13
octobre
BBx
522 martyrs de la guerre d’Espagne
†
entre 1936 et 1939
Commémoration commune :
le 13 octobre (jour de la béatification)
Commémoration
individuelle ou par groupe : jour du martyre (« dies natalis »)
Quand nous parlons des
martyrs espagnols des années 1930, nous les appelons par erreur « les martyrs
de la guerre civile ». Ce n’est pas le cas, car les premiers martyrs nous les
trouvons en octobre 1934, au cours de la révolution des Asturies (neuf d'entre
eux furent canonisés par St Jean-Paul II en 1999). Il manquait, alors, près de
deux ans au début de la guerre civile, avec laquelle ces témoins n’avaient rien
à voir.
Dans ces années terribles
beaucoup de membres du clergé et de consacrés furent assassinés simplement
parce qu’ils appartenaient à l’Église ; et le martyre des hommes et des femmes
de l’Action Catholique et d’autres mouvements ecclésiaux était de même nature.
Mais aucun d’eux ne fut impliqué dans des luttes politiques ou idéologiques.
Il est attesté que la
persécution a commencé bien avant la guerre civile et qu’elle n’était pas la
conséquence d’une prise de position de l’Église qui, seulement à partir de juillet
1937, appuya ouvertement une des parties en conflit parce l’autre avait cessé
d’exister et on continuait de tuer les ecclésiastiques et les catholiques
pratiquants.
Le dimanche 13 octobre
2013, le cardinal Angelo Amato s.d.b., préfet de la congrégation pour les
causes des saints, a béatifié cinq cent vingt-deux nouveaux martyrs au cours
d'une messe célébrée à Tarragone en Catalogne. Une cérémonie exceptionnelle à
laquelle ont participé de très nombreux prêtres, religieux et religieuses, des
familles des martyrs et près de 25.000 personnes.
Parmi ces martyrs
figurent trois évêques, 97 prêtres, 3 séminaristes, 412 consacrés et 7 laïcs
provenant de différents diocèses espagnols. Ils ont été tués pour la plupart
entre 1936 et 1939 par les forces républicaines. Sept d'entre eux étaient
étrangers: trois Français, un Cubain, un Colombien, un Philippin et un
Portugais... « Louons le Seigneur pour leurs courageux témoignages, et par leur
intercession, supplions-le de libérer le monde de toute violence » a dit le
pape François à l'issue de l'angélus ; il a également enregistré un message
vidéo qui a été retransmis au cours de la cérémonie espagnole dans lequel il
demande aux nouveaux martyrs d’intercéder pour que nous ne soyons pas des
chrétiens « sans substance », eux qui étaient des chrétiens « jusqu’au bout ».
Liste des 522 martyrs t
par nom ou groupe avec en tête (par ordre alphabétique) le premier membre du
groupe.
Alberto María Marco y
Alemán et 8 compagnons o.carm. ; Agustín María García Tribaldos et 15 Frères
des Écoles chrétiennes.
Andrés de Palazuelo
(Miguel Francisco González González) et 31 compagnons o.f.m. cap…
Antonio (Miguel) Faúndez
López, prêtre o.f.m. et 3 compagnons.
Aurelia (Clementina)
Arambarri Fuente et 3 compagnes, religieuses.
Carmelo María (Críspulo
Moyano Linares) et 9 compagnons o.c.d..
Crisanto (Casimiro
González García) et 65 compagnons, Maristes ; deux laïcs : Ramón Emiliano
Hortelano Gómez, Julián Aguilar Martín.
Fortunato Velasco Tobar
et 13 compagnons, Lazaristes.
Hermenegildo de la
Asunción (Hermenegildo Iza y Aregita) et 5 compagnons de l’Ordre de la très
sainte Trinité.
Jaime Puig Mirosa et 18
compagnons de la Congrégation des fils de la Sainte famille et Sebastián Lorens
Telarroja, laïc.
Joaquín Jovaní Marín et
14 compagnons prêtres ouvriers diocésains.
José Guardiet Pujol,
prêtre du diocèse de Barcelone.
José Javier Gorosterratzu
et 5 compagnons, Rédemptoristes.
José María Ruiz Cano,
prêtre et 15 compagnons de la Congrégation Fils du cœur Immaculé de la B.V.M…
José Máximo Moro Briz et
4 compagnons, prêtres du diocèse d’Ávila.
José Nadal Guiu et José
Jordán Blecua, prêtres du diocèse de Lleida.
Josefa Martínez Pérez et
11 compagnes (Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul) et une laïque,
Dolores Broseta Bonet.
Juan de Jesús (Juan
Vilaregut Ferrer) et 3 compagnons de l’Ordre des Carmes déchaussés et Pablo
Segalá Solé, prêtre du diocèse d’Urgell.
Juan Huguet Cardona,
prêtre du diocèse de Minorca.
Manuel Basulto Jimenez,
évêque du diocèse de Jaén et 5 compagnons : Félix Pérez Portela, Francisco
Solís Pedrajas, Francisco López Navarrete (prêtres), Manuel Aranda Espejo
(seminariste) et José María Poyatos Ruiz, jeune laïc.
Manuel Borrás Ferré,
évêque auxiliaire de Tarragona, Agapito Modesto (Modesto Pamplona Falguera),
religieux lazariste, et 145 compagnons.
Manuel de la Sagrada
Família (Manuel Sanz Domínguez), moine.
María
Asumpta (Juliana González Trujillano) et 2 compagnes, religieuses.
María de Montserrat
(Josefa Pilar García y Solanas) et 8 compagnes, religieuses et Lucrecia García
y Solanas (laïque, sœur de María de Montserrat).
Mariano Alcalà Pérez et
18 compagnons, Mercédaires.
Mauricio (Alejandro
Iñiguez de Heredia Alzola) et 23 compagnons de l’Ordre hospitalier de Saint
Jean de Dieu.
Mauro (Abel Ángel
Palazuelos Maruri) et 17 compagnons, bénédictins.
Melchora de la Adoración
Cortés Bueno et 14 compagnes, Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul.
Orencio Luis (Antonio
Solá Garringa) et 18 compagnons, Lasalliens ; José Gorostazu Labayen (laïc) et
Antonio Mateo Salamero (prêtre diocésain).
Raimundo Joaquín Castaño
et José María González Solís, prêtres o.p…
Ricardo Gil Barcelón
(prêtre) et Antonio Arrué Peiró (postulant).
Salvio Huix Miralpeix,
évêque de Lleida, Oratorien.
Teófilo Fernández de
Legaria Goñi, SS.CC. et 4 compagnons.
Victoria de Jesús
(Francisca Valverde Gonzalez), religieuse.
SOURCE : https://politique.forum-actif.net/t25511p600-le-saint-du-jour
Also
known as
Giuliana González
Trujillano
Juliana Gonzalez
Trujillano
Maria Assunta
María Asumpta
Sister Asumpta
Profile
Daughter of Anacleto
González and María del Rosario Trujillano, Juliana was baptized at
the age of 11 days. Tertiary in
the Franciscan Sisters
of the Divine Shepherdess (now known as the Franciscan Missionaries
of the Divine Motherhood) in 1900.
She joined the Sisters at the Madrid house
on 18
February 1903,
making her solemn profession in 1910 in
La Coruña, Spain.
One of the founders of the Colegio de Arenas de San Pedro where she
served as a teacher.
She was later assigned to the motherhouse of the Missionaries, and served
as a sacristan. Martyred in
the Spanish
Civil War.
Born
19 June 1881 in
Barco de Ávila, Ávila, Spain as Giuliana
González Trujillano
28 October 1936 in Madrid, Spain
5 July 2013 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
13 October 2013 by Pope Francis
Additional
Information
other
sites in english
sitios
en español
Franciscanas
Misioneras de la Madre del Divino Pastor
fonti
in italiano
MLA
Citation
“Blessed Maria
Asuncion“. CatholicSaints.Info. 2 July 2021. Web. 10 January 2022.
<https://catholicsaints.info/blessed-maria-asuncion/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-maria-asuncion/
Beata Maria Asumpta (Juliana) Gonzalez Trujillano Vergine e martire
>>> Visualizza la Scheda del Gruppo cui appartiene
El Barco de Ávila, Spagna, 19 giugno 1881 – Madrid, Spagna, 28 ottobre
1936
Suor María Asumpta Gonzalez
Trujillano, al secolo Juliana, era una suora Francescana Missionaria della
Madre del Divino Pastore. Fu un’apprezzata educatrice nelle svariate comunità
di cui fece parte. Trascorse il suo ultimo periodo di vita nella Casa generalizia
di Madrid, come sacrestana ed economa. Per mettere in salvo la dote sua
e delle consorelle, dopo essersi rifugiata in un appartamento si diresse presso
un’ambasciata, ma venne arrestata e, il 28 ottobre 1936, uccisa. Insieme alle
consorelle Isabel (María del Consuelo) Remiñán Carracedo e Gertrudis (Dorotea)
Llamazares Fernández, è stata beatificata il 13 ottobre 2013 a Tarragona,
inserita nel gruppo di cinquecentoventidue martiri caduti durante la guerra
civile.
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/96213
María Asumpta (Juliana) González Trujillano, Beata
Religiosa y Mártir, 28 de octubre
Religiosa Mártir
Breve Biografia
La Hermana Asumpta nació el 19 de junio de 1881 en El Barco (Ávila) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.
La Congregación de "Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor", fundada por la Beata María Ana Mogas y Fontcuberta, se instaló en el año 1900 en El Barco de Ávila, regentando un colegio para la educación de la niñez y juventud, y atendiendo, con prefe-rencia, a los más necesitados, según el estilo y carisma de su Fundadora. Juliana, sin duda, tuvo conocimiento y trato con las religiosas que allí fueron a ejercer su apostolado, y los contactos que a nivel humano y espiritual mantuvo con ellas, le ayudaron en su decisión vocacional.
Inició el noviciado en la Casa General del Instituto, calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia era costumbre en el Instituto cambiar el nombre de bautismo por el de religión, con el que sería nombrada y conocida en adelante. Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció sus votos perpetuos en 1910 en la Casa que el Instituto tiene en La Coruña.
Junto con la Hna. Asunción, la Hna. Asumpta fue a fundar el Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores. Destinada a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.
Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo. Fidelísima a la Congregación y a las consignas recibidas de sus Superiores, se refugia en una casa de la calle Barquillo junto con la entonces Superiora General, Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para llevar estos valores a una Embajada, es detenida por los milicianos y encerrada en la checa de Fomento.
Testigo de sus días de prisión es la entonces Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas palabras: "Tanto me ha maravillado la manera de conducirse Sor Asumpta, su espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos de conversación con mis religiosas se lo describo". Edificante en su cautiverio, no piensa en la suerte que correrá su persona, sufre porque la Congregación se ha quedado despojada de lo poco que tenía, mas luego la luz se hace en su alma y encuentra algo de más valor que ofrecer: su propia vida. La religiosa Escolapia, antes citada, se admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.
Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, su
martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo... tampoco
el lugar de su tumba... sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado
una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.
Este grupo de mártires está integrado por:
Isabel, Asumpta y Gertrudis, hermanas FMMDP que
vivían en Madrid durante los años de la Guerra Civil Española (1936-1939),
“sólo” habían elegido seguir al Señor como religiosas, pero Él les pidió una
entrega heroica.
El testimonio – martirio de estas mujeres sigue siendo
para nosotros, hoy, una interpelación y una propuesta de seguimiento.
Mirándolas, en su sencillez franciscana, recordamos
las palabras de Jesús:
“No les tengáis miedo… Lo que yo os digo en la oscuridad, decidlo vosotros a la luz; y lo que oís al oído, proclamadlo desde los terrados. Y no temáis a los que matan el cuerpo, pero no pueden matar el alma… ¿No se venden dos pajarillos por un as? Pues bien, ni uno de ellos caerá en tierra sin el consentimiento de vuestro Padre…. No temáis, pues; vosotros valéis más que muchos pajarillos. “Por todo aquel que se declare por mí ante los hombres, yo también me declararé por él ante mi Padre que está en los cielos”. (Mt 10, 28 – 31).
Su beatificación, junto con otros 519
considerados oficialmente “mártires de la persecución religiosa del siglo
XX en España”, tuvo lugar el día 13 de octubre de 2013 en Tarragona.
“Por la fe, los mártires entregaron su vida como testimonio de la verdad del Evangelio, que los había transformado y hecho capaces de llegar hasta el mayor don del amor, con el perdón de sus perseguidores”. (Porta Fidei)
Hna Asumpta González Trujillano
La Hermana Asumpta nació el 19 de junio de
1881 en El Barco (Ávila) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima
de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El
Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio
de 1885.
Inició el noviciado en la Casa General del Instituto,
calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia
Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta, con el que se la conocería a partir
de entonces. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció
sus votos perpetuos en 1910 en La Coruña.
La Hna. Asumpta fue una de las fundadoras del Colegio
de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores.
Destinada después a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.
Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo.
Al comenzar la guerra se refugia en una casa de la
calle Barquillo junto con la entonces Superiora General, Madre María de las
Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y
el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para
llevar estos valores a una Embajada, es detenida por los milicianos y encerrada
en la checa de Fomento.
Testigo de sus días de prisión es la entonces
Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas
palabras: “Tanto me ha maravillado la manera de conducirse Sor Asumpta, su
espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la
Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos
de conversación con mis religiosas se lo describo”. Esta religiosa Escolapia se
admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.
Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de
1936, su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo…
tampoco el lugar de su tumba… sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han
dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.
SOURCE : https://anamogas.net/hermanas-martires/
Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor
Las hermanas Asumpta, Isabel y Gertrudis, FMMDP, dieron su vida por amor a
Jesucristo, en Madrid, durante la persecución religiosa de 1936. Eran
plenamente conscientes de que su fe era un motivo suficiente para llevarlas a
la muerte. Los testigos de sus últimas horas concuerdan en narrar su serenidad
de ánimo, mansedumbre y fortaleza en la prueba. El amor a Cristo y la fidelidad
a su profesión religiosa permanecieron indelebles. Obligadas a afrontar la
violencia dentro de las circunstancias históricas que les tocó vivir y conscientes
de querer seguir a Jesús por el camino de la cruz, no manifestaron ningún
temor: siguió vivo en su corazón el confiado abandono en la voluntad de Dios.
Martirizadas en Madrid el año 1936 durante la
persecución religiosa.
Beatificadas en Tarragona el 13 de octubre de 2013 en un grupo de 522 mártires del siglo XX en España.
HNA. ASUMPTA GONZÁLEZ TRUJILLANO
La Hermana Asumpta [de pila, Juliana] nació el 19 de
junio de 1881 en El Barco de Ávila (Ávila, España) siendo bautizada el 30 del
mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario
Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma
parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.
La Congregación de "Franciscanas Misioneras de la
Madre del Divino Pastor", fundada por la beata María Ana Mogas y
Fontcuberta, se instaló en el año 1900 en El Barco de Ávila, regentando un
colegio para la educación de la niñez y juventud, y atendiendo, con
preferencia, a los más necesitados, según el estilo y carisma de su Fundadora.
Juliana, sin duda, tuvo conocimiento y trato con las religiosas que allí fueron
a ejercer su apostolado, y los contactos que a nivel humano y espiritual
mantuvo con ellas, le ayudaron en su decisión vocacional.
Inició el noviciado en la Casa General del Instituto,
calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia
era costumbre en el Instituto cambiar el nombre de bautismo por el de religión,
con el que sería nombrada y conocida en adelante. Juliana recibe el nombre de
Hna. Asumpta. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y
pronunció sus votos perpetuos en 1910 en la casa que el Instituto tiene en La
Coruña.
Junto con la Hna. Asunción, la Hna. Asumpta fue a
fundar el Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como
profesora de labores. Destinada a la Casa General, desempeñó el oficio de
sacristana.
Quienes la conocieron personalmente coinciden en
resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran
ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo.
Fidelísima a la Congregación y a las consignas
recibidas de sus superiores, en la persecución religiosa, se refugia en una
casa de la calle Barquillo de Madrid junto con la entonces Superiora General,
Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los
depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo
de dicha Madre para llevar estos valores a una embajada, es detenida por los
milicianos y encerrada en la checa de Fomento.
Testigo de sus días de prisión es la entonces
Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas
palabras: «Tanto me ha maravillado la manera de conducirse sor Asumpta, su
espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la
Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos
de conversación con mis religiosas se lo describo». Edificante en su
cautiverio, no piensa en la suerte que correrá su persona, sufre porque la
Congregación se ha quedado despojada de lo poco que tenía, mas luego la luz se
hace en su alma y encuentra algo de más valor que ofrecer: su propia vida. La
religiosa escolapia, antes citada, se admira de la entereza con que nuestra
Hermana espera la sentencia de muerte.
Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, y su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo... tampoco el lugar de su tumba... sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.
HNA. ISABEL REMUIÑÁN CARRACEDO
La Hna. Isabel Remuiñán nació el 17 de junio de 1876
en Seavia de Coristanco, localidad de Amboade (La Coruña, España). Era hija
legítima de Francisco Remuiñán y Pilar Carracedo. Fue bautizada el 18 de junio
de 1876 recibiendo el nombre de María del Consuelo. Pertenecía a una familia de
labradores de posición desahogada, católicos practicantes. Varios familiares y
parientes próximos siguieron la vocación a la vida religiosa.
«Persona de carácter, de constancia, de energía y
decidida, sabe dejar la casa paterna e ir a Santiago a estudiar y prepararse
para religiosa» (carta de su pariente Don Antonio Carracedo Viña, párroco de
Sofán).
María del Consuelo recibió la confirmación, como era
preceptivo para iniciar la vida religiosa, y el 19 de noviembre de 1905 vistió
el hábito en el noviciado de la Casa Generalicia cambiando su nombre por Hna.
Isabel. Emitió su profesión temporal el 12 de diciembre de 1907 y la perpetua
el 15 de diciembre de 1912 también en la Casa Generalicia.
El Señor la probó en sus últimos años con una
enfermedad, por lo que fue preciso que pasara a la enfermería de la Comunidad,
y fue entonces el momento en que se vio más patente su humildad y su espíritu
de sacrificio. Se sabía que se hallaba enferma, pero no por lo que se quejara
(nunca se la oyó lamentarse), sino por lo que en ella se veía. En marzo de 1936
ingresó en el Hospital de la Venerable Orden Tercera, ocupando la cama 2 en la
sala Mártires, con el diagnóstico de lupus tuberculoso en la cara.
Ante los disturbios políticos y revolucionarios que
conmueven Madrid, se cree que podrá permanecer como una enferma más en el
hospital de la V. O. T., pero de allí tiene que salir con las otras religiosas,
refugiándose en un piso que los Superiores habían dispuesto en la calle Arenal.
Permanece allí algún tiempo, pero los registros se suceden y creyendo estar
mejor defendida en el hospital se encamina hacia él; las turbas la reconocen,
se adueñan de ella; según unos muere apedreada, aunque hay quien afirma que su
cuerpo fue brutalmente destrozado atado parte a un camión y parte a otro.
Su martirio debió acaecer el 6 de agosto de 1936; su tumba permanece en lugar ignorado mientras el testimonio de su vida rubricado con su sangre es un grito de fidelidad y entrega.
HNA. GERTRUDIS LLAMAZARES FERNÁNDEZ
La Hna. Gertrudis nació el 6 de febrero de 1870 en
Cerezales del Condado (León, España). Sus padres eran Agustín Llamazares y
Francisca Fernández. Fue bautizada el 9 de febrero de 1870 en la iglesia
parroquial de San Juan Bautista, de Cerezales del Condado, recibiendo el nombre
de Dorotea; recibió el sacramento de la confirmación en Vegas del Condado el 26
de mayo de 1890.
El 1 de febrero de 1896 vistió el hábito en la
Congregación de las Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor. En
1896 emitió sus únicos votos como religiosa donada.
Reservada y fidelísima, se le encomendó la gestión de
asuntos delicados, confianza que jamás traicionará.
Al comienzo de la guerra se refugia con un grupo de
Hermanas en un piso de la calle del Almirante; la presencia de tantas
religiosas provoca protestas del vecindario y la Hna. Gertrudis busca otro
refugio. Los milicianos van en busca de una hermana de la portera y allí es
detenida nuestra mártir junto con un sacerdote, llevándolos a ambos en un coche
hacia un lugar desconocido. La página 146 del libro publicado por el Gobierno
bajo el título La dominación roja en España dice así:
«Hna. Gertrudis Llamazares, religiosa de la Comunidad
de Terciarias Franciscanas de la Divina Pastora, del convento de la calle de
Santa Engracia [Madrid], número 132, (hoy 136) fue apresada en la portería
número 7 de la calle Diego de León, donde estaba escondida, siendo conducida
por los milicianos en unión de una señora y un sacerdote, ambos desconocidos,
en un automóvil, hasta un pinar de la carretera de Hortaleza, en cuyo lugar,
después de ser bárbaramente maltratados, fueron atados los tres al vehículo
que, emprendiendo la marcha, los arrastró hasta el pueblo de Hortaleza
[Madrid], al que llegaron ya muertos y completamente destrozados, siendo
pisoteados y profanados los cadáveres por el vecindario rojo».
Y en el folio 84, vuelto, número 13 del archivo del
cementerio de Hortaleza consta:
«A las 17 horas del día 14 de agosto de 1936, siendo
Juez D. Miguel Morales Cano, apareció en el km. 7 y 8 de la carretera de dicha
Villa, y a la derecha, un cadáver de unos 65 años de edad, calva en la parte
superior de la cabeza, pelo rubio, toquilla negra, saya y refajo, pañuelo negro
a la cabeza, zapatos y medias negros. Llevaba una faltriquera de rayas blancas
y negras y dos monederos que contenían: un rosario y dos cédulas a nombre de
Dorotea Llamazares Fernández, natural de Cerezales, (León), nacida el 6 de
febrero del año 1870, habitante en Santa Engracia, 110, colegio, expedida en
Madrid el 21-11-1935. El otro monedero contenía diferentes monedas, importando
42 pts. con 85 céntimos. En una cartera rota, vacía, había un cuaderno con
apuntes religiosos, varios papeles con apuntes de compras, otra cédula a nombre
de Flora Gago Curieses, de Castrillo de Campo (Palencia), nacida el 16 de
agosto, estudiante, habitante en Baltasar Bachero, 3; además un recibo que
decía: "Tengo en mi poder 135 pts. de la Hna. Gertrudis Llamazares (Juan
B. Pardo, 27-3-1936), un rosario, dos cristos, un reloj, una cadena de
bolsillo, varias medallas, dos navajas, un alfiletero, un dedal, un tubo con
alfileres, un lápiz, una piedra y una goma de borrar". Falleció,
probablemente, el 13 de agosto sobre las 13 horas, teniendo destrozo de la
región cerebral».
Investigaciones posteriores llevan a la conclusión de
que sus restos mortales reposan con otros muchos en una fosa común en el
cementerio de las monjas de la Sagrada Familia de Hortaleza.
[Fuente: http://www.anamogas.net/]
SOURCE : http://www.franciscanos.org/santoral/beatasasumptagonzalezycompaneras.html
Voir aussi : http://newsaints.faithweb.com/martyrs/MSPC40.htm