Giovanni di Paolo (1403–1482). Le
bienheureux Ambrogio Sansedoni (1220–1286), vers 1460, 48.9 X 12.4, Metropolitan Museum of Art
Bienheureux Ambroise Sansedoni
Dominicain, théologien et prédicateur (✝ 1286)
Originaire de Sienne en Italie, il rejoignit l'Ordre
dominicain en 1237. Après avoir suivi à Paris puis à Cologne, les cours de
saint Albert
le Grand, avec, pour condisciple, saint Thomas
d'Aquin dans le même couvent de Saint Jacques de Paris, il parcourut
l'Allemagne et l'Italie en prêchant la doctrine chrétienne. Epuisé par la
véhémence de sa prédication et le rythme de vie qu'il s'imposait, il meurt à
Sienne en Toscane. Son culte fut confirmé en 1622.
À Sienne en Toscane, l’an 1287, le bienheureux Ambroise Sansedoni, prêtre de
l’Ordre des Prêcheurs, disciple de saint Albert le Grand, savant en doctrine et
en prédication, et néanmoins simple envers tous.
Martyrologe romain
Ambroise Sansedoni de Sienne
Dominicain,
Bienheureux
1220-1286
Ambroise Sansedoni, naquit dans
le majestueux palais de sa noble famille, en 1220, dans la ville de Sienne, en
Italie. Selon la tradition il semblerait qu’il soit né difforme, avec quelques
imperfections dans les jambes et dans les bras, raison pour laquelle il aurait
été confié à une nourrice qui le gardait hors du palais, car la famille en
aurait honte. Mais cette dame, une chrétienne fervente, l’éleva avec beaucoup
d’affe-ction et de tendresse. Tous les jours, elle portait l’en-fant à
l’église, bien couvert et à l’abri des regards et là, elle priait avec ferveur
pour obtenir la guérison de l’enfant.
Un jour, un pèlerin dit à cette
nourrice : “Femme, ne cache pas le visage de cet enfant, car un jour il
sera la lumière et la gloire de cette ville”. Peu de temps après Ambroise
fut miraculeusement guéri. Il avait alors environ trois ans, quand il retourna
au palais, au sein de sa famille. Plus tard, âgé de dix-sept ans, il abandonna
tout et entra chez les Pères Prêcheurs, les Dominicains.
Il fit son noviciat et ses
premières études à Sienne, puis, en 1245 il les poursuivit à Paris, puis en
Allemagne, dans le diocèse de Cologne. Il eut comme professeur Albert le Grand
et comme compagnons d’étude Pierre de Tarentaise — plus tard élu pape
sous le nom d’Innocent V — et Thomas d’Aquin deve-nu par la suite
Docteur de l’Église.
Par la suite, Ambroise fut envoyé
à Paris pour y en-seigner. Il devint alors très connu, principalement par
l’efficacité de ses sermons tant à l’église que sur les places publiques.
Certains peintres le représentent portant le Saint-Esprit, en forme de colombe,
posée sur son épaule et lui parlant à l’oreille.
Ses dons exceptionnels de
convaincre et de réconcilier, marquèrent l’histoire de l’Église et de
l’humanité. Il fut envoyé en Allemagne comme médiateur de paix au milieu de
plusieurs familles en conflit. Il revint à Sienne et obtînt du Pape Grégoire X
la suppression d’un interdit dont la ville avait été frappée. Après cela, ce
même Pontife lui confia encore d’autres missions de paix en Italie, en Hongrie,
en France et de nouveau en Allemagne.
Accusé d’être un imposteur et un
ambitieux par un puissant seigneur, Ambroise lui répondit : “Dieu
s’appelle Roi de la Paix, c’est pourquoi chacun doit souhaiter la paix avec le
prochain. Dieu ne l’accorde qu’à ceux qui de bon cœur l’accorde aux autres. Ce
que je fais, je ne le fais pas pour moi-même, mais par la volonté de Celui qui
a pouvoir sur moi. Toutefois, si c’est à cause de moi, si c’est parce que je
vous perturbe, je vous en demande pardon…”
En 1270, il fut appelé à Rome par
le Pape, afin d’y aider à la restauration des études ecclésiastiques. Il mourut
victime de son zèle, le 20 mars 1286, à Sienne, pendant qu’il prêchait. Il y
parla avec une telle intensité contre les usuraires que plusieurs veines de sa
poitrine se rompirent, lui causant une mort instantanée.
Le Pape Clément VIII, en 1597, le
fit inclure dans le Calendrier de l’Église en tant que bienheureux. Il sera dès
lors vénéré le jour même de sa mort.
Saint Ambroise de Sienne (1220-1286)
Ambroise naquit dans une noble et ancienne famille. Hélas, ce fut un enfant mal
formé : ses bras semblaient soudés à sont tronc et ses jambe était tordues et
recroquevillées. En plus il avait un visage très laid. Cependant, un jour
qu'Ambroise était promené par sa nourrice, un pèlerin remarqua quelque chose,
une certaine lueur dans sont regard. Le saint homme examina tranquillement
Ambroise. La nourrice, surprise, voulut recouvrir le visage de l'enfant pensant
que le pèlerin était ahuri par sa laideur. Il l'en dissuada annonçant
qu'Ambroise serait un jour un personnage illustre et que la ville se Sienne le
vénérerait. La nourrice, incrédule, hausa les épaules. Plus tard, le bébé est
amené dans l'une des chapelles de l'église Santa Magdalena. Et, se dressant
soudain, il se défait de ses vêtements qu'il tend vers le ciel en clamant haut
et fort le saint nom du Christ. Soudain, ses bras se décollent de ses côtes,
ses jambes s'allongent et sont visage devient d'une grande beauté et
l'assistance médusée s'agenouille. Après ce miracle, Ambroise se consacra au
service du Seigneur. Il deviendra Frère Prêcheur à dix-sept ans, montrant une
rare précocité. Franchissant les étapes il devient en peu de temps un expert en
théologie, étonnant les plus érudits parmi les docteurs. Il fut le condisciple,
à l'université, de saint Thomas d'Aquin et l'élève de saint Albert le Grand.
Chaste et vierge, il mourut à Sienne à quarante ans, après avoir prêché sans
arrêt et accompli de nombreux miracles. On le représente tenant une fleur de
lys, symbole de sa virginité.
Blessed Ambrose
Sansedoni, OP (RM)
(also known as Ambrose of Siena or Ambrose Sassedoni)
Born in Siena, Italy, in 1220; died 1287; cultus confirmed in 1622. Although
his birth was attended by the prodigies also associated with Blessed James of
Bevagna (of Mevania)--that of three brilliant stars bearing the image of a
friar preacher--Ambrose Sansedoni got off to a very bad start by the world's
account. He was so badly deformed and so ugly that his own mother could hardly
bear to look at him.
He was given into the care
of a nurse, who daily took him with her to the Dominican church where she attended
Mass. Here it was remarked that the baby, who fretted most of the time, was
quiet and content when the nurse would hold him near the altar of relics, and
that he cried violently when taken away.
One day, as the nurse was
kneeling there with the baby's face covered with a scarf, a pilgrim approached
and said to her, "Do not cover that child's face. He will one day be the
glory of this city." A few days later, at this same altar, a miracle
occurred. The unfortunate child suddenly reached out his twisted limbs and
quite distinctly pronounced the sacred name of Jesus. At once, all deformity
left him, and he became a normal child.
So early marked with the
favor of God, it was only natural that Ambrose would be pious. As a child of
seven he would rise at night to pray and meditate, and he daily recited the
Little Office of the Blessed Virgin. While still a child, he was charitable to
a heroic degree, and busied himself with the poor, the abandoned, and the sick.
When he was only two or three years old, his father, who was an illuminator of
books, made two little books for him. One was on secular subjects, the other on
the saints. Ambrose made no hesitation about choosing the latter as his
favorite, and throughout his life he was to exhibit this same choice of the
things of God.
Being a handsome and
talented young man, Ambrose was beset with difficulties when he expressed his
intention of becoming a member of the preaching friars. Parents and friends
tried to change his mind, and the devil appeared in several different forms to
counsel him against such a step. Ambrose courageously overcame all the
obstacles in his path and joined the friars on his 17th birthday.
After his profession in
1237, Ambrose was sent to Paris to study under Saint Albert the Great. With his
fellow pupil, Saint Thomas Aquinas, he returned to Cologne with Saint Albert,
and thus was associated for some years with the two finest minds of the
century. It is said that the humility of Ambrose, and his recognition of the
true greatness of Saint Thomas's writings, led him to devote his time to
preaching rather than writing. He was sent on many peace-making missions during
his 30 years of preaching, and was highly regarded by both popes and
Dominicans.
Despite a very active
apostolate of preaching in Germany, France, and Italy, Ambrose lived a life of
almost uninterrupted prayer. He was often in ecstasy, and, shortly before his
death, he was favored with several visions of great beauty. It is said that his
death was hastened by the vehemence of his preaching. Sometimes when he
preached he levitated and a circle of glory, in which birds of brilliant
plumage flitted, surrounded him. Many miracles were reported at his tomb, and
he has been popularly called "Saint Ambrose of Siena" since the time
of his death (Benedictines, Dorcy).
In art, Blessed Ambrose is
a Dominican with a dove at his ear (Roeder). He may also be represented as (1)
holding in his hand a model of his native Siena (Benedictines), (2) holding a
book, or (3) preaching (Roeder).
Ambrose is the patron of
betrothed couples and especially venerated in Siena (Roeder).
Bl. Ambrose of
Sienna
Born at Sienna, 16 April, 1220, of the noble family of Sansedoni; d. at Sienna, in 1286. When about one year old, Ambrose was cured of a congenital
deformity, in the Dominican church of St. Mary Magdalene.
As a child and youth he was noted for his love of charity, exercised
especially towards pilgrims, the sick in hospitals, and prisoners. He entered the novitiate of the Dominican convent in his native city at the age of seventeen, was sent to Paris to continue his philosophical and theological studies under Albert the Great, and had for a fellow-student there St. Thomas Aquinas. In 1248 he was sent with St. Thomas to Cologne where he
taught in the Dominican schools. In 1260 he was one of the band of missionaries
who evangelized Hungary. In 1266 Sienna was put
under an interdict for having espoused the cause of the Emperor Frederick II, then at enmity with the Holy See. The Siennese petitioned
Ambrose to plead their cause
before the Sovereign Pontiff,
and so successfully did he do this that he obtained for his native city full
pardon and a renewal of all her privileges.
The Siennese soon cast off their allegiance; a second time Ambrose
obtained pardon for them. He brought about a reconciliation between Emperor
Conrad of Germany and Pope Clement IV. About his time he was chosen bishop of his native city, but he declined the office. For a time, he devoted
himself to preaching the Crusade; and later, at the request of Pope Gregory X, caused
the studies which the late wars had practically suspended
to be resumed in the Dominican convent at Rome. After the death of Pope Gregory X he retired to one of the convents of his order, whence he was summoned by Innocent V and sent as papal legate to Tuscany. He restored peace between Venice and Genoa and also between Florence
and Pisa. His name was inserted in the Roman
Martyrology in 1577. His
biographers exhibit his life as one of perfect
humility. He loved poetry, and many legends
are told of victories over carnal temptations. He was renowned as an apostolic preacher.
His oratory, simple rather than
elegant, was most convincing and effective. His sermons,
although once collected, are not now extant.
Sources
Acta SS., March, III, 180-251; CROISSANT, Synopsis
vit et miraculorum B. Ambrosii Senensis (Brussels, 1623); QUÉTIF ET ECHARD,
SS. Ord. Proed. (Paris, 1719); RAYNALDUS, Annales (1648), ad
ann. 1286; TOURON, Histoire des hommes illustres de l'ordre de S.
Dominique (Paris, 1743).
Fitzgerald, Edward. "Bl.
Ambrose of Sienna." The Catholic Encyclopedia.
Vol. 1. New York: Robert
Appleton Company, 1907. 20 Mar. 2015
<http://www.newadvent.org/cathen/01388b.htm>.
Transcription. This article was
transcribed for New Advent by Vivek Gilbert John Fernandez. Dedicated to Nat (GAP student) at St Ignatius' College Riverview,
Sydney Australia.
Ecclesiastical approbation. Nihil
Obstat. March 1, 1907. Remy Lafort, S.T.D., Censor. Imprimatur. +John Cardinal Farley, Archbishop of New
York.
Copyright © 2020
by Kevin Knight. Dedicated to the
Immaculate Heart of Mary.
The son of a book
illuminator, he was born so badly
deformed
that his
mother
gave him off to the care of a
nurse.
The
nurse
claimed that the only time the
child
was peaceful was in the local
Dominican
church, especially when near the
altar
of
relics.
Legend says that one day in church, the
nurse
covered the
baby‘s
face with a scarf; an unknown
pilgrim
told her, “Do not cover that
child‘s
face. He will one day be the glory of this city.” A few days later the
child
suddenly stretch out his twisted limbs, pronounced the name “Jesus”, and all
deformity
left him.
A pious
child,
getting up during the nights to
pray
and meditate. At age two he was given the choice of two of his
father‘s
books
– and chose the one about
saints.
From age seven he daily recited the
Little Office of the Blessed Virgin.
He was always
charitable,
and even when young he worked with the
poor,
the
abandoned,
and the
sick.
When he announced he wanted
to join the
preaching
friars, his parents and friends tried to talk him out of it. But Ambrose had
heard the call, and he joined the
Dominicans
in
Siena,
Italy
in
1237
on his 17th birthday.
Born
Merciful
God,
may this
feast
of
Blessed
Ambrose bring joy to the
Church,
that she may be strengthened with spiritual help and be made worthy to enjoy
everlasting happiness. We ask this through our Lord Jesus Christ, your Son, who
lives and reigns with you and the
Holy
Spirit, one God, for ever and ever.
- General Calendar of the Order
of Preachers
Blessed Ambrose of Siena
Memorial Day: March 20th
Profile
Although his birth was
attended by the prodigies also associated with Blessed James of Bevagna (of
Mevania)--that of three brilliant stars bearing the image of a friar
preacher--Ambrose Sansedoni got off to a very bad start by the world's account.
He was so badly deformed and so ugly that his own mother could hardly bear to
look at him.
He was given into the care of a nurse, who daily took
him with her to the Dominican church where she attended Mass. Here it was
remarked that the baby, who fretted most of the time, was quiet and content
when the nurse would hold him near the altar of relics, and that he cried
violently when taken away.
One day, as the nurse was kneeling there with the
baby's face covered with a scarf, a pilgrim approached and said to her, "Do
not cover that child's face. He will one day be the glory of this city." A
few days later, at this same altar, a miracle occurred. The unfortunate child
suddenly reached out his twisted limbs and quite distinctly pronounced the
sacred name of Jesus. At once, all deformity left him, and he became a normal
child.
So early marked with the favor of God, it was only
natural that Ambrose would be pious. As a child of seven he would rise at night
to pray and meditate, and he daily recited the Little Office of the Blessed
Virgin. While still a child, he was charitable to a heroic degree, and busied
himself with the poor, the abandoned, and the sick. When he was only two or
three years old, his father, who was an illuminator of books, made two little
books for him. One was on secular subjects, the other on the saints. Ambrose
made no hesitation about choosing the latter as his favorite, and throughout
his life he was to exhibit this same choice of the things of God.
Being a handsome and talented young man, Ambrose was
beset with difficulties when he expressed his intention of becoming a member of
the preaching friars. Parents and friends tried to change his mind, and the
devil appeared in several different forms to counsel him against such a step.
Ambrose courageously overcame all the obstacles in his path and joined the
friars on his 17th birthday.
After his profession in 1237, Ambrose was sent to
Paris to study under Saint Albert the Great. With his fellow pupil, Saint
Thomas Aquinas, he returned to Cologne with Saint Albert, and thus was
associated for some years with the two finest minds of the century. It is said
that the humility of Ambrose, and his recognition of the true greatness of
Saint Thomas's writings, led him to devote his time to preaching rather than
writing. He was sent on many peace-making missions during his 30 years of
preaching, and was highly regarded by both popes and Dominicans.
Despite a very active apostolate of preaching in
Germany, France, and Italy, Ambrose lived a life of almost uninterrupted
prayer. He was often in ecstasy, and, shortly before his death, he was favored
with several visions of great beauty. It is said that his death was hastened by
the vehemence of his preaching. Sometimes when he preached he levitated and a
circle of glory, in which birds of brilliant plumage flitted, surrounded him.
Many miracles were reported at his tomb, and he has been popularly called
"Saint Ambrose of Siena" since the time of his death (Benedictines,
Dorcy).
Born: 1220 at Siena, Italy
Died: 1287 of natural causes
Beatified: 1622 (cultus confirmed)
Patronage: betrothed couples,
affianced couples, engaged couples, Siena Italy
Representation: Dominican with a dove at
his ear, holding a model of Siena, Italy, holding a book, preaching
Ant. Strengthen by holy intercession, O Ambrose, confessor of the Lord,
those here present, have we who are burdened with the weight of our offenses
may be relieved by the glory of thy blessedness, and may by thy guidance attain
eternal rewards.
V. Pray for us, Blessed Ambrose.
R. That we may be made worthy of the promises of Christ.
Ant. Well done, good and faithful servant, because Thou has been
faithful in a few things, I will set thee over many, sayeth the Lord.
V. The just man shall blossom like the lily.
R. And shall flourish forever before the Lord.
Ant. I will liken him unto a wise man, who built his house upon a rock..
V. Pray for us. Blessed Ambrose.
R. That we may be made worthy of the promises of Christ.
Let us pray: may the votive festival of
Blessed Ambrose, Thy Confessor, rejoice Thy Church, O God, that it may always
be equipped with spiritual resources and made worthy to be blessed with
everlasting joys. Through Christ our Lord. Amen.
Merciful God, may this feast of Blessed Ambrose bring joy to the Church,
that she may be strengthened with spiritual help and be made worthy to enjoy
everlasting happiness. We ask this through our Lord Jesus Christ, your Son, who
lives and reigns with you and the Holy Ghost, one God, for ever and ever. -
General Calendar of the Order of Preachers
SOURCE : http://www.willingshepherds.org/Dominican%20Saints%20II.html#Ambrose
Siena
Today,
20 Mar 2012, is the 725th anniversary of death of Blessed Ambrose Sansedoni,
(Ambrogio Sansedone) an Italian Dominican priest, priest and peace
maker. Just as there are child prodigies in music, art, maths and other
skills, there are children who display extraordinary sensitivity to the things
of God from an early age. Blessed Ambrose was one of these.
Blessed Ambrose was born
into the Sansedoni family in 1220, one of Siena’s leading aristocratic
dynasties during the Middle Ages. His father was a book illuminator. Hoping for
a strong and healthy boy, his parents were dismayed at the physical deformity
he was born with. From his earliest days, rejection was his lot, and a nurse
was assgned to take care of him. The love that was denied him at home, he found
in the presence of Jesus in the Blessed Sacrament and in nearness to the relics
of those who had loved Jesus with all their hearts. As you know little ones
have very open spirits, and this little one drank in the loving presence of
Jesus from babyhood. His nurse noted that being in church was the only place
that the little one was peaceful. Ambrose’s sensitivity to all things holy now
set for life, Jesus came and cured him so that he might fulfill the mission
that God had for him.
Now his parents took an
interest in him again, and found that hope could be renewed for all the plans
that they had for this son prior to his birth. Ambrose meanwhile was drawn
to prayer, to works of charity, to works of mercy and to the reading the Lives
of the Saints. When he entered the Dominican Order at the age of 17, all
of those parental dreams died again. The Order soon recognised his intellectual
gifts and sent him off to Paris and then to Cologne to study. If one of his
teacher’s hadn’t been St Albert the Great and his fellow students St Thomas
Aquinas and the future Blessed Pope Innocent V, perhaps he would have been more
widely known to Christians of our times. It wasn’t just a theological
school, it was a school for saints; and Ambrose thrived, although overshadowed
by these greater minds.
Study concluded, God’s
mission for Ambrose began to unfold. Firstly he was sent to teach in Dominican
schools – and the teacher always learns more than the students. This
apprenticeship over, in 1260 he went with a Dominican team to assist the
evangelisation of Hungary. Preaching gifts grew within him. Skills as an
effective peace maker were noticed in Ambrose, so he began to be sent on
missions of reconciliation ( eg between Pope Clement IV and King Conradin of
Germany) and intercession (eg twice obtaining pardon from the Holy Father for
the city-state of Sienna for its disloyalty and rebellion). Later on Ambrose
was appointed as papal legate to Tuscany, a diffcult and delicate position
requiring his peace making talents.
In between these special
tasks Ambrose preached with great effectiveness. The Roman Martyrology speaks
of his eloquence, sanctity and miracles. All of these missions were
underpined by Ambrose’s prayer life – a strong one accompanied by ecstascies,
visions and even levitation. Sadly no collections of his sermons remain
extant, although if we are fortunate perhaps the good Lord will arrange for
some to be discovered in a forgotten corner of a monastic library somewhere.
Preaching in the 13th century
was an effort of the whole body, without the benefit of microphones. Great
force was needed to project a human voice into a sizeable crowd. It is nort
surprising, then, that one source has his death occuring while he preached, and
another source has his death occuring as he prepared his homily on 20 March
1287 – around half-way through a Lenten series of sermons.
What Blessed Ambrose
Sansedoni achieved with God’s grace wasn’t as tangible as a written book or
treatise, only God knows how many lives were spared deaths in wartime due to
his efforts as peace maker,and how many had the opportunity to repent from
their evil ways and to produce masterpieces because of the times of peace which
he negotiated. We thank God today for all of the good that came from Ambrose’s
‘yes’ to each and every mission God arranged for him to do.
Blessed Ambrose Sansedoni,
please pray for us and for all those peace makers that God is raising up in our
troubled times.
NB The Dominicans celebrate Blessed Ambrose’s feast day in October, on
the anniversary of his beatification. It is not unusal for a feast day to be
tranferred from the date of death in the Lenten season to a date of some
significance to the Saint in Ordinary time (eg St Benedict, St Gregory the
Great, Blessed John Paul the Great) because feast days are rarely celebrated in
Lent.
Beato Ambrogio Sansedoni Domenicano
20 marzo
Siena, 16 aprile 1220 - ivi, 20 marzo 1286
Entrò nell'Ordine Domenicano a diciassette anni ed ebbe a Parigi, come
Maestro, San Albergo Magno e come condiscepolo San Tommaso d’Aquino, di cui
emulò l’angelica purità. Compiuti brillantemente gli studi, fu inviato a
Colonia ad insegnare Teologia, rifiutando il titolo di Maestro, cosi come
ricusò l'Arcivescovado di Siena. In Germania predicò in tedesco con tanto
inaspettato successo. Fu tanta la sua fama di sapienza e di santità, da essere
implorato il suo intervento per comporre gli animi dei Principi Elettori ad una
pacifica elezione dell’Imperatore. Estinse anche tra quei popoli la setta Boema che
tanti danni causava alle anime. Predicò per ordine del Pontefice, la Crociata.
All’altare, per l’interno ardore, si liquefaceva letteralmente in copiosi
sudori e, dopo l’elevazione, un tremito riverenziale lo scuoteva tutto, mentre
si sentivano le ossa scricchiolare ed infrangersi con Gesù eucarestia. Quando predicava
si vedeva una misteriosa colomba librare sul suo capo. Nel 1270
fu chiamato a Roma dal Papa, dedicandosi alla restaurazione degli studi
ecclesiastici. Morì
vittima del suo zelo, il 20 marzo 1286 a Siena, durante una predica. Parlò con
tale veemenza contro gli usurai, che gli si ruppe per ben due volte una vena in
petto, causandone la morte repentina.
Martirologio
Romano: A Siena, beato Ambrogio Sansedoni, sacerdote dell’Ordine dei
Predicatori, che fu discepolo di sant’Alberto Magno e, benché uomo versato
nella dottrina e nella predicazione, si mostrò nello stesso tempo semplice
verso tutti.
Nasce in palazzo Sansedoni, tuttora maestoso a
Siena, in Piazza del Campo: ma sembra nato deforme, per certe imperfezioni agli
arti, e così l’affidano a una donna in separata sede, senza antenati né
palazzi. Però lei lo tiene così bene da guarirlo. Torna allora a palazzo, ma lo
lascerà poi a 17 anni per farsi domenicano. Noviziato e prime scuole
probabilmente a Siena, poi il perfezionamento nel 1245 a Parigi e di lì a
Colonia (1248), dove ha per professore il futuro sant’Alberto Magno e per
compagni Pietro di Tarantasia (poi diventato papa Innocenzo V) e Tommaso
d’Aquino. Chiamato a Parigi come insegnante, Ambrogio si fa
conoscere pure – anzi, soprattutto – per l’efficacia della predicazione in
chiesa e in piazza, tra i salmi e tra i tumulti. (Alcuni pittori lo
raffigureranno con lo Spirito Santo in forma di colomba bianca, che gli parla
all’orecchio). Ha doti eccezionali di persuasore, e si deve anche a lui se non
scoppia uno scisma in Germania già nel 1245, per il dissidio tra il concilio di
Lione e l’imperatore Federico II. Ma, alla morte di questi, suo figlio
Manfredi tenta di recuperare i territori imperiali nel Sud d’Italia: e la Sede
romana s’immischia rovinosamente in contese contro gli stranieri di Germania,
chiamando in Italia stranieri di Francia, comandati da Carlo d’Angiò. Poiché
Siena ghibellina sta con Manfredi, papa Clemente le infligge l’interdetto
(divieto di celebrare i riti sacri). Ed ecco Ambrogio Sansedoni correre dal
Papa a Orvieto per difendere i concittadini. E lo fa con tale vigore razionale
che alla fine il Papa esclama: "Mai un uomo ha parlato così!". E si
dicono di lui cose simili a Parigi, in Germania, in tante città d’Italia che lo
ascoltano quando arriva tra i conflitti a costruire tregue, a fermare le armi,
riconciliatore instancabile e persuasivo, con le sue parole lucide e
appassionate insieme. Soltanto in un caso la passione prevale: quando parla
degli usurai. Allora dice cose terribili. Ma non riesce a salvare Corradino di
Svevia, l’ultimo principe tedesco in lotta per il Sud d’Italia, dopo la
sconfitta e la morte di Manfredi. Battuto lui pure a Tagliacozzo (1268),
Corradino viene consegnato da traditori a Carlo d’Angiò, che lo fa decapitare,
malgrado l’intervento di Ambrogio (in quel tempo a Napoli) che mette in mezzo
anche il Papa. Dopo tanti viaggi, Ambrogio
ritorna a Siena. Ricomincia a predicare. E nella città toscana muore predicando,
possiamo dire: il malore irreparabile lo coglie durante il quaresimale. Siena
lo piange e lo onora, ne fa un patrono della città, prega presso le sue
reliquie in San Domenico. Un suo busto sarà collocato sulla facciata del Duomo,
e fino a metà ’500 si disputerà un Palio dedicato a lui. Nel 1597 papa Clemente
VIII lo includerà nel Martirologio romano.
L'Ordine Domenicano lo ricorda l'8 ottobre.
Autore: Domenico Agasso
SOURCE : http://www.santiebeati.it/Detailed/46120.html
SANSEDONI, Ambrogio, beato
di Michele Pellegrini - Dizionario Biografico degli
Italiani - Volume 90 (2017)
SANSEDONI, Ambrogio, beato. – Nacque a Siena
attorno al 1220 (il 16 aprile di quell’anno stando agli agiografi), figlio
del dominus Buonatacca, attivo protagonista del ghibellinismo senese
e fidelis di Federico II.
Il nome e il casato della madre – Giustina domini
Egidii a nobili stirpe Stribellinorum – ci sono trasmessi solo
dalla Vita (Acta Sanctorum..., 1736, pp. 181-201), che si rivela però
male informata anche quanto all’ascendenza del padre, e non hanno alcun
riscontro.
Il padre Buonatacca era figlio di Tacca di Guido –
esponente di un articolato gruppo di consortes documentati sin
dall’inizio del secolo ma solo dal 1270 identificati come Casamentum de
Anconitanis seu Sansidoniis – e di Imiglia che, rimasta vedova, fu
rettrice (1215-33) dell’ospedale della Maddalena, fondato da Ranieri di
Rustichino (Piccolomini), e in cui ella accolse, nel 1221, la prima comunità
domenicana di Siena.
Non lontano da quell’ospizio, nell’antica casa
paterna, fuori della porta di S. Maurizio sarebbe nato Ambrogio (l’acquisto
della casa con torre presso il Campo da parte di Buonatacca è documentato solo
nel 1243).
Dei suoi tre fratelli, solo due sopravvissero al
longevo padre, morto nel 1267: India, andata sposa a Jacopo di Bencivenne,
rettore dell’ospedale della Scala, e Sacco, non più documentato dopo il 1270.
Si estingueva in questo modo, un quindicennio prima della sua morte, la cerchia
familiare di Ambrogio: quei propinqui di cui ancora le agiografie
avrebbero ricordato la solida fama di appartenenza alla fazione ghibellina.
Negli anni dell’attività e della consacrazione agiografica di Ambrogio anche
l’altro ramo del casamentum, rappresentato dai discendenti di Tonimpuglia
di Sansedonio, fu demograficamente e politicamente debole e alla fine del
secolo sopravviveva solo la linea collaterale rappresentata dai discendenti di
un Gonterio di Palmieri, che già all’indomani di Montaperti (1266) aveva abbracciato
la parte guelfa: furono essi ad adottare il cognomen Sansedoni che la
consolidata tradizione (con certo arbitrio, si può ora dire) attribuisce ad
Ambrogio.
Sulla sua prima giovinezza restano solo le notizie
filtrate dalle narrazioni agiografiche: un Summarium virtutum (Acta
Sanctorum..., 1736, pp. 210-240), composto dal confratello Recupero di
Pietramala, e una più prolissa Vita, che si dichiara composta dallo stesso
e da altri tre confratelli su mandato di Onorio IV all’indomani della morte, ma
che leggiamo solo nella forma tradita da una copia cinquecentesca. Esse
narrano, con maggiore o minor copia di dettagli, della deformità fisica che lo
avrebbe afflitto alla nascita, del suo prodigioso risanamento nell’oratorio
della Maddalena e di molti mirabili segni di santità che ne avrebbero
caratterizzato la fanciullezza.
Ambrogio entrò nell’ordine dei predicatori nel 1237
(al compimento dei 17 anni, secondo gli agiografi). Dopo una formazione di base
nelle arti liberali, ricevuta per un quadriennio a Siena o in un altro convento
italiano, e un ulteriore triennio di studio della teologia, sarebbe stato
avviato nel 1245 allo Studio di Parigi, dove fu discepolo di Alberto Magno
accanto a Tommaso d’Aquino. Il fatto che, diversamente dall’illustre
condiscepolo, cui la Vita tiene molto ad accomunarlo, Ambrogio non
abbia conseguito il baccellierato viene imputato dagli agiografi al rifiuto
che, per umiltà, egli avrebbe opposto ai gradi accademici.
Avviato dai superiori alla predicazione, in forza
delle sue doti comunicative, avrebbe svolto questo compito nelle città
tedesche, predicando nella lingua locale oltre che in latino, per pacificare
cittadinanze e principi, combattere eresie, esortare alla mobilitazione contro
gli infedeli e a sostegno del re d’Ungheria Bela IV. Mancano tuttavia riscontri
precisi sulla sua permanenza Oltralpe e anche la cronologia proposta da Jacques
Échard, per cui Sansedoni avrebbe, come Tommaso, seguito Alberto a Colonia nel
1248, per poi tornare a Parigi attorno al 1253, appare plasmata su quella dei
due più illustri confratelli.
È possibile invece seguirne l’attività dopo il ritorno
in Italia centrale, che va collocato attorno al 1260: per certo nel maggio di
quell’anno è indicato come fidecommissario nel primo testamento del cognato, il
già ricordato Jacopo di Bencivenne, alla cui stesura in Grosseto egli non è
tuttavia detto presente. Era invece priore del convento di Orvieto quando, nel
giugno del 1264, Urbano IV lo inviò a Genova, allora interdetta per il supporto
fornito all’imperatore Michele VIII Paleologo, con il compito di favorire la
riforma degli accordi di pace con Venezia e la facoltà di sospendere
temporaneamente l’interdetto qualora la cosa riuscisse utile secondo la
sua discretio, in cui il papa diceva di riporre piena fiducia.
Meglio documentata è la sua opera a Siena in due fasi
cruciali della tormentata stagione che, dopo la catastrofe sveva, portò al
definitivo allineamento della città all’ordine guelfo-angioino (1266-73).
All’indomani della morte di Manfredi, nel quadro della politica di
pacificazione con il Papato cui si stava orientando il Comune di Siena, fu lui
insieme al vescovo Tommaso, anch’egli domenicano, a esporre (il 16 aprile 1266)
al Consiglio del Popolo e ai domini delle Arti e delle Società
l’opportunità di adire ad mandata Romane Ecclesie. Poche settimane dopo
per mandato del legato papale fu lui a leggere al parlamentum la
lettera in cui Clemente IV dettava le condizioni per la remissione delle
censure, e negli atti di quella pacificazione egli figura sempre come
qualificato testimone. Nel febbraio 1267 il papa lo incaricò di ricevere dal
comune di San Gimignano le fideiussioni richieste dal legato.
Si colloca invece dopo i violenti tumulti popolari che
segnarono il totale fallimento degli accordi di pace siglati a Viterbo il 13
maggio 1267, ma comunque prima della nuova scomunica fulminata contro i senesi
(18 novembre), la notizia di un nuovo intervento di Ambrogio al Consiglio
generale nell’ottobre del 1267. Si trattava stavolta di una questione puramente
privata: Ambrogio chiedeva infatti di rendere le 400 lire che il defunto
Buonatacca aveva indebitamente avuto dal Comune, versandole all’ospedale di S.
Maria (cui per statuto andavano le restituzioni d’usura spettanti all’erario).
Gli autori della Vita volevano che, nei mesi successivi, lo stesso
Corradino di Svevia, dopo la sua sconfitta, chiedesse al Sansedoni di
intercedere per lui presso Clemente IV, ottenendone, prima dell’esecuzione (23
ottobre 1268), l’assoluzione dalla scomunica.
L’azione di Ambrogio a Siena torna poi a essere
documentata nel 1273, quando – dopo la sconfitta di Colle, la dedizione a Carlo
d’Angiò e il consolidamento del governo guelfo dei Trentasei – il Comune si
dispose a normalizzare le relazioni con il papato. Nel maggio di quell’anno,
essendo vacante la sede vescovile, Ambrogio esortò nel consiglio segreto il
capitano di Parte e i Trentasei priori a individuare un plenipotenziario che si
recasse dal papa per ottenere la remissione dell’interdetto e chiedergli di
passare per Siena, ormai mite e sicura, nel suo viaggio verso la sede del
concilio generale. Lui e un confratello furono designati per la missione, che
doveva però mantenere un profilo non pienamente ufficiale.
La remissione dell’interdetto (13 luglio), non molto
documentata nelle fonti senesi coeve, viene invece celebrata con enfasi dalle
fonti agiografiche più tarde, che, peraltro, diversamente dal Summarium (in
cui pur confusamente si ricordano le due successive assoluzioni) riducono a un
solo passaggio la vicenda della riconciliazione fra Siena e il papato. Ambrogio
vi figura come regista e latore del perdono e vi si narra dell’esultanza
popolare per la riapertura delle chiese culminata nella corsa di un palio,
ripetuto poi ogni anno nell’anniversario dell’evento.
Già la Vita – almeno nella forma in cui la
leggiamo – collega così arbitrariamente a questo passaggio l’origine del palio
che, per certo già nel primo Trecento, il Comune di Siena faceva correre ogni
anno per solennizzare la festa del beato, nel giorno del suo dies natalis.
Secondo la stessa fonte egli avrebbe mediato anche una pace tra Pisa e Firenze
nel 1276, anno in cui fu definitore al capitolo generale dei domenicani.
Ambrogio fu a lungo apprezzato lettore nelle scuole
conventuali, svolgendo questo compito per oltre trent’anni nella provincia
romana dell’ordine, mentre dubbia è la notizia della sua docenza nello Studium di
Roma per incarico di Innocenzo IV (probabile amplificazione della notizia – cui
pare accennare il Summarium – dell’attività svolta come lector nel
convento domenicano della città in cui risiedeva la Curia romana).
Nell’ultima fase della sua vita Ambrogio fu sempre più
stabilmente nel convento senese di Camporegio, di cui fu priore nel 1279. Le
disposizioni testamentarie di membri del ceto magnatizio lo attestano a più
riprese (nel 1267, 1278, 1286) anche come esecutore di legati pii o autorevole
testimone. L’impegno prevalente di Ambrogio, anche in questa fase, fu quello
della predicazione, di cui le fonti agiografiche celebrano il costante ed
eccezionale successo.
Di questa attività ci resta – in un codice della
Biblioteca comunale di Siena – parte di un ciclo di Sermones de tempore,
che sarebbe stato composto tra il 1273 e il 1287 (un altro volume di suoi
sermoni domenicali e quaresimali, oggi perduto, è attestato da un catalogo del
1381 della biblioteca del Sacro Convento d’Assisi). È questa la sola opera che
la critica attuale attribuisce al nostro. È da respingere infatti la tarda
identificazione dell’aureum tractatum sull’eucaristia di cui la Vita lo
dice autore con il Trattato sopra el mistero del sacramento tradito
da un altro codice della Comunale di Siena. Le fonti agiografiche che tanto lo
lodano, peraltro, confermano che Sansedoni scrisse poco e di malavoglia.
Agli effetti della sua predicazione viene riportato
anche l’impulso che, specie a Siena, egli diede all’associazionismo devoto di
uomini e donne. L’informazione – riferita dall’autore del Summarium e
ripresa dalle agiografie successive – trova principale riscontro nella nascita presso
il convento senese di una fraternitas laudese intitolata alla Vergine
e a s. Domenico, di cui già nel settembre del 1267 il vescovo Tommaso approvò
lo statuto, ma non sono mancate nel tempo compagnie che – come quella a lui
intitolata attestata dal tardo Quattrocento – lo rivendicarono come fondatore e
legislatore. La sua opera in questo campo si concretizzò forse anche nella
scrittura di testi: a magne et magnifice letanie da lui composte fa
riferimento il Summarium, e a taluni è parso possibile identificarne una
traccia in alcune orazioni che nel XVI secolo Sigismondo Tizio inserì nelle
sue Historie, poi riprese da Giulio Sansedoni nella sua Vita a
stampa.
Ambrogio morì a Siena, il 20 marzo 1287, per
l’emorragia prodotta dalla rottura di una vena che gli agiografi dicono
scoppiatagli in petto a causa del fervore con cui in quei giorni predicava
contro gli usurai.
La devozione al suo corpo (inumato il 21 marzo) fu
immediata e immediate le guarigioni prodigiose attorno al suo sepolcro, per la
cui realizzazione monumentale il Comune di Siena stanziò appositi finanziamenti
già il 21 maggio (e poi ancora il 19 luglio), provvedendo poi nel marzo 1288 al
pagamento della miniatura e pittura di un libro della Legenda.
Immediatamente, anche prima del placet vescovile (9 maggio 1287), i
frati di Camporegio avevano disposto la registrazione notarile dei miracoli
attribuiti alla sua intercessione (trenta atti redatti tra il 13 aprile e il 9
luglio 1287 documentano altrettanti eventi tra il 20 mazo e il 7 luglio, ventotto
a Siena e due a Bolsena): un prezioso dossier recentemente studiato da Odile
Redon.
Due sole settimane dopo la morte di Ambrogio, la
scomparsa di Onorio IV – che avrebbe ordinato la stesura della Vita in
vista di una rapidissima canonizzazione – bloccò sul nascere l’iter del
processo, in realtà mai apertosi. Oltre che dai domenicani il culto di Ambrogio
fu largamente sostenuto dal Comune per tutto il Trecento, assumendo solidi
connotati civici, mentre solo dal primo Cinquecento si segnala un suo recupero
in chiave familiare, a opera dei Sansedoni. Gregorio XV l’avrebbe riconosciuto
definitivamente nell’ottobre del 1622.
Fonti e Bibl.: Archivio di Stato di Siena,
Diplomatico, Ospedale, 1260 maggio 12; 1267 ottobre 4; Archivio
generale, 1278 luglio 12; 1286 aprile 9, Consiglio Generale, 11, c. 57; 12, c.
12; 13, c. 64; 16, c. 63v; 33, c. 64; 34, c. 7, Biccherna, 96, c. (54) 60;
Siena, Biblioteca comunale, Ms. T.IV.7 (Sermones), T.IV.8 (Trattato del
sacramento).
[B. Sansedoni] La sancta vita di beato Ambrosio
da Siena, Siena 1509; G. Lombardelli, Vita di A. S., Siena 1585; G.
Sansedoni, Vita del Beato A. S. da Siena, Roma 1611 (poi Venezia 1717); J.
Quetif - J. Echard, Scriptores ordinis Praedicatorum, Paris 1719, pp.
401-403; Acta Sanctorum Martii, III, Venezia 1736, pp. 179-250; Les
registres d’Urbain IV, par J. Guiraud, II, Paris 1901, n. 851, p. 409; F.
Schneider, Regestum Volaterranum, Roma 1907, n. 772; R. Coulon, Ambroise
de Sienne, in Dictionnaire d’histoire et géographie ecclésiastique, II,
Paris 1914, coll. 1124-1126; I. Taurisano, Catalogus hagiographicus
ordinis praedicatorum, Roma 1918; Id., Il Beato Ambrogio, in Memorie
domenicane, XXXVIII (1921), p. 166-180; T. Kaeppeli, Le prediche del Beato
A. S. da Siena, in Archivum Fratrum Predicatorum, XXXVIII (1968), pp.
5-12; Id. Scriptores Ordinis Predicatorum Medii Aevi, I, Roma 1970, pp. 58
s.; G. D’Urso, Beato A. S. Vita e iconografia, Siena 1986; P.
Toritti, L’iconografia del beato Ambrogio da Siena, in Bullettino
senese di storia patria, C (1993), pp. 212-383; S. Tizio, Historiae
Senenses, vol. I, t. II, a cura di G. Tomasi Stussi, Roma 1995, pp.
11-113; O. Redon, Una famiglia, un santo, una città. A. S. e Siena, a cura
di S. Boesch Gajano, Roma 2015 (raccoglie cinque saggi editi tra il 1998 e il
2008).
SOURCE : https://www.treccani.it/enciclopedia/sansedoni-ambrogio-beato_(Dizionario-Biografico)/