Saint Richard
Père de sainte Walburge, de saint Willibald et de
saint Wunibald (+ 722)
Roi saxon qui dut abdiquer, il se réfugia d'abord à Rouen avant de partir pour un pèlerinage à Rome. Il y y fit un long séjour, puis continua ses voyages. La mort le surprit à Lucques en Italie qui le fête à cette date du 7 février.
À Lucques en Toscane, vers 720, la mise au tombeau de saint Richard, père des saints Winebald, Willibald et Walburge, qui, s’en allant d’Angleterre en pèlerinage à Rome avec ses fils, mourut en route.
Martyrologe romain
SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/589/Saint-Richard.html
Saint Richard
Saint Richard, roi du Wessex en Angleterre avait trois enfants : sainte Walburge ( 25 février ), saint Willibald ( 7 juin ), saint Wunibald ou Wynnebald ( 18 décembre ). Il partit en pélerinage vers 720 pour Rome avec ses deux fils de 20 et 19 ans. Ils traversèrent la Manche et remontèrent jusqu' à Rouen. Ils visitèrent les sanctuaires chrétiens français, mais saint Richard mourut en 722 à Lucques ( Lucca en italien ) avant d' avoir atteint la Ville éternelle.
Son fils Willibald, parti évangéliser l' Allemagne avec saint Boniface, devint le premier évêque d' Eichstätt. Il fut le fondateur de l' abbaye d' Heidenheim qui comportait un monastère d' hommes dirigé par son frère saint Wunibald, et un monastère de femmes dirigé par sa soeur sainte Walburge.
Les habitants de Lucques conservèrent les reliques du saint à l' église de San Frediano où des miracles avaient été constatés.
Saint Richard
Sommaire :
Cela s'est passé un
7 février:
Le 7 février, dans l'église Saint-Fridien de Lucques
(Italie) où se trouve son tombeau, on célèbre la fête du saint roi Richard en
raison des nombreux miracles qui y furent accordés par son intercession.
Richard, roi des Saxons occidentaux, époux d'une parente de
saint Boniface, fut dépossédé de ses états, à moins qu’il n’abdiquât
volontairement. Toujours est-il que, laissant sa fille, Walburge, en
Angleterre, il embarqua, avec ses deux fils, Winebald et Willibald, à
Hamble-Haven pour aller en pèlerinage à Rome. On mentionne souvent leur passage
en France, singulièrement à Rouen ; en février 722, ils arrivèrent à
Lucques où le roi Richard mourut subitement.
Le roi Richard est généralement représenté debout, revêtu
de ses insignes ; à ses pieds, sont disposés sa couronne, un collier, un
livre et, souvent, un chapelet. Il arrive qu'on le montre en habit de pèlerin,
guérissant un estropié, ou encore se livrant aux travaux de labourage, voire
entouré de ses deux fils : saint Winebald (Winebaud), fêté le 18 décembre,
qui devint abbé de Heindenheim et saint Willibald (Guilbaud), fêté le 7
juillet, qui devint évêque de Eischtœdt. Sa fille, sainte Walburge (Gauburge),
qui était restée en Angleterre, passa en Allemagne sur les instances de saint
Boniface et de son frère Willibald ; elle devint la première abbesse de
Heidenheim ; elle est fêtée le 25 février.
L'Eglise fait mémoire, au 6 février, d'un autre roi, d'un
autre royaume des Saxons occidentaux (Wessex), contemporain de saint Richard
mais plus célèbre que lui, le saint roi Ina ; grâce aux récits de
Guillaume de Malmesbury et de Henri Huntington, a laissé le souvenir d'un
illustre guerrier, sage législateur et grand bienfaiteur de l'Eglise. Après les
lois du royaume de Kent, on lui doit le plus ancien spécimen de la législation
anglo-saxonne. Il abdiqua, après trente-sept ans de règne, en 725 et s'en fut
habiter à Rome où il mourut. L'ancienne Angleterre connut des saints rois
martyrs : Edwin (Northumbrie, + 632), Sigebert (Est-Anglie, + vers 635),
Oswald (Northumbrie, + 643), Oswin (Deira, + 651), Anna (Est-Anglie, + 654),
Alfwold (Northumbrie, + 789), Ethelbert (Est-Anglie, + 794), Edmond
(Est-Anglie, + vers 870), Edouard le Martyr (+ 978) ; l'ancienne
Angleterre connut aussi des saints rois confesseurs : Ethelbert (Kent, +
614), Sebbe (Essex, + 693), Ethelred (Mercie, + 704), Ceolwulf (Northumbrie, +
737), Edgard (Wessex, + 975), Edouard le Confesseur (+ 1066).
En 1032, sous le règne d’Henri I°, à la Membrolle, dans
l’archidiocèse de Tours, on trouva dans un saule, au bord des eaux, une
statuette de la Vierge que l’on baptisa Notre-Dame des Eaux. On construisit une
chapelle puis, pour la desservir, un prieuré de bénédictins dépendant de
l’abbaye de Marmoutier. Comme on invoquait particulièrement Notre-Dame des Eaux
au temps de sécheresse, l’année 1789 vit accourir un grand nombre de pèlerins. La
statuette fut sauvée des révolutionnaires par Bonaventure Loiseau et, en 1846,
M. Dupont, le saint homme de Tours, en fit reprendre la vénération. La comtesse
de Nanteuil réédifia à ses frais la chapelle, que Mgr Morlot bénit, le 7 février 1856 ; trois ans
plus tard, Mgr. Guibert érigeait Notre-Dame des Eaux en paroisse. Le 2 juin
1870, un pèlerinage de plus de trois mille personnes rappela celui de 1789 par
sa piété et le résultat qu'il obtint. La sécheresse désolait la Touraine; Sept
paroisses étaient là, officiellement représentées. Notre-Dame des Eaux exauça
leur prière ; les cieux se couvrirent de nuages, et les sillons, à demi
brûlés, de moissons abondantes.
Guy II, comte de Laval (mort en 1067), passant sur le pont
qui enjambait la Mayenne au pied de son château, tomba avec sa monture et, se
voyant perdu, se recommanda à la Vierge Marie. Ramené mystérieusement sur le
rivage, il faisait une prière de reconnaissance quand, dans les branches d’un
chêne, la Sainte Vierge lui apparut. Il construisit une chapelle, appelée
Notre-Dame d'Avesnières, et un monastère de religieuses où entrèrent ses
filles. Les pèlerins accourent en nombre et la chapelle, plusieurs fois
agrandie, fit place à une basilique achevée par le comte Guy V de Laval,
arrière-petit-fils du fondateur. La basilique, détruite par les anglais qui
dispersèrent les religieuses (1429), fut relevée, devint église paroissiale et
les pèlerinages reprirent Au dix-huitième siècle, alors qu’une épidémie bovine
ravageait leur paroisse, les habitants de Bonchamp, obtinrent la cessation du
fléau, à la suite d'une procession qu’ils firent, le 7 février 1749, à Notre-Dame
d'Avesnières. Les révolutionnaires ne détruisirent pas Notre-Dame d'Avesnières
qui, après avoir vu sous ses murs une des plus grandes victoires vendéennes (25
octobre 1793) et quatorze prêtres fusillés (21 janvier 1794), fut
définitivement rendue au culte (4 mai 1800). La cérémonie du couronnement de
Notre-Dame d'Avesnières eut lieu le 8 mai 1860, sous la présidence de
l'archevêque de Tours, de quatre autres prélats et de l'évêque diocésain qui
bénit et déposa, au nom du Pape, la couronne sur le front de Notre-Dame
d'Avesnières.
Richard the King (RM)
Died 722. Perhaps Saint Richard was not really a king--early Italian legend
made him a prince of Wessex--but his sanctity was verified by the fact that he
fathered three other saints: Willibald, Winebald (Wunibald), and Walpurga
(Walburga). Butler tells us that "Saint Richard, when living, obtained by
his prayers the recovery of his younger son Willibald, whom he laid at the foot
of a great crucifix erected in a public place in England, when the child's life
was despaired of in a grievous sickness. . . . [he was] perhaps deprived of his
inheritance by some revolution in the state; or he renounced it to be more at
liberty to dedicate himself to the pursuit of Christian perfection. . . .
Taking with him his two sons, he undertook a pilgrimage of penance and devotion,
and sailing from Hamble-haven, landed in Neustria on the western coasts of
France. He made a considerable stay at Rouen, and made his devotions in the
most holy places that lay in his way through France."
He fell ill, died
suddenly at Lucca, Italy, and was buried in the church of San Frediano. A later
legend makes him the duke of Swabia, Germany. Miracles were reported at his
tomb, and he became greatly venerated by the citizens of Lucca and those of
Eichstatt to where some of his relics were translated. The natives of Lucca
amplified accounts of his life by calling him king of the English. Neither of
his legends is especially trustworthy--even his real name is unknown and dates
only from the 11th century. A famous account of the pilgrimage on which he died
was written by his son's cousin, the nun Hugeburc, entitled Hodoeporicon
(Benedictines, Encyclopedia, Farmer, Gill, Husenbeth, White)
In art, King Saint
Richard is portrayed as a royal pilgrim (ermine- lined cloak) with two
sons--one a bishop and one an abbot. His crown may be on a book (Roeder). He is
venerated at Heidenheim and Lucca (Roeder).
February 7
St. Richard, King in England, and Confessor
THIS saint was an English prince, in the kingdom of the West-Saxons, and
was perhaps deprived of his inheritance by some revolution in the state: or he
renounced it to be more at liberty to dedicate himself to the pursuit of
Christian perfection. His three children, Winebald, Willibald, and Warburga,
are all honoured as saints. Taking with him his two sons, he undertook a
pilgrimage of penance and devotion, and sailing for Hamblehaven, landed in
Neustria on the Western coasts of France. He made a considerable stay at Rouen,
and made his devotions in the most holy places that lay in his way through
France. Being arrived at Lucca in Italy, in his road to Rome, he there died
suddenly, about the year 722, and was buried in St. Fridian’s church there. His
relics are venerated to this day in the same place, and his festival kept at
Lucca with singular devotion. St. Richard, when living, obtained by his prayers
the recovery of his younger son Willibald, whom he laid at the foot of a great
crucifix erected in a public place in England, when the child’s life was
despaired of in a grievous sickness: and since his death, many have experienced
the miraculous power of his intercession with God, especially where his relics
invite the devotion of the faithful. His festival is kept at Lucca, and his
name honoured in the Roman Martyrology on the 7th of February. See the life of
St. Willibald by his cousin, a nun of Heidenheim, in Canisius’s Lectiones
Antiquæ, with the notes of Basnage. Henschenius,
Feb. t. 2. p. 70.
Rev. Alban Butler (1711–73). Volume II: February. The Lives of the Saints. 1866.
Saint Richard
the King
Profile
Saxon king, possibly of Wessex in modern England. Married,
and the father of Saint
Willibald, Saint
Winebald, and Saint
Walburga. At least two disparate biographies exist
for him, neither of them very creditable. Died suddenly during a pilgrimage to Rome, Italy.
§
miracles
reported at his tomb
§
pilgrim in an ermine-lined cloak
(wears a crown, or it sits on a book
nearby) with a bishop and an abbot,
his sons, nearby
SOURCE : http://catholicsaints.info/saint-richard-the-king/
Questa nobile famiglia proveniva dal Wessex, regione inglese, e secondo un tardivo racconto della monaca Hugebure di Heidenheim verso il 720 il padre partì con i due figli maschi in pellegrinaggio verso Roma. Villibaldo era appena ventenne e Vunibaldo diciannovenne. Navigando sul fiume Hamble, vicino al Southampton, attraversarono la Manica e risalirono quindi la Senna, per sbrcare infine a Rouen. Non prima di aver visitato numerosi santuari francesi, i tre pellegrini si diressero allora in Italia, ma Riccardo morì presso Lucca nel 722, prima di giungere a Roma. Nella città toscana il santo pellegrino riposa ancora oggi e le sue reliquie sono oggetto di venerazione nella basilica di San Frediano.
Villibaldo si unì poi al celebre San Bonifacio nell’opera di evangelizzazione della Germania, fondando il doppio monastero di Heidenheim e divenendo primo vescovo della città di Eichstatt. Anche Vunibaldo fu con loro missionario e resse il monastero di Heidenheim con la sorella Valburga. Quando Villibaldo morì e fu sepolto ad Eichstatt, si ipotizzò di traslarvi anche i resti di Riccardo, ancora deposti a Lucca, perché potessero riposare accanto a quelli del figlio. I fedeli di Lucca si opposero però fermamente a tale eventualità e gli abitanti di Eichstatt dovettero così accontentarsi di un po’ di polvere proveniente dalla sua tomba.
Proprio dal monastero di Heidenheim derivò il documento detto “Hodoeporicon”, attribuito alla monaca predetta, che tratta principalmente della vita di San Villibaldo e dal quale derivano le poche notizie su San Riccardo. In considerazione però dell’eccelsa santità della sua prole e dei numerosi miracoli verificatisi sulla sua tomba in San Frediano, fu allora inventata artificiosamente una vita di “San Riccardo, re dell’Inghilterra”, titolo tributatogli così anche dal martirologio cattolico sino al 1956.
PREGHIERA
Sii benedetto, o Dio, nostro Padre,
che hai dato a San Riccardo la forza di abbandonare gli onori ed i poteri della terra,
per dedicarsi in umiltà e letizia a una vita orante e penitente.
Pellegrino instancabile, all’insegna della croce,
attraversò le regioni d’Europa visitando i santuari della fede.
Sulle sue orme i figli Villibaldo, Vunibaldo e Valburga
raggiunsero la sede dell’apostolo Pietro
e i centri del monachesimo attingendo a quelle preziose sorgenti i tesori della tua grazia.
Con l’aiuto e l’esempio di San Bonifacio di Fulda
divennero evangelizzatori delle popolazioni germaniche
e promotori di vita apostolica e contemplativa.
Concedi a noi, per intercessione di questa famiglia di santi,
il dono della conversione per contribuire da veri discepoli
e testimoni di Cristo Redentore al’edificazione di un mondo nuovo,
aperto alle sorprese del tuo Spirito.
Per Cristo nostro Signore.
Amen.
Autore: Fabio Arduino
Tomba di san Riccardo nella Basilica di
San Frediano a Lucca
(opera di Jacopo della Quercia)
San Riccardo Re degli Inglesi
m. a Lucca, 722
Visse
nell’VIII secolo e fu il padre di tre importanti santi: Villibaldo, Vunibaldo e
Valburga. La sua vita fu caratterizzata da una intensa preghiera e venerazione
verso la Sacra Famiglia e gli altri santi: infatti insieme ai figli si recò a
Roma con la speranza di trovarvi le reliquie dei SS. Pietro e Paolo. Morì a
Lucca e venne seppellito nella basilica di S. Frediano.
Etimologia: Riccardo = potente e ricco, dal
provenzale
Martirologio Romano: A Lucca, deposizione di san Riccardo,
padre dei santi Villibaldo e Valburgo, che in pellegrinaggio con i figli
dall’Inghilterra verso Roma morì lungo il cammino.
San Riccardo, commemorato in data odierna 7 febbraio dal Martyrologium
Romanum, è sicuramente uno di quei personaggi dei quali è alquanto difficile,
se non addirittura impossibile, far emergere dall’oblio del tempo quali figure
storicamente ben definite. Le precedenti edizioni del suddetto martirologio lo
volevano “re d’Inghilterra”, ma ora è citato solamente quale pellegrino alla
Città Eterna e padre dei santi Villibaldo vescovo di Eichstatt (dall’inglese
Willibald, festeggiato il 7 giugno), Vunibaldo abate di Heidenheim
(dall’inglese Wynnebald, festeggiato il 18 dicembre) e Valburga vergine (25
febbraio). Anche il reale nome di Riccardo è sconosciuto e quest’ultimo è
semplicemente frutto di una fantasiosa leggenda fiorita a Eichstatt in Baviera
nel X secolo ed a Lucca due secoli dopo.
Questa nobile famiglia proveniva dal Wessex, regione inglese, e secondo un tardivo racconto della monaca Hugebure di Heidenheim verso il 720 il padre partì con i due figli maschi in pellegrinaggio verso Roma. Villibaldo era appena ventenne e Vunibaldo diciannovenne. Navigando sul fiume Hamble, vicino al Southampton, attraversarono la Manica e risalirono quindi la Senna, per sbrcare infine a Rouen. Non prima di aver visitato numerosi santuari francesi, i tre pellegrini si diressero allora in Italia, ma Riccardo morì presso Lucca nel 722, prima di giungere a Roma. Nella città toscana il santo pellegrino riposa ancora oggi e le sue reliquie sono oggetto di venerazione nella basilica di San Frediano.
Villibaldo si unì poi al celebre San Bonifacio nell’opera di evangelizzazione della Germania, fondando il doppio monastero di Heidenheim e divenendo primo vescovo della città di Eichstatt. Anche Vunibaldo fu con loro missionario e resse il monastero di Heidenheim con la sorella Valburga. Quando Villibaldo morì e fu sepolto ad Eichstatt, si ipotizzò di traslarvi anche i resti di Riccardo, ancora deposti a Lucca, perché potessero riposare accanto a quelli del figlio. I fedeli di Lucca si opposero però fermamente a tale eventualità e gli abitanti di Eichstatt dovettero così accontentarsi di un po’ di polvere proveniente dalla sua tomba.
Proprio dal monastero di Heidenheim derivò il documento detto “Hodoeporicon”, attribuito alla monaca predetta, che tratta principalmente della vita di San Villibaldo e dal quale derivano le poche notizie su San Riccardo. In considerazione però dell’eccelsa santità della sua prole e dei numerosi miracoli verificatisi sulla sua tomba in San Frediano, fu allora inventata artificiosamente una vita di “San Riccardo, re dell’Inghilterra”, titolo tributatogli così anche dal martirologio cattolico sino al 1956.
PREGHIERA
Sii benedetto, o Dio, nostro Padre,
che hai dato a San Riccardo la forza di abbandonare gli onori ed i poteri della terra,
per dedicarsi in umiltà e letizia a una vita orante e penitente.
Pellegrino instancabile, all’insegna della croce,
attraversò le regioni d’Europa visitando i santuari della fede.
Sulle sue orme i figli Villibaldo, Vunibaldo e Valburga
raggiunsero la sede dell’apostolo Pietro
e i centri del monachesimo attingendo a quelle preziose sorgenti i tesori della tua grazia.
Con l’aiuto e l’esempio di San Bonifacio di Fulda
divennero evangelizzatori delle popolazioni germaniche
e promotori di vita apostolica e contemplativa.
Concedi a noi, per intercessione di questa famiglia di santi,
il dono della conversione per contribuire da veri discepoli
e testimoni di Cristo Redentore al’edificazione di un mondo nuovo,
aperto alle sorprese del tuo Spirito.
Per Cristo nostro Signore.
Amen.
Autore: Fabio Arduino