lundi 18 mai 2020

Bienheureuse BLANDINE MERTEN, vierge religieuse ursuline


Bienheureuse Blandine Merten

Religieuse ursuline en Allemagne (+1918)
Née à Duppenweiler en Allemagne, elle entra dans l'Ordre de sainte Ursule (Ursulines) où elle sut joindre la vie contemplative aux tâches quotidiennes de l'éducation humaine et chrétienne des jeunes adolescentes. Grande était sa dévotion eucharistique. "Celui qui aime Dieu, n'a pas besoin d'accomplir des actes exceptionnellement élevés, il lui suffit d'aimer", répétait-elle souvent.
- Les visiteurs de la chapelle Blandinen, dans le cimetière de Trèves à Saint-Paulin, racontent leur vie et leur expérience: Die Selige Schwester Blandine Merten wurde 1883 in Düppenweiler als Maria Magdalena Merten geboren. Im Alter von 25 Jahren trat sie in den Orden der Ursulinen ein. Sie starb bereits 1918 in Trier. 1987 sprach Papst Johannes Paul II. sie selig. vidéo du diocèse de Trèves (en allemand, possibilité de traduction automatique des sous-titres en français)

À Trèves en Rhénanie, l'an 1918, la bienheureuse Blandine (Marie-Madeleine Merten), vierge ursuline, qui joignit à la vie contemplative la charge de la formation humaine et chrétienne des jeunes filles et des adolescentes.
Martyrologe romain

SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/6968/Bienheureuse-Blandine-Merten.html




Bienheureuse Blandine (Marie-Madeleine) Merten, vierge ursuline

Marie Madeleine Merten est née à Duppenweiler en Allemagne le 10 juillet 1883, dans une famille catholique, neuvième de onze frères et sœurs. De 1902 à 1908, elle exerce le métier d’institutrice avec beaucoup de dévouement mais pense pouvoir servir encore mieux les enfants dans la vie religieuse. Aussi, à 25 ans, entre-t-elle chez les Ursulines du Mont-Calvaire où elle prend le nom de Blandine. Avec les petites filles et les jeunes adolescentes dont elle a la charge, elle sait allier bonté et fermeté. Sa spiritualité est simple ; elle aime à répéter : « Celui qui aime Dieu n’a pas besoin d’accomplir des actes exceptionnellement élevés ; il lui suffit d’aimer. »
Lorsqu’elle fait ses vœux solennels en 1913, elle s’offre en même temps en victime. Et le Seigneur agrée son offrande car, après onze ans à peine de vie religieuse marquée de profondes souffrances, elle meurt de la tuberculose dans sa trente-cinquième année le 18 mai 1918 à Trèves.

SOURCE : http://www.paroisse-saint-aygulf.fr/index.php/paroisse-saint-aygulf/saint-du-jour/icalrepeat.detail/2019/05/18/27463/-/bienheureuse-blandine-marie-madeleine-merten-vierge-ursuline?filter_reset=1



Grab Blandine Merten Trier



Bienheureuse Blandine Merten

Marie-Madeleine Merten naquit, le 10 juillet 1883, à Düppenweiler dans la Sarre. Elles se distinguait dans sa jeunesse par sa piété et sa gentillesse, qualités qui l' accompagneront toute sa vie.

Elle devint institutrice dans diverses écoles catholiques du diocèse de Trèves. Elle fut surtout charitable envers les enfants pauvres qu' il lui arrivait de nourrir et de vêtir elle-même. Elle fut aussi une institutrice apostolique, guidant ses élèves vers l' Eucharistie et l' amour de Notre Dame.

Désormais certaine de ses choix de vie, elle décida d' entrer chez les Ursulines ( Ordre fondé en 1535 par sainte Angèle Merici ), dans leur Couvent de Calviarenberg, prenant le nom de Soeur Blandine du Sacré Coeur.

Elle émit ses voeux, le 4 novembre 1913, et sur les conseils du Père Merk, Jésuite, ajouta celui de l' oblation. Elle devint maîtresse à Sarrebruck ; mais bientôt elle fut atteinte des premiers symptômes de la tuberculose...

Transférée à Trèves, dans le Palatinat au climat plus clément, elle poursuivit son occupation d' institutrice auprès d' orphelines. A partir de l' automne 1916, elle dut cesser son enseignement, et à l' infirmerie débuta son apostolat de la souffrance offerte.

Soeur Blandine rayonnait de joie. La chapelle se situant près de sa chambre, elle avait coutume de dire ( au propre comme au figuré ) : " Jésus et moi sommes si proches ! "

Dans la vigueur de sa volonté de jeune femme, elle avait décidé de se donner totalement à l' amour de Dieu, comme victime.

" Pour moi, tout est Ciel ! Je voudrais vivre sur la terre, comme s' il n' y avait que Dieu et moi ! Je voudrais l' aimer; comme aucune créature ne l' a aimé..."

Alors que Trèves était soumise aux bombardements aériens de la guerre, elle rendit l' âme, le 18 mai 1918. Sa réputation de sainteté et les miracles qui eurent lieu firent rapidement connaître cette jeune religieuse. Le procès diocésain pour l' héroïcité de ses vertus se poursuivit entre 1954 et 1962. Elle fut déclarée vénérable en 1983 et béatifiée par Jean-Paul II, le 1er novembre 1987.

SOURCE : http://ut-pupillam-oculi.over-blog.com/article-19684886.html




Blandine Merten. Bleiglasfenster in der katholischen Pfarrkirche St. Dionysius 

in Seinsfeld im Eifelkreis Bitburg-Prüm (Rheinland-Pfalz


BLANDINE MERTEN

Religieuse, Bienheureuse

1883-1918

Maria Magdalena (Marie Madeleine) Merten naît à Duppenweiler (diocèse de Trèves) en Allemagne en 1883, neuvième de onze frères et sœurs. Ses parents sont de simples fermiers ; ils lui inculquent une profonde religiosité. Dès son enfance, elle passe pour “un ange” de modestie, de douceur et de pureté. De 1902 à 1908, elle exerce le métier d’institutrice avec dévouement et conscience professionnelle.

 Mais, elle pense qu’elle servirait encore mieux les enfants dans la vie religieuse. Aussi, à 25 ans, entre-t-elle chez les Ursulines du Mont-Calvaire (Calvarienberg) où elle prend le nom de Blandine. Avec les petites filles et les jeunes adolescentes dont elle a la charge, elle sait allier bonté et fermeté. Sa spiritualité est simple ; elle aime à répéter : « Celui qui aime Dieu n’a pas besoin d’accomplir des actions exceptionnellement élevées ; il lui suffit d’aimer. » Cette sentence de sœur Blandine nous donne la clef de sa vie profondément sainte.

A son devoir d’état accompli avec une grande conscience, elle joint ce qui fait le centre de sa vie : sainte Eucharistie, Parole de Dieu et prière, unissant ainsi action et contemplation. Lorsqu’elle fait ses vœux solennels en 1913, elle s’offre en même temps en victime. Et le Seigneur agrée son offrande car, après onze ans à peine de vie religieuse marquée de profondes souffrances, elle est atteinte par la tuberculose, maladie qu’elle supporte avec patience, et elle meurt dans sa trente-cinquième année.

« Au cours de sa vie — dit le Pape Jean-Paul II, le 1er novembre 1987, lors de la cérémonie de béatification —, Sœur Blandine n’a rien fait d’extraordinaire ; mais ses tâches et ses devoirs de chaque jour, elle les a accomplis de manière extraordinaire. Après sa mort, sa vie et son action sont apparues dans une lumière telle qu’aujourd’hui l’Église peut la proposer solennellement comme bienheureuse à l’imitation des hommes : les maîtres, les éducateurs, les religieuses ainsi que tous les croyants qui, en accomplissant fidèlement leurs tâches quotidiennes et en aimant activement leur prochain, suivent le Christ dans la paix et l’obscurité et s’efforcent ainsi d’atteindre la perfection chrétienne. » (Jean Paul II)

SOURCE : http://nouvl.evangelisation.free.fr/blandine_merten.htm




Blandinenkapel, St. Paulin, Trier



Blandine, notre Sœur, notre amie
Blandine, our Sister, our Friend
1883 - 1918

Le 18 mai, nous te fêtons, Bienheureuse Blandine Merten, ursuline !
Sœur Blandine, ton nom veut dire « la douce ». ceux et celles qui te connaissaient trouvaient que ce nom t’allait bien.
Tu as vécu 35 ans sur la terre, c’est peu, mais cela t’a suffit pour aimer.

Tu nous as laissé des paroles, venues du plus profond de ton cœur et elles nous rejoignent aujourd’hui encore :
On May 18, we celebrate your feast, Blessed Blandine Merten, Ursuline !
Sister Blandine, your name means « the sweet one »,and those who knew you found that this name fitted you well.
You lived during 35 years on earth, but that was enough for you to love.

You have left us words coming from the depths of your heart, and they still reach us today.
" Celui qui reste dans l’amour reste en Dieu et Dieu reste en lui.

Comment vit l’amour véritable ? Il est modeste, il est caché.

Pourrais-je jamais chanceler dans ma confiance en Jésus ?

Jésus, rends moi attentive au moindre de tes signes !

Jésus, je veux me donner entièrement à Toi, et m’offrir à Toi.

Jésus, dans la crèche, est si faible et si petit, pour que nous puissions avoir confiance en Lui et lui rendre son amour.

Jésus me dit « viens, donne-moi tes soucis, tes craintes et tes peines ! Pose ta tête fatiguée dans mes mains.

Dieu, notre Père, n’a pas besoin d’actes grandioses et extraordinaires. Il ne demande que l’amour.

La vie de la Vierge Marie était une vie toute simple…mais elle est le modèle de tous ceux qui cherchent Dieu.

La Vierge Marie a aimé Dieu toute sa vie sans interruption.
"

“The one who dwells in love, dwells in God, and God dwells in him.

How can we live true love ? It is modest, it stays hidden.

Could I ever stumble when I trust in Jesus ?

Jesus, make me careful to see the least of your signs !

Jesus, I want to give myself entirely to You, and offer myself to You.

Jesus, in the crib, is so weak and so small, so that we may trust Him and give an answer to His love.

Jesus tell me : “Come and give me your problems, your fears and your pain ! Place your weary head in my hands.”

God our Father does not need great and wonderful acts. He only asks for love.

The Virgin Mary’s life was very simple… but it is a model for all those who seek for God.

The Virgin Mary loved God without any interruption during her whole lifetime.”

Ils sont nombreux, ceux et celles qui se confient à ta prière et viennent à Calvarienberg se recueillir sur ta tombe.

Avec eux nous prions :

Seigneur, tu as laissé croître sœur Blandine dans une famille profondément chrétienne, et elle s’est dévouée aux enfants qui lui furent confiés comme institutrice et comme éducatrice. Bénis, par son intercession, nos familles et tous les peuples !

Accorde-nous une foi fervente et une charité parfaite. Donne à la jeunesse une joie sincère, et un dévouement énergique pour Ton Royaume.

Suscite de bonnes et nombreuses vocations de prêtres et de religieux. Aide les parents et les éducateurs dans leur tâche sublime et pleine de responsabilités. !

Donne à nous tous de résister au mal et de rester fidèles à Ton service afin que nous puissions te contempler et te glorifier dans le Ciel, Toi, notre Seigneur, avec le Père et le Saint Esprit dans les siècles des siècles.
Amen !

Many are those who trust in your prayers and come to Calvarienberg to pray silently near your tomb.
With them we pray :

Lord, you allowed Sister Blandine to grow in a deeply Christian family, and she devoted herself as a teacher and educator to the children entrusted to her. Through her intercession, bless our families and all nations !

Grant us a fervent faith and perfect charity. Give to your people a sincere joy and energetic dedication to your Kingdom.

Give rise to many good vocations of priests and religious. Help parents and educators in their sublime tasks and many responsibilities.

Give us the grace of resisting evil and remaining faithful in your service, so that we may contemplate You and glorify You in Heaven, with the Father and the Holy Spirit, for ever and ever.
Amen.

Pour découvrir la vie de Blandine :
In order to discover Blandine’s life :
§  Article de Xavier Lecoeur : « La Croix » du samedi 14 mai 2011, p.16

§  • Article by Xavier Lecoeur : « La Croix » on Saturday, May 14, 2011, p. 16.




 « Au cours de sa vie, Sœur Blandine n’a rien fait d’extraordinaire ; mais ses tâches et ses devoirs de chaque jour, elle les a accomplis de manière extraordinaire.
Après sa mort, sa vie et son action sont apparues dans une lumière telle qu’aujourd’hui l’Église peut la proposer solennellement comme bienheureuse à l’imitation des hommes : les maîtres, les éducateurs, les religieuses ainsi que tous les croyants qui, en accomplissant fidèlement leurs tâches quotidiennes et en aimant activement leur prochain, suivent le Christ dans la paix et l’obscurité et s’efforcent ainsi d’atteindre la perfection chrétienne. »
(Jean Paul II, 01-11-1987)

“During her lifeetime, Sister Blandine did not do anything extraordinary, but her daily tasks and duties, she accomplished them in a wonderful manner.

After her death, her life and acts appeared in such a light that today the Church can propose her solemnly as blessed, to be imitated by mankind : teachers, educators, nuns as well as all the faithful who, while accomplishing faithfully their daily tasks and loving their neighbor actively, follow Christ in peace and darkness, and strive in this manner to reach Christian perfection.”
(John Paul II, 01-11-1987)

SOURCE : https://ursulines.union.romaine.catholique.fr/Blandine-Merten


Blandinenkapelle der Pfarrkirche St. Leodegar in Düppenweiler



Beata Blandina Merten Orsolina


Düppennweiler (Germania), 10 luglio 1883 – Trier (Treviri), 18 maggio 1918

Maria Maddalena Merten nacque nel 1883 a Düppenweiler, nella regione tedesca della Saar. Divenuta maestra elementare, a 25 anni entrò tra le Orsoline di Calvarienberg-Ahrweiler, prendendo il nome di Blandina del Sacro Cuore. Emise i voti perpetui nel 1913 e, su consiglio del gesuita padre Merk, si offrì anche come vittima espiatoria. Continuò a dedicarsi all'apostolato scolastico e all'educazione cristiana dei fanciulli. Ma la sua vita religiosa fu breve. Trasferita a Saarbrücken, nel 1916 si manifestò, infatti, una tubercolosi incurabile, malattia che la condusse a morte nel 1918 a Treviri, dove era stata portata per il clima più mite. Gli ultimi due anni la suora li passò in infermeria, vivendo la croce della sofferenza. «Io e Gesù siamo così vicini», ripeteva. Mentre lei in punta di piedi se ne andava, a soli 35 anni, sulla cittadina tedesca infuriavano i combattimenti della prima guerra mondiale. Blandina Merten è stata beatificata da Giovanni Paolo II nel 1987. (Avvenire)

Martirologio Romano: A Mergentheim in Germania, beata Blandina (Maria Maddalena) Merten, vergine dell’Ordine di Sant’Orsola, che unì alla vita contemplativa l’impegno nella formazione umana e cristiana delle ragazze e degli adolescenti.

Maria Maddalena Merten, nacque a Düppennweiler nella Saar in Germania, il 10 luglio 1883; fra tutti i bambini si distingueva per pietà e gentilezza, qualità che l’accompagnarono per tutta la vita.

Prese il diploma di maestra all’Istituto magistrale di Marienau, presso Vallendar e divenne insegnante stimata ed amatissima in varie scuole cattoliche del distretto di Treviri. Ma fu soprattutto una campionessa di carità verso i bambini poveri, che vestiva e nutriva; non fu solo maestra ma anche apostola, con ogni gesto ispirava fede, guidava gli alunni al culto dell’Eucaristia, della Passione e di Maria.

Ormai certa della scelta della sua vita, chiese di entrare nell’Ordine delle Orsoline, fondato nel 1535 a Brescia da S. Angela Merici, per l’educazione delle fanciulle, e fu accolta nel convento di Calvarienberg prendendo il nome di Blandina del S. Cuore.

Il 4 novembre 1913 emise i voti e su consiglio del gesuita padre Merk, aggiunse quello di vittima; ebbe sempre la sicurezza che Gesù aveva accettato quel suo voto; venne assegnata alle scuole di Saarbrücken, ma quasi subito si manifestarono i sintomi della tubercolosi, malattia che fino alla metà del Novecento era poco curabile e di grande e mortale virulenza, pertanto fu trasferita nel clima più mite di Treviri.

Nonostante la malattia, continuò ad insegnare come maestra, ma si caricò anche di tanti lavori straordinari o di supplenza, soprattutto dei nidi di infanzia. Purtroppo dall’autunno del 1916 si presentarono febbri e dolori che l’obbligarono a restare stabilmente in infermeria; iniziò così per lei l’apostolato della sofferenza.

Suor Blandina era sempre lieta e una delle ragioni della sua gioia, era che dall’altra parte del muro della sua stanza, c’era la cappella e lei felice diceva: “Io e Gesù siamo così vicini!”. In infermeria non si lagnò mai di qualcosa, prima di lei voleva che si accudissero le altre consorelle ammalate; non chiedeva mai niente, sorrideva sempre, secondo la testimonianza di un’infermiera.

Elevò ad atto d’amore e donazione di vittima, le sue sofferenze e la sua giovane vita, offesa nel pieno vigore delle gioventù, fu tutta un’offerta all’Amore di Dio; diceva: “Per me tutto è cielo. Voglio vivere sulla terra come se non ci fossimo che Dio e io. Voglio amare Dio più di quanto nessun altro lo ha mai amato”. Sentendo approssimarsi la fine, volle lei stessa dare ‘la lieta novella’ alle persone più care. Mentre infuriava la Prima Guerra Mondiale e la città di Trier (Treviri) era turbata giorno e notte, dalle incursioni aeree, suor Blandina del S. Cuore, rendeva la sua anima allo Sposo celeste il 18 maggio 1918.

La fama della santità della sua giovane vita di 35 anni, e dei miracoli che accadevano, si diffuse rapidamente. Il processo per la beatificazione ebbe luogo a Treviri dal 1954 al 1962; nel 1983 fu riconosciuta l’eroicità delle sue virtù e il titolo di venerabile.

È stata beatificata da papa Giovanni Paolo II il 1° novembre 1987. La ricorrenza liturgica è al 18 maggio.

Autore: Antonio Borrelli

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/53850