Statue de saint Maximin, église Notre-Dame de la Seds
à Aix-en-Provence
Kirche Notre-Dame de la Seds in Aix-en-Provence, Linker Seitenaltar mit Figur des heiligen Maximinus von Aix, davor Figur der heiligen Martha mit der Tarasque
Saint Maximin
Évêque d'Aix (1er s.)
On le fête à Aix en Provence. Lié à la légende du voyage de Marie-Madeleine, il fut identifié aussi à l'aveugle-né de l'Évangile (Jean ch. 9).
Martyrologe romain
SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1292/Saint-Maximin.html
La basilique de Sainte Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Peu après l'ascension de Jésus-Christ, Madeleine s'était retirée
dans le désert, un peu au-delà de l'endroit où avait résidé Jean-Baptiste. Elle
avait des vêtements qui l'enveloppaient tout entière. Plus tard, elle s'enfonça
plus avant dans une contrée sauvage, hérissée de rochers et vécut loin des hommes,
dans une grotte où Élisabeth s'était retirée
avec Jean-Baptiste, lors du massacre
des Innocents. Lazare se tenait le
plus souvent caché et ne se montrait que la nuit. Trois ou quatre ans après
l'Ascension, les apôtres se trouvèrent réunis ensemble à Jérusalem. Dès les
premiers temps, ils avaient réglé tout ce qui a rapport au corps de l'Église.
Alors éclata à Jérusalem une persécution contre Lazare et ses sœurs. Marthe et lui furent jetés en
prison par les Juifs.
Madeleine, ayant voulu les visiter pendant la nuit fut
également arrêtée. Avec Lazare et ses deux sœurs furent aussi emmenés un jeune
homme nommé Maximin, Marcelle, servante de Madeleine,
et la servante de Marthe (Maria Valtorta donne Marcelle comme servante de
Marthe et Sara de Béthanie comme
servante de Maria Madeleine.). Ils étaient sept : trois hommes et quatre
femmes. Après les avoir accablés de mauvais traitements, les Juifs les firent
monter dans une méchante barque faisant eau de toutes parts, et n'ayant ni
voiles ni gouvernail. Elle fut amarrée à un grand vaisseau, qui l'abandonna
après l'avoir remorquée en pleine mer : Tandis que Lazare et ses compagnons
priaient et chantaient des cantiques, je vis la barque aborder sur le rivage de
la Gaule, dans un lieu où les vagues venaient baigner doucement la plage. Ils
descendirent à terre, et abandonnèrent leur esquif à la merci des flots. Leur
voyage s'était fait avec une vitesse miraculeuse.
Je les vis arriver dans la grande ville de Massilia (C'est
le nom latin de Marseille. Tout ce récit du reste est confirmé par l'histoire
et la tradition sur les saints lieux de Provence, tradition que les
récents travaux de M. Faillon Sulpicien viennent de raviver en France, et
qui ne pouvait certainement être connue de la soeur morte en 1824.). On les
laissa passer, et l'on se contenta de les regarder, sans leur faire aucun mal.
On célébrait alors la fête d'une idole, et je vis les sept étrangers s'asseoir
sur la place publique, sous le péristyle d'un temple. Ils demeurèrent là
longtemps ; enfin Marthe la première adressa la parole au peuple qui s'était
rassemblé autour d'eux. Elle raconta les circonstances de leur voyage, et parla
de Jésus avec beaucoup de vivacité et d'émotion. Bientôt la foule voulut les
forcer à se retirer, et leur jeta des pierres, mais qui ne les atteignirent
pas, et ils restèrent là tranquillement assis à la même place jusqu'au
lendemain matin. Les autres aussi s'étaient mis à haranguer la multitudes et
plusieurs leur témoignaient de la sympathie.
Le lendemain, je vis sortir d'un grand édifice qui me
fit l'effet d'une maison de ville, des gens qui vinrent leur adresser diverses
questions. Le troisième jour, on les conduisit à cette maison devant le
magistrat. Je vis alors qu'on les sépara : les hommes restèrent près du magistrat
et les femmes se rendirent dans une maison de la ville. On leur fit un bon
accueil et on leur donna à manger. Je vis qu'ils prêchèrent l'évangile là où
ils allèrent et que le magistrat fit défendre par toute la ville de les
molester en quoi que ce fût. Je vis aussi que bientôt beaucoup de personnes se
firent baptiser par Lazare, dans un grand bassin qui se trouvait en face du
temple, sur la place publique. Le premier magistrat, si je ne me trompe, fut du
nombre des néophytes. Lazare, en sa qualité d'évêque, continua à prêcher
l'Évangile dans cette ville ; mais les autres la quittèrent bientôt.
Madeleine se retira seule, loin de la ville, dans un
désert ; elle demeurait dans une caverne presque inaccessible, où elle se
livrait à une rude pénitence (Correspond à la tradition de l'exil de Marie
Madeleine à la Sainte-Baume en Provence. Dans cette grotte, un oratoire est
actuellement tenu par les dominicains. Ils célèbrent aussi, chaque 22 juillet,
l'ostentation des reliques de Marie Madeleine dans la Basilique proche de
Saint-Maximin (Var).). Je l'ai vu, plusieurs fois, aller à moitié chemin de sa
retraite, à la rencontre de Maximin qui lui apportait la sainte communion.
Sa grotte était située dans une montagne sauvage dont
les sommets faisaient de loin l'effet de deux tours penchées. La grotte était
soutenue par des piliers naturels, et l'on voyait dans les parois des trous où
l'on pouvait placer divers objets. Il s'y trouvait un autel de gazon surmonté
d'une grande croix, formée naturellement par des branches qui avaient poussé là
; une couronne était suspendue au milieu. La couche de Madeleine n'était pas au
milieu de la grotte, mais de côté, dans une paroi du rocher, où elle l'avait
taillée elle-même. Il était difficile de la trouver.
Elle mourut peu de temps avant Marthe, et je la vis
étendue sur sa couche, couverte d'un vêtement de feuilles ; elle tenait une
croix entre ses bras croisés sur la poitrine. Elle n'était pas maigre, et avait
plutôt de l'embonpoint. Sa peau seulement s'était brunie et durcie par les
intempéries de l'air. Je vis arriver deux ermites portant des bâtons entre
lesquels une grande couverture était assujettie avec des cordes. Ils
enveloppèrent décemment le saint corps et le portèrent assez loin de là au
couvent de Marthe.
J'ai vu une église bâtie par saint Maximin au-dessus
de la grotte. On y conservait des reliques de Madeleine : sa tête, à laquelle
il manquait une mâchoire, mais où il restait encore un peu de chair d'un côté,
un de ses bras, des cheveux, et une fiole avec de la terre.
Marthe s'était rendue avec Marcelle et l'autre
servante dans une contrée sauvage, au milieu de rochers, où plusieurs femmes
s'étaient construit de petites cabanes. C'étaient des captives que les
habitants du pays avaient enlevées dans une guerre et qu'ils avaient établies
là, en les soumettant à une surveillance particulière. Marthe et ses compagnes
s'établirent dans leur voisinage et se construisirent d'abord de petites
cabanes près des leurs. Plus tard, elles bâtirent un couvent et une église,
composée seulement de quatre murs avec une toiture en branches tressées
recouvertes de gazon. Elles convertirent d'abord les captives, dont plusieurs
s'adjoignirent à elles. D'autres, au contraire, leur donnèrent beaucoup à
souffrir, et par des dénonciations perfides attirèrent sur elles des
persécutions de toute espèce de la part des habitants du pays .
Il y avait dans le voisinage une ville appelée Aquae (Aquœ
Sextae, aujourd'hui Aix, ancienne ville de bains d'eaux thermales.) . Il
devait y avoir là des sources d'eau chaude, car il s'en élevait continuellement
des masses de vapeur.
Je vis Marthe au bord d'un fleuve très large, faire
périr un monstre qui se tenait dans le fleuve, et faisait beaucoup de
ravages (La scène correspond à légende de la Tarasque chassée de Tarascon
en Provence. Jean-François Lavère, un des spécialistes de l'œuvre de Maria
Valtorta, postule qu'il s'agissait d'un crocodile échappé d'un cirque romain où
il avait été amené pour les jeux) Elle lui jeta sa ceinture autour du cou
en invoquant le nom du Seigneur, et l'étrangla. Le peuple l'acheva à coups de
pierres et d'épieux. Je la vis souvent prêcher l'Évangile devant un nombreux
auditoire, soit dans la plaine, soit au bord du fleuve. Elle avait coutume, à
l'aide de ses compagnes, de former avec des pierres une élévation sur laquelle
elle montait. Elle s'acquittait de ce travail mieux qu'un maçon de profession,
grâce à son activité et à son adresse extraordinaires.
Un jour qu'elle prêchait au bord du fleuve, un jeune
homme voulut le traverser à la nage, et s'y noya. Les habitants du pays
l'accablèrent d'injures à ce sujet. Le père du jeune noyé retrouva son corps le
lendemain, l'apporta devant Marthe, en présence d'une foule nombreuse, et lui
dit qu'il croirait à son Dieu si elle ressuscitait son fils. Marthe, au nom de
Jésus, lui ordonna de revenir à la vie ; il ressuscita en effet, et se fit
chrétien avec son père et beaucoup d'autres. Toutefois il y eut des gens qui
traitèrent Marthe de magicienne et la persécutèrent. Maximin s'était établi dans
le voisinage, en qualité de prêtre ; il visitait Marthe et lui apportait la
sainte communion. Par ses bonnes œuvres et par ses enseignements, Marthe travailla
beaucoup à propager l'Évangile, et convertit un très grand nombre de personnes
au christianisme.
Extraits de "Visions d'Anne-Catherine
Emmerich sur la vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de la Très Sainte Vierge
Marie, la douloureuse Passion et l'établissement de l'Église par les
apôtres", coordonnées en un seul tout, selon l'ordre des faits, par
le R.P. Fr. Joseph-Alvare Duley, de l'ordre des frères prêcheurs. Traduction du
texte allemand par M. Charles d'Éberling. – 1864 - Réédité en septembre
1995 par Paris, les éditions Téqui, Paris
SOURCE : http://www.maria-valtorta.org/Personnages/Gaule2.htm
Intérieur de la Grotte Sainte Baume
Saint Maximinus of Aix
Also
known as
- Maximin
Profile
First bishop of Aix, Provence (in modern France).
Legend says that
Maximinus was one of the 72 disciples sent out by Christ, and that he was a
servant in the house of Saints Martha, Mary and Lazarus of Bethany. He
travelled from the Holy Land to the area of Aix with Saint Mary Magdalene c.42.
There he built the oratory of San Sauveur, and consecrated the altar with
relics from the Holy Sepulchre.
- Aix, France, archdiocese of
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-maximinus-of-aix/
Maximinus of Aix B (RM)
In art, Saint
Maximinus is generally depicted as a bishop administering the last sacraments
to Saint Mary Magdalene. He might also be shown (1) in a boat with Mary,
Martha, and Lazarus sailing to Marseilles (because of a legend to that effect);
(2) as an elderly bishop with a crozier and mitre; or (3) as a young priest in
the Deposition by Lorenzetti at Siena (Roeder). He is venerated at Saint
Maximin-la-Sainte-Baume, Provence (Roeder).
SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0608.shtml
Retable du Rosaire dans le collatéral sud de la Basilique de Saint-Maximin dans le département du Var. Bas-relief de l'autel sculpté par Jean Béguin et représentant l'embarquement de Marie-Madleine pour la Provence.
June 8
St. Maximinus,
First Archbishop of Aix, Confessor
HE planted the
faith in that country, probably before the close of the first century, about
the same time it was first preached at Marseilles. He is said by some moderns
to have been one of the disciples of our Lord. St. Sedonius was his successor,
and second bishop of Arles, supposed by the people of the country to have been
the man born blind whom our Redeemer healed. Their relics are shown with those
of many other saints at St. Maximin’s, a town six leagues from Aix, built at
the place where this saint was buried. The monastery, which was formerly of the
Order of St. Bennet and dependent on St. Victor’s at Marseilles, was given by
St. Lewis’s brother, Charles, count of Provence, to the Dominicans, who enjoy
it with extraordinary privileges, and an exemption of the whole town from the
spiritual jurisdiction of the Archbishop of Aix. On St. Maximinus, see Gallia
Christ. Nova. t. 1. p. 299. Maurolycus seems to have been the first who called
St. Maximinus a disciple of our Lord.
Rev. Alban
Butler (1711–73). Volume VI: June. The Lives of the Saints. 1866.
SOURCE : http://www.bartleby.com/210/6/083.html
Choeurr de la Basilique Sainte-Marie-Madeleine, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Archdiocese of Aix
(Aquae Sextiae). Full title, the Archdiocese of Aix, Arles, and Embrun.
Includes the districts of Aix and Arles (Department of the Bouches-du-Rhône). Before the Revolution the Archdiocese of Aix had as its suffragans the sees of Apt, Riez, Fréjus, Gap, and Sisteron; the Archdiocese of Embrun, the sees of Digne, Grasse, Vence, Glandève, Senez, and Nice; the Archdiocese of Arles, the sees of Marseille, St. Paul-Trois-Châteaux, Toulon, and Orange. The Archbishoprics of Arles and Embrun do not exist today, and the Archbishopric of Aix has as dependents the sees of Marseille, Fréjus, Digne, Gap, Ajaccio, and Nice. Certain traditions make St. Maximinus the first Bishop of Aix, one of the seventy-two Disciples and the companion of Mary Magdalen in Provence. The Abbé Duchesne seems to have proved that this saint, the object of a very ancient local cult, was not considered the first bishop of Aix, or connected with the life of St. Mary Magdalen, except in very recent legends, devised towards the middle of the eleventh century by the monks of Vézelay. The first historically known bishop of Aix is Lazarus, who occupied this see about the beginning of the fifth century. It was only at the end of the eighth century that Aix became an archbishopric; up to that time it was dependent upon the Bishop of Arles. Arles, which today is not even a bishopric, formerly played a very important ecclesiastical role. Its first incumbent was St. Trophimus, whose episcopate Gregory of Tours places about the year 250. In a letter to Pope Leo, in 450, the bishops of the province of Arles said that Trophimus was sent there by St. Peter. Is the apostolic origin of the episcopate of St. Trophimus authentic, or was it invented to serve the claims of the church of Arles? This is hard to decide, but it is certain that the date given by Gregory of Tours is much too late, as the see of Arles existed before the middle of the third century, and was already flourishing and esteemed in 254 when the Bishop Marcianus was tainted with the Novatian errors. Celebrated names first became connected with the see of Arles in 417 when Pope Zosimus made Bishop Patrocles the metropolitan, not only of the province of Vienne, to which Arles belonged, but of the two provinces of Narbonne; and to prevent the bishops of Gaul from following the custom of appealing to the episcopal see of Milan, Zosimus made Patrocles a kind of intermediary between the episcopate of Gaul and the Apostolic See. Under Pope Boniface, the successor of Zosimus, the Bishops of Narbonne and Vienne were proclaimed metropolitans, and Arles was authorized to keep the southern province of Vienne, the second province of Narbonne, and the Maritime Alps. The church of Arles had then two great bishops at its head, St. Honoratus, founder of the monastery of Lérins (427-429), and St. Hilarius, disciple of St. Honoratus, celebrated as a preacher (429-449), who, after his conflicts with the church of Vienne, had animated disputes with the Pope, St. Leo the Great. Pope Hilary (461-468), intending to confer certain privileges on the Bishopric of Arles, in 474 or 475, reassembled 30 prelates of Gaul against the predestination heresy and increased the importance of the see. With St. Caesarius, Arles (502-542) reached its greatest prosperity; there the Prefect of the Praetorium of Theodoric had his seat, while St. Caesarius represented the Pope with the episcopate of Gaul and Spain, and exercised an indefatigable activity in codifying the canon law of Merovingian Gaul. After Caesarius the superiority of the bishops of Arles was merely nominal; St. Virgilius, monk of Lérins, was made Bishop of Arles in 588, and consecrated the monk St. Augustine, sent to Great Britain by St. Gregory the Great. But after the sixth century there was no longer any question of intermediation; and in the succeeding centuries the metropolitans of Arles and Vienne existed side by side, not without frequent discussion as to the limits of their territory. The creation of the special metropolitans at Aix and at Embrun in 794, at Avignon in 1475, diminished the power of the see of Arles, which was suppressed in 1802. The Blessed Louis Aleman, who played an important part in the councils of the fifteenth century, was Archbishop of Arles from 1423 to 1450.
Among other prelates who brought fame to the see of Aix, must be mentioned Sabran, who was sent to Jerusalem in 1107 by Pascal II, and rounded the see of Bethlehem; Philaster, Alphonse Louis du Plessis de Richelieu (1625-29), and Michel Mazarin (1644-55), nephews of the cardinals of the same name; Monsignor du Lau, killed at the Carmes' prison in 1792.
The church of Arles honors the memory of
the martyr Genesius,
public registrar of Arles, at the beginning of the fourth century, who was
beheaded for having refused to copy the edict of persecution against
the Christians;
the church of Aix honors the martyr Mitre.
The city of Tarascon has for its patron, St.
Martha, who, according to the legend, delivered the country of a
monster called "Tarasque". The church of the "Saintes
Maries de la Mer" in the Camargue contains three venerated tombs,
which are objects of a pilgrimage;
according to a tradition which is attached to
the legends concerning the emigration of St. Lazarus, St.
Martha, St.
Mary Magdalen, and St.
Maximinus, these tombs contain
the bodies of the three Marys of the Gospel. The
principal councils held at Arles were: that of 314,
convened by order of Constantine to condemn the Donatists;
that of 353, which defended the Arians against St.
Athanasius; and that of 1234, which dealt with the Albigensian
heresy. A faculty of theology,
established at the University of Aix
in 1802, was suppressed in 1876. The cathedral of Arles,
at first dedicated to the martyr St.
Stephen, and in 1152 under the patronage of St.
Trophimus, possesses a doorway and Gothic cloister of
the most imposing type of beauty. The cemetery of
Alyscamps, celebrated in the Middle
Ages, contained, up to the end of the thirteenth century, the remains
of St. Trophimus, which were finally moved to the cathedral.
The ruins of Montmajour, in the suburbs of Arles, perpetuate
the memory of a great Benedictine abbey founded
in the twelfth century. The cathedral of Aix
is a very beautiful edifice of the twelfth century. The Archdiocese of
Aix, at the close of the year 1905, had 188, 872 inhabitants, 25 parishes of
the first, 106 of the second class and 21 curacies formerly paid by
the State.
Sources
Gallia Christiana (Nova, 1715), I, 277-344, and instrumenta, 63-70; ALBANES ET CHEVALIER, Gallia Christiana Novissima (Valence, 1901), I; DUCHESNE, Fastes épiscopaux de l'ancienne Gaule; VILLEVIEILLE, Nos Saints: la vie et le culte des Saints du diocèse. d'Aix (Aix, 1901).
Goyau, Georges. "Archdiocese of Aix." The
Catholic Encyclopedia. Vol. 1. New York: Robert Appleton Company, 1907. 8 Jun.
2015 <http://www.newadvent.org/cathen/01237e.htm>.
Ecclesiastical approbation. Nihil Obstat. March 1, 1907. Remy Lafort, S.T.D., Censor. Imprimatur. +John Cardinal Farley, Archbishop of New York.
Copyright © 2020 by Kevin
Knight. Dedicated to the Immaculate Heart of Mary.
SOURCE : https://www.newadvent.org/cathen/01237e.htm
Basilique de Saint-Maximin (département du Var). Sarcophage paléochrétien dit "des Saints Innocents" ou "de Saint Maximin" (fin IV°-début V° siècle] se trouvant dans la crypte de l'église.
San Massimino di Aix Vescovo
Martirologio Romano: Ad Aix-en-Provence in
Francia, san Massimino, al quale si attribuiscono gli inizi del cristianesimo
in questa città.
Una leggenda del secolo XI fa di san Massimino (fr. Maximin) uno dei settantadue discepoli di Gesù che, approdato nel 45 alla foce del Rodano, insieme con Marta, Maria Maddalena e Lazzaro, percorse poi tutta la Provenza predicando e diffondendovi il Cristianesimo, finché venne insediato dal popolo quale primo vescovo della sede di Aix. Secondo la leggenda, fatta circolare con ogni probabilità d monaci di Vézelay, le reliquie di san Massimino si troverebbero depositate nella chiesa di santa Maria quella città.
Il suo nome, tuttavia, non figura in nessi degli antichi martirologi, per cui, a quanto dichiarano autori come G. Morin e G. de Manteyer, si deve piuttosto trattare un santo locale della Provenza, o proveniente dall’Algerina, ma venerato in Provenza. In tali casi se si vuol considerare san Massimino primo vescovo di Aix è necessario spostare l’epoca della sua esistenza al secolo IV, poiché la diocesi di Aix deve esser stata costituita sotto Valentiniano I, o sotto il reggente Graziano, secondo quanto sostiene J.-R. Palanque, il quale ricostruisce anche la serie dei vescovi di Aix per i secoli IV e V, ponendovi in testa san Massimino (circa 375).
Commemorato nei Messali e nei Breviari di Aix dei secoli XIV e XV il 7 giugno, san Massimino è celebrato invece in un Breviario di Vézelay l'8 giugno, data accolta anche dal Martirologio Romano, in cui infatti nello stesso giorno si può leggere: «Aquis, in Gallia, sancti Maximini, qui exstitit primus eiusdem civitatis episcopus, ac Domini discipulus fuisse traditur».
In onore del santo fondatore della Chiesa di Aix, si chiama St-Maximin una cittadina della diocesi di Fréjus, trentacinque Kilometri a Nord-Est di Marsiglia, ed al nome del suo primo vescovo Aix intitolò anche una chiesa, che trovasi menzionata per la prima volta nel 1175 e che venne incorporata nel 1317 nell'antica cattedrale, di cui costituisce gran parte della navata destra.
La festa di san Massimino viene tuttora celebrata nella diocesi di Aix l'8 giugno.
Autore: Niccolò del Re
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/56410
Voir aussi : http://www.saintsdeprovence.com/les-saints/maximin/