Saint Héribert, évêque
Né vers 970, fils du comte de Worms, il fit ses études
à l'abbaye de Gorze, près de Metz, un des principaux centres monastiques de la
réforme dite grégorienne. Mais rappelé à Worms par son père, il y devient
prévôt de la cathédrale et employé à la chancellerie royale. C'est là que le
remarque l'empereur Othon III, qui le nomme chancelier pour l'Italie, puis pour
l'Allemagne. L'année suivante, il est choisi comme archevêque de Cologne. La
veille de Noël 999, Héribert arriva à Cologne, par un froid rigoureux, pieds
nus et vêtu de toile. Ainsi, dès son entrée en charge, il ne fit aucun doute
qu'il se proposait de vivre dans un esprit évangélique de pauvreté et de
simplicité. De même qu'il s'était jusqu'alors, de façon désintéressée, sacrifié
pour le bien de l'État et le service de l'empereur, autant il devait prendre
soin de son archidiocèse et de ses ouailles. Il se fit remarquer par son zèle,
sa douceur, son humilité, sa piété et son amour des pauvres. Héribert est mort
le 16 mars 1021, et a été inhumé dans l'église abbatiale de Deutz, qu'il avait
fondée en 1003.
Saint Héribert
Archevêque de Cologne (+ 1021)
Fils du comte de Worms, il fit ses études à l'abbaye de Gorze, près de Metz. Nommé plus tard au siège épiscopal de Cologne, il fut un conseiller écouté de l'empereur germanique Othon III. Il construisit l'abbaye de Deutz sur le Rhin où il est enterré.
Un internaute nous signale: Conjuguant les rôles d'homme d'État et de pasteur dévoué aux pauvres, saint Héribert de Cologne a marqué son époque. Né vers 970, Héribert est envoyé étudier à l'abbaye de Gorze, près de Metz, où il aurait voulu demeurer comme moine. Mais rappelé à Worms par son père, il y devient prévôt de la cathédrale et employé à la chancellerie royale. C'est là que le remarque l'empereur Othon III, qui le nomme chancelier pour l'Italie (dont le nord faisait partie de son empire), puis pour l'Allemagne. Mais l'année suivante, il est choisi comme archevêque de Cologne.
"La veille de Noël 999, Héribert arriva à Cologne, par un froid rigoureux, pieds nus et vêtu de toile. Ainsi, dès son entrée en charge, il ne fit aucun doute qu'il se proposait de vivre dans un esprit évangélique de pauvreté et de simplicité. De même qu'il s'était jusqu'alors, de façon désintéressée, sacrifié pour le bien de l'État et le service de l'empereur, autant il devait prendre soin de son archidiocèse et de ses ouailles. Il se fit remarquer par son zèle, sa douceur, son humilité, sa piété et son amour des pauvres." (Biographie de saint Héribert, sur le site de Remersdael, ville belge dont il est le patron)
Héribert est décédé le 16 mars 1021, et a été inhumé dans l'église abbatiale de Deutz, qu'il avait fondée en 1003. Pour abriter ses restes, les moines ont fait fabriquer un magnifique reliquaire, aujourd'hui conservé dans l'église de Saint-Héribert-le-Neuf, à Deutz (devenue un faubourg de Cologne). Sa mémoire est rappelée en Allemagne, par les catholiques et les luthériens, le 16 mars.
À l’abbaye de Deutz en Allemagne, l’an 1021, le trépas de saint Héribert, évêque. Chancelier de l’empereur Othon III, élu malgré lui au siège épiscopal de Cologne, sans plus tarder, il se dévoua à son clergé et à son peuple, donnant l’exemple des vertus dont il recommandait la pratique dans sa prédication. Il acheva sa course dans le monastère qu’il avait fondé.
Martyrologe romain
Saint-Héribert, patron de
Rémersdael
Saint Héribert n'est
pas seulement le titulaire de l'église de Rémersdael, mais il est aussi le
patron de la localité, comme en témoigne la fontaine St‑Héribert.
Au moment où la commune
célèbre une commémoration centenaire, il paraît opportun de retracer pour les
habitants l'histoire de leur saint protecteur, qui semble être peu connue.
Saint Héribert fut à la
fois un grand homme d'État, chancelier de l'empire germanique, et un éminent
pontife, archevêque de Cologne.
Héribert naquit vers l'an
970; il était fils du comte Hugo de Worms. Ses études commencées à l'école du
chapitre de cette ville, se continuèrent à l'abbaye de Gorze, près de Metz, où
il surpassa les moines par l'étendue de son savoir, ses connaissances
théologiques et sa profonde piété. A son retour, l'évêque de Worms le nomma
prévôt de la cathédrale, l'ordonna prêtre et le fit entrer dans la chancellerie
royale, où convergeaient toutes les activités politiques et administratives de
l'empire.
Le jeune clerc n'aurait
pu recevoir une meilleure formation diplomatique, mais son séjour à la
chancellerie devait en plus avoir une importance décisive sur le cours de sa
vie, car c'est là qu'il fut remarqué et apprécié par l'empereur Othon III.
Celui-ci en fit, en 993, son chancelier pour les affaires d'Italie, pays
compris dans le saint empire romain germanique, et son conseiller intime, son
compagnon inséparable. Il voulut aussi lui confier l'évêché de Wurzbourg, mais
Héribert se désista en faveur de son frère Henri.
Héribert devait la
ferveur royale à son service désintéressé pour l'État Il n'aspirait pas, comme
la plupart des nobles de l'entourage impérial, à étendre les possessions de son
lignage. Demeurant toujours dans le voisinage d'Othon, il s'appliquait à
déjouer les plans irréfléchis de l'impétueux et inexpérimenté monarque, comme
inversement de favoriser toutes ses bonnes dispositions et ses actes généreux
de dévotion, Il l'accompagna dans ses deux premières expéditions à Rome,
assista à son couronnement en 996 et participa activement à plusieurs conciles.
Il influença efficacement l'élection de deux papes pieux et capables, Grégoire
V et Sylvestre II.
Lorsque Othon lui eut
confié en 998 la direction de la chancellerie de l'Allemagne et que les devoirs
de cette charge réclamèrent toutes ses forces, Héribert vit avec souci
l'exaltation de l'empereur éclater sans retenue et l'induire à l'exagération de
sa dignité impériale. Mais, avant qu'il eût pu interposer son ascendant,
survint son élection à l'archiépiscopat de Cologne. Il se trouvait à Bénévent,
en Italie, où l'empereur l'avait envoyé pour apaiser les troubles, lorsque sans
s'y attendre il fut nommé archevêque. Ce choix fut ratifié par le peuple qui
proclama son allégresse en s'écriant unanimement, comme jadis à Milan lors de
l'élection de saint Ambroise : « Héribert sera notre évêque ». L'empereur lui
donna l'investiture, le mettant ainsi en possession des territoires attachés à
l'archiépiscopat de Cologne et le pape Sylvestre II lui remit le pallium,
symbole de sa nouvelle dignité, consistant en une bande de laine blanche,
garnie de croix, portée sur la chasuble.
La veille de Noël 999,
Héribert arriva à Cologne, par un froid rigoureux, pieds nus et vêtu de toile.
Ainsi, dès son entrée en charge, il ne fit aucun doute qu'il se proposait de
vivre dans un esprit évangélique de pauvreté et de simplicité. De même qu'il
s'était jusqu'alors, de façon désintéressée, sacrifié pour le bien de l'État et
le service de l'empereur, autant il devait prendre soin de son archidiocèse et
de ses ouailles. Il se fit remarquer par son zèle, sa douceur, son humilité, sa
piété et son amour des pauvres. Il pratiquait de grandes mortifications et
portait toujours un cilice sous son habit.
L'empereur s'étant rendu
à Rome avec Héribert en l'an 1001, il y fut assiégé dans son palais par le
Peuple et obligé de s'enfuir à Ravenne, pour y attendre l'arrivée d'une armée
allemande. Il mourut peu après, le 23 janvier 1002, à Paterno, non loin de
Viterbe. Comme il l'avait demandé, Héribert, qui se trouvait à son lit de mort,
ramena son corps en Allemagne, au prix des plus grands dangers, à travers
l'Italie en révolte. Il le fit inhumer à Aix‑la‑Chapelle, à Pâques 1012, dans
le tombeau de Charlemagne, au chœur du dôme.
Si on s'était attendu à
beaucoup de l'énergie clé Héribert, nul n'aurait osé espérer que cet homme de
gouvernement et de cour serait un pasteur d'âmes aussi éminent. Il faisait
personnellement le service divin à la cathédrale et y prêchait aux grandes fêtes.
Par des visites régulières, il se rendait compte de la situation des paroisses,
réprimait les abus et exhortait le clergé à une vie exemplaire. Il trouvait des
appuis dans les abbayes et les couvents, qu'il dota généreusement. Il était lié
d'amitié avec leurs supérieurs, comme il était aussi en relations suivies avec
tous les pieux personnages de son pays.
La fondation de
prédilection du grand archevêque fut l'abbaye de Deutz, par laquelle il
accomplissait les dernières volontés de son royal ami Othon. L'église,
construite avec toute la munificence imaginable, sous la direction
d'architectes étrangers qu'il avait lui-même appelés, fut consacrée en 1019.
Son action efficace dans l'érection des divers édifices religieux de Cologne ne
fit pas défaut. L'achèvement des églises St‑Pantaléon, St‑Séverin, St‑Georges,
Ste‑ Marie‑au ‑Capitole fut poursuivi sous son administration et en partie avec
son aide financière. Dans notre contrée, il avait consacré, en l'an 1007,
l'église paroissiale de Malmedy et, le 28 octobre 1015, avec l'évêque Baldéric
de Liège, la cathédrale St‑Lambert, construite dans cette ville par Notger.
Après les églises et les
cloîtres, ce furent les pauvres que Héribert eut le plus à cœur. Il les
appelait ses «seigneurs et frères», les nourrissait, leur lavait les pieds,
leur dispensait tous ses biens. Sa bienfaisance était devenue proverbiale dans
les contrées à l'ouest du Rhin, de telle sorte que, durant la famine qui désola
en l’an 1002 la France et l'Allemagne, des foules innombrables de malheureux se
rendirent à Cologne, où ils s'affaissaient dans les rues, malades et sans abri.
L'archevêque chercha à soulager la misère autrement que par des aumônes ;
son oeuvre sociale s'exerça d'une manière grandiose, par des moyens modernes.
Il créa des hospices et des hôpitaux, organisa des repas publics et fit
procéder à des récoltes de reliefs; il alla visiter incognito les refuges et
veilla à une stricte justice. Il combattit l'indigence dans les campagnes, où
il envoya des clercs qui parcouraient en son nom tout l'archidiocèse avec des
ressources suffisantes.
A son retour d'Italie
avec la dépouille mortelle d'Othon III, Héribert s'était vu forcé de remettre
les insignes impériaux au duc Henri de Bavière. Ayant abandonné la
chancellerie, il se montra hostile à l'accession au trône de ce dernier, qui
fut élu. Aussi les rapports entre eux restèrent durant longtemps fort tendus,
bien qu'aucun témoignage d'infidélité au nouveau monarque ne pût jamais être
reproché au prélat. Il l’accompagna même dans plusieurs expéditions,
partageant ses dangers. Henri II, qui n'avait pas d'abord rendu aux mérites et
aux vertus de Héribert la justice qui leur était due, reconnut enfin son
erreur; il se jeta à ses genoux pour lui demander pardon des torts qu'il avait
eus envers lui et, pour les réparer, le nomma chancelier de l'empire. Canonisé,
en 1146 par le pape Eugène III, ce souverain est honoré dans l'Église comme
saint Henri.
En février 1021. à peine
remis d'une maladie, Héribert avait entrepris une nouvelle tournée de visites,
mais il ne put aller que jusqu'à Neuss. Une forte attaque de fièvre le força au
retour. Revenu par bateau à Cologne, il se fit transporter, malgré ses douleurs
dans le dôme pour se recommander, ainsi que son archidiocèse, au Sauveur devant
l'autel de la Croix. Il tomba ensuite très rapidement en agonie. Il avait légué
aux pauvres par testament tout ce qu'il possédait encore. C'est à eux que
s'appliquèrent ses dernières paroles : « Comment vont mes frères ?
Souffrent-ils de la disette ? » Le 16 mars 1021, il remettait son âme
entre les mains du Créateur. Son corps fut inhumé dans l'octogone de l'église
abbatiale de Deutz. En 1230, le pape Grégoire IX inscrivit le grand pontife au
canon des saints, le rangeant parmi les confesseurs. La bulle de canonisation
louait éloquemment ses oeuvres et ses vertus.
Lambert de Liège, d'abord
moine à Deutz, ensuite abbé du monastère St‑Laurent à Liège, mort en 1070, a
écrit la vie de saint Héribert. Il signale, à la fin de cet ouvrage, qu'il
s'était proposé de faire un second livre relatant ses miracles, mais qu'il
avait ensuite renoncé à ce projet. L'existence de ce second livre, demeuré
inconnu, était pour cette raison niée par les historiens, lorsqu'en 1847 il a
été découvert, faisant suite au premier, dans un volume de la bibliothèque de
l'université de Liége et publié dans le tome XVI du Bulletin de la
Commission royale d'Histoire. Il comprend 42 chapitres, consacrés chacun à
un miracle opéré par saint Héribert après sa mort.
Le glorieux patron de
Rémersdael est généralement représenté en habits pontificaux avec la mitre et
la crosse, portant sur la main la maquette d'une église, pour rappeler qu'il
fut le fondateur de l'abbaye de Deutz et qu’il fit relever et restaurer de
nombreuses églises de son diocèse.
La châsse de style roman
contenant les ossements de saint Héribert a été confectionnée vers 1165 par
l'illustre orfèvre hutois Godefroid de Claire, auteur de celle de Saint‑Hadelin
à Visé et du chef du pape saint Alexandre, jadis dans l'église de Xhendelesse.
C'est l’œuvre de ce genre remontant au XIIe siècle la plus remarquable et la
mieux conservée. Les médaillons émaillés du couvercle représentent entre autres
les miracles opérés par le saint, tandis que les extrémités s'ornent des
statuettes de la Charité et de l'Humilité symbolisant ses deux vertus
prééminentes. Après que l'abbaye de Deutz où elle se trouvait eut été détruite
en 1376, la châsse fut transportée à Siegbourg, d'où elle a été ramenée à Deutz
en 1896 pour être placée dans l'église St‑Héribert nouvellement construite. Les
événements de la dernière guerre l'ont fait transférer provisoirement dans le
trésor du dôme de Cologne, dont elle constitue le joyau.
Une société
de tir sous le patronage de saint Héribert s'est fondée à Rémersdael
le 16 juin 1808.
Le double vocable de
saint Héribert, l'illustre prélat colonais, et de sainte Geneviève, patronne de
Paris, constitue comme un symbole de la situation de la localité, aux
confins de la culture germanique et de la civilisation française.
Le culte de saint
Héribert, populaire en Rhénanie, est peu répandu dans notre pays. Il en
est de même pour son contemporain, saint Henri. Alors que ce dernier est
toutefois inscrit au calendrier liturgique (15 juillet), saint Héribert figure
seulement au propre du diocèse de Namur et ce encore à cause d'un ermite de
même nom. dont la chapelle se trouvait à l'emplacement du fort St‑Héribert, au
sud-ouest de la dite ville. Si l'évêché de Liège ne compte aucune église dédiée
à saint Henri, Rémersdael en est l'unique paroisse dont saint Héribert est le
patron. À ce titre, les fidèles de la localité, et spécialement les membres de
la société qui porte son nom, devraient avoir à cœur d'honorer d'une façon
solennelle, le jour de sa fête (16 mars), ce glorieux confesseur pontife, afin
de mériter ainsi sa puissante intercession.
SOURCE : http://www.remersdael.be/Biographies/Heribert.html
Bleiglasfenster in der katholischen Pfarrkirche St. Heribert in Kreuzau, Darstellung: Otto III. und der hl. Heribert
Saint Heribert of Cologne walks barefoot through Cologne streets after hearing he has been elected archbishop. Stained glass windows in the church of St. Heribert in Kreuzau, Germany.
Emperor Otto III, Holy Roman Emperor, and Saint Heribert, archbishop of Cologne. Stained glass windows in the church of St. Heribert in Kreuzau, Germany.
Also
known as
Eriberto
Herbert
Bert
Berti
Berto
Heri
Herko
Profile
Son of Duke Hugo
of Worms, Germany. Educated at
the cathedral school at Worms. Provost of
the cathedral. Ordained in 994. Chancellor for Italy under King Otto III in 994. Chancellor for Germany in 997. Archbishop of Cologne, Germany on 9 July 999.
Attended the death-bed
of King Otto at
Paterno. Initially opposed the ascension of King Henry
II, and was imprisoned by
him. However, when Henry was
elected king on 7 June 1002,
Heribert immediately acknowledged him as king,
and became one of his advisors. Founded and endowed the Benedictine monastery and church of Deutz, Germany.
Obtained miracles by prayer,
including the end of a drought.
Honoured as a saint even
during his lifetime.
Born
16 March 1021 at Cologne, Germany of
natural causes
relics in
the church at Deutz, Germany (part
of modern Cologne)
1075 by Pope Saint Gregory
VII
in Germany
archbishop calling
down rain by
his prayers
man kneeling before Saint Henry
II
Additional
Information
Book
of Saints, by the Monks of
Ramsgate
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
Saints
and Their Attributes, by Helen Roeder
Saints
and Their Attributes, by Helen Roeder
other
sites in english
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en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
spletne
strani v slovenšcini
MLA
Citation
“Saint Heribert of
Cologne“. CatholicSaints.Info. 2 January 2024. Web. 18 June 2025.
<https://catholicsaints.info/saint-heribert-of-cologne/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-heribert-of-cologne/
(Saint) Bishop (March 16)
(11th century) A German of noble birth, some time Chancellor to the Emperor
Otho III. He was elected Archbishop of Cologne and distinguished himself by his
zeal for Church Discipline. He built and endowed the Abbey of Deutz on the
Rhine, worked many miracles, and died famous for his holiness (A.D. 1021).
MLA
Citation
Monks of Ramsgate.
“Heribert”. Book of Saints, 1921. CatholicSaints.Info.
2 September 2013. Web. 18 June 2025.
<https://catholicsaints.info/book-of-saints-heribert/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/book-of-saints-heribert/
St. Heribert of Cologne
Feastday: October 12
Patron: of Rain
Birth: 970
Death: 1021
Archbishop of Cologne,
Germany, and chancellor of Emperor Otto III .
He was born in Worms, where he was ordained after being educated by the
Benedictines of Gorze in Lorraine, France. Serving Otto III, Heribert was
made an archbishop on
998. Heribert accompanied
Otto to Italy in
1002, and brought the emperor’s body back to Aachen when
Otto died. He also served Emperor St. Henry. Heribert built
the monastery of Deutz, on the Rhine and performed miracles, including ending
a drought. He is thus invoked for rains. He died in Cologne on
March 16, and was buried at Deutz. Heribert was
canonized by Pope St. Gregory VII about
1074. Feast day: March 16. Herlindis With Relindis, Benedictine abbesses,
the daughters of Count Adelard, who built them a convent at
Maaseik on the Meuse, Belgium. These saints were friends of Sts. Willibrord and
Boniface.
SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=3735
Heribert of Cologne B
(RM)
(also known as Herbert)
Born in Worms, Germany;
died in Cologne on March 16, 1022.
As a boy, Saint Heribert
was sent to the monastery at Gorze in Lorraine for his studies. Upon his return
to Worms, he was given a canonry and ordained. Like so many prelates of his
time, he was actively engaged in secular as well as church affairs and not much
is known of his personal life. Heribert developed into one of the strongest and
most distinguished German statesman of the age: by 994, he had become
chancellor to Emperor Otto III.
Heribert was elected
archbishop of Cologne in 998. In the depths of winter he took off his shoes and
walked into the city where he was consecrated on Christmas Eve 999, and from
that time on he always wore a hair shirt underneath the rich robes of an
archbishop.
Even as archbishop his
duties as chancellor did not end. As imperial chancellor, he travelled with the
Otto to Italy and brought back the dead Otto's body to Aachen for burial.
He incensed the ambitious
men who wanted to succeed Otto by refusing to hand over the imperial insignia
until a new emperor had been properly appointed. Heribert was even imprisoned
for a time by Duke Henry of Bavaria for his obstinacy. This man, who became
Emperor Saint Henry II, bore a grudge against Heribert for many years, but in
the end came to acknowledge the saint's wisdom and probity to the point that
Heribert became Henry's chancellor, too.
At a time when many
clerical statesmen forgot or neglected their spiritual duties under the
pressure of serving the state, Heribert was a devoted chief pastor of his
flock. As archbishop he was a rich man; but his entire income was divided
between the church and the poor, save for the little that was absolutely
necessary for his own needs.
Heribert built the
Benedictine monastery at Deutz (outside Cologne) on the Rhein (where he was
buried on his death in 1021), was an active peacemaker, maintained strict
clerical discipline, and is reputed to have performed miracles, one of which
caused a heavy rainfall ending a severe drought and that causes him to be
invoked for rain. Already during his lifetime Heribert was looked upon as a
saint; after his death, his cultus was encouraged by the monks of Deutz. But
the bull of formal canonization, attributed to Pope Saint Gregory VII, is now
known to be a forgery, produced in the 17th century (Attwater, Attwater2,
Benedictines, Bentley, Delaney).
In art, Saint Heribert is
an archbishop calling down rain by his prayers. Sometimes he is shown with
Emperor Saint Henry, kneeling before him (Roeder).
SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0316.shtml
St. Heribert
Archbishop of Cologne;
born at Worms, c. 970; died at Cologne,
16 March, 1021. His father was Duke Hugo of Worms. After receiving his education at
the cathedral school of
Worms, he spent some time as guest at the monastery of
Gorze, after which he became provost at
the cathedral of
Worms. In 994 he was ordained priest;
in the same year King Otto
III appointed him chancellor for Italy and
four years later also for Germany,
a position which he held until the death of Otto
III on 23 January, 1002. As chancellor he was the most influential
adviser of Otto
III, whom he accompanied to Rome in
906 and again in 997. He was still in Italy when,
in 999, he was elected Archbishop of Cologne.
At Benevento he
received ecclesiastical
investiture and the pallium from Pope
Sylvester II on 9 July, 999, and on the following Christmas
Day he was consecrated at Cologne.
In 1002 he was present at the death-bed of the youthful emperor at Paterno.
While returning to Germany with
the emperor's remains and the imperial insignia, he was held captive for some
time by the future King Henry II, whose candidacy he first opposed. As soon as
Henry II was elected king, on 7 June, 1002, Heribert acknowledged him as such,
accompanied him to Rome in
1004, mediated between him and the House of Luxemburg, and served him
faithfully in many other ways; but he never won his entire confidence until the
year 1021, when the king saw his mistake and humbly begged pardon on the archbishop.
Heribert founded and richly endowed the Benedictine monastery and
church of Deutz, where he lies buried.
He was already honoured as
a saint during his lifetime. Between 1073 and 1075 he was canonized by Pope
Gregory VII. His feast is
celebrated on 16 March.
Ott, Michael. "St. Heribert."
The Catholic Encyclopedia. Vol. 7. New York: Robert Appleton Company,
1910. 14 Mar. 2015 <http://www.newadvent.org/cathen/07264a.htm>.
Transcription. This
article was transcribed for New Advent by Breier Scheetz.
Ecclesiastical
approbation. Nihil Obstat. June 1, 1910. Remy Lafort, S.T.D.,
Censor. Imprimatur. +John Cardinal Farley, Archbishop of New York.
Copyright © 2020 by Kevin
Knight. Dedicated to the Immaculate Heart of Mary.
SOURCE : http://www.newadvent.org/cathen/07264a.htm
ST. HERIBERT OF COLOGNE
Feast: March 16
Heribert found his life
ambition thwarted by his father, but he made the best of it and found another
pathway to holiness. He was born at Worms in the latter part of the tenth
century and wanted to become a Benedictine monk, after studying as a youth at the
abbey of Gorze. But his father disapproved and called him home; upon his
return, he was made a canon of the cathedral and was ordained. He became the
chancellor of Emperor Otto III and in 998 became archbishop of Cologne.
Since he could not become
a monk, St. Heribert of Cologne cultivated an intense spiritual life, at the
same time serving his people and his diocese tirelessly. He accompanied the
emperor on a trip to Italy, where the emperor caught smallpox and died. It was
Heribert who accompanied the body back to Aachen for burial, carrying with him
the imperial insignia for the next emperor, St. Henry II. His relations with
the new emperor were not the best, but Heribert served the new ruler loyally.
As time went on, the new
emperor learned to appreciate the qualities of his chancellor and toward the
end of their lives the two saints were very close. All the money he could spare
from his own personal income, Heribert gave to the poor, sent money to priests
throughout his diocese to help the destitute, and even went to hospitals and
private homes to help the poor and the sick. During a great drought in the
city, he led a procession through the streets of the city to the church of St.
Severinus, and when he rose from his knees at the altar, a torrential rain came
down and the year's harvest was saved. People in that part of Germany still
pray to him for rain.
While on a pastoral
visitation of his diocese, Heribert became ill with fever and had himself
brought back to Cologne. He died a few days later and was buried at the
monastery of Deutz, which he had founded with the help of Emperor Otto III. He
was revered as a kindly bishop who gave himself intensely to prayer and poured
the riches of his own spiritual life on his people. The confidante of emperors,
he never lost touch with the God he served or the people to whom he was father
and shepherd. He died in the year 1021.
Thought for the Day:
Sometimes we can be put in what seems an impossible situation, with duties and
obligations that seem to contradict each other. Politics and religion do not
mix very well, but some are called to have one foot in both. What is important
is that God should come first; then everything else falls into place.
From 'The Catholic One
Year Bible': . . . "Don't be afraid!" he said. "I bring you the
most joyful news ever announced, and it is for everyone! The Savior—yes, the
Messiah, the Lord—has been born tonight in Bethlehem! How will you recognize
him? You will find a baby wrapped in a blanket, lying in a manger!"—Luke
2:10-12
Taken from "The
One Year Book of Saints" by Rev. Clifford Stevens published by Our
Sunday Visitor Publishing Division, Our Sunday Visitor, Inc., Huntington, IN
46750.
Provided Courtesy of:
Eternal Word Television
Network
5817 Old Leeds Road
Irondale, AL 35210
www.ewtn.com
SOURCE : http://www.ewtn.com/library/MARY/HERIBERT.HTM
St. Heribert of Köln
Archbishops were awesome
figures in the Middle Ages; men of almost plenary authority and prestige, they
were powerful leaders who claimed the respect and obedience of their people.
Such a man was St. Heribert, Archbishop of Köln (Cologne) from 999 to 1021. The
son of Duke Hugo of Worms, Heribert was born about 970.
Ordained a priest early
in life, Heribert wanted to enter a Benedictine monastery at one time, but his
talents kept him in demand in the world. He was intended by the Bishop of Worms
to be his successor, but Otto III, the Holy Roman Emperor, also had his eye on
the young man and chose him for the important position of chancellor at the
royal court. Heribert was so capable in this post that Otto retained him in it
even after he had been chosen to be Archbishop, the latter honor being one
Heribert desired no more than he had that of the chancellorship.
Köln was one of the
mighty cities of Europe at this time. Sometimes called the "Rome of the
North," it was a center for religious and political activity; and
Heribert, in his dual capacity as chancellor and Archbishop, had to play a
leading role in each field. The formalities of his position did not appeal to
him, and he was happiest when he could be doing something for his people:
visiting the sick and the poor, giving them alms for their needs, bringing
political disputes to a peaceful end — activities for which he became famous.
St. Heinrich II, the
successor of Otto III, due to misinformation harbored coldness and suspicion
towards the Archbishop. St. Heribert endured this with silence and patience
until God Himself satisfied the Emperor's doubts. When St. Heinrich was
traveling to Köln to confront the Archbishop, he had a dream in which he saw a
stately Bishop standing before him, saying: "Take heed, O Emperor, that
you sin not against my fellow-Bishop Heribert. Know that he is dear and
pleasing to God. If you dare to do anything against him, you will have to
render a severe account." The holy Emperor, always ready to be admonished,
immediately recognized his fault. When he met St. Heribert, he fell to his
knees and would not rise until he had received his absolution and pardon.
Thereafter the Emperor always regarded the Archbishop of Köln as a saint.
One of St. Heribert's
many accomplishments was to found a monastery at Deutz, on the opposite bank of
the Rhine from Köln, and it was there that he was buried after his death on
March 16, 1021.
Perhaps the most
important example of virtue in the life of this holy man is his wholehearted
obedience to the will of Almighty God. St. Heribert never wished for, and
indeed avoided, earthly recognition and fame; yet, the more God asked him to
play an active part in the affairs of the world, the more he complied and thus
strengthened his spiritual life. He did not seek to justify himself when
unjustly accused and suspected, but accepted the will of God with heroic
patience.
SOURCE : http://www.salvemariaregina.info/Martyrologies/Heribert.html
Rathausturm
Köln mit den Figuren von: Heribert - Bruno I.
Details
zu den Statuen: Bildhauer der Heribert-Statue: Friedrich Lindenthal. Bildhauer
der Bruno-Statue: John-Michael Bachem
Details zu den Konsolen: Thema der Konsole unter der Heribert-Statue: „Zwei Hunde und ein Knochen“. Herbert Rausch. Thema der Konsole unter der Bruno-Statue: „Esel auf dem Glatteis“. Bildhauer: Herbert Rausch
Statue
des Bischofs Heribert von Köln. Bildhauer:Friedrich Lindenthal. Thema der
Konsole unter der Statue: „Zwei Hunde und ein Knochen“. Bildhauer: Herbert
Rausch
View of the statue of Heribert of Cologne (c 970 - 1021), archbishop of Cologne and Roman Catholic saint. Statue sculpted by Friedrich Lindenthal. Corbel sculpted by Herbert Rausch ("Two dogs fighting for a bone")
Sant' Eriberto di Colonia Vescovo
Worms (Germania), ca. 970
- Colonia, 16 marzo 1021/1022
Nato intorno al 970
studiò nell'abbazia di Gorze e nella cattedrale di Worms, di cui divenne
prevosto. Cancelliere di Ottone III divenne nel 999 arcivescovo di Colonia.
Morto Ottone, cadde in disgrazia sotto Enrico II, vivendo nell'ombra fino alla
morte, avvenuta intorno al 1021. È invocato per ottenere la pioggia.
Etimologia: Eriberto =
guerriero illustre, dal tedesco
Emblema: Bastone
pastorale
Martirologio Romano: A
Colonia in Germania, sant’Eriberto, vescovo, che, cancelliere dell’imperatore
Ottone III, eletto contro il suo volere alla sede episcopale, illuminò
incessantemente il clero e il popolo con l’esempio delle sue virtù, alle quali
esortava nella predicazione.
Fa carriera molto presto. Anzi, in carriera ci nasce, perché figlio di una casata che è un vivaio di capi per lo Stato, per l’esercito e, purtroppo, anche per la Chiesa. Eriberto fa buoni studi nella scuola della cattedrale a Worms, fucina di ecclesiastici, e poi tra i severi monaci di Gorze presso Metz, nell’attuale Francia. Destinato al sacerdozio, prima di essere ordinato è già cancelliere dell’imperatore Ottone III per gli affari italiani, e non ha ancora 25 anni. Ma l’imperatore ne ha 14, e per lui governa sua madre Teofano. Sacerdote nel 995, quattro anni dopo ecco Eriberto già arcivescovo di Colonia. Al momento della nomina è in Italia insieme all’imperatore, che ora governa a pieno titolo e ama vivere a Roma, come i sovrani dell’antico Impero.
Ricevuta la consacrazione episcopale a Colonia nel 999, tre anni dopo lo ritroviamo ancora in Italia, accanto a Ottone III che è fuggito da una Roma in rivolta, e che sta morendo ventiduenne presso Viterbo, forse di malaria. Eriberto lo assiste nell’agonia e lo accompagna morto nel lungo viaggio verso la Germania – Aquisgrana – con l’esercito imperiale che a volte deve aprirsi la strada con le armi. E finisce a questo punto la sua carriera politica. Ad Aquisgrana lo arrestano su ordine del principe di Baviera, che diventerà poi l’imperatore Enrico II. Una volta rimesso in libertà, Eriberto perde le cariche di Stato, e ben di rado lo consulteranno ancora. Così, per la prima volta, lo ritroviamo a tempo pieno in Colonia.
La disgrazia politica gli ha fatto bene. Impara a essere vescovo sul serio. Scopre la vita dei poveri, e i doveri di ogni uomo di Chiesa verso di loro. Sta in diocesi, ne percorre ogni città e paese, e ben di rado se ne allontana. Non c’è notizia di lui come predicatore o come scrittore, ma si parla sempre più della vita severa che si impone.
Eriberto lo statista diventa il soccorritore e l’amico, l’alleato dei poveri. E accade poi che la riconoscenza della gente gli attribuisca miracoli già da vivo. Quando arriva la pioggia, dopo una tremenda siccità che ha messo la gente alla fame, tutti in Colonia gridano: «Le preghiere di Eriberto ci hanno salvati». Il suo cappellano scampa a una grave malattia, una donna cieca recupera la vista: e riecco ogni volta le voci sul “miracolo del vescovo”. Questa fama persiste lungamente dopo la sua morte, e per secoli si invocherà la sua intercessione per avere la pioggia.
Viene sepolto nella chiesa del monastero da lui fondato a Deutz, nell’attuale area urbana di Colonia. Non c’è un atto ufficiale di canonizzazione per Eriberto: il culto nei suoi confronti è nato spontaneamente, durando nel tempo.Ora il Martirologio romano lo elenca tra i santi, ricordando che egli «ha illuminato il clero e il popolo praticando le virtù che predicava».
Autore: Domenico Agasso
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/45550
Heribertschrein,
Marienseite mit Petrusseite in St. Heribert, Köln
Raimond
Spekking / © Raimond Spekking / CC BY-SA 4.0 (via
Wikimedia Commons
Heribertschrein,
Hl. Heribert mit zwei Tugenden (Caritas und Humilitas) in St. Heribert, Köln
Raimond Spekking / © Raimond Spekking / CC BY-SA 4.0 (via Wikimedia Commons
Reliquienschrein des Hl. Heribert in der Kirche Neu St. Heribert in Köln, um 1175
Raimond
Spekking / © Raimond Spekking / CC BY-SA 4.0 (via
Wikimedia Commons
Heribertschrein Marienseite mit Petrusseite in St. Heribert, Köln
Raimond
Spekking / © Raimond Spekking / CC BY-SA 4.0 (via
Wikimedia Commons
Heribertschrein
Marienseite mit Petrusseite in St. Heribert, Köln
Raimond
Spekking / © Raimond Spekking / CC BY-SA 4.0 (via
Wikimedia Commons
Heribert von Köln
Gedenktag katholisch: 16. März
gebotener Gedenktag im Erzbistum Köln: 30. August (Erhebung der Gebeine)
Tag der Bischofsweihe: 7. Juni, 9. Juli
Gedenktag evangelisch:
16. März
Name bedeutet: im
Heer glänzend (althochdt.)
Erzbischof von Köln
* um 970 in Worms in Rheinland-Pfalz
† 16. März 1021 in der Abtei
Deutz bei Köln in Nordrhein-Westfalen
Heribert war der Sohn
eines - vermutlich adeligen - Hugo, möglicherweise Graf von Worms.
Er wurde an der Domschule in
Worms und im Kloster der Benediktiner in
Gorze bei Metz ausgebildet und dann zum Propst am Dom in
Worms und zum Mitglied der königlichen Kapelle ernannt. 995 wurde er zum
Priester geweiht. Unter dem nachmaligen Kaiser Otto III. wurde er ab 994
Kanzler für Italien mit Sitz in Ravenna,
ab 998 auch für Deutschland. Heribert war damit einer der wichtigsten
Mitstreiter Ottos bei der Verwirklichung der Renovatio des Heiligen
Römischen Reiches als christlich-karolingisch geprägtem Staat.
999 wurde Heribert,
während er noch am zweiten Italienfeldzug Ottos teilnahm, zum Erzbischof
von Köln gewählt;
die Wahl war umstritten und kam wohl nur aufgrund der Einmischung durch Otto
III.' Verbündete zustande. Der Kaiser überreichte ihm den Stab des Petrus und
die Kölner Regalien, die Hoheitsrechte samt Grundbesitz. Von Papst
Silvester II. erhielt Heribert in Benevent die
Bestätigungsurkunde; der ritt über die Alpen zurück, schickte das Pallium und
bischöfliche Insignien voraus und betrat Köln barfuß. Er trat hervor als
Verwalter und Organisator und kümmerte sich besonders um die Armenfürsorge.
Die beiden Kanzlerämter
des Heiligen Römischen Reiches behielt Heribert auch als Erzbischof. Dass er um
1000 mit Kaiser Otto III. der angeblichen Gruftöffnung Karls
des Großen im Marienmünster -
der früheren Pfalzkapelle und heutigen Dom - in Aachen beiwohnte, auch beim Tod
Ottos durch Malaria im Januar 1002 im Castel
Paterno bei Faleria nahe Viterbo anwesend war und dessen sterbliche
Überreste samt den Reichsinsignien unter schweren Kämpfen von Italien nach
Aachen zur Beisetzung neben Karl dem Großen brachte, erzählt die
Lebensgeschichte des Rupert
von Deutz. Bei der Rückkehr nach Deutschland wurde er zunächst von Herzog
Heinrich von Bayern gefangen gehalten, weil er die Kandidatur von Herzog
Hermann II. von Schwaben zum
Kaiser unterstützt hatte, mit dem er wohl verwandt war; nachdem er sich bereit
erklärte, die an Pfalzgraf Ezzo vorausgesandte Heilige
Lanze auszuliefern, kam er frei. Nachdem Otto dann beigesetzt war und
Herzog Heinrich als Heinrich II. zum König gewählt war, legte Heribert das
Kanzleramt nieder. Nach der Rückkehr nach Köln berief er Meinwerk
von Paderborn als Kaplan und Kanonikus an
die Pfalzkapelle nach Aachen und gründete, wie mit Otto III. vereinbart, - der
Überlieferung zufolge am Ort einer Erscheinung der Maria vor
ihm - 1003 die Abtei
in Deutz, in der er für die Befolgung der Reformen
von Gorze sorgte.
Das Verhältnis zu Ottos
Nachfolger Heinrich
II. blieb lange Zeit von Spannungen geprägt. Die Überlieferung
schildert, wie Heinrich zornig nach Köln reiste,
aber durch einen Traum eines Besseren belehrt wurde und Heribert um Verzeihung
bat. Trotz des angespannten Verhältnisses begleitete er Heinrich II. 1004 auf
dessen Feldzug nach Rom.
Auch die Stiftung des Bistums Bamberg durch Heinrich
II. im Jahre 1007 wurde von Heribert unterstützt.
Gerühmt wurden Heriberts
außergewöhnliche Frömmigkeit und seine Freigebigkeit gegenüber Armen. Legenden
erzählen, wie Maria ihm
und seinem Freund und Nachfolger im Bischofsamt Pilgrim im Traum erschien und
Heribert anwies, die Abtei
in Köln-Deutz zu gründen. Da die Bauleute kein geeignetes Holz für ein
Kreuz fanden, ließ Heribert sich in seinem Obstgarten zum Mittagsmahl decken,
schaute in einem Birnbaum eine Kreuzform und ließ den Baum fällen. Bei einer
Bittprozession um Regen von St. Severin nach St. Pantaleon in Köln sahen die
Beteiligten eine Taube um Heribert kreisen; nach der Messe regnete es. Bei
einer Predigt am Palmsonntag hörte
Heribert einen Besessenen schreien, betete für ihn und heilte den Herangebrachten.
Heribert gilt auch als Ideengeber für das Stift St.
Aposteln in Köln, das sein Nachfolger Pilgrim dann erbauen ließ.
Heribert wurde in seiner
Gründung in Köln-Deutz bestattet.
Die Erhebung der Gebeine fand
am 30. August 1147 statt, ihre Übertragung in den kostbaren Schrein in der nach
ihm benannten Kirche um 1170; der Schrein zeigt viele Szenen aus seinem Leben.
Kanonisation: Die Kanonisation erfolgte 1147.
Patron von Deutz; für Regen
Stadlers
Vollständiges Heiligenlexikon
Der Dom in
Worms ist täglich von 9 Uhr bis 17.45 Uhr, im Winter von 10 Uhr bis 16.45 Uhr
zur Besichtigung geöffnet. (2019)
Der Dom in
Aachen ist täglich von 11 Uhr bis 18 Uhr geöffnet. (2021)
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Autor: Joachim
Schäfer - zuletzt aktualisiert am 31.03.2025
Quellen:
• Vera Schauber, Hanns Michael Schindler: Heilige und Patrone im Jahreslauf. Pattloch, München, 2001
• Hiltgard L. Keller: Reclams Lexikon der Heiligen und der biblischen Gestalten. Reclam, Ditzingen 1984
• Jakob Torsy: Der große Namenstagskalender, hg. von Hans-Joachim Kracht. Herder, Freiburg 1998
• http://www.ngi-net.de/lexikon/objekt/Heribert_von_K%F6ln nicht mehr erreichbar
• Charlotte Bretscher-Gisinger, Thomas Meier (Hg.): Lexikon des Mittelalters. CD-ROM-Ausgabe. J.B. Metzler, Stuttgart / Weimar 2000
• Ekkart Sauser. In: Friedrich-Wilhelm Bautz †, Traugott Bautz (Hg.): Biographisch-Bibliographisches Kirchenlexikon, Bd. XXI, Nordhausen 2003
• Lexikon für Theologie und Kirche, begr. von Michael Buchberger. Hrsg. von Walter Kasper, 3., völlig neu bearb. Aufl., Bd. 4. Herder, Freiburg im Breisgau 1995
• Robert Ernst: Lexikon der Marienerscheinungen, 5. Aufl. Anton-Ruhland-Verlag Altötting 1989
• Richard Mayer (Hg.): Die Heiligen in Deutschland. Verlag Neue Stadt, München
1987
korrekt zitieren: Joachim Schäfer: Artikel Heribert von Köln, aus dem Ökumenischen Heiligenlexikon - https://www.heiligenlexikon.de/BiographienH/Heribert_von_Koeln.htm, abgerufen am 18. 6. 2025
Die Deutsche Nationalbibliothek verzeichnet das Ökumenische
Heiligenlexikon in der Deutschen Nationalbibliografie; detaillierte
bibliografische Daten sind im Internet über https://d-nb.info/1175439177 und https://d-nb.info/969828497 abrufbar.
SOURCE : https://www.heiligenlexikon.de/BiographienH/Heribert_von_Koeln.htm
Hinweise
zu Stadlers »Heiligen-Lexikon«Abkürzungen
Neu St. Heribert, Köln
Neu
St. Heribert, Köln-Deutz - Luftaufnahme
Cologne
(Köln),
Germany: Köln-Deutz: Neu St. Heribert
Heribert von Köln
S. Heribertus
(Herebertus), Ep. Conf. (16. März, al. 30. Aug.) Der hl. Heribertus ist einer
der berühmtesten Kirchenhirten Kölns, »ewigen Andenkens würdig durch den Adel
seines Geschlechtes, seine herrlichen Thaten und seine vor und nach dem Tode
gewirkten Wunder«. Er wurde in der Stadt Worms am Rhein von ebenso angesehenen
als tugendhaften Eltern geboren. Sein Vater Hugo war aus dem edlen Geschlechte
der Kammerer von Worms, seine Mutter Tietwidis aus dem Geschlechte der Grafen
von Alemannien (nach Andern Rothenburg an der Tauber). Von Kindheit an erhielt
er eine vortreffliche Erziehung. Später widmete er sich mit allem Eifer den
profanen und heil. Wissenschaften. Darauf ging er in das vom hl. Godegrandus gestiftete
Kloster Gorze (Gorcia) in Lothringen und nahm daselbst den Habit der
Benedictiner. Schon hatte er die Sorge für das Fleisch und die irdischen Dinge
ganz und gar mit Füßen getreten und war im Begriffe, die Gelübde abzulegen, als
sein Vater ihn nach Worms zurückrief. Hier fand Bischof Hildebold an dem
frommen Jüngling solches Wohlgefallen, daß er ihn zu seinem Nachfolger im
bischöflichen Amte vorbereiten wollte. Der Tod hinderte ihn aber an der
Ausführung dieses Vorhabens. Er bekam jedoch zu Worms ein Kanonikat und wurde
zum Priester geweiht. Kaiser Otto III. erhob ihn zu seinem Kanzler und ernannte
auf seine Verwendung Heriberts jüngern Bruder Heinrich, welcher wegen seiner
kleinen Statur Hezelin (Heinzelchen) genannt wurde, zum Bischofe von Wirzburg
(um das Jahr 995). Der Kaiser schenkte ihm vollkommenes Vertrauen und nahm ihn
öfter mit sich nach Rom. Im J. 998 starb Evergerus, der 11. Erzbischof von
Köln. Der Wahlkampf nach dessen Bestattung war so heftig, daß eine Spaltung
bevorstand. Da schlug der Propst Weselinus, der selbst von einem Theile, und
zwar vom Klerus, gewählt worden war, den hl. Heribertus, der damals sich in
Italien befand, zum Erzbischofe vor, und dieser Antrag wurde mit größtem Jubel
und unter dem Rufe: »Gott sei Dank! Gott sei Lob!« aufgenommen. Eine Deputation
wurde abgeschickt, um die Genehmigung des Kaisers zu erlangen, welche dieser
auf der Stelle mit Freuden ertheilte. Nicht so leicht ging es aber beim hl.
Heribertus selbst. Er habe nichts an sich, sagte er, was eines Bischofes würdig
sei; sein Leben sei ihm schon die größte Last; er fürchte den Fall und das
Aergerniß des Volkes Gottes um seinetwillen. Nach langem Weigern gab er endlich
seine Einwilligung, da der Kaiser eigenhändig an ihn geschrieben hatte. Von
Benevent, wo er sich im Auftrage des Kaisers befand, ging er nach Rom, um von
den Händen des Papstes Sylvester II. das Pallium zu empfangen, und begab sich
dann nach Köln, wo er im Winter des Jahres 999 ohne irgend ein äußeres Zeichen
seiner Würde mit bloßen Füßen und unter beständigem Gebete seinen Einzug hielt
und sodann am Vorabende des Weihnachtsfestes consecrirt wurde. Es ist schwer zu
sagen, mit welchem Eifer er von diesem Tage an dem Predigtamte oblag, wie sehr
er beflissen war, den Frieden unter seiner Heerde zu erhalten, und mit welcher
Liebe und Aufopferung er den Armen und Nothleidenden hilfreich zur Seite stand.
Er verschmähete zwar den äußeren Glanz nicht, weil seine äußere Stellung ihn
erheischte; aber unter den seinen mit Gold verbrämten Gewändern trug er ein
rauhes Cilicium. Und je mehr ihn die Geschäfte mit der Welt in Verbindung
brachten, desto mehr war er besorgt, im innern, gottgeweihten Leben zu wachsen.
Das Vertrauen des Kaisers Ottto führte ihn mit demselben bald nach der Besitzergreifung
des erzbischöflichen Stuhles wieder nach Italien. Hier starb der Kaiser durch
Gift 1 im
Januar des Jahres 1002, und Heribert, besorgt für seinen letzten Willen,
brachte seine Leiche über Augsburg (s. S. Henricus8)
nach Aachen, wo sie durch ihn feierlich beigesetzt wurde. Auch die kaiserlichen
Reichsinsignien brachte er mit sich; nur die heil. Lanze, welche nach der
Ansicht der damaligen Zeit gerade das größte Kleinod unter jenen Zeichen der
Herrscherwürde war, hatte er nach Köln vorausgeschickt. Er konnte nämlich bei
den bestehenden Verhältnissen wohl voraussehen, daß die Wiederbesetzung des
erledigten Königsthrons große Bewegungen veranlassen werde, und da er jedem
Parteigeiste völlig fremd war, daher auch keiner Partei angehören wollte, so
hielt er es für Pflicht, die Reichsinsignien, deren Bewahrung ihm anvertraut
war, unter seiner Aufsicht zu behalten und sie erst dem wirklichen Könige zu
übergeben. Aber Herzog Heinrich von
Bayern, der nach Otto's Tode der Nächstberechtigte zum Throne war, gab
diesem Betragen des frommen und friedliebenden Erzbischofs eine falsche
Deutung, indem er wähnte, Heribert habe die deutsche Krone weit lieber auf dem
Haupte eines Andern als auf Heinrichs Haupte zu sehen gewünscht, und so fiel er
denn von diesem Augenblicke an in die Ungnade Heinrichs, die dieser, auch da er
als Heinrich II. König und Kaiser geworden, den hl. Erzbischof Heribert noch
mehrere Jahre merkbar fühlen ließ, obgleich dieser die Reichsinsignien dem
Könige Heinrich sogleich übergab und überhaupt bei jeder Gelegenheit als einen
der treuesten und dem Kaiser aufrichtig ergebensten Reichsfürsten sich zeigte.
Auch blieb er noch als Kanzler thätig, wie Urkunden aus den Jahren 1007 und
1008 bezeugen. Erst gegen das Ende seiner Regierung lernte Kaiser Heinrich die
Heiligkeit des großen Erzbischofs kennen und versöhnte sich aufrichtig und in
der rührendsten Weise mit ihm, wozu auch der hl. Heribert gern die Hand
bot. 2 -
Nach dem Tode des Kaisers Otto hoffte der hl. Erzbischof, von allen weltlichen
Geschäften abgelöst, einzig dem Wohle seiner Heerde und den Bedürfnissen seiner
Diöcese sein Leben weihen zu können. Seine Einkünfte theilte er zwischen der
Kirche und den Armen, sich nur das Allernothwendigste vorbehaltend. In Demuth
und Verborgenheit besuchte er oft die Armen und Kranken in ihren Wohnungen und
in den Spitälern, wusch ihnen die Füße, spendete Almosen und geistlichen Trost
und bewirkte durch sein Beispiel, daß auch Andere in Hungersnoth und
Krankheiten Herz und Vermögen den Armen schenkten. Auch in andere Städte des
Erzbisthums schickte er heimlich bestimmte Summen an bestellte vertraute
Priester, um sie an die Bedürftigen vertheilen zu lassen. Das Kloster Deutz,
Köln gegenüber, verdankt ihm und dem Kaiser Otto III. seine Entstehung. In
öffentlichen Drangsalen nahm er seine Zuflucht zum öffentlichen Gebete und fand
oft wunderbare Hilfe. Bei eingefallener großer Trockenheit hielt er einst einen
Bittgang von St. Severin nach
St. Pantaleon und
ermahnte in eindringlicher Rede das versammelte Volk zur Buße und zum
Vertrauen. Nach seinem Palaste zurückgekehrt, wiederholte sich das Wunder der
hl. Scholastica.
Er legte das Haupt in größter Betrübniß in seine Hände und fing an zu beten.
Kaum hatte er geendet, als ein erquickender Regen fiel und das Land von Gefahr
einer Hungersnoth befreite. Darum wird der Heilige (nach Hack, Bilderkreis S.
322) als Bischof gemalt, durch sein Gebet Regen auf das Land herabziehend. In
St. Maria auf
dem Capitol heilte er einen Geisteskranken, indem er ihn segnete. Einer blinden
Frau war im Traume angezeigt worden, sie werde durch den Ablutionswein des
Bischofs nach der hl. Communion die Heilung erlangen, und sie wurde sehend, als
sie wirklich davon Gebrauch gemacht hatte. Sein eigener HausKaplan verdankte
seiner Fürbitte die Befreiung von einem tödtlichen Fieber. Sein Bisthum und die
heil. Orte desselben visitirte er mit größter Genauigkeit, allenthalben die
zärtlichsten Beweise väterlicher Milde und Fürsorge zurücklassend. Auf einer
solchen Reise ward er zu Neuß von einem gefährlichen Fieber heimgesucht, in
welchem er bald seine letzte Krankheit erkannte. Er empfing also mit Andacht
die heil. Oelung und die Wegzehrung des Leibes und Blutes unsers Herrn.
Darauf ließ er sich nach Köln zurückbringen und im Dom des hl. Petrus zu
den Füßen eines Crucifixes niederlegen; hier nämlich wollte er noch einmal sich
und seine Heerde dem obersten und unsichtbaren Hirten der Kirche anempfehlen.
Dann brachte man ihn in seine Wohnung, wo er bestimmte, was von seinem Vermögen
den Kirchen und Wohlthätigkeits-Stiftungen zufließen, was seinen Verwandten,
was der Dienerschaft, was den Armen sogleich übergeben werden solle. Als man
ihn fragte, wen er zu seinem Nachfolger zu haben wünschte, gab er zur Antwort,
daß von den Umstehenden keiner, sondern Pilegrinus (der
Erbauer der Kirche zu den heil. Aposteln, 1036) hiezu ausersehen sei. Bald
darauf verließ seine fromme Seele die irdische Hülle und ging, von den Engeln
Gottes begleitet, in die ewige Ruhe ein am 16. März 1021 (nach Andern 1022). In
Deutz wurde sein heil. Leib bestattet und leuchtete bis in die spätenen Zeiten
durch mancherlei Wunder. Papst Gregor IX., welcher im J. 1227 den päpstlichen
Thron bestieg, erklärte ihn für »heilig«, da Alles, was durch göttliche
Zeugnisse bekräftigt werde, der menschlichen zur Bekräftigung nicht mehr
bedürfe, und deßhalb zieme es sich, »daß wir ihn, den der Vater im Himmel
geehrt hat, auch auf Erden verehren.« Sein Name, der »berühmt ist durch
Heiligkeit«, befindet sich auch im Mart. Rom. Reliquien von ihm befinden sich
auch in Köln (bei den hhl. Aposteln und St. Cunibert).
Seine Translation fand unter dem Erzbischofe Arnold I. am 30. Aug. 1147 statt.
Ihrer gedenken zum 30. Aug. auch Grevenus und die Zugaben zu Usuardus. Die
Bollandisten aber behandeln ihn am 16. März. (II. 464-490)
1 Im Leben des sel.
Bischofs Meinwerk
von Paderborn (Jun. I. 514) sind die näheren Umständeseines Todes
beschrieben. Der Kaiser hatte sich verleiten lassen, mit der Wittwe des durch
ihn enthaupteten Verschwörers Crescentius ein Liebesverhältniß anzuknüpfen. Der
hl. Heribert that seine Pflicht und warnte ihn. Umsonst. Die Schönheit dieses
Weibes überwog die Rathschläge des Freundes und die Gebote der Vorsicht. Durch
sie wurde der Kaiser vergiftet und fand seinen Tod. Schon die Geschichte Samsons hätte
ihn bewahren können, wenn überhaupt die Geschichte da wäre, um etwas aus ihr zu
lernen. Otto III. war kaum gestorben, aus die Lombarden von Deutschland
abfielen.
2 Vgl. Stolberg,
»Geschichte der Religion Jesu Christi«,
fortgesetzt von Fr. v. Kerz, Bd. XXXIII. 456-460, wo sowohl der Zwiespalt
zwischen diesen beiden Heiligen als auch die Versöhnung sehr schön dargestellt
ist.
SOURCE : https://www.heiligenlexikon.de/Stadler/Heribert_von_Koeln.html