Saint Barbat
Confesseur et évêque de
Bénévent (+ 682)
Il connut une vie mouvementée. Il persuada avec succès les Lombards païens, qui venaient d'envahir le duché, d'abandonner leurs pratiques superstitieuses. Durant le siège de sa ville par l'empereur Constant II de Byzance, il soutint les affamés et les blessés. Il participa au 6e concile œcuménique, à Constantinople, où fut condamnée l'hérésie monothélite en 681.
À Bénévent en Campanie, l’an 682, saint Barbat, évêque, qui dit-on, convertit
au Christ les Lombards et leur prince.
Martyrologe romain
SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/5771/Saint-Barbat.html
Saint Barbat
Évêque de Bénévent
(† 682)
SAINT BARBAT naquit dans
le pays de Bénévent, en Italie, au commencement du VIIe siècle.
Ses parents, qui
craignaient DIEU, mirent tout en œuvre pour lui procurer une éducation
chrétienne, et ils eurent la consolation de voir que leurs soins n'étaient
point inutiles.
Dès ses premières années,
le jeune Barbat montrait des dispositions qui présageaient l'éminente sainteté
à laquelle il parvint dans la suite.
Dés qu'il eut atteint
l'âge requis, il reçut les saints Ordres. Il s'était rendu digne de cet honneur
par un grand amour pour l'Écriture sainte, par la simplicité et l'innocence de
ses mœurs et par le zèle extraordinaire avec lequel il avançait continuellement
dans les voies de la perfection.
Le rare talent qu'il avait
pour la prédication fit confier à son ministère une petite ville voisine de
Bénévent. Le Saint s'aperçut bientôt qu'il avait affaire à des paroissiens
intraitables et ennemis de tout bien. Son zèle ne fit que les aigrir contre
lui, et malgré son humilité profonde et sa patience inaltérable, il fut forcé
par la calomnie de quitter son église.
Du moins, il remporta de
sa mission l'avantage d'avoir profité des épreuves que DIEU avait permises pour
purifier son cœur, en le détachant de plus en plus du monde et de lui-même.
Barbat revint à Bénévent,
où il fut reçu avec joie par tous ceux qui connaissaient la sainteté de sa vie.
Il y travailla à l'extirpation des abus, non seulement par ses discours, mais
encore par des prières ferventes et par des jeûnes rigoureux qu'il s'imposait.
Le bien qu'il y opéra
l'en fit nommer évêque. Il mourut plein de mérites en 682, âgé de soixante-dix
ans.
La vie de saint Barbat
nous montre que DIEU ne veut pas toujours attacher le succès à nos efforts, et
qu'il faut se tenir en paix, quoi qu'il arrive, quand on a fait son devoir. Les
épines et les échecs du zèle servent à la sanctification des pasteurs des âmes,
et sont souvent pour l'avenir un germe de sanctification qui produira des
fruits en son temps.
DIEU féconde l'Église par
le sang, les sueurs et les mérites de Ses apôtres. L'homme plante, DIEU Seul
fait croître. Le succès expose les ministres de DIEU à la vaine gloire. La
persécution, l'endurcissement des âmes, leur donnent occasion de pratiquer la
résignation, l'humilité, la confiance en DIEU Seul.
JESUS-CHRIST ne prêcha
que trois ans : il choisit peu d'apôtres, fit peu de disciples, vit un peuple
ingrat se soulever contre lui et le condamner à une mort ignominieuse ;
cependant c'est Lui et Lui Seul qui a opéré le salut du monde.
C'est du haut de la croix
qu'il a attiré tout à Lui. Les sacrifices du zèle apostolique ne sont jamais
perdus : tôt ou tard, DIEU en tire profit pour Sa gloire.
Pratique. Ne vous laissez
jamais abattre dans l'insuccès : Attendez l'heure de Dieu.
SOURCE : http://je-n-oeucume-guere.blogspot.ca/2009_02_01_archive.html
Saint Barbat, Évêque de
Bénévent
Saint Barbat naquit dans
le pays de Bénévent, en Italie, au commencement du VIIe siècle. Ses parents,
qui craignaient Dieu, mirent tout en oeuvre pour lui procurer une éducation
chrétienne, et ils eurent la consolation de voir que leurs soins n’étaient
point inutiles. Dès ses premières années, le jeune Barbat montrait des dispositions
qui présageaient l’éminente sainteté à laquelle il parvint dans la suite.
Dès qu’il eut atteint
l’âge requis, il reçut les saints Ordres. Il s’était rendu digne de cet honneur
par un grand amour pour l’Écriture Sainte, par la simplicité et l’innocence de
ses moeurs et par le zèle extraordinaire avec lequel il avançait
continuellement dans les voies de la perfection.
Le rare talent qu’il
avait pour la prédication fit confier à son ministère une petite ville voisine
de Bénévent. Le Saint s’aperçut bientôt qu’il avait affaire à des paroissiens
intraitables et ennemis de tout bien. Son zèle ne fit que les aigrir contre
lui, et, malgré son humilité profonde et sa patience inaltérable, il fut forcé,
par la calomnie de quitter son église. Du moins, il remporta de sa mission
l’avantage d’avoir profité des épreuves que Dieu avait permises pour purifier
son coeur, en le détachant de plus en plus du monde et de lui-même.
Barbat revint à Bénévent,
où il fut reçu avec joie par tous ceux qui connaissaient la sainteté de sa vie.
Il y travailla à l’extirpation des abus, non seulement par ses discours, mais
encore par des prières ferventes et par des jeûnes rigoureux qu’il s’imposait.
Le bien qu’il y opéra l’en fit nommer évêque. Il mourut plein de mérites, âgé
de soixante-dix ans.
La vie de saint Barbat
nous montre que Dieu ne veut pas toujours attacher le succès à nos efforts. Les
épreuves et les échecs du zèle servent à la sanctification des pasteurs des
âmes, et sont souvent pour l’avenir un germe de sanctification qui produira des
fruits en son temps. Dieu féconde l’Église par le sang, les sueurs et les
mérites de Ses apôtres. Les sacrifices du zèle apostolique ne sont jamais
perdus: tôt ou tard, Dieu en tire profit pour Sa gloire. Il veut nous apprendre
à donner l’humilité pour base à notre apostolat et à compter sur la grâce plus
que sur les efforts humains.
Source: sanctoral.com
SOURCE : https://messadelpapa.com/saint-barbat-eveque-de-benevent/
Also
known as
Barbas
Barbato
Profile
Priest at
an early age. Fiery preacher whose
flock turned on him because of his zeal; he finally resigned his parish and
returned home. There he fought against a resurgent paganism involving
the worship of a golden viper and animal skin hung in a tree. For unrelated
reasons, the army of
Emperor Constans, besieged Benevento;
the locals soon listened to the preacher,
renounced their errors, and stopped their idolatrous practices.
Barbatus assured them that the siege would end; it did. The saint cut
down the tree with his own hand, and melted down the golden viper to make
a chalice for
the altar. Bishop on 10 March 663.
Eradicated superstition in the state. Assisted in a council called by Pope Agatho at Rome, Italy in 680.
Attended the Sixth General Council held at Constantinople against
the Monothelites in 681.
Born
29
February 682 at Benevento, Italy of
natural causes
Additional
Information
Book
of Saints, by the Monks of
Ramsgate
Lives
of the Saints, by Father Alban
Butler
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
Short
Lives of the Saints, by Eleanor Cecilia Donnelly
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
video
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
MLA
Citation
“Saint Barbatus of
Benevento“. CatholicSaints.Info. 21 September 2021. Web. 13 May 2022.
<http://catholicsaints.info/saint-barbatus-of-benevento/>
SOURCE : http://catholicsaints.info/saint-barbatus-of-benevento/
Barbatus of Benevento B
(RM)
(also known as Barbas)
Born in the area of
Benevento, Italy; died there on February 29, 682. Born of Christian parents,
Barbatus was raised to sanctity. Devout meditation on the holy scriptures was
his chief entertainment. His innocence, simplicity, and purity of heart
qualified him for the service of the altar, to which he was ordained as soon as
the canons of the church would allow it.
Barbatus was immediately
employed by the bishop in preaching because he had an extraordinary talent for
it. Later he was made curate of Saint Basil's in Morcona near Benevento, a
typical parish where the people hesitated to change their sinful ways. As they
desired only to slumber on in their sins, they could not bear the
remonstrations of their pastor who endeavored to wake them to a sense of their
miseries and to sincere repentance. They, in turn, treated him as a disturber
of the peace and violently persecuted him.
Their malice was answered
by Barbatus's patience and humility, and his character shining still more
brightly was an even greater reproach. Finally, he was forced to withdraw from
them. But by these fiery trials, God purified his heart from all earthly
attachments, and perfectly crucified it to the world.
Barbatus returned to
Benevento were he was received with joy by those who were acquainted with his
innocence and sanctity. Barbatus was the enemy of superstition, which still
prevailed among the Lombards even after the conversion of the Arian king
Grimoald. The people expressed a religious veneration for a golden viper and
prostrated themselves before it. They also paid superstitious honor to a tree
on which they hung the skin of a wild animal.
Barbatus preached
zealously against these abuses, and added fervent prayer and rigorous fasting
for the conversion of his people. At length he roused their attention by
foretelling the calamities they were to suffer from the army of Emperor
Constans, who, soon after landing in Italy, besieged Benevento. Soon they were
listening to the preacher and renounced their errors and idolatrous practices.
Then Barbatus assured them that the siege would be ended and it so happened.
Upon their repentance the saint cut down the tree with his own hand and melted
down the golden viper to make a chalice for the altar.
Ildebrand, bishop of
Benevento, died during the siege. Once the peace was restored, Saint Barbatus
was consecrated bishop on March 10, 663. As bishop he completed the work of
eradicating every trace of superstition in the state.
In 680, Barbatus assisted
in a council called by Pope Agatho at Rome and the following year attended the
Sixth General Council held at Constantinople against the Monothelites. He died
shortly after the council about age 70. He is honored as one of the chief
patrons of Benevento (Benedictines, Encyclopedia, Husenbeth).
SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0219.shtml#barb
ST BARBATUS, OR BARBAS,
CONFESSOR, BISHOP OF
BENEVENTO A.D. 682
Feast: February 19
From his two authentic
lives in Bollandus t. 3, Febr. p. 139. See Ughelli, Italia Sacra, t. 8, p. 13.
St Barbatus was born in
the territory of Benevento, in Italy, toward the end of the pontificate of St.
Gregory the Great, in the beginning of the seventh century. His parents gave
him a Christian education, and Barbatus in his youth laid the foundation of
that eminent sanctity which recommends him to our veneration.
Devout meditation on the
holy scriptures was his chief entertainment; and the innocence, simplicity, and
purity of his manners, and extraordinary progress in all virtues, qualified him
for the service of the altar, to which he was assumed by taking holy orders as
soon as the canons of the church would allow it. He was immediately employed by
his bishop in preaching, for which he had an extraordinary talent; and, after
some time, made curate of St. Basil's, in Morcona, a town near Benevento. His
parishioners were steeled in their irregularities, and averse from whatever
looked like establishing order and discipline amongst them. As they desired
only to slumber on in their sins, they could not bear the remonstrances of
their pastor, who endeavoured to awake them to a sense of their miseries, and
to sincere repentance: they treated him as a disturber of their peace, and
persecuted him with the utmost violence. Finding their malice conquered by his
patience and humility, and his character shining still more bright, they had
recourse to slanders, in which, such was their virulence and success, that he
was obliged to withdraw his charitable endeavours amongst them. By these fiery
trials, God purified his heart from all earthly attachments, and perfectly
crucified it to the world.
Barbatus returned to
Benevento, where he was received with joy by those who were acquainted with his
innocence and sanctity. The seed of Christianity had been first sown at
Benevento by St. Potin, who is said to have been sent thither by St. Peter, and
is looked upon as the first bishop of this see. We have no names of his
successors till St. Januarius, by whom this church was exceedingly increased,
and who was honoured with the crown of martyrdom in 305. Totila, the Goth, laid
the city of Benevento in ruins in 545. When St. Barbatus entered upon his
ministry in that city, the Christians themselves retained many idolatrous
superstitions, which even their duke, or prince Romuald, authorized by his
example, though son of Grimoald, king of the Lombards, who had edified all Italy
by his conversion. They expressed a religious veneration to a golden viper, and
prostrated themselves before it: they paid also a superstitious honour to a
tree, on which they hung the skin of a wild beast, and these ceremonies were
closed by public games, in which the skin served for a mark at which bowmen
shot arrows over their shoulder. St. Barbatus preached zealously against these
abuses, and laboured long to no purpose: yet desisted not, but joined his
exhortations with fervent prayer and rigorous fasting, for the conversion of
this unhappy people. At length he roused their attention by foretelling the
distress of their city, and the calamities which it was to suffer from the army
of the emperor Constans, who, landing soon after in Italy, laid siege to
Benevento. In their extreme distress, and still more grievous alarms and fears,
they listened to the holy preacher, and, entering into themselves, renounced
their errors and idolatrous practices. Hereupon St. Barbatus gave them the
comfortable assurance that the siege should be raised and the emperor worsted,
which happened as he had foretold. Upon their repentance, the saint with his
own hand cut down the tree which was the object of their superstition, and
afterward melted down the golden viper which they adored, of which he made a
chalice for the use of the altar.
Ildebrand[1], Bishop of
Benevento, dying during the siege, after the public tranquillity was restored
St. Barbatus was consecrated bishop on the 10th of March, 663; for this see was
only raised to the archiepiscopal dignity by Pope John XIII about the year 965.
Barbatus, being invested with the episcopal character, pursued and completed
the good work which he had so happily begun, and destroyed every trace or the
least remains of superstition in the prince's closet, and in the whole state.
In the year 680 he assisted in a council held by Pope Agatho at Rome, and the
year following in the sixth general council held at Constantinople against the
Monothelites.
He did not long survive
this great assembly, for he died on the 29th of February, 682, being about
seventy years old, almost nineteen of which he had spent in the episcopal
chair. He is named in the Roman Martyrology, and honoured at Benevento among
the chief patrons of that city.
Many sinners are moved by
alarming sensible dangers or calamities to enter into themselves, on whom the
terrors of the divine judgment make very little impression. The reason can only
be a supine neglect of serious reflection, and a habit of considering them only
transiently, and as at a distance; for it is impossible for any one who
believes these great truths, if he takes a serious review of them, ant has them
present to his mind, to remain insensible: transient glances effect not a
change of heart. Amongst the pretended conversions which sickness daily
produces, very few bear the characters of sincerity, as appears by those who,
after their recovery, live on in their former lukewarmness and disorders. St.
Austin, in a sermon which he made upon the news that Rome had been sacked by
the barbarians, relates a that not long before, at Constantinople, upon the
appearance of an unusual meteor, and a rumour of a pretended prediction that
the city would be destroyed by fire from heaven, the inhabitants were seized
with a panic fear, all began to do penance like Ninive, and fled, with the
emperor at their head, to a great distance from the city. After the term
appointed for its pretended destruction was elapsed, they sent scouts to the
city which they had left quite empty, and, hearing that it was still standing,
returned to it, and with their fears forgot their repentance and all their good
resolutions. To prevent the danger of penitents imposing upon themselves by
superficial conversions, St. Barbatus took all necessary precautions to improve
their first dispositions to a sincere and perfect change of heart, and to cut
off and remove all dangerous occasions of temptations.
Endnotes
1 "The devil was
sick, the devil a monk would be ; The devil was well, the devil no monk was
he."
2. Aug. Serm. de
Excidio Urbis, c. 6, t. vi. p. 627, ed. Ben.
(Taken from Vol. II
of The Lives of the Fathers, Martyrs and Other Principal Saints by
the Rev. Alban Butler, the 1864 edition published by D. & J. Sadlier, &
Company)
Provided Courtesy of:
Eternal Word Television Network, 5817 Old Leeds Road, Irondale, AL 35210
SOURCE : http://www.ewtn.com/library/MARY/BARBATUS.htm
Saint Barbatus of
Benevento
· Century: 7th
Century
· Patronage: Benevento,
Italy
· Feast
Day: February 19th
St. Barbatus was born in
610, in the village of Vandano, near Cerreto Sannita. St. Barbatus
received a Christian education, and spent most of his time studying Sacred
Scriptures. He had a desire from an early child to become a Priest, and
was ordained as soon as his age would allow. The local Bishop immediately
assigned him to preaching, which he had a great talent for. Soon after
that, he was made the Curate of St. Basil’s Church in nearby Morcone. He
caused discomfort with the parishioners there, as he continued preaching on
their falling short of living the ideal Christian life. They soon
persecuted him, in order to get him to quiet down about their sinful
lifestyles. He didn’t let up, and this caused the parishioners to slander
his character. It wasn’t long until he was to cease his charitable works
because of these slanders.
Eventually he returned to
Benevento, where he was welcomed back by those that remembered him from his
earlier position there. These people were living a Christian life, and
loved his spiritual direction and preaching. Eventually they turned to
indulging in many idolatrous behaviors, including veneration of a golden viper
and a specific local tree. The local Lombard Prince Romuald I, son of
Grimoald I, was himself seriously involved in these activities. St.
Barbatus regularly preached against these pagan rituals, only to be ignored.
He started to tell the
people of the city of great trials they would soon suffer at the hands of the
East Roman Emperor Constans II, and his army. Shortly after, the army
landed in the area and laid siege to Benevento. The people, in their
fear, renounced the practices that St. Barbatus had been criticizing. He
then cut down the tree they worshiped, and melted the viper into a Chalice for
use in the Church. As St. Barbatus had foretold, the siege ended with the
defeat of Emperor Constans.
The presiding Bishop of
Benevento, Bishop Hildebrand, had died during the siege. After the
withdrawal of the invaders, St. Barbatus was made Bishop on March 10,
633. He took advantage of his new position and quickly destroyed the
remaining superstitious artifacts hidden by the Prince and the locals. In
680, St. Barbatus assisted in a council held by Pope Agatho, and took part in
the sixth General Council held in Constantinople in 681 regarding the
Monothelites. Shortly after that Council, on February 19, 682, St.
Barbatus died at the age of seventy. His relics rest in the Cathedral of
Benevento.
Practical Take Away
St. Barbatus was born in Vandano, Italy. He was a spiritual child that had a desire to become a Priest. He was ordained as soon as his age would allow, and was very learned in Sacred Scriptures. His first assignment was to preach to the area, something he was very good at. He then was sent to a parish, and eventually became Bishop of Benevento, Italy. He often preached out against the people falling short of living the ideal Christian life, and was often chastised for it. Eventually he prophesied to the people that a neighboring Emperor would invade their city. It came to pass and they were invaded. The people immediately turned from their pagan rituals, and fled to St. Barbatus, embracing the Christian faith. The enemy was defeated, and Benevento was saved, converting to Christianity.
SOURCE : http://www.newmanconnection.com/faith/saint/saint-barbatus-of-benevento
Pictorial
Lives of the Saints – Saint Barbatus, Bishop
Saint Barbatus was born in the territory of Benevento,
in Italy, toward the end of the pontificate of Saint Gregory the Great, in the
beginning of the seventh century. His parents gave him a
Christian education, and Barbatus in his youth laid the foundation of that
eminent sanctity which recommends him to our veneration. The innocence,
simplicity, and purity of his manners, and extraordinary progress in all
virtues, qualified him for the service of the altar, to which he was assumed by
taking holy orders as soon as the canons of the Church would allow it. He was
immediately employed by his bishop in preaching, for which he had an extraordinary
talent, and, after some time, made curate of Saint Basil’s, in Morcona, a town
near Benevento. His parishioners were steeled in their irregularities, and they
treated him as a disturber of their peace, and persecuted him with the utmost
violence. Finding their malice conquered by his patience and humility, and his
character shining still more bright, they had recourse to slanders, in which,
such was their virulence and success, that he was obliged to withdraw his
charitable endeavors among them. Barbatus returned to Benevento, where he was
received with joy. When Saint Barbatus entered upon his ministry in that city,
the Christians themselves retained many idolatrous superstitions, which even
their duke, or Prince Romuald, authorized by his example, though son of
Grimoald, King of the Lombards, who had edified all Italy by his conversion.
They expressed a religious veneration to a golden viper, and prostrated
themselves before it; they paid also a superstitious honor to a tree, on which
they hung the skin of a wild beast; and these ceremonies were closed by public
games, in which the skin served for a mark at which bowmen shot arrows over
their shoulders. Saint Barbatus preached zealously against these abuses, and at
length he roused their attention, by foretelling the distress of their city,
and the calamities which it was to suffer from the army of the Emperor
Constans, who, landing soon afW in Italy, laid siege to Benevento. Ildebrand,
bishop of Benevento, dying during the siege, after the public tranquility was
restored, Saint Barbatus was consecrated bishop on the 10th of March, 663.
Barbatus, being invested with the episcopal character, pursued and completed
the good work which he had so happily begun, and destroyed every trace of
superstition in the whole state. In the year 680 he assisted in a council held
by Pope Agatho, at Rome, and the year following in the sixth general council
held at Constantinople against the Monothelites. He did not long survive this
great assembly, for he died on the 29th of February, 682, being about seventy
years old, almost nineteen of which he had spent in the episcopal chair.
Reflection – Saint
Augustine says: “When the enemy has been cast out of your hearts, renounce him,
not only in word, but in work; not only by the sound of the lips, but every act
of your life.”
SOURCE : https://catholicsaints.info/short-lives-of-the-saints-saint-barbatus-bishop/
Short
Lives of the Saints – Saint Barbatus, Bishop
An eloquent young priest
of the diocese of Benevento, Saint Barbatus was noted for his grave, pious, and
studious life, and was chosen by his bishop to fill an important parochial
charge. He was severely tried by the apparently fruitless results of his missionary
labors. He was scorned and calumniated; but remaining faithful to duty, he was
in the end chosen bishop of Benevento, and long governed that see with
admirable wisdom and ability. He had the happiness of converting the Lombard
nation to the faith, and of winning the friendship of their ruler, Pertharitus.
Full of good works, Barbatus died at a green old age in the year 682.
Heavenly image, – earthly
mould, –
Beautiful as bright to view:
Oh, what charms its leaves unfold
Drenched with Suffering’s sparkling dew!
– from the Spanish of Fra Alvaro Hinojosa y Carbajal,
O.S.B.
Favorite Practice – Patience
under calumny, knowing that one must be proved by trial in order to be
acceptable to God.
MLA
Citation
Eleanor Cecilia Donnelly.
“Saint Barbatus, Bishop”. Short
Lives of the Saints, 1910. CatholicSaints.Info.
2 April 2021. Web. 13 May 2022.
<https://catholicsaints.info/short-lives-of-the-saints-saint-barbatus-bishop/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/short-lives-of-the-saints-saint-barbatus-bishop/
San Barbato di Benevento Vescovo
Benevento, 610 c. -
Benevento, 29 febbraio 682
Nato a Vandano di Cerreto
nei primi anni del VII secolo, Barbato studiò a Benevento e, divenuto sacerdote,
iniziò il suo ministero a Morcone. Si impegnò così a fondo nella lotta contro
le superstizioni e l'idolatria, che alla morte del vescovo Ildebrando il clero
e il popolo di Benevento lo elessero come successore. Fu pastore in un periodo
segnato dalla guerra tra i Longobardi, che governavano il ducato di Benevento,
e l'imperatore Costanzo II, che assediò a lungo la città. Riconoscente per
il ruolo svolto dal vescovo in un tempo difficile il duca Romualdo, uscito
vincitore, sostenne l'azione pastorale del presule, rigettando lui per primo il
culto idolatra dell'albero e della vipera, allora diffuso anche tra i
cristiani. Il vescovo Barbato partecipò al Concilio di Roma del 680. Morì
a Benevento il 19 febbraio 682, dopo aver guidato la diocesi per diciannove
anni. Le sue spoglie sono venerate sotto l'altare maggiore del Duomo della
città campana. (Avvenire)
Patronato: Benevento
Emblema: Bastone
pastorale
Martirologio Romano:
Presso Benevento, san Barbato, vescovo, che si tramanda abbia convertito i
Longobardi e il loro capo a Cristo.
La città di Benevento ha sempre riservato un culto particolare a questo suo santo vescovo, le cui reliquie furono poste sin dal 1687 sotto l’altare maggiore del Duomo, segno di grande venerazione sia del popolo, sia della gerarchia ecclesiastica.
Egli nacque nel villaggio Vandano del comune di Cerreto nei primi anni del VII secolo, studiò a Benevento e sacerdote operò fra le anime di Morcone. Come spesso capitava in quel periodo, Barbato fu calunniato per cui dovette ritornare a Benevento e riconosciuta la sua innocenza, si dedicò alla lotta contro le superstizioni e l’idolatria imperanti in quell’epoca.
Divenne così popolare e ammirato per il suo zelo, che alla morte del vescovo Ildebrando, clero e popolo lo elessero vescovo della città. Nel secolo VII i Longobardi governavano il Ducato di Benevento guidati dal duca Romualdo, ma pur essendo cristiani, professavano ancora forme di superstizioni come il culto dell’albero e quello della vipera, lo stesso Romualdo ne era ostinato sostenitore.
Intanto la città di Benevento veniva posta sotto assedio dall’imperatore Costanzo II, dopo la caduta di Siponto e l’invasione della Puglia; il duca trovò in Barbato un valido aiuto per la resistenza stimolando gli animi dei beneventani e quando la vittoria arrise ai Longobardi, egli riconoscente fece cessare, a partire dalla sua casa, il contestato e idolatra culto dell’albero e della vipera.
La sede vescovile fu allargata anche a vasti territori pugliesi e Teudorata, consorte di Romualdo divenne un valido e pio aiuto all’attività pastorale del vescovo; partecipò al concilio di Roma del 680 e dopo diciannove anni di episcopato, morì a Benevento il 19 febbraio 682.
Il suo culto ebbe subito una rapida estensione nel beneventano e anche nel salernitano, la prima traslazione delle reliquie avvenne nel 1124.
Le sue reliquie sono custodite presso il santuario di Montevergine, ma una di esse, consistente in un pezzo di osso di un braccio, è custodita nella chiesa parrocchiale di San Nicola in Castelvenere.
La sua celebrazione liturgica è al 19 febbraio.
E' anche il Patrono di Castelvenere (BN).
Autore: Antonio Borrelli
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/90353
BARBATO, santo
di Alessandro Pratesi - Dizionario Biografico degli Italiani - Volume 6 (1964)
Visse nel sec. VII, ma
non si conoscono né la data di nascita né il luogo d'origine. Le tradizioni,
raccolte da alcuni autori, che lo vogliono nativo di Cerreto Sannita o di
Castelvenere, in provincia di Beneyento, non hanno fondamento; gli anni dal 602
al 604, variamente indicati per la nascita, sono frutto di calcoli
approssimativi, es sendogli genericamente attribuita l'età di ottant'anni al
momento della morte. Ancor più fantastica è la notizia che sia stato preposto
dal vescovo di Telese alla chiesa parrocchiale di S. Basilio a Morcone e
successivamente costretto ad abbandonare la sede per sottrarsi all'ambiente
divenutogli ostile m seguito ad una serie di calunnie diffuse sul suo conto.
Accertata è invece la
presenza di in Benevento nel momento in cui era minacciata dalle truppe di
Costante II, venuto in Italia per riguadagnare all'impero di Bisanzio i
territori perduti 1(663): il duca Romualdo,, comprendendo di non poter
fronteggiare da solo il nemico, aveva chiesto aiuti al padre, il re Grimoaldo,
che era subito partito da Pavia con un grosso esercito. A questo punto
l'elemento storico e l'elemento fantastico si intrecciano e si fondono nel
racconto agiografico della Vita s. Barbati in maniera tale che
non è facile sceverare il vero dal falso. La leggenda presenta ìLongobardi
tuttora tenacemente legati ad alcuni culti idolatrici che rappresentavano la
persistenza di antichi usi nazionali (l'adorazime- della vipera, un simulacro
aureo che lo stesso duca avrebbe tenuto in grande onore nel suo palazzo, e la
venerazione dell'albero sacro con il rito della pelle di caprone appesa ai suoi
rami, che i cavalieri colpivano da tergo mangiandone poi i brandelli: in questa
pratica,, probabilmente di carattere più popolare, si riconosce il nucleo
originario della leggenda del noce e delle streghe di Benevento); il clero
cattolico combatteva naturalmente con tutti i mezzi tali usi pagani, e B.
avrebbe, colto l'occasime dell'assedio, prospettato come una punizione celeste,
per indurre i Longobardi ad abbandonare i loro culti peccaminosi: Romualdo si
sarebbe impegnato in tal senso, se la città fosse stata liberata dalla minaccia
dei Greci. L'agiografo presenta infatti la rinunzia di Costante all'assedio
come opera di B., anche se la ragione storica va ricercata nell'approssimarsi
delle truppe di Grimoaldo; d'altro canto sembra che l'imperatore bizantino
fosse ancora in grado di dettare condizioni, se a garanzia del loro rispetto portò
con sé in ostaggio la sorella del duca, Gisa. Tuttavia B. abbatté l'albero
áacro e per designazione del duca e acclamazione del popolo fu eletto vescovo
di Benevento, ristabilendo così la cattedra episcopale rimasta vacante, come
induce a credere il silenzio delle fonti, dalla fine del sec. V. Non è chiaro
dal racconto agiografico se prima o dopo aver assunto la dignità vescovile il
santo riuscì ad estirpare anche il culto della vipera che il duca, nonostante
le promesse, avrebbe continuato ad adorare di nascosto nel suo palazzo: ma
l'episodio dovrebbe essere più tardo, perché B. si sarebbe giovato dell'aiuto
di Teoderada, la moglie di Romualdo, da lui non ancora sposata nel 663. Secondo
la Vita il santo, approfittando della circostanza che il duca era fuori
a caccia, e con la complicità di Teoderada, avrebbe portato via dal palazzo il
simulacro e, fuso l'oro, ne avrebbe fatto ricavare un calice e una patena. Si
disputa ancora tra gli storici se sia da attribuire a B. la conversione dei
Longobardi del sud da un arianesimo ancora profondamente paganeggiante al
cattolicesimo, conversione che alcuni vorrebbero invece far risalire al ducato
di Arechi; certo l'analogia tra l'intervento di Teoderada e l'azione svolta
dalla regina Teodolinda in favore del cattolicesimo tra i Longobardi del nord è
piuttosto sospetta; né si deve pensare ad una conversione universale e
istantanea sotto l'impulso di un evento straordinario. Tuttavia non si può
disconoscere l'azione missionaria di B. e, pur togliendo dalla leggenda gli
elementi di contorno (che l'anonimo agiografo innesta sul racconto dell'assedio
desunto da Paolo Diacono), va attribuita a lui l'estirpazione degli avanzi di
rituali germanici che erano sopravvissuti ad una conversione già in atto, ma
non ancora totale.
Sulla base di un presunto
privilegio di papa Vitaliano numerosi eruditi fanno poi risalire all'età di B.
l'erezione della Chiesa di Benevento a metropolitana, con suffraganee Siponto,
Bovino e Ascoli Satriano, ma il documento, che oltre tutto confermerebbe
soltanto la giurisdizione su Siponto e sul santuario di S. Michele Arcangelo
nel Gargano, èun'evidente falsificazione della metà del sec. IX, mentre deve
ritenersi realmente avvenuta la donazione al vescovo della chiesa di S. Michele
da parte del duca Romualdo, a cui egli l'aveva chiesta con l'intenzione di
restituirla al culto dopo il saccheggio operato dalle milizie di Costante II,
tanto è vero che in un placito del marzo 839, riportato nel Chronicon
Vulturnense, mentre non si fa alcun accenno al privilegio di Vitaliano, si
ricorda la cessione fatta dal duca, sia pure per contestarne la validità in
quanto non conforme ai sacri canoni. D'altro canto anche il testo della Vita,sebbene
non sia assolutamente chiaro, parrebbe alludere semplicemente alla cessione
della "beati Michaelis archangeli domus, quae in Gargano sita est" e
delle proprietà di cui essa godeva nel vescovato di Siponto.
B. intervenne al concilio
romano del marzo 680, tenuto da papa Agatone in preparazione del concilio
ecumenico costantinopolitano 11 (7 nov. 680 - 16 sett. 681), ma non a
quest'ultimo, come sostengono diversi autori. Morì il 19 febbr. 682 e sotto
questa data è ricordato, oltre che nel Martirologio Romano, nelle aggiunte
- eseguite a Benevento verso la fine del sec. IX - al Calendario cassinese
conservato a Roma nella Biblioteca Casanatense (cod. 64C: la stessa mano indica
nel calendario, in corrispondenza del 14 luglio, la dedicazione di un oratorio
eretto in suo nome a Benevento. Del culto prestatogli in questa città fa fede anche
un manoscritto del sec. XI di quella Biblioteca capitolare (cod. 38) contenente
tre inni in onore del santo, nei quali affiorano gli stessi elementi
della Vita.
Il corpo di R. fu sepolto
sotto un altare della cattedrale, ma successivamente se ne perse la memoria. Fu
ritrovato nel 1124 - secondo la narrazione di Falcone Beneventano, che fu
testimone oculare - allorché l'arcivescovo Roffredo, restaurando l'episcopio,
fece abbattere l'altare: ebbe allora solenne sistemazione nella stessa chiesa.
Reliquie delle sue spoglie sarebbero tuttavia pervenute al santuario di
Montevergine già all'epoca di Guglielmo 1: alcuni degli elementi leggendari
confluiti nelle narrazioni erudite posteriormente alla compilazione della Vita risalgono
appunto alla tradizione di Montevergine, esposta dal monaco Ovidio de Luciis.
Fonti e Bibl.: I. D.
Mansi, Sacrorum conciliorum nova et amplissima collectio..., XI,
Florentia, 1765, p. 299; Pauli Diaconi, Historia Langobardorum, I, V,
capit. 6-9, a cura di L. Bethmann e G. Waitz, in Mon. Germ. Hist., Scriptores
rerum Langobard. et Italic. saec. VI-IX, Hannoverae 1878, pp.
146-149; Vita Barbati e Piscopi Beneventani, a cura di G. Waitz, ibid,
pp.555, 563 (cfr. Bibliotheca hagiographica latina antiquae et mediae
aetatis, Il Bruxellis 1898-1899, pp. 146 s., nn. 973-975, e Supplementum,
Bruxellis 1911, p. 42, n. 973 a); Chronicon Vulturnense del
monaco Giovanni, a cura di V. Federici, I, Roma 1925, in Fonti per la
storia d'Italia, LVIII, p. 300; Falconis Beneventani Chronicon, in L. A.
Muratori, Rerum Italicarum scriptores, V, Mediolani 1724, pp.
99-101; Martyrologium Romanum ad formam editionis typicae scholiis
historicis instructum (= Propylaeum ad Acta Sanctorum Decembris),
Bruxellis 1940, p. 69; E. A. Loew, Die dltesten Kalendarien aus Monte
Cassino, München 1908, pp. 15, 43 (Cfr. pp. 52, 72). Per il falso privilegio di
papa Vitaliano (Jaffé-Ewald, n. t 2098), v. L. A. Muratori, Antiquitates
Italicae medii aevi, V, Mediolani 1741, dissert. LXIV, Coll. 354 s., e P.
Kehr, Papsturkunden in Benevent und der Capitanata, in Nachrichten
von der Kèinigl. GeselIschaft der Wissenschaften zu Gettingen,
Philolog-historische Klasse, 1898, Heft I, p. 49, nonché W. Holtzmann, Italia
pontificia, IX, Berolini 1962, pp. 51 ss.; M. de Viipera, Catalogus
sanctorum quos Ecclesia Beneventana duplici ac semiduplici celebrat ritu...,
Neapoli 1635, pp. 16-20; Id., Chronologia epìscoporum et archiepiscoporum
metropolitanae Ecclesiae Beneventanae..., Neapoli 1636, pp. 28-35, 103; P.
Sarnelli, Memorie cronologiche de' vescovi ed arcivescovi della s. Chiesa
di Benevento..., Napoli 1691, pp. 32-34; F. Ughelli-N. Coleti, Italia
satra..., VIII, Venetiis 1721, coll. 19-26; G. De Vita, Thesaurus
antiquitatum Beneventanarum, Romae 1754, pp. 121 S.; Id.'. Thesaurus alter
ann *quitatum Beneventanarum medii aevi, Romae 1763, pp. 41-43, 49-57, 83, 325,
344; S. Borgia, Memorie istoriche della Pontificia città di Benevento...,
I, Roma 1763, pp. 212-216; 11, ibid. 1764, pp. 276-279; A. Di Meo, Annali
critico-diplomatici del Regno di Napoli della mezzana età, II, Napoli 1796, pp.
110, 114-117, 124 s., 156, 165-167; G. V. Ciarlanti, Memorie istoriche del
Sannio, III, Campobasso 1823, pp. 83-85; G. Cappelletti, Le Chiese
d'Italia, III, Venezia 1845, pp. 26-30; D. M. Zigarelli, Storia di
Benevento, Napoli 1860, pp., 30 s., 137; E. Isemia, Istoria della città di
Benevento, II, Benevento 1878, pp. 62, 69, 80-95; F. Hirsch, Il ducato di
Benevento sino alla caduta del Regno longobardo..., trad. di M. Schipa,
Roma-Torino-Napoli 1890, pp. 41, 58 s.; A. Mannacchino, S. Barbato ed il
suo secolo, cioè l'apostolo del Sannio, Benevento 1902; G. Pochettino,
I Longobardi nell'Italia meridionale, Napoli s. d., pp. 106-114, 121-124;
G. Cangiano Origini della Chiesa beneventana, Benevento 1923: pp. 38-52;
Id., Sulla leggenda della vipera longobarda e delle streghe, in Atti
d. Soc. stor. del Sannio, VII, 2 (1929), pp. 74-77, 84-96; F.
Lanzoni, Le diocesi d'Italia dalle origini al principio del secolo VII
(an.604), Faenza 1927, pp. 255, 259, 263, 289.
SOURCE : https://www.treccani.it/enciclopedia/santo-barbato_(Dizionario-Biografico)
San Barbato è il Santo
Patrono di Cicciano.
Vescovo della chiesa
cattolica, la sua commemorazione viene celebrata il 19 febbraio
Biografia
San Barbato nacque a
Castelvenere (BN) nell’anno 602. Fu formato al ministero sacerdotale in un
convento di monaci basiliani. Fu parroco di Morcone, dove iniziò a denunciare e
combattere le ingiustizie ed i soprusi dei potenti ed il malcostume pubblico e
privato imperante ai suoi tempi. La sua fama, oltre che dalle sue doti morali
ed intellettuali, fu accresciuta dalla conversione di Romualdo duca dei
Longobardi che Egli ottenne con l’aiuto di Dio. Il duca ed il suo popolo,
infatti, era ancora dedito ad antiche pratiche pagane ereditate dai suoi avi.
Vari e vani furono i tentativi del Santo, fin quando non si presentò
l’occasione propizia. Costante II imperatore di Costantinopoli invase l’Italia
meridionale per riunirla al suo impero ed in breve tempo giunse alle porte di
Benevento. Il lungo e duro assedio provocò quasi la resa di Romualdo e della
città beneventana, che fu scongiurata dall’intervento di S. Barbato che invitò
il duca alla riconversione in cambio della ritirata dei bizantini. Proprio in
seguito all’invito del Nostro Protettore e all’adesione di Romualdo al suo
progetto, il nemico decise di abbandonare l’assedio. San Barbato fu nominato
vescovo di Benevento per poter guidare come un padre il duca ed i suoi
concittadini e si vide riconosciuti ricchezze e onori che prontamente rifiutò.
Accettò solo la chiesa di S. Michele Arcangelo, compreso ciò che era nella
giurisdizione di quell’episcopato, nel Gargano per poter restituire al culto
quella zona devastata dai saccheggi. San Barbato trascorse altri diciotto anni
come vescovo ed intervenne al Concilio Romano dell’anno 680. Morì il 19
febbraio dell’anno 682, all’età di 80 anni. Le reliquie del suo corpo sono
sistemate parte nella Cattedrale di Benevento e parte nel Santuario di
Montevergine (AV).
ESTRATTO DELLA COPIA
DELL’ATTO PUBBLICO DI NOMINA DI SAN BARBATO PROTETTORE DI CICCIANO, CONSERVATA
DALL’AVV. CAPOLONGO GAETANO E FIRMATA DALL’ARC. CRISPO NEL 1927.
L’ESTRATTO E’ CONSERVATO
NELL’ARCHIVIO STORICO DELLA DIOCESI DI NOLA, FASCICOLO CICCIANO.
Die decimonono m. s.
Februarii millesimo septicentesimo quinto decimo Cicciani.
Ad preces nobis factas
nomine et pro parte magum Ioseph Passariello et Nicolai Foresta Electorum dicti
oppidi Cicciani, accessimus ante Ecclesiam Sancti Petri dicti oppidi et cum
ibidem essemus invenimus Mum. Rm. Franciscum Canantio, Gubernatorem eiusdem Oppidi
et alios cives et particulares quam nomina sunt M. N. Michele Sussulano,
Gio:Batta Sussolano, Bartolomeo Ravelli, Giuseppe Foresta, Lorenzo Capolongo,
Antonio Sanseverino, Luigi Vitale, Antonio Vitale, Filippo Capolongo, Antonio
De Luca, Tomaso Forino, Francesco Santoriello, Pietro Palumbo, Matteo De Luca,
Carlo Viespolo, Geronimo Capolongo, Domenico De Luca, Nicola De Luca,
Francesco Foresta, Andrea Delle Cave, Stefano Ruotolo, Antonio de Nardo, Nicola
Ruotolo, Aniello Cafariello, Marco Antonio Capolongo, Giovanni Peciullo,
Gennaro Sanseverino, Felice Lantieri, Lonardo Pizza, Lonardo de Nardo, Giuseppe
Ruotolo, Simone De Palma, Gio:batta Passariello, Antonio Passariello, Aniello
Palumbo, Giovanni Fasulo, Nicola Fasulo, Andrea Ferraro, Michele Ferraro,
Domenico Ciccone, Lorenzo D’Avanzo, Santolo Fasulino, Felice Miele, Giuseppe
Crispo, Nicola Crispo, Nicola Vacchiano, Stefano Vitale, Luigi Russo, Luca
D’Avanzo, Giovanni Covone, Antonio Stefano Nicola Pizza, Filippo Foresta,
Vincenzo De Stefano, Matteo Marrone, Franco Antonio Maietta, Domenico De Luca,
Nicola De Luca, Nicola Taliento, Vincenzo Imparato, Francesco Vacchiano,
Giovanni D’Avanzo, Cesare Testa, Gio:Angelo Capolongo, ed altri – et referente
dicto magnifico losepb Passariello Electo mg. detti signori miei sappiano loro
sigg. come avendo avuta la sorte questa nostra terra di Cicciano, che il R.D.
Giovanni de Nardo, nostro concittadino, per sua special divozione abbia eretta
e fondata una chiesa ed ultimandola procurata bellissima statua in onore e
gloria d’Iddio, e del glorioso San Barbato, chiamandolo in protettore della
casata, e famiglia de Nardo, Capolongo e Santoriello.
Ed essendosi il medesimo
Santo Barbato degnato in più e diverse volte, ed occasioni operare, e
dimostrare a prò di dette Famiglie, e di altri cittadini di detta terra di
Cicciano, molte grazie, e favori, con dimostrarsi mirabilmente sempre propizio
nelle loro necessità, e per la comune divozione, che tutti di detta medesima
terra si è destato verso il medesimo Santo, con tenerlo nel cuore per lo
PROTETTORE.
E considerando anco noi
dall’altra parte, che la protezione dei Santi Tutelari difende e custodisce da
ogni contingenza maligna, così spirituale, come temporale, non solo le persone
particolari, ma i popoli ancora, e paesi interi, che quelli eliggono, e con
modo speciale a quelli si raccomandano, come l’esperienza quotidiana
effettivamente dimostra: per questo acciò nei nostri bisogni e sempre possiamo
avere appresso S.D.M. uno speciale PROTETTORE, abbiamo determinato aliggere per
pubblico atto il prenominato SANTO BARBATO per NOSTRO PROTETTORE, affinchè
continuandosi dal SANTO la sua efficace intercessione, come finìora ce ne ha
fatto sperimentare evidenti segni, ed essendo da tutti acclamato per protettore
ci mantenghi libera questa terra da qualsivoglia pericolo imminente, e da
castighi, che possa mai la Divina Giustizia sdegnata de nostri peccati
fulminare contro di noi; ed in segno dell’Amore promettiamo somministrarli ogni
anno due libre di cera lavorata in candele nel giorno della sua festività. Che
però si espone alle Signorie V.V. acciò dicano il loro parere, dove da tutti è
stato acclamato per loro PROTETTORE e di detta Terra Specifice, et gmte, et
nemine contradicenti.
Ed all’incontro esso R.
Sig. D. Giovanni de Nardo tanto in nome de la famiglia de Nardo, quanto in nome
delle suddette due altre Famiglie da esso aggregate alla compadronanza di detta
chiesa si compiace, che sempre e quando si farà la processione della Statua di
detto Glorioso SANTO BARBATO, o per loro divozione, o per qualsivoglia
necessità li signori eletti pro tempore di detta Terra possano, e vogliano
portare due delli bastoni del Pallio, che ornerà detta Statua dalle più degne,
riserbata però quella di mezzo per S. E. Rma, o per lo suo Agente pro tempore
quia sic, rogantes. Pntibus Opportunis.
Ab actis mei N.ris
Francisci de Nardo Neapolitani Argmuis commoratis extracta est presens copia
cum qua facta collazione concordate, meliori semper salva, et in fidem mei sub
scripti rogatusque Signavi Francesco de Nardo.
I segni di San Barbato
Lungo le strade cittadine
sono disseminate diverse edicole ed altri segni che attestano le devozione dei
ciccianesi verso il Santo Patrono.
Si ricordano di seguito
brevemente la dislocazione delle edicole ed i nomi di coloro che ne promossero
la realizzazione.
Una prima edicola si
trova nel cortile della Casa Comunale in Piazzetta S.Barbato ed era già
presente nel 1937. Probabilmente fu realizzata dallo stesso proprietario dello
stabile Francesco Saverio Iesu quando abbatté i resti dell’antica cappella di
San Barbato per edificare una civile abitazione. È stata restaurata dal Comune
e dall’Associazione Pro Loco Cicciano il 19-2-2000. All’interno è allocato un
dipinto su mattonelle, realizzato da Mirko Guida, copia dell’originale
che si trovava nell’edificio in via Concezione n. 19, donato dal proprietario
Maresciallo dell’Arma dei Carabinieri Vincenzo Vacchiano.
A pochi metri, in un
edificio all’angolo tra via Mulimento e via Concezione, di proprietà della
signora Elena Petraglia Martiniello e abbattuto nel 1982, era allocata
un’edicola contenente un dipinto su “riggiole” raffigurante S. Barbato.
L’edicola era stata realizzata per opera del signor Martiniello Antonio
(23-1-1863 / 30-6-1940) e di sua moglie signora Gatta Marzia (9-9-1863 /
9-1-1941) tra il 1920-1930, anni cui edificarono l’abitazione. Non si conosce
il nome dell’autore del dipinto.
Proseguendo lungo Via
Concezione si trovava un dipinto su “riggiole”, di cui non si conosce l’autore,
che si trovava in un’edicola al primo piano di un edificio di proprietà del
Maresciallo dell’Arma dei Carabinieri Vincenzo Vacchiano. Venne realizzato per
opera della bisnonna del proprietario signora Chiara De Stefano (25-9-1868 /
2-11-1933) nell’anno 1929. Il dipinto è conservato dalla famiglia Vacchiano.
In Via S. Barbato nella
proprietà degli Eredi Antonio Foresta troviamo un’altra edicola. Fu realizzata
all’incirca nel 1946 per opera della signora Orsola Covone (17-3-1883 /
4-6-1958) che commissionò il dipinto, olio su zinco, al pittore Gavino Crispo
(5-9-1892 / 6-2-1987). Il 19-2-2002, ricorrendo il 1400° anniversario della
nascita del Santo Patrono, il dipinto è stato riveduto dal pittore Aniello
Crispo (9-3-1920), primogenito dell’autore, grazie all’impegno della famiglia
Foresta e degli insegnanti ed alunni delle classi III A – B del 2° Circolo
Didattico di Cicciano – Plesso “S. Barbato”.
Sopra l’ingresso
della Chiesa di San Pietro Apostolo è posta una vetrata realizzata dalla Ditta
Fiorentini ed inaugurata nel 1992 in occasione della riapertura della Chiesa
dopo i lavori di restauro e consolidamento occorsi a seguito del terremoto del
1980.
Un’altra edicola si trova
al I Piano dell’edificio situato nell’angolo tra Corso Garibaldi e via
Sant’Anna di proprietà della famiglia Napolitano-Murisco. Il dipinto su
“riggiole” risale al 1908-1910 anni in cui il signor Murisco Giuseppe
(16-5-1869 / 6-1-1942) e sua moglie signora Vacchiano Felicia fecero costruire
il fabbricato. L’autore del dipinto non è conosciuto.
Un olio su zinco realizzato
nel 1935 dal pittore Salvatore De Luca (23-11-1917) su commissione della
famiglia Vitale era sistemato nel portone d’ingresso della casa a corte posta
in via Caserta n. 48. Attualmente il dipinto è conservato dagli eredi della
famiglia Vitale.
In via Caserta n. 51 si
trovava invece la sede della Cooperativa Agricola “San Barbato” nata agli inizi
degli anni 1960. La Cooperativa contava all’incirca 35 soci e svolgeva
principalmente attività di commercio di fertilizzanti per i soci. Grazie ad un
contributo della Federazione dei Coltivatori Diretti, la Cooperativa acquistò
anche una macchina irroratrice. Il primo Presidente fu Salvatore Arvonio
(17-12-1897 / 26-12-1980) e la Cooperativa aveva il deposito in via
Caserta nei pressi del Santuario della Madonna degli Angeli (oggi civico n.
266). Successivamente divenne Presidente Michele Vitale (8-7-1920 / 27-5-1988)
e la sede ed il deposito furono trasferiti là dove è ancora conservata la
tabella recante il nome della cooperativa che cessò la sua attività intorno
alla metà degli anni 1970.
Un dipinto su “riggiole”
era allocato in un’edicola posta nell’edificio di proprietà dell’avv. Biagio
Barbato Paolino in via Caserta n. 86. Il dipinto, di cui non si conosce
l’autore, è stato realizzato per opera di Francesco Antonio Glorioso
(1-10-1874 / 31-12-1961) e di sua moglie Vacchiano Michelina (16-10-1876
/ 17-2-1962) nella seconda metà degli anni 1930. Attualmente è allocato
nell’ingresso dell’edificio fatto ricostruire dalla famiglia Paolino.
Ancora troviamo un
dipinto su “riggiole”, di cui non si conosce l’autore, in via Cutignano n. 34
al I Piano dell’edificio di proprietà del signor Domenico Cavezza. L’edicola fu
realizzata dal signor Cavezza Antonio (26-6-1872 / 2-1-1933) e da sua moglie signora
Lucia De Luca (8-9-1878 / 9-7-1959) all’incirca nel 1920 anno in cui
edificarono la loro casa.
In un’edicola situata in
via Nola nella proprietà della famiglia Mario Russo è posto un olio su legno.
Il dipinto è stato realizzato dal pittore Giuseppe Attanasio (28-5-1972) ed è
stato installato nell’edicola il 19-2-2001 grazie all’impegno della famiglia
del proprietario, del Comune e della Pro Loco Cicciano. Sotto è ancora
conservato un dipinto su intonaco raffigurante S. Barbato realizzato nel 1946
dal pittore Gavino Crispo (5-9-1892 / 6-2-1987) su commissione del Commendatore
Nicola Russo (14-10-1892 / 10-3-1975).
Nel territorio cittadino
ci sono una strada ed una piazzetta che recano il nome di San Barbato.
Nell’Archivio del Comune non sono conservati documenti che possano fornire
indicazioni circa l’anno di attribuzione dei nomi. Il primo toponimo “Via S.
Barbato” indica la strada che da via Roma (‘o vico ‘e Vint) porta “dietro
Curano”, dove sorgeva la Chiesa di San Barbato fatta erigere da Don Giovanni De
Nardo nel 1700, mentre il secondo “Piazzetta S. Barbato” indica la piccola
piazza antistante l’antica chiesa, oggi sede del Comune.I
SOURCE : https://www.comune.cicciano.na.it/vivere-il-comune/santo-patrono/
San Barbato
Un Vescovo sannita
disceso dal Danubio
Janare
Ipotesi sull'etimologia
Di sicura stirpe sannita e vienerese, è il Vescovo San Barbato, colui che, in Benevento, convertì i longobardi al cattolicesimo. Nato in Castelvenere, per la precisione in contrada Vadari (dal longobardo bagno o terme), San Barbato discende da quel gruppo di famiglie di origine sassone e danubiana che, alla ricerca di terre fertili, occupò il suolo su cui sarebbe sorto Castelvenere. Le sue genti, discese dalle terre bagnate dal torrente Wien - affluente del Danubio — venivano chiamate "wiener volk", gente del Wien, quelli che oggi si chiamerebbero "immigrati del Wien" o vienesi (viennesi), la qual cosa fa dedurre che Castelvenere derivi il proprio nome dal torrente Wien, reso famoso per aver dato il nome alla città di Vienna. Autore del libro Della superstiziosa noce di Benevento, Pietro Piperno (protomedico beneventano del XVII° secolo) fa risalire il mito delle streghe di Benevento alla dominazione longobarda di Romualdo. Salvato dall’invasione bizantina di Costante II, grazie alle preghiere di San Barbato, convinse il proprio popolo a convertirsi alla religione cristiana. Malgrado San Barbato avesse ordinato l’abbattimento del noce, le sue radici sopravvissero, e diedero continuità al mito delle streghe di Benevento, che nel tempo si arricchì di nuovi motivi, fino a giungere all’età barocca, quando si narrava che ai riti orgiastici partecipassero oltre duemila streghe, ciascuna guidata da un demone, in qualità di servo ed amante.
Leggenda beneventana è quella delle cosiddette janare, poiché nel dialetto beneventano non esiste la strega. Quest’ultima è una figura letteraria, nata in età classica e giunta alla sua odierna definizione soprattutto in età moderna, grazie ai contributi della Chiesa e dell’Arte. Strega deriva etimologicamente da stryx, strige, notturno essere alato che si riteneva succhiasse il sangue dei bambini. Ad essa è associato il commercio col demonio. Tuttavia la strega possiede anche doti positive, come la conoscenza delle virtù curative delle erbe. La janara nasce nella tradizione popolare, e deve etimologicamente il suo nome al latino ianua (porta), in quanto essa è insidiatrice delle porte, attraverso le quali si introduce nelle case. Proprio dinanzi alle porte, narra la leggenda popolare, era necessario collocare una scopa, o un sacchetto di grani di sale, così da costringere la janara a contare i fili della scopa, o i grani di sale, sino allo spuntare del sole, la cui luce le era mortalmente nemica.
"Cugine" strette della janara sono altre figure popolari, come la Zucculara (sopravvivenza di un’antichissima dea pagana: Ecate), l’Uria e la Manalonga. Oltre che da janua, una diversa e interessante etimologia di janara potrebbe essere legata al mito della dianara, seguace della dea Diana, dea cui erano riconducibili riti notturni detti gioco di Diana. Il mito del noce e del raduno delle streghe beneventane attorno alle sue radici, possiamo trovarli nel "Fiore", poema allegorico attribuito a Dante Alighieri, e nella favola del Gobbo di Peretola di Francesco Redi. Il noce sorgeva in un luogo imprecisato, lungo le sponde del fiume Sabato. Documenti appartenenti all’antica tradizione del luogo, però, ci riportano con precisione la formula che le streghe recitavano prima del magico volo che le avrebbe condotte al noce: Sott’all’acqua e sott’u viento, sott’a u noce e Beneviento.
L’Italia può vantare di essere luogo privilegiato nella storia della stregoneria, grazie al mito del noce beneventano, meta usuale del volo magico e del sabba delle streghe. Le prime notizie riguardanti Benevento come luogo magico risalgono alle prediche di Bernardino da Siena del 1427. Ma vi è, intorno a quel periodo, anche la storia di Matteuccia da Todi, accusata di essere "pubblica incantatrice, fattucchiera, maliarda e strega". Ella confessò l’uccisione di numerosi bambini innocenti, oltre al fatto che, con altre streghe, si recava presso il noce di Benevento, recitando la seguente formula magica: Unguento unguento/ mandame a la noce de Benevento, supra acqua et supra ad vento et supra ad omne maltempo.
Si avvisano i cortesi lettori che, a partire dalla prossima puntata, avrà
inizio il racconto, in parte fantastico, ma verosimile, di una strega di
Benevento e del suo processo. Per scrivere questo racconto, l’autore attingerà
il materiale da fonti storiche non sempre locali, che renderanno la narrazione,
se non proprio aderente alla realtà di Benevento, molto simile ad essa, con le
dovute approssimazioni.
SOURCE : https://web.archive.org/web/20101006202643/http://www.beneventogiornale.com/janare/barbato.htm