Portrait
of Pope Anacletus un the en:Basilica of Saint Paul
Outside the Walls, Rome
Ritratto
di Papa Anacleto nella it:Basilica di San Paolo fuori
la Mura, Roma
SAINT ANACLET
Pape et martyr
(+ 96)
Saint Anaclet, grec de
nation, était originaire de la fameuse ville d'Athènes. Les bonnes qualités de
cet adolescent frappèrent vivement saint Pierre qui le convertit lorsqu'il
prêcha à Athènes. Charmé de sa piété exemplaire, de son zèle pour la religion,
de l'intégrité de ses moeurs et des rares talents dont le Seigneur l'avait
doué, le vicaire du Christ admit Anaclet dans le clergé, le reçut diacre, et
lui conféra la dignité sacerdotale.
Revêtu de ce caractère
sacré, saint Anaclet servit généreusement saint Pierre dans les fonctions de
son apostolat et devint le compagnon inséparable de ses travaux et de ses
voyages. Ange par la pureté de sa vie et par son zèle indéfectible au service
de Dieu, Anaclet devint vite un des plus saints ministres de l'Église
naissante.
Après que saint Pierre
eut couronné son apostolat par un glorieux martyre, son fidèle disciple Anaclet
se dévoua sous le pontificat de saint Lin et de saint Clet, avec le même empressement
et le même succès. Il coopéra pour une large part aux merveilleux progrès que
connut l'Eglise de Rome en ces temps si difficiles. L'excellence et la sainteté
d'Anaclet devenait de jour en jour plus manifeste aux yeux de tous, lorsqu'en
l'an 83, sous l'empire de Domitien, les voix des fidèles se réunirent à
l'unanimité pour l'élire au souverain pontificat. Son élévation sur le trône de
saint Pierre causa une joie universelle dans la chrétienté.
Dans ces premiers jours
de l'Eglise, tout était à craindre: la puissance, la cruauté et la multitude
des ennemis du Sauveur, la fureur des païens, la rage des Juifs, la timidité et
le relâchement des fidèles. Durant la troisième persécution que Trajan excita
contre l'Eglise en l'an 107, saint Anaclet constata avec douleur les ravages
causés dans le troupeau de Jésus-Christ. Quoique Trajan n'avait porté aucune
loi officielle contre les chrétiens, une guerre sournoise d'extermination
sévissait contre les fidèles et surtout les évêques. Le sang des martyrs coulait
avec abondance dans l'Orient et dans l'Occident.
Au sein de la tourmente,
Anaclet encourageait les uns et confondait les autres. Comme la violence de la
persécution augmentait de jour en jour, ce pasteur vigilant n'oublia rien pour
animer les fidèles à témoigner de leur foi en Jésus-Christ. Il publia de belles
ordonnances pour retenir ses ouailles dans leur devoir. Il regardait comme
chrétiens à demi vaincus ceux qui ne recevaient que rarement la divine
Eucharistie.
Pour donner quelque
marque de sa dévotion et de sa reconnaissance au prince des apôtres auquel il
était redevable de sa conversion, saint Anaclet fit bâtir et orner une église à
son sépulcre. Par une providence toute particulière, elle se conserva intacte
au milieu des persécutions.
Ce digne représentant de
Jésus-Christ sut conserver intact le dépôt sacré de la foi. Il travailla avec
succès à établir la discipline de l'Eglise, conserva le bon règlement dans les
affaires temporelles de l'Eglise et s'opposa aux désordres qui s'y étaient
glissés. Ce saint pape ne pouvait échapper longtemps aux recherches du tyran
qui envoyait chaque jour une multitude de condamnés au martyre. L'année
précédent sa mort, en prévision du sort qui l'attendait, saint Anaclet conféra
l'ordination épiscopale au prêtre Evariste qui devait lui succéder dans la
charge du souverain pontificat. Après avoir gouverné l'Eglise neuf ans, trois
mois et dix jours, saint Anaclet remporta la palme du martyre et fut enseveli
au Vatican.
Les Petits Bollandistes,
Paris, 1874, tome VIII, p. 273-274 -- l'Abbé Jouve, 1886, 2e éd. tome 3, p.
69-71
SOURCE : http://magnificat.ca/cal/fr/saints/saint_anaclet.html
St Anaclet (Clet), pape
et martyr
La fête de st Anaclet a
été supprimée par la réforme de Jean XXIII : Anaclet serait le
même pape que celui qui est appelé Clet, successeur de Lin et prédécesseur de
Clément.
Le catalogue Libérien,
contenu dans le Chronographe de 354 est le seul document antique à admettre
l’existence d’Anaclet à côté de celle de Clet. L’introduction de sa fête est
tardive (XIe siècle), tandis qu’au contraire l’insertion du nom de Clet dans le
Canon Romain semble primitive. La fête du 13 juillet semblant faire doublon
avec celle du 26
avril (Sts Clet et Marcellin), elle a été supprimée.
Leçon des Matines avant 1960.
Quatrième leçon. Anaclet, d’Athènes, gouverna l’Église sous l’empereur Trajan.
Il décréta que tout Évêque serait consacré par trois Évêques au moins ; que les
Clercs seraient publiquement initiés aux saints ordres par leur Évêque propre,
et qu’une fois la consécration achevée, ils communieraient tous à la Messe. Il
décora le tombeau de saint Pierre, et assigna un lieu pour la sépulture des
Pontifes. Il ordonna au mois de décembre, en deux ordinations, cinq Prêtres,
trois Diacres, et sacra six Évêques. Après avoir occupé le Saint-Siège neuf
ans, trois mois, dix jours, il reçut la couronne du martyre et fut enseveli au
Vatican.
Dom Guéranger, l’Année
Liturgique
Le nom d’Anaclet nous
apporte comme un dernier écho de la solennité du 29 juin. Linus, Clément,
Cletus, successeurs immédiats de Pierre, avaient reçu de lui la consécration
des Pontifes ; Anaclet eut cette gloire moindre, et cependant inestimable,
d’être fait prêtre par le vicaire de l’Homme-Dieu. Tandis que les autres
Pontifes martyrs qui viendront après lui ne verront pas généralement s’élever
leurs fêtes au delà du rite simple, il doit le degré relativement supérieur de
la sienne au privilège qui nous montre ainsi en lui le dernier des Papes
honorés de l’imposition des mains du prince des Apôtres. Ce fut aussi durant le
pontificat d’Anaclet que la Ville éternelle vit porter au comble ses
illustrations par l’arrivée du disciple bien-aimé dans ses murs, où il venait
dégager la promesse qu’il avait faite au Seigneur de prendre part un jour à son
calice [1]. « Heureuse Église, s’écrie Tertullien, dans le sein de laquelle les
Apôtres ont versé toute leur doctrine avec leur sang ; où Pierre a imité la
Passion du Seigneur par la croix, où Paul a reçu comme Jean-Baptiste la
couronne par le glaive, d’où Jean l’apôtre, sorti sain et sauf de l’huile
bouillante, a été relégué dans une île » [2].
Par la vertu
toute-puissante de l’Esprit de la Pentecôte, les progrès de la foi répondent
dans Rome aux largesses du Seigneur. Peu à peu la Babylone ivre du sang des
martyrs [3] va se trouver supplantée par la cité sainte. Déjà toutes les
classes de la société comptent leurs représentants dans ce peuple né d’hier,
qui a les promesses de l’avenir. Près de la chaudière embrasée où le prophète
de Pathmos fait hommage du tribut de sa glorieuse confession à la nouvelle
Jérusalem, deux consuls, deux représentants à la fois de l’ancien patriciat et
de la noblesse plus récente issue des césars, Acilius Glabrio et Flavius
Clemens se donnent la main sous le glaive du martyre. A l’exemple d’Anaclet
ornant lui-même le tombeau du prince des Apôtres et pourvoyant à la sépulture
des Pontifes, d’illustres familles ouvrent et développent sur toutes les voies
aboutissant à la ville impériale les galeries des cimetières souterrains ; là
déjà reposent nombreux les athlètes du Christ, victorieux dans leur sang ; et
près d’eux, accompagnés de l’ancre du salut, dorment dans la paix les plus
beaux noms de la terre.
Glorieux Pontife, votre
mémoire se rattache de si près à celle de Pierre, qu’aux yeux de plusieurs vous
seriez, sous un nom un peu différent, l’un des trois augustes personnages
élevés par le prince des Apôtres au rang suprême de la hiérarchie. Pour vous
distinguer de Clétus, qui parut en avril au Cycle sacré, il nous suffit
pourtant et de cette autorité de la sainte Liturgie vous consacrant une fête
spéciale, et du témoignage constant de Rome même qui sait mieux que personne à
coup sûr les noms et l’histoire de ses Pontifes. Heureux êtes-vous de vous
perdre ainsi dans les fondations sur lesquelles reposent jusqu’à nos temps et
pour jamais la force et la beauté de l’Église ! Faites-nous aimer la place qui
est nôtre dans l’édifice sacré. Recevez l’hommage reconnaissant de toutes les
pierres vivantes appelées à composer le temple éternel, et qui s’appuieront sur
vous dans les siècles sans fin.
[1] Matth. XX, 22.
[2] De praescript. XXXVI.
[3] Apoc. XVII, 6.
Bhx cardinal Schuster, Liber Sacramentorum
Selon la liste papale qui nous a été rapportée par Irénée, Anenclet— Ἀνέγκλητος
— ou Anaclet, serait le même pape que Clet, successeur de Lin et prédécesseur
de Clément sur le Siège apostolique. Le Liber Pontificalis lui attribue la
disposition définitive du tombeau de saint Pierre au Vatican, près duquel il
fut, lui aussi, enseveli.
L’introduction de sa fête dans le calendrier est fort tardive, tandis qu’au
contraire l’insertion du nom de Clet dans les diptyques de la messe semble
primitive.
La messe est du Commun d’un Pontife Martyr (avant 1942), sauf la lecture
évangélique, qui est commune à la fête de saint Timothée le 24 janvier.
Nous devons nourrir une vénération spéciale pour tous ces premiers papes et
évêques, disciples et successeurs immédiats des Apôtres, qui fondèrent et
affermirent l’Église par leurs sueurs et par leur sang.
Dom Pius Parsch, Le
guide dans l’année liturgique
L’union des souffrances
et des consolations.
1. Saint Anaclet. — Ce
saint est peut-être le même pape que Clet, le successeur de Lin et le
prédécesseur de Clément. Voici ce que le bréviaire raconte à son sujet : Il
était originaire d’Athènes et fut pape sous l’empereur Trajan (98-117). Il
décréta que la consécration épiscopale devrait être donnée par trois évêques et
que les clercs devraient être publiquement ordonnés par leur propre évêque
(règles qui sont encore aujourd’hui observées). Il prescrivit aussi que tous
les assistants devaient communier à la messe après la consécration. Il fit
orner le tombeau de saint Pierre et fixa le lieu de sépulture des papes au
Vatican. « Il gouverna l’Église de Dieu et l’illustra par un glorieux martyre »
(Martyr.). Il mourut en 112 et fut inhumé au Vatican. Pratique : Les décrets du
saint pape nous font penser aux ordinations. Nous sommes actuellement dans la
période d’été ; c’est au cours de ces mois que tant de clercs reçoivent les
saints ordres. Pour nous, amis de la liturgie, ces ordinations, depuis le degré
inférieur jusqu’à la consécration épiscopale qui donné la plénitude du
sacerdoce, sont vraiment des motifs de franche joie et un appel à la fervente
prière Que savons-nous des ordinations ? En quelle estime les tenons-nous ?
Comment soutenons-nous les candidats au sacerdoce ? Que faisons-nous pour
développer le respect dû aux ministres consacrés dans le monde actuel privé de
prêtres ? — La messe est celle du commun des Souverains Pontifes.
2. La prière des Heures.
— Les Matines (au 3ème nocturne, du Commun d’un Martyr) nous font lire un
extrait de l’homélie que saint Grégoire 1er « prononça devant le peuple dans la
basilique de Saint-Sébastien le jour de la fête de ce saint ». Il décrit au
début les splendeurs du ciel : « Si nous considérons, bien chers frères, la
nature et la grandeur de ce qui nous est promis au ciel, alors les choses de la
terre perdent à nos yeux toute valeur. Les biens de ce monde, comparés à la vie
éternelle, doivent se nommer mort plutôt que vie. Car cette défaillance de nos
forces qui chaque jour nous consume, qu’est-ce sinon la mort qui s’avance ? Par
contre, quelle langue est capable d’exprimer, quelle intelligence est capable
de comprendre la grandeur des joies qui nous attendent là-haut dans la patrie :
Faire partie des chœurs des Anges, se tenir avec les esprits bienheureux tout
près de la gloire du Créateur, voir face à face le visage de Dieu, contempler
la Lumière infinie, être dégagé de toute crainte de mort, se réjouir de
posséder pour jamais l’immortalité ? Mais, à entendre cela, l’esprit s’enflamme
et voudrait être de suite là où il espère pouvoir jouir sans fin. Toutefois à
une grande récompense on ne peut parvenir que par un grand labeur ; c’est
pourquoi saint Paul, le grand prédicateur, dit : « Celui-là seul sera couronné
qui aura combattu selon la loi » [4]. Donc si la grandeur de la récompense peut
remplir l’esprit de joie, les labeurs du combat ne sauraient l’effrayer ».
[4] 2 Tim. II, 5.
SOURCE : https://www.introibo.fr/13-07-St-Anaclet-Clet-pape-et
Illustration
de l’Atene Attica Descritta da suoi Principii sino all’acquisto fatto dall’Armi
Venete nel 1687…,
Venice,
Antonio Bortoli, 1695, par Francesco Fanelli
Anacletus
Anacletus I
Cleto
formerly 13 July
Profile
Convert,
brought to the faith by Saint Peter
the Apostle, who ordained him.
Third pope.
He ordained an
undetermined number of priests during
his reign, but almost nothing else is known about him. Martyred in
the persecutions of Domitian.
May have been the Cletus that Saint Augustine
of Hippo wrote about.
He is mentioned in the Canon of
the Mass.
Born
Papal Ascension
c.89
relics in
Saint Linus Church, Vatican City
Additional
Information
Book
of Saints, by the Monks of
Ramsgate
Book
of Saints, by the Monks of
Ramsgate
Lives
and Times of the Popes, by Alexis-François Artaud de Montor
Lives
of the Saints, by Father Alban
Butler
Lives
of the Saints, by Father Alban
Butler
Roman
Martyrology, 1914 edition
Saints
of the Canon, by Monsignor John T McMahon
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
Short
Lives of the Saints, by Eleanor Cecilia Donnelly
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
images
video
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
notitia
in latin
MLA
Citation
“Pope Saint
Cletus“. CatholicSaints.Info. 25 April 2024. Web. 25 October 2025.
<https://catholicsaints.info/pope-saint-cletus/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/pope-saint-cletus/
Title Anacletus Contributor Cletus I, pope, Saint (-approximately 92) (depicted) Date s.d Publisher (1550-1800) Genre Portraits Extent voorstelling: 107 x 69 mm. Graphic Black-and-white ; Language Latin Typographical details engraving(s) etching(s) Additional info Inscriptions: V. S. ANACLETVS (in de voorstelling: onderaan, centraal) Source Library Catalog Source ID lbsn9980210620101471
ANACLETUS (CLETUS), ST.
POPE
Pontificate, c. 80
to 92. Anacletus appears in the Liber pontificalis and the Roman
martyrology as two popes, both martyrs, with feasts on April 26 and July 13. St.
Irenaeus (Adv. haer. 3.3) and the liturgy of the Mass make him the second
successor of Peter. The Greek form of his name, Anencletus, was common for
slaves and may point to his social status. The third form of his name Cletus,
was simply a shortened form of the other two but is the one found in the
ancient canon of the mass. (see popes, list of). Eusebius (Hist. 3.13, 15,
21; 5.6) says that he died in the 12th year of Domitian's reign after a 12-year
episcopate. The Liber pontificalis probably mistakes Anacletus for
anicetus as the builder of a burial monument for Peter. Modern excavations show
that Anacletus was not buried near Peter in the Vatican.
Bibliography: Liber
pontificalis, ed. L. Duchesne (Paris 1886–92) 1:xix–xx, 52–53. J. P. Kirsch, Dictionnaire d'histoire et de géographie ecclésiastiques 2:1407–08. E. Caspar, Geschichte de Papsttums von den Anfängen bis zur Höhe der
Weltherrschaft (Tübingen 1930–33) 1:8–16. L. Koep, Reallexikon für
Antike Christentum, ed. T. Klauser [Stuttgart 1941 (1950)] 2: 410–415. E. Kirschbaum, Tombs of St. Peter and St.
Paul, tr. J. Murray (New
York 1959). G. Schwaiger, Lexikon für Theologie und Kirche, ed. J. Hofer and K. Rahner (Freiberg 1957–65) 1:524. J. N. D. Kelly, Oxford
Dictionary of Popes, p.7
[E. G. Weltin]
New Catholic Encyclopedia
Article
(Saint) Pope, Martyr
(July 13) (2nd century) According to the Liber Pontificalis, Saint Anacletus
was ordained priest by Saint Peter. His identity with Saint Cletus has been the
subject of great discussion, but whereas the latter was a Roman, Saint
Anacletus was an Athenian, according to the Catalogus Felicianus. The Roman
Church has always distinguished the two Popes, keeping the Feast of Saint
Cletus on April 26 and that of Saint Anacletus on July 13. Saint Anacletus is
styled a Martyr in the ancient Martyrologies, and is said to have suffered
during the persecution of Trajan (A.D. 107).
MLA
Citation
Monks of Ramsgate.
“Anacletus”. Book of Saints, 1921. CatholicSaints.Info. 13 June 2012.
Web. 25 October 2025. <http://catholicsaints.info/book-of-saints-anacletus/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/book-of-saints-anacletus/
Liber Pontificalis –
Anencletus
Article
Aneclitus, by nationality
a Greek from Athens, son of Anthiocus, occupied the see 12 years, 10 months and
7 days.
He was bishop in the time
of Domitian from the 10th consulship of Domitian when Savinus was his colleague
(a.d. 84)
until the year when Domitian was consul for the 17th time and Clement was
consul with him (a.d. 95).
He built and adorned the
sepulchral monument of the blessed Peter,
forasmuch as he had been made priest by
the blessed Peter,
and other places of sepulchre for the burial of bishops. There he himself
likewise was buried near the body of the blessed Peter, July
13.
He held 2 ordinations in
the month of December, 5 priests,
3 deacons,
6 bishops in
divers places.
And the bishopric was
empty 13 days.
MLA
Citation
Louise Ropes Loomis,
PhD., translator. “Anencletus”. Liber Pontificalis, 1916. CatholicSaints.Info.
24 November 2015. Web. 25 October 2025.
<https://catholicsaints.info/liber-pontificalis-anencletus/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/liber-pontificalis-anencletus/
Giovanni-Battista Cavalieri (1525–1601), Calcografia in Giovanni Battista Cavalieri, Pontificum Romanorum effigies, Roma, Basa Domenico\Zanetti Francesco, 1580, bibliothèque municipale de Trento
New
Catholic Dictionary – Pope Saint Anacletus
Derivation
Greek: recalled
Article
Reigned c.79 to
c.90. Martyr.
According to tradition he was a Greek he was a convert of Saint Peter, was
ordained by him, and was his second successor. He may be identical with the
Cletus spoken of by Augustine and other writers. He is mentioned in the Canon
of the Mass as Cletus, was martyred,
and buried near Saint Peter. Feast,
Roman Calendar, 13
July.
MLA
Citation
“Pope Saint
Anacletus”. New Catholic Dictionary. CatholicSaints.Info. 13
June 2012.
Web. 25 October 2025. <http://catholicsaints.info/new-catholic-dictionary-pope-saint-anacletus/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/new-catholic-dictionary-pope-saint-anacletus/
Illustration
is from The Lives and Times of the Popes by Chevalier Artaud de
Montor (1772–1849), New York,
The
Lives and Times of the Popes – Saint Anacletus
Article
The Diario maintains that
Cletus and Anacletus are one and the same person; Novaes asserts that they were
not; and he says that Saint Cletus was the son of Emilian, and was created pope
on the 24th of September, A.D. 80. During the life and by the order of Saint
Peter, he divided Rome into twenty-five parishes, and placed them under the
direction of the same number of priests. From that statement it has been
inferred that Cletus was a coadjutor of Saint Peter in the suburban cities. We
must not give implicit credence to those authors who hold that Saint Cletus was
the first pontiff who, in the apostolic letters, used the formula “salutem et
apostolicam benedictionem.” That formula is not to be found before the time of
John V, who was created pope in 685. Saint Cletus is said to have originated
those pilgrimages to the churches of Rome which have since been called
Stations; and he is also said to have converted into a church his own house,
situated near the baths of Philip in the Rione de’ Monti. He is said to have
suffered martyrdom, during the second persecution of the Church, on the 26th of
April, in the year 93; and Novaes adds that he was interred at the Vatican. It
is stated, also, that the Holy See remained vacant for twenty days after his
decease.
Saint Anacletus was a
Greek, born at Athens, and, according to Novaes, was the son of Antiochus.
Under Saint Peter, he was deacon, priest, and subsequently bishop. He was
elected pontiff on the 3d of April, A.D. 78. He finished and dedicated the
basilica which was built on the spot where Saint Peter was martyred. Many
authors maintain that Cletus and Anacletus are but one and the same person –
neglecting to notice that the birthplace, the parentage, the works, and the
festivals appointed by the Church for each of these saints, quite clearly show
they are different. Panvini maintains this; nevertheless, the very learned
Father Lazzari, who was especially learned in sacred antiquity, read before the
Roman College, in 1755, a fine dissertation in which he maintained that Cletus
and Anacletus were one and the same person. He cited, in support of that
opinion, the authority of Papebrock. Cletus would have been pontiff in 73, but,
being exiled with the other Christians, he must have renounced the pontificate,
and was replaced by Clement I, up to the year 83. Then, Clement himself being exiled,
he, in his turn, renounced the pontificate in favor of the same Cletus, his
predecessor. Cletus, on being called to Rome, would quite naturally be named
Anacletus, that is to say, Revocato, the Recalled, or iterum Cletus. In this
manner Lazzari reconciles the authority of the ancient Fathers and the ancient
catalogues, which speak of Cletus and of Anacletus, while others mention first
Cletus and then Anacletus. For the opinion which confounds Cletus and
Anacletus, Papebrock, Dupin, Tillemont, Pearson, Baillet, Father Holloix, and
Natalis Alexander may be consulted; for the contrary opinion, the two Pagis,
Schelstrate, and Sandini.
Anacletus was
distinguished for a rare integrity and great learning. According to the authors
of the Art de Verifier les Dates, and the Diario, he died A.D. 91. Novaes says
that some decretals attributed to this pope are suspected by modern critics.
He belonged to the order
of regular canons, according to those who make that order coeval with Saint
Peter.
MLA
Citation
Alexis-François Artaud de
Montor. “Saint Anacletus”. The
Lives and Times of the Popes, 1911. CatholicSaints.Info.
22 July 2022. Web. 25 October 2025.
<https://catholicsaints.info/the-lives-and-times-of-the-popes-saint-anacletus/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/the-lives-and-times-of-the-popes-saint-anacletus/
Cromolitografia
in L. Tripepi, Ritratti e biografie dei romani pontefici: da S. Pietro a Leone
13, Roma, Vaglimigli Davide, 1879, bibliothèque
municipale de Trento
Pope St. Anacletus
The second successor of St. Peter.
Whether he was the same as Cletus, who is also called Anencletus as well as
Anacletus, has been the subject of endless discussion. Irenaeus, Eusebius, Augustine, Optatus, use both names
indifferently as of one person. Tertullian omits
him altogether. To add to the confusion, the order is different. Thus Irenaeus has Linus, Anacletus,
Clement; whereas Augustine and
Optatus put Clement before Anacletus. On the other hand, the "Catalogus
Liberianus", the "Carmen contra Marcionem" and the "Liber
Pontificalis", all most respectable for their antiquity, make Cletus
and Anacletus distinct from each other; while the "Catalogus
Felicianus" even sets the latter down as a Greek, the former as a Roman.
Among the moderns, Hergenröther (Hist.
de l'église, I 542, note) pronounces for their identity. So also the Bollandist De Smedt
(Dissert. vii, 1). Döllinger (Christenth.
u K., 315) declares that "they are, without doubt, the same person" and that
"the 'Catalogue of Liberius' merits little confidence before 230."
Duchesne, "Origines chretiennes", ranges himself on that side also
but Jungmann (Dissert.
Hist. Eccl., I, 123) leaves the question in doubt. The chronology is, of
course, in consequence of all this, very undetermined, but Duchesne, in his
"Origines", says "we are far from the day when the years,
months, and days of the Pontifical Catalogue can be given with any guarantee of
exactness. But is it necessary to
be exact about popes of
whom we know so
little? We can accept the list of Irenaeus — Linus, Anacletus,
Clement, Evaristus,
Alexander, Xystus, Telesphorus, Hyginus, Pius, and Anicetus. Anicetus
reigned certainly in 154. That is all we can say with assurance about
primitive pontifical
chronology." That he ordained a certain
number of priests is
nearly all we have of positive record about him, but we know he died
a martyr,
perhaps about 91.
Campbell,
Thomas. "Pope St. Anacletus." The Catholic Encyclopedia. Vol.
1. New York: Robert Appleton
Company, 1907. <http://www.newadvent.org/cathen/01446a.htm>.
Transcription. This
article was transcribed for New Advent by Gerard Haffner.
Ecclesiastical
approbation. Nihil Obstat. March 1, 1907. Remy Lafort, S.T.D.,
Censor. Imprimatur. +John Cardinal Farley, Archbishop of New York.
Copyright © 2023 by Kevin Knight.
Dedicated to the Immaculate Heart of Mary.
SOURCE : https://www.newadvent.org/cathen/01446a.htm
Saint Anacletus
Pope and Martyr
(†96)
Saint Anacletus was the
second successor to Saint Peter, by whom he was converted to the faith. He was
also ordained a deacon and consecrated priest by Christ’s own first Vicar, as
Saint Ignatius of Antioch affirms. He was Greek by origin, born in Athens; in
the year 83 he was chosen to succeed Saint Cletus, who had been martyred. The
emperor Domitian had begun a violent persecution which increased in fury as
time passed; but the faith of the Christians did not diminish, only receiving
new force from the blood of the martyrs.
This holy Pontiff omitted
no solicitude which could animate the faithful to expose their lives generously
for the glory of Jesus Christ. During his nine years of reign, he consecrated
six bishops. The last of these bishops was Saint
Evaristus, who would succeed him; Saint Anacletus consecrated him the year
before his death, foreseeing he could not long escape the fate of all the first
Vicars of Christ.
One of his enduring
ordinances was the law that for the consecration of a bishop, three bishops
must participate; that practice had been established by Saint Paul. He also
required that all ordinations be accomplished in public. He built a church in
honor of Saint Peter, to whom he owed his conversion, at the site of Saint
Peter’s burial; the original structure was conserved by Providence amid many
tempests. He reserved burial sites for future martyrs in the Christian
cemeteries, because multitudes were being condemned under Domitian. He also
designated and adorned sites for the interment of future Pontiffs in the
Vatican. Saint Anacletus was highly praised by Saint Ignatius of Antioch in a
well-known letter. He died on July 13th in the year 96, and was buried in
the Vatican.
Certain authors would
confound Saint Cletus and Anacletus and make of them one person. Their father’s
names are known, however, as well as their place of birth — the one in Italy,
the other in Greece; moreover, Saint Cletus was consecrated bishop by Saint Peter,
saint Anacletus was ordained a priest by him.
Source: Les Petits
Bollandistes: Vies des Saints, by Msgr. Paul Guérin (Bloud et Barral:
Paris, 1882), Vol. 8.
SOURCE : http://magnificat.ca/cal/en/saints/anacletus.html
Butler’s
Lives of the Saints – Saint Anacletus, Pope and Martyr
He governed the church
after Saint Clement nine years and three months, according to the Liberian
pontifical, and according to another very old Vatican manuscript register; but
according to some later pontificals, twelve years and three months. He perhaps sat
three years as vicar to Saint Clement during his banishment, says Berti. Trajan
raised the third persecution against the church whilst he was in the east in
107. In those difficult times Saint Anacletus suffered much, and is styled a
martyr in very ancient martyrologies.
MLA
Citation
Father Alban Butler.
“Saint Anacletus, Pope and Martyr”. Lives of the
Fathers, Martyrs, and Principal Saints, 1866. CatholicSaints.Info.
29 April 2018. Web. 25 April 2019.
<https://catholicsaints.info/butlers-lives-of-the-saints-saint-anacletus-pope-and-martyr/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/butlers-lives-of-the-saints-saint-anacletus-pope-and-martyr/
Saint Anaclet, Pape et
martyr, l’an 96, fêté le 13 juillet http://orthodoxievco.net/ecrits/vies/synaxair/juillet/anaclet.pdf
Voir
aussi : http://www.documentacatholicaomnia.eu/01_01_0076-0088-_Anacletus_I,_Sanctus.html






