mercredi 28 octobre 2020

Bienheureuse MARIA ASUMPTA (JULIANA) GONZÁLEZ TRUJILLANO, vierge religieuse et martyre


13 octobre 

BBx 522 martyrs de la guerre d’Espagne

† entre 1936 et 1939

Commémoration commune : le 13 octobre (jour de la béatification)

Commémoration individuelle ou par groupe : jour du martyre (« dies natalis »)

Quand nous parlons des martyrs espagnols des années 1930, nous les appelons par erreur « les martyrs de la guerre civile ». Ce n’est pas le cas, car les premiers martyrs nous les trouvons en octobre 1934, au cours de la révolution des Asturies (neuf d'entre eux furent canonisés par St Jean-Paul II en 1999). Il manquait, alors, près de deux ans au début de la guerre civile, avec laquelle ces témoins n’avaient rien à voir.

Dans ces années terribles beaucoup de membres du clergé et de consacrés furent assassinés simplement parce qu’ils appartenaient à l’Église ; et le martyre des hommes et des femmes de l’Action Catholique et d’autres mouvements ecclésiaux était de même nature. Mais aucun d’eux ne fut impliqué dans des luttes politiques ou idéologiques.

Il est attesté que la persécution a commencé bien avant la guerre civile et qu’elle n’était pas la conséquence d’une prise de position de l’Église qui, seulement à partir de juillet 1937, appuya ouvertement une des parties en conflit parce l’autre avait cessé d’exister et on continuait de tuer les ecclésiastiques et les catholiques pratiquants.

Le dimanche 13 octobre 2013, le cardinal Angelo Amato s.d.b., préfet de la congrégation pour les causes des saints, a béatifié cinq cent vingt-deux nouveaux martyrs au cours d'une messe célébrée à Tarragone en Catalogne. Une cérémonie exceptionnelle à laquelle ont participé de très nombreux prêtres, religieux et religieuses, des familles des martyrs et près de 25.000 personnes.

Parmi ces martyrs figurent trois évêques, 97 prêtres, 3 séminaristes, 412 consacrés et 7 laïcs provenant de différents diocèses espagnols. Ils ont été tués pour la plupart entre 1936 et 1939 par les forces républicaines. Sept d'entre eux étaient étrangers: trois Français, un Cubain, un Colombien, un Philippin et un Portugais... « Louons le Seigneur pour leurs courageux témoignages, et par leur intercession, supplions-le de libérer le monde de toute violence » a dit le pape François à l'issue de l'angélus ; il a également enregistré un message vidéo qui a été retransmis au cours de la cérémonie espagnole dans lequel il demande aux nouveaux martyrs d’intercéder pour que nous ne soyons pas des chrétiens « sans substance », eux qui étaient des chrétiens « jusqu’au bout ».

Liste des 522 martyrs t par nom ou groupe avec en tête (par ordre alphabétique) le premier membre du groupe.

Alberto María Marco y Alemán et 8 compagnons o.carm. ; Agustín María García Tribaldos et 15 Frères des Écoles chrétiennes.

Andrés de Palazuelo (Miguel Francisco González González) et 31 compagnons o.f.m. cap…

Antonio (Miguel) Faúndez López, prêtre o.f.m. et 3 compagnons.

Aurelia (Clementina) Arambarri Fuente et 3 compagnes, religieuses.

Carmelo María (Críspulo Moyano Linares) et 9 compagnons o.c.d..

Crisanto (Casimiro González García) et 65 compagnons, Maristes ; deux laïcs : Ramón Emiliano Hortelano Gómez, Julián Aguilar Martín.

Fortunato Velasco Tobar et 13 compagnons, Lazaristes.

Hermenegildo de la Asunción (Hermenegildo Iza y Aregita) et 5 compagnons de l’Ordre de la très sainte Trinité.

Jaime Puig Mirosa et 18 compagnons de la Congrégation des fils de la Sainte famille et Sebastián Lorens Telarroja, laïc.

Joaquín Jovaní Marín et 14 compagnons prêtres ouvriers diocésains.

José Guardiet Pujol, prêtre du diocèse de Barcelone.

José Javier Gorosterratzu et 5 compagnons, Rédemptoristes.

José María Ruiz Cano, prêtre et 15 compagnons de la Congrégation Fils du cœur Immaculé de la B.V.M…

José Máximo Moro Briz et 4 compagnons, prêtres du diocèse d’Ávila.

José Nadal Guiu et José Jordán Blecua, prêtres du diocèse de Lleida.

Josefa Martínez Pérez et 11 compagnes (Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul) et une laïque, Dolores Broseta Bonet.

Juan de Jesús (Juan Vilaregut Ferrer) et 3 compagnons de l’Ordre des Carmes déchaussés et Pablo Segalá Solé, prêtre du diocèse d’Urgell.

Juan Huguet Cardona, prêtre du diocèse de Minorca.

Manuel Basulto Jimenez, évêque du diocèse de Jaén et 5 compagnons : Félix Pérez Portela, Francisco Solís Pedrajas, Francisco López Navarrete (prêtres), Manuel Aranda Espejo (seminariste) et José María Poyatos Ruiz, jeune laïc.

Manuel Borrás Ferré, évêque auxiliaire de Tarragona, Agapito Modesto (Modesto Pamplona Falguera), religieux lazariste, et 145 compagnons.

Manuel de la Sagrada Família (Manuel Sanz Domínguez), moine.

María Asumpta (Juliana González Trujillano) et 2 compagnes, religieuses.

María de Montserrat (Josefa Pilar García y Solanas) et 8 compagnes, religieuses et Lucrecia García y Solanas (laïque, sœur de María de Montserrat).

Mariano Alcalà Pérez et 18 compagnons, Mercédaires.

Mauricio (Alejandro Iñiguez de Heredia Alzola) et 23 compagnons de l’Ordre hospitalier de Saint Jean de Dieu.

Mauro (Abel Ángel Palazuelos Maruri) et 17 compagnons, bénédictins.

Melchora de la Adoración Cortés Bueno et 14 compagnes, Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul.

Orencio Luis (Antonio Solá Garringa) et 18 compagnons, Lasalliens ; José Gorostazu Labayen (laïc) et Antonio Mateo Salamero (prêtre diocésain).

Raimundo Joaquín Castaño et José María González Solís, prêtres o.p…

Ricardo Gil Barcelón (prêtre) et Antonio Arrué Peiró (postulant).

Salvio Huix Miralpeix, évêque de Lleida, Oratorien.

Teófilo Fernández de Legaria Goñi, SS.CC. et 4 compagnons.

Victoria de Jesús (Francisca Valverde Gonzalez), religieuse.

SOURCE : https://politique.forum-actif.net/t25511p600-le-saint-du-jour

Blessed Maria Asuncion

Also known as

Giuliana González Trujillano

Juliana Gonzalez Trujillano

Maria Assunta

María Asumpta

Sister Asumpta

Memorial

28 October

Profile

Daughter of Anacleto González and María del Rosario Trujillano, Juliana was baptized at the age of 11 days. Tertiary in the Franciscan Sisters of the Divine Shepherdess (now known as the Franciscan Missionaries of the Divine Motherhood) in 1900. She joined the Sisters at the Madrid house on 18 February 1903, making her solemn profession in 1910 in La Coruña, Spain. One of the founders of the Colegio de Arenas de San Pedro where she served as a teacher. She was later assigned to the motherhouse of the Missionaries, and served as a sacristanMartyred in the Spanish Civil War.

Born

19 June 1881 in Barco de Ávila, Ávila, Spain as Giuliana González Trujillano

Died

28 October 1936 in MadridSpain

Venerated

5 July 2013 by Pope Francis (decree of martyrdom)

Beatified

13 October 2013 by Pope Francis

Additional Information

other sites in english

Hagiography Circle

Vatican Information Services

sitios en español

Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor

fonti in italiano

Santi e Beati

MLA Citation

“Blessed Maria Asuncion“. CatholicSaints.Info. 2 July 2021. Web. 10 January 2022. <https://catholicsaints.info/blessed-maria-asuncion/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-maria-asuncion/




Beata Maria Asumpta (Juliana) Gonzalez Trujillano Vergine e martire

28 ottobre

>>> Visualizza la Scheda del Gruppo cui appartiene

El Barco de Ávila, Spagna, 19 giugno 1881 – Madrid, Spagna, 28 ottobre 1936

Suor María Asumpta Gonzalez Trujillano, al secolo Juliana, era una suora Francescana Missionaria della Madre del Divino Pastore. Fu un’apprezzata educatrice nelle svariate comunità di cui fece parte. Trascorse il suo ultimo periodo di vita nella Casa generalizia di Madrid, come sacrestana ed economa. Per mettere in salvo la dote sua e delle consorelle, dopo essersi rifugiata in un appartamento si diresse presso un’ambasciata, ma venne arrestata e, il 28 ottobre 1936, uccisa. Insieme alle consorelle Isabel (María del Consuelo) Remiñán Carracedo e Gertrudis (Dorotea) Llamazares Fernández, è stata beatificata il 13 ottobre 2013 a Tarragona, inserita nel gruppo di cinquecentoventidue martiri caduti durante la guerra civile.

Nacque a El Barco de Ávila il 19 giugno 1881, figlia di Anacleto González e María del Rosario Trujillano, che le diedero il nome di Juliana. Ricevette la Cresima nella sua parrocchia natale il 18 giugno 1885.

Quindici anni più tardi, nel 1900, s’insediò nella parrocchia di El Barco de Ávila una comunità delle Terziarie Francescane della Divina Pastora, fondate nel 1805 da madre María Ana Mogas Fontcuberta (Beata dal 1996), oggi dette Francescane Missionarie della Madre del Divino Pastore. Si occuparono di una scuola per l’educazione dell’infanzia e della gioventù, dando una speciale attenzione ai più bisognosi. Ben presto, Juliana finì con l’andare molto d’accordo con loro, tanto da riconoscere di essere chiamata a seguirne lo stile: il 18 febbraio 1903, quindi, entrò in noviziato e cambiò il nome di battesimo con quello di suor María Asumpta. Emise i voti temporanei nel 1905 presso la Casa generalizia di calle Santa Engracia a Madrid, dove aveva compiuto il noviziato, ma professò i voti perpetui nella casa di La Coruña, nel 1910.

Insieme alla consorella suor Asunción, fondò una scuola ad Arenas de San Pedro: vi rimase tre anni, come insegnante di economia domestica, insegnando alle bambine taglio e cucito. Destinata nuovamente in Casa madre, svolse l’incarico di sacrestana, distinguendosi per esattezza al dovere, capacità di sacrificio e una crescente intimità con il Signore.

Nel luglio 1936, seguendo le indicazioni della Madre Generale María de las Victorias Lage Castrillón, abbandonò la casa e si rifugiò con lei in calle Barquillo 3, presso i coniugi Adolfo Cadaval y Muñoz del Monte e Amalia García Lara. Da lì, il 20 ottobre 1936, si diresse in un’ambasciata, forse quella del Cile, insieme ai due coniugi: voleva depositarvi la dote sua e delle altre monache. Tuttavia, proprio all’entrata dell’ambasciata, i tre vennero catturati da alcuni miliziani e condotti in una “checa”, ossia un luogo di prigionia e tortura, situato in calle Fomento.

Nella cella dove suor Assunta fu imprigionata c’era anche la madre provinciale delle suore Scolopie. Costei vide coi propri occhi che lei non si sedette, ma prese ad andare avanti e indietro, pregando il Trisagio. Ogni tanto, poi, l’udiva dire con tono angosciato: «Mi ammazzano».

Alle due pomeridiane entrò nella cella un miliziano con una busta blu, il quale le disse: «Hai la libertà». Questo fatto la calmò, cosicché, quando venne chiamata, uscì tranquillamente. Poco dopo, uscì la signora Amalia García, che gridava di voler salutare suo marito, ma le fu risposto: «Adesso vedrà suo marito». In realtà, era tutto falso: non erano state liberate, bensì condotte alla fucilazione. Era il 28 ottobre 1936.

Il processo canonico per l’accertamento della sua morte in odio alla fede, unito a quelli delle consorelle Isabel (al secolo María del Consuelo) Remiñán Carracedo e Gertrudis (Dorotea) Llamazares Fernández, si è svolto dal 27 settembre 1999 al 15 ottobre 2000 presso l’Arcidiocesi di Madrid ed è stato integrato da un processo rogazionale nella Diocesi di Orense il 17 febbraio 2000. Le tre sono state beatificate a Tarragona il 13 ottobre 2013, incluse nel gruppo di cinquecentoventidue martiri caduti durante la guerra civile spagnola.

Autore: Emilia Flocchini

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/96213

María Asumpta (Juliana) González Trujillano, Beata

Religiosa y Mártir, 28 de octubre

Por: . | Fuente: www.anamogas.net

Religiosa Mártir

Martirologio Romano: En Madrid, España, Beata Maria Asumpta (en el siglo: Juliana González Trujillano) y 2 compañeras, españolas; religiosas profesas de la Congregación de las Hermanas Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor; asesinadas por odio a la fe. († 1936)

Fecha de Beatificación: 13 de octubre de 2013, durante el pontificado de S.S. Francisco.

Breve Biografia

La Hermana Asumpta nació el 19 de junio de 1881 en El Barco (Ávila) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.

La Congregación de "Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor", fundada por la Beata María Ana Mogas y Fontcuberta, se instaló en el año 1900 en El Barco de Ávila, regentando un colegio para la educación de la niñez y juventud, y atendiendo, con prefe-rencia, a los más necesitados, según el estilo y carisma de su Fundadora. Juliana, sin duda, tuvo conocimiento y trato con las religiosas que allí fueron a ejercer su apostolado, y los contactos que a nivel humano y espiritual mantuvo con ellas, le ayudaron en su decisión vocacional.

Inició el noviciado en la Casa General del Instituto, calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia era costumbre en el Instituto cambiar el nombre de bautismo por el de religión, con el que sería nombrada y conocida en adelante. Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció sus votos perpetuos en 1910 en la Casa que el Instituto tiene en La Coruña.

Junto con la Hna. Asunción, la Hna. Asumpta fue a fundar el Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores. Destinada a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.

Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo. Fidelísima a la Congregación y a las consignas recibidas de sus Superiores, se refugia en una casa de la calle Barquillo junto con la entonces Superiora General, Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para llevar estos valores a una Embajada, es detenida por los milicianos y encerrada en la checa de Fomento.

Testigo de sus días de prisión es la entonces Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas palabras: "Tanto me ha maravillado la manera de conducirse Sor Asumpta, su espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos de conversación con mis religiosas se lo describo". Edificante en su cautiverio, no piensa en la suerte que correrá su persona, sufre porque la Congregación se ha quedado despojada de lo poco que tenía, mas luego la luz se hace en su alma y encuentra algo de más valor que ofrecer: su propia vida. La religiosa Escolapia, antes citada, se admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.

Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo... tampoco el lugar de su tumba... sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.

Este grupo de mártires está integrado por:

1. MARÍA DEL CONSUELO REMUIÑÁN CARRACEDO (ISABEL)

religiosa profesa, Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor
nacimiento: 17 Junio 1876 en Seavía, La Coruña (España)
martirio: 06 Agosto 1936 en Madrid (España)

2. DOROTEA LLAMAZARES FERNÁNDEZ (GERTRUDIS)

religiosa profesa, Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor
nacimiento: 06 Febrero 1870 en Cerezales del Condado, León (España)
martirio: 13 Agosto en Hortaleza, Madrid (España)

3. JULIANA GONZÁLEZ TRUJILLANO (MARÍA ASUMPTA)

religiosa profesa, Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor

nacimiento: 19 Junio 1881 en Barco de Ávila, Ávila (España)

martirio: 28 Octubre 1936 en Madrid (España)

SOURCE : http://es.catholic.net/op/articulos/36997/cat/214/maria-asumpta-juliana-gonzalez-trujillano-beata.html#modal

Isabel, Asumpta y Gertrudis, hermanas FMMDP que vivían en Madrid durante los años de la Guerra Civil Española (1936-1939), “sólo” habían elegido seguir al Señor como religiosas, pero Él les pidió una entrega heroica.

El testimonio – martirio de estas mujeres sigue siendo para nosotros, hoy, una interpelación y una propuesta de seguimiento.

Mirándolas, en su sencillez franciscana, recordamos las palabras de Jesús:

“No les tengáis miedo… Lo que yo os digo en la oscuridad, decidlo vosotros a la luz; y lo que oís al oído, proclamadlo desde los terrados. Y no temáis a los que matan el cuerpo, pero no pueden matar el alma… ¿No se venden dos pajarillos por un as? Pues bien, ni uno de ellos caerá en tierra sin el consentimiento de vuestro Padre…. No temáis, pues; vosotros valéis más que muchos pajarillos. “Por todo aquel que se declare por mí ante los hombres, yo también me declararé por él ante mi Padre que está en los cielos”. (Mt 10, 28 – 31).

Su beatificación, junto con otros 519 considerados oficialmente “mártires de la persecución religiosa del siglo XX en España”, tuvo lugar el día 13 de octubre de 2013 en Tarragona.

“Por la fe, los mártires entregaron su vida como testimonio de la verdad del Evangelio, que los había transformado y hecho capaces de llegar hasta el mayor don del amor, con el perdón de sus perseguidores”. (Porta Fidei)

Hna Asumpta González Trujillano

La Hermana Asumpta nació el 19 de junio de 1881 en El Barco (Ávila) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.

Inició el noviciado en la Casa General del Instituto, calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta, con el que se la conocería a partir de entonces. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció sus votos perpetuos en 1910 en La Coruña.

La Hna. Asumpta fue una de las fundadoras del Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores. Destinada después a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.

Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo.

Al comenzar la guerra se refugia en una casa de la calle Barquillo junto con la entonces Superiora General, Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para llevar estos valores a una Embajada, es detenida por los milicianos y encerrada en la checa de Fomento.

Testigo de sus días de prisión es la entonces Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas palabras: “Tanto me ha maravillado la manera de conducirse Sor Asumpta, su espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos de conversación con mis religiosas se lo describo”. Esta religiosa Escolapia se admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.

Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo… tampoco el lugar de su tumba… sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.

SOURCE : https://anamogas.net/hermanas-martires/

BEATAS ASUMPTA GONZÁLEZ TRUJILLANO,

ISABEL REMUIÑÁN CARRACEDO

Y GERTRUDIS LLAMAZARES FERNÁNDEZ

Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor Las hermanas Asumpta, Isabel y Gertrudis, FMMDP, dieron su vida por amor a Jesucristo, en Madrid, durante la persecución religiosa de 1936. Eran plenamente conscientes de que su fe era un motivo suficiente para llevarlas a la muerte. Los testigos de sus últimas horas concuerdan en narrar su serenidad de ánimo, mansedumbre y fortaleza en la prueba. El amor a Cristo y la fidelidad a su profesión religiosa permanecieron indelebles. Obligadas a afrontar la violencia dentro de las circunstancias históricas que les tocó vivir y conscientes de querer seguir a Jesús por el camino de la cruz, no manifestaron ningún temor: siguió vivo en su corazón el confiado abandono en la voluntad de Dios.

Martirizadas en Madrid el año 1936 durante la persecución religiosa.

Beatificadas en Tarragona el 13 de octubre de 2013 en un grupo de 522 mártires del siglo XX en España.

HNA. ASUMPTA GONZÁLEZ TRUJILLANO

La Hermana Asumpta [de pila, Juliana] nació el 19 de junio de 1881 en El Barco de Ávila (Ávila, España) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.

La Congregación de "Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor", fundada por la beata María Ana Mogas y Fontcuberta, se instaló en el año 1900 en El Barco de Ávila, regentando un colegio para la educación de la niñez y juventud, y atendiendo, con preferencia, a los más necesitados, según el estilo y carisma de su Fundadora. Juliana, sin duda, tuvo conocimiento y trato con las religiosas que allí fueron a ejercer su apostolado, y los contactos que a nivel humano y espiritual mantuvo con ellas, le ayudaron en su decisión vocacional.

Inició el noviciado en la Casa General del Instituto, calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia era costumbre en el Instituto cambiar el nombre de bautismo por el de religión, con el que sería nombrada y conocida en adelante. Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció sus votos perpetuos en 1910 en la casa que el Instituto tiene en La Coruña.

Junto con la Hna. Asunción, la Hna. Asumpta fue a fundar el Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores. Destinada a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.

Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo.

Fidelísima a la Congregación y a las consignas recibidas de sus superiores, en la persecución religiosa, se refugia en una casa de la calle Barquillo de Madrid junto con la entonces Superiora General, Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para llevar estos valores a una embajada, es detenida por los milicianos y encerrada en la checa de Fomento.

Testigo de sus días de prisión es la entonces Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas palabras: «Tanto me ha maravillado la manera de conducirse sor Asumpta, su espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos de conversación con mis religiosas se lo describo». Edificante en su cautiverio, no piensa en la suerte que correrá su persona, sufre porque la Congregación se ha quedado despojada de lo poco que tenía, mas luego la luz se hace en su alma y encuentra algo de más valor que ofrecer: su propia vida. La religiosa escolapia, antes citada, se admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.

Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, y su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo... tampoco el lugar de su tumba... sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.

HNA. ISABEL REMUIÑÁN CARRACEDO

La Hna. Isabel Remuiñán nació el 17 de junio de 1876 en Seavia de Coristanco, localidad de Amboade (La Coruña, España). Era hija legítima de Francisco Remuiñán y Pilar Carracedo. Fue bautizada el 18 de junio de 1876 recibiendo el nombre de María del Consuelo. Pertenecía a una familia de labradores de posición desahogada, católicos practicantes. Varios familiares y parientes próximos siguieron la vocación a la vida religiosa.

«Persona de carácter, de constancia, de energía y decidida, sabe dejar la casa paterna e ir a Santiago a estudiar y prepararse para religiosa» (carta de su pariente Don Antonio Carracedo Viña, párroco de Sofán).

María del Consuelo recibió la confirmación, como era preceptivo para iniciar la vida religiosa, y el 19 de noviembre de 1905 vistió el hábito en el noviciado de la Casa Generalicia cambiando su nombre por Hna. Isabel. Emitió su profesión temporal el 12 de diciembre de 1907 y la perpetua el 15 de diciembre de 1912 también en la Casa Generalicia.

El Señor la probó en sus últimos años con una enfermedad, por lo que fue preciso que pasara a la enfermería de la Comunidad, y fue entonces el momento en que se vio más patente su humildad y su espíritu de sacrificio. Se sabía que se hallaba enferma, pero no por lo que se quejara (nunca se la oyó lamentarse), sino por lo que en ella se veía. En marzo de 1936 ingresó en el Hospital de la Venerable Orden Tercera, ocupando la cama 2 en la sala Mártires, con el diagnóstico de lupus tuberculoso en la cara.

Ante los disturbios políticos y revolucionarios que conmueven Madrid, se cree que podrá permanecer como una enferma más en el hospital de la V. O. T., pero de allí tiene que salir con las otras religiosas, refugiándose en un piso que los Superiores habían dispuesto en la calle Arenal. Permanece allí algún tiempo, pero los registros se suceden y creyendo estar mejor defendida en el hospital se encamina hacia él; las turbas la reconocen, se adueñan de ella; según unos muere apedreada, aunque hay quien afirma que su cuerpo fue brutalmente destrozado atado parte a un camión y parte a otro.

Su martirio debió acaecer el 6 de agosto de 1936; su tumba permanece en lugar ignorado mientras el testimonio de su vida rubricado con su sangre es un grito de fidelidad y entrega.

HNA. GERTRUDIS LLAMAZARES FERNÁNDEZ

La Hna. Gertrudis nació el 6 de febrero de 1870 en Cerezales del Condado (León, España). Sus padres eran Agustín Llamazares y Francisca Fernández. Fue bautizada el 9 de febrero de 1870 en la iglesia parroquial de San Juan Bautista, de Cerezales del Condado, recibiendo el nombre de Dorotea; recibió el sacramento de la confirmación en Vegas del Condado el 26 de mayo de 1890.

El 1 de febrero de 1896 vistió el hábito en la Congregación de las Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor. En 1896 emitió sus únicos votos como religiosa donada.

Reservada y fidelísima, se le encomendó la gestión de asuntos delicados, confianza que jamás traicionará.

Al comienzo de la guerra se refugia con un grupo de Hermanas en un piso de la calle del Almirante; la presencia de tantas religiosas provoca protestas del vecindario y la Hna. Gertrudis busca otro refugio. Los milicianos van en busca de una hermana de la portera y allí es detenida nuestra mártir junto con un sacerdote, llevándolos a ambos en un coche hacia un lugar desconocido. La página 146 del libro publicado por el Gobierno bajo el título La dominación roja en España dice así:

«Hna. Gertrudis Llamazares, religiosa de la Comunidad de Terciarias Franciscanas de la Divina Pastora, del convento de la calle de Santa Engracia [Madrid], número 132, (hoy 136) fue apresada en la portería número 7 de la calle Diego de León, donde estaba escondida, siendo conducida por los milicianos en unión de una señora y un sacerdote, ambos desconocidos, en un automóvil, hasta un pinar de la carretera de Hortaleza, en cuyo lugar, después de ser bárbaramente maltratados, fueron atados los tres al vehículo que, emprendiendo la marcha, los arrastró hasta el pueblo de Hortaleza [Madrid], al que llegaron ya muertos y completamente destrozados, siendo pisoteados y profanados los cadáveres por el vecindario rojo».

Y en el folio 84, vuelto, número 13 del archivo del cementerio de Hortaleza consta:

«A las 17 horas del día 14 de agosto de 1936, siendo Juez D. Miguel Morales Cano, apareció en el km. 7 y 8 de la carretera de dicha Villa, y a la derecha, un cadáver de unos 65 años de edad, calva en la parte superior de la cabeza, pelo rubio, toquilla negra, saya y refajo, pañuelo negro a la cabeza, zapatos y medias negros. Llevaba una faltriquera de rayas blancas y negras y dos monederos que contenían: un rosario y dos cédulas a nombre de Dorotea Llamazares Fernández, natural de Cerezales, (León), nacida el 6 de febrero del año 1870, habitante en Santa Engracia, 110, colegio, expedida en Madrid el 21-11-1935. El otro monedero contenía diferentes monedas, importando 42 pts. con 85 céntimos. En una cartera rota, vacía, había un cuaderno con apuntes religiosos, varios papeles con apuntes de compras, otra cédula a nombre de Flora Gago Curieses, de Castrillo de Campo (Palencia), nacida el 16 de agosto, estudiante, habitante en Baltasar Bachero, 3; además un recibo que decía: "Tengo en mi poder 135 pts. de la Hna. Gertrudis Llamazares (Juan B. Pardo, 27-3-1936), un rosario, dos cristos, un reloj, una cadena de bolsillo, varias medallas, dos navajas, un alfiletero, un dedal, un tubo con alfileres, un lápiz, una piedra y una goma de borrar". Falleció, probablemente, el 13 de agosto sobre las 13 horas, teniendo destrozo de la región cerebral».

Investigaciones posteriores llevan a la conclusión de que sus restos mortales reposan con otros muchos en una fosa común en el cementerio de las monjas de la Sagrada Familia de Hortaleza.

[Fuente: http://www.anamogas.net/]

SOURCE : http://www.franciscanos.org/santoral/beatasasumptagonzalezycompaneras.html

Voir aussi : http://newsaints.faithweb.com/martyrs/MSPC40.htm

https://www.youtube.com/watch?v=G2AlN-j9TVM