jeudi 29 octobre 2020

Bienheureuse CHIARA LUCE BADANO, jeune laïque


Bienheureuse Chiara Luce Badano

Jeune fille italienne (+ 1990)

Chiara Luce Badano béatifiée le 25 septembre 2010 - une jeune fille de 18 ans née à Sassello (région de Savone) en 1971 et morte en 1990 d'un ostéosarcome, au terme d'une vie marquée par une foi lumineuse et par l'adhésion à la spiritualité du mouvement des Focolari.

La cérémonie de béatification, joyeuse et toute en profondeur, a été présidée par le préfet pour les causes des saints, Son Excellence Mgr Angelo Amato, envoyé spécialement par le Pape Benoît XVI. "Une jeune fille au cœur cristallin": c'est ainsi que Mgr Amato définit Chiara Luce dans son homélie. "Une jeune fille moderne, sportive, positive, qui, dans un monde plein de bien-être, mais aussi souvent malade de tristesse et d'absence de bonheur, nous transmet un message d'optimisme et d'espérance", poursuit-il.

"Chers amis, seul l'Amour, avec un A majuscule, apporte le vrai bonheur! C'est ce que montre une jeune fille qui a été proclamée bienheureuse hier ici, à Rome. Je parle de Chiara Badano, une jeune fille italienne née en 1971, qu'une maladie a conduite à la mort à un peu moins de 19 ans, mais qui a été pour tous un rayon de lumière, comme le dit son surnom: «Chiara Luce». Sa paroisse, le diocèse d'Acqui Terme et le Mouvement des Focolari, auquel elle appartenait, sont aujourd'hui en fête, et c'est une fête pour tous les jeunes, qui peuvent trouver en elle un exemple de cohérence chrétienne. Ses dernières paroles, de pleine adhésion à la volonté de Dieu, ont été: «Maman, au revoir. Sois heureuse parce que moi je le suis». Élevons notre louange à Dieu parce que son amour est plus fort que le mal et que la mort; et remercions la Vierge Marie qui conduit les jeunes, même à travers les difficultés, et les souffrances, à aimer toujours plus Jésus et à découvrir la beauté de la vie." (Angelus du 26 septembre 2010 - Benoît XVI)

Présentation de la vie de ChiaraLuce (Vidéo) à partir de Chiara luce sur Vimeo.

Vidéos sur la webTV de la CEF: les parents et la meilleure amie de Chiara Luce, #1 et #2.


Textes (en français) de la béatification - Chiara Luce, un nouveau visage de sainteté



"Life, love, light" présente, par un adroit mélange de chorégraphies, chansons et textes, les principales étapes de la vie de Chiara Badano: l'enfance avec ses parents, ses relations avec ses amis et avec la fondatrice du Mouvement des Focolari, Chiara Lubich, les espoirs, les conquêtes et les faiblesses de cette jeune fille, jusqu'au moment crucial de la maladie. «Pourquoi, Jésus?» se demande-t-elle devant cette immense douleur, puis la réponse: «Si tu le veux, je le veux aussi.»

SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/12248/Bienheureuse-Chiara-Luce-Badano.html

Chiara Badano, cette ado "comme les autres" devenue bienheureuse

Philip Kosloski - Publié le 07/12/17

Quand on évoque les saints, on ne pense pas forcément à des ados mauvais en maths, sortant tard le soir avec des copains et écoutant les derniers tubes à la mode. Pourtant, Chiara Badano était de ceux-ci.

Née le 29 octobre 1971 dans un petit village italien au sein d’un foyer catholique et aimant, Chiara a la foi très tôt. À l’âge de 4 ans, elle fait déjà preuve d’une grande générosité envers les autres : elle donne ses plus beaux jouets à des enfants défavorisés et est toujours heureuse d’aller rendre visite à des personnes âgées dans la maison de retraite près de chez elle.

À 9 ans, elle découvre le mouvement des Focolari et adhère sur-le-champ à cette spiritualité. Chiara grandit, va au collège puis au lycée : c’est une jeune fille populaire qui a beaucoup d’amis, fait du sport, danse, sort… En apparence, c’est une adolescente ordinaire qui aime s’amuser.

Une joie surnaturelle pour affronter la maladie

Un jour, alors qu’elle a 17 ans, elle ressent une vive douleur à l’épaule lors d’une partie de tennis. Après de nombreuses analyses, on lui diagnostique un cancer aigu des os appelé ostéosarcome. La maladie se développe rapidement et très vite, elle perd l’usage de ses jambes. Ses chances de survie sont très minces.

Au cœur de la souffrance, Chiara est habitée par une joie surnaturelle, et au lieu de vivre sa maladie comme une malédiction, elle l’offre en sacrifice à Dieu. Elle répète inlassablement : « Pour toi Jésus. Si tu le veux, je le veux moi aussi. » Elle refuse la morphine : « Cela me rend moins lucide, or je n’ai plus qu’une chose à faire désormais : offrir ma souffrance à Jésus, car je veux partager sa souffrance sur la croix le plus possible. »

« La mort n’existe pas. Seule la vie existe »

De nombreux amis viennent lui rendre visite à l’hôpital : « Au début, nous allions voir Chiara Luce [son nom chez les Focolari, « lumière » en italien] car nous pensions qu’elle avait besoin qu’on lui remonte le moral. Mais très vite nous avons réalisé qu’en réalité, c’était nous qui avions besoin d’elle. Sa vie était comme un aimant qui nous attirait à elle. » L’un de ses médecins disait : « À travers son sourire, à travers ses yeux pleins de lumière, elle nous montrait que la mort n’existe pas. Seule la vie existe. »

Alors que sa courte vie touche à sa fin, elle dit à sa mère : « Ne pleure pas, car je pars retrouver Jésus. À mon enterrement, je ne veux pas que les gens pleurent, je veux des gens qui chantent de tout leur cœur. » Elle demande également à être enterrée vêtue de blanc, pour symboliser son alliance éternelle avec le Christ.

Chiara Badano quitte ce monde le 7 octobre 1990, peu avant ses 19 ans. Elle part retrouver Jésus après avoir dit ces dernières paroles : « Adieu. Soyez heureux car je le suis. » Son procès en canonisation a été officiellement ouvert en 1999 et elle est déclarée vénérable en 2008. Peu après, Benoît XVI reconnaît un miracle attribué à son intercession ; elle est béatifiée le 25 septembre 2010. Un deuxième miracle est nécessaire pour qu’elle soit canonisée.

SOURCE : https://fr.aleteia.org/2017/12/07/chiara-badano-cette-ado-comme-les-autres-devenue-bienheureuse/

Histoire de Chiara Badano

La joie est immense lorsque la petite Chiara montre le bout de son nez le 29 octobre 1971 dans la famille Badano. La fillette grandit dans un climat familial aimant. En 1980, Chiara découvre les Focolari. On y prêche un « idéal ». Elle est tout de suite attirée par cette manière de vivre : mettre Dieu au centre de sa vie et vivre l’unité de façon concrète. Elle se lie alors au groupe des Gen 3 (jeunes de 9 à 16 ans).

Chiara est belle : son regard limpide attire. Elle aime la vie et pratique différents sports : tennis, natation, danse, promenades dans les montagnes avec son père… Sa joie intérieure jaillit par les chants qu’elle aime entonner. Toujours entourée d’amis, sa présence attire. Elle les retrouve le soir dans son village, devant le café. Sa présence parmi eux est témoignage. Non, je ne parle pas de Dieu. […] Ce n’est pas parler de Dieu qui compte, moi je dois le donner.

Fin de l’été 1988 : Chiara joue au tennis. Une douleur à l’épaule revient fréquemment. Celle-ci se fait de plus en plus aiguë. Des recherches plus approfondies permettent au corps médical de trouver la maladie : ostéosarcome avec métastases. Les examens, les attentes, les rechutes, les améliorations, les hospitalisations se succèdent. Elle se soumet, et continue son chemin de vie authentique.

Arrive le temps de la longue chimiothérapie. Chiara comprend alors la gravité de son mal. Sa maman raconte : « Je vois encore Chiara arriver dans le jardin… Elle a le regard fixe… Je lui demande comment ça s’est passé. Non, pas maintenant, ne me parle pas maintenant. Elle se jette sur son lit les yeux fermés. Elle reste comme ça vingt-cinq minutes. Puis elle se tourne vers moi : Maintenant tu peux parler. Ça y est, elle a redit son oui. Et elle ne revient plus en arrière. Son sourire revient. Après avoir demandé à Jésus : Pourquoi ? Elle continue : Si tu le veux, Jésus, je le veux moi aussi. » Ses yeux sont tournés vers le Christ, elle sait, où elle va. Sa souffrance a un sens.

Chiara vit sa maladie en union avec la Passion du Christ. Alors que ses veines éclatent sans cesse, à force de subir des perfusions, une infirmière découvre une veine encore bonne. Elle demande alors à Chiara de rester immobile. Si elle bouge le doigt, l’aiguille sautera et ils ne pourront faire la thérapie. Pendant trois jours, Chiara reste sans bouger ; devant l’aiguille qui ressemble à un papillon posé sur son bras, elle dit : Pour moi, c’est une petite épreuve, même si ça me fait mal et que j’ai envie de bouger le doigt. Pour résister à cette tentation, je me dis que ce papillon est l’une des épines que Jésus avait sur la tête.

La médecine baisse les bras et affirme son impuissance. Chiara souffre atrocement. Elle sait que seul un miracle peut la sauver. Pourtant, elle écrit : Je n’arrive pas à le demander. Peut-être que cela vient de mon impression que cela ne rentre pas dans sa volonté ? J’ai hâte d’aller au paradis…mais est-ce que ce n’est pas encore un attachement, quelque chose à perdre ? Elle prépare alors dans les moindres détails la fête de ses noces, vivant ces moments comme des fiançailles.

À sa maman, elle adresse cette recommandation : Quand tu me prépareras sur mon lit de mort, maman, tu devras toujours te répéter : « Maintenant, Chiara Luce voit Jésus. » Son état s’aggrave. Elle offre encore ses souffrances. La veille de sa mort, elle dit au revoir à ses amis : Il faut avoir le courage de mettre de côté ambitions et projets qui détruisent le vrai sens de la vie, qui est seulement de croire à l’amour de Dieu. Ses dernières paroles sont pour sa maman : Ciao ! Sois heureuse, parce que je le suis.Dimanche 7 octobre 1990, Chiara Luce rejoint son Bien-Aimé. Les gens arrivent en foule chez les Badano. Malgré les larmes, c’est la fête : croyants et incroyants viennent auprès d’elle. Plus de deux mille personnes se rassemblent pour les funérailles. Les témoignages parlent d’une atmosphère de joie, de paradis. Un ami confesse : « Pour la première fois, j’ai réussi à être sûr de l’amour de Dieu. »

SOURCE : https://www.chiara-luce.fr/?p=63

Neuvaine pour les enfants malades avec Chiara Luce Badano

Pendant 9 jours, prions avec la Bienheureuse Chiara Luce Badano pour les enfants atteints de maladies graves !

Commencez la neuvaine quand vous voulez !

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Que vous souhaitiez porter dans vos prières un enfant en particulier ou tous les enfants gravement malades, rejoignez cette neuvaine pour apprendre à "jouer la partition de Dieu" avec Chiara Luce.

Quotidiennement, vous recevrez : 

la prière du jour, 

l'un des écrits de Chiara Luce Badano que vous pourrez méditer, 

Un extrait de l'Evangile.

Programme

Jour 1 - Le don de la foi

Jour 2 - Obéir à la volonté de Dieu

Jour 3 - Le commandement de l'amour

Jour 4 - Que ta volonté soit faite !

Jour 5 - Demander le pardon et la conversion

Jour 6 - Seigneur, apprends-nous à prier !

Jour 7 - Remercier Dieu pour son amour et ses dons 

Jour 8 - Espérance en la vie éternelle

Jour 9 - L'amour, une petite semence à déployer

Qui est Chiara Badano ?

Chiara Badano dite Chiara Luce (Sassello, 29 octobre 1971 - Sassello, 7 octobre 1990) est une jeune femme ayant appartenu au Mouvement des Focolari, morte à 18 ans d'un cancer des os. Déclarée vénérable par l'Église catholique romaine le 3 juillet 2008, elle a été proclamée bienheureuse le 25 septembre 2010 au Sanctuaire de Notre-Dame du Divin Amour, à Rome.

Peu avant de partir pour le Ciel, elle confiera à ses amis qui viennent lui rendre visite pour la consoler, mais qui repartent consolés eux-mêmes : 

... Vous ne pouvez pas imaginer la relation que j'ai maintenant avec Jésus… Je me rends compte que Dieu me demande quelque chose de plus, de plus grand. Peut-être pourrai-je rester sur ce lit pendant des années, je n'en sais rien. La seule chose qui m'intéresse, c'est la volonté de Dieu, bien faire celle de l'instant présent : jouer la partition de Dieu. Si on me demandait si je veux marcher (l'avancement de la maladie lui paralyse les jambes, avec des contractions très douloureuses), je dirais que je ne le veux pas, car ainsi je suis plus proche de Jésus.

Pour mieux connaître Chiara Luce, je vous invite à regarder cette vidéo, vous découvrirez une jeune fille "comme les autres"  qui  n'a pas eu peur de se laisser saisir par le Christ et de trouver dans Sa Parole le dynamisme qui l'aidera à construire sa vie intérieure et à se tourner vers les autres malgré sa souffrance.

Pour vous inscrire, rien de plus simple : cliquez sur le bouton en haut à droite : « Je m'inscris »  

Prière de la neuvaine

Prière à Dieu par l'intercession de la bienheureuse Chiara Luce Badano

Ô Père, source de tous les biens, nous te rendons grâces pour l'admirable témoignage de la bienheureuse Chiara Badano. Animée par la grâce de l'Esprit saint et guidée par l'exemple brillant de Jésus, elle a cru fermement en ton immense amour, résolue à correspondre à cet amour de toutes ses forces, en s'abandonnant avec pleine confiance à ta paternelle volonté. Nous te prions humblement : accorde, à nous aussi, le don de vivre avec toi et pour toi, et, si tu le veux bien, accorde-nous la grâce … que nous osons te demander, en vertu des mérites de Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen !

Priez dès maintenant pour cette neuvaine en cliquant sur "je prie"

SOURCE : https://hozana.org/communaute/7872-neuvaine-avec-la-bienheureuse-chiara-luce-badano

Blessed Chiara Badano

13 October 2010, 11:18 am

Memorial

29 October

Also known as

Luce Badano

Profile

Young lay woman in the Diocese of Aqui TermeItaly. Daughter of Ruggero Badano, a truck driver, and Maria Teresa Caviglia. A kind, happy and pious girl, she enjoyed tennis, swimming, hiking, singingdancing and initially wanted to be a flight attendant. Member of the Focolare Movement at age nine. At age 16 she began to feel drawn to religious life; soon afterward she was diagnosed with cancer in her shoulder. Chiara insisted that she could become a missionary, but the cancer spread quickly, affecting her spine, and she lost the use of her legs. She finally accepted that she wasn’t going anywhere and spent her remaining time praying and being supportive of her family and friends.

Born

29 October 1971 in SavonaItaly

Died

7 October 1990 in Sassello, SavonaItaly of natural causes

Venerated

3 July 2008 by Pope Benedict XVI

Beatified

25 September 2010 by Pope Benedict XVI

Patronage

World Youth Day 2023

Storefront

hand painted medals

Additional Information

other sites in english

Associazione Chiara Badano

Catholic News Agency

Catholic News Agency

Hagiography Circle

Real Life Catholic

video

YouTube PlayList

fonti in italiano

Cathopedia

Dicastero delle Cause dei Santi

Santi e Beati

Readings

“Don’t cry for me. I am going to Jesus. At my funeral I don’t want people to cry, but rather to sing with all their voices.” – Blessed Chiara during a medical crisis near the end of her life

MLA Citation

“Blessed Chiara Badano“. CatholicSaints.Info. 17 September 2023. Web. 21 October 2025. <https://catholicsaints.info/tag/name-chiara/>

Tags: Beatified by Pope Benedict XVIBeatified in 2010Born in 1971Born in ItalyDied in 1990Died in ItalyMember of the Focolare MovementName ChiaraName LuceSaints who had CancerSaints who were Lifelong Lay PeopleSaints who were SingersVenerated in 2008
Category: Saints Beati and Venerables  |  Comments Off

SOURCE : https://catholicsaints.info/tag/name-chiara/

Chiara 'Luce' Badano

Chiara Badano was born in the small town of Sassello in Savona, Italy, on 29th October 1971. Her parents were Maria Teresa and Ruggero Badano. They were a happy couple with a strong commitment to their Catholic faith and the sanctity of marriage. As they explain, from the time of their marriage they prayed constantly for the gift of a child.

'We got married at 26 and our greatest desire was to have children. Even after eleven years together, we continued to believe and pray that this would happen. Ruggero could not imagine a marriage without children so even when he was travelling - he was a lorry driver - he would continually pray that we could become parents. On one occasion, he asked God for this gift when he went to a shrine in our diocese. It happened and when Chiara was born we immediately felt she was not only our daughter, but first of all, she was God's child, and as such we had to raise her, respecting her freedom…'

Chiara was a happy child and grew to become a normal teenager. From childhood, her parents instructed her in her faith and included stories of Jesus in her bedtime reading. Her mother often tells the story of how Chiara, when she was young, shared her toys with other children and gave the best ones to other people! She also saved money to give to a friend who helped with a mission in Africa.

Her parish priest gave her a copy of the gospels when she made her first Holy Communion. Later, through her close friend, Chicca, she learnt about the Focolare Movement whose founder, Chiara Lubich, spoke about putting God in the first place in one's life and living out the gospel. Chiara was very attracted by these ideas: she was particularly struck when Chiara Lubich invited the young people who knew the Focolare Movement to "become a generation of saints". This became a clarion call for little Chiara, and she made her decision. Lubich never held back in speaking even to very young people about Jesus on the cross who she described as "Jesus Forsaken and Crucified". In 1983, little Chiara informed Chiara Lubich about her decision to see Jesus Forsaken as her first love or "Spouse." She had truly begun her spiritual journey.

Chiara Luce's favourite sport was tennis. One day, when she was playing, she felt "that sharp pain in my shoulder" and at the age of 17 she was diagnosed with osteosarcoma, the most aggressive and painful form of bone cancer.

Blessed Chiara Badano regarded Chiara Lubich as her spiritual guide. The latter suggested that she add "Luce" meaning "light" to her name - the 'light' of God that conquers the world. Her mantra became, "If you want it Jesus, I want it too." She offered up her suffering and refused morphine, 'because it takes away my clarity', and she said she wanted nothing 'but (her) sufferings to offer to Jesus.'

People close to her always experienced a sense joy and peace. A friend said: "I went there to console her instead she consoled me." She came to consider her approaching death as the consummation of her "marriage with her spouse" and asked to be dressed in a white wedding gown which, she said, should be very simple.

At dawn on the day of her death, she whispered these words in her mum's ear,

'Be happy because I am.'

On 3 July 2008, Pope Benedict XVI recognized her heroic virtue and declared her venerable. On 19 December 2009, the decree approving a miracle attributed to her intercession opened the way to her beatification, which was celebrated on 25 September 2010, at the Marian Shrine of Our Lady of the Divine Love near Rome.

Learn more Chiara on her website: www.chiarabadano.org/

There will be live streaming on October 29th www.chiarabadano.org/2020/10/21/news-streaming-25-ottobre-2020/?lang=en#

(Many thanks to writer Maria Dalgarno for this piece. For more information see: www.newcity.co.uk

SOURCE : https://www.indcatholicnews.com/saint/311

Italian teen one step closer to sainthood

Rome, Italy, Jul 7, 2008 / 05:56 pm MT (CNA).- 

The Congregation for the Causes of the Saints issued a decree last week recognizing the heroic virtues of Chiara “Luce” Badano, a young Italian girl who belonged to the Focolare Movement and died in 1990 at the age of 18.

The new “Venerable” Chiara was born in Sassello, Liguria, on October 29, 1971, to the joy of her parents, truck driver Ruggero Badano, and Maria Teresa Caviglia, who waited eleven years to have a child.

“Amidst our great joy, we understood immediately that she was not only our daughter but also a daughter of God,” her mother said according to a biography published by Focolare.

Since childhood, Chiara showed a deep love for God and a strong but docile character. She was joyful, kind and very active.

At the age of nine she joined the Focolare Movement. In 1985 Chiara moved to Savona to continue her education, and according to her biographers, “She had a difficult time despite her great efforts. She was held back one year and this made her suffer greatly.”

Chiara had many friends and loved sports, especially tennis, swimming and hiking.  She dreamed of being a flight attendant and enjoyed dancing and singing.  However, at the age of 16 she decided to pursue the consecrated life.

She had a close relationship with the foundress of the Focolare, Chiara Lubich, who gave her the name, “Luce.”

Soon afterwards she was diagnosed with a cancerous tumor in her shoulder.  She began intense chemotherapy while she continued her daily life with the same joy and faith.

This joy and faith moved Chiara to give all of her savings to a friend who was going to be a missionary in Africa, even though she was ill.

Despite the efforts by doctors, her illness progressed rapidly and she lost the use of her legs.  “If I had to choose between walking or going to heaven I’d choose heaven,” she told her family.

In July of 1989 she suffered severe hemorrhaging and her death appeared imminent.  She told her parents, “Don’t cry for me.  I am going to Jesus.  At my funeral I don’t want people to cry, but rather to sing with all their voices.”

On her deathbed, Chiara prayed for the strength to fulfill God’s will.  “I don’t ask Jesus to come for me to bring me to heaven; I don’t want to give him the impression that I don’t want to suffer anymore,” she said.  She asked her mother to help her prepare for her funeral, or her “wedding feast,” as she called it.

She gave her mother detailed instructions about how she should be dressed, the music, the flowers, the hymns and the readings. She asked her mother to repeat the words, “Now Chiara, go to Jesus.”

She died on October 7, 1990, surrounded by her parents.  Her friends were gathered outside the door. Her final words were, “Ciao. Be happy because I am.”

Some two thousand people attended her funeral.

Chiara’s cause for beatification was opened in 1999 by Bishop Livio Maritano, the bishop of Acqui at the time.  He said his decision was based on Chiara’s “way of living, especially the extraordinary example she gave during the last stage of her life.”  “I had no doubt about promoting her cause,” the bishop said.

SOURCE https://www.catholicnewsagency.com/news/italian_teen_one_step_closer_to_sainthood

Benedict XVI and Vatican prelates remember example of Blessed Chiara 'Luce' Badano

Vatican City, Sep 26, 2010 / 09:14 pm MT ().-

Chiara “Luce” Badano, a teenage Italian member of the Focolare Movement, was beatified on Saturday. Church leaders and others remembered her in celebrations throughout the weekend for her example of love, Christian coherence and charity. They called her a reminder that “everyone has sufficient grace to become saints.”

Born in 1971, Chiara died in 1990 at nearly 19 years of age. Her biography describes a life lived in total devotion to God and abandonment to His will. Many witnesses have testified to the happiness she transmitted in spite of the pain of the bone cancer which eventually took her life.

Thousands of people gathered at the Marian Sanctuary of Divine Love just outside of Rome for the Mass and Rite of Beatification on Saturday afternoon. The young blessed was remembered by Archbishop Angelo Amato during the celebration as a girl with “a heart crystalline like water from the source.”

Noting specific acts of charity throughout her short life, Archbishop Angelo Amato, head of the Vatican Congregation for the Causes of Saints, cited one witness' testimony that being with her gave a person the "feeling of finding God."

Thanking the Lord for her life of charity and goodness in spite of the difficulties of her disease, the archbishop remembered Chiara as a "modern, sporty, positive girl, (who) transmits to us a message of optimism and hope."

He added that she shows that “the brief season of youth can be lived in holiness” and also that “today there are virtuous young people, who in family, at school, in society do not fritter away their lives.”

The archbishop called her beatification "good news" in the midst of a world "rich with well-being, but often sick with sadness and unhappiness." He concluded that Chiara's story invites all people, young and old, to a "freshness and enthusiasm for the faith" while serving as a reminder that "everyone has sufficient grace to become saints."

After a youth celebration in Chiara's honor at the Vatican's Paul VI Hall which ran late into the evening on Saturday, Cardinal Secretary of State Tarcisio Bertone presided over a thanksgiving Mass at the basilica of St. Paul Outside-the-walls on Sunday morning. Cardinal Bertone spoke of the saintly young woman as a "brilliant" and "credible” example of “authenticity and altruism.”

The cardinal recalled a conversation with the Holy Father last week on the flight back from the U.K., when the Pope told him that "this, our Blessed is a valuable example for young people."

Pope Benedict spoke of this example in his pre-Angelus catechesis on Sunday, which participants in the Mass followed along with from big screens set up at St. Paul's basilica after the morning Eucharistic celebration with Cardinal Bertone.

Speaking of Chiara's way of living as a demonstration of how Love, "with a capital 'L'," gives true happiness, he said that for everyone, she was "a ray of light, as her nickname says: 'Chiara Luce' (Clear Light)."

The Pope noted that the celebration is not only for those from her parish, local diocese and the Focolare Movement. Rather, her beatification was a festival for all young people, who can “find in her an example of Christian coherence."

He recalled the "full adherence to the will of God" in her life down to her last words, addressed to her mother: "Mom, bye. Be happy because I am."

Chiara "Luce" Badano's feast day will be celebrated every year on Oct. 29.

SOURCE : https://www.catholicnewsagency.com/news/benedict-xvi-and-vatican-prelates-remember-example-of-blessed-chiara-luce-badano

BLESSED CHIARA LUCE BADANO, PRAY FOR US!

Published by  admin at July 7, 2013

DateJuly 7, 2013

Sometimes we’d prefer that our lives be a different story than the one God seems to be writing.  In our fragile existence it doesn’t take much to turn a romance into a drama, or an adventure into a tragedy.  At a glance, the story of Chiara Badano—an only child conceived after 11 years of marriage, who died at 18 after a bout with a painful form of bone cancer—looks like an empty tragedy, but not from the perspective of the Divine Author.

Chiara seemed to have everything going for her as a teen.  She had a loving, holy family and a rock solid faith that was nurtured by retreats and youth ministry programs.  She was popular amongst her friends and was liked by boys.  It’s not hard to see why.  She was beautiful.  Chiara loved to hang out in coffee shops.  She was great at tennis, swimming and mountain climbing.  Her outgoing personality and adventurous spirit made her dream of becoming a flight attendant.  Chiara had a bright life ahead of her.

One day while playing tennis, Chiara experienced excruciating pain in her shoulder.  Shortly afterwards she was diagnosed with osteogenic sarcoma.  She watched her bright future slip away.  But it’s here that the real story of her life begins—the story of heroic virtue.

Chiara’s joy was explosive and it only increased with her suffering.  After one very pain-filled night she said, “I suffered a lot, but my soul was singing.”  Google pictures of her on her death bed.  Her eyes look like pools reflecting the glory of heaven.  One of her doctors remarked, “Through her smile, and through her eyes full of light, she showed us that death doesn’t exist; only life exists.”  Cardinal Saldarini heard of this amazing teen and visited her in the hospital.  Awestruck, he said, “The light in your eyes is splendid. Where does it come from?”  Chiara’s reply was simple:  “I try to love Jesus as much as I can.”

Chiara had a profound sense of redemptive suffering.  She often repeated the phrase, “If this is what you want, Jesus, so do I.”  Like any teenage girl, she loved her hair, but with each lock that fell out she’d pray, “For you, Jesus.”  She frequently refused morphine, saying, “I want to share as much as possible in His suffering on the cross.”

During one of her many hospital stays Chiara took walks with a depressed, drug-dependent girl, despite the pain of walking from the huge growth on her spine.  When she was encouraged to stop and rest she said, “I’ll have time to rest later.”  Ever thinking of others, she said, “I have nothing left, but I still have my heart, and with that I can always love.”

Chiara requested to be buried in a wedding gown.  As the end of her short life drew near she told her mother, “When you’re getting me ready, Mum, you have to keep saying to yourself, ?Chiara Luce is now seeing Jesus.’”
She died on Oct. 7, 1990.  Her parents and friends were with her.  Her last words were: “Goodbye. Be happy because I’m happy.”

Thanks to her local bishop, Chiara was declared “Servant of God.”  For anyone wondering if Chiara’s cause for canonization was only opened to comfort grieving parents and friends, God recently put his stamp of approval on her story.  A young boy in Italy was dying from meningitis.  His organs were shutting down.  There was no way to save his life.  His parents learned of Chiara’s story and sought her intercession.  He was fully healed.  A panel of doctors has ruled that there was no medical explanation for this turn of events.  On September 25, 2010, she became the first member of Generation X to be beatified!

Reflecting on her pending death, Chiara said: “Previously I felt … the most I could do was to let go.  Instead, now I feel enfolded in a marvelous plan of God, which is slowly being unveiled to me.”  The story of our lives with all its riveting twists and painful turns is written by an author who loves us very much, and for him, even death is only a comma, not a period.  The greatest protagonists in life’s story are the saints.  They shared the eternal perspective of the Author.  That’s why not even the most profound pain could take away their hope.

Here’s to yet another teen saint! “Blessed Chiara Luce Badano, pray for us!”

SOURCE : https://web.archive.org/web/20181024061435/http://reallifecatholic.com/portfolio-item/blessed-chiara-luca-badano-pray-for-us/

Blessed Chiara "Luce" Badano

Chiara was born just over forty years ago in Sassello, a small town in the north of Italy. As a young girl she was full of energy and loved dancing, music and sports. And do you know what her favorite sport was? It was tennis! Do you like sports too? And what about school? Would you sometimes prefer to skip it? So did Blessed Chiara.

Because Chiara’s mum and dad also loved Jesus very much, they were also trying to help Chiara do the same already when she was little. One day, her mum asked Chiara whether she wouldn’t like to give away some of her toys to poor children. At first, Chiara didn’t like this one bit! But after thinking about it for a moment she changed her mind immediately. As she started picking out which toys to give away, she chose the nicest ones and said: “I cannot give half-broken toys to kids who don’t have any, I’ll give them the best ones!” What would you have done?

Later, when she was nine years old, she went to a meeting of the young people of the Focolare movement. There she discovered that the key to being close to God is Jesus who suffered on the cross so much that he even felt far from his Father. In that moment, Jesus continued to love his Father and to do what God wanted from him. Chiara realized that she too could do the same! This meant a new beginning for her and she wrote to Chiara Lubich, who started the Focolare movement, to ask her for a new name. Just like popes, who pick a new name when they start their new life as popes, Chiara too wanted to show that her life had started an important new phase.

The name she received was “Chiara Luce,” which means Chiara Light or clear light. A few months later, Blessed Chiara “Luce” felt a pain in her shoulder while playing tennis and it turned out to be a very serious illness. She spent many months in bed and in hospital, needing very painful treatments. Every time she felt pain she offered it to Jesus and said: “For you, Jesus!” with a smile. Next time you are in a difficult or painful situation, try doing the same!

During her stay in the hospital, Blessed Chiara “Luce” became friends with many people, both patients and doctors. Everybody who came to visit her left very happy and encouraged by her, even though they thought they were coming to encourage Chiara “Luce”! One of the patients in the hospital was very sad, so Blessed Chiara “Luce” decided to go for walks with her even though walking caused her great pain.

When it became clear that she was not getting any better, Blessed Chiara “Luce” decided to plan her last moments with her mom as a wedding celebration. She understood that when she dies, she will meet Jesus and that is a reason to celebrate! When Blessed Chiara “Luce” died, she was only 18 years old and she has been an example to thousands of young people ever since.

“It’s for you, Jesus; if you want it, I want it, too.”

Chiara Badano

1971 AD (Sassello, Italy) – 1990 AD (Sassello, Italy)

SOURCE : https://web.archive.org/web/20160303224102/https://dl.dropboxusercontent.com/u/4761105/primo3r_web/saints_pages/chiara_luce_badano.html



Voir aussi : http://www.chiarabadano.org/vita/


https://www.chiara-luce.fr/wp-content/uploads/2010/08/Chiara-Luce-biographie+photo.pdf


https://www.vaticannews.va/fr/eglise/news/2019-10/histoire-de-saintete-bienheureuse-chiara-luce-badano.html


https://web.archive.org/web/20120130212108/http://focolare.org/En/sif/2000/20000323e_b.html

mercredi 28 octobre 2020

Bienheureuse MARIA ASUMPTA (JULIANA) GONZÁLEZ TRUJILLANO, vierge religieuse et martyre


13 octobre 

BBx 522 martyrs de la guerre d’Espagne

† entre 1936 et 1939

Commémoration commune : le 13 octobre (jour de la béatification)

Commémoration individuelle ou par groupe : jour du martyre (« dies natalis »)

Quand nous parlons des martyrs espagnols des années 1930, nous les appelons par erreur « les martyrs de la guerre civile ». Ce n’est pas le cas, car les premiers martyrs nous les trouvons en octobre 1934, au cours de la révolution des Asturies (neuf d'entre eux furent canonisés par St Jean-Paul II en 1999). Il manquait, alors, près de deux ans au début de la guerre civile, avec laquelle ces témoins n’avaient rien à voir.

Dans ces années terribles beaucoup de membres du clergé et de consacrés furent assassinés simplement parce qu’ils appartenaient à l’Église ; et le martyre des hommes et des femmes de l’Action Catholique et d’autres mouvements ecclésiaux était de même nature. Mais aucun d’eux ne fut impliqué dans des luttes politiques ou idéologiques.

Il est attesté que la persécution a commencé bien avant la guerre civile et qu’elle n’était pas la conséquence d’une prise de position de l’Église qui, seulement à partir de juillet 1937, appuya ouvertement une des parties en conflit parce l’autre avait cessé d’exister et on continuait de tuer les ecclésiastiques et les catholiques pratiquants.

Le dimanche 13 octobre 2013, le cardinal Angelo Amato s.d.b., préfet de la congrégation pour les causes des saints, a béatifié cinq cent vingt-deux nouveaux martyrs au cours d'une messe célébrée à Tarragone en Catalogne. Une cérémonie exceptionnelle à laquelle ont participé de très nombreux prêtres, religieux et religieuses, des familles des martyrs et près de 25.000 personnes.

Parmi ces martyrs figurent trois évêques, 97 prêtres, 3 séminaristes, 412 consacrés et 7 laïcs provenant de différents diocèses espagnols. Ils ont été tués pour la plupart entre 1936 et 1939 par les forces républicaines. Sept d'entre eux étaient étrangers: trois Français, un Cubain, un Colombien, un Philippin et un Portugais... « Louons le Seigneur pour leurs courageux témoignages, et par leur intercession, supplions-le de libérer le monde de toute violence » a dit le pape François à l'issue de l'angélus ; il a également enregistré un message vidéo qui a été retransmis au cours de la cérémonie espagnole dans lequel il demande aux nouveaux martyrs d’intercéder pour que nous ne soyons pas des chrétiens « sans substance », eux qui étaient des chrétiens « jusqu’au bout ».

Liste des 522 martyrs t par nom ou groupe avec en tête (par ordre alphabétique) le premier membre du groupe.

Alberto María Marco y Alemán et 8 compagnons o.carm. ; Agustín María García Tribaldos et 15 Frères des Écoles chrétiennes.

Andrés de Palazuelo (Miguel Francisco González González) et 31 compagnons o.f.m. cap…

Antonio (Miguel) Faúndez López, prêtre o.f.m. et 3 compagnons.

Aurelia (Clementina) Arambarri Fuente et 3 compagnes, religieuses.

Carmelo María (Críspulo Moyano Linares) et 9 compagnons o.c.d..

Crisanto (Casimiro González García) et 65 compagnons, Maristes ; deux laïcs : Ramón Emiliano Hortelano Gómez, Julián Aguilar Martín.

Fortunato Velasco Tobar et 13 compagnons, Lazaristes.

Hermenegildo de la Asunción (Hermenegildo Iza y Aregita) et 5 compagnons de l’Ordre de la très sainte Trinité.

Jaime Puig Mirosa et 18 compagnons de la Congrégation des fils de la Sainte famille et Sebastián Lorens Telarroja, laïc.

Joaquín Jovaní Marín et 14 compagnons prêtres ouvriers diocésains.

José Guardiet Pujol, prêtre du diocèse de Barcelone.

José Javier Gorosterratzu et 5 compagnons, Rédemptoristes.

José María Ruiz Cano, prêtre et 15 compagnons de la Congrégation Fils du cœur Immaculé de la B.V.M…

José Máximo Moro Briz et 4 compagnons, prêtres du diocèse d’Ávila.

José Nadal Guiu et José Jordán Blecua, prêtres du diocèse de Lleida.

Josefa Martínez Pérez et 11 compagnes (Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul) et une laïque, Dolores Broseta Bonet.

Juan de Jesús (Juan Vilaregut Ferrer) et 3 compagnons de l’Ordre des Carmes déchaussés et Pablo Segalá Solé, prêtre du diocèse d’Urgell.

Juan Huguet Cardona, prêtre du diocèse de Minorca.

Manuel Basulto Jimenez, évêque du diocèse de Jaén et 5 compagnons : Félix Pérez Portela, Francisco Solís Pedrajas, Francisco López Navarrete (prêtres), Manuel Aranda Espejo (seminariste) et José María Poyatos Ruiz, jeune laïc.

Manuel Borrás Ferré, évêque auxiliaire de Tarragona, Agapito Modesto (Modesto Pamplona Falguera), religieux lazariste, et 145 compagnons.

Manuel de la Sagrada Família (Manuel Sanz Domínguez), moine.

María Asumpta (Juliana González Trujillano) et 2 compagnes, religieuses.

María de Montserrat (Josefa Pilar García y Solanas) et 8 compagnes, religieuses et Lucrecia García y Solanas (laïque, sœur de María de Montserrat).

Mariano Alcalà Pérez et 18 compagnons, Mercédaires.

Mauricio (Alejandro Iñiguez de Heredia Alzola) et 23 compagnons de l’Ordre hospitalier de Saint Jean de Dieu.

Mauro (Abel Ángel Palazuelos Maruri) et 17 compagnons, bénédictins.

Melchora de la Adoración Cortés Bueno et 14 compagnes, Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul.

Orencio Luis (Antonio Solá Garringa) et 18 compagnons, Lasalliens ; José Gorostazu Labayen (laïc) et Antonio Mateo Salamero (prêtre diocésain).

Raimundo Joaquín Castaño et José María González Solís, prêtres o.p…

Ricardo Gil Barcelón (prêtre) et Antonio Arrué Peiró (postulant).

Salvio Huix Miralpeix, évêque de Lleida, Oratorien.

Teófilo Fernández de Legaria Goñi, SS.CC. et 4 compagnons.

Victoria de Jesús (Francisca Valverde Gonzalez), religieuse.

SOURCE : https://politique.forum-actif.net/t25511p600-le-saint-du-jour

Blessed Maria Asuncion

Also known as

Giuliana González Trujillano

Juliana Gonzalez Trujillano

Maria Assunta

María Asumpta

Sister Asumpta

Memorial

28 October

Profile

Daughter of Anacleto González and María del Rosario Trujillano, Juliana was baptized at the age of 11 days. Tertiary in the Franciscan Sisters of the Divine Shepherdess (now known as the Franciscan Missionaries of the Divine Motherhood) in 1900. She joined the Sisters at the Madrid house on 18 February 1903, making her solemn profession in 1910 in La Coruña, Spain. One of the founders of the Colegio de Arenas de San Pedro where she served as a teacher. She was later assigned to the motherhouse of the Missionaries, and served as a sacristanMartyred in the Spanish Civil War.

Born

19 June 1881 in Barco de Ávila, Ávila, Spain as Giuliana González Trujillano

Died

28 October 1936 in MadridSpain

Venerated

5 July 2013 by Pope Francis (decree of martyrdom)

Beatified

13 October 2013 by Pope Francis

Additional Information

other sites in english

Hagiography Circle

Vatican Information Services

sitios en español

Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor

fonti in italiano

Santi e Beati

MLA Citation

“Blessed Maria Asuncion“. CatholicSaints.Info. 2 July 2021. Web. 10 January 2022. <https://catholicsaints.info/blessed-maria-asuncion/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-maria-asuncion/




Beata Maria Asumpta (Juliana) Gonzalez Trujillano Vergine e martire

28 ottobre

>>> Visualizza la Scheda del Gruppo cui appartiene

El Barco de Ávila, Spagna, 19 giugno 1881 – Madrid, Spagna, 28 ottobre 1936

Suor María Asumpta Gonzalez Trujillano, al secolo Juliana, era una suora Francescana Missionaria della Madre del Divino Pastore. Fu un’apprezzata educatrice nelle svariate comunità di cui fece parte. Trascorse il suo ultimo periodo di vita nella Casa generalizia di Madrid, come sacrestana ed economa. Per mettere in salvo la dote sua e delle consorelle, dopo essersi rifugiata in un appartamento si diresse presso un’ambasciata, ma venne arrestata e, il 28 ottobre 1936, uccisa. Insieme alle consorelle Isabel (María del Consuelo) Remiñán Carracedo e Gertrudis (Dorotea) Llamazares Fernández, è stata beatificata il 13 ottobre 2013 a Tarragona, inserita nel gruppo di cinquecentoventidue martiri caduti durante la guerra civile.

Nacque a El Barco de Ávila il 19 giugno 1881, figlia di Anacleto González e María del Rosario Trujillano, che le diedero il nome di Juliana. Ricevette la Cresima nella sua parrocchia natale il 18 giugno 1885.

Quindici anni più tardi, nel 1900, s’insediò nella parrocchia di El Barco de Ávila una comunità delle Terziarie Francescane della Divina Pastora, fondate nel 1805 da madre María Ana Mogas Fontcuberta (Beata dal 1996), oggi dette Francescane Missionarie della Madre del Divino Pastore. Si occuparono di una scuola per l’educazione dell’infanzia e della gioventù, dando una speciale attenzione ai più bisognosi. Ben presto, Juliana finì con l’andare molto d’accordo con loro, tanto da riconoscere di essere chiamata a seguirne lo stile: il 18 febbraio 1903, quindi, entrò in noviziato e cambiò il nome di battesimo con quello di suor María Asumpta. Emise i voti temporanei nel 1905 presso la Casa generalizia di calle Santa Engracia a Madrid, dove aveva compiuto il noviziato, ma professò i voti perpetui nella casa di La Coruña, nel 1910.

Insieme alla consorella suor Asunción, fondò una scuola ad Arenas de San Pedro: vi rimase tre anni, come insegnante di economia domestica, insegnando alle bambine taglio e cucito. Destinata nuovamente in Casa madre, svolse l’incarico di sacrestana, distinguendosi per esattezza al dovere, capacità di sacrificio e una crescente intimità con il Signore.

Nel luglio 1936, seguendo le indicazioni della Madre Generale María de las Victorias Lage Castrillón, abbandonò la casa e si rifugiò con lei in calle Barquillo 3, presso i coniugi Adolfo Cadaval y Muñoz del Monte e Amalia García Lara. Da lì, il 20 ottobre 1936, si diresse in un’ambasciata, forse quella del Cile, insieme ai due coniugi: voleva depositarvi la dote sua e delle altre monache. Tuttavia, proprio all’entrata dell’ambasciata, i tre vennero catturati da alcuni miliziani e condotti in una “checa”, ossia un luogo di prigionia e tortura, situato in calle Fomento.

Nella cella dove suor Assunta fu imprigionata c’era anche la madre provinciale delle suore Scolopie. Costei vide coi propri occhi che lei non si sedette, ma prese ad andare avanti e indietro, pregando il Trisagio. Ogni tanto, poi, l’udiva dire con tono angosciato: «Mi ammazzano».

Alle due pomeridiane entrò nella cella un miliziano con una busta blu, il quale le disse: «Hai la libertà». Questo fatto la calmò, cosicché, quando venne chiamata, uscì tranquillamente. Poco dopo, uscì la signora Amalia García, che gridava di voler salutare suo marito, ma le fu risposto: «Adesso vedrà suo marito». In realtà, era tutto falso: non erano state liberate, bensì condotte alla fucilazione. Era il 28 ottobre 1936.

Il processo canonico per l’accertamento della sua morte in odio alla fede, unito a quelli delle consorelle Isabel (al secolo María del Consuelo) Remiñán Carracedo e Gertrudis (Dorotea) Llamazares Fernández, si è svolto dal 27 settembre 1999 al 15 ottobre 2000 presso l’Arcidiocesi di Madrid ed è stato integrato da un processo rogazionale nella Diocesi di Orense il 17 febbraio 2000. Le tre sono state beatificate a Tarragona il 13 ottobre 2013, incluse nel gruppo di cinquecentoventidue martiri caduti durante la guerra civile spagnola.

Autore: Emilia Flocchini

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/96213

María Asumpta (Juliana) González Trujillano, Beata

Religiosa y Mártir, 28 de octubre

Por: . | Fuente: www.anamogas.net

Religiosa Mártir

Martirologio Romano: En Madrid, España, Beata Maria Asumpta (en el siglo: Juliana González Trujillano) y 2 compañeras, españolas; religiosas profesas de la Congregación de las Hermanas Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor; asesinadas por odio a la fe. († 1936)

Fecha de Beatificación: 13 de octubre de 2013, durante el pontificado de S.S. Francisco.

Breve Biografia

La Hermana Asumpta nació el 19 de junio de 1881 en El Barco (Ávila) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.

La Congregación de "Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor", fundada por la Beata María Ana Mogas y Fontcuberta, se instaló en el año 1900 en El Barco de Ávila, regentando un colegio para la educación de la niñez y juventud, y atendiendo, con prefe-rencia, a los más necesitados, según el estilo y carisma de su Fundadora. Juliana, sin duda, tuvo conocimiento y trato con las religiosas que allí fueron a ejercer su apostolado, y los contactos que a nivel humano y espiritual mantuvo con ellas, le ayudaron en su decisión vocacional.

Inició el noviciado en la Casa General del Instituto, calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia era costumbre en el Instituto cambiar el nombre de bautismo por el de religión, con el que sería nombrada y conocida en adelante. Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció sus votos perpetuos en 1910 en la Casa que el Instituto tiene en La Coruña.

Junto con la Hna. Asunción, la Hna. Asumpta fue a fundar el Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores. Destinada a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.

Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo. Fidelísima a la Congregación y a las consignas recibidas de sus Superiores, se refugia en una casa de la calle Barquillo junto con la entonces Superiora General, Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para llevar estos valores a una Embajada, es detenida por los milicianos y encerrada en la checa de Fomento.

Testigo de sus días de prisión es la entonces Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas palabras: "Tanto me ha maravillado la manera de conducirse Sor Asumpta, su espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos de conversación con mis religiosas se lo describo". Edificante en su cautiverio, no piensa en la suerte que correrá su persona, sufre porque la Congregación se ha quedado despojada de lo poco que tenía, mas luego la luz se hace en su alma y encuentra algo de más valor que ofrecer: su propia vida. La religiosa Escolapia, antes citada, se admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.

Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo... tampoco el lugar de su tumba... sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.

Este grupo de mártires está integrado por:

1. MARÍA DEL CONSUELO REMUIÑÁN CARRACEDO (ISABEL)

religiosa profesa, Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor
nacimiento: 17 Junio 1876 en Seavía, La Coruña (España)
martirio: 06 Agosto 1936 en Madrid (España)

2. DOROTEA LLAMAZARES FERNÁNDEZ (GERTRUDIS)

religiosa profesa, Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor
nacimiento: 06 Febrero 1870 en Cerezales del Condado, León (España)
martirio: 13 Agosto en Hortaleza, Madrid (España)

3. JULIANA GONZÁLEZ TRUJILLANO (MARÍA ASUMPTA)

religiosa profesa, Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor

nacimiento: 19 Junio 1881 en Barco de Ávila, Ávila (España)

martirio: 28 Octubre 1936 en Madrid (España)

SOURCE : http://es.catholic.net/op/articulos/36997/cat/214/maria-asumpta-juliana-gonzalez-trujillano-beata.html#modal

Isabel, Asumpta y Gertrudis, hermanas FMMDP que vivían en Madrid durante los años de la Guerra Civil Española (1936-1939), “sólo” habían elegido seguir al Señor como religiosas, pero Él les pidió una entrega heroica.

El testimonio – martirio de estas mujeres sigue siendo para nosotros, hoy, una interpelación y una propuesta de seguimiento.

Mirándolas, en su sencillez franciscana, recordamos las palabras de Jesús:

“No les tengáis miedo… Lo que yo os digo en la oscuridad, decidlo vosotros a la luz; y lo que oís al oído, proclamadlo desde los terrados. Y no temáis a los que matan el cuerpo, pero no pueden matar el alma… ¿No se venden dos pajarillos por un as? Pues bien, ni uno de ellos caerá en tierra sin el consentimiento de vuestro Padre…. No temáis, pues; vosotros valéis más que muchos pajarillos. “Por todo aquel que se declare por mí ante los hombres, yo también me declararé por él ante mi Padre que está en los cielos”. (Mt 10, 28 – 31).

Su beatificación, junto con otros 519 considerados oficialmente “mártires de la persecución religiosa del siglo XX en España”, tuvo lugar el día 13 de octubre de 2013 en Tarragona.

“Por la fe, los mártires entregaron su vida como testimonio de la verdad del Evangelio, que los había transformado y hecho capaces de llegar hasta el mayor don del amor, con el perdón de sus perseguidores”. (Porta Fidei)

Hna Asumpta González Trujillano

La Hermana Asumpta nació el 19 de junio de 1881 en El Barco (Ávila) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.

Inició el noviciado en la Casa General del Instituto, calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta, con el que se la conocería a partir de entonces. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció sus votos perpetuos en 1910 en La Coruña.

La Hna. Asumpta fue una de las fundadoras del Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores. Destinada después a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.

Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo.

Al comenzar la guerra se refugia en una casa de la calle Barquillo junto con la entonces Superiora General, Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para llevar estos valores a una Embajada, es detenida por los milicianos y encerrada en la checa de Fomento.

Testigo de sus días de prisión es la entonces Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas palabras: “Tanto me ha maravillado la manera de conducirse Sor Asumpta, su espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos de conversación con mis religiosas se lo describo”. Esta religiosa Escolapia se admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.

Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo… tampoco el lugar de su tumba… sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.

SOURCE : https://anamogas.net/hermanas-martires/

BEATAS ASUMPTA GONZÁLEZ TRUJILLANO,

ISABEL REMUIÑÁN CARRACEDO

Y GERTRUDIS LLAMAZARES FERNÁNDEZ

Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor Las hermanas Asumpta, Isabel y Gertrudis, FMMDP, dieron su vida por amor a Jesucristo, en Madrid, durante la persecución religiosa de 1936. Eran plenamente conscientes de que su fe era un motivo suficiente para llevarlas a la muerte. Los testigos de sus últimas horas concuerdan en narrar su serenidad de ánimo, mansedumbre y fortaleza en la prueba. El amor a Cristo y la fidelidad a su profesión religiosa permanecieron indelebles. Obligadas a afrontar la violencia dentro de las circunstancias históricas que les tocó vivir y conscientes de querer seguir a Jesús por el camino de la cruz, no manifestaron ningún temor: siguió vivo en su corazón el confiado abandono en la voluntad de Dios.

Martirizadas en Madrid el año 1936 durante la persecución religiosa.

Beatificadas en Tarragona el 13 de octubre de 2013 en un grupo de 522 mártires del siglo XX en España.

HNA. ASUMPTA GONZÁLEZ TRUJILLANO

La Hermana Asumpta [de pila, Juliana] nació el 19 de junio de 1881 en El Barco de Ávila (Ávila, España) siendo bautizada el 30 del mismo mes y año. Era hija legítima de Anacleto González y María del Rosario Trujillano, ambos residentes de El Barco de Ávila. Fue confirmada en la misma parroquia de El Barco el 18 de junio de 1885.

La Congregación de "Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor", fundada por la beata María Ana Mogas y Fontcuberta, se instaló en el año 1900 en El Barco de Ávila, regentando un colegio para la educación de la niñez y juventud, y atendiendo, con preferencia, a los más necesitados, según el estilo y carisma de su Fundadora. Juliana, sin duda, tuvo conocimiento y trato con las religiosas que allí fueron a ejercer su apostolado, y los contactos que a nivel humano y espiritual mantuvo con ellas, le ayudaron en su decisión vocacional.

Inició el noviciado en la Casa General del Instituto, calle Santa Engracia 140, en Madrid, el 18 de febrero de 1903. En esa ceremonia era costumbre en el Instituto cambiar el nombre de bautismo por el de religión, con el que sería nombrada y conocida en adelante. Juliana recibe el nombre de Hna. Asumpta. Realizó su profesión temporal en 1905 en la Casa Madre y pronunció sus votos perpetuos en 1910 en la casa que el Instituto tiene en La Coruña.

Junto con la Hna. Asunción, la Hna. Asumpta fue a fundar el Colegio de Arenas de San Pedro y allí permaneció tres años como profesora de labores. Destinada a la Casa General, desempeñó el oficio de sacristana.

Quienes la conocieron personalmente coinciden en resaltar su exactitud en el deber, su capacidad de sacrificio por un gran ideal, sus valores espirituales, acentuando su intimidad con Cristo.

Fidelísima a la Congregación y a las consignas recibidas de sus superiores, en la persecución religiosa, se refugia en una casa de la calle Barquillo de Madrid junto con la entonces Superiora General, Madre María de las Victorias Lage. De allí, en un intento por salvar los depósitos de las dotes y el escaso capital de la Congregación, sale por encargo de dicha Madre para llevar estos valores a una embajada, es detenida por los milicianos y encerrada en la checa de Fomento.

Testigo de sus días de prisión es la entonces Superiora Provincial de las Escolapias, también encarcelada; de ella son estas palabras: «Tanto me ha maravillado la manera de conducirse sor Asumpta, su espíritu de fortaleza ante el sacrificio y ese amor tan entrañable a la Congregación lleno de respeto para los Superiores e Instituto, que en mis ratos de conversación con mis religiosas se lo describo». Edificante en su cautiverio, no piensa en la suerte que correrá su persona, sufre porque la Congregación se ha quedado despojada de lo poco que tenía, mas luego la luz se hace en su alma y encuentra algo de más valor que ofrecer: su propia vida. La religiosa escolapia, antes citada, se admira de la entereza con que nuestra Hermana espera la sentencia de muerte.

Su detención ocurre sobre el 28 de octubre de 1936, y su martirio, quizá, no mucho tiempo después; no sabemos dónde ni cómo... tampoco el lugar de su tumba... sólo sabemos que su vida y gloriosa muerte han dejado una estela que habla de fidelidad a un ideal, a un AMOR.

HNA. ISABEL REMUIÑÁN CARRACEDO

La Hna. Isabel Remuiñán nació el 17 de junio de 1876 en Seavia de Coristanco, localidad de Amboade (La Coruña, España). Era hija legítima de Francisco Remuiñán y Pilar Carracedo. Fue bautizada el 18 de junio de 1876 recibiendo el nombre de María del Consuelo. Pertenecía a una familia de labradores de posición desahogada, católicos practicantes. Varios familiares y parientes próximos siguieron la vocación a la vida religiosa.

«Persona de carácter, de constancia, de energía y decidida, sabe dejar la casa paterna e ir a Santiago a estudiar y prepararse para religiosa» (carta de su pariente Don Antonio Carracedo Viña, párroco de Sofán).

María del Consuelo recibió la confirmación, como era preceptivo para iniciar la vida religiosa, y el 19 de noviembre de 1905 vistió el hábito en el noviciado de la Casa Generalicia cambiando su nombre por Hna. Isabel. Emitió su profesión temporal el 12 de diciembre de 1907 y la perpetua el 15 de diciembre de 1912 también en la Casa Generalicia.

El Señor la probó en sus últimos años con una enfermedad, por lo que fue preciso que pasara a la enfermería de la Comunidad, y fue entonces el momento en que se vio más patente su humildad y su espíritu de sacrificio. Se sabía que se hallaba enferma, pero no por lo que se quejara (nunca se la oyó lamentarse), sino por lo que en ella se veía. En marzo de 1936 ingresó en el Hospital de la Venerable Orden Tercera, ocupando la cama 2 en la sala Mártires, con el diagnóstico de lupus tuberculoso en la cara.

Ante los disturbios políticos y revolucionarios que conmueven Madrid, se cree que podrá permanecer como una enferma más en el hospital de la V. O. T., pero de allí tiene que salir con las otras religiosas, refugiándose en un piso que los Superiores habían dispuesto en la calle Arenal. Permanece allí algún tiempo, pero los registros se suceden y creyendo estar mejor defendida en el hospital se encamina hacia él; las turbas la reconocen, se adueñan de ella; según unos muere apedreada, aunque hay quien afirma que su cuerpo fue brutalmente destrozado atado parte a un camión y parte a otro.

Su martirio debió acaecer el 6 de agosto de 1936; su tumba permanece en lugar ignorado mientras el testimonio de su vida rubricado con su sangre es un grito de fidelidad y entrega.

HNA. GERTRUDIS LLAMAZARES FERNÁNDEZ

La Hna. Gertrudis nació el 6 de febrero de 1870 en Cerezales del Condado (León, España). Sus padres eran Agustín Llamazares y Francisca Fernández. Fue bautizada el 9 de febrero de 1870 en la iglesia parroquial de San Juan Bautista, de Cerezales del Condado, recibiendo el nombre de Dorotea; recibió el sacramento de la confirmación en Vegas del Condado el 26 de mayo de 1890.

El 1 de febrero de 1896 vistió el hábito en la Congregación de las Franciscanas Misioneras de la Madre del Divino Pastor. En 1896 emitió sus únicos votos como religiosa donada.

Reservada y fidelísima, se le encomendó la gestión de asuntos delicados, confianza que jamás traicionará.

Al comienzo de la guerra se refugia con un grupo de Hermanas en un piso de la calle del Almirante; la presencia de tantas religiosas provoca protestas del vecindario y la Hna. Gertrudis busca otro refugio. Los milicianos van en busca de una hermana de la portera y allí es detenida nuestra mártir junto con un sacerdote, llevándolos a ambos en un coche hacia un lugar desconocido. La página 146 del libro publicado por el Gobierno bajo el título La dominación roja en España dice así:

«Hna. Gertrudis Llamazares, religiosa de la Comunidad de Terciarias Franciscanas de la Divina Pastora, del convento de la calle de Santa Engracia [Madrid], número 132, (hoy 136) fue apresada en la portería número 7 de la calle Diego de León, donde estaba escondida, siendo conducida por los milicianos en unión de una señora y un sacerdote, ambos desconocidos, en un automóvil, hasta un pinar de la carretera de Hortaleza, en cuyo lugar, después de ser bárbaramente maltratados, fueron atados los tres al vehículo que, emprendiendo la marcha, los arrastró hasta el pueblo de Hortaleza [Madrid], al que llegaron ya muertos y completamente destrozados, siendo pisoteados y profanados los cadáveres por el vecindario rojo».

Y en el folio 84, vuelto, número 13 del archivo del cementerio de Hortaleza consta:

«A las 17 horas del día 14 de agosto de 1936, siendo Juez D. Miguel Morales Cano, apareció en el km. 7 y 8 de la carretera de dicha Villa, y a la derecha, un cadáver de unos 65 años de edad, calva en la parte superior de la cabeza, pelo rubio, toquilla negra, saya y refajo, pañuelo negro a la cabeza, zapatos y medias negros. Llevaba una faltriquera de rayas blancas y negras y dos monederos que contenían: un rosario y dos cédulas a nombre de Dorotea Llamazares Fernández, natural de Cerezales, (León), nacida el 6 de febrero del año 1870, habitante en Santa Engracia, 110, colegio, expedida en Madrid el 21-11-1935. El otro monedero contenía diferentes monedas, importando 42 pts. con 85 céntimos. En una cartera rota, vacía, había un cuaderno con apuntes religiosos, varios papeles con apuntes de compras, otra cédula a nombre de Flora Gago Curieses, de Castrillo de Campo (Palencia), nacida el 16 de agosto, estudiante, habitante en Baltasar Bachero, 3; además un recibo que decía: "Tengo en mi poder 135 pts. de la Hna. Gertrudis Llamazares (Juan B. Pardo, 27-3-1936), un rosario, dos cristos, un reloj, una cadena de bolsillo, varias medallas, dos navajas, un alfiletero, un dedal, un tubo con alfileres, un lápiz, una piedra y una goma de borrar". Falleció, probablemente, el 13 de agosto sobre las 13 horas, teniendo destrozo de la región cerebral».

Investigaciones posteriores llevan a la conclusión de que sus restos mortales reposan con otros muchos en una fosa común en el cementerio de las monjas de la Sagrada Familia de Hortaleza.

[Fuente: http://www.anamogas.net/]

SOURCE : http://www.franciscanos.org/santoral/beatasasumptagonzalezycompaneras.html

Voir aussi : http://newsaints.faithweb.com/martyrs/MSPC40.htm

https://www.youtube.com/watch?v=G2AlN-j9TVM