Saint Longin
Centurion romain (1er s.)
Le centurion qui était là en face de Jésus, voyant comment il avait expiré, s'écria: «Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu!» (Marc 15.39)
Ce centurion romain, qui aurait transpercé le côté du Christ en croix et qui confessa sa foi au pied de la Croix en contemplant la mort du Christ, est fêté dans les Églises d'Orient sous le nom de saint Longin.
Il est fêté le 16 octobre en Orient et le 15 mars en Occident.
"En voyant les miracles qui s'opéraient, le soleil obscurci et le tremblement de terre, il crut et surtout depuis l’instant où, selon le dire de certains auteurs, ayant la vue obscurcie par maladie ou par vieillesse, il se frotta les yeux avec du sang de Notre Seigneur coulant le long de sa lance, car il vit plus clair tout aussitôt. Renonçant donc à l’état militaire, et instruit par les apôtres, il passa vingt-huit ans dans la vie monastique à Césarée de Cappadoce, et convertit beaucoup de monde à la foi par sa parole et ses exemples"... (La légende dorée - Abbaye Saint-Benoît en Suisse)
À Jérusalem, commémoraison de saint Longin, dont le nom désigne le soldat qui perça de sa lance le côté du Christ cloué à la croix.
Martyrologe romain
SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/8577/Saint-Longin.html
SAINT LONGIN *
SOURCE : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/voragine/tome01/049.htm
Saint Longin vécut sous le règne de l'empereur Tibère (15-34 ap. J-C.). Il était orginaire de Cappadoce et servait dans l'armée romaine comme centurion sous les ordres de Pilate, le gouverneur de la Judée. C'est à lui et à ses hommes qu'on commanda d'exécuter la Sainte Passion de Notre Sauveur Jésus-Christ et de garder le tombeau, de crainte que les disciples ne viennent dérober Son corps pour faire croire à Sa Résurrection. C'est ainsi que Longin fut le témoin de tous les Miracles étonnants qui accompagnèrent la Passion du Christ: le tremblement de terre, l'obscurcissement du soleil, le déchirement du voile du Temple, les rochers qui se fendirent, les tombeaux qui s'ouvrirent et les corps de nombreux Saints des temps anciens qui ressuscitèrent et se montrèrent à tous... En voyant ces prodiges, les yeux du coeur du centurion s'ouvrirent et il s'écria d'une voix forte: « Vraiment, il était fils de Dieu!» (Mat. 27:54; Mc 15:39). Lorsque, le troisième jour, les gardes du tombeau furent témoins de l'apparition de l'Ange aux Saintes Femmes, ils furent pris d'une grande terreur et restèrent comme morts. Quelques uns d'entre-eux allèrent rapporter aux grands-prêtres juifs ces événements. Ceux ci se rassemblèrent avec les anciens et, ayant délibéré, décidèrent de donner à Longin et ses hommes une forte somme d'argent, afin qu'ils fassent courir le bruit que les disciples étaient venus de nuit dérober le corps pendant que les gardes dormaient. Mais, désormais illuminés de la lumière de la foi en la Résurrection, Longin et deux de ses soldats refusèrent cet argent. Il abandonna alors sa charge de centurion et quitta l'armée pour se rendre dans sa patrie, la Cappadoce, et y propager la Bonne Nouvelle à l'imitation des Apôtres. Apprenant cela et incité par l'argent et les cadeaux des Juifs avides de vengeance, Pilate écrivit à l'empereur Tibère pour dénoncer Longin.La Providence voulut que, sans le savoir, les hommes envoyés à la recherche de Longin par Tibère en Cappadoce s'arrêtèrent dans la maison où s'était réfugié le centurion déserteur, pour y demander l'hospitalité et y prendre quelques renseignements sur Longin qu'ils n'avaient jamais vu.C'est le Saint lui-même qui les reçut avec tous les soins qu'ont les disciples du Christ pour l'étranger. En conversant, ils lui révélèrent le but de leur voyage. Longin ressentit une immense joie à cette nouvelle et Manifesta alors envers ses hôtes une délicatesse encore plus grande. Il les installa confortablement, puis alla, avec une grande sérénité, préparer son tombeau et ce qui était nécessaire à ses funérailles. Il alla chercher ses deux compagnons qui avaient fui avec lui la Palestine et les décida à s'offrir avec lui au Martyre. Il revint ainsi vers ses hôtes et leur révéla qu'il était Longin, celui qu'ils cherchaient pour l'exécuter. Les envoyés de l'empereur restèrent stupéfaits de l'audace du Saint et montrèrent un profond chagrin de devoir accomplir leur sombre besogne sur celui qui leur avait offert une telle hospitalité. Mais c'est le Saint lui-même qui les implora de ne pas tarder davantage à les réunir lui et ses compagnons à leur Seigneur et Maître. La mort dans l'âme les envoyés de l'empereur tranchèrent donc la tête des trois disciples du Christ et envoyèrent le chef de Longin à Jérusalem, afin que Pilate et les juifs soient assurés qu'il avait été effectivement exécuté. La tête du Saint fut ensuite jetée dans une fosse à fumier qui se trouvait aux abords de Jérusalem.De nombreuses années plus tard, une noble et riche dame de Cappadoce, qui était soudainement tombée malade et avait perdu l'usage de la vue, se rendit en pèlerinage dans la ville sainte, en compagnie de son fils unique, afin d'y prier pour sa guérison. Mais une fois arrivée dans la ville, son fils vint à mourir, ajoutant une détresse plus grande au malheur de la pauvre femme. Une nuit, saint Longin lui apparut en songe et lui révéla l'endroit où était enfouie sa tête, en lui promettant qu'elle recevrait la guérison de cette précieuse relique. Après avoir cherché avec empressement, la pieuse femme trouva la tête du saint martyr et reçut effectivement la guérison de sa cécité par la divine grâce déposée dans la relique du saint. Ce ne fut pas seulement ses yeux corporels qui s'ouvrirent, mais Dieu lui accorda aussi de voir des yeux de son âme que son fils se tenait aux côtés de saint Longin dans la demeure des bienheureux. Réconfortée et pleine de reconnaissance envers Dieu, qui sait rendre au centuple à ceux qu'il éprouve, elle déposa la relique du saint martyr et le corps de son fils dans une châsse qu'elle ramena en Cappadoce et déposa dans une église qu'elle fit construire en l'honneur du Saint.
SOURCE : http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsoctobre/oct16.html
Le Saint-Martyr Longin le Centurion, un soldat Romain, a servi en Judée, sous le commandement du Gouverneur, Ponce Pilate. Lorsque notre Sauveur Jésus-Christ a été crucifié, il a fait partie du détachement de soldats sous le commandement de Longinus, qui se montre sur le Golgotha, au pied même de la sainte Croix. Longin et ses soldats étaient des témoins oculaires des derniers moments de la vie terrestre du Seigneur, et des grands présages et redoutable qui semblaient à sa mort. Ces événements a secoué l'âme du centurion. Longin cru en Jésus-Christ et a avoué devant tout le monde: «Vraiment, cet homme était Fils de Dieu» (Mt 27:54).
Selon la Tradition ecclésiale, Longin était le soldat qui perça le flanc du Sauveur Crucifié avec une lance, et a reçu la guérison d'une affection oculaire lorsque le sang et l'eau jaillirent de la blessure.
Après la crucifixion et l'enterrement du Sauveur, Longin se montre avec sa compagnie au Sépulcre du Seigneur. Ces soldats étaient présents lors de la résurrection toute radieuse du Christ. Les Juifs ont soudoyés pour mentir et dire que ses disciples avaient volé le corps de Christ, mais Longin et deux de ses camarades ont refusé de se laisser séduire par l'or juif. Ils ont également refusés de garder le silence au sujet du miracle de la Résurrection.
En venant à croire au Sauveur, les soldats ont reçu le baptême des apôtres et ont décidés de quitter le service militaire. St Longin quitta la Judée pour prêcher sur Jésus-Christ le Fils de Dieu dans son pays natal (Cappadoce), et ses deux camarades le suivirent.
Les paroles enflammées de ceux qui avaient effectivement participé aux grands événements de Judée ont influencées les cœurs et les esprits des Cappadociens, le Christianisme a commencé à se répandre rapidement dans toute la ville et les villages environnants. Quand ils ont appris cela, les anciens des Juifs ont persuadé Pilate d'envoyer une compagnie de soldats en Cappadoce pour tuer Longin et ses camarades. Lorsque les soldats sont arrivés dans le village de Longin, l'ancien centurion vint lui-même à la rencontre des soldats et les ont emmenés à son domicile. Après un repas, les soldats ont révélé l'objet de leur visite, ne sachant pas que le maître de la maison était celui-là même qu'ils cherchaient. Puis Longin et ses amis se sont identifiés et ont dit aux soldats effrayés pour mener à bien leur devoir.
Les soldats voulaient laisser les saints vont et leur a conseillé de fuir, mais ils ont refusé de le faire, en montrant leur ferme intention de souffrir pour le Christ. Les saints martyrs ont été décapités, et leurs corps ont été enterrés à l'endroit où les saints furent martyrisés. La tête de saint Longin, cependant, a été envoyé à Pilate.
Pilate donna l'ordre de jeter la tête du martyr sur un tas de détritus à l'extérieur des murs de la ville. Après une. Tandis qu'une veuve aveugle de la Cappadoce sont arrivés à Jérusalem avec son fils pour prier sur les lieux saints, et de demander que sa vue être restauré Après être devenu aveugle, elle avait demandé l'aide des médecins pour la guérir, mais tous leurs efforts furent vains.
Fils de la femme est tombée malade peu de temps après se rendre à Jérusalem, et il est mort quelques jours plus tard. La veuve a déposé un grief pour la perte de son fils, qui avait servi comme son guide.
St Longin lui apparut en songe et lui réconforté. Il lui a dit qu'elle verrait son fils dans la gloire céleste, et aussi de recevoir sa vue. Il lui a dit d'aller à l'extérieur des murs de la ville et là, elle trouverait sa tête dans un grand tas d'ordures. Guides conduit la femme aveugle à la poubelle, et elle a commencé à creuser avec les mains. Dès qu'elle a touché la tête du martyr, la femme a reçu sa vue, et elle glorifiait Dieu et St Longin.
Reprenant la tête, elle la porta à l'endroit où elle logeait et l'a lavé. La nuit suivante, St Longin lui apparut de nouveau, cette fois avec son fils. Ils étaient entourés par une lumière vive, et St Longin dit: Femme, voilà le fils pour qui vous vous affligez. Voir ce que la gloire et l'honneur sont désormais son, et être consolé. Dieu lui a comptés avec ceux de son royaume céleste. Maintenant, prenez ma tête et le corps de votre fils, et de les enterrer dans le cercueil même. Ne pleurez pas pour votre fils, car il se réjouira toujours dans la gloire et de bonheur. "
La femme portait des instructions du saint et retourna à sa maison en Cappadoce. Là, elle a enterré son fils et la tête de saint Longin. Une fois, elle avait été vaincu par la douleur de son fils, mais ses pleurs a été transformée en joie quand elle le vit à St Longin. Elle avait demandé la guérison de ses yeux, et a également reçu la guérison de son âme.
SOURCE : http://cosaque.over-blog.net/article-fete-le-16-octobre-saint-martyr-longin-le-centurion-qui-se-tenait-devant-la-croix-du-seigneur-103879541.html
Vienna, Franciscan church. Main portal ( 1350 ):
Crucifixion group ( detail ) - Saint John the apostle, the Roman centurion
Longinus, a Jewish soldier ( with a Jew´s hat on the flag ) and a pharisee
Wien, Minoritenkirche. Hauptportal ( 1350 ):
Kreuzigungsgruppe ( detail ) - Evangelist Johannes, der römische Hauptmann
Longinus, ein jüdischer Soldat ( mit Judenhut auf der Fahne ) und ein
Pharisäer.
Also known as
Longino
15 October (Extraordinary Form)
22 October (Armenian Apostolic Church)
15 March on some calendars
Profile
Soldier who
pierced the side of Jesus at the Crucifixion. Convert. Martyred by
order of Pontius
Pilate.
Born
martyred in Cappadocia in
the 1st
century
relics in
the church of Saint Augustine in Rome, Italy
some relics under
the altar of
the church of San Niccolo in Baschi, Italy
–
soldier,
often in a uniform contemporaneous with the artist,
carrying a spear
soldier at
the foot of the cross
Additional Information
Book
of Saints, by the Monks of
Ramsgate
Golden
Legend, by Jacobus
de Voragine
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other sites in english
images
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sitios en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti in italiano
Readings
When Jesus had taken the wine, he said, “It is finished.”
And bowing his head, he handed over the spirit. Now since it was preparation
day, in order that the bodies might not remain on the cross on the sabbath, for
the sabbath day of that week was a solemn one, the Jews asked Pilate that their
legs be broken and they be taken down. So the soldiers came and broke the legs
of the first and then of the other one who was crucified with
Jesus. But when they came to Jesus and saw that he was already dead, they did
not break his legs, but one soldier thrust his lance into his side, and
immediately blood and water flowed out. An eyewitness has testified, and his
testimony is true; he knows that he is speaking the truth, so that you also may
(come to) believe. For this happened so that the scripture passage might be
fulfilled: “Not a bone of it will be broken.” And again another passage says:
“They will look upon him whom they have pierced.” – John 19:30-37
MLA Citation
“Saint Longinus the Centurian“. CatholicSaints.Info.
12 October 2020. Web. 15 March 2021.
<http://catholicsaints.info/saint-longinus-the-centurian/>
SOURCE : http://catholicsaints.info/saint-longinus-the-centurian/
Book-Cover Plaque with the Crucifixion and Holy Women at the Tomb. between circa 870 and circa 880 (Middle Ages). ivory, 16.5 x 8,7, Said to be from the Abbey of Maroilles, Picardy. Walters Art Museum. In the upper scene, the crucified Christ is flanked by the Virgin, St. John, and the Roman soldiers Longinus and Stephaton. A coiled serpent, symbolizing conquered evil, wraps its tongue around the base of the cross. Below, the Holy Women are greeted by an angel at the empty tomb of Christ, carved to look like the Holy Sepulcher (the site of Christ's burial) in Jerusalem. This Carolingian ivory, with its animated figures and fluid drapery, dates to the reign of Charles the Bald, grandson of Charlemagne.
St. Longinus is the centurion who pierced the
side of Our Lord while He was hanging on the Cross. St. Longinus, who was
nearly blind, was healed when some of the blood and water from Jesus fell into
his eyes. It was then he exclaimed “Indeed, this was the Son of God!” [Mark
15:39]. St. Longinus then converted, Left the army, took instruction from the
apostles and became a monk in Cappadocia.
There he was arrested for his faith, his teeth forced out and tongue cut off.
However, St. Longinus miraculously continued to speak clearly and managed to
destroy several idols in the presence of the governor. The governor, who was
made blind by the demons that came from the idols, had his sight restored when
St. Longinus was being beheaded, because his blood came in contact with the
governors’ eyes.
St. Longinus’ relics are now in the church of St Augustine, in Rome. His Lance
is contained in one of the four pillars over the altar in the Basilica of St
Peter’s in Rome. His Feast Day is March 15.
SOURCE : http://www.ucatholic.com/saints/saint-longinus/
Diptych Leaf with the Crucifixion and Flagellation, early 14th century (Middle Ages), ivory with traces of paint, 22 x 10.5, Walters Art Museum. The bands of small roses at the top of the two scenes identify this plaque as one of the "Rose Group" of ivories, characterized by their carefully arranged figures and graceful poses. The upper register shows the Crucifixion, with Christ accompanied by Mary and the Roman soldier Longinus (left) and Stephaton, the sponge-bearer, and St. John (right). Below is the scene of the Flagellation, noteworthy for the curved, almost mannered poses of the figures. Originally this panel was paired with a right leaf showing the Deposition and Entombment, now in the British Museum, London.
1st century; feast day in the East is October 16. According to tradition, the name of the centurion at the Crucifixion who acknowledged Christ as "the son of God" (Matt. 27:54; Mark 15:39; Luke 23:47) was Longinus. This centurion is also identified as the soldier who "pierced His side with a lance" (John 19:34), probably because the name is derived from the Greek word longche, meaning a lance. Untrustworthy legend exemplified by the Golden Legend says that the blood pouring from Christ's side immediately healed him of incipient blindness. Therefore, he was converted, left the army, took instruction from the Apostles, and then became a monk (centuries before there were monasteries) at Caesarea, Cappadocia, allegedly his homeland. The story continues that he was arrested for his faith and tortured. His teeth were knocked out and tongue plucked. He is said to have destroyed idols with a nearby axe in the presence of the governor who was trying him. From the broken idols came evil spirits that possessed, maddened, and blinded the governor. Longinus told his judge that he would be healed only after his own death. So, Longinus was immediately beheaded; whereupon the governor was healed and converted. An earlier cultus of Longinus was revived and strengthened with the discovery of the Holy Lance in a church of Antioch during the First Crusade, which had transformed the morale of the Christian soldiers (Benedictines, Delaney, Encyclopedia, Farmer).
In art, Saint Longinus is a soldier piercing Christ's side at the Crucifixion. He may also be depicted (1) as a soldier with a lance; (2) pointing to his eyes (he received his sight when the water from Christ's side fell upon him); or (3) with a lance, flinging wide his arms (Roeder). Click here to see Lucas Cranach the Elder's version of the The Crucifixion with the Converted Centurion.
SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0315.shtml
Saint Longinus
Lucas Cranach the Elder (1472–1553).
Die Kreuzigung mit dem gläubigen Hauptmann zu Pferde
The Crucifixion with the Converted Centurion, 1538, 61.6 x 42.2, Yale University Art Gallery. Gift
of Hannah D. and Louis M. Rabinowitz. above the cross: 'VATER IN DEIN HENDT
BEFIEL ICH MEIN GAIST' - beside the centurion: 'WARLICH DIESER MENSCH IST
GOTTES SVN GEWEST. bottom right: Artist's insignia: winged serpent with
dropped wings and dated 1538
Golden Legend – Saint
Longinus
Article
Here beginneth of Saint Longinus the Life.
Longinus, which was a puissant knight, was with other
knights, by the commandment of Pilate, on the side of the cross of our Lord,
and pierced the side of our Lord with a spear; and when he saw the miracles,
how the sun lost his light, and great earthquaving of the earth was, when our
Lord suffered death and passion in the tree of the cross, then believed he in
Jesu Christ. Some say that when he smote our Lord with the spear in the side,
the precious blood avaled by the shaft of the spear upon his hands, and of
adventure with his hands he touched his eyes, and anon he that had been tofore
blind saw anon clearly, wherefore he refused all chivalry and abode with the
apostles, of whom he was taught and christened, and after, he abandoned him to
lead an holy life in doing alms and in keeping the life of a monk about
thirty-eight years in Cæsarea and in Cappadocia, and by his words and his
example many men converted he to the faith of Christ. And when this came to the
knowledge of Octavian the provost, he took him and would have constrained him
to do sacrifice to the idols, and Saint Longinus said: There may no man serve
two lords which be contrary to other; thine idols be lords of thy malices,
corrupters of all good works and enemies to chastity, humility and to bounty,
and friends to all ordure of luxury, of gluttony, of idleness, of pride and of
avarice, and my Lord is Lord of soberness that bringeth the people to the
everlasting life. Then said the provost: It is nought that thou sayest; make
sacrifice to the idols and thy God shall forgive thee because of the
commandment that is made to thee. Longinus said: If thou wilt become christian
God shall pardon thee thy trespasses. Then the provost was angry, and made the
teeth of Saint Longinus to be drawn out of his mouth, and did do cut his mouth
open. And yet for all that Longinus lost not his speech, but took an axe that
he there found, and hewed and brake therewith the idols and said: Now may we
see if they be very gods or not. And anon the devils issued out and entered
into the body of the provost and his fellows, and they brayed like beasts and
fell down to the feet of Saint Longinus and said: We know well that thou art
servant unto the sovereign God. And Saint Longinus demanded of the devils why
they dwelled in these idols, and they answered: We have found place in these
idols for us, for over all where Jesu Christ is not named ne his sign is not
showed, there dwell we gladly; and because when these paynims come to these
idols for to adore and make sacrifice in the name of us, then we come and dwell
in these idols, wherefore we pray thee, man of God, that thou send us not in
the abysm of hell. And Saint Longinus said to the people that there were: What
say ye: will ye have these devlls for your gods and worship them or have ye
liefer that I hunt them out of this world in the name of Jesu Christ? And the
people said with a high voice: Much great is the God of christian people, holy
man, we pray thee that thou suffer not the devils to dwell in this city. Then
commanded Saint Longinus to the devils that they should issue out of these
people, in such wise that the people had great joy and believed in our Lord.
A little time after the evil provost made Saint
Longinus to come tofore him, and said to him that all the people were departed,
and by his enchantment had refused the idols; if the king knew it he should
destroy us and the city also. Aphrodisius answered: How wilt thou yet torment
this good man, which hath saved us and hath done so much good to the city? And
the provost said: He hath deceived us by enchantry. Aphrodisius said: His God
is great and hath none evil in him. Then did the provost cut out the tongue of
Aphrodisius, wherefore Saint Longinus signed unto God, and anon the provost
became blind and lost all his members. When Aphrodisius saw that, he said: Lord
God, thou art just and thy judgment is veritable. And the provost said to
Aphrodisius: Fair brother, pray to Saint Longinus that he pray for me, for I
have done ill to him, and Aphrodisius said: Have not I well told it to thee, do
no more so to Longinus: Seest not thou me speak without tongue? And the provost
said, I have not only lost mine eyes, but also my heart and my body is in great
pain. And Saint Longinus said: If thou wilt be whole and guerished put me
appertly to death, and I shall pray for thee to our Lord, after that I shall be
dead, that he heal thee. And anon then the provost did do smite off his head,
and after, he came and fell on the body of Saint Longinus and said all in
weeping, Sire: I have sinned; I knowledge and confess my filth, and anon came
again his sight, and he received health of his body and buried honorably the
body of Saint Longinus. And the provost believed in Jesu Christ and abode in
the company of christian men, and thanked God, and died in good estate. All
this happed in Cæsarea of Cappadocia to the honour of our Lord God, to whom be
given laud and glory in secula seculorum.
SOURCE : https://catholicsaints.info/the-golden-legend-the-life-of-saint-longinus/
Weingartener Heilig-Blut-Tafel von 1489. Landesmuseum Württemberg, Stuttgart. Tafel 1: Longinus öffnet mit seiner Lanze die Seite Christi
New Catholic
Dictionary – Saint Longinus
Article
Martyr, died Cappadocia,
1st century. He was the soldier who pierced the side of Christ with his lance,
and when the earthquake came he professed the Divinity of Christ. After his
conversion, he returned to Cappadocia, where he was put to death by order of
Pontius Pilate. The Italian legend, confusing him with Longinus the centurion,
states that he brought a relic of the Precious Blood to Mantua, and preached the
Gospel there. Represented in arms, standing at the foot of the cross. His
relics were preserved in the church of Saint Augustine, Rome. Feast, 15
March.
MLA Citation
“Saint Longinus”. New
Catholic Dictionary. CatholicSaints.Info. 28 May 2016. Web.
15 March 2021. <https://catholicsaints.info/new-catholic-dictionary-saint-longinus/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/new-catholic-dictionary-saint-longinus/
Mathias Grünewald (–1528). Crucifixion,
circa 1515, 74.9 x 54.4, Kunstmuseum Basel
Martyr Longinus, the Centurion who Stood at
the Cross of the Lord
October 16th
He stood transfixed at the foot of the Cross, watching
and wondering, full of awe and amazement. And then all at once, something
was born in him – a spark of faith, a brand-new beginning. And his life
was changed forever.
The divine Matthew the Evangelist describes the moment
of his conversion to Christianity with enormous power:
So when the centurion and those with him, who were
guarding Jesus, saw the earthquake and the things that had happened, they
feared greatly, saying, “Truly this was the Son of God!” (Matthew 27:54).
The centurion’s name was Longinus, and he was in
command of the Roman soldiers who presided over the Crucifixion of the Lord
Jesus Christ on Golgotha. According to some Church traditions, Longinos
was also the centurion who pierced Christ’s side with a spear, in order to
confirm his death – after which the wound discharged a rush of blood and water
that healed an eye infection which had been troubling Longinos greatly.
Soon after the events at Golgotha, St. Longinus would
play a major role in helping to establish the veracity of Christ’s Resurrection
. . . after the Jewish elders who had ordered the death of the Holy Redeemer
bribed several soldiers to spread the false report that the Savior’s disciples
had stolen his body under cover of darkness and made off with it.
St. Longinus ruined their devious plan, however.
Refusing to be bribed, he also insisted on telling the world the true story of
how Christ’s body had risen into the glory of the Resurrection. After
learning that the Roman soldier wanted no part of their conspiracy or their
money, the Jews decided to rely on their usual ploy: They would simply murder
this truth-telling centurion in cold blood. But the solider was a man of
courage and integrity – and as soon as he heard about the plot against him, he
took off his military garb, underwent baptism with several fellow-soldiers and
then hurried off to Cappadocia, where he spent many hours in prayerful devotion
and rigorous fasting.
Responding to the former centurion’s compelling piety,
many pagans in the region were also converted to the Gospel and underwent
Baptism as a result. St. Longinus lived and moved among them freely for a
time, then eventually returned home to live on his father’s estate. But the
perfidious Jews were not finished with him – and their lies soon provoked
Pontius Pilate, the Roman governor of Judea under the emperor Tiberius Caesar,
to issue a draconian order to his troops: Find this renegade centurion and
behead him immediately!
Once again, however, the resourceful St. Longinus
anticipated a plan against his life. Hurrying out to the roadway, he
greeted his adversaries as friends. Without letting them know who he was,
he invited them back to his own residence. He fed them lavishly, and when they
fell asleep, he prepared himself for his execution by praying throughout the
night and then clothing himself in spotlessly white burial garb. As dawn
approached, he drew his loyal companions to his side and instructed them to
bury him at the top of a nearby hill.
The stage was now set. Moving swiftly, the
martyr approached the awakening soldiers and revealed his true identity; “I am
Longinus, the man you seek!”
Amazed and mortified by their host’s honesty, the
Romans were knocked completely off balance – how could they behead a man of
such noble character? But even as they protested against the execution,
this greathearted soldier insisted that they should carry out their orders to
end his life. In the end, St. Longinus and the two fellow-soldiers who
had stood with him at the foot of the cross were taken to Jerusalem and
beheaded, and the centurion’s destiny as a martyr for Jesus Christ was
fulfilled.
Sighing mournfully over the tragedy they had been
required to act out, the execution squad carried Longinus head to Pilate, who
immediately sent it on to the scheming Jews. They threw it on a dung heap
outside Jerusalem. St. Longinus was dead – but the legends that would
follow this valorous warrior had only just been born.
The power of those legends can be seen in another
story that has persisted down through the ages. According to the
narrative, a blind woman who was visiting Jerusalem in order to pray at its
holy shrines experienced a mysterious dream in which St. Longinus appeared and
told her where to find his head, which she should bury. The blind woman
obeyed instantly, and found a guide to lead her to the dung heap. There
she located the saint’s head and reverently transported it back to his native
land of Cappadocia for burial.
The story of the Roman soldier who watched Christ die
and was then martyred himself lives on as a treasured narrative in the long
history of the Holy Land saints. The life of this revered Christian
reminds us that God the Father does not hesitate to award His saving grace to
anyone who sincerely asks for it – including even those who were engaged
directly in ending the life of His own beloved Son.
The idea that such healing grace is freely available to all has become a central tenet of the Christian faith – thanks in part to the courageous loyalty of the valiant soldier who died for the Lord Jesus Christ.
Apolytikion in the Fourth Tone
Thy Martyr, O Lord, in his courageous contest for Thee received as the prize of the crowns of incorruption and life from Thee, our immortal God. For since he possessed Thy strength, he cast down the tyrants and wholly destroyed the demons’ strengthless presumption. O Christ God, by his prayers, save our souls, since Thou art merciful.
Kontakion in the Fourth Tone
With great joy the Church of Christ today rejoiceth on
the festive memory of blest Longinus, the all-famed and godly prizewinner. And
she doth cry out: O Christ, my foundation and might art Thou.
SOURCE : https://almoutran.com/2011/10/4339
Warendorfer Passionsaltar, 1430
Longinus
SS. Longinus miles, Longinus Centurio et
2 Soc. MM. (15. März). In alten lat. Martyrologien wird der Name des Soldaten,
welcher die Seite Jesu am
Kreuze mit seiner Lanze öffnete, so daß Blut und Wasser herausfloß (Joh. 19,
34), Longinus genannt, und so heißt er auch im Mart. Rom. am 15. März. Bei den
Griechen wird aber der Hauptmann, welcher bei der Kreuzigung Christi gegenwärtig
war und Jesum als »Sohn Gottes« und als »gerecht« bekannte (Matth. 27, 54;
Mark. 15, 39; Luk. 23, 47), Longinus genannt und am 16. Oct. verehrt. Während
nun Einige (unter ihnen Baronius) Beide mit einander verwechseln und nur Einen
Longinus annehmen, der Ihn als »Sohn Gottes« bekannt und auch Seine Seite
geöffnet habe, unterscheiden die Bollandisten zwei heil. Soldaten mit Namen
Longinus, nämlich einen Gemeinen und einen Hauptmann, und sie sprechen sich am
15. März (II. 383. nr. 41) ganz bestimmt für zwei verschiedene Personen dieses
Namens aus. Sie theilen auch die Acten eines Jeden mit, aus denen diese
Verschiedenheit klar hervorgeht. Daß der von den 3 ersten Evangelisten erwähnte
Hauptmann, welcher Jesum als »Sohn Gottes« bekannte, nicht zugleich Seine Seite
durchbohrte, geht wohl schon auch daraus hervor, daß der hl. Evangelist Johannes,
welcher ja Augenzeuge war, ausdrücklich sagt, einer von den zum Beinebrechen
(crurifragium) abgesendeten Soldaten (also nicht ihr Führer oder Hauptmann)
habe Jesu Seite mit einem Speere geöffnet (Joh. 19, 34). - Was nun die Acten
dieser Beiden betrifft, so haben die Bollandisten hierüber Folgendes:
1. Der hl. Soldat Longinus, der die Seite Jesu mit
einem Speere öffnete, soll aus der Provinz Jsaurien in Kleinasien stammen und
vor seiner Bekehrung Cassius geheißen haben. Er gehörte zu jenen Soldaten,
welche unter Anführung eines Hauptmanns bei der Kreuzigung Christi und der zwei
Schächer die Wache zu halten hatten. Da nach der Erzählung des hl.
Evangelisten Johannes (Joh.
19, 31-37) die Gekreuzigten wegen des folgenden großen Ostersabbaths noch am
Freitage vom Kreuze abgenommen und daher zuvor noch vollends getödtet werden
sollten, so wurden den zwei Schächern von den dazu beorderten Soldaten die
Beine zerbrochen. Als man dieses auch bei Jesus thun wollte, Ihn aber schon
todt fand, »zerbrachen sie Seine Beine nicht, sondern einer von den Soldaten
öffnete Seine Seite mit einem Speere, und sogleich kam Blut und Wasser heraus«,
was der hl. Johannes unter Hinweisung auf einige dadurch in Erfüllung gegangene
Schriftstellen feierlich bezeugt und wodurch Sein Tod als gewiß eingetreten
erschien. Dieses Blut habe nun der Soldat voll Erstaunen aufgefangen und sich
damit die Augen bestrichen, und hiedurch wurden ihm, wie ein alter griechischer
Dichter singt, sogleich die Augen geöffnet. Dieses haben Einige so genommen,
als wenn dieser hl. Longinus zuvor blind gewesen wäre. Da jedoch ein blinder
Soldat nicht wohl die Seite des Herrn hätte öffnen können, so meinen Andere, er
sei einäugig oder schielend gewesen, deßhald von seinen Kameraden oft geneckt
und jetzt durch das Blut des Herrn geheilt worden. Aber sicherlich hatte der
griech. Dichter nur die Oeffnung seines geistigen Auges im Sinne, und so wird
es auch von den Meisten genommen. Da er nun auch noch die übrigen außerordentlichen
Ereignisse bei dem Tode Jesu sah, so kam er denn, wie sein Hauptmann, zu der
Ueberzeugung, daß der gekreuzigte Jesus von Nazareth mehr als ein blosser
Mensch gewesen seyn müsse. Die Auferstehung des Herrn, bei welcher er
wahrscheinlich auch gegenwärtig war, bestärkte ihn noch mehr in seiner
Ueberzeugung; er glaubte nun an Jesus von Nazareth und that Buße über sein
früheres Leben. Die Apostel unterrichteten ihn im heil. Glauben und nahmen ihn
durch die Taufe in die Kirchengemeinschaft auf. Sein Leben war fortan, wie die
Acten sagen, ein himmlisches zu nennen, so mildthätig gegen die Armen, so
keusch und gewissenhaft wurde er, wodurch er Viele zum Glauben an Jesus
bekehrte. Er führte dann zu Cäsarea in Kappadocien, wohin er nach seiner
Bekehrung sich begab, durch 28 (nach Andern 27, 29, 34, 38) Jahre ein
klösterliches Leben und wurde zuletzt auf Befehl des Statthalters Octavius
wegen der auf seine Veranlassung stattgefundenen Bekehrungen auf die
schmerzlichste Weise gemartert; er ließ ihm nämlich die Zunge ausschneiden und
die Zähne einschlagen, was ihn aber durchaus nicht hinderte, Christum mit
lauter Stimme zu preisen, und die Götzen als nichtig und machtlos darzustellen.
Dadurch wurden wieder Viele zu Christus bekehrt. Deßwegen wurde der hl.
Longinus nach einiger Zeit wieder vor den nämlichen Statthalter geführt, fand
aber daselbst an dem Kerkermeister (commentariensis) Aphrodisius einen
Vertheidiger, wobei der Heilige Gott dankte, daß er ihm einen Kampfgenossen
beigesellt. Der Statthalter ließ auch dem Aphrodisius die Zunge ausschneiden,
worüber der hl. Longinus seufzend zum Herrn flehte. Siehe, da wurde der
Statthalter auf der Stelle blind; Aphrodisius aber, dem ungeachtet der ausgeschnittenen
Zunge die Fähigkeit zu sprechen geblieben, pries die Gerechtigkeit des Herrn.
Der blinde Statthalter flehte nun den Aphrodisius an, er möge doch den Longinus
bewegen, daß er für ihn zu Gott rufe. Aphrodisius hielt hierauf dem Statthalter
seine grausame That vor und erinnerte ihn an die ihm gegebene Warnung. Der hl.
Longinus aber verlangte jetzt vom Statthalter, ihn schnell der Martyrkrone
theilhaftig zu machen; dann werde er vor dem Throne Gottes um Heilung für ihn
bitten, indem er ein größeres Vertrauen habe, den Herrn für ihn zu bitten, wenn
er vor Seinem Angesichte stehe. Hierauf gab denn Octavius den Befehl, ihn zu
enthaupten. Der hl. Longinus betete stehend noch etwa eine Stunde; dann wurde
ihm das Haupt abgeschlagen. Der Statthalter aber warf sich vor dem Leichnam zur
Erde auf sein Angesicht und flehte reuig zu Gott. Sogleich erlangte er seine
Sehkraft wieder, hüllte dann den heil. Leib in reine Linnen und begrub ihn mit
großer Freude. Fortan blieb Octavius treu im Glauben an Christus bei den Glaubenspredigern
und pries immer den Herrn. - So die Acten, welche die Bollandisten (pag.
384-386) aus mehreren sehr alten Manuscripten über diesen Soldaten Longinus
geben. Die Zeit seines Martyriums fällt in das 1. Jahrhundert. Als Martertag
wird in diesen Acten der 15. März angegeben, während andere Handschriften den
22. Nov. oder 2. Dec. haben. Ueber seinen Namen, seinen Leib und seine
Lebensgeschichte gehen aber noch verschiedene Behauptungen und Sagen in andern
Quellen einher. Der Name Longinus scheint Einigen nur fingirt zu seyn und von
dem griechischen Worte logxn d.i. »Lanze« abgeleitet, so daß er also gleichsam
»der Lanzenträger« (Logginos) hieße. Bei den Griechen finde sich der Name, der
wohl aus dem dem hl. Nikodemus zugeschriebenen
apokryphen Werke über das Leiden Jesu geschöpft seyn möge; aber er sei vor dem
Jahre 715 nicht gebraucht worden, nämlich erst von dem hl. Patriarchen Germanus,
während von dem Hauptmanne Longinus schon der um das J. 434 gestorbene hl.
Priester Hesychius schreibt.
Bei den Lateinern wäre es allerdings schon der hl. Kirchenvater Augustinus,
der denselben erwähnt, wenn das ihm zugeschriebene Manuale wirklich von ihm
wäre, während es nur eine später verfaßte Sammlung einiger Gedanken des hl.
Augustinus, des hl. Anselmus etc.
ist. Darin heißt es nämlich: »Longinus hat mir mit seiner Lanze die Seite
Christi eröffnet, und ich bin hinein gegangen und ruhe dort sicher«. Es können
daher nur die Martyrologien in Betracht gezogen werden, aus denen sich zugleich
seine Verehrung beweist, und da nennen die Bollandisten mehrere, namentlich die
von Rabanus
Maurus, Notker, Ado und
Andern, welche Alle seinen Namen Longinus haben, seinen Martertod auf den 15. März
setzen und nach Cäsarea in Kappadocien verlegen, wie das auch im Mart. Rom. der
Fall ist. Statt des Marterortes Cäsarea wollen nun aber die Mantuaner für ihre
Stadt die Stelle seines Leidens in Anspruch nehmen. Mantua habe schon 2 Jahre
nach Christi Tod den Glauben angekommen, den der hl. Longinus dort gepredigt
und mit seinem Blute bezeugt habe. Diese Sage kann aber kein hohes Alter
nachweisen. Der im J. 1516 verstorbene Mantuaner Johannes
Baptista berichtet vielmehr, daß der Leichnam auf einem Schiffe über
das Meer nach Mantua gebracht worden sei. Ein Schriftsteller macht auch den Ort
Cappadocia für Mantua geltend. Es sei nämlich ein Ort bei Mantua, oder viele
mehr auf der Insel, wo jetzt Mantua liegt, der »Kappadocia« heiße, und zwar von
den vielen an jenem Orte bei Mantua Gemarterten so genannt. Antonius Possevinus
geht so weit, daß er den hl. Longinus sogar den mantuanischen Rittern beizählt;
doch kann er jenen Ursprung des Namens Cappadocia selbst nicht recht zugeben.
Diese Sage entstand wohl in folgender Weise: Zur Zeit Karls des Großen um das
I. 804 wurde bei einem Spitale nächst Mantua ein bleiernes Kästchen mit einem
kleinen Gefäße ausgegraben, auf welchem die Aufschrift sich befand: »Blut Jesu
Christi«. Bald hierauf grub man auch einen Leichnam aus, den man dann für den unseres
hl. Longinus hielt. Wie man aber auf diese Meinung kam, ist in der Erzählung
nicht angegeben. Wenn übrigens auch der Name des ausgegrabenen Leichnams etwa
durch irgend eine Aufschrift als Longinus bezeichnet gewesen, so ist zu
bemerken, daß dieser Name unter den Römern sehr häufig vorkam 1, und
leicht ist es möglich, daß ein römischer Soldat dieses Namens zu Mantua
gemartert wurde, den man dann für unseren biblischen hl. Longinus hielt. Nach
dem oben erwähnten Johannes Baptista wäre der Leib des Letzteren schon vor dem
Einfalle der Longobarden von Cäsarea in Kappadocien nach Mantua und zwar
zugleich mit dem hl. Blute übertragen worden. - Bei dieser Gelegenheit berühren
die Bollandisten die Geschichte des heil. Blutes aus der Seite des göttlichen
Heilandes. Dieses soll ein Einsiedler, Namens Jakobus, aufgefangen und lange in
einem Kürbis verheimlicht haben, bis es zwei seiner Nachfolger durch
Offenbarung eines Engels erkannten, und endlich sei es in die Hände des frommen
Einsiedlers Basipsabas gekommen, den die Griechen am 10. Oct. als Heiligen
verehren. So lautet der Bericht aus dem Orient. Nach der Erzählung der
Mantuaner aber hätte unser hl. Longinus das bei der Seiten-Eröffnung
ausfließende Blut des Herrn alsbald aufgefangen, heimlich nach Mantua gebracht
und dort in der Stille vergraben. Ist aber auch das zu Mantua verehrte heil.
Blut nicht das aus der Seite Christi geflossene, so gibt es noch verschiedene
Begebenheiten, wo hl. Blut gewonnen wurde, von wo es dann seyn könnte. Nach dem
Berichte des 2. nicänischen Concils und dem auf diese Auctorität am 9. Nov.
sich deßfalls stützenden Mart. Rom. ward zu Berytus in Syrien ein Bild Christi
von den Juden gekreuzigt, welches eine Menge Blut vergoß, wovon orientalische
und occidentalische Kirchen reichlich bekamen. Dieses soll um das J. 765
geschehen seyn, also fast 40 Jahre vor der Auffindung des heil. Blutes in
Mantua. Auch in England und anderwärts wird heil. Blut aufbewahrt; namentlich
aber zu Brügge in Belgien in der St. Basiliuskirche, wohin es der Abt Leo von St. Bertin im
J. 1148 als Geschenk von Theodorich, dem Schwiegervater des Königs Balduin von
Jerusalem, überbracht hatte. Es war in Kristall eingeschlossen und wurde jeden
Freitag bis zum I. 1309 flüssig. Nach frommem Glauben, den der Bollandist nicht
für unwahrscheinlich findet, sei es von der Kreuzabnahme des Herrn, wo man es
mit einem Schwamme austrocknete. Oft habe sich auch die eucharistische Brod-
und Weinsgestalt in Blut verwandelt. Zu Brüssel gebe es 3 blutig gefärbte
Hostien, die in Folge von Wunden durch Judenhand reichlich Blut vergossen 2 etc.
etc. - Was die heil. Lanze betrifft, welche von der hl. Kaiserin Helena sammt
dem heil. Kreuze und den übrigen Leidenswerkzeugen des Herrn entdeckt worden
ist, so wurde dieselbe im J. 1098 zu Antiochia wunderbarer Weise wieder
aufgefunden, und die Stadt durch sie von der drückendsten Belagerung befreit.
Die heil. Lanze kam in der Folge an den griechischen Kaiser in Constantinopel,
der die abgefeilte Spitze an die Venetianer verpfändete, hernach aber dem hl.
Könige Ludwig
von Frankreich zum Geschenke sandte. Das übrige Eisen derselben blieb
in Constantinopel und kam bei der Eroberung im J. 1453 in die Hände des Sultans
Mohammed II. Dessen Sohn Bajazet schenkte es gewinnsüchtiger Zwecke halber dem
Großmeister der Ritter von Jerusalem, von welchem es im J. 1492 dem Papste
Innocenz VIII. verehrt wurde. Zu Rom nahm man es mit feierlicher Procession in
Empfang, und bewahrte es sodann in der Basilica des Vaticans auf. - Der, wie
bereits gesagt, im J. 804 in Mantua aufgefundene Leib des hl. Longinus wurde
sammt dem heil. Blute in Folge wiederholter himmlischer Traumgesichte, nachdem
Beides wieder eingegraben worden und geraume Zeit unbekannt geblieben war, im
J. 1049 neuerdings ausgegraben. Im J. 1053 bezeugte Papst Leo IX. dem
hl. Blute in Mantua seine Verehrung und nahm ein wenig davon nach Rom, wo es
später in der Laterankirche aufbewahrt wurde. Aber schon im J. 1055 war, um
nicht in den Kriegsläuften Feindesbeute zu werden, Beides wieder vergraben
worden. Im J. 1354 begab sich Kaiser Karl IV., von einigen Angesehenen der
Stadt begleitet, bei Nacht, damit es kein Aufsehen machte, in Mantua zur
Stelle, wo das hl. Blut, und zum Schranke, wo der Leib des hl. Longinus
aufbewahrt war. Das heil. Blut ließ er unangetastet wieder an seinen Ort
zurückstellen; aber von den Gebeinen des hl. Longinus nahm er, nach
dargebrachter andächtiger Verehrung, den rechten Arm und einen Theil der
Schulter, um sie nach Böhmen bringen zu lassen. In einem handschriftlichen
Martyrologium der Kirche von Prag wird wirklich von einem Arme und dem Haupte
des hl. Longinus geredet, die der Kaiser von Mantua bekommen habe. Der
Bollandist erklärt sich für Haupt und Arm, da die Quelle, die deren erwähnt,
den Vorzug verdiene. Es fand sich zwar zu des Bollandisten Zeit kein Haupt des
hl. Longinus, wohl aber das Haupt eines S. Innominatus, d.i. »eines
Ungenannten«. Der wahre Name ist nämlich durch die Länge der Zeit zu Grunde
gegangen, und dafür letztere »anonym« bedeutende Angabe zu lesen. Von einer
Schulter war jedoch in der That nichts zu finden, wohl aber fand sich das angedeutete
Armbein des hl. Longinus vor. Ein kleiner Theil dieser Reliquien kam in Folge
einer Schenkung von Seite des Kaisers Rudolph II. im J. 1587 nach Lissabon. Zu
Rom befand sich in der Basilica des Vatican ein Arm des hl. Longinus und ein
Ring. Der Ring wurde aber bei der Plünderung Roms durch die Truppen des Herzogs
von Bourbon im J. 1527 geraubt, wogegen sich der Arm noch um das J. 1617
vorfand. Diese Reliquien, so wie eine in der Kirche des hl. Marcellus, und
eine in der Kirche des hl. Augustinus, so wie alle Longinus-Reliquien zu Rom
dürften aber wohl einem oder dem andern hl. Longinus, nicht aber unserm hl.
Seiteneröffner Loginus angehören. Um so weniger läßt der Bollandist einen auf
der Insel Sardinien gebrachten hl. Longinus für den hl. Seiteneröffner gelten.
2. Was nun den Hauptmann (Centurio) Longinus betrifft,
so soll er nach den griech. Menäen aus Sandrales oder Adrales bei Tyana im
zweiten Kappadocien gewesen seyn. Nach einigen (übrigens unsicheren) griech.
Acten soll er auch Primianus geheißen haben. Nach dem (nicht sehr
zuverlässigen) spanischen Schriftsteller Bivarius hätte er Cajus geheißen, wäre
der Sohn des Hauptmannes Cajus Oppius gewesen, dessen Knecht Jesus zu
Kaphernaum heilte (Matth. 8, 5-13), und sei dann später Bischof von Mailand
geworden. Der Cajus (Gajus), an welchen der hl. Evangelist Johannes seinen
3. Brief geschrieden hat, so wie der Demetrius, welcher in diesem Briefe gelobt
wird, seien seine Söhne gewesen, was aber Alles wohl nur eine Fiction ist.
Jedenfalls ist es geschichtlich gewiß, daß derselbe, es mag nun der Name
Longinus sein wirklicher oder nur ein fingirter seyn, zur Zeit der Kreuzigung
Christi als Befehlshaber einer römischen Centurie in Jerusalem war und von
Pontius Pilatus den Auftrag erhalten hatte, mit einigen Soldaten die
Vollziehung des Todesurtheils zu überwachen. Da er nun vernommen, daß Jesus von
den Juden deßwegen zum Kreuzestode gebracht wurde, weil Er sich den Sohn Gottes
genannt, und da er dann das göttlich erhabene Benehmen Jesu während Seines
Schmerzenganges nach Golgotha und während der ganzen Kreuzigung beobachtete,
namentlich, dem Kreuze gegenüberstehend (Mark. 15, 39), die laute, Himmel und
Erde durchdringende Stimme: »Es ist vollbracht!« und »Vater, in Deine Hände
empfehle ich meinen Geist«! hörte, mit welcher Er Seinen Geist aufgab (Joh. 19,
30), so wie das Erdbeben, das Spalten der Felsen etc., das nach Seinem Tode
eintrat; da wurde er, der Heide, so erschüttert, daß er - und, wie es bei
Matthäus (27, 54) heißt, auch »jene, die bei ihm waren« - vor der ganzen Welt
ausrief: »Wahrlich, dieser war gerecht; Er war wirklich Gottes Sohn«. Was also
die Juden geläugnet und selbst die Apostel noch nicht auszusprechen gewagt
hatten, das hat der heidnische Hauptmann Longinus hier zuerst öffentlich
ausgesprochen. Als dann Joseph
von Arimathäa den Leichnam Jesu von Pilatus sich erbat, bezeugte er
diesem, daß Jesus wirklich gestorben sei (Mark. 15, 44 f.). Sein wunderbares
öffentliches Bekenntniß und die Verehrung, die ihm hiefür gebührt, gab nun dem
hl. Priester Hesychius von
Jerusalem Veranlassung, sein ferneres Leben nach einem alten Buche, das er
gefunden, und nach anderen auf ihn gekommenen Notizen zu beschreiben, und diese
Acten geben denn die Bollandisten (pag. 386-389) nach einer griech. Handschrift
der Vaticanischen Bibliothek. Nach denselben wäre der Hauptmann Longinus auch
bei der Grabwache gewesen, die Pilatus den Juden auf ihre Bitte zugestanden
hatte, wobei sie zur größeren Sicherheit auch noch den vor das Grab gewälzten
großen Stein versiegelten (Matth. 27, 62-66). Auf diese Weise sei er denn auch
noch Zeuge der Auferstehung Christi gewesen, wodurch sein Glaube an den Sohn
Gottes nur noch mehr bestärkt worden. Als dann die Hohenpriester, welchen
einige von den Grabwächtern die bei der Auferstehung stattgefundenen
wunderbaren Ereignisse hinterbrachten, in ihrer großen Verlegenheit denselben
viel Geld gaben, damit sie sagen sollten, die Jünger Jesu seien bei der Nacht
gekommen und hätten, während sie schliefen, Ihn gestohlen, wobei sie überdieß
ihnen versprachen, sie wegen einer solchen, für einen römischen Soldaten
freilich schmählichen und höchst strafbaren Pflichtvergessenheit bei Pilatus
sicher stellen zu wollen (Matth. 28, 11-15), was wohl auch viel Geld gekostet haben
mag 3;
da habe der Hauptmann Longinus dieses Geld mit Verachtung von sich gewiesen und
auch ferner der Wahrheit unerschrocken Zeugniß gegeben, was sowohl dem Pilatus
als auch den Juden höchst unangenehm war. Da sie ihm deßwegen auf alle Weise
nachstellten, und weil er nun, nachdem er noch von den Aposteln unterrichtet
und getauft worden war, ganz dem Herrn dienen wollte, so verließ er zu Cäsarea
den Kriegsdienst und zog sich mit zwei seiner Soldaten, die auch an Jesus
glaubten, aber in den Acten nicht genannt sind, in sein Vaterland zurück, wo er
Landwirtschaft trieb und zugleich den Kapadociern den Glauben an Jesus Christus
verkündete. Aber der Haß der Juden verfolgte ihn auch dort noch. Sie bewogen
daher den Pilatus durch Geld, den Longinus beim Kaiser Tiberius anzuklagen
wegen Verlassung seines militärischen Postens, so wie wegen seiner Predigten,
in welchen er Jesum als König darstellte. Mit dieser Klage schickten sie auch
Geld an den Kaiser und erwirkten von ihm wirklich einen Befehl an Pilatus, daß
er den Longinus als einen Deserteur tödten lasse. Pilatus schickte nun einige
Vertraute nach Kappadocien zur Ausführung dieses Befehles. Dort angekommen
begegneten sie einem unbekannten Manne, den sie sofort fragten, wo Longinus
sich befinde. Dieser nahm die Abgesandten freundlich in sein Haus auf und
bewirthete sie zwei Tage lang. Am dritten Tage führte er sie auf das Feld,
zeigte ihnen seine beiden Gefährten, die er inzwischen hatte kommen lassen, und
sagte ihnen, daß er selbst der gesuchte Longinus und zum Tode bereit sei. Lange
wollten die erstaunten Abgesandten nicht daran, ihren Wohlthäter zu tödten;
erst nachdem er ihnen gesagt, wie sehr er nach dem Tode verlange, um mit Jesus
vereinigt zu seyn, und nachdem er ihnen den Ort, wo er begraben werden wollte,
bezeichnet, entschlossen sie sich, ihn und seine beiden Gefährten zu
enthaupten, was denn auch geschah, und zwar, wie die Acten ausdrücklich sagen,
am 16. October. Hierauf nahmen sie sein Haupt und brachten es zum Beweise des
vollzogenen Befehls nach Jerusalem zu Pilatus, der es den blutdürstigen Juden
gegen viel Geld aushändigen ließ, dann aber den Befehl gab, daß es außerhalb
der Stadt auf einen Düngerhaufen geworfen werde. Dort blieb es lange Zeit
verborgen, bis es endlich durch den Heiligen selbst entdeckt wurde. Es war
nämlich in Kappadocien eine blinde Frau, welche in der Hoffnung auf Heilung mit
ihrem einzigen Sohne nach Jerusalem sich begab, dort aber auch noch ihren Sohn
durch den Tod verlor. In dieser doppelten Trübsal rief sie Gott um Hilfe an,
und da erschien ihr der hl. Longinus und bezeichnete ihr den Ort, wo sein Haupt
zu finden sei, ihr voraussagend, daß sie nach dessen Ausgrabung sehend werde.
Sie that, wie ihr geboten, und erhielt wirklich das Licht ihrer Augen; zugleich
zeigte er ihr auch ihren Sohn, wie er mit ihm eine große Herrlichkeit im Himmel
genieße, wodurch die Mutter sehr erfreut wurde, dann aber das Haupt des hl. Longinus
nach Kappadocien zurückbrachte und in Sandrales zu seinem heil. Leibe legte
etc. Nach anderen Acten, welche die Bollandisten (pag. 389-390) nach einer
anderen alten Handschrift der Vaticanischen Bibliothek geben und in welchen
»die Erfindung des Hauptes des hl. Hauptmannes Longinus« ausführlicher, aber
mit einigen Fabeln vermischt, erzählt wird, hätte die Frau Christina und ihr
Sohn Christion geheißen. Sie habe das Haupt des hl. Longinus vom Präfecten
Lucius in Jerusalem um 200 Denare gekauft und mit ihrem Sohne in das Vaterland
zurückgebracht, wo dann die Christen einen herrlichen Tempel über seinen heil.
Leib gebaut hätten. Dieses hätte jedenfalls erst viel später geschehen können,
nämlich erst, nachdem die Kirche Ruhe erhalten, ungefähr zur Zeit der Regierung
des Kaisers Constantin und
seiner Söhne etc. - Nach den Visionen der A. K. Emmerich hätte der Hauptmann,
ein geborner Araber, Abenadar geheißen, und bei der Taufe den Namen
Ctesiphon 4 erhalten.
Nachdem er Jesum als den »Sohn Gottes« bekannt, habe er nicht mehr länger im
Dienste Seiner Feinde stehen wollen, daher sein Pferd zu seinem Unterofficier
Cassius, der dann später bei der Taufe den Namen Longinus erhalten, gewendet,
ihm Lanze und Pferd übergeben und sei dann zu Pilatus gegangen etc. Cassius
habe nun das Pferd bestiegen und den Befehl geführt, dann aber mit der Lanze
die Seite Jesu geöffnet etc. Später habe er als Diakon Christum gepredigt und
immer von dem heil. Blute, das mit Wasser vermischt aus der Seite Jesu fließend
in einer Vertiefung des Felsenbodens unter dem Kreuze sich gesammelt habe, und
von welchem auch Maria und Johannes sammt
den heil. Frauen geschöpft hätten, bei sich geführt. Man habe davon auch in
seinem Grabe in Italien gefunden etc. etc. - In den großen griech. Menäen
findet sich ein Officium des hl. Hauptmanns Longinus am 16. Oct. Die Auffindung
des heil. Hauptes wird aber von den Griechen am 1. Nov. gefeiert. Die
Bollandisten haben am 16. Oct. (VII. 792) den hl. Hauptmann und Martyrer
Longinus unter den Prätermissen, da sie beide hhl. Longinus am 15. März
behandeln. (II. 376-390).
1 Er war der Familienname des Cassischen
Geschlechts (Cassia gens). Auch in unserem Augsburger Antiquarium findet sich
ein im J. 1731 an den Ufern der Wertach bei Augsburg aufgefundenes (gut
erhaltenes) Römer-Monument, welches der Eliten-Zeughaus-Aufseher (Aedituus
Singularium) Claudius Latinus dem Victorinus Longinus, einem Reiter aus dem
zweiten Flavischen Flügel der Eliten, hat erreichen lassen.
2 Bei dem Artikel
»Jesus Christus« ist oben Seite 165 auch öfters vom heil. Blute die
Rede und zwar in den Nummern 1. 4. 5. 14.
3 Daß Pilatus das Geld liebte und sogar
seine Urtheilssprüche um Geld zu verkaufen pflegte, bemerkt auch der Jude
Philo. Bei der Verurtheilnug Jesu wirkte aber auf ihn vorzüglich die
Menschenfurcht, die leider auch bei uns Viele in's Lager der Feinde Jesu führt
und zu Freunden des Barabbas macht, den sie ihrem Heilande vorziehen.
4 Die Bollandisten haben am, 1. April (I.
4) das Leben des hl. Bischofs Ctesiphon von
Vergio in Spanien und sagen nr. 7 ebenfalls, er sei nach Einigen ein Araber
gewesen und habe mit seinem väterlichen Namen Abenathar geheißen; aber von
einem Hauptmann Abenadar sagen sie nichts.
SOURCE : https://www.heiligenlexikon.de/Stadler/Longinus.html