Bienheureuse Angèle
Salawa
Tertiaire franciscaine à
Cracovie (+ 1922)
Angela Salawa (1881-1922), tertiaire franciscaine à Cracovie, onzième enfant de sa famille, femme de service, elle a aidé les prisonniers de guerre pendant la première guerre mondiale, béatifiée le 13 août 1991 à Cracovie par Jean-Paul II lors de son voyage apostolique en Pologne - homélie en italien , en polonais.
À Cracovie en Pologne, l'an 1922, la bienheureuse Angèle Salawa, vierge du
Tiers-Ordre de Saint-François, qui travailla toute sa vie comme domestique,
vivant humblement parmi les servantes, et mourut dans une extrême pauvreté.
Martyrologe romain
SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/11512/Bienheureuse-Angele-Salawa.html
12 Mars
Bienheureuse Angela
Salawa
(1881-1922)
« Ce qu’il y a de
faible dans le monde,
voilà ce que Dieu a
choisi pour confondre ce qui est fort » (1 Co 1, 27)
Si certains de par leurs
origines semblent prédisposés plus que d’autres à connaître la gloire des
autels, tel n’est pas le cas d’Angela Salawa.
Onzième de douze enfants,
Angela naît le 9 septembre 1881 à Siepraw près de Cracovie dans une famille
très religieuse. Très tôt, elle ressent en son cœur l’appel du Christ. De santé
chétive, elle ne peut aider à la forge de son père doit quitter la maison
familiale.
Embauchée à l’âge de 16
ans comme domestique, elle se laisse aller lors de ses temps de loisirs à une
certaine facilité et sa foi tiédie. C’est tandis qu’elle danse lors d’un
mariage qu’elle perçoit de nouveau un appel du Christ à le suivre. Cet épisode
marque un tournant dans son existence.
C’est en restant dans le
monde qu’elle choisit en 1900 de se consacrer en prenant des vœux privés de
chasteté et de vertu comme vierge du Tiers Ordre séculier de saint François
d’Assise. Lectrice de sainte Thérèse d’Avila et de saint Jean de la Croix,
Angela a de suite à cœur de réunir et d’instruire les jeunes femmes domestiques
qu’elle côtoie.
Sa vie professionnelle
est marquée par l’abnégation et la prière et ce sont sans nul doute ces valeurs
qui la conduisent à s’occuper d’une manière admirable des prisonniers et
blessés de guerre lors du premier conflit mondial, sans égard à leur
nationalité ou à leur religion.
En 1918, sa santé se
dégrade et elle doit renoncer à travailler. Désormais sans ressources, réfugiée
dans une cave, abandonnée de sa famille et de ses amis, elle va connaître une
lente agonie dans des souffrances qu’elle vivra dans la foi , l’espérance et la
charité sans jamais se plaindre.
Décédée le 12 mars 1922,
elle sera béatifiée à Cracovie par le pape Jean-Paul II le 13 août 1991.
« Cette ville
était l’environnement de son travail, de sa souffrance et de la maturation de
sa sainteté. Connectée à la spiritualité de saint François d’Assise, elle a
montré une sensibilité inhabituelle à l’Esprit Saint ».(Jean Paul II,
homélie de la messe de béatification, 13 août 1991)
SOURCE : http://www.paxchristi.cef.fr/v2/bienheureuse-angela-salawa/
Bienheureuse Angèle
SALAWA
Nom: SALAWA
Prénom: Angèle (Aniela)
Pays: Pologne
Naissance:
09.10.1881 à Siepraw
Mort:
12.03.1922 à Cracovie
Etat: Laïque -
Célibataire
Note: Employée de maison.
Prière et souffrance dans le travail ordinaire. Tiers Ordre séculier de saint
François.
Béatification:
13.08.1991 à Cracovie par Jean Paul II
Canonisation:
Fête: 12 mars
Réf. dans l’Osservatore
Romano: 1991 n.33
Réf. dans la
Documentation Catholique: 1991 p.829
Bienheureuse Angèle
Salawa
La bienheureuse Angèle
Salawa, simple domestique, est de cette foule de témoins qui sanctifièrent la
terre de Cracovie : laïcs, évêques (dont Stanislas), religieux (Faustine,
Maximilien, Raphaël Kalinowski, Fra' Alberto...), reine (Edwige) et prince
(Casimir). Lorsque Jean-Paul II célébra, en 1999, le millénaire de
l'archidiocèse - dont il fut pasteur -, il embrassa chacun par la pensée et le
cur : célèbres ou anonymes, ils "témoignèrent à cette terre que Dieu est
Amour".
Onzième enfant d'une
famille pauvre, Angèle est née en 1881 à Siepraw. A l'âge de 16 ans, elle vient
à Cracovie avec sa sur pour travailler comme domestique. Très vite, elle
comprend qu'elle est appelée à servir Dieu dans une vie tout ordinaire.
Tertiaire franciscaine,
elle rayonne de la joie des pauvres. Elle exerce un discret mais fervent
apostolat, qui lui vaut d'être bientôt connue de toute la ville. Par exemple,
elle constitue une petite bibliothèque personnelle - dans laquelle figurent les
uvres de Jean de la Croix et Thérèse d'Avila -, mise à disposition des
servantes de son entourage.
Lorsqu'éclate la Première
Guerre mondiale, elle soigne des prisonniers de guerre, sans distinction de
nationalité. En 1917, dans de très grandes souffrances physiques, et une
extrême pauvreté, elle se retire dans une simple mansarde, où elle vit unie
continuellement à Dieu jusqu'à sa mort, à 40 ans.
Son confesseur vient
chaque jour lui porter la communion, et ses anciennes compagnes de travail lui
prodiguent des soins.
Lors de sa béatification,
la veille de la Journée mondiale de la jeunesse de Czestochowa (1991),
Jean-Paul II unit Angèle à sainte Edwige, reine de Pologne : "La reine et
la femme de ménage ! Toute l'Histoire de la sainteté chrétienne et de la
spiritualité édifiée sur le modèle évangélique ne s'exprime-t-elle pas dans
cette simple phrase : "Servir Dieu, c'est régner" ?"
La même vérité est
exprimée par la vie d'une grande souveraine et d'une simple domestique.
The
tomb of Aniela Salawa (1881-1922) in the Franciscan church in Krakow
Grobowiec
bł. Anieli Salawy (1881-1922) w kościele franciszkanów w Krakowie
La
tomba di Angela Salawa (1881-1922) nella chiesa francescana a Cracovia
L'urne
d'Angèle Salawa (1881-1922) dans l'église franciscaine de Cracovie
Also
known as
Aniela Salawa
Profile
Daughter of Salaw
Bartlomiej and Ewa Bochenek, the youngest of ten children in
a pious tradesman’s family. She received two years of formal education, and at
age 12 began work as a domestic in
nearby homes. On 27 April 1900 she
joined the Saint Zita Assocation, a religious group for maids.
Within this church-centered place, Angela felt at home, and devoted her free
time to the house, the church, and a call to religion, attending Mass daily
and in routine contact with Franciscans.
She was unable to enter religious
life due to poor
health, and continued to work as a maid and
to mentor other young women. She became a Franciscan tertiary on 15 March 1912.
Worked as a nurse in
a Krakow hospital during
World War I, spending her own money and any that she could beg to buy better
food for injured soldiers.
In 1917 her
health collapsed completely; she spent the last five years of her life in a
small room, surviving on the charity of the Saint Zita Association, and
spending her time in prayer.
Born
9 September 1881 in
Siepraw, Malopolskie, Poland
12 March 1922 in
Kraków, Malopolskie, Poland of
natural causes
relics transferred
to the Franciscan Chapel
of the Lord’s Passion on 13 May 1949
23 October 1987 by Pope John
Paul II (decree of heroic
virtues)
13 August 1991 by Pope John
Paul II
Additional
Information
other
sites in english
images
webseiten
auf deutsch
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
nettsteder
i norsk
Readings
“Aniela Salawa can serve
as an example of a strong faith, a perfect conformity with God’s will and an
unusual piety.” – Pope John Paul II
MLA
Citation
“Blessed Angela
Salawa“. CatholicSaints.Info. 31 October 2021. Web. 12 March 2022.
<http://catholicsaints.info/blessed-angela-salawa/>
SOURCE : http://catholicsaints.info/blessed-angela-salawa/
Our Lenten Journey, March
12: Blessed Angela Salawa
By
Virginia
Durkin O'Shea, Dialog Staff
12 March 2020,
18:21
She was a simple woman
who worked as a nurse and spent the last years of her life alone and in
poverty. She didn’t start a religious order, or author any theological texts.
But sometimes a simple person can still lead a saintly life; just look at
Blessed Angela Salawa.
Born on Sept. 9, 1881, in
a small town near Krakow, Poland, Angela was the eleventh of twelve children, a
sickly child who had great devotion to God.Blessed Angela Salawa, circa 1914.
When she was 16, she
moved to Krakow to work as a maid. She lived with her older sister, Teresa, and
soon began indulging in more earthly interests, leaving her faith behind.
Her sister always worried
about her, begging her to change her life and return to God. The turning points
in Angela’s life came from a combination of Teresa’s death — which devastated
her — and a vision of Jesus. Angela said that while dancing at a wedding
reception, Jesus appeared to her, asking how she could love dancing more than him.
Angela was influenced by
the life of St. Francis of Assisi, as well as the Carmelite saints, Teresa of
Avila and John of the Cross. She took private vows of chastity in 1900, and in
1912, became a secular Franciscan.
During World War I,
Angela worked as a nurse for the injured soldiers in Poland, treating each one
with kindness, regardless of faith or nationality. Stories say she used her own
salary and begged on the streets for money to buy resources to care for the
soldiers.
In 1916, false
accusations were made against her and she was fired from her job. By this time,
her health had began to deteriorate, and she lived her final years in sickness
and poverty. The St. Zita Association cared for Angela in her final days. She
died on March 12, 1922 at age 40.
In 1981, her cause for
beatification was accepted, based on the miraculous healing of a boy with a
brain injury. Her fellow countryman, St. John Paul II, declared her Blessed
during his visit to Krakow in August 1991, saying: “It is in this city that she
worked, that she suffered and that her holiness came to maturity. While
connected to the spirituality of St. Francis, she showed an extraordinary
responsiveness to the action of the Holy Spirit.”
Blessed Angela Salawa’s
feast day is March 12.
She is the patron of
Secular Franciscans, those with multiple sclerosis, and people with terminal
illnesses.
Read her biography at
Franciscan Media here:
https://www.franciscanmedia.org/blessed-angela-salawa/
This blog has a prayer
for St. Angela:
http://communio.stblogs.org/index.php/2015/05/asking-for-the-intercession-of-blessed-angela-salawa/
SOURCE : https://thedialog.org/catechetical-corner/our-lenten-journey-march-12-blessed-angela-salawa/
Saint
of the Day: Blessed Angela Salawa
Served
wounded soldiers during World War I
Third
Order Francsican(1881-1922)
Her life
+ Angela (or Aniela) was
the youngest of ten children born to a tradesman in Siepraw, Poland.
+ At the age of sixteen,
she experienced a mystical encounter that led her to devote her life to God,
turning her back on many of the normal pursuits and interests of other young
women of her time.
+ With only two years of
formal education, she entered domestic service at the age of twelve. On April
27, 1900—the Feast of Saint Zita—she joined the St. Zita Association, a
religious group for women working as maids. The group became a second family for
Angela, who dedicated her free time to religious activities.
+ Although she felt
called to religious life, and had frequent contact with the Franciscans, she
was unable to enter religious life because of poor health. Instead, while
continuing to work as a maid, she became a member of the Franciscan Third Order
in 1912.
+ In her prayer, Angela
found great comfort in the writings of Saint Teresa of Avila and Saint John of
the Cross and in her devotion to Saint Francis of Assisi. She had a particular
devotion to the Blessed Sacrament.
+ Angela worked as a
nurse during the First World War and would use her own money to help provide
decent food for the injured soldiers.
+ Her health failed in
1917 and Angela spent the remaining years of her life in prayer and contemplation,
supported by her beloved St. Zita Association.
+ Blessed Angela Salawa
died in Kraków, Poland, on March 12, 1922, and was beatified in 1991.
For
prayer and reflection
“Aniela Salawa can serve
as an example of a strong faith, a perfect conformity with God’s will and an
[exceptional] piety.”—Pope Saint John Paul II at the beatification of Blessed
Angela Salawa
Prayer
Give us, O Father,
the spirit of humility
and love
that enabled Blessed
Angela, the virgin,
to offer herself as a
living sacrifice, holy and pleasing to you.
Through her intercession,
grant that we may grow in
the newness of the Gospel life
to conform ourselves to
Christ your Son.
Who lives and reigns with
you in the unity of the Holy Spirit,
one God, for ever and
ever. Amen.
(from The Franciscan
Proper of Saints)
Saint profiles prepared
by Brother Silas Henderson, S.D.S.
SOURCE : https://aleteia.org/daily-prayer/thursday-march-12/
Blessed Angela (Aniela) Salawa Franciscan Tertiary
Siepraw, Krakow, Poland, September 9, 1881 – Warsaw, March 12, 1922
Beatified by Pope John
Paul II in Krakow, August 13, 1991.
Roman Martyrology: At
Cracow in Poland, Blessed Angela Salawa, virgin of the Third Order of St.
Francis, who chose to commit her life to working as a woman of service: she
lived humbly among servants and migrated to the Lord in absolute poverty.
The category of household
has over the centuries, the Church and Christianity, many figures of saints and
Beate, who started working in this field, for a time more or less along, led
the families and the faithful, the example of their moral and Christian
virtues, and an apostolate in every possible environment of everyday life.
The majority of them,
then left with the task of home, to join in religious institutes and
congregations, some becoming their own founders, when the sisters were not,
certainly came in Third religious.
But there were also those that were domesticated, and these remained so until
the end of life, sanctifying between the stove and cleaning of homes, including
reprimands or admiration of the landlords, becoming apostles of Christ among
the needy.
It was Saint Zita
(1218-1278) home of Lucca, patroness of the city and appointed by Pope Pius XII
September 26, 1953, patroness of the household, party April 27 and then at the
turn of the nineteenth and twentieth century Polish Blessed Angela (Aniela) Salawa,
under this designation.
She was born September ,9
1881 at Siepraw at Krakow in Poland, eleventh of the twelve children of
Bartholomew and Salawa Ewa Bochenek, was baptised Angela (Aniela), her father
was a blacksmith and her mother was devoted to house and her many children, to
whom she taught piety, modesty and hard work. With these principles she grew
and was formed under the guidance of her mother, who also prepared her for he
First Communion at twelve years, according to the custom of the time.
As early as age 15, in
1894, she was in service to a family Siepraw, grazing cows, cutting grass,
entertaining the children in the early spring of 1895 and eradicating the roots
of grass tufts in the frost period. She returned to the family home until October
1897, rejecting in the meantime the insistence of her father for marriage, then
moved to Krakow to go to work as a cooperator family. Where she was hosted by
her sister Teresa, which confirmed that she did not feel called to marriage.
In Krakow, she went to
service at the family Kloch, where she worked hard without complaint; at 16 she
was attractive, and the landlord took to threatening her, so shortly after
Angela left that employment.
After working for some
families in neighboring countries, she returned to Krakow, where on January 25,
1899, she witnessed the serene death of her sister Teresa, also the home;
shaken by the loss, she felt the call of an inner voice that called her to walk
the path of perfection, entry to which she paid promptly.
She tried the force by
extending her time for prayer in church and at home and in meditation, with the
assistance of her spiritual director, the Jesuit Father Stanislaus Mieloch,
gave herself to God with the vow of perpetual chastity, a vow already
pronounced in early youth.
Taken to engage in a
fruitful apostolate and dark, among the households of Krakow, the gathering,
she taught, counseled, and when implementing her duties, often forgot herself.
Despite poor health, she was always cheerful and sociable, dressed well, not
for the world but for God. In 1900 she enrolled in the Association of St. Zita,
promoting care for the household, so she could exercise in a more organized
fashion, a fruitful apostolate in her work, becoming a guide and a model of
Christian life.
In 1911 she was struck by
a painful disease that upset for a long time, then her mother died and the
young lady with whom she worked with affection and dedication and also felt
abandoned by her companions who could no longer gather in the house. This distressing
period of suffering, told in her diary, was addressed by Angela, joining more
to God in prayer and meditation, and in 1912 she also had mystical phenomena,
with the vision of the encounter with Jesus
She joined the Third
Order of St. Francis, taking the suit May 15, 1912, in the church of the
Conventual Franciscans and August 6th, 1913 she made regular profession. During
the First World War, she helped with her little savings, prisoners of war,
without distinction of nationality, voluntarily undertook to love the wounded
and sick in hospitals in Cracow, where she was respectfully called “the holy
lady” .
Criticized for loving her
master, the lawyer Fischer, she was dismissed in 1916 from the house where she
had worked since 1905. Followed some years of neglect, without work and with
the disease more pressing, while continuing the mystical phenomena, in 1918
weakened, she retired from work and retreated into a small room in an attic,
under lease, so she began the last period of his life, five years of suffering
in union with God, which gratifiedher with visions, especially of Jesus with a
crown of thorns and suffering.
Her confessor bore her
daily Communion and compañeras inconsolable, she alternated in her hovel to
assist. Noted on her diary: “Thinking back to my life, I believe to be in that
vocation, place and status, from childhood in which God has called me” in her
ardent love, begged to take upon herself the disease of others, her suffering
was multiplied, while those for whom it was offered healed.
At the end she agreed to
leave that environment and was hospitalized at St. Zita’s Hospital in Krakow,
where after receiving the sacraments, she died March 12, 1922 in extreme
poverty with a reputation for holiness.
In conjunction with the
diocesan process for his beatification, on May 13, 1949, her body was
transferred from the cemetery to the Basilica of St. Francis of Krakow. Pope
John Paul II proclaimed her Blessed August 13, 1991 in Krakow, during his
apostolic visit to Poland. Her feast is celebrated March 12.
Author: Antonio Borrelli
Source: Santi
e Beati
SOURCE : https://theblackcordelias.wordpress.com/2009/03/12/blessed-angela-aniela-salawa-march-12/
Blessed Angela Salawa (1881-1922)
Angela served Christ and Christ’s little ones with all her strength.
Born in Siepraw, near
Kraków, Poland, she was the 11th child of Bartlomiej and Ewa Salawa. In 1897,
she moved to Kraków where her older sister Therese lived. Angela immediately
began to gather together and instruct young women domestic workers. During
World War I, she helped prisoners of war without regard for their nationality
or religion. The writings of Teresa of Avila and John of the Cross were a great
comfort to her.
Angela gave great service
in caring for soldiers wounded in World War I. After 1918 her health did not
permit her to exercise her customary apostolate. Addressing herself to Christ,
she wrote in her diary, "I want you to be adored as much as you were
destroyed." In another place, she wrote, "Lord, I live by your will.
I shall die when you desire; save me because you can."
At her 1991 beatification
in Kraków, Pope John Paul II said: "It is in this city that she worked,
that she suffered and that her holiness came to maturity. While connected to
the spirituality of St. Francis, she showed an extraordinary responsiveness to
the action of the Holy Spirit" (L'Osservatore Romano, volume 34, number 4,
1991).
SOURCE : https://www.beliefnet.com/faiths/catholic/saints/a/angela-salawa.aspx
Zdjęcie
Anieli Salawy z 1921 roku. Archiwum franciszkanów
Beata Angela
Salawa Vergine e Terziaria francescana
Siepraw, Polonia, 9
settembre 1881 - Cracovia, Polonia, 12 marzo 1922
Aniela Salawa, nata in
Polonia da una numerosa e modesta famiglia, fu educata alla fede dalla madre.
Già a quindici anni lavorava come donna di servizio e maturò col tempo la
decisione di non sposarsi. Scossa dalla morte della sorella Teresa nel 1899,
intraprese un serio cammino di penitenza e conversione, trasformandosi in
un’apostola tra le domestiche di Cracovia. Il 15 maggio 1912 ricevette l’abito
di Terziaria francescana, mentre aveva già emesso il voto privato di castità.
Ridotta in povertà per aver perso il lavoro, finì col vivere in una soffitta,
dove ebbe anche visioni ultraterrene. Ricoverata presso l’ospedale Santa Zita
di Cracovia, vi morì il 12 marzo 1922. È stata beatificata da san Giovanni
Paolo II il 13 agosto 1991 a Cracovia, durante il secondo viaggio apostolico in
Polonia del Pontefice. La sua memoria liturgica, per la diocesi di Cracovia, è
stata fissata al 12 marzo. I suoi resti mortali sono stati traslati il 13
maggio 1949 nella basilica di San Francesco a Cracovia, dove sono tuttora
venerati.
Martirologio
Romano: A Cracovia in Polonia, beata Angela Salawa, vergine del
Terz’Ordine di San Francesco, che scelse di impegnare tutta la vita lavorando
come donna di servizio: visse umilmente tra le serve e migrò al Signore in
assoluta povertà.
La santità delle
domestiche
La categoria delle
domestiche ha dato lungo i secoli, alla Chiesa e alla cristianità, tante figure
di Beate e Sante, che iniziando a lavorare in questo campo, per un tempo più o
meno lungo, portarono nelle famiglie e nei fedeli l’esempio delle loro virtù
cristiane e morali e di un apostolato possibile in ogni ambiente del vivere
quotidiano.
La maggioranza di esse
lasciarono poi il compito di domestiche, per entrare a far parte di Istituti e
Congregazioni religiose, alcune diventando loro stesse fondatrici; quando non
divennero suore, entrarono senz’altro nei Terz’Ordini religiosi.
Ma ci furono anche quelle
che domestiche erano e tali rimasero fino al termine della vita. Santificandosi
fra i fornelli e le pulizie delle abitazioni, fra rimproveri o ammirazione dei
padroni di casa, divennero apostole di Cristo fra i bisognosi. Da santa Zita di
Lucca, vissuta tra 1218 e 1278 e proclamata patrona delle domestiche da papa
Pio XII il 26 settembre 1953, si arriva ad Aniela Salawa, vissuta in Polonia
tra Otto e Novecento.
Nascita e prima
educazione
Nacque il 9 settembre
1881 a Siepraw presso Cracovia in Polonia, undicesima dei dodici figli di
Bartłomiej Salawa ed Ewa Bochenek. Al Battesimo, ricevuto quattro giorni dopo
la nascita, le fu dato il nome di Aniela, corrispettivo polacco di Angela.
Il padre era fabbro,
mentre la madre, tutta dedita alla casa e ai numerosi figli, insegnava loro la
pietà, la modestia e la laboriosità. Aniela crebbe quindi con questi principi e
si formò sotto la guida della madre, che la preparò anche alla Prima Comunione verso
i dodici anni, secondo la consuetudine dell’epoca.
A servizio già a quindici
anni
Già a 15 anni nel 1894
era a servizio presso una famiglia di Siepraw: pascolava le vacche, falciava
l’erba, intratteneva i bambini. All’inizio della primavera del 1895 estirpava
le radici e i ciuffi d’erba, nonostante le temperature gelide del periodo.
Rientrò in famiglia dove
sostò fino all’ottobre 1897, rifiutando nel frattempo le insistenze del padre
che la spingeva verso il matrimonio. In seguito si trasferì a Cracovia,
per andare a lavorare come cooperatrice familiare. Sin dai primi giorni fu
ospitata dalla sorella Teresa, alla quale ribadì che non si sentiva chiamata al
matrimonio.
A Cracovia andò a
servizio presso la famiglia Kloc, dove lavorò duramente senza mai lamentarsi;
aveva 16 anni ed era molto attraente. Per questo il padrone di casa prese ad
insidiarla, per cui Angela dopo poco tempo lasciò l’occupazione.
La conversione
Dopo altri rapporti di
lavoro in alcune famiglie dei paesi vicini, ritornò a Cracovia, dove
assistette, il 25 gennaio 1899, alla serena morte della sorella maggiore
Teresa, anch’ella domestica. Rimasta scossa dalla perdita, avvertì il richiamo
di una voce interna che la chiamava a percorrere la via della perfezione.
Aniela rispose
prontamente, anzitutto prolungando il tempo della preghiera in chiesa e in casa
e nella meditazione. Con l’assistenza del suo direttore spirituale, il gesuita
padre Stanislao Mieloch, si consacrò a Dio con il voto di castità perpetua, già
pronunciato nella prima giovinezza.
Il suo apostolato tra le
domestiche
Prese a dedicarsi ad un
apostolato oscuro ma fecondo tra le domestiche di Cracovia: le riuniva, le
istruiva, le consigliava, le dirigeva. Nell’adempiere i doveri delle sue
mansioni, dimenticava spesso sé stessa. Nonostante la salute precaria, era
sempre allegra e socievole; si vestiva bene, non per il mondo, ma per Dio.
Nel 1900 si iscrisse
all’Associazione di Santa Zita, che promuoveva l’assistenza alle domestiche:
poté in tal modo esercitare in forma più organizzata un fruttuoso apostolato
fra le sue compagne di lavoro, diventando per loro una guida e un modello di
vita cristiana.
Un periodo di sofferenza
Nel 1911 fu colpita da
una dolorosa malattia, che la sconvolse per lungo tempo, poi morì la madre e la
giovane signora alla quale prestava la sua opera con affetto e dedizione;
inoltre si sentì abbandonata anche dalle compagne che non poteva più radunare
in casa.
Questo periodo di
angosciosa sofferenza, raccontato nel suo Diario, fu affrontato da Aniela,
unendosi maggiormente a Dio nella preghiera e nella meditazione. Nel 1912 ebbe
anche fenomeni mistici, con la visione dell’incontro con Gesù.
«La santa signorina»
Aderì al Terz’Ordine di
San Francesco, prendendone l’abito il 15 maggio 1912 nella chiesa dei
Francescani Conventuali di Cracovia; il 6 agosto 1913 emise la regolare
professione.
Durante la Prima Guerra
Mondiale, aiutò con i suoi pochi risparmi i prigionieri di guerra, senza
distinzione di nazionalità. Volontariamente si impegnò con amore all’assistenza
dei feriti e dei malati negli ospedali di Cracovia, dove rispettosamente era
chiamata «la santa signorina».
Senza più lavoro
Per avere rimproverata l’amante
del suo padrone, l’avvocato Fischer, fu licenziata nel 1916 da quella casa dove
lavorava dal 1905. Seguirono alcuni anni di abbandono, senza lavoro e con la
malattia più incalzante, mentre proseguivano i fenomeni mistici.
Nel 1918, ormai debilitata
nelle forze, lasciò anche i lavori saltuari e si ritirò in un piccolo ambiente
in una soffitta, preso in affitto. Iniziò così l’ultimo periodo della sua vita:
cinque anni di sofferenze in unione con Dio, che la gratificava con visioni,
specie di Gesù con la corona di spine e sofferente.
Il confessore le portava
ogni giorno la Comunione e le compagne, inconsolabili, si alternavano nel suo
tugurio per assisterla.
La morte
Annotò sul suo Diario:
«Ripensando alla mia vita, credo di essere in quella vocazione, luogo e stato
in cui fin dall’infanzia Dio mi ha chiamato». Nella sua ardente carità, pregò
di prendere su di sé le malattie degli altri: le sue sofferenze si
moltiplicarono, mentre coloro per cui si era offerta guarirono.
Alla fine acconsentì a lasciare
quell’ambiente ristretto: fu ricoverata all’ospedale di Santa Zita a Cracovia,
dove, dopo aver ricevuto i Sacramenti, spirò il 12 marzo 1922 in estrema
povertà.
Il processo di
beatificazione
La sua fama di santità
condusse all’apertura del suo processo di beatificazione. Il 10 settembre 1934
si ebbe il decreto sugli scritti, ma l’introduzione della causa avvenne solo il
30 marzo 1981. Promulgate nel frattempo le nuove norme sui processi di
beatificazione e canonizzazione, il 20 giugno 1986 venne emesso il decreto di
convalida del processo informativo e di quello apostolico.
La “Positio super
virtutibus”, consegnata nel 1987, fu esaminata nel corso dello stesso anno
dalla Consulta dei teologi, il 14 aprile, e dai cardinali e vescovi membri
della Congregazione delle Cause dei Santi, il 2 giugno. Il 23 ottobre 1987,
quindi, il Papa san Giovanni Paolo II autorizzò la promulgazione del decreto
con cui Aniela Salawa veniva dichiarata Venerabile.
Il miracolo per la
beatificazione
Come potenziale miracolo
per ottenere la sua beatificazione venne esaminato il caso avvenuto nel 1990 a
un bambino di Nowy Targ, in Polonia. Mentre il piccolo stava giocando in un
parco con gli amici, fu colpito violentemente alla testa: i medici riscontrarono
delle lesioni al cervello.
I genitori fecero quindi
celebrare una Messa per la sua guarigione e iniziarono una novena alla
Venerabile Aniela Salawa. Il 6 aprile il bambino riprese a parlare e il 23 fu
dimesso in buona salute.
Il processo sul miracolo
venne quindi convalidato il 12 aprile 1991. Nel corso del medesimo anno,
giunsero anche il parere positivo circa l’inspiegabilità scientifica della
guarigione da parte della Consulta medica, il 6 giugno; quello dei Consultori
teologi, il 21 giugno, sull’intercessione della Venerabile; quello dei
cardinali e vescovi, il 2 luglio.
Il 6 luglio 1991 san
Giovanni Paolo II poteva quindi autorizzare la promulgazione del decreto
relativo, aprendo quindi la strada alla beatificazione.
La beatificazione e il
culto
Aniela Salawa fu quindi
beatificata da san Giovanni Paolo II il 13 agosto 1991 a Cracovia, durante il
secondo viaggio apostolico in Polonia. La memoria liturgica, per la diocesi di
Cracovia, è stata fissata al 12 marzo.
I suoi resti mortali sono
stati traslati il 13 maggio 1949 nella basilica di San Francesco a Cracovia,
dove tuttora sono venerati.
Autore: Antonio Borrelli
ed Emilia Flocchini
Kościół Anieli Salawy w Krakowie
Non è da tutti poter dire
sul letto di morte: «Credo di essere in quella vocazione, luogo e stato in cui
fin dall’infanzia Dio mi ha chiamato». Queste parole non arrivano dalla
fondatrice di una congregazione religiosa o da un illuminato teologo, ma da una
poco più che quarantenne domestica, una “colf”, diremmo oggi, che tra pentole e
fornelli è riuscita a trovare la piena realizzazione di sé, tanto da fare della
sua vita un capolavoro di perfezione cristiana, riconosciuto dalla Chiesa con
la sua beatificazione.
Aniela (ossia Angela)
Salawa è l’undicesima dei dodici figli del fabbro di Siepraw, vicino a
Cracovia: una famiglia modesta, in cui bisogna lavorare molto per sfamare le
tante bocche, ma in cui papà e mamma sono anche i primi autorevoli maestri
della fede.
Mamma, in particolare,
oltre ad insegnarle ad essere una brava figliola e una perfetta donna di casa,
la prepara personalmente a ricevere, a 12 anni, la prima comunione. A giudicare
da quello che lei diventerà, sono insegnamenti che lasciano il segno.
A 15 anni è già a
servizio presso una famiglia della zona e le sue mansioni spaziano
dall’accompagnare le mucche al pascolo al falciare l’erba, dalla custodia dei
bambini ai lavori in casa: niente più e niente meno di quello che facevano le
classiche “servette”, che fino a 50 anni fa erano presenti anche nelle nostre
campagne.
Rientra in famiglia un
paio d’anni dopo, proprio mentre papà sta trafficando per combinarle un buon
matrimonio, che lei rifiuta con decisione. Continua a fare la domestica a
Cracovia, dove si trasferisce, ma il nuovo padrone ha troppe attenzioni per lei
fino ad arrivare ad insidiarla apertamente.
Lasciata questa casa,
vaga di famiglia in famiglia, dove viene richiesta, ma l’autentica svolta alla
sua vita arriva con la morte di una sorella, pure lei domestica a Cracovia. Da
questo lutto esce come trasformata, con un vivo desiderio di percorrere la via
della perfezione: moltiplica il tempo dedicato alla preghiera e alla
meditazione, si affida ad una saggia e prudente direzione spirituale, inizia un
oscuro ma prezioso apostolato tra le domestiche di Cracovia, troppo spesso
abbandonate a se stesse.
Organizza per loro
riunioni in cui le istruisce, le consiglia, le dirige, diventando per tutte un
punto di riferimento e un autentico modello. Ha una gran cura di sé e del suo
abbigliamento, non per attirare l’attenzione degli altri, ma per avere un buon
biglietto di presentazione quando parla agli altri di Dio.
Il 1911 è tragico per
lei: le muore la mamma, muore pure la signora presso la quale è a servizio, si
ammala e si sente abbandonata dalle compagne. Esce da questa profonda crisi
aggrappandosi alla preghiera e intensificando la sua unione con Dio.
Nel 1916 viene licenziata
in tronco per aver osato contestare all’amante del suo padrone la sua relazione
illecita e da quel momento non riesce più a trovare un lavoro stabile, mentre
la salute si va sempre più deteriorando.
Si trasferisce in una
soffitta, a consumarsi d’amore per Gesù e a prendere su di sé i malanni degli
altri, fino a quando devono ricoverarla all’ospedale Santa Zita di Cracovia,
dove muore in estrema povertà il 12 marzo 1922.
Giovanni Paolo II, che da
seminarista e giovane prete aveva irrobustito la sua vocazione sulla tomba di
lei, ha avuto la gioia di proclamare beata Aniela Salawa nella sua Cracovia il
13 agosto 1991.
Autore: Gianpiero
Pettiti
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/92061
Parafia
pw. Anieli Salawy w Krakowie
Den salige Angela Salawa
(1881-1922)
Minnedag: 12.
mars
Den salige Angela Salawa
(pl: Aniela) ble født den 9. september 1881 i Sieprawie, en stor landsby mellom
Kraków og Myslenice i erkebispedømmet Kraków i Polen. Hun var datter av
Bartlomiej Salaw og Ewa Bochenek. Med sin første hustru Magdalena hadde faren to
sønner. Etter hennes død ble han kjent med bakerdatteren Ewa i Sulkowice, hvor
han arbeidet i en smie. Etter at de giftet seg, reiste de tilbake til
Bartlomiejs hjemby Sieprawie.
Der drev han et lite
stykke jord som ikke kastet mye av seg. Som så mange andre i landsbyen drev han
som håndverker ved siden av, og i sin smie laget han jordbruksredskaper. Angela
var den yngste av de ti barna, tre sønner og syv døtre, som faren fikk med sin
andre hustru. Hun ble døpt av sognepresten, p. Wojciech Kapinski, og Pawel
Ficek og Wiktoria Salawa bar henne til dåpen.
Familien var svært from.
Hver dag sang de religiøse sanger tidlig på morgenen og de leste åndelige
bøker, blant annet helgenbiografier. Alle barna ba morgen- og aftenbønn høyt.
De måtte hver søndag og helligdag gå til messe og hver ettermiddag til vesper.
Av sine foreldre lærte Angela snart å elske bønn, arbeid og offerånd.
På slutten av 1800-tallet
økte fattigdommen i landsbyene i Galicia. Mange barn døde tidlig, og epidemier
og smittsomme sykdommer herjet, som tuberkulose, tyfus, dysenteri og noen
ganger også kolera. Det ble da vanlig at de fattige sendte sine barn i tjeneste
til dem som var rikere. Unge gutter ble gårdsgutter, mens jentene ble sendt til
byene som hushjelper.
Da lille Angela ble seks
år, begynte hun på skolen, hvor det var bare en lærer som underviste dem alle.
Hun gikk på skolen i to år og lærte å lese, men ikke å skrive stort. Som
12-åring begynte hun å arbeide i hjemmene hos naboer. Da hun fylte 16 år, ble
det bestemt at hun skulle gifte seg, men hun nektet. Fordi hun var underernært,
svak og sykelig frarådet hennes søstre også ekteskap. Søstrene Eleonora og
Teresa var hushjelper i Kraków, og de bestemte seg for å ta henne med dit og
skaffe henne en jobb.
Hun kom til Kraków sent
på høsten 1897. Søsteren Teresa hjalp henne å finne den første jobben, men de
to første årene måtte hun ofte skifte tjenestested. Den første tiden var hun
lettsindig og frivol og lite from, men to år senere, påvirket av søsteren
Teresas død og kalt av en indre stemme, fattet hun som 18-åring en fast
beslutning om å søke etter hellighet i et ydmykt og fattig liv og å leve resten
av livet i kyskhet.
Hun sluttet seg den 27.
april 1900 til St. Zita-foreningen for hushjelper, som var grunnlagt i 1899 av
p. Wlodzimierz Ledóchowski. Den samlet alle katolske hushjelper og fikk snart
1300 medlemmer. Foreningen kjøpte sitt eget hus, hvor de organiserte et
tilfluktssted for hjemløse jenter, et kjøkken, et lite hospital, et vaskeri,
skole og bibliotek. For Angela ble det som et nytt hjem som erstattet hennes
gamle.
Hun ble kjent med
redemptoristene, som akkurat da bygde et kloster og en kirke i Kraków. Hun
prøvde å komme seg til messe så ofte som mulig, og hun kjøpte ofte blomster for
egne penger og tok med i kirken. Hun broderte også duker som hun tok med til
kirken. Fra 1903 mottok hun hver dag den hellige kommunion.
Hun måtte ofte bytte
jobb. Lengst arbeidet hun hos Maria og Edmund Fischer. Dr. Fischer var advokat
og hadde sitt private kontor. Hans hustru Maria var svært glad i Angela. Men i
1911 døde både arbeidsgiveren Maria og Angelas mor, de to menneskene hun elsket
aller høyest. I tillegg fikk hun samme år en smertefull sykdom. Etter Marias
død måtte hun forlate familien Fischer, 28 år gammel.
Allerede mens hun bodde
hos dem, gikk hun hver dag til messe hos fransiskanerne, som skulle spille en
svært stor rolle i hennes senere liv. En tid tenkte hun på å gå i kloster, og
tenkte da spesielt på kontemplative klostre, men hver gang hun søkte, ble hun
avvist på grunn av sin dårlige helse og sin mangel på «medgift». I stedet drev
hun et aktivt apostolat blant de andre hushjelpene, som det da var svært mange
av i byen, og for dem var hun alltid et mønster og en veileder i det kristne
liv. Hun fikk hele tiden næring til sitt åndelige liv gjennom bønnen, som
imidlertid aldri kom i veien for hennes plikter. Hun deltok med en levende tro
i feiringen av de hellige mysterier, spesielt eukaristien og korsveien. Hun
æret Guds Mor med en datterlig kjærlighet.
Men da hun i 1911 måtte
flytte fra familien Fischer, ble hun forlatt av sine ledsagere, som ikke lenger
kunne samles i huset. I 1912 oppdaget hun at hun i sin ånd av ydmykhet og
fattigdom hadde en stor tiltrekning til den hellige Frans av Assisi, og
derfor bestemte hun seg for å avlegge løfte som fransiskanertertiar. Den 15.
mars 1912 begynte hun i fransiskanertertiarenes (Tertius Ordo Franciscanus –
TOF) novisiat, og den 6. august 1913 avla hun løftene.
Under Første verdenskrig
arbeidet hun på sykehuset i Kraków i den knappe fritiden hun hadde fra sine
huslige plikter. Der stelte hun og trøstet sårede soldater, som kalte henne
«den unge hellige kvinnen». Hun kjøpte mat til dem for egne penger eller for
penger hun hadde tigget. På slutten av krigen var hun helt utslitt. I 1917 ble
hun svært syk, da hun i tillegg til sine gamle plager også fikk en svulst og
betennelse i lunger, hals og strupe, men først og fremst en muskesvinnsykdom
som legene sto helt maktesløse overfor.
I mai 1917 ble hun
tvunget til å slutte å arbeide. I et lite leid rom på 4x3 meter som lignet på
en klostercelle, tilbrakte hun de siste fem år av sitt liv i konstante
lidelser, som hun ofret til Gud som soning for verdens synder, for omvendelse
av syndere og sjelenes frelse og ekspansjonen av Kirkens misjon. Hun levde av
sine sparepenger og av hjelp fra foreningen for hushjelper.
Hun døde fredelig den 12.
mars 1922 i foreningens eget hospital i Kraków, bare 40 år gammel. Begravelsen
fant sted den 15. mars ledet av fransiskanerne og med redemptoristene og
jesuittene til stede. Kort etter hennes død skjedde det mange helbredelser, som
fransiskanerne registrerte med stor nøyaktighet. Hennes ry for hellighet
spredte seg raskt over hele Polen.
Den 13. mai 1949 ble hennes
jordiske rester overført til Herrens lidelses kapell hos fransiskanerne.
Samtidig ble det skrevet mange bøker og avisartikler om hennes liv. Alt blir
oppbevart i et arkiv som p. Joschim Roman Bar har ansvaret for. Han utga
«Aniela Salawas dagbok» i 1989. Erkebiskopen av Kraków, kardinal Karol Wojtyla,
var helt fra begynnelsen av tilhenger av hennes saligkåring. I 1975 skrev han:
«Aniela Salawa kan tjene som eksempel på en sterk tro, en fullkommen
overensstemmelse med Guds vilje og en uvanlig fromhet».
Tre år senere ble
kardinal Wojtyla pave Johannes Paul II (1978-2005). Den 23. oktober 1987 ble
hennes «heroiske dyder» anerkjent og hun fikk tittelen Venerabilis («Ærverdig»).
Den 6. juli 1991 undertegnet paven dekretet fra Helligkåringskongregasjonen som
godkjente et mirakel på hennes forbønn, og den 13. august 1991 kunne han
saligkåre Angela i Kraków. Hennes minnedag er dødsdagen 12. mars.
Kilder: Resch
(B3), Index99, Abbaye Saint-Benoît, franciscanos.org, sicoar.com.uy,
siepraw.diecezja.krakow.pl - Kompilasjon og oversettelse: p. Per Einar Odden -
Sist oppdatert: 2005-06-30 17:00
SOURCE : http://www.katolsk.no/biografier/historisk/asalawa
Church
of Blessed Aniela Salawa (interior), 29 Kijowska street, Krakow, Poland
Kościół
bł. Anieli Salawy (wnętrze), ul. Kijowska 29, Kraków
Voir aussi : http://www.therealpresence.org/eucharst/misc/Angels_Demons/ANGES_salawa.pdf
http://cradio.org.au/shows-and-audio/exclusive-to-cradio/saint-of-the-day/blessed-angela-salawa/
https://www.franciscanmedia.org/saint-of-the-day/blessed-angela-salawa
http://www.therealpresence.org/eucharst/misc/Angels_Demons/ANGES_salawa.pdf