mercredi 14 février 2024

Saint NOSTRIANO di NAPOLI, évêque

 


Saint Nostrien

Évêque de Naples (+ v. 450)

Il protégea son peuple dans la foi catholique contre l'hérésie en s'opposant à l'arianisme et au pélagianisme. Il accueillit de grand cœur les confesseurs de la foi chassés d'Afrique par les Vandales ariens. Il mourut vers 450.

Martyrologe romain

SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/10705/Saint-Nostrien.html

Nostrien de Naples

dimanche 6 février 2022, par ljallamion

Nostrien de Naples (mort entre 452 et 465)

15ème évêque de Naples

Selon le “Chronicon episcoporum Sanctae Neapolitanae Ecclesiae” de Giovanni Diacono, Nostrien fut le quinzième évêque de Naples [1].

Le prédicateur Flore diffusa la doctrine pélagienne [2] et le manichéisme [3] sous l’épiscopat de saint Nostrien ; l’évêque de Carthage [4], Quodvultdeus, indique que l’évêque de Naples envoya le prêtre Herius pour arrêter et expulser Flore.

Il fit édifier des thermes pour les clercs et les fidèles tout près du forum [5], zone qui fut appelée jusqu’à la fin du 13ème siècle “vicus Nostrianus et platea Nostriana”.

Nostrien fut d’abord inhumé dans les catacombes de saint Gaudiose, puis ses reliques furent translatées au 10ème siècle en l’église San Gennaro all’Olmo [6], où elles furent solennellement exposées à la dévotion populaire le 16 août 1612 après avoir été retrouvées dans une urne de marbre sous le maître-autel.

P.-S.

Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu du texte de histoire de Il martirologio romano. Riformato a norma dei decreti del Concilio ecumenico Vaticano II e promulgato da papa Giovanni Paolo II, LEV, Cité du Vatican, 2004.

Notes

[1] L’archidiocèse de Naples est un archidiocèse métropolitain de l’Église catholique d’Italie appartenant à la région ecclésiastique de Campanie. Le diocèse est érigé au 1er siècle.

[2] Le pélagianisme est le courant considéré comme hérétique par l’Église catholique, issu de la doctrine du moine Pélage. Pélage minimisait le rôle de la grâce et exaltait la primauté et l’efficacité de l’effort personnel dans la pratique de la vertu. Il soutenait que l’homme pouvait, par son seul libre arbitre, s’abstenir du péché, niait la nécessité de la grâce, le péché originel, les limbes pour les enfants morts sans baptême. En effet, pour le moine breton les hommes ne doivent pas supporter le péché originel d’Adam dans leurs actions et ne doivent donc pas se rédimer à jamais. Trois conciles s’étaient opposés à cette doctrine : ceux de Carthage, 415 et 417, et celui d’Antioche en 424. Le Concile oecuménique d’Éphèse, en 431, condamna cette hérésie en dépit des correctifs que Pélage inséra dans ses apologies. Le pélagianisme subsista jusqu’au 6ème siècle. Il fut surtout combattu par saint Augustin qui a tout fait pour que Pélage soit excommunié car il le considérait comme un disciple du manichéisme. En 426, l’Église catholique romaine excommunie Pélage.

[3] Le manichéisme est une religion, désormais très rare, dont le fondateur fut le perse Mani au 3ème siècle. C’est un syncrétisme du zoroastrisme, du bouddhisme et du christianisme ; les partisans de ce dernier le combattirent avec véhémence

[4] L’archidiocèse de Carthage est un siège épiscopal de l’Église catholique, anciennement territorial et aujourd’hui titulaire (in partibus), situé à Carthage en Afrique du Nord (aujourd’hui en Tunisie). Le diocèse de Carthage est érigé à la fin du 2ème siècle. Agrippin en est le premier évêque connu. Les plus grands écrivains chrétiens de cette époque y vivaient, comme par exemple Tertullien. Une floraison de martyrs a lieu au 3ème siècle, dont se détachent les figures de sainte Perpétue et sainte Félicité et de saint Cyprien. À cette époque, Carthage était le siège épiscopal le plus important de la province romaine d’Afrique (Afrique du Nord) et l’évêque de Carthage devint le primat et l’évêque métropolitain de fait de l’Afrique proconsulaire, de la Byzacène, de la Numidie, de la Tripolitaine et de la Mauritanie (même si dans les seules provinces, le privilège primatial était donné à l’évêque le plus ancien de la province). Le titre honorifique de patriarche fut aussi attribué à l’évêque de Carthage, toujours obéissant à Rome, à l’exception de l’épisode des relaps où Carthage était en faveur du rigorisme. Au 4ème siècle, le diocèse est travaillé par la diffusion de diverses hérésies : le donatisme, l’arianisme, le manichéisme et le pélagianisme. Les donatistes eurent même leur hiérarchie parallèle pendant une courte période. L’invasion des Vandales à la fin du siècle donne le signal à une période d’oppression contre l’Église à laquelle met fin la conquête byzantine en 533. Cependant les empereurs donnent leur appui à des hérésies, telles que le monothélisme et surtout l’iconoclasme. Les évêques de Carthage, fermes défenseurs de l’orthodoxie, sont exilés. Carthage est un siège important de l’Église latine, jusqu’à ce que la conquête des Arabo-musulmans lui porte un premier coup en 698 qui lui sera fatal ; en effet, Carthage va rapidement décliner. Le christianisme y met cependant 4 siècles à disparaître complètement. Le nom de deux derniers évêques est encore cité au 11ème siècle. Le dernier en 1076.

[5] Le forum romain est dans l’Antiquité la place publique où les citoyens romains se réunissent pour traiter d’affaires commerciales, politiques, économiques, judiciaires ou religieuses, à l’image de l’agora dans le monde grec. Un des premiers forums est celui établi à Rome sur les rives du Tibre à hauteur du premier port fluvial de la ville : le forum Boarium (littéralement le « marché aux bœufs »). Sa construction remonte à l’époque de la fondation de la ville. Lors de l’expansion territoriale de Rome, des colonies sont fondées à l’image de la métropole, avec les mêmes institutions et les mêmes équipements urbains. Chacune possède donc son forum autour duquel s’articule le reste de la ville.

[6] L’église San Gennaro all’Olmo (Saint-Janvier-de-l’Orme) est une petite église du centre historique de Naples (Spaccanapoli) au croisement de la via San Gregorio Armeno et de la via San Biagio dei Librai. Elle constitue un ensemble monumental unique avec l’église San Biagio Maggiore qui lui est contiguë. L’église est consacrée à saint Janvier, patron de Naples ; elle est appelée all’Olmo (de l’Orme) parce qu’autrefois un grand orme se dressait sur la petite place voisine sur lequel on faisait pendre le prix du vainqueur au jeu de cocagne. À l’origine, elle était sous le vocable de San Gennaro ad diaconiam, parce qu’elle comptait parmi les églises qui avaient un diacre pour la distribution des aumônes en faveur des pauvres et des veuves. Elle est aujourd’hui désaffectée et sert à des manifestations culturelles.

SOURCE : https://www.ljallamion.fr/spip.php?article9642

Saint Nostrianus of Naples

Also known as

Nostrian

Nostrien

Nostriano

Memorial

14 February

16 August (discovery of relics; date set in 1619)

Profile

Fifteenth bishop of NaplesItaly, in the mid-5th century, serving for 17 years. Fought against the spread of the ArianManichean and Pelagian heresies in his diocese. Helped hold his people together and adhering to the faith during a period of barbarian invasion of the aging Roman empire, and helped support the civic life of the city of Naples. Gave refuge to Christians, including Saint Gaudiosus of Abitina and Saint Quodvultdeus of Carthage, who fled Carthage after it fell to the Vandals.

Died

between 452 and 465 (records vary) of natural causes

buried in the catacombs of San Gaudioso in NaplesItaly

relics enshrined in the church of San Gennaro all’Olmo in Naples in the 10th century in a marble urn under the high altar

relics re-discovered and re-enshrined on 16 August 1612

relics re-enshrined in the church of Saints Philip and James in Naples in 1865

Canonized

2 May 1878 by Pope Leo XIII (cultus confirmation)

Additional Information

Book of Saints, by the Monks of Ramsgate

Saints of the Day, by Katherine Rabenstein

books

Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints

other sites in english

Catholic Online

Wikipedia

images

Santi e Beati

sitios en español

Martirologio Romano2001 edición

sites en français

Ökumenisches Heiligenlexikon

Wikipedia

fonti in italiano

Santi e Beati

Wikipedia

nettsteder i norsk

Den katolske kirke

MLA Citation

“Saint Nostrianus of Naples“. CatholicSaints.Info. 4 May 2022. Web. 14 February 2024. <https://catholicsaints.info/saint-nostrianus-of-naples/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-nostrianus-of-naples/

Book of Saints – Nostrianus

Article

(SaintBishop (February 14) (5th century) A Bishop of Naples remarkable for his zeal and skill in defending Catholic doctrine against the subtle issues raised by the Arian heretics of his age. He probably died about A.D. 450.

MLA Citation

Monks of Ramsgate. “Nostrianus”. Book of Saints1921. CatholicSaints.Info. 27 March 2016. Web. 14 February 2024. <https://catholicsaints.info/book-of-saints-nostrianus/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/book-of-saints-nostrianus/

Saints of the Day – Nostrianus of Naples, Bishop

Article

Died c.450. Bishop Nostrianus of Naples valiantly opposed Arianism and Pelagianism (Benedictines).

MLA Citation

Katherine I Rabenstein. Saints of the Day1998. CatholicSaints.Info. 4 May 2022. Web. 14 February 2024. <https://catholicsaints.info/saints-of-the-day-nostrianus-of-naples-bishop/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/saints-of-the-day-nostrianus-of-naples-bishop/

San Nostriano di Napoli Vescovo

14 febbraio

V sec.

Vescovo di Napoli dal 439 al 452 o 465, fu un pastore zelante e un difensore della fede cattolica. Dopo aver accolto a Napoli i profughi cristiani fuggiti dalla Cartagine saccheggiata dai Vandali, smascherò la propaganda pelagiana del vescovo Floro, che predicava illecitamente a Miseno. Nostriano si rese inoltre benemerito della città per aver costruito le terme ad uso del clero e dei fedeli. Morì dopo diciassette anni di episcopato e i suoi resti furono trasferiti dalla catacomba di San Gaudioso alla chiesa di San Gennaro all'Olmo, dove sono venerati ancora oggi.

Martirologio Romano: Commemorazione di san Nostriano, vescovo di Napoli.

È il quindicesimo nella lista episcopale di Giovanni diacono. Si distinse nel difendere il suo gregge dal­l'insidia dell'eresia serpeggiante alle porte di Na­poli. Nell'ott. del 439, caduta Cartagine in mano ai Vandali di Genserico, una grandissima moltitudine di ecclesiastici — maxima turba cleri-corum, scrisse lo storico di quelle vicende, Vittore di Vita (Hist. persec. Afric. prov.) — fu costretta a lasciare la terra natale.

Spogliati di tutto, furono posti su imbarcazioni assai precarie, ma alcuni riuscirono a salvarsi mira­colosamente e ad approdare sulla costa napoletana, accolti con premurosa sollecitudine dal vescovo Nostriano. Tra i profughi furono i ss. vescovi Gaudioso di Abitine e Quodvultdeus di Cartagine. Quest'ultimo, dimorando in Napoli, smascherò la propaganda che del pelagianesimo faceva « non lontano da Napoli » Floro, imbevuto anche di manicheismo. Quasi certamente Floro è lo stesso vescovo pelagiano, condannato nel concilio di Efeso (431) assieme a Celestio, Pelagio e Giuliano d'Eclano e che rivolse premure allo stesso Giuliano perché riprendesse la penna contro s. Agostino per confutare il II libro del De Nuptiis et concupi-scentia. Pare che si fosse stabilito a Miseno, giacché predicava e praticava cose illecite attribuendosi il merito e la virtù di s. Sosso, un martire venerato appunto in quella cittadina flegrea.

Nel 1. V del De promissionibus et praedictioni-bus Dei, che si attribuisce ormai a Quodvultdeus, si narra che il vescovo di Napoli mandò il proprio « germano » — evidentemente magistrato della città — il prete Herio ed altri chierici ad arrestare ed espellere il predicatore eretico.

Nostriano si rese, inoltre, benemerito verso la propria città per un'opera di pubblica utilità: le terme ad uso del clero e dei fedeli, costruite nella regione augustale, nelle immediate adiacenze del Foro, nella via che documenti dei secc. X-XIII chiamano vicus Nostrianus e platea Nostriana, e altri, di epoca poste­riore, S. Ianuarii ad diaconiam. In questa chiesa, detta pure di S. Gennaro all'Olmo, i suoi resti furono trasferiti dalla catacomba di S. Gaudioso, ove ebbero sepoltura almeno fino al sec. X.

Nostriano sarebbe morto tra il 452 e il 465, dopo diciassette anni di episcopato: tanti gliene attribuisce la Cronaca dei vescovi. Il 16 ag. 1612, venne in luce, sotto l'altare maggiore della chiesa di S. Gennaro all'Olmo, un'antica urna di marmo, sul cui bordo erano incise le parole: Corpus S. Nostria-ni Episcopi. Nel lugl, del 1945 l'urna fu trasferita e sistemata nella chiesa dei SS. Filippo e Giacomo. Sconosciuto agli antichi calendari napoletani, Nostriano ebbe culto ufficiale dopo l'invenzione delle reliquie. Il Calendario del card. arcivescovo Decio Carafa, del 1619, ne fissava la festa al 16 ag., ma nel 1633 il nome di Nostriano era già scomparso dal calendario diocesano. La festa fu ripristinata al 14 febb. per la sola diocesi di Napoli, con decreto della S. Con­gregazione dei Riti del 2 magg. 1878. In quest'ul­tima data Nostriano figura nel Martirologio Romano, iscrittovi in epoca recente.

Autore: Domenico Ambrasi

SOURCE : https://www.santiebeati.it/dettaglio/40890

Den hellige Nostrianus av Napoli ( -~450)

Minnedag: 14. februar

Den hellige Nostrianus (it: Nostriano) var den femtende biskop av Napoli i Sør-Italia på 400-tallet. Han ledet bispedømmet i sytten år og utmerket seg ved et hellig liv fylt av dyder i en spesielt vanskelig periode. Barbarene hadde invadert det romerske imperiet og førte med seg ødeleggelse og terror, mens ulike kjetterier satte troen i fare. Nostrianus kjempet iherdig mot arianismen og pelagianismen.

I oktober 439 falt Kartago i vandalenes hender, og en rekke kirkeledere ble tvunget til å forlate hjemlandet. De la ut på havet, og noen av dem kom seg i sikkerhet over til Italia, hvor de ble gjestfritt mottatt av Nostrianus. Blant de mest kjente er de hellige Gaudiosus av Abitina og Quodvultdeus av Kartago.

Nostrianus døde omkring år 450 (mellom 452 og 456?). På 900/1000-tallet ble hans jordiske rester, som var gravlagt i Gaudiosus-katakomben, overført til kirken San Gennaro all'Olmo, hvor de i 1612 kom for dagen under hovedalteret i en marmorurne med innskriften Corpus S. Nostriani Episcopi. I 1965 ble urnen flyttet til kirken SS Filippo e Giacomo.

Han ble helligkåret ved at hans kult ble stadfestet den 2. mai 1878 av pave Leo XIII (1878-1903). Hans minnedag er 14. februar.

Kilder: Benedictines, Bunson, Index99, KIR, CSO, giornaledibrescia.it - Kompilasjon og oversettelse: p. Per Einar Odden - Opprettet: 2000-05-14 14:02 - Sist oppdatert: 2005-12-28 17:29

SOURCE : https://www.katolsk.no/biografier/historisk/nnapoli

San Nostriano de Nápoles, obispo

volver a la lista de santos

fecha de inscripción en el santoral: 14 de febrero

†: c. 450 - país: Italia

canonización: Conf. Culto: León XIII 2 may 1878

hagiografía: Santi e Beati

Elogio: Conmemoración de san Nostriano, obispo de Nápoles.

refieren a este santo: San Quodvultdeus de Cartago

Es el décimo quinto en la lista episcopal de Nápoles elaborada por el diácono Juan. Se distinguió por la defensa de su grey de las insidias de la herejía que acechaba a las puertas de Nápoles. En octubre del 439, caída Cartago en manos de los Vándalos de Genserico, una gran multitud de eclesiásticos («maxima turba clericorum», escribía el historiador de estos hechos, Víctor de Vita) fue obligada a dejar la tierra natal. Despojados de todo, fueron puestos en precarias embarcaciones, pero algunos que alcanzaron a salvarse milagrosamente, y se aproximaron a la costa napolitana, fueron recibidos con gran solicitud por el obispo Nostriano.

Entre los prófugos estaban el obispo Gaudioso de Abitinia y Quodvultdeus de Cartago. Este último, deteniéndose en Nápoles, desenmascaró la propaganda que hacía del pelagianismo «no muy lejos de Nápoles» Floro, quien también estaba embebido de maniqueísmo. Casi con seguridad, este mismo Floro fue el obispo condenado en el Concilio de Éfeso (431) junto a Celestio, Pelagio y Julián de Eclano. En el libro «De promissionibus et predicationibus Dei», que se atribuye habitualmente a san Quodvultdeus, se narra que el obispo de Nápoles, es decir, Nostriano mandó al propio «germano» -evidentemente magistrado de la ciudad-, al sacerdote Herio y a otros clérigos a arrestar y expulsar al herético predicador.

Nostriano resultó también beneficioso para la ciudad por una obra de utilidad pública: las termas para uso del clero y de los fieles, construidas en la región augustal, en las inmediaciones del Foro, en el zona que documentos de los siglos X al XIII llaman «Vicus Nostrianus» y «Platea Nostriana», y que en documentos posteriores se pasó a llamar «S. Ianuarii ad diaconiam». A esta iglesia, llamada San Gennaro all'Olmo, fueron trasladados sus restos hacia el siglo X desde las catacumbas de san Gaudioso, donde habían sido sepultados.

Nostriano habría muerto entre el 452 y el 465, después de diecisiete años de episcopado, tal como le atribuye la Crónica de los obispos. El 16 de agosto de 1612 se sacó a la luz, bajo el altar mayor de la mencionada iglesia de San Gennaro all'Olmo, una antigua urna de mármol, en cuyo borde estaban escritas estas palabras: «Corpus S. Nostriani Episcopi». En julio de 1945 la urna fue trasladada y emplazada en la iglesia de los Santos Felipe y Santiago. Desconocido por los antiguos calendarios diocesanos, Nostriano recibió culto desde el descubrimiento de sus reliquias. El calendario del arzobispo Decio Carafa, de 1619, fijaba la fiesta el 16 de agosto, y en 1633 el nombre de Nostriano quedaba ya inscripto en el calendario diocesano. La fiesta fue trasladada al 14 de febrero, sólo para la diócesis de Nápoles, con decreto de la Sagrada Congregación de Ritos del 2 de mayo de 1878, y recientemente fue inscripto en el Martirologio Romano. Aunque en el decreto de confirmación de culto -como en muchos otros casos- se aceptó su título tradicional de santo, el rango de celebración corresponde a beato, es decir, a culto puramente local.

Traducido para ETF, con escasos cambios, de un artículo de Domenico Ambrasi en Enciclopedia dei Santi. El decreto de confirmación de culto puede leerse en ASS 11 (1878) pág. 256.

fuente: Santi e Beati

SOURCE : https://www.eltestigofiel.org/index.php?idu=sn_578