mardi 24 avril 2012

Sainte MARIE-EUPHRASIE PELLETIER, vierge religieuse et fondatrice de l'Institut des Soeurs du Bon-Pasteur


Sainte Marie-Euphrasie Pelletier

Née le 31 juillet 1796 à Noirmoutier, en pleine tourmente révolutionnaire, Rose-Virginie Pelletier fit ses études à Tours où elle découvrit le « Refuge de Notre-Dame de charité », un couvent austère qui accueillait les « filles repenties ». Appelée à la vie religieuse, elle se consacre au relèvement des « filles tombées » en créant à Angers un nouveau refuge qu'elle appelle « Le Bon Pasteur ». Rose-Virginie, qui était devenue en religion Marie de Sainte Euphrasie, mourut le 24 avril 1868.

SOURCE : http://www.paroisse-saint-aygulf.fr/index.php/prieres-et-liturgie/saints-par-mois/icalrepeat.detail/2015/04/24/6395/-/sainte-marie-euphrasie-pelletier

Sainte Marie-Euphrasie Pelletier

Fondatrice de l'Institut du Bon-Pasteur (+ 1868)


Née à Noirmoutiers, elle entra, à dix-neuf ans, dans l'Ordre de Notre-Dame de Charité, fondé par saint Jean Eudes deux siècles plus tôt, congrégation dans laquelle les filles repenties peuvent mener la vie religieuse contemplative. Plus tard et dans le même esprit, elle fonda à Angers la Congrégation du Bon Pasteur.

Elle meurt à Angers le 24 avril 1868. Béatifiée en 1933, elle est canonisée en 1940.

Voir le site du diocèse d'Angers qui mentionne Sainte Marie Euphrasie Pelletier.

Sainte Marie de Sainte-Euphrasie Pelletier, née à Noirmoutier, fondatrice de la congrégation du Bon Pasteur d’Angers, décédée en cette ville le 24 avril 1868... (liste des Saints et Bienheureux du Diocèse de Luçon)

À Angers, en 1868, sainte Marie de Sainte-Euphrasie (Rose-Virginie Pelletier), vierge, qui fonda l’Institut des Sœurs du Bon Pasteur, pour accueillir par pitié des femmes qui avaient eu une vie déréglée, appelées les Madeleines.

Martyrologe romain


SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1029/Sainte-Marie-Euphrasie-Pelletier.html




SAINTE MARIE-EUPHRASIE PELLETIER

Fondatrice de l'Institut des Soeurs du Bon-Pasteur d'Angers

(1796-1868)

Sainte Marie-Euphrasie Pelletier était la fille d'un médecin bienfaisant; elle naquit le 31 juillet 1796 dans la petite île de Noir-moutiers, sur la côte de Vendée.

Pendant qu'elle était au pensionnat à Tours, elle connut le "Couvent du Refuge" où de jeunes femmes, qui n'avaient pas su diriger leur vie et étaient sorties du droit chemin, étaient reconquises pour Jésus-Christ, le Bon Pasteur, par des religieuses vêtues de blanc. Elle entra dans cette maison et en fut la supérieure à 29 ans.

Elle était si accoutumée à voir toutes choses dans la lumière de Dieu, et elle avait aussi une telle intuition de l'oeuvre de Dieu dans les âmes, qu'elle eut le courage, surmontant la résistance bien compréhensible de sa maison, de réunir en communauté religieuse à l'intérieur du couvent ces filles et ces femmes du Refuge, auxquelles beaucoup avait été pardonné et qui ne cherchaient plus maintenant qu'à aimer Dieu.

Ces pénitentes ou Madeleines vivent selon la règle des Carmélites sous la direction d'une des religieuses. En 1829, l'évêque d'Angers demanda au couvent de Tours des religieuses pour une maison d'éducation destinée à des jeunes filles moralement égarées. La jeune supérieure accepta la fondation et y fut bientôt envoyée elle-même pour surmonter les difficultés qui n'étaient pas petites au début.

Elle avait dit un jour: "Dieu m'a donné une double tâche: développer l'oeuvre des repenties et éveiller des vocations religieuses". Vers elle accoururent des troupes de jeunes filles. Mère Marie-Euphrasie débutait alors la réalisation de ce que le Seigneur lui avait montré un jour dans la prière au moyen de l'image d'une ruche d'où s'envolent de nombreux essaims.

L'oeuvre appelée à prendre une si extraordinaire expansion ne devait pas se faire sans la souffrance mais la force de la supporter lui fut donnée par la grâce de Celui qui, au commencement de ces épreuves, lui avait dit: "Attends, tais-toi, prie, souffre et espère." Ces mots devinrent sa devise.

"Notre institut, disait-elle, ne doit connaître que la voie de l'amour." Cet amour lui gagna les coeurs des "enfants" et des "mères", qu'elle réunit en si grandes troupes pour le bien des âmes qu'il dut être fondé des Provinces avec leurs propres maisons-mères et leurs propres noviciats.

A sa mort, l'association comptait 2,760 membres, 962 Madeleines, 14,755 élèves et enfants, réparties en 110 maisons et en 16 provinces religieuses. L'intrépide fondatrice mourut du cancer le 24 avril 1868. Mère Marie-Euphrasie Pelletier a été canonisée le jour de l'Ascension 1940 par sa Sainteté Pie XII.

W. Schamoni, Le Vrai Visage des Saints, Desclée de Brouwer, p. 281-282

SOURCE : http://magnificat.ca/cal/fr/saints/sainte_marie-euphrasie_pelletier.html


Née à Noirmoutiers, Marie Euphrasie entra à dix-neuf ans dans l'Ordre de Notre-Dame de Charité, fondé à Caen en 1641 par saint Jean Eudes deux siècles plus tôt ; congrégation dans laquelle les filles repenties peuvent mener la vie religieuse contemplative et changer de vie.

Plus tard et dans le même esprit, elle fonda à Angers la Congrégation du Bon Pasteur. Les soeurs ont pour mission de prier pour celles et ceux qui sont confiés aux Sœurs apostoliques ainsi que pour le salut des personnes à travers le monde.

Elle mourut à Angers le 24 avril 1868. Elle fut béatifiée en 1933 et canonisée en 1940.

Rédacteur : Frère Bernard Pineau, OP

SOURCE : http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Saints/Marie-Euphrasie-Pelletier


Karmel Mayerling in Niederösterreich


Sainte Marie-Euphrasie Pelletier

Rose-Virginie Pelletier est née le 31 juillet 1796 dans l’île de Noirmoutier. D’abord élève des Ursulines de Jésus établies dans l’île dès 1808, puis pensionnaire dans un couvent de Tours, elle s’oriente, à l’âge de dix-huit ans, verts la congrégation de Notre-Dame de Charité fondée par saint Jean Eudes pour recueillir les « épaves du siècle ». Le 26 mai 1825, le vote unanime du Chapitre place à la tête de la maison de Tours la jeune professe de vingt-neuf ans. Dès le mois de novembre, la nouvelle supérieure crée la branche des Madeleines, constituant une véritable congrégation des religieuses recrutées parmi les pénitentes. En 1829, l’évêque d’Angers demande à la Mère Pelletier de rétablir dans sa ville le couvent des Pénitentes et la communauté du Bon-Pasteur disparus au moment de la Révolution. Après les fondations du Mans, de Poitiers, de Grenoble et de Metz, la Mère Pelletier est élue supérieure générale de la congrégation du Bon-Pasteur et confirmée comme telle par bref apostolique du 3 avril 1835.

A la mort de la fondatrice, le 24 avril 1868, le Bon-Pasteur comptera cent dix maisons, réparties dans le monde entier, trois cents six l’année du centenaire de la fondation, et plus de quatre cents aujourd’hui.

SOURCE : http://mouvements.catho85.org/spip.php?article1751

Sainte Marie-Euphrasie Pelletier, portrait photographique, 16 févier 1860


Saint Mary Euphrasia Pelletier

Also known as

Euphrasia Pelletier

Marie of Saint Euphrasia

Mary Sainte-Euphrasie Pelletier

Rosa Virginia Pelletier

Rose Virginie Pelletier

Rose-Virginie Pelletier

Memorial

24 April

Profile

Born during the French RevolutionStudied at ToursFrance. Joined the Refuge of Our Lady of Charity at Tours on 20 October 1814, an order devoted to rescuing “fallen” women and those in danger of going on the game. She took the name Marie-Euphrasie, and made her religious profession on 9 September 1817. Superioress on 26 May 1825.

Founder of The Congregation of Our Lady of Charity of the Good Shepherd (Good Shepherd Sisters) at Tours on 11 November 1825, and established their monastery at AngersFrance on 31 July 1829; this congregation has the same mission, but is a contemplative order. She was recognized as Superior-General of the Congregation on 9 January 1831, and received approval from Pope Gregory XVI on 16 January 1835.

The Congregation has sisters working in ItalyGermanyBelgiumEnglandAlgeria, the United StatesCanadaEgyptIrelandAustriaIndiaChileMaltathe NetherlandsAustralia, and Myanmar. By the end of her life, there were over 2,000 sisters established in 100+ houses on five continents; this rapid expansion led to her being known as a patron of travellers.

Born

31 July 1796 at Noirmoutier, Vendée, France as Rose Virginie Pelletier

Died

24 April 1868 at Angers, Maine-et-Loire, France of natural causes

Venerated

24 February 1924 by Pope Pius XI

Beatified

30 April 1933 by Pope Pius XI

Canonized

2 May 1940 by Venerable Pope Pius XII

Patronage

travellers

Additional Information

Saints of the Day, by Katherine Rabenstein

The Holiness of the Church in the 19th Century

books

Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints

other sites in english

Catholic Culture

Catholic Information Network

Wikipedia

images

Saint Peter’s Basilica Info

Santi e Beati

Wikimedia Commons

e-books

Conferences and Instructions, by Saint Mary Euphrasia Pelletier

Life of reverend Mother Mary of Saint Euphrasia Pelletier, by A M Clarke

Life of Mother Mary of Saint Euphrasia Pelletier, volume 1, by H Pasquier

Life of Mother Mary of Saint Euphrasia Pelletier, volume 2, by H Pasquier

sitios en español

Martirologio Romano2001 edición

fonti in italiano

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Santi e Beati

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Den katolske kirke

Readings

If you neglect your duty towards the dead, you will be neglected in your turn when you are no more. If you pray for them carelessly, you will be prayed for carelessly ; in a word, you will be treated as you have treated others. – Saint Mary Euphrasia Pelletier

Draw near to our Lord, thoroughly aware of you own nothingness, and you may hope all things from His Goodness and Mercy. Never forget that Jesus Christ is no less generous in the Blessed Sacrament than He was during His mortal life on earth. – Saint Mary Euphrasia Pelletier

It is human to fall, but angelic to rise again. – Saint Mary Euphrasia Pelletier

The Blessed Sacrament is the first and supreme object of our worship. We must preserve in the depths of our hearts a constant and uninterrupted, profound adoration of this precious pledge of Divine Love. – Saint Mary Euphrasia Pelletier

One person is of more value than the whole world. – Saint Mary Euphrasia Pelletier

If you always love one another, if you always uphold one another, you will be capable of working wonders! – Saint Mary Euphrasia Pelletier

The old stars burn out and die, look to new horizons and even beyond. – Saint Mary Euphrasia Pelletier

MLA Citation

“Saint Mary Euphrasia Pelletier“. CatholicSaints.Info. 5 December 2021. Web. 22 April 2022. <https://catholicsaints.info/saint-mary-euphrasia-pelletier/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-mary-euphrasia-pelletier/

Mary Euphrasia Pelletier Santa Maria Euphrasia Parish Church (Sta. Cruz I, Dasmariñas Bagong Bayan-E&J) San Lorenzo Ruiz Pastoral Center (Summerwind Village IV, Burol Main, Dasmariñas City) Roman Catholic Diocese of Imus 


(Mary) Euphrasia Pelletier V (RM)

Born on Noirmoutier Island, Brittany, France, in 1796; died at Angers, France, on April 24, 1868; beatified in 1933; canonized in 1940 by Pope Pius XII.

Rose Virginia Pelletier, one of ten children of a refuge doctor of the Vendée wars, studied at Tours and in 1814 joined the Institute of Our Lady of Charity and Refuge, founded by Saint John Eudes in 1641 to help wayward and endangered women. She was professed in 1816, taking the names Marie-Euphrasie, was elected superior in 1825 (age 29), and, at the bishop's invitation made a new foundation at Angers in 1829. Two years later, Mother Euphrasia founded a contemplative community to complement the active social work of the others.

Having done this successfully, Mother Euphrasia returned to Tours; but experience had suggested to her the desirability of radical changes in her congregation's organization. She decided that a new congregation under a central authority was needed rather than individual foundations under separate bishops. Of course, Mother Euphrasia met with opposition and was accused of being an ambitious, insubordinate innovator. Even her detractors, however, said that "she was capable of ruling a kingdom."

With modesty and determination she rode out the storm, and in 1835, papal approval was given to the Institute of Our Lady of Charity of the Good Shepherd, dedicated to working with wayward girls, at Angers. The institute spread rapidly and by the time of Mother Euphrasia's death had thousands of sisters in 110 convents on four continents.

In all her work, Euphrasia provided the compassion and solicitude of the Good Shepherd to her sisters, penitents, and young girls in difficult family situations. Her strength and cheerfulness during the stormy times offer us an example of effectuating the gift of hope (Attwater, Benedictines, Bernoville, Delaney, Encyclopedia, Farmer).

SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0424.shtml


Mary Euphrasia Pelletier Santa Maria Euphrasia Parish Church (Sta. Cruz I, Dasmariñas Bagong Bayan-E&J) San Lorenzo Ruiz Pastoral Center (Summerwind Village IV, Burol Main, Dasmariñas City) Roman Catholic Diocese of Imus 


The Holiness of the Church in the Nineteenth Century – Venerable Sister Mary of Saint Euphrasia Pelletier

Article

Among those who are most to be pitied are the victims of seduction. The Church has never been wanting in zealous persons who have exerted all their energy in successful combat against this pest of souls. In the seventeenth century, about 1680, Blessed John Eudes founded a congregation of women entitled “Sisters of Our Lady of Charity,” whose object was to devote themselves entirely to the conversion of fallen women. In the nineteenth century the Congregation received a new life and a broader development from the Venerable Sister Mary of Saint Euphrasia Pelletier.

She was born of God-fearing parents on the island of Noirmoutier, off the coast of Vendee, 31 July 1796. The reading of the life and writings of Saint Teresa excited in her young heart a fervent enthusiasm for everything ideal and especially for the saving of souls. Hence the vocation of the Sisters of Our Lady of Charity proved most pleasing to her, and when she was nineteen she joined these self-sacrificing souls at Tours. Only a few years later they elected her superior on account of her prudence and zeal.

An important event in her life was her call to Angers in 1829 for the purpose of establishing there the work of her Congregation. For she soon perceived the great disadvantage arising from the want of connection between its individual houses. Often these individual houses had no one capable of directing their difficult work. The plans of Sister Pelletier won the assent of the ecclesiastical authorities and in 1835 Gregory XVI sanctioned the reorganization of the Congregation under the title “Sisters of Our Lady of Charity of the Good Shepherd.” Sister Mary of Saint Euphrasia was the first superior-general. Charity is ingenious. Mother Pelletier was ever on the alert for new means to restrain the vice which ruins both body and soul. For the penitents who after conversion showed an inclination toward religious life, she founded a special branch of her Congregation, the “Magdalens,” who take the three religious vows, but live according to their own rules separate from the Sisters of the Good Shepherd. For others who, afraid of relapse into sin, have no desire to return to the world and no inclination for religious life, she organized the institute of the “Consecrates,” or those who without vows solemnly consecrate themselves to the Mother of God. These live with the children called “Preservates” and efficaciously support the work of the Sisters.

It is always best to endeavor to secure prevention of the vice. Therefore the wise superior-general opened institutes for girls who were in danger. Finally she extended her work to orphanages and also to prisons for female convicts.

It can not be told in a few words how much good Mother Pelletier effected and still works through her daughters, who, animated by her spirit, labor in all civilized countries. Hundreds of thousands of poor creatures, who would have been doomed to the greatest misery, both temporal and eternal, have been regained to human society and to the Church by this work of charity. And especially in our own day, when depravity of morals is so shockingly widespread, the work of the Sisters of the Good Shepherd is eminently apostolic and suited to the needs of the times. It needed the enlightened zeal of a saint to give it vigorous organization and to impart to others the necessary enthusiasm and spirit of self-denial. “After listening to our Mother,” said one who heard her speak, “one would go to the end of the world to save only one soul.” Without doubt it was the personal sanctity of Venerable Mother Pelletier that drew down so many blessings upon her work both before and after her death. Her earthly life came to its end on 24 April 1868. Her many services for the salvation of souls have assuredly won for her glorious reward in heaven.

MLA Citation

Father Constantine Kempf, SJ. “Venerable Sister Mary of Saint Euphrasia Pelletier”. The Holiness of the Church in the Nineteenth Century: Saintly Men and Women of Our Own Times1916. CatholicSaints.Info. 17 March 2018. Web. 22 April 2022. <https://catholicsaints.info/the-holiness-of-the-church-in-the-nineteenth-century-venerable-sister-mary-of-saint-euphrasia-pelletier/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/the-holiness-of-the-church-in-the-nineteenth-century-venerable-sister-mary-of-saint-euphrasia-pelletier/

St. Mary Euphrasia Pellettier. Founder Statue by Giovanni Nicolini, 1942. Pedestal - S. M(aria) EUPHRASIA PELLETTIER / FUNDATRIX D(ominae) N(ostrae) CHARITATIS A BONO PASTORE / 1796-1868. Saint Peter Basilica. Founder Statues - Left Transept - East Wall, St Mary Euphrasia - Upper Left (http://stpetersbasilica.info/Statues/Founders/MaryEuphrasiaPellettier/Mary%20Pellettier.htm)


Santa Maria di S. Eufrasia (Rosa Virginia Pelletier) Fondatrice

24 aprile

Noirmoutier, Francia, 31 luglio 1796 - Angers, 24 aprile 1868

Martirologio Romano: Ad Angers in Francia, santa Maria di Sant’Eufrasia (Rosa Virginia) Pelletier, vergine, che per accogliere con misericordia le prostitute, da lei chiamate ‘Maddalene’, fondò l’Istituto delle Suore del Buon Pastore.

Rosa-Virginia Pelletier nacque nell’isola di Noirmoutier (Vandea) il 31 luglio 1796. Crebbe nell’atmosfera creata dai racconti delle lotte eroiche del cattolicesimo della Vandea, contro le scelleratezze della Rivoluzione Francese, questo spiegherebbe in parte la sua fede salda e conquistatrice. 

Educata dalle Orsoline di Chavagne, frequentò anche l’Istituto dell’Associazione cristiana a Tours, A sedici anni entrò come postulante nel monastero di Tours dell’Ordine di Nostra Signora della Carità del Rifugio fondato nel 1641 da s. Giovanni Eudes, istituito per la riabilitazione delle giovani e delle donne in pericolo morale e per la rieducazione cristiana di quanti vengono loro affidati. 

Conquistata da questo ideale Rosa-Virginia il 9 settembre 1817 fece la sua professione religiosa prendendo il nome di Maria di S. Eufrasia e cosa fuori del normale, a 29 anni venne nominata superiora del convento di Tours. Lì fondò l’Opera delle “Maddalene” dove le ragazze ricondotte sulla retta strada possono aderire e vivere una vita religiosa sul modello carmelitano con relativa Regola e abito e stando in un’ala distinta del convento. 

Si recò nel 1829 ad Angers per fondarvi un ‘Rifugio’ espressione tipica delle Case del suo Ordine, del quale nel 1831 ne divenne superiora. A questo punto lo stimolo ad operare sempre più in profondità sulla redenzione di tante traviate, la spinse a fare della Casa di Angers, la casa madre di una organizzazione parallela all’Ordine di Nostra Signora della Carità, ma con la specificità di una centralità organizzativa mentre l’Ordine di N. S. aveva conventi con autonomie separate. 

Fondò così l’Istituto del Buon Pastore di cui divenne superiora generale a vita; trovò molte resistenze a questa divisione dell’Ordine sia da parte delle Autorità religiose, sia dai monasteri stessi che intendevano conservare la loro autonomia; il suo coraggio e il suo zelo furono appoggiati da papa Gregorio XVI che approvò l’Istituto il 3 aprile 1835. 

La sua Opera si diffuse in tutto il mondo, uscendo dallo stretto ambito locale facendo un bene immenso nella rieducazione femminile; i risultati ottenuti a forza di bontà e sensibilità pedagogica dalle religiose, suscitano ancora oggi l’ammirazione delle autorità civili, che affidano le giovani da rieducare, a loro furono e sono affidate anche le direzioni di varie prigioni femminili. 

Queste ragazze raggiunta la maggiore età in genere non vengono abbandonate, esse possono scegliere di rimanere nell’Istituto del Buon Pastore come “Maddalene” o come “Ausiliarie” o come “Monitrici”; oppure trovano un riferimento nel ‘focolare’ che fornisce un alloggio quando non hanno un appoggio familiare. 

Inoltre alle assistite, oltre l’educazione cristiana e morale, viene garantita una istruzione intellettuale e tecnica che le aiuterà ad inserirsi nella vita sociale. 

Suor Maria di S. Eufrasia, fondò più case di tutti nella storia della Chiesa, ben 111 fra il 1829 e il 1868, ottenendo così ragione del suo vedere più proficuo l’apostolato coordinato da un ‘generalato’ ad Angers. 

Alla sua morte avvenuta il 24 aprile 1868, l’Istituto contava 15.000 ragazze da rieducare con 2376 suore. Nel 1964 esso contava 475 case nei cinque continenti, 10.000 religiose, 2800 “Maddalene”, 1800 “Ausiliarie” e circa 9.000 allieve. 

Fu beatificata il 30 aprile 1933 da papa Pio XI e canonizzata da Pio XII il 2 maggio 1940. Una sua statua della scultore G. Nicolini è posta nella Basilica di S. Pietro in Vaticano fra i grandi fondatori di Ordini Religiosi. 

La sua festa liturgica è posta al 24 aprile.

Autore: Antonio Borrelli

È la fondatrice delle Suore del Buon Pastore ed è nata su un’isola minuscola, quasi attaccata alle coste della Vandea: Noirmoutier. Ultima degli otto figli del medico Giuliano Pelletier e di Anna Amata Mourain, al battesimo è stata chiamata Rosa Virginia. Ha perduto il padre a 10 anni, ricevendo dalla madre la prima educazione. Ha studiato presso le Orsoline di Chavagne e a 14 anni è entrata nel collegio dell’Associazione cristiana di Tours.

Qui la sua vivacità è stata scambiata per chissà che cosa dalle insegnanti; salvo una, che invece la sapeva capire e aiutare; ma questa poi ha lasciato il collegio per farsi suora. E anche Rosa Virginia se ne va, perché ha scoperto a Tours un’istituzione con quasi due secoli di vita, ma per lei nuova e sorprendente: la comunità femminile di Nostra Signora della Carità e del Rifugio, fondata a Caen nel 1641 da san Giovanni Eudes. Scopo: accogliere donne e ragazze strappate alla prostituzione, e impedire ad altre di cadervi, offrendo accoglienza, educazione cristiana e un’istruzione che le rendesse indipendenti. Il 20 ottobre1814 l’istituto di Tours l’accoglie come postulante, e nel settembre 1817 Rosa Virginia pronuncia i voti, assumendo il nome di due sante del IV e V secolo: si chiamerà suor Maria di sant’Eufrasia (nel parlare comune diventa spesso suor Maria Eufrasia). In questo momento ha 21 anni, e a 29 è già superiora a Tours. Nel Rifugio nasce per opera sua la comunità delle “Maddalene”, che accoglie donne già salvate dal malaffare grazie al Rifugio, e che chiedono di restare come religiose, vivendo però a parte, sotto la regola carmelitana.

A 33 anni lascia Tours per Angers, dove l’hanno chiamata a fondare un Rifugio. Ce n’è molto bisogno, e sono pure abbondanti gli aiuti del clero e di famiglie benestanti. Ma prima di tutto ci vogliono suore già preparate per questo lavoro. E non le può avere: chiede e non ottiene, perché ciascun Rifugio esistente ha la sua autonomia, vive di aiuti locali, forma le suore e se le tiene. O meglio: si tiene quelle che riesce a formare. Così accade che in un luogo esse abbondano, e si lavora molto: in un altro posto scarseggiano, e si arranca. Maria di sant’Eufrasia progetta di unire i Rifugi in un’istituzione unica, facente capo a un governo centrale, a una Madre generale. E giungerà a realizzare il progetto per i suoi Rifugi, per quelli che accettano la sua proposta: ma con una fatica enorme, coinvolgendo clero, vescovi, la Santa Sede. Molti Rifugi respingono la sua idea per rimanere autonomi. Da alcune parti arrivano anche le accuse: va contro le regole, ha sete di potere...Una crisi durissima, soprattutto per il tormento interno che tutto questo le procura. È il tempo della “grande sofferenza”, come lei dice. Però alla fine il progetto vince. Con l’approvazione di Roma (non sempre applaudita in Francia) nasce l’Istituto del Buon Pastore; e lei ne è la Madre generale. Questa struttura centralizzata lo distingue dall’ Ordine di Nostra Signora della Carità, del quale però continua a mantenere lo spirito di dedizione e le regole.

Madre Maria di sant’Eufrasia ha il tempo di veder crescere l’istituzione: si arriva a 2.760 religiose, 960 “Maddalene”, circa 15 mila ragazze e bambine in 110 case; tutto ciò nel 1868, anno della sua morte, a causa di un cancro, diagnosticato in ritardo. Nel 1940 Pio XII l’ha proclamata santa. I suoi resti sono ad Angers, nella cappella dell’Istituto.

Autore: Domenico Agasso

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/50675


Santa Maria Euphrasia Parish Church (Sta. Cruz I, Dasmariñas Bagong Bayan-E&J) San Lorenzo Ruiz Pastoral Center (Summerwind Village IV, Burol Main, Dasmariñas City) Roman Catholic Diocese of Imus 


Santa Maria Euphrasia Parish Church (Sta. Cruz I, Dasmariñas Bagong Bayan-E&J) San Lorenzo Ruiz Pastoral Center (Summerwind Village IV, Burol Main, Dasmariñas City) Roman Catholic Diocese of Imus 


Santa Maria Euphrasia Parish Church (Sta. Cruz I, Dasmariñas Bagong Bayan-E&J) San Lorenzo Ruiz Pastoral Center (Summerwind Village IV, Burol Main, Dasmariñas City) Roman Catholic Diocese of Imus 


Den hellige Eufrasia Pelletier (1796-1868)

Minnedag: 24. april

Den hellige Eufrasia (Euphrasia; fr: Euphrasie) ble født som Rosa Virginia Pelletier (fr: Rose-Virginie) den 31. juli 1796 på øya Noirmoutier utenfor kysten av Vendée i Bretagne i Nordvest-Frankrike. Faren Julien Pelletier var lege, og han og hans hustru Anna Mourain hadde flyktet dit under revolusjonskrigene. Rosa Virginia var et av deres ti barn. Faren døde i 1806. I 1808 kom noen katolske søstre til Noirmoutier for å åpne en skole, og Rosa Virginia begynte på den. Men etter at tre av Rosas søstre også var døde, bestemte hennes mor seg for å vende tilbake til Soullans. Hun bestemte at det beste for Rosa var å bli sendt på kostskole, så hun ble sendt til et kloster i Tours for utdannelse.

Den unge jenta var svært ulykkelig der de neste fire årene. Hun kunne ikke reise hjem i feriene, og moren døde i 1813, før hun var ferdig med skolegangen. Rosa var ensom og hadde hjemlengsel og hadde vanskelig for å tilpasse seg det nye livet.

I Tours ble hun kjent med «Tilfluktsklosteret». Det tilhørte kongregasjonen «Søstre av Vår Frue for Barmhjertighet og Tilflukt», som var grunnlagt i 1641 av den hellige Johannes Eudes for å redde prostituerte og beskytte kvinner i risikogrupper. Senere ble kongregasjonen hetende «Den gode Hyrdes Institutt». Dets søstre avla et fjerde løfte om «alltid å være nidkjære i å redde jenter og botferdige kvinner».

Etter å ha besøkt superioren ble Rosa overbevist om at dette var det arbeidet Gud ønsket at hun skulle gjøre. Den 20. oktober 1814 trådte hun som 18-åring inn i kongregasjonen, og den 6. september 1815 påbegynte hun novisiatet. Hun avla ordensløftene den 9. september 1817 og fikk klosternavnet Maria Eufrasia (Marie-Euphrasie) eller Maria av St. Eufrasia (Marie de Sainte-Euphrasie). Hun ble den 26. mai 1825 valgt til superior i huset i Tours, ennå bare 29 år gammel. Hennes første handling var å etablere «Magdalena-søstrene», hvor eldre, reformerte prostituerte kunne leve et religiøst liv hvor de kombinerte bønn og manuelt arbeid.

I 1829 ble hun sendt til Angers på biskopens innbydelse for å grunnlegge et ordenshus og et tilfluktshus der. Hun tok med seg fem søstre fra Tours, og til den nye grunnleggelsen brukte hun et tidligere tilfluktssted som var viet til Den gode Hyrde. Etter å ha utført oppdraget med suksess, overlot hun huset til andre og vendte tilbake til Tours.

Men to år senere sto huset i Angers i fare for å måtte stenges på grunn av mangel på ressurser, og den lokale biskopen overtalte biskopen av Tours om å la Maria Eufrasia reise til Angers og overta ledelsen der igjen. Deretter brøt det ut en temmelig smertefull strid mellom de to kommunitetene, og det endte med at Maria Eufrasia den 9. januar 1831 ble valgt til priorinne i Angers og forlot Tours. Innen 1833 var huset i Angers blitt restaurert, og fire nye hus var etablert i ulike byer. Alle var selvstyrte og under kontroll av den lokale biskopen. Hun opprettet også et kontemplativt søsterfellesskap som skulle be for det aktive sosiale arbeid som de andre søstrene utførte, og slik utfylle det.

Moder Eufrasias erfaringer gjorde at hun kom til at kongregasjonen sårt trengte radikale organisatoriske forandringer. Hun fant ut at det som trengtes, heller var en ny kongregasjon under en sentral myndighet fremfor separate hus som hver for seg var understilt de lokale biskopene. Dermed slapp de å rekruttere og lære opp sine egne søstre og kunne bruke sentrale ressurser i tider med ekspansjon eller krise. Hun var fast bestemt på å etablere en sentral organisasjon med en generalsuperior som hadde ansvaret. Hun møtte naturligvis motstand, og hun ble anklaget for å være en innovatør, ambisiøs og ulydig, og at hun ødela den ånden som hadde holdt instituttet i gang så lenge. Men også hennes motstandere innrømmet at hun var «dyktig nok til å regjere et kongedømme».

Med ydmykhet og besluttsomhet red hun av stormen, og den 16. januar 1835 approberte pave Gregor XVI (1831-46) det nye instituttet i Angers, «Vår Frue av Barmhjertigheten av Den Gode Hyrde av Angers» (Soeurs de Notre-Dame de Charité du Bon-Pasteur d'Angers – RBP) (på engelsk RGS), de berømte Soeurs du Bon-Pasteur, «Søstre av Den gode hyrde», viet til arbeidet blant villfarne jenter. Instituttet vokste raskt, og i løpet av de 33 årene Moder Eufrasia ledet det, omfattet det 2.760 søstre i 110 ordenshus på fire kontinenter, inkludert USA, Chile og Australia. I alt sitt arbeid viste Moder Eufrasia stor omsorg for sine søstre, botferdige, og de jenter som led under vanskelige familieforhold. Hun viste en forbilledlig styrke og godt mot i vanskelige tider.

Hun døde av kreft den 24. april 1868 i Angers, 71 år gammel. Hun ble saligkåret den 30. april 1933 av pave Pius XI (1922-39) og helligkåret den 2. mai 1940 av pave Pius XII (1939-58). Hennes minnedag er dødsdagen 24. april og hennes navn står i Martyrologium Romanum. Kongregasjonen arbeider nå over hele verden for kvinner og spesielt for mishandlede barn.

Kilder: Attwater/John, Attwater/Cumming, Butler (IV), Benedictines, Delaney, Bunson, Ball (2), Schauber/Schindler, Index99, KIR, CSO, Patron Saints SQPN, Infocatho, Bautz, Heiligenlexikon - Kompilasjon og oversettelse: p. Per Einar Odden - Opprettet: 1999-06-19 22:07 - Sist oppdatert: 2005-08-24 22:52

SOURCE : http://www.katolsk.no/biografier/historisk/eufrasia

Voir aussi http://www.buonpastoreint.org/news/fete-de-sainte-marie-euphrasie-24-avril-2012