Statue
de Saint Ursanne représenté allongé dans une grotte, à proximité de la
collégiale de Saint-Ursanne.
Statue
des Heiligen im Felsen oberhalb von St. Ursanne
Saint Ursan
Confesseur dans le Jura
suisse (+ 625)
ou Ursanne.
Il quitta le monastère de
Luxeuil en même temps que son maître saint
Colomban et l'accompagna jusqu'à Metz. Puis il partit fonder à son
tour un petit monastère dans le Jura suisse, qui donna naissance à la localité
de Saint-Ursanne.
Dans le Jura suisse, près
du Doubs, vers 620, saint Ursane, disciple de saint Colomban, qui mena d'abord
la vie érémitique dans la solitude, mais, bientôt découvert, incita beaucoup au
même genre de vie.
Martyrologe romain
Saint Ursanne
Saint Ursanne, disciple
de saint Colomban vint d'Irlande (ou du pays de Galles ?) avec
son maître et d'autres moines célèbres, pour annoncer l'Evangile aux
populations barbares qui étaient venues s'établir sur le territoire du défunt
Empire Romain.
Daniel-Rops dans sa
préface nous dit qu'il avait rencontré le nom d'Ursanne, « cet excellent
saint, dans la noble cohorte de ces missionnaires celtiques qui, au cœur du
chaos barbare, se lancèrent à la reconquête du continent, pour tout dire parmi
ces Irlandais héroïques et hirsutes envers qui j'éprouve quelques
dilections. »
Les envahisseurs avaient
naturellement amenés leur divinités avec eux et il fallait bien la vigueur de
ces Irlandais pour favoriser leur « inculturation ». L'Evangile
rentrait en ce temps-là par la force du bâton, tout comme le témoignage du
repentir. Les idoles étaient brûlées et nul ne songeait à les enfermer dans des
musées. Étrange catéchèse qui porta pourtant ses fruits.
On s'interroge sur la
correspondance entre les belles homélies attribuées à saint Colomban et la
farouche énergie qu'il manifestait à implanter l'Évangile « de sa main
forte et de son bras étendus ».
Après avoir traversé
l'ancienne Gaule romaine, nos moines s'arrêtèrent à Luxeuil et y fondèrent le
célèbre monastère d'où sortirent plus tard saint Germain et saint Randoald.
De Luxeuil qui
est aujourd' hui une paisible petite ville d'eau, Saint Colomban dut s'exiler
sur l'ordre de Thierry II, roi de Bourgogne et plus tard d'Austrasie, ainsi que
de sa grand-mère la terrible Brunehaut qui à son fils un véritable harem. De
l'art d'être grand-mère… Nobles et hauts personnages de tous temps, qu'ils se
nomment rois, princes, présidents ou ministres, n'apprécient jamais qu'on leur
rappelle qu'ils sont eux aussi poussière et soumis à la Loi du Christ, s'ils
veulent un jour pouvoir être accueillis dans ce Royaume qui n'est pas le leur.
Colomban poursuivi par la
haine de cette mégère, avec quelques-uns de ses fidèles, erra donc en Gaule et
sur les bords du Rhin. Dans l'Helvétie orientale nos moines se séparèrent.
Saint Colomban apprécia-t-il toujours la chose ? On peut en douter à voir
la dureté avec laquelle il traita saint Gall. Il lui interdit notamment de
célébrer l'Eucharistie jusqu'à sa propre mort ; malade, Gall
Ermite Saint-Ursanne,
grotte (paroisse de Saint-Ursanne)
Dernière rénovation en
: 1999
Dédiée à : Saint-Ursanne
Historique :
Saint Ursanne, moine
irlandais de Luxeuil, disciple de Saint-Colomban, vint s'établir à la fin du
VIe siècle sur les rives du Doubs où il mourut vers l'an 620. La tradition
rapporte qu'il se serait établi dans cette grotte surplombant le Doubs, en
compagnie d'un ours. On y trouve aujourd'hui un gisant en posture de méditation
représentant Saint-Ursanne accompagné de son ours.
Attirés par les miracles
du pieux ermite, des moines l'auraient rejoint et auraient fondé un monastère
sur la tombe du vénérable confesseur.
Aux abords du tombeau du
saint, placée dans une première église consacrée à saint Pierre, saint
Wandrille fonda entre 623 et 635 une communauté monastique qui adopta par la
suite la règle bénédictine; dans le domaine spirituel, elle fut rattachée au
diocèse de Besançon au moins jusqu'en 1100. Entre 1095 et 1119, la petite
communauté fut transformée en Chapitre de chanoines. En 1139, l'évêque de Bâle
acquit le petit bourg qui s'était développé aux abords immédiats de la
collégiale, puis en 1210 le monastère lui-même. C'est alors que furent définis
les droits respectifs de l'évêque, du prévôt et du bailli. La prévôté englobait
le Clos du Doubs et la partie orientale des Franches-Montagnes. Au XIIIe siècle
déjà, la plupart des chanoines ne résidaient que temporairement à
Saint-Ursanne.
Les pélerinages sont
cités dès 1274 et jusqu'à la Révolution française.
Philippe Kauffmann e.a.,
14/11/2006
Dernière modification:
31/08/2011
Bibliographie
Philippe Kauffmann
(dir.), Parcours des chapelles,
des oratoires et des grottes, Porrentruy, 2001.
Le Quotidien jurassien, 7
septembre 2000.
© Dictionnaire du Jura
2005-2020
SOURCE : https://www.diju.ch/f/notices/detail/4613
Ursanne (saint)
Version du: 15.09.2011
Auteure/Auteur: Romain
Jurot
après 610 . Le
culte d'U. (lat. Ursicinus) est attesté dans le Jura depuis le troisième tiers
du VIIe s. Une tradition très postérieure, mais assez vraisemblable dans
ses grandes lignes, en fait un disciple de saint Colomban ayant vécu en ermite
au bord du Doubs où il serait mort. De passage sur sa tombe vers 630, saint
Wandrille y aurait implanté un monastère. Soumise à bien des épreuves, la
communauté monastique se mue au début du XIIe s. en chapitre de chanoines
séculiers (Saint-Ursanne
(chapitre collégial)). Sa collégiale, qui abrite aujourd'hui encore la
tombe du saint ermite, comporte des éléments archéologiques datant du VIIe s.
Sources et bibliographie
Bibliotheca sanctorum,
12, 1969, col. 855-856 (avec bibliogr.)
E. Tremp, «Heilige
Menschen - heilige Stätten», in La donation de 999 et l'hist. médiévale de
l'ancien évêché de Bâle, éd. J.-C. Rebetez, 2002, 251-255
SOURCE : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/010208/2011-09-15/
Saint Ursicinus of
Saint-Ursanne
Also
known as
Ursicino del Giura
Ursan
24
July (Diocese of Basel, Switzerland
Profile
Friend of Saint Columbanus. Missionary to Switzerland.
Built a monastery at
Saint Ursanne in the Swiss Juras,
and served as its abbot.
He could not bear wine nor those who served it to him.
Born
c.625 near
modern St-Ursanne, Jura, Switzerland of
natural causes
–
in France
in Germany
in Switzerland
abbot with
three lilies in
his hand
abbot holding
a book and
fleur-de-lys, surrounded by fleur-de-lys
Additional
Information
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
Saints
and Their Attributes, by Helen Roeder
other
sites in english
images
webseiten
auf deutsch
Historisches
Lexikon der Schweiz HLS
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
sites
en français
fonti
in italiano
Dizionario
Storico della Svizzera DSS
MLA
Citation
“Saint Ursicinus of
Saint-Ursanne“. CatholicSaints.Info. 25 January 2024. Web. 24 January
2025. <https://catholicsaints.info/saint-ursicinus-of-saint-ursanne/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-ursicinus-of-saint-ursanne/
Saints
of the Day – Ursicinus of St-Ursanne, Abbot
Article
Died c.625. Friend of
Saint Columbanus, the Irish Ursicinus followed the footsteps of his friend and
entered the missionary fields of Switzerland. Ursicinus planted his staff at
Saint Ursanne in the Swiss Juras, where he built his monastery. He could not
bear wine nor those who gave it to him to drink (Benedictines, Encyclopedia).
Saint Ursicinus is
rendered in art as an abbot with three lilies in his hand or holding a book and
fleur-de-lys, surrounded by fleur- de-lys. Venerated at Basel, Besancon, and
Mainz. Invoked against stiff neck (Roeder).
MLA
Citation
Katherine I
Rabenstein. Saints of the Day, 1998. CatholicSaints.Info.
21 August 2020. Web. 20 December 2020. <https://catholicsaints.info/saints-of-the-day-ursicinus-of-st-ursanne-abbot/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saints-of-the-day-ursicinus-of-st-ursanne-abbot/
Sant' Ursicino del Giura Eremita
e fondatore
† Giura svizzero, 620 ca.
Ursicino era un monaco
irlandese, compagno di san Colombano. Questi, cacciato dalla Gallia nel 610 si
diresse in Svizzera con Gallo, Sigisberto, Fromond e, appunto, Ursicino
(Ursanne). Gli ultimi due si spinsero sulle montagne del Giura in cerca di
luoghi per la vita eremitica. Si narra che Ursicino abbia proposto di lanciare in
aria dalla cima di un monte un bastone per avere dal cielo l’indicazione
giusta. I due si divisero: il bastone di Ursicino finì, infatti, vicino a una
grotta nella valle del fiume Doubs. Qui costruì una cappella dedicata a San
Pietro e un monastero, alla cui comunità dette la regola di Colombano. Morì
intorno al 620. Poi il monastero passò ai benedettini e fu costruita una
Collegiata, distrutta nel 1793. Intorno al monastero sorse Saint Ursanne, paese
che giocò un ruolo importante nella storia della diocesi di Basilea. Ursicino è
venerato anche a Besançon e Magonza.
Martirologio
Romano: Sul massiccio del Giura presso il fiume Duby in territorio
svizzero, sant’Ursicino, che, discepolo di san Colombano, condusse dapprima
vita eremitica in solitudine e poi, scoperto, attirò molti a questo genere di
vita.
Il culto di s. Ursicino (in francese Ursanne), eremita nel Giura, è attestato in questa regione svizzera, sin dalla terza parte del secolo VII; infatti già prima del 675 l’abate Germano di Moûtier-Grandval, aveva costruito una chiesa in suo onore presso Grandval.
Inoltre un antico documento, riporta che s. Vandregisilo abate († 668), costruì verso il 630 un monastero nel medesimo luogo dove riposava Ursicino.
Il sarcofago del santo eremita, databile al VII secolo, è sempre venerato nella bella chiesa di S. Ursanne, situata nell’ansa del fiume Doubs, che nasce nel Giura francese e penetra in territorio svizzero per breve tratto, formando la suddetta ansa, sulla cui riva si trova la chiesa.
Per quanto riguarda la vita di s. Ursicino, tutto ciò che gli agiografi hanno considerato e diffuso, proviene da un antico documento, citato per primo dal gesuita Claudio Sudan (1579-1665) nella sua opera “Basilea sacra”, ma che purtroppo non trascrisse alla lettera.
Il documento era una leggenda liturgica in 24 lezioni, che fu composta su disposizione del vescovo Ugo I di Besançon, diocesi a cui apparteneva allora l’eremita Ursicino.
Questa ‘Vita’, andata smarrita, raccontava che Ursicino era un monaco irlandese, compagno di s. Colombano (543-615), l’abate che dall’Irlanda emigrò in Francia e poi in Italia, dove fondò nel 614 il monastero di Bobbio.
Ursicino che aveva seguito insieme ai monaci Gallo, Sigisberto, Fromond, l’abate Colombano nella Gallia di allora, quando nel 610 dovettero lasciare Luxeuil in territorio francese, si divise dal suo maestro diretto in Italia e con Fromond, si spinse sulla catena montuosa del Giura franco-svizzero, in cerca di un luogo adatto per una vita eremitica.
La tradizione racconta che Ursicino, propose al compagno monaco, di lanciare dalla cima di un monte, i loro bastoni in aria, lasciando che il cielo desse così l’indicazione giusta nel punto di ricaduta.
I bastoni caddero in luoghi diversi e i due compagni si divisero, quello di Ursicino cadde vicino ad una grotta, nella valle del fiume Doubs, dove si ritirò in eremitaggio.
In questo luogo costruì una cappella dedicata a S. Pietro e che prenderà il suo nome, S: Ursanne; ben presto la sua fama attirò vari discepoli, per cui Ursicino fondò un monastero per loro, sotto la regola di s. Colombano.
Dopo una decina d’anni di esemplare vita eremitica, sant’Ursicino morì verso il 620; il suo nome lo si ritrova nelle litanie dei santi venerati a Besançon del secolo XI e nel martirologio della stessa diocesi al 20 dicembre.
Il monastero da lui fondato nella valle del Doubs, subì nel tempo vari cambiamenti, passato ai benedettini, nel 1040 era dipendente da quello di Moûtier-Grandval, poi fu assegnato nel 1077 ai vescovi di Basilea; uno di loro vi istituì nel 1119 una collegiata, che durò fino al 1793 quando fu distrutta.
Intorno al monastero
sorse il paese di Saint Ursanne; è venerato in tutto il Giura del Nord, a
Besançon, Magonza, Basilea, le sue immagini lo mostrano con in mano un libro e
dei gigli.
Autore: Antonio
Borrelli
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/91903
Ursicino (santo)
Versione del: 15.09.2011
Autrice/Autore: Romain
Jurot Traduzione: Laura Saggiorato
dopo il 610 . Il
culto di U. (lat. Ursicinus) è attestato nel Giura dall'ultimo terzo del
VII sec. Una tradizione molto più recente, ma in linea di massima verosimile,
ne fa un discepolo di S. Colombano, eremita che visse e morì sulle rive del
Doubs. Visitando la sua tomba verso il 630, S. Vandregisilo vi avrebbe
edificato un monastero. All'inizio del XII sec., dopo numerose vicissitudini,
la comunità monastica si trasformò nel capitolo di canonici secolari di Saint-Ursanne. Nella collegiale, che
ancora all'inizio del XXI sec. ospitava la tomba del santo eremita, sono stati
ritrovati reperti archeologici risalenti al VII sec.
Riferimenti bibliografici
Bibliotheca Sanctorum,
12, 1969, col. 855-856 (con bibl.)
E. Tremp, «Heilige
Menschen - heilige Stätten», in La donation de 999 et l'histoire médiévale
de l'ancien évêché de Bâle, a cura di J.-C. Rebetez, 2002, 251-255
SOURCE : https://hls-dhs-dss.ch/it/articles/010208/2011-09-15/
Ursicinus der Einsiedler
auch: Ursanne
Gedenktag katholisch: 20.
Dezember
nicht gebotener Gedenktag im Bistum Basel: 24. Juli
Name bedeutet: der
Bärengleiche (latein.)
Einsiedler
* um 552 in Irland (?)
† 20. Dezember 620 (?) beim heutigen St-Ursanne /
St. Ursitz im Kanton Jura in der Schweiz
Ursicinus aus fränkischem
Adel wurde Mönch im Kloster
Luxeuil - im heutigen Luxeuil-les-Bains - und zog von dort als
Glaubensbote in die Schweiz. Die Überlieferung berichtet, er sei Gefährte
von Kolumban
dem Jüngeren und Gallus gewesen
und habe zunächst am Bielersee bei Biel missioniert.
Um 615 ließ er sich dann in einer Einsiedelei oberhalb
des heute nach ihm benannten St-Ursanne in einer Höhle nieder, wo ihn ein Bär
regelmäßig mit Kräutern und Wurzeln versorgt hat. Ursicinus' Wunder zogen eine
Schar von Jüngern an, die auch nach seinem Tod für die Verbreitung des Glaubens
eintraten.
Ursicinus Gefährten
sammelten sich an seinem Grab, Wandregisil gründete
ein Kloster,
das 849 bezeugt ist und damals die Benediktinerregel
befolgte. Historisch erwiesen ist, dass Ursicinus um 590/610 die Täler des Jura
durchquert hat. Archäologisch nachgewiesen sind am Ort des Klosters Särge aus
dem 7. Jahrhundert, die - wegen des Glaubens an die Auferstehung - nach Osten
ausgerichtet waren.
Das Kloster wurde
im 12. Jahrhundert ein Chorherrenstift,
nach Ursicinus St-Ursanne / St. Ursitz benannt. Das Kloster wurde in der
Säkularisation 1803 aufgelöst, die Kirche wurde Pfarrkirche. Ursicinus' Grab
war ursprünglich in der Krypta der Klosterkirche, 1323 wurde der Sarg in die
Kirche übertragen. Neben der Höhle des Ursicinus oberhalb der Stadt steht eine
Kapelle Ausstattung aus dem 17./18. Jahrhundert.
Patron von Solothurn, Basel, Biel /
Bienne und Pruntrut / Porrentruy bei
Basel
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Schäfer - zuletzt aktualisiert am 24.08.2021
Quellen:
• Vera Schauber, Hanns Michael Schindler: Heilige und Patrone im Jahreslauf. Pattloch, München 2001
• Hiltgard L. Keller: Reclams Lexikon der Heiligen und der biblischen Gestalten. Reclam, Ditzingen 1984
• Magdalena Kummer-Vsetecka, E-Mail vom 3. Juni 2007
korrekt zitieren: Joachim Schäfer: Artikel Ursicinus der Einsiedler, aus dem Ökumenischen Heiligenlexikon - https://www.heiligenlexikon.de//BiographienU/Ursicinus_der_Einsiedler.htm, abgerufen am 24. 1. 2025
Die Deutsche Nationalbibliothek verzeichnet das Ökumenische
Heiligenlexikon in der Deutschen Nationalbibliografie; detaillierte
bibliografische Daten sind im Internet über https://d-nb.info/1175439177 und https://d-nb.info/969828497 abrufbar.
SOURCE : https://www.heiligenlexikon.de//BiographienU/Ursicinus_der_Einsiedler.htm
Ursicinus (Heiliger)
Version vom: 15.09.2011
Autorin/Autor: Romain
Jurot Übersetzung: Pia Todorovic Redaelli
nach 610. Der Kult des
heiligen Ursicinus (deutsch auch St. Ursitz) ist im Jura seit dem letzten
Drittel des 7. Jahrhunderts belegt. Eine um einiges jüngere, aber dennoch in
grossen Zügen glaubhafte Überlieferung sieht in Ursicinus einen Schüler
des heiligen Kolumban, der als Eremit am Ufer des Doubs lebte und dort auch
gestorben sein soll. Der heilige Wandregisel soll um 630 auf einer Reise an
Ursicinus' Grab ein Kloster gegründet haben. Die Klostergemeinschaft hatte
viele Prüfungen zu bestehen und wandelte sich zu Beginn des 12. Jahrhunderts in
das weltliche Chorherrenstift Saint-Ursanne. Einige architektonische
Elemente der Stiftskirche, in der sich Ursicinus' Grab befindet, gehen auf das
7. Jahrhundert zurück.
Quellen und Literatur
Bibliotheca sanctorum 12,
1969, Sp. 855 f. (mit Bibl.)
E. Tremp, «Hl. Menschen –
hl. Stätten», in La donation de 999 et l'histoire médiévale de l'ancien
évêché de Bâle, hg. von J.-C. Rebetez, 2002, 251-255
SOURCE : https://hls-dhs-dss.ch/de/articles/010208/2011-09-15/
Voir aussi : http://www.amisaintcolomban.org/wordpress/wp-content/uploads/79_Ursanne.pdf