Saint Philibert, Abbatiale de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
(Loire-Atlantique)
Saint Philibert ou
Philbert
Abbé à Noirmoutier (+ 685)
ou saint Filibert, abbé
de Jumièges en Normandie, puis de Noirmoutier en Vendée.
Il avait quitté la cour
du roi Dagobert pour se faire moine d'abord à Rebais dans la Brie française.
Plus tard il fonda un monastère à Jumièges près de Rouen. Quand il apprit que
Ebroïn, le maire du palais, avait fait assassiner saint Léger d'Autun,
il alla reprocher son crime au maire de Neustrie. Ebroïn chargea saint Ouen de le
faire disparaître. L'évêque de Rouen obéit, le fit emprisonner, mais la
captivité fut douce et dura peu, car Ebroïn fut assassiné à son tour.
Saint Philibert remercia
saint Ouen de son hospitalité, l'assura de sa parfaite amitié et prit le chemin
du monastère de Noirmoutier.
Lors des invasions
normandes, ses reliques furent transportées à Tournus en Bourgogne, où lui fut
bâtie une magnifique abbatiale.
La première
évangélisation fut l’œuvre de St Hilaire (+
368), évêque de Poitiers, et de St Philbert de Noirmoutier (+ 685), fondateur
de monastères. St Louis-Marie
Grignion de Montfort (1673-1716) fut le missionnaire des campagnes et
fonda une famille religieuse importante et diversifiée. (diocèse
de Luçon en Vendée)
Saint Philbert, fondateur
des abbayes de Jumièges et de Noirmoutier dont les moines essaimeront à Luçon
et Saint-Michel-en-l’Herm, mort à Noirmoutier, le 20 août 685... (liste
des Saints et Bienheureux du Diocèse de Luçon)
Voir
aussi à Tournus, l'Abbaye Saint Philibert où sont conservées les reliques de
Saint Philibert.
l’Abbatiale: classée
monument historique, cette œuvre de transition entre l’art antique et l’art du
Moyen Âge est un rare témoin de l’époque carolingienne. (44310 Saint-Philbert
de Grand-Lieu) Un
peu d'histoire - Saint Philbert de Grand Lieu
Un internaute nous
signale que Saint Philbert est copatron avec Saint
Ismier de la paroisse
Saint Martin du Manival 38330 Saint-Ismier.
Dans l’île d’Hério,
aujourd’hui Noirmoutier, alors du territoire de Poitiers, vers 684, saint
Philibert (Filibert), abbé. Élevé à la cour du roi Dagobert, encore adolescent,
il se fit moine à Rebaix où il succéda comme abbé à saint Aile, puis fonda
et dirigea d’abord le monastère de Jumièges, ensuite celui de Noirmoutier, avec
des moines venus de Jumièges.
Martyrologe romain
SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1708/Saint-Philibert-ou-Philbert.html
La
grotte Saint-Philbert dans le bois de la Chaise sur l'île de Noirmoutier.
Saint Philibert
de Jumièges et de Noirmoutier
02/09 - 20/08
Saint Philibert naquit vers 615 près d'Eauze en
Aquitaine. Son père, un noble de cette région, étant devenu Evêque, il fut
élevé dans la piété et la crainte de Dieu. Envoyé à l'âge de treize ans à la
cour du roi Dagobert, il se lia d'amitié spirituelle avec Saint Éloi, Saint
Wandrille et Saint Ouen alors nommé Dadon, qui lui communiquèrent leur amour
pour la vie monastique. Au bout de quatre ans, il se retira au Monastère de
Rebais, qui avait été fondé par Dadon et qui était dirigé par Saint Aile
(Agile), disciple de Saint Colomban. A cette école, il progressa rapidement
dans toutes les vertus de la vie ascétique, et lorsque le Saint abbé mourut, il
fut désigné pour lui succéder (650). Son exigence mécontenta cependant certains
moines, qui voulurent l'expulser. Ces rebelles furent bientôt châtiés par la
colère divine; mais, estimant qu'il s'agissait d'un signe de Dieu, Philibert
quitta alors le monastère. Après avoir visité les différents monastères qui
vivaient sous l'influence du Monastère de Luxeuil, il se retira dans la région
de Rouen, où son ami Dadon était devenu Evêque. C'est probablement avec l'appui
de ce dernier qu'il obtint du roi Clovis II et de la reine Sainte Bathilde un
domaine pour fonder un monastère dans la forêt de Jumièges (655), non loin de
Fontenelle, où Saint Wandrille avait fondé le sien quelques années plus tôt. Il
organisa sa communauté conformément aux traditions de Saint Colomban, enrichies
des enseignements des Pères orientaux et de la Règle de Saint Benoît qui
commençait à se répandre en Gaule. Les moines étaient astreints à une ascèse
sévère et se dépensaient en de lourds travaux pour défricher la forêt. Mais la
direction spirituelle du Saint attirait sans cesse de nouvelles recrues, si
bien que la communauté atteignit le nombre de neuf cents moines, et qu'un
couvent féminin fut fondé en sa dépendance, à Pavilly, à une vingtaine de
kilomètres de Jumièges, dirigé par Sainte Austreberte (+ 704) qui avait reçu le
voile des mains de Saint Omer.
Tout entier tourné vers Dieu, le Saint se consacrait
aussi à l'évangélisation des paysans de la région, et il rachetait les esclaves
qu'on emmenait en bateaux vers l'Angleterre. Informé de la conduite immorale du
maire du palais Ébroïn, de ses injustices et de ses crimes, Philibert se rendit
à la cour pour lui faire des reproches en face (674). Ebroïn, plein de haine,
se vengea en répandant des calomnies contre le Saint, et réussit à le brouiller
avec Saint Ouen et à le faire emprisonner. Saint Ouen reconnut cependant
bientôt l'innocence de son ami et le fit libérer. Aspirant à la quiétude, le
Saint quitta le royaume de Neustrie, soumis à la tyrannie d'Ébroïn, pour se
rendre en Aquitaine, où il y restaura le prieuré de Quinçay, près de Poitiers,
là où Sainte Radegonde avait jadis reçu la Relique de la Sainte Croix. Puis,
ayant placé son disciple Saint Achard (+ 15 sept. 687) à la tête de cette
communauté, il se retira dans l'île d'Héro, sur la côte vendéenne, et y fonda,
avec des moines venus de Jumièges, le Monastère de Noirmoutier qui donna ensuite
son nom à l'île. Après la mort d'Ébroïn, les moines de Jumièges et Saint Ouen
s'empressèrent de rappeler le Saint auquel ils réservèrent un accueil
triomphal. Philibert restaura le bon ordre dans la communauté, fonda deux
nouveaux monastères et, après quelques mois, il regagna Noirmoutier, après
avoir installé Achard comme Abbé de Jumièges. Il passa le reste de ses jours
dans la paix à Noirmoutier, contribuant activement au développement des
monastères de la région, et remit son âme à Dieu, le 20 août 685. Après avoir
subi maintes péripéties durant les invasions, ses Reliques sont vénérées depuis
le Xe siècle dans la grande église abbatiale de Tournus. Témoins de ces
pérégrinations, plus de soixante églises en France sont dédiées à Saint
Philibert.
SOURCE : http://www.histoire-russie.fr/icone/saints_fetes/textes/philibert_jumieges.html
Profile
The only son of a member
of the court of King Dagobert
I. Educated by Saint Ouen
of Rouen. Monk of Rébais
Abbey at age 20. Abbot of Rébais.
He spent some time travelling to
various monasteries,
studying their Rules, constitutions and methods of mangement. Founded Jumièges
Abbey on land he received as a gift from King Clovis
II. He created a Rule for the Abbey,
and served as its first abbot. Imprisoned and
then exiled for
opposition to Ebroin. Founded the monastery of Noirmoutier. Abbot of Luçon
Abbey. Returning from exile,
he founded the monastery of Cunaut and
a convent at Pavilly,
and helped restore Quinçay.
The filbert, or hazelnut, is said to have been named for him as it ripens
in England around
the time of his feast day.
Born
684 on
the island of Héri, France of
natural causes
when the monks abandoned Noirmoutier in 836 due
to Viking invasion, they took Philibert’s relics with
them
the relics were
housed in five different abbeys during
the next 39 years
relics moved
to the Saint Philibert Abbey in Tournus, France in 875
Additional
Information
Book
of Saints, by the Monks of
Ramsgate
Lives
of the Saints, by Father Alban
Butler
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
images
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
nettsteder
i norsk
MLA
Citation
“Saint Philibert of Jumièges“. CatholicSaints.Info.
27 January 2022. Web. 19 August 2022.
<http://catholicsaints.info/saint-philibert-of-jumieges/>
SOURCE : http://catholicsaints.info/saint-philibert-of-jumieges/
August 22
St. Philibert, First Abbot of Jumieges and Nermoutier
HE was born in the territory of Eaulse in Gascony, which was then an archiepiscopal see, but since removed to Auch. His father, Philibald, having received holy orders, was made bishop of Vic-jour, (in Latin Vicus Julius,) which see was a short time after translated to Aire. The young Philibert was educated under the eyes of his father, who sent him to the court of Clotaire II. where the example and instructions of St. Ouen made so deep an impression on him, that, disgusted with the world, he, at the age of twenty years, took the habit in the abbey of Rebais in the diocess of Meaux, founded by St. Ouen. Here his eminent virtues procured him to be appointed successor to St. Aile, in the government of this house, but left it on finding some of the monks refractory. After having visited the most celebrated houses which professed the rule of St. Columban, he retired into Neustria, now called Normandy. Clovis II. and queen Matilda gave him ground in the forest of Jumieges, where he founded the monastery which bears his name, not far from that of Fontenelle, of which St. Vandrille was superior. He inured his subjects to hard labour, obliging them to remove the rocks and drain the morasses which covered the country; 1 and the community of Jumieges increased in a short time to such a degree, that it consisted of nine hundred monks. He also built a monastery for women at Pavilly, 2 on a piece of ground given him by Amalbert, lord of that district, whose daughter Aurea took the veil there. St. Philibert having some business at the court in 674, boldly reproached Ebroin, mayor of the palace, for his many acts of injustice. This brought on him the vengeance of that cruel minister, who persecuted him so violently that he was obliged to quit Jumieges. The saint then retired to Poitiers, and afterwards to the little island of Hero, on the coast of Poitou, where he founded a monastery, formerly called Hermoutier, now Nermoutier or Noirmoutier. He likewise founded the priory of Quinzay, near Poitiers, the government of which he gave to St. Aicard, whom he afterwards made abbot of Jumieges. He shut himself up at Hermoutier, where he died in 684. He is mentioned on the 20th and 22d of August in the Martyrologies of the ninth age. In the Norman incursions the monks of Hermoutier translated his relics to the monastery of Tournus in the diocess of Macron; which house, together with other possessions, was the gift of Charles the Bald. It was afterwards changed into an abbey, which became very famous; but was secularized by Urban VIII. in 1627, and is now a collegiate church. It retains, however, the title of abbey, and is held in commendam. See the life of St. Philibert in Mabillon, sæc. 2, Bened. Chifflet, Hist. de l’Abb. et l’Egl. de Tournus; and Juenin, Nouv. Hist. de l’Abb. de S. Philibert, et Ville de Tournus. Dijon, 1733, in 4to.
Note 1. The same was practised by the monks of Croyland, Peterborough, and Ely, on the coast of Lincolnshire; and a learned modern remarks that the present possessors of the church lands have not been able to drain them sufficiently, so as to render them fit for cultivation. See Stukeley in his Medallic history of the reign of Carausius. [back]
Note 2. St. Austrebert was first abbess of this monastery, and her festival is kept there on the 10th of February. Pavilly is four leagues from Rouen, and belongs to the very ancient and respectable house of Esueval. [back]
Rev. Alban Butler (1711–73). Volume VIII: August. The Lives of the Saints. 1866.
SOURCE : http://www.bartleby.com/210/8/225.html
Le
sarcophage de saint Philibert dans l'abbatiale de
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
San Filiberto di Jumieges Abate
Filiberto, abate di
Jumièges e di Noirmoutier, nacque in Guascogna verso il 616. Nel 636 entrò nel
monastero di Rebais, presso Coulommiers (Seine-et-Marne), che il suo amico
Audoeno aveva appena fondato. Verso il 650 Filiberto eletto abate. Da qui
intraprese la visita ai principali monasteri dell'Ile-de-France, di Borgogna e
d'Italia, in particolare a Luxeuil e Bobbio. Al termine di questo viaggio si
diresse verso Rouen, di cui il suo amico Audoeno era arcivescovo dal 641, e
fondò sulla riva della Senna il monastero di Jumièges. Nel 676 entrò in
conflitto con il maestro di palazzo, Ebroino, e dopo un periodo di residenza
sorvegliata andò a Poitiers, presso il vescovo Ansoaldo, che gli concesse un
isola sulle coste della Vandea, dove fondò il monastero di Noirmoutier. Dopo la
morte di Ebroino (683) e forse anche quella di Audoeno (684), Filiberto poté
ritornare a Jumièges. Rientrato a Noirmoutier, vi morì forse nel 685 o più
probabilmente in uno degli anni seguenti. (Avvenire)
Etimologia: Filiberto =
molto illustre, dal tedesco
Emblema: Bastone
pastorale
Martirologio Romano:
Nell’isola di Noirmoutier sempre in Aquitania, san Filiberto, abate, che,
educato alla corte del re Dagoberto e divenuto monaco quando era ancora adolescente,
fondò e resse dapprima il cenobio di Jumièges e poi quello di Noirmoutier.
FILIBERTO (fr.
Philibert), abate di JUMIÈGES e di NOIRMOUTIER, nacque in Guascogna verso il
616. Suo padre, il conte Filibaldo, divenuto, in seguito, vescovo di Aire, lo
inviò alla corte del re Dagoberto, dove ebbe per condiscepoli Vandregisilo, il
futuro abate di Fontenelle, e Audoeno, futuro arcivescovo di Rouen. Sembra
fosse dotato di un carattere assai risoluto, che fu sovente per lui fonte di
urti e di difficoltà. Nel 636 entrò nel monastero di Rebais, presso Coulommiers
(Seine-et-Marne), che il suo amico Audoeno aveva appena fondato e affidato a
monaci originari di Luxeuil. Verso il 650, alla morte dell'abate Agilo,
Filiberto fu designato a succedergli. Governò il suo monastero con rigore e
lasciando così poca libertà ai monaci che alcuni gli si ribellarono e tentarono
di espellerlo; ma i due sobillatori morirono in condizioni tragiche e gli altri
non poterono far altro che sottomettersi.
Sentendo, come riferisce
il suo biografo, la necessità di meglio conoscere la tradizione monastica, ma
forse anche perché la sua posizione stava diventando insostenibile a Rebais,
intraprese la visita ai principali monasteri dell'Ile-de-France, di Borgogna e
d'Italia, in particolare a Luxeuil e Bobbio. Nello stesso tempo studiò le
regole di s. Basilio, s. Macario, s. Benedetto e s. Colombano. A1 termine di
questo viaggio, non rientrò a Rebais, ma si diresse verso Rouen, di cui il suo
amico Audoeno era arcivescovo dal 641, e fondò sulla riva della Senna, in una
proprietà offertagli dal re Clodoveo II e dalla regina Batilde, il monastero di
Jumièges, dedicato a s. Pietro (654). L'abbazia si sviluppò rapidamente
irradiando su tutta la contrada il suo fervore spirituale e missionario; va posta
in questo periodo la fondazione, fatta da Filiberto verso l'anno 662, d'un
monastero femminile a Pavilly, su un terreno dato dal signore Amalberto.
Nel 676, Filiberto entrò
in conflitto con il maestro di palazzo, Ebroino che, dopo un esilio a Luxeuil,
era ricomparso sulla scena politica ed aveva fatto accecare il vescovo di
Autun, s. Leodegario. Filiberto rimproverò al tiranno quella che chiamava la
sua apostasia e si dichiarò pronto a subire il martirio. Ebroino preferì non
affrontare direttamente Filiberto e intervenne presso s. Audoeno che acconsentì
a mettere l'abate di Jumièges in residenza sorvegliata.
Ben presto liberato,
Filiberto non poté tuttavia rientrare a Jumièges ed andò a Poitiers, presso il
vescovo Ansoaldo, che incoraggiò il suo apostolato. Cominciò col restaurare il
monastero di Quincay a nove km. da Poitiers; poi Ansoaldo, che forse non
desiderava vederlo troppo vicino alla sua città episcopale, gli concesse
l'isola di Her o Herio, sulle coste della Vandea, per stabilirvi un monastero
di cui il nome primitivo di Hermoutier (Herimonasterium) fu trasformato più
tardi in Noirmoutier. Alcuni monaci di Jumièges vennero a popolare questa
novella badia che a sua volta divenne un focolare apostolico oltre che un
centro economico, poiché Filiberto insegnò agli abitanti della costa a
preparare le saline.
Dopo la morte di Ebroino
(683) e forse anche quella di s. Audoeno (684), Filiberto poté ritornare a
Jùmièges. I monaci, la maggior parte dei quali gli era rimasta fedele, lo
accolsero trionfalmente; il nuovo maestro di palazzo, Varatone, gli offrì una
proprietà a Montivilliers, presso Le Havre, per farvi stabilire delle monache.
Filiberto non passò, quindi, che qualche mese a Jumièges: aveva fretta di
rivedere la sua giovane abbazia di Noirmoutier; passando per Quincay, nominò
Acardo, superiore del monastero, abate di Jumièges. Rientrato finalmente a
Noirmoutier, vi morì in pace un 20 agosto, forse nel 685 o più probabilmente in
uno degli anni seguenti, lasciando il ricordo di una figura di abate energico e
intraprendente, che esigeva da se stesso, ma anche dagli altri e la cui
personalità possente si era rivelata talvolta molto ingombrante.
I suoi resti furono
inumati a Noirmoutier. Nell'836 i monaci, temendo le incursioni dei Normanni,
trasportarono il suo corpo nella loro proprietà di Déas, oggi
Saint-Philibert-de-Grand-Lieu, a venticinque km. a sud-ovest di Nantes, dove
costruirono, per metterlo al riparo, una chiesa che esiste tuttora. Ma i
Normanni sbarcarono dopo breve tempo sul continente e i monaci, per proteggere
ancora il corpo del loro fondatore da ogni profanazione, lo trasportarono prima
nel monastero di Cunault nell'Anjou (858), poi a Messay nel Poitou (862), a
Saint-Pourcain-sur-Sioule nell'Allier (872), infine a Tournus (Saone-et-Loire),
dove giunsero il 14 maggio 875. Queste peregrinazioni, accompagnate da
miracoli, contribuirono a diffondere il nome e il culto di Filiberto dalla
Normandia e dal Poitou fino alla Borgogna, dove le chiese di Tournus e di
Charlieu, e una chiesa di Digione, sono a lui intitolate. Tredici comuni di
Francia portano il suo nome sotto la forma di Philbert o Philibert. La sua
festa è celebrata il 20 agosto.
La Vita di s. Filiberto
fu composta alla metà del sec. VIII da un monaco anonimo di Jumièges e, quantunque
essa abbondi in prodigi, sembra abbastanza esatta nei dati storici. Nella metà
del sec. IX un altro monaco di Jumièges, Ermentario, redasse un racconto delle
Translationes et miracula.
Autore: Philippe
Rouillard
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/67050
Reliques
de saint Philibert., abbatiale de Tournus. Chapelle
axiale, Tournus, Saône-et-Loire, Bourgogne
Den hellige Philibert av
Jumièges (~608 - 684)
Minnedag: 20.
august
Den hellige Philibert
(lat: Philibertus) ble født ca år 608 i Gascogne i Frankrike. Han ble utdannet
av sin far, som ble biskop, og under innflytelsen til den hellige Audoenus av Rouen gikk
han inn i hans kloster Rebais, hvor han ble abbed. Men munkene var vanskelige,
og han var uerfaren, så han forlot Rebais for å bo i andre klostre for å bote
på dette.
I 654 etablerte han sitt
eget kloster i Jumièges i Neustria på land han hadde fått av kong Klodvig II og
den hellige dronning Bathild. Etter å
ha irettesatt den vestfrankiske kong Thierry IIIs hushovmester Ebroin for hans
misgjerninger, ble Philibert i 674 fengslet i Rouen og deretter forvist. Han
trakk seg tilbake til Poitiers og grunnla et annet kloster, Noirmoutier, på øya
Heriou (i dag Île de Noirmoutier) i Poitou ved munningen av Loire, hvor han
bodde til Ebroins død i 681. Senere grunnla han klostre for munker i Quincay
ved Poitiers og Luçon og et for nonner i Pavilly. Hans eksempel førte til en
stor ekspansjon av munkevesenet i Neustria.
Han døde i 684 i
klosteret i Noirmoutier og ble gravlagt der. På grunn av vikingenes herjinger
lå hans relikvier fordelt på fem forskjellige steder i de 39 årene mellom 836
og 875, før de endelig fant sitt siste hvilested i Tournus ved Saône.
Hans minnedag er 20.
august. Hans navn står i Martyrologium Romanum.
Kilder:
Attwater/John, Farmer, Attwater/Cumming - Kompilasjon og oversettelse:
p. Per Einar
Odden - Sist oppdatert: 1998-05-20 20:35
SOURCE : http://www.katolsk.no/biografier/historisk/pjumiege
Voir aussi : http://saint.philbert.free.fr/LES%20PEREGRINATIONS%20DE%20SAINT-PHILIBERT%20.pdf