Bienheureux Antonio
Arribas Hortigüela et six compagnons
Prêtres et religieux
Missionnaires du Sacré-Coeur de Jésus martyrs (+ 1936)
Antonio Arribas Hortigüela et six compagnons
Ces Missionnaires du Sacré-Coeur de Jésus, congrégation sacerdotale fondée en France par le père Jules Chevalier, ont été fusillés près de Gérone, en Catalogne le 29 septembre 1936.
Membres de la communauté implantée à Canet de Mar, ils étaient tous très jeunes - entre 20 et 28 ans. Au moment de leur mort, le père Antonio Arribas Hortigüela s'est écrié au nom de tous: 'Vive le Christ roi!'. Ses compagnons étaient trois prêtres: Abundio Martín Rodríguez, José Vergara Echevarría, Joseph Oriol Isern Massó; et trois religieux en formation: Jesús Moreno Ruiz, José del Amo del Amo et Gumersindo Gómez Rodrigo. Ce dernier, affirme le site de la province espagnole des Missionnaires du Sacré-Coeur, fut un 'exemple d'humilité et de charité évangélique'.
- Ces religieux vivaient et collaboraient dans la Petite OEuvre (= petit séminaire des MSC) de Canet de Mar, près de Barcelone, pour préparer 65 jeunes à la vie religieuse et au sacerdoce. Les Supérieurs saisissaient pleinement le moment critique vécu en Espagne, et préparaient la Communauté à ce qui pouvait survenir: le martyr. Béatifiés le 6 mai 2017 dans la cathédrale de Girona, ce sont les premiers bienheureux de la Congrégation.
- Reconnaissance du martyre de sept Espagnols, des prêtres et religieux Missionnaires du Sacré-Coeur de Jésus
- Sept missionnaires espagnols déclarés bienheureux. Il s'agit du père Antonio Arribas Hortigüela et de ses six compagnons missionnaires du Sacré coeur de Jésus, tués en "haine de la foi" le 29 septembre 1936, pendant la Guerre civile espagnole
- Décret du 8 juillet 2016 (en italien)
- Martyrs de la guerre civile espagnole (conférence épiscopale espagnole)
- Misioneros
del Sagrado Corazón, nos martyrs (en espagnol)
Reconnaissance du martyre
de sept Espagnols
Des prêtres et religieux
Missionnaires du Sacré-Cœur de Jésus
JUILLET 08, 2016 10:48ANNE KURIAN ROME
Le pape François a
autorisé la publication de décrets de la Congrégation pour les causes des
saints reconnaissant le martyre de sept jeunes Espagnols – dont quatre prêtres
– assassinés pour leur foi pendant la Guerre civile espagnole, en 1936. Une
reconnaissance qui ouvre la voie à leur béatification.
Le pape a en effet reçu
le préfet de ce dicastère, le cardinal Angelo Amato, le 8 juillet 2016. Au
cours de cette audience, il a approuvé plusieurs décrets concernant un miracle,
des martyres et la reconnaissance de « vertus héroïques » chez des
baptisés.
La Congrégation pour les
causes des saints reconnaît ainsi le martyre d’Antonio Arribas Hortigüela et de
six compagnons, tués « en haine de la foi », le 29 septembre 1936, durant la
Guerre civile espagnole. Ces Missionnaires du Sacré-Cœur de Jésus, congrégation
sacerdotale fondée en France par le père Jules Chevalier, ont été fusillés près
de Gérone, en Catalogne.
Membres de la communauté
implantée à Canet de Mar, ils étaient tous très jeunes – entre 20 et 28 ans. Au
moment de leur mort, le père Antonio Arribas Hortigüela s’est écrié au nom de
tous : « Vive le Christ roi ! ». Ses compagnons étaient trois
prêtres : Abundio Martín Rodríguez, José Vergara Echevarría, Joseph Oriol
Isern Massó ; et trois religieux en formation : Jesús Moreno Ruiz,
José del Amo del Amo et Gumersindo Gómez Rodrigo. Ce dernier, affirme le site
de la province espagnoles des Missionnaires du Sacré-Cœur, fut un
« exemple d’humilité et de charité évangélique ».
Cette reconnaissance
ouvre la voie à leur béatification, aucun miracle n’étant nécessaire en plus de
leur martyre. Il faudra la reconnaissance d’un miracle ultérieur attribué à
leur intercession, pour leur canonisation.
JUILLET 08, 2016 10:48ROME
About Anne Kurian
SOURCE : https://fr.zenit.org/articles/reconnaissance-du-martyre-de-sept-espagnols/
Sept missionnaires du
Sacré-Coeur espagnols béatifiés en tant que martyrs
Témoigner de l’Évangile
de la charité
MAI 07, 2017 12:30 ANITA BOURDINANGÉLUS
ET REGINA CAELI, PAPE
FRANÇOIS, SAINTS,
BIENHEUREUX
Sept missionnaires du
Sacré-Coeur espagnols ont été béatifiés en tant que martyrs, a annoncé le pape
François après la prière mariale du Regina Caeli, ce dimanche 7 mai 2017, de la
fenêtre du bureau qui donne place Saint-Pierre, en présence de quelque 25 000
personnes selon la Gendarmerie vaticane.
« Hier, Antonio
Arribas Hortigüela et six compagnons, religieux de la congrégation des
Missionnaires du Sacré-Cœur, ont été proclamés bienheureux à Gérone, en
Espagne. Ces disciples de Jésus fidèles et héroïques ont été tués en haine de
la foi à une époque de persécution religieuse », a dit le pape.
Il a souhaité « que
leur martyr, accepté par amour de Dieu et par fidélité à leur vocation, suscite
dans l’Eglise le désir de témoigner avec force de l’Évangile de la
charité ».
Ces Missionnaires du
Sacré-Cœur de Jésus, une congrégation fondée en France par le père Jules
Chevalier, ont été fusillés près de Gérone, en Catalogne le 29 septembre 1936.
Le pape François avait
autorisé la publication, le 8
juillet 2016, de décrets de la Congrégation pour les causes des
saints reconnaissant le martyre de ces sept jeunes Espagnols – dont quatre
prêtres – assassinés pour leur foi pendant la Guerre civile espagnole.
Membres de la communauté
implantée à Canet de Mar, ils étaient tous très jeunes – entre 20 et 28 ans. Au
moment de leur mort, le père Antonio Arribas Hortigüela s’est écrié au nom de
tous : « Vive le Christ roi ! ». Ses compagnons étaient trois
prêtres : Abundio Martín Rodríguez, José Vergara Echevarría, Joseph Oriol
Isern Massó ; et trois religieux en formation : Jesús Moreno Ruiz,
José del Amo del Amo et Gumersindo Gómez Rodrigo. Ce dernier, affirme le site
de la province espagnoles des Missionnaires du Sacré-Cœur, fut un
« exemple d’humilité et de charité évangélique ».
Après le Regina Caeli, le
pape a aussi salué l’engagement de l’Association Meter pour la protection des
enfants, et il a invité à prier le rosaire pour la paix dans le monde, comme
Marie l’a demandé à Fatima. Il venait d’ordonner 10 nouveaux prêtres dans la
basilique Saint-Pierre. Quatre d’entre eux – du séminaire du Latran – ont donné
avec lui la bénédiction depuis la fenêtre du pape.
MAI 07, 2017 12:30ANGÉLUS
ET REGINA CAELI, PAPE
FRANÇOIS, SAINTS,
BIENHEUREUX
About Anita Bourdin
Journaliste accréditée au
Vatican depuis 1995. A lancé Zenit en français en janvier 1999. Correspondante
à Rome de Radio Espérance. Formation: journalisme (IJRS, Bruxelles), théologie
biblique (PUG, Rome), lettres classiques (Paris IV, Sorbonne).
Blessed Antonio
Arribas Hortigüela
Profile
Student at the minor seminary of the Missionaries of the Sacred Heart in Canet de Mar, Spain, and then joined the congregation on 30 September 1928. Ordained a priest on 6 April 1935. Taught Latin and served as treasurer of the Missionaries‘s school. Known for his exceptional physical strength, he was a father figure to many of the boys in his school. He was captured by Communist militia on 21 July 1936 when the militia men took over the school. He and several brother Missionary priests escaped on the night of 3 August 1936, and tried to make it to France, but were re-captured in the mountains on 28 September 1936, taken by bus to the Pont de Ser, and executed for the crime of being a priest. Martyred in the Spanish Civil War.
Born
29
April 1908 in
Cardeñadijo, Burgos, Spain
machine-gunned on 29
September 1936 at
a ruined house next to the Pont de Ser, Seriñá, Girona, Spain by
members of the Communist militia
buried in
a mass grave nearby
relics re-interred in
a niche in the cemetery of Canet de Mar, Spain on 30
March 1940
8
July 2016 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
beatification recognition
in the Cathedral of Santa Maria, Girona, Spain,
presided by Cardinal Angelo
Amato
SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-antonio-arribas-hortiguela/
Blessed Abundio
Martín Rodríguez
Profile
Member of the Missionaries
of the Sacred Heart. Priest. Martyred in
the Spanish
Civil War.
Born
14
April 1908 in
Villaescusa, Palencia, Spain
machine-gunned on 29
September 1936 at
a ruined house next to the Pont de Ser, Seriñá, Girona, Spain by
members of the Communist militia
buried in
a mass grave nearby
relics re-interred in
a niche in the cemetery of Canet de Mar, Spain on 30
March 1940
8
July 2016 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
beatification recognition
in the Cathedral of Santa Maria, Girona, Spain,
presided by Cardinal Angelo
Amato
SOURCE : http://catholicsaints.info/blessed-abundio-martin-rodriguez/
Blessed José Vergara
Echevarria
Profile
Member of the Missionaries
of the Sacred Heart. Priest. Martyred in
the Spanish
Civil War.
Born
18
June 1908 in
Almándoz, Navarra, Spain
machine-gunned on 29
September 1936 at
a ruined house next to the Pont de Ser, Seriñá, Girona, Spain by
members of the Communist militia
buried in
a mass grave nearby
relics re-interred in
a niche in the cemetery of Canet de Mar, Spain on 30
March 1940
8
July 2016 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
beatification recognition
in the Cathedral of Santa Maria, Girona, Spain,
presided by Cardinal Angelo
Amato
SOURCE : http://catholicsaints.info/blessed-jose-vergara-echevarria/
Blessed Josep Oriol
Isern Masso
Profile
Member of the Missionaries
of the Sacred Heart. Priest. Martyred in
the Spanish
Civil War.
Born
16
June 1909 in
Villanueva y Geltrú, Barcelona, Spain
machine-gunned on 29
September 1936 at
a ruined house next to the Pont de Ser, Seriñá, Girona, Spain by
members of the Communist militia
buried in
a mass grave nearby
relics re-interred in
a niche in the cemetery of Canet de Mar, Spain on 30
March 1940
8
July 2016 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
beatification recognition
in the Cathedral of Santa Maria, Girona, Spain,
presided by Cardinal Angelo
Amato
SOURCE : http://catholicsaints.info/blessed-josep-oriol-isern-masso/
Blessed Gumersindo
Gómez Rodríguez
Profile
Member of the Missionaries
of the Sacred Heart. Martyred in
the Spanish
Civil War.
Born
15
October 1911 in
Benuza, Astorga, Spain
machine-gunned on 29
September 1936 at
a ruined house next to the Pont de Ser, Seriñá, Girona, Spain by
members of the Communist militia
buried in
a mass grave nearby
relics re-interred in
a niche in the cemetery of Canet de Mar, Spain on 30
March 1940
8
July 2016 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
beatification recognition
in the Cathedral of Santa Maria, Girona, Spain,
presided by Cardinal Angelo
Amato
SOURCE : http://catholicsaints.info/blessed-gumersindo-gomez-rodriguez/
Profile
Member of the Missionaries
of the Sacred Heart. Martyred in
the Spanish
Civil War.
Born
13
January 1915 in
Osorno, Palencia, Spain
machine-gunned on 29
September 1936 at
a ruined house next to the Pont de Ser, Seriñá, Girona, Spain by
members of the Communist militia
buried in
a mass grave nearby
relics re-interred in
a niche in the cemetery of Canet de Mar, Spain on 30
March 1940
8
July 2016 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
beatification recognition
in the Cathedral of Santa Maria, Girona, Spain,
presided by Cardinal Angelo
Amato
SOURCE : http://catholicsaints.info/blessed-jesus-moreno-ruiz/
Blessed José Del Amo y
Del Amo
Profile
Member of the Missionaries
of the Sacred Heart. Martyred in
the Spanish
Civil War.
Born
12
June 1916 in
Pumarejo de Tera, Zamora, Spain
machine-gunned on 29
September 1936 at
a ruined house next to the Pont de Ser, Seriñá, Girona, Spain by
members of the Communist militia
buried in
a mass grave nearby
relics re-interred in
a niche in the cemetery of Canet de Mar, Spain on 30
March 1940
8
July 2016 by Pope Francis (decree
of martyrdom)
beatification recognition
in the Cathedral of Santa Maria, Girona, Spain,
presided by Cardinal Angelo
Amato
SOURCE : http://catholicsaints.info/blessed-jose-del-amo-y-del-amo/
Beato Antonio
Arribas Hortigüela Sacerdote e martire
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Scheda del Gruppo cui appartiene
Cardeñadijo, Spagna, 29
aprile 1908 - Seriñá, Spagna, 29 settembre 1936
Antonio Arribas
Hortigüela nacque a Cardenadijo presso Burgos il 29 aprile 1908. Dopo la scuola
media frequentata nel Seminario Minore dei Missionari del Sacro Cuore di Gesù a
Canet de Mar, entrò nel noviziato della stessa congregazione. Professore alla
prima esperienza di insegnamento ed economo della Scuola Apostolica dei
Missionari, si scontrò energicamente con i miliziani che, il 21 luglio 1936,
ordinarono l’espulsione degli allievi, ottenendo per loro gli alimenti
necessari. Con sei compagni fuggì dal campo di prigionia improvvisato dov’erano
stati costretti, ma dopo quasi un mese di peregrinazioni caddero nelle mani dei
miliziani. Quando fu sul punto di essere fucilato, alzò un’ultima volta la voce
contro i persecutori, ma una scarica di mitragliatrice interruppe la sua
professione di fede. Aveva 28 anni; era religioso da dieci e sacerdote da poco
più di un anno. È stato beatificato a Girona il 6 maggio 2017, insieme ai suoi
compagni di martirio.
Antonio Arribas Hortigüela, nato a Cardenadijo presso Burgos il 29 aprile 1908, frequentò le scuole medie nel Seminario Minore dei Missionari del Sacro Cuore di Gesù a Canet de Mar. Successivamente entrò in noviziato, professando i primi voti il 30 settembre 1928. Proseguì gli studi teologici a Barcellona e Logroño e venne ordinato sacerdote il 6 aprile 1935.
La sua unica destinazione fu la Piccola Opera, com’era stata definita dalle origini la comunità dei Missionari, che comprendeva la Scuola Apostolica, il Seminario minore e la sede del noviziato per la Spagna.
Padre Antonio era l’economo, ma faceva anche il professore di Latino. I suoi allievi gli diedero il soprannome di “sollevatore di pesi”, per la sua notevole forza fisica, e lo ammiravano per il suo atteggiamento paterno nei loro riguardi.
Il 21 luglio 1936, nel pomeriggio, arrivò alla porta della Piccola Opera un
drappello di miliziani comunisti, i quali iniziarono a sparare per aria allo
scopo di segnalare la propria presenza. Un rappresentante del Comitato
rivoluzionario locale si presentò con l’ordine di far sgombrare il convento.
Padre Antonio protestò contro i soldati, perché ai ragazzi della scuola
venissero concessi almeno gli alimenti necessari al loro sostentamento. In
quanto economo, aveva già provvisto ciascun confratello di una piccola somma di
denaro, per far fronte alle prime necessità.
In seguito, divise con i confratelli la prigionia forzata nel parco che circondava il santuario della Madonna della Misericordia, che era vicino alla Scuola Apostolica, fino al tentativo di fuga nella notte del 3 agosto 1936.
Insieme a sei compagni, vagò per le montagne e per i boschi, domandando rifugio e indicazioni per riuscire a raggiungere la frontiera con la Francia. Il 28 settembre, dopo quasi un mese di peregrinazioni, capitarono nella casa di uno dei capi dei Comitati. Furono quindi indirizzati in un luogo chiamato La Ginella, ma là erano attesi da un gruppo di miliziani, che li catturarono all’istante.
Furono quindi condotti alla sede centrale del Comitato, a Sant Joan de les Fonts. Lungo il tragitto, le guardie domandarono loro se portassero armi e se fossero frati o sacerdoti. Replicarono che di armi non ne avevano, ma erano dei religiosi; tanto bastò per segnare la loro fine terrena.
La sera del 29 settembre 1936, i sette Missionari furono caricati su di un autobus requisito dai miliziani, legati a due a due, mentre l’ultimo aveva le mani legate dietro le spalle. Il veicolo, preceduto da un’automobile, si fermò in un punto della strada verso Seriñá, sul ponte del fiume Ser, dove sorgeva una piccola casa in rovina.
Furono spinti fuori dall’autobus i primi quattro condannati, mentre uno dei Missionari supplicava: «Non uccideteci, che male abbiamo fatto?». Vennero quindi allineati contro il muro in rovina e fu loro ordinato di voltare le spalle.
A quel punto, si udì, forte e chiara, la voce di padre Antonio: «I codardi muoiono di spalle, e noi non siamo né codardi né ladri. Voi ci uccidete perché siamo religiosi. Viva...!». Plausibilmente stava per gridare: «Viva Cristo Re!», ma la sua professione di fede fu troncata da una scarica di mitragliatrice. Uccisi i primi quattro, furono fatti scendere dal mezzo gli altri tre, che ebbero la stessa sorte.
I corpi dei Missionari, verso sera, furono raccolti e portati all’obitorio. L’indomani, 30 settembre, furono seppelliti in due fosse vicine, quattro in una e tre nell’altra. Rimasero in quel punto fino al 30 marzo 1940, quando la sepoltura venne debitamente identificata e le ossa vennero traslate in una nicchia del cimitero di Canet de Mar.
Padre Antonio Arribas Hortigüela, insieme ai suoi sei compagni Abundio Martín Rodríguez, José Vergara Echevarría, José Oriol Isern Massó (sacerdoti), Gumersindo Gómez Rodrigo, Jesús Moreno Ruiz e José del Amo y del Amo (fratelli coadiutori), è stato beatificato il 6 maggio 2017 a Girona.
Autore: Emilia Flocchini
Beato Abbondio Martín
Rodríguez Sacerdote e martire
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Villaescusa del Ecla,
Spagna, 14 aprile 1908 - Seriñá, Spagna, 29 settembre 1936
Abundio Martín Rodríguez
nacque a Villaescusa del Ecla presso Palencia il 14 aprile 1908. Entrò tra i
Missionari del Sacro Cuore di Gesù e, dopo l’ordinazione sacerdotale, fu
assegnato alla Scuola Apostolica di Canet de Mar, come professore ed educatore.
Divise con i confratelli l’espulsione dalla casa e la prigionia forzata nel
parco adiacente alla Scuola Apostolica. Con sei compagni fuggì dal campo di
prigionia improvvisato dov’erano stati costretti, ma dopo quasi un mese di
peregrinazioni caddero nelle mani dei miliziani. Al momento della morte aveva
28 anni; era religioso da undici e sacerdote da cinque. È stato beatificato a
Girona il 6 maggio 2017, insieme ai suoi compagni di martirio.
Abundio Martín Rodríguez
nacque a Villaescusa del Ecla presso Palencia il 14 aprile 1908. Entrò tra i
Missionari del Sacro Cuore di Gesù, professando i primi voti l’8 ottobre 1925.
Completò la sua formazione in Francia e, tornato in Spagna, a Barcellona e
Logroño dove fu ordinato sacerdote il 19 settembre 1931. L’anno seguente fu
assegnato alla casa di Canet de Mar, come professore ed educatore nella Scuola
Apostolica.
Desiderava partire come
missionario all’estero, ma intanto impiegò il suo servizio come religioso
eccellente e paziente, dotato di un carattere sensibile, delicato e affettuoso,
che gli valeva la stima dei confratelli. Era anche un valido organista.
Il 21 luglio 1936, nel
pomeriggio, arrivò alla porta della scuola un drappello di miliziani comunisti,
i quali iniziarono a sparare per aria allo scopo di segnalare la propria
presenza. Un rappresentante del Comitato rivoluzionario locale si presentò con
l’ordine di far sgombrare il convento.
Padre Abundio divise con
i confratelli la prigionia forzata nel parco che circondava il santuario della
Madonna della Misericordia, che era vicino alla Scuola Apostolica, fino al
tentativo di fuga nella notte del 3 agosto 1936.
Insieme a sei compagni,
vagò per le montagne e per i boschi, domandando rifugio e indicazioni per
riuscire a raggiungere la frontiera con la Francia. Il 28 settembre, dopo quasi
un mese di peregrinazioni, capitarono nella casa di uno dei capi dei Comitati.
Furono quindi indirizzati in un luogo chiamato La Ginella, ma là erano attesi
da un gruppo di miliziani, che li catturarono all’istante.
Furono quindi condotti
alla sede centrale del Comitato, a Sant Joan de les Fonts. Lungo il tragitto,
le guardie domandarono loro se portassero armi e se fossero frati o sacerdoti.
Replicarono che di armi non ne avevano, ma erano dei religiosi; tanto bastò per
segnare la loro fine terrena.
La sera del 29 settembre
1936, i sette Missionari furono caricati su di un autobus requisito dai
miliziani, legati a due a due, mentre l’ultimo aveva le mani legate dietro le
spalle. Il veicolo, preceduto da un’automobile, si fermò in un punto della
strada verso Seriñá, sul ponte del fiume Ser, dove sorgeva una piccola casa in
rovina.
Furono spinti fuori
dall’autobus i primi quattro condannati, mentre uno dei Missionari supplicava:
«Non uccideteci, che male abbiamo fatto?». Vennero quindi allineati contro il
muro in rovina e fu loro ordinato di voltare le spalle.
A quel punto, si udì,
forte e chiara, la voce di padre Antonio Arribas Hortigüela: «I codardi muoiono
di spalle, e noi non siamo né codardi né ladri. Voi ci uccidete perché siamo
religiosi. Viva...!». Plausibilmente stava per gridare: «Viva Cristo
Re!», ma la sua professione di fede fu troncata da una scarica di
mitragliatrice. Uccisi i primi quattro, furono fatti scendere dal mezzo gli
altri tre, che ebbero la stessa sorte.
I corpi dei Missionari,
verso sera, furono raccolti e portati all’obitorio. L’indomani, 30 settembre, furono
seppelliti in due fosse vicine, quattro in una e tre nell’altra. Rimasero in
quel punto fino al 30 marzo 1940, quando la sepoltura venne debitamente
identificata e le ossa vennero traslate in una nicchia del cimitero di Canet de
Mar.
Padre Abundio Martín
Rodríguez, insieme ai suoi sei compagni Antonio Arribas Hortigüela, José
Vergara Echevarría, José Oriol Isern Massó (sacerdoti), Gumersindo Gómez
Rodrigo, Jesús Moreno Ruiz e José del Amo y del Amo (fratelli coadiutori), è
stato beatificato il 6 maggio 2017 a Girona.
Autore: Emilia
Flocchini
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/97307
Beato Giuseppe Vergara
Echevarría Sacerdote e martire
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Almándoz, Spagna, 18
giugno 1908 - Seriñá, Spagna, 29 settembre 1936
José Vergara Echevarría
nacque ad Almándoz in Navarra, il 18 giugno 1908. Professò i voti tra i
Missionari del Sacro Cuore di Gesù il 30 settembre 1927 e fu ordinato sacerdote
il 24 febbraio 1934. Assegnato alla Scuola Apostolica di Canet de Mar come
professore di Scienze naturali e di Matematica, si distinse per l’abnegazione e
lo spirito di servizio al prossimo. Divise con i confratelli l’espulsione dalla
casa e la prigionia forzata nel parco adiacente alla Scuola Apostolica. Con sei
compagni fuggì dal campo di prigionia improvvisato dov’erano stati costretti,
non prima di un ultimo saluto ai suoi ragazzi; dopo quasi un mese di
peregrinazioni, caddero nelle mani dei miliziani. Al momento della morte aveva
28 anni; era religioso da nove e sacerdote da due e mezzo. È stato beatificato
a Girona il 6 maggio 2017, insieme ai suoi compagni di martirio.
José Vergara Echevarría
nacque ad Almándoz, cittadina nella valle di Ulzama in Navarra, il 18 giugno
1908. Già allievo della Scuola Apostolica dei Missionari del Sacro Cuore di
Gesù, professò i voti religiosi in quella congregazione il 30 settembre 1927;
fu ordinato sacerdote il 24 febbraio 1934.
Ricevette l’incarico di
professore di Scienze naturali e Matematica nella Scuola Apostolica. Si
distinse come religioso esemplare, per il suo senso di abnegazione e di
disponibilità verso il servizio al prossimo.
Il 21 luglio 1936, nel
pomeriggio, arrivò alla porta della scuola un drappello di miliziani comunisti,
i quali iniziarono a sparare per aria allo scopo di segnalare la propria
presenza. Un rappresentante del Comitato rivoluzionario locale si presentò con
l’ordine di far sgombrare il convento.
Padre José divise con i
confratelli la prigionia forzata nel parco che circondava il santuario della
Madonna della Misericordia, che era vicino alla Scuola Apostolica, fino al
tentativo di fuga nella notte del 3 agosto 1936. Corse il rischio di essere
fermato, ma volle passare a salutare i suoi ragazzi prima di scappare.
Insieme a sei compagni,
vagò per le montagne e per i boschi, domandando rifugio e indicazioni per
riuscire a raggiungere la frontiera con la Francia. Il 28 settembre, dopo quasi
un mese di peregrinazioni, capitarono nella casa di uno dei capi dei Comitati.
Furono quindi indirizzati in un luogo chiamato La Ginella, ma là erano attesi
da un gruppo di miliziani, che li catturarono all’istante.
Furono quindi condotti
alla sede centrale del Comitato, a Sant Joan de les Fonts. Lungo il tragitto,
le guardie domandarono loro se portassero armi e se fossero frati o sacerdoti.
Replicarono che di armi non ne avevano, ma erano dei religiosi; tanto bastò per
segnare la loro fine terrena.
La sera del 29 settembre
1936, i sette Missionari furono caricati su di un autobus requisito dai
miliziani, legati a due a due, mentre l’ultimo aveva le mani legate dietro le
spalle. Il veicolo, preceduto da un’automobile, si fermò in un punto della
strada verso Seriñá, sul ponte del fiume Ser, dove sorgeva una piccola casa in
rovina.
Furono spinti fuori
dall’autobus i primi quattro condannati, mentre uno dei Missionari supplicava:
«Non uccideteci, che male abbiamo fatto?». Vennero quindi allineati contro il
muro in rovina e fu loro ordinato di voltare le spalle.
A quel punto, si udì,
forte e chiara, la voce di padre Antonio Arribas Hortigüela: «I codardi muoiono
di spalle, e noi non siamo né codardi né ladri. Voi ci uccidete perché siamo
religiosi. Viva...!». Plausibilmente stava per gridare: «Viva Cristo
Re!», ma la sua professione di fede fu troncata da una scarica di
mitragliatrice. Uccisi i primi quattro, furono fatti scendere dal mezzo gli
altri tre, che ebbero la stessa sorte.
I corpi dei Missionari,
verso sera, furono raccolti e portati all’obitorio. L’indomani, 30 settembre,
furono seppelliti in due fosse vicine, quattro in una e tre nell’altra.
Rimasero in quel punto fino al 30 marzo 1940, quando la sepoltura venne
debitamente identificata e le ossa vennero traslate in una nicchia del cimitero
di Canet de Mar.
Padre José Vergara
Echevarría, insieme ai suoi sei compagni Antonio Arribas Hortigüela, Abundio
Martín Rodríguez, José Oriol Isern Massó (sacerdoti), Gumersindo Gómez Rodrigo,
Jesús Moreno Ruiz e José del Amo y del Amo (fratelli coadiutori), è stato
beatificato il 6 maggio 2017 a Girona.
Autore: Emilia
Flocchini
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/97312
Beato Giuseppe Oriol Isern Massó Sacerdote e
martire
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Villanueva y Geltrú,
Spagna, 16 giugno 1909 - Seriñá, Spagna, 29 settembre 1936
José Oriol Isern Massó
nacque a Vilanova i La Geltrú, vicino Barcellona, il 16 giugno 1909. Professò i
voti religiosi tra i Missionari del Sacro Cuore di Gesù il 4 gennaio 1927; fu
ordinato sacerdote il 1° aprile 1933. Assegnato alla Scuola Apostolica di Canet
de Mar come professore di Disegno, si distinse per la bontà verso gli allievi e
per la passione verso le missioni. Divise con i confratelli l’espulsione dalla
casa e la prigionia forzata nel parco adiacente alla Scuola Apostolica. Con sei
compagni fuggì dal campo di prigionia improvvisato dov’erano stati costretti,
ma dopo quasi un mese di peregrinazioni caddero nelle mani dei miliziani. Al
momento della morte aveva 28 anni; era religioso da nove e sacerdote da due e
mezzo. È stato beatificato a Girona il 6 maggio 2017, insieme ai suoi compagni
di martirio.
José (in catalano Josep)
Oriol Isern Massó nacque a Villanueva y Geltrú (Vilanova i La Geltrú), vicino
Barcellona, il 16 giugno 1909. Professò i voti religiosi tra i Missionari del
Sacro Cuore di Gesù il 4 gennaio 1927; fu ordinato sacerdote il 1° aprile 1933.
Compì il noviziato a Lovanio, in Belgio, e completò gli studi teologici a
Logroño.
Ricevette l’incarico di
professore di Disegno nella Scuola Apostolica di Canet de Mar. Si distinse per
la bontà verso i ragazzi della scuola e la passione per le missioni. Timido di
carattere, riusciva però a essere di buona compagnia.
Il 21 luglio 1936, nel
pomeriggio, arrivò alla porta della scuola un drappello di miliziani comunisti,
i quali iniziarono a sparare per aria allo scopo di segnalare la propria
presenza. Un rappresentante del Comitato rivoluzionario locale si presentò con
l’ordine di far sgombrare il convento.
Padre José divise con i
confratelli la prigionia forzata nel parco che circondava il santuario della
Madonna della Misericordia, che era vicino alla Scuola Apostolica, fino al
tentativo di fuga nella notte del 3 agosto 1936.
Insieme a sei compagni,
vagò per le montagne e per i boschi, domandando rifugio e indicazioni per
riuscire a raggiungere la frontiera con la Francia. Il 28 settembre, dopo quasi
un mese di peregrinazioni, capitarono nella casa di uno dei capi dei Comitati.
Furono quindi indirizzati in un luogo chiamato La Ginella, ma là erano attesi
da un gruppo di miliziani, che li catturarono all’istante.
Furono quindi condotti
alla sede centrale del Comitato, a Sant Joan de les Fonts. Lungo il tragitto,
le guardie domandarono loro se portassero armi e se fossero frati o sacerdoti.
Replicarono che di armi non ne avevano, ma erano dei religiosi; tanto bastò per
segnare la loro fine terrena.
La sera del 29 settembre
1936, i sette Missionari furono caricati su di un autobus requisito dai
miliziani, legati a due a due, mentre l’ultimo aveva le mani legate dietro le
spalle. Il veicolo, preceduto da un’automobile, si fermò in un punto della
strada verso Seriñá, sul ponte del fiume Ser, dove sorgeva una piccola casa in
rovina.
Furono spinti fuori
dall’autobus i primi quattro condannati, mentre uno dei Missionari supplicava:
«Non uccideteci, che male abbiamo fatto?». Vennero quindi allineati contro il
muro in rovina e fu loro ordinato di voltare le spalle.
A quel punto, si udì,
forte e chiara, la voce di padre Antonio Arribas Hortigüela: «I codardi muoiono
di spalle, e noi non siamo né codardi né ladri. Voi ci uccidete perché siamo
religiosi. Viva...!». Plausibilmente stava per gridare: «Viva Cristo
Re!», ma la sua professione di fede fu troncata da una scarica di mitragliatrice.
Uccisi i primi quattro, furono fatti scendere dal mezzo gli altri tre, che
ebbero la stessa sorte.
I corpi dei Missionari,
verso sera, furono raccolti e portati all’obitorio. L’indomani, 30 settembre,
furono seppelliti in due fosse vicine, quattro in una e tre nell’altra.
Rimasero in quel punto fino al 30 marzo 1940, quando la sepoltura venne
debitamente identificata e le ossa vennero traslate in una nicchia del cimitero
di Canet de Mar.
Padre José Oriol Isern
Massó, insieme ai suoi sei compagni Antonio Arribas Hortigüela, Abundio Martín
Rodríguez, José Vergara Echevarría (sacerdoti), Gumersindo Gómez Rodrigo, Jesús
Moreno Ruiz e José del Amo y del Amo (fratelli coadiutori), è stato beatificato
il 6 maggio 2017 a Girona.
Autore: Emilia
Flocchini
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/97311
Beato Gumersindo Gómez Rodrigo Religioso e
martire
>>>
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Benuza, Spagna, 15
ottobre 1911 - - Seriñá, Spagna, 29 settembre 1936
Gumersindo Gómez Rodrigo
nacque a Benuza, nella regione di León, il 15 ottobre 1911. Professò i
voti tra i Missionari del Sacro Cuore di Gesù, come fratello coadiutore, l’8
dicembre 1929. Sin dal suo ingresso in congregazione si dimostrò amante del
lavoro e dotato di capacità organizzative, tanto che il suo spirito di servizio
lo rese apprezzato sia dai superiori, sia dai suoi sottoposti. Il 21
luglio 1936 fu obbligato a lasciare la casa religiosa, non prima di aver
preparato la cena per i ragazzi della Scuola Apostolica. Divise con i
confratelli l’espulsione dalla casa e la prigionia forzata nel parco adiacente,
finché, con sei compagni, fuggì; dopo quasi un mese di peregrinazioni, caddero
nelle mani dei miliziani. Al momento della morte aveva 25 anni. È stato beatificato
a Girona il 6 maggio 2017, insieme ai suoi compagni di martirio.
Gumersindo Gómez Rodrigo
nacque a Benuza, nella regione di León, il 15 ottobre 1911. Professò i
voti tra i Missionari del Sacro Cuore di Gesù, come fratello coadiutore, l’8
dicembre 1929. Sin dal suo ingresso in congregazione si dimostrò amante del
lavoro e dotato di capacità organizzative, tanto che il suo spirito di servizio
lo rese apprezzato sia dai superiori, sia dai suoi sottoposti.
Il 21 luglio 1936, nel
pomeriggio, arrivò alla porta della scuola un drappello di miliziani comunisti,
i quali iniziarono a sparare per aria allo scopo di segnalare la propria
presenza. Un rappresentante del Comitato rivoluzionario locale si presentò
con l’ordine di far sgombrare il convento. Fratel Gumersindo, però, non volle
lasciare la casa senza avere preparato la cena per i ragazzi della Scuola
Apostolica.
Divise quindi con i
confratelli la prigionia forzata nel parco che circondava il santuario della
Madonna della Misericordia, che era vicino alla Scuola Apostolica, fino al
tentativo di fuga nella notte del 3 agosto 1936.
Insieme a sei compagni,
vagò per le montagne e per i boschi, domandando rifugio e indicazioni per
riuscire a raggiungere la frontiera con la Francia. Il 28 settembre, dopo quasi
un mese di peregrinazioni, capitarono nella casa di uno dei capi dei Comitati.
Furono quindi indirizzati in un luogo chiamato La Ginella, ma là erano attesi
da un gruppo di miliziani, che li catturarono all’istante.
Furono quindi condotti
alla sede centrale del Comitato, a Sant Joan de les Fonts. Lungo il tragitto,
le guardie domandarono loro se portassero armi e se fossero frati o sacerdoti.
Replicarono che di armi non ne avevano, ma erano dei religiosi; tanto bastò per
segnare la loro fine terrena.
La sera del 29 settembre
1936, i sette Missionari furono caricati su di un autobus requisito dai
miliziani, legati a due a due, mentre l’ultimo aveva le mani legate dietro le
spalle. Il veicolo, preceduto da un’automobile, si fermò in un punto della
strada verso Seriñá, sul ponte del fiume Ser, dove sorgeva una piccola casa in
rovina.
Furono spinti fuori
dall’autobus i primi quattro condannati, mentre uno dei Missionari supplicava:
«Non uccideteci, che male abbiamo fatto?». Vennero quindi allineati contro il
muro in rovina e fu loro ordinato di voltare le spalle.
A quel punto, si udì,
forte e chiara, la voce di padre Antonio Arribas Hortigüela: «I codardi muoiono
di spalle, e noi non siamo né codardi né ladri. Voi ci uccidete perché siamo
religiosi. Viva...!». Plausibilmente stava per gridare: «Viva Cristo
Re!», ma la sua professione di fede fu troncata da una scarica di
mitragliatrice. Uccisi i primi quattro, furono fatti scendere dal mezzo gli
altri tre, che ebbero la stessa sorte.
I corpi dei Missionari,
verso sera, furono raccolti e portati all’obitorio. L’indomani, 30 settembre,
furono seppelliti in due fosse vicine, quattro in una e tre nell’altra.
Rimasero in quel punto fino al 30 marzo 1940, quando la sepoltura venne
debitamente identificata e le ossa vennero traslate in una nicchia del cimitero
di Canet de Mar.
Fratel Gumersindo Gómez
Rodrigo, insieme ai suoi sei compagni Antonio Arribas Hortigüela, Abundio
Martín Rodríguez, José Vergara Echevarría, José Oriol Isern Massó (sacerdoti),
Jesús Moreno Ruiz e José del Amo y del Amo (fratelli coadiutori), è stato
beatificato il 6 maggio 2017 a Girona.
Autore: Emilia
Flocchini
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/97313
Beato Gesù Moreno Ruiz Religioso e martire
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Osomo, Spagna, 13 gennaio
1915 - Seriñá, Spagna, 29 settembre 1936
Jesús Moreno Ruiz nacque
a Osomo presso Palencia il 13 gennaio 1915. Professò i voti tra i Missionari
del Sacro Cuore di Gesù, come fratello coadiutore, il 25 gennaio 1934. Era nel
pieno della sua formazione come uomo e come religioso quando, il 21 luglio
1936, fu obbligato a lasciare la casa religiosa di Canet de Mar, dove prestava
servizio: divise quindi con i confratelli l’espulsione dalla casa e la
prigionia forzata nel parco adiacente, finché, con sei compagni, fuggì. Dopo
quasi un mese di peregrinazioni, caddero nelle mani dei miliziani. Al momento
della morte aveva 21 anni. È stato beatificato a Girona il 6 maggio 2017,
insieme ai suoi compagni di martirio.
Jesús Moreno Ruiz nacque
a Osomo presso Palencia il 13 gennaio 1915. Professò i voti tra i Missionari
del Sacro Cuore di Gesù, come fratello coadiutore, il 25 gennaio 1934. Alto,
forte, pieno di spontaneità, dovette confrontare la propria esuberanza con le
esigenze della vita consacrata; del resto, era nel pieno del suo periodo di
formazione. Era anche molto bravo come cuoco e sapeva provocare le risate di
chi gli stava intorno.
Il 21 luglio 1936, nel
pomeriggio, arrivò alla porta della Scuola Apostolica di Canet de Mar un
drappello di miliziani comunisti, i quali iniziarono a sparare per aria allo
scopo di segnalare la propria presenza. Un rappresentante del Comitato
rivoluzionario locale si presentò con l’ordine di far sgombrare il convento.
Fratel Jesús divise
quindi con i confratelli la prigionia forzata nel parco che circondava il
santuario della Madonna della Misericordia, che era vicino alla Scuola
Apostolica, fino al tentativo di fuga nella notte del 3 agosto 1936.
Insieme a sei compagni,
vagò per le montagne e per i boschi, domandando rifugio e indicazioni per
riuscire a raggiungere la frontiera con la Francia. Il 28 settembre, dopo quasi
un mese di peregrinazioni, capitarono nella casa di uno dei capi dei Comitati.
Furono quindi indirizzati in un luogo chiamato La Ginella, ma là erano attesi
da un gruppo di miliziani, che li catturarono all’istante.
Furono quindi condotti
alla sede centrale del Comitato, a Sant Joan de les Fonts. Lungo il tragitto,
le guardie domandarono loro se portassero armi e se fossero frati o sacerdoti.
Replicarono che di armi non ne avevano, ma erano dei religiosi; tanto bastò per
segnare la loro fine terrena.
La sera del 29 settembre
1936, i sette Missionari furono caricati su di un autobus requisito dai miliziani,
legati a due a due, mentre l’ultimo aveva le mani legate dietro le spalle. Il
veicolo, preceduto da un’automobile, si fermò in un punto della strada verso
Seriñá, sul ponte del fiume Ser, dove sorgeva una piccola casa in rovina.
Furono spinti fuori dall’autobus
i primi quattro condannati, mentre uno dei Missionari supplicava: «Non
uccideteci, che male abbiamo fatto?». Vennero quindi allineati contro il muro
in rovina e fu loro ordinato di voltare le spalle.
A quel punto, si udì,
forte e chiara, la voce di padre Antonio Arribas Hortigüela: «I codardi muoiono
di spalle, e noi non siamo né codardi né ladri. Voi ci uccidete perché siamo
religiosi. Viva...!». Plausibilmente stava per gridare: «Viva Cristo
Re!», ma la sua professione di fede fu troncata da una scarica di
mitragliatrice. Uccisi i primi quattro, furono fatti scendere dal mezzo gli
altri tre, che ebbero la stessa sorte.
I corpi dei Missionari,
verso sera, furono raccolti e portati all’obitorio. L’indomani, 30 settembre,
furono seppelliti in due fosse vicine, quattro in una e tre nell’altra.
Rimasero in quel punto fino al 30 marzo 1940, quando la sepoltura venne
debitamente identificata e le ossa vennero traslate in una nicchia del cimitero
di Canet de Mar.
Fratel Jesús Moreno Ruiz,
insieme ai suoi sei compagni Antonio Arribas Hortigüela, Abundio Martín
Rodríguez, José Vergara Echevarría, José Oriol Isern Massó (sacerdoti),
Gumersindo Gómez Rodrigo e José del Amo y del Amo (fratelli coadiutori), è
stato beatificato il 6 maggio 2017 a Girona.
Autore: Emilia
Flocchini
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/97309
Beato Giuseppe del Amo y del Amo Religioso e
martire
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Pumarejo de Tera, Spagna,
12 giugno 1916 - Seriñá, Spagna, 29 settembre 1936
José del Amo y del Amo
nacque a Pumarejo de Tera, presso Zamora, in diocesi di Astorga, il 12 giugno
1916. Divenne fratello coadiutore tra i Missionari del Sacro Cuore di Gesù l’8
settembre 1934. Il 21 luglio 1936 fu obbligato a lasciare la casa religiosa di
Canet de Mar, dove prestava servizio: divise quindi con i confratelli
l’espulsione dalla casa e la prigionia forzata nel parco adiacente, finché, con
sei compagni, fuggì. Dopo quasi un mese di peregrinazioni, caddero nelle mani
dei miliziani. Al momento della morte aveva 21 anni. È stato beatificato a
Girona il 6 maggio 2017, insieme ai suoi compagni di martirio.
José del Amo y del Amo
nacque a Pumarejo de Tera, presso Zamora, in diocesi di Astorga, il 12 giugno
1916. Divenne fratello coadiutore tra i Missionari del Sacro Cuore di Gesù l’8
settembre 1934. Laborioso e dotato di sana costituzione, era molto abile nei
lavori dei campi. Accompagnava un’intensa religiosità con uno spirito allegro,
ma non sempre i suoi sforzi per migliorarsi ottenevano dei successi. I suoi
superiori, comunque, lo capivano e avevano fiducia in lui.
Il 21 luglio 1936, nel
pomeriggio, arrivò alla porta della Scuola Apostolica di Canet de Mar, dov’era
di servizio, un drappello di miliziani comunisti, i quali iniziarono a sparare
per aria allo scopo di segnalare la propria presenza. Un rappresentante del
Comitato rivoluzionario locale si presentò con l’ordine di far sgombrare il
convento.
Fratel José divise quindi
con i confratelli la prigionia forzata nel parco che circondava il santuario
della Madonna della Misericordia, che era vicino alla Scuola Apostolica, fino
al tentativo di fuga nella notte del 3 agosto 1936.
Insieme a sei compagni,
vagò per le montagne e per i boschi, domandando rifugio e indicazioni per
riuscire a raggiungere la frontiera con la Francia. Il 28 settembre, dopo quasi
un mese di peregrinazioni, capitarono nella casa di uno dei capi dei Comitati.
Furono quindi indirizzati in un luogo chiamato La Ginella, ma là erano attesi da
un gruppo di miliziani, che li catturarono all’istante.
Furono quindi condotti
alla sede centrale del Comitato, a Sant Joan de les Fonts. Lungo il tragitto,
le guardie domandarono loro se portassero armi e se fossero frati o sacerdoti.
Replicarono che di armi non ne avevano, ma erano dei religiosi; tanto bastò per
segnare la loro fine terrena.
La sera del 29 settembre
1936, i sette Missionari furono caricati su di un autobus requisito dai
miliziani, legati a due a due, mentre l’ultimo aveva le mani legate dietro le
spalle. Il veicolo, preceduto da un’automobile, si fermò in un punto della
strada verso Seriñá, sul ponte del fiume Ser, dove sorgeva una piccola casa in
rovina.
Furono spinti fuori
dall’autobus i primi quattro condannati, mentre uno dei Missionari supplicava:
«Non uccideteci, che male abbiamo fatto?». Vennero quindi allineati contro il
muro in rovina e fu loro ordinato di voltare le spalle.
A quel punto, si udì,
forte e chiara, la voce di padre Antonio Arribas Hortigüela: «I codardi muoiono
di spalle, e noi non siamo né codardi né ladri. Voi ci uccidete perché siamo
religiosi. Viva...!». Plausibilmente stava per gridare: «Viva Cristo
Re!», ma la sua professione di fede fu troncata da una scarica di
mitragliatrice. Uccisi i primi quattro, furono fatti scendere dal mezzo gli
altri tre, che ebbero la stessa sorte.
I corpi dei Missionari,
verso sera, furono raccolti e portati all’obitorio. L’indomani, 30 settembre,
furono seppelliti in due fosse vicine, quattro in una e tre nell’altra.
Rimasero in quel punto fino al 30 marzo 1940, quando la sepoltura venne
debitamente identificata e le ossa vennero traslate in una nicchia del cimitero
di Canet de Mar.
Fratel José del Amo y del
Amo, insieme ai suoi sei compagni Antonio Arribas Hortigüela, Abundio Martín
Rodríguez, José Vergara Echevarría, José Oriol Isern Massó (sacerdoti),
Gumersindo Gómez Rodrigo e Jesús Moreno Ruiz (fratelli coadiutori), è stato
beatificato il 6 maggio 2017 a Girona.
Autore: Emilia
Flocchini
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/97310
Antonio Arribas Hortigüela y 6 compañeros, Beatos Mártires, 29 de septiembre
Por: n/a | Fuente: Religion en Libertad // ArchiMadrid.org
Martires
Entre las localidades
gerundenses de Bañolas y Besalú, España, Beatos Antonio Arribas Hortigüela y 6
compañeros, asesinados por odio a la fe († 1936)
El 7 de julio de 2016, el
Santo Padre Francisco recibió en audiencia privada al cardenal Angelo Amato,
S.D.B., prefecto de la Congregación para las Causas de los Santos,
autorizando a ese dicasterio a promulgar el decreto referente al martirio de los
Venerables Siervos de Dios Antonio Arribas Hortigüela y 6 compañeros, por lo
que tan sólo queda pendiente definir la fecha en que se realizará su
beatifiación.
Fecha de beatificación: 6
de mayo de 2017, durante el pontificado de S.S. Francisco.
Los Hechos
El martirio de Antonio Arribas Hortigüela y 6 Compañeros, misioneros del
Sagrado Corazón de Jesús, asesinados en España el 29 de septiembre de 1936 en
la provincia de Girona por el mero hecho de ser frailes, fue reconocido el 8 de
julio de 2016 por el Papa Francisco.
Canet de Mar es un
pequeño pueblo barcelonés, situado a unos 40 km al norte de la Ciudad Condal, a
orillas del Mediterráneo. En la parte más elevada del pueblo, hacia ‘La Cruz’,
casi como continuación del Santuario de Nuestra Señora de la Misericordia,
patrona del Maresme, se encuentra el Seminario M.S.C.
Era el 19 de julio de
1936. En el Seminario M.S.C. (Pequeña Obra) se preparaban 65 futuros
misioneros. Cuidaban de ellos 8 sacerdotes y cuatro hermanos coadjutores. Ese
día llegó la noticia de que patrullas incontroladas se mueven por el pueblo,
asustando a unos y siendo vitoreadas por otros. Hacia las cuatro de la tarde un
tropel de gentes armadas irrumpe en el Seminario. Al fondo ya se veía la
humareda de la iglesia parroquial, que había sido incendiada.
A la vista de los
asustados muchachos, las intenciones primeras de saqueo y quema se suavizan.
«No os pasará nada», les dicen. Incluso, ante una blasfemia que lanza alguno,
pudo escucharse la caricaturesca corrección tolerante del jefe en funciones:
«Respeto a las ideas, camarada».
A continuación, obligan a
los religiosos y a los niños a abandonar la casa, y les «alojan» en el parque
del Santuario de la Misericordia, que se convierte así en un pequeño campo de
concentración, donde serán vigilados a todas las horas durante las dos semanas
siguientes. Ante sus mismos ojos se saqueó primero, y se incendió después, el
Santuario.
Habían transcurrido ya
casi dos meses desde que habían salido de Canet de Mar. Era un 29 de
septiembre: entre las tres y las cuatro de la tarde fueron sacados los
religiosos de su encierro en la escuela del pueblo. Muchos vecinos estaban
presentes. Iban atados de dos en dos; el séptimo llevaba las manos atadas a la
espalda. En Besalú dejaron la carretera de Figueras para tomar la de Bañolas.
Como a unos cinco kilómetros, el coche que les sigue se detiene después de una
revuelta. El autobús sigue aún como unos 200 metros más y se detiene también,
antes de pasar el puente. Allí hay una casa de piedra, en ruinas, junto a un
pequeño ribazo con arbolado. Es el lugar elegido para matarlos.
Se detiene el coche. Ha
llegado la hora, la gran hora, el gran momento. Sacan primero a cuatro,
mientras los demás quedan en el coche. Les ordenan que se coloquen en el
ribazo. Son vanos los gritos, los ruegos y las lágrimas:
- No nos matéis. ¿Qué mal
hemos hecho?
Nada es capaz de ablandar
el corazón de aquellas hienas. Les mandan que se pongan de espaldas. Y entonces
surge la voz valerosa de uno de los cuatro: -"Los cobardes mueren de
espalda y nosotros no somos ni cobardes, ni criminales. Vosotros nos matáis
porque somos religiosos. ¡Viva..." La descarga apagó e1 viva empezado sin
que llegara a su término. Cayeron los cuatro primeros. Inmediatamente, sacan a
los otros tres. Ni los gritos, ni las súplicas logran conmo¬ver a aquellos
pechos de fiera.
Los ponen delante de los
caídos y los acribillan a balazos. Así, en un momento terrible y sublime a la
vez, quedaron segadas aquellas vidas puras e inocentes. En dos filas quedaron
tendidos sus cuerpos inertes y sin vida. Sus almas, acompañadas de los Ángeles,
volaron a la presencia del Cordero. El sacrificio estaba consumado. Ahora, la
tierra regada por su sangre generosa, ya puede germinar y dar flores de alegría
y de esperanza, y frutos de vida eterna.
Breves Biografías
Padre Antonio Arribas Hortigüela. Nació en Cardeñadijo (Burgos) el 29 de
abril de 1908. Llevaba diez años como profeso en la Congregación de Misioneros
del Sagrado Corazón, y poco más de un año de sacerdocio. Su primer y único
destino fue la Pequeña Obra (Seminario Misionero MSC) de Canet de Mar. En el
momento supremo del sacrificio fue el que dio el grito de “Viva Cristo Rey”,
que una ráfaga de ametralladora impidió terminar. Tenía 28 años.
Padre Abundio Martín
Rodríguez. Era natural de Villaescusa de Ecla (Burgos), donde nació el 14
de abril de 1908. Había hecho la Profesión Religiosa hacía 11 años. Llevaba
cinco años como sacerdote. Cuando fue asesinado tenía 28 años.
Padre José Vergara
Echevarría. Navarro, natural de Almándoz. Había nacido el 18 de junio de 1908.
Llevaba nueve años como miembro de la Congregación MSC Fue ordenado sacerdote
en 1934. Llevaba dos años como profesor-educador de los futuros misioneros.
Tenía, al ser asesinado, 28 años de edad.
Padre Joseph Oriol
Isern Massó. Era natural de Vilanova i la Geltrú (Barcelona). Había
ingresado en la Congregación de Misioneros del Sagrado Corazón a los 20 años.
En 1933 fue ordenado sacerdote y destinado a la casa de Canet de Mar. Tenía 23
años al ser asesinado.
Hermano Gumersindo Gómez
Rodrigo. Había nacido en Benuza (León). Cuando fue asesinado tenía 25
años. Hizo su profesión Religiosa como Hermano Coadjutor en 1929. Ejemplo de
humildad en caridad evangélica.
Hermano Jesús Moreno
Ruiz. Natural de Osorno (Palencia). Al morir tenía 21 años. Había hecho su
primera Profesión religiosa en 1934; estaba, pues, en plena etapa de formación.
Hermano José del Amo del Amo. Era el más joven de todos. Tenía 20 años
recién cumplidos cuando fue asesinado. Había nacido en Pumarejo de Tera
(Zamora). Hacía tan sólo cuatro años que había profesado en la Congregación
MS.C como Hermano Coadjutor.
Voir aussi : https://www.diocese-bourges.org/actualites/nos-martyres-gb.pdf
https://www.misacores.org/provincia-espanola/nuestros-martires.html