, la commune entretenant à ce titre d’excellentes relations avec son homologue princière (elle sont ainsi jumelées depuis 2008).
A noter au titre de ces bonnes relations que le Prince régnant de Monaco, Rainier III, qui était venu avec son fils Albert le 9 juin 2003 se recueillir en la Cathédrale de la Canonica à Lucciana sur les lieux mêmes du martyr y a fait don d’une statue à l’effigie de la Sainte, ou encore que par acte solennel du 26 septembre 2009 la petit commune Corse de Lucciana devint la première localité de France a être jumelée avec la principauté de Monaco lors d’une nouvelle visite d’Albert, devenu prince régnant suite au décès de son père.
Lors de cette visite le Prince Albert II posa la première pierre du Centre de
conservation et d’études de la Mariana
SOURCE : http://apotres.amour.free.fr/page4/devote.htm
Ludovico
Brea (1450–1523), Sainte
Dévote, 1517, 153 x 130, Église Sant'Antonio Abate de Dolceacqua
SAINTE DEVOTE
Sainte Dévote qui est la
patronne de la Principauté et de la Famille Souveraine est fêtée solennellement
le 27 janvier.
Dévote jeune fille
chrétienne fut martyrisée sous le règne de l’empereur Dioclétien en 304, par le
consul Barbarus qui gouvernait alors la Corse. Son corps placé sur une barque
sera guidé par une colombe qui viendra, poussée par la tempête, s’échouer sur
la plage du vallon des Gaumates au fond du port de Monaco. Son corps fut
enseveli dans la petite chapelle qui bordait le torrent. On dit que les moines
installés dans ce lieu, faute de connaître le nom de cette jeune martyrisée
l’appelèrent Dei Vota. La légende rapporte qu’en raison des nombreux miracles
attribués à la Sainte, les reliques précieuses furent volées par des marins qui
pensaient s’enfuir à la voile. Mais un vent contraire se leva et les empêcha de
sortir du port. Les Monégasques voyant cela, capturèrent les marins et
récupérèrent les reliques. Pour empêcher que se renouvelle le forfait, leur
barque fut brûlée sur la plage.
Depuis, cette Sainte est
vénérée à Monaco et son nom est invoqué dans les prières pour demander sa
protection ou sa bénédiction.
La veille de la Sainte
Dévote, le matin, une messe est dite et chantée en langue monégasque dans
l’église votive en présence des autorités civiles et militaires et des
représentants du Comité des Traditions attachés à la perpétuation de ce culte. Cette
messe se termine sur le parvis de l’église par une bénédiction de la mer et une
invocation à la Sainte pour le repos des âmes des marins péris en mer.
Le soir après la
procession des reliques et le salut du Très Saint Sacrement, en présence du
Prince Souverain et des membres de sa Famille, a lieu l’embrasement de la
barque qui est suivi d’un grand feu d’artifice.
Le jour de la Sainte
Dévote, le 27 janvier, une messe solennelle est dite à la Cathédrale en
présence du Prince Souverain et de sa Famille, des hautes autorités
monégasques, des corps élus et de l’ensemble du clergé du Diocèse.
Cette messe pontificale
se termine par la bénédiction papale et l’ostension des reliques à la foule.
Puis ces reliques, portées par les Pénitents de l’Archiconfrérie de la
Miséricorde et encadrées par une garde d’honneur des Carabiniers du Prince,
sont portées en procession à travers les ruelles du Rocher et présentées devant
le Palais pour la bénédiction de la Famille Souveraine. La procession se dirige
enfin vers les remparts pour une bénédiction de la Ville et de la Mer. Les
solennités de la Sainte Dévote se terminent le soir par la messe des vêpres.
SOURCE : https://www.traditions-monaco.com/fetes-et-traditions/sainte-devote
Also
known as
Dévote
Profile
Member of the household
of the imperial Roman senator Eutychiu, Devota wanted to devote herself to a
life of God, but was imprisoned, tortured and martyred in
the persecutions of Diocletian by
order of the prefect Barbarus. Tradition says that flowers bloom out of season
on her feast day.
Born
tortured to
death on the rack c.303
prefect Barbarus ordered
her body burned to prevent veneration, but it was stolen by Christians and
put on a boat to Africa to
receive Christian burial there;
when a storm threatened
the boat,
a dove flew
from Devote’s mouth, the storm abated and the bird guided
the boat to
Les Gaumetes (in modern Monaca)
she was buried near
a shrine of Saint George
a chapel was soon
built at her grave,
which survives today
relics at
Riviera de Porenta, Monaco
Additional
Information
Book of
Saints, by the Monks of
Ramsgate
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
Oxford Dictionary of Saints, by David Hugh Farmer
Saints
and Their Attributes, by Helen Roeder
other
sites in english
1001 Patron Saints and Their Feast Days, Australian
Catholic Truth Society
images
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
Martirologio Romano, 2005 edition
spletne
strani v slovenšcini
MLA
Citation
“Saint Devota“. CatholicSaints.Info.
25 December 2023. Web. 27 January 2024.
<https://catholicsaints.info/saint-devota/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-devota/
Église
de Saint-Dévote, Monaco
Article
DEVOTA (Saint) Virgin
Martyr (January 27) (4th century) A Christian maiden in Corsica who expired on
the rack during the persecution under the Emperor Diocletian (A.D. 303). Her
remains were brought by a priest who knew her to Monaco on the Riviera, of which
town she is venerated as the Patron Saint.
MLA
Citation
Monks of Ramsgate.
“Devota”. Book of Saints, 1921. CatholicSaints.Info. 28 October 2012.
Web. 27 January 2024. <http://catholicsaints.info/book-of-saints-devota/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/book-of-saints-devota/
Fête
de Sainte Dévote, timbre de Monaco 1f + 1f, 1944. Dessin et gravure de Georges
Léo Degorce.
(https://www.stampcommunity.org/topic.asp?TOPIC_ID=61407&whichpage=6)
Saints
of the Day – Devota of Corsica, Martyr
Article
Died c.303; feast day
formerly January
17. Saint Devota was a young Corsican martyred at Macinaggio by being
racked to death during Diocletian’s persecutions. Her remains are interred at
the Riviera di Ponenta in Monaco. Some identify her with the martyr Julia,
described as “Deo devota,” whose description was mistakenly made into a proper
name (Delaney, Farmer). In art,
Saint Devota is a dead maiden in a boat on the sea with a dove flying ahead of
it (Roeder). She is the patron of Monaco and Corsica (Roeder).
MLA
Citation
Katherine I
Rabenstein. Saints of the Day, 1998. CatholicSaints.Info.
9 October 2021. Web. 27 January 2024.
<https://catholicsaints.info/saints-of-the-day-devota-of-corsica-martyr/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saints-of-the-day-devota-of-corsica-martyr/
Galletti,
Storia illustrata di a Corsica - Histoire illustrée de la Corse, 1863
Santa Devota Martire
in Corsica
Lucciana (Haute-Corse),
283 - Mariana (Corsica), 304
Nacque nel 283, in un
luogo detto Quercio in Corsica. Giovane vergine, aveva deciso di votare la
propria vita al completo servizio di Dio. Vittima della delazione, verso
l'inizio del 304 d.C. fu arrestata, imprigionata e torturata. Dopo la sua
morte, il governatore della provincia ordinò di bruciare il suo corpo, ma
alcuni cristiani lo salvarono dalle fiamme e lo deposero su una barca, condotta
dal pilota Graziano e dal prete Benenato, in partenza per l'Africa dove,
pensarono, qualcuno le avrebbe donato una sepoltura cristiana. Ma nelle prime
ore della traversata si levò una tempesta. Dalla bocca del cadavere inanimato
di Devota uscì una colomba, che guidò la barca alla piccola valle di Les
Gaumates, oggi parte del Principato di Monaco, dove secondo la leggenda sorgeva
già una cappella dedicata a San Giorgio. Qui s'incaglio secondo la tradizione
il 27 gennaio su un cespuglio di fiori assai precoce per la fredda stagione. Il
corpo mutilato della giovane martire venne dunque scoperto dai pescatori ed in
suo onore fu eretta una cappella dove ancora oggi sorge la chiesa parrocchiale
a lei dedicata, vicino al porto monegasco.
Patronato: Corsica,
Mariana (Corsica), Principato di Monaco e Famiglia Grimaldi
Emblema: Palma,
Corona di rose, Colomba, Barca, Stemma del Principato di Monaco
Martirologio
Romano: A Biguglia in Corsica, commemorazione di santa Devota, vergine e
martire.
All’inizio del III secolo alcuni cristiani, cacciati da Roma da Settimio Severo e da Caracalla, giunsero in Corsica dove, nel I secolo a.C., i Romani avevano fondato la città di Mariana, all’imbocco di Golo, nei pressi dello stagno di Biguglia.
Effettivamente, nel 93 a.C., Marius aveva stabilito, dandovi il suo nome, una colonia di veterani delle sue campagne contro i pirati. Fu Augusto, creandovi un porto, a far divenire Mariana un punto di accesso importante per l’espansione romana nella parte settentrionale dell’isola.
Adiacenti alla cattedrale romana, chiamata la “Canonica”, sono venuti alla luce i resti di una basilica paleocristiana del IV secolo ed un battistero della medesima epoca, testimonianti i primi tempi del cristianesimo in Corsica e confermanti l’importanza rilevante conferita alla celebrazione battesimale nella Chiesa primitiva.
La vita terrena di Devota si svolse in Corsica, a quei tempi provincia dell’Impero Romano, all’epoca della grande persecuzione dei cristiani ordinata da Diocleziano. Vide la luce nel 283, in un luogo detto Quercio, sui primi pendii che collegano il porto romano di Mariana al borgo posto un po’ più in alto, nel territorio dell’attuale comune di Lucciana, dipartimento dell’Haute-Corse.
La giovane vergine aveva deciso di votare la propria vita al completo servizio di Dio. Vittima della delazione, verso l’inizio del 304 d.C. fu arrestata, imprigionata e torturata. Il cranio fu lapidato. Dopo la sua morte, il governatore della provincia ordinò di bruciare il suo corpo, ma alcuni cristiani lo salvarono dalle fiamme e lo deposero su una barca, condotta dal pilota Graziano e dal prete Benenato, in partenza per l’Africa dove, pensarono, qualcuno le avrebbe donato una sepoltura cristiana. Ma nelle prime ore della traversata si levò una tempesta. Dalla bocca del cadavere inanimato di Devota fuoriuscì miracolosamente una colomba, che guidò la barca alla piccola valle di Les Gaumates, oggi parte del Principato di Monaco, dove secondo la leggenda sorgeva già una cappella dedicata a San Giorgio, anch’egli martire delle persecuzioni ordinate da Diocleziano. Qui s’incaglio secondo la tradizione sei giorni prima delle calende di febbraio, cioè all’incirca il 27 gennaio, su un cespuglio di fiori assai precoce per la fredda stagione. Il corpo mutilato della giovane martire venne dunque scoperto dai pescatori ed in suo onore fu eretta una cappella dove ancora oggi sorge la chiesa parrocchiale a lei dedicata, vicino al porto monegasco. I fedeli, abitanti di Monaco o navigatori di passaggio, iniziarono a raccogliersi numerosi sulla sua tomba ed iniziarono così a verificarsi i primi miracoli.
In occasione delle invasioni dei Saraceni, i resti della martire furono portati in salvo nel monastero di Cimiez. Scampato il pericolo di profanazione, furono ricollocate nella sua chiesa, fatta restaurare per l’occasione dal principe monegasco Antonio I.
Tuttavia nel 1070, una notte, un capitano navale di nome Antinope rubò la cassa contenente le reliquie della santa con l’intenzione di negoziare il pagamento di un riscatto. Il sacrilegio fortunatamente ebbe breve durata, poiché secondo la leggenda un violento vento improvviso impedì al malfattore di mettere le vele ed un gruppo di pescatori riuscì ad inseguirlo e ad acciuffarlo. Arrestato, fu condotto al palazzo, dove Ugo Grimaldi lo condannò all’amputazione delle orecchie e del naso. La sua barca fu in seguito bruciata sulla spiaggia in sacrificio espiatorio.
Si racconta inoltre di come nel XVI secolo, nel corso di una guerra contro i genovesi ed i pisani, la santa abbia protetto Monaco qualora i nemici assediarono la fortezza del principato. Per un periodo di oltre sei mesi i loro attacchi furono ripetutamente repressi dai monegaschi, ai quali era apparsa Santa Devota rassicurandoli circa la protezione divina e la vittoria. Il 15 marzo 1507, infatti, i genovesi si ritirarono. Fu così scelta come patrona del principato e della famiglia regnante Grimaldi.
A partire dalla sera del 26 gennaio 1924, sotto il regno del principe Luigi II, fu introdotta l’usanza annuale di incendiare una piccola imbarcazione al termine di una breve funzione religiosa, in ricordo del furto delle reliquie sventato nel lontano 1070.
Le reliquie della martire sono oggi custodite nella chiesa parrocchiale suddetta. Una loro piccola parte, però, è invece conservata nella nuova cattedrale, in cima alla rocca. In tutte le chiese site nel territorio del principato è comunque quantomeno raffigurata con alcuni dei suoi attributi tipici: la palma del martirio, la corona di rose simbolo della verginità, la colomba simbolo di pace, la barca che la portò dalla Corsica alla Costa Azzurra e lo stemma del Principato di Monaco, che con la famiglia regnate Grimaldi la venera quale celeste patrona.
Come abbiamo visto, il martirio di Devota costituì un fattore identitario anzitutto per i cristiani monegaschi. Per assistere al debutto del suo culto nella sua isola natale, occorrerà invece attendere il XVII secolo, quando vi furono traslate alcune reliquie, provenienti dal principato di Monaco, nel 1637, esposte nella chiesa gesuita di Sant’Ignazio, e nel 1728.
Tra il 1727 ed il 1751, per ben tre volte si tentò di ottenere da Roma il riconoscimento ufficiale del titolo di “Patrona del Regno di Corsica” per Santa Devota. Ma nel 1731 la giovane martire fu già scelta quale protettrice dell’isola.
Nel 1820, il primo vescovo della Chiesa di Corsica, raggruppante le sei antiche diocesi dell’isola, proclamò le sante martiri Devota e Giulia “patrone principali della Corsica”. A ciò fece seguito un decreto della Congregazione dei Riti datato al 14 marzo.
Nel 1893, per la prima volta fu dedicata a Santa Devota una chiesa, ridenominando quella preesistente a Pietranera, che fino al 1936 restò l’unico luogo di culto a lei intitolato sull’isola.I testi ufficiali della Messa in suo onore furono approvati il 18 marzo 1984 dal vescovo di Ajaccio e, l’11 agosto seguente, dalla Congregazione per il Culto Divino.
Il nuovo Martyrologium Romanum la commemora così il 27 gennaio, tradizionale
data del ritrovamento delle reliquie: “A Mariana, nell’isola di Corsica,
ricordo di Santa Devota, vergine e martire”. La solennità esterna per la
Corsica è invece fissata alla prima domenica seguente la data del martirologio.
Autore: Fabio
Arduino
Patrona della Corsica e del Principato di Monaco, Santa Devota viene festeggiata dai monegaschi ogni anno, il 27 gennaio. Nasce in una famiglia cristiana nel 283 a Quercio, in Corsica, provincia dell’Impero romano. Fin da bambina, buona e caritatevole, promette di dedicarsi a Dio. Purtroppo in quegli anni i cristiani vengono perseguitati dall’imperatore Diocleziano e così la povera Devota, nel 304, viene arrestata e poi uccisa. Il governatore romano dell’isola ordina che il suo corpo venga bruciato, ma alcuni cristiani riescono a trasportare la santa su una nave diretta in Africa, dove sperano che possa ricevere una degna sepoltura.
Ecco il primo leggendario miracolo di Devota. Mentre è sulla nave, una violenta tempesta impedisce all’imbarcazione di procedere, mettendo in serio pericolo nave e marinai. Improvvisamente dalla bocca della ragazza esce una colomba che indirizza la nave verso la Valle di Les Gaumates, nei pressi della Costa Azzurra, dove oggi sorge il Principato di Monaco. La nave approda sulla riva monegasca il 27 gennaio. I pescatori del luogo, cristiani, accolgono le reliquie della santa con gioia e fanno costruire una cappella attorno alla sua tomba. Qui pellegrini e pescatori si fermano a pregare e avvengono tanti miracoli.
Ma l’avventurosa storia di questa giovane santa non finisce qui. Nel 1070 un ladro profana la tomba di Santa Devota. Si tratta del capitano di una nave di passaggio che vuole impadronirsi delle reliquie per ricavarne del denaro, chiedendo un riscatto. Poiché ancora una volta è Dio che comanda anche il vento, quando il manigoldo scappa con il prezioso bottino sulla sua nave, il vento impetuoso si ferma e non soffia più, impedendo all’imbarcazione di salpare. Il ladro viene acciuffato da alcuni pescatori e consegnato al conte Ugo Grimaldi, governatore dei monegaschi, e la sua nave bruciata. Per ricordare l’evento, ogni anno a Monaco, durante la festa del 27 gennaio dedicata a Santa Devota, sulla spiaggia monegasca viene data alle fiamme una barchetta. Oggi le reliquie di Santa Devota riposano in parte nell’antica cappella costruita dai pescatori, in parte nella Cattedrale del Principato di Monaco e in parte in Corsica.
Autore: Mariella Lentini
SOURCE : https://www.santiebeati.it/dettaglio/92244
Voir aussi : https://www.provence7.com/portails/religion/celebrites-religieuses-en-provence/sainte-devote/