jeudi 30 mai 2013

Saint FÉLIX I, Pape et martyr



Saint Félix Ier

Pape (26 ème) de 269 à 274 (+ 274)

Il établit la coutume de célébrer la messe sur le tombeau des martyrs. Nous connaissons peu de choses au travers du "Liber Pontificalis" qui nous rappelle qu'il dût arbitrer aussi les querelles théologiques avec l'Orient syrien.

À Rome au cimetière de Calliste sur la voie Appienne, en 274, la mise au tombeau de saint Félix Ier, pape, qui dirigea l’Église romaine au temps de l’empereur Aurélien.

Martyrologe romain

SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1245/Saint-Felix-Ier.html

Saint Félix Ier

Fête saint : 30 Mai

Présentation

Titre : Pape et martyr

Date : 274

Pape : Saint Félix

Empereur : Aurélien

il condamne par avance les hérésies de Nestorius et d’Eutychès, enseignant que le Verbe éternel n’est point une autre personne que Jésus-Christ, et qu’il est Dieu parfait et homme parfait. Cette lettre était adressée à l’évêque Maxime et aux clercs de l’église d’Alexandrie : Ce saint Pape l’écrivit contre les erreurs de Sa­bellius, de Paul de Samosate et de Manès, chef des Manichéens. Saint Vincent de Lérins assure qu’elle fut lue au Concile général d’Éphèse.

La Vie des Saints : Saint Félix Ier

Saint Félix Ier

À Rome, sur la voie Aurélienne, la naissance au ciel de saint Félix, pape, qui mérita la couronne du martyre sous l’empereur Aurélien. 274.

Hagiographie de saint Félix Ier

Saint Félix, premier du nom, était romain et fils de Constance. L’éminence de sa vertu, qui le rendait le plus considérable du clergé de Rome, le fit élire Pape après le martyre de saint Denis. Ce fut le dernier jour de l’année 269.

Nous avons quatre Épîtres sous son nom dans le Ier tome des Conciles : dans la première, qu’il adresse à l’évêque Paterne, il fait de fort beaux dé­crets touchant les accusations des clercs et des évêques, et marque com­ment le primat se doit gouverner à l’endroit d’un évêque accusé. Il défend aussi d’avoir égard aux dépositions des détracteurs et des calomniateurs, ni de juger un accusé absent et sans l’avoir écouté.

Dans la seconde, qu’il écrit à tous les évêques des Gaules, il déclare qu’un évêque chassé de son siège, et dépouillé de ses biens ne peut être jugé avant d’être rétabli dans tout ce qu’on lui a ôté : ce qui a été souvent ordonné par les Papes et dans les Conciles. Dans la troisième, qu’il envoya à l’évêque Bénigne, il traite de la foi et réfute ceux qui disaient que le Fils de Dieu ne voyait pas son Père et qu’il était moindre que lui. Enfin, dans la quatrième, dont il ne nous reste qu’un fragment, qui se trouve dans l’action première du Concile de Chalcédoine et dans l’Apologie de saint Cyrille, il condamne par avance les hérésies de Nestorius et d’Eutychès, enseignant que le Verbe éternel n’est point une autre personne que Jésus-Christ, et qu’il est Dieu parfait et homme parfait. Cette lettre était adressée à l’évêque Maxime et aux clercs de l’église d’Alexandrie : Ce saint Pape l’écrivit contre les erreurs de Sa­bellius, de Paul de Samosate et de Manès, chef des Manichéens. Saint Vincent de Lérins assure qu’elle fut lue au Concile général d’Éphèse.

Saint Félix fit d’autres ordonnances très-avantageuses à l’Église, entre autres, que nul que le prêtre n’offrît le sacrifice : ce que quelques clercs ou laïques voulaient usurper, par une erreur et un sacrilège détestables ;  que l’on ne célébrât point les divins Mystères hors de l’église, ni dans un lieu profane, sans une nécessité absolue, parce qu’il y avait moins d’incon­vénient de n’entendre point la messe, que de la dire dans un lieu indé­cent ; … qu’on consacrait le Corps et le Sang de Jésus-Christ sur les tom­beaux ou mémoires des martyrs ; c’est-à-dire qu’on mît leurs reliques sous les autels, suivant ces paroles de l’Apocalypse :

« J’ai vu, sous l’autel de Dieu, les âmes de ceux qui ont été tués pour la parole de Dieu, et pour le témoignage qu’ils en avaient rendu ».

C’était déjà la pratique de l’Église ; mais il n’y avait point encore, avant notre Saint, d’ordonnance par écrit.

Il conféra deux fois les ordres au mois de décembre, dans lesquels il créa neuf prêtres, cinq diacres et cinq évêques. Il finit sa vie l’an 274, sous l’empereur Aurélien : car, bien que ce prince eût fait paraître, dans le com­mencement de son règne, de la bienveillance pour les chrétiens, il alluma néanmoins contre eux une furieuse persécution, dans laquelle sainte Félix fut enveloppé, et mérita, par un glorieux martyre, la couronne promise aux serviteurs qui ont fidèlement combattu pour le nom de Jésus-Christ ; Son corps fut enterré sur la voie Aurélienne, dans son propre cimetière, où il avait fait bâtir une église. Il avait siégé cinq ans, dix mois et vingt-cinq jours.

SOURCE : https://www.laviedessaints.com/saint-felix-ier-pape-et-martyr/

St Félix Ier, pape et martyr

D’après la Depositio Episcoporum de 354, Félix Ier fut inhumé le 30 décembre 274 dans la crypte des papes au cimetière de Callixte. Le Liber Pontificalis le confondra avec un homonyme de la via Aurélia et donne le 30 mai pour jour de sa mort.

A la suite de la Chronique Papale, les calendriers inscrivirent à ce jour la mémoire de St Félix, pape et martyr. La fête fut inscrite aux XIe et XIIe dans les calendriers des basiliques romaines.

Leçon des Matines avant 1960

Troisième leçon. Félix, né à Rome, et fils de Constantius, gouverna l’Église sous le règne de l’empereur Aurélien. Ce Pape ordonna que la Messe fût célébrée sur les reliques ou sur les tombeaux des Martyrs. Il fit au mois de décembre deux ordinations, et y ordonna neuf Prêtres, cinq Diacres et sacra cinq Évêques pour divers pays. Ayant reçu la palme du martyre, il fut enseveli sur la voie Aurélia, dans une basilique élevée et consacrée par lui. Il avait passé dans le souverain pontificat deux ans, quatre mois et vingt-neuf jours.

Dom Guéranger, l’Année Liturgique

Les saints papes de l’âge primitif apparaissent en groupe sur cette dernière partie du Cycle pascal. Aujourd’hui, c’est Félix Ier, un martyr de la persécution d’Aurélien au IIIe siècle. Le détail de ses actes ne s’est pas conservé ; nous savons seulement qu’il proclama le dogme de l’Incarnation avec une admirable précision dans une lettre à l’Église d’Alexandrie, dont un fragment fut lu avec éloge dans les deux conciles œcuméniques d’Éphèse et de Chalcédoine.

Un autre trait emprunté aux usages de l’Église de ces temps orageux nous montre le saint Pontife empressé à faire rendre aux saints martyrs l’honneur qui leur est dû. Il ordonna qu’on célébrerait le divin Sacrifice sur leurs tombeaux ; et l’Église pratique encore aujourd’hui un reste de cette prescription en exigeant que tous les autels, fixes ou portatifs, contiennent au moins quelques reliques des martyrs. Nous aurons occasion de revenir sur cet usage.

Voici le court récit que la Liturgie consacre à la mémoire du saint Pape.

Felix, né à Rome, fils de Constantius , gouverna l'Eglise sous l'empire d'Aurélien. Il ordonna que la Messe serait célébrée sur les Mémoires et sur les Sépulcres des martyrs. Il tint deux ordinations au mois de décembre, où il créa neuf prêtres, cinq diacres et cinq évêques pour divers lieux. Il fut couronné du martyre, et enseveli sur la voie Aurélia, dans une basilique qu'il avait élevée, et qu'il dédia. Il vécut dans le pontificat deux ans. quatre mois et vingt-neuf jours.

Vous avez imité dans sa mort votre Maître divin, ô saint Pontife ; car vous avez donné comme lui votre vie pour votre troupeau. Comme lui aussi vous sortirez vivant du tombeau, et votre âme bienheureuse viendra rejoindre ce corps qui a souffert la mort en témoignage de la vérité que vous annonciez dans Rome. Jésus est le premier-né entre les morts [1] ; après l’avoir suivi dans sa passion, vous le suivrez dans sa résurrection. Votre corps fut déposé dans ces souterrains glorieux que la piété de l’Église de votre temps décora du nom de Cimetières, qui signifie un lieu préparé pour le sommeil. Vous vous réveillerez, ô Félix, en ce grand jour où la Pâque recevra son dernier accomplissement ; priez afin que nous ayons part avec vous à la bienheureuse résurrection. Obtenez que les grâces de la solennité pascale se conservent en nous, et disposez nos cœurs à la visite de l’Esprit-Saint, qui confirme dans les âmes l’œuvre accomplie par le divin auteur du salut.

[1] Apoc. I, 5.

Bhx Cardinal Schuster, Liber Sacramentorum

Bosio retrouva, dans le pavement de la basilique de Sainte-Cécile au Transtévère, une épigraphe provenant d’une basilica domni Felicis, que les Itinéraires nous indiquent tous sur la voie de Porto :

GAVDIOSA DE

POSITA IN BAS

ILICA DOMNI

FILICIS

Qui était ce Félix, identifié plus tard avec le premier Pape de ce nom ?

Au vrai, quand les Itinéraires le nomment, ils lui attribuent seulement le titre de martyr ; si bien que Bosio a pu supposer qu’il s’agissait d’un martyr d’Ostie, mentionné dans les Actes de saint Hippolyte. Quoi qu’il en soit, l’identification de ce domnus Felix avec saint Félix Ier, pape, est toujours exclue, puisque ce dernier, au témoignage du Liber Pontificalis, reposait dans la crypte papale du cimetière de Callixte.

Le martyr Félix de la voie de Porto était toutefois à Rome l’objet d’une grande vénération, si bien qu’il avait fini par donner son nom à la porte qui, du Transtévère, ouvrait la route aboutissant à Porto Romano après avoir longé la rive droite du Tibre. On célèbre sa fête le 29 juillet, et c’est seulement grâce à une équivoque que les Martyrologes du moyen âge l’ont anticipée au 29 mai, jour considéré comme le natalis de Félix Ier. C’est ainsi que la fête de ce dernier est entrée dans le Bréviaire, grâce à la célébrité de l’autre Félix. En réalité, Félix Ier mourut le 30 décembre 274.

Il est inutile d’ajouter que le Hiéronymien ne dit rien aujourd’hui ni du martyr de la voie de Porto ni du Pontife de la crypte de Callixte. Les Bollandistes citent cette gracieuse inscription de Cornélius Hazart à la louange de Félix Ier qui, nous dit le Liber Pontificalis, décréta que le saint Sacrifice ne devait être célébré que sur le tombeau des martyrs :

SANGVINE • ROMANVS • FELIX • PRIMAE • QVE • CATHEDRAE

SESSOR • ET • INSIGNIS • MORIBVS • HIC • TEGITVR

VT • REGERET • SACRAM • FELICI • SYDERE • NAVIM

NON • TIMVIT • STRICTAS • IN • SVA • FATA • MANVS

La messe [2], durant le temps pascal, est celle du Commun : Protexisti ; hors de ce temps, c’est la messe Státuit. La collecte, dans l’un et l’autre cas, sont empruntées à cette dernière messe, la secrète et la postcommunion, de la messe Sacerdótes Dei.

[2] Avant 1942.

Dom Pius Parsch, le Guide dans l’année liturgique

Honorer les saints, c’est honorer le Christ.

Saint Félix. Jour de mort : 30 décembre 274. Tombeau : à Rome, dans le cimetière de Saint-Callixte. Vie : Félix 1er était Romain de naissance. Son père s’appelait Constance. Il gouverna l’Église de Dieu sous l’empereur Aurélien (270-275). Il décida que le Saint-Sacrifice serait célébré sur les « mémoires » et les tombeaux des martyrs. Il fit deux ordinations au mois de décembre dans lesquelles il ordonna neuf prêtres, cinq diacres et cinq évêques pour différents sièges. Il souffrit le martyre.

Pratique : Le saint pape fit un acte important en décidant que le Saint-Sacrifice serait célébré sur les tombeaux des martyrs. Cet antique usage de l’Église s’est conservé jusqu’à nos jours. D’après les rubriques, il doit y avoir, dans tous les autels, des reliques de martyrs. Ainsi l’union intime entre les corps des saints et le corps du Christ a été établie pour tous les temps. Cet usage, aussi, nous explique le sens profond du culte des saints. Les saints sont les membres du Christ. — La messe est du commun des Souverains Pontifes (Si diligis).

SOURCE : http://www.introibo.fr/30-05-St-Felix-Ier-pape-et-martyr#nh1

Saint Félix I (269-274)

Il eut à luter contre le manichéisme qui niait l’essence du Christ et n’admettait que deux principes régissant le monde : le bien et le mal.

Mort martyr en 274.

SOURCE : http://eglise.de.dieu.free.fr/liste_des_papes_02.htm

Papa Felice I


Pope Saint Felix I

Memorial

30 December

30 May (1960 calendar)

Profile

Son of Constantius; little else is known of his early life. Chosen 26th pope in 269. Believed to have given sanction to the ancient practice of celebrating anniversary Masses at the graves of martyrs. First to condemn the heresy spread by Paul of Samosata which taught that Christ was a mere man used as a puppet by God. Suffered through the persecutions of Aurelian, working personally to bring non-Christians to the faith. Some old records indicate that he was a martyr, the reason for his inclusion on early calendars of the saints, but they were apparently in error, confusing him with another Felix of the era.

Born

in RomeItaly

Papal Ascension

269

Died

274

Canonized

Pre-Congregation

Representation

pope with an anchor

Additional Information

Book of Saints, by the Monks of Ramsgate

Catholic Encyclopedia

Encyclopedia Britannica

Golden Legend

Lives of the Saints, by Father Alban Butler

New Catholic Dictionary

books

Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints

other sites in english

Wikipedia

images

Santi e Beati

sitios en español

Martirologio Romano2001 edición

sites en français

La fête des prénoms

fonti in italiano

Cathopedia

Santi e Beati

MLA Citation

“Pope Saint Felix I“. CatholicSaints.Info. 29 December 2021. Web. 13 June 2022. <https://catholicsaints.info/pope-saint-felix-i/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/pope-saint-felix-i/

Pope St. Felix I

Date of birth unknown; d. 274. Early in 269 he succeeded Saint Dionysius as head of the Roman Church. About this time there arrived at Rome, directed to Pope Dionysius, the report of the Synod of Antioch which in that very year had deposed the local bishopPaul of Samosata, for his heretical teachings concerning the doctrine of the Trinity (see Antioch). A letter, probably sent by Felix to the East in response to the synodal report, containing an exposition of the doctrine of the Trinity, was at a later date interpolated in the interest of his sect by a follower of Apollinaris (see Apollinarianism). This spurious document was submitted to the Council of Ephesus in 431 (Mansi, "Coll. conc.", IV, 1188; cf. Harnack, "Geschichte der altchristlichen Literatur", I, 659 sqq.; Bardenhewer, "Geschichte der altchristlichen Literatur", II, 582 sq.). The fragment preserved in the Actsof the council lays special emphasis on the unity and identity of the Son of God and the Son of Man in Christ. The same fragment gives Pope Felix as a martyr; but this detail, which occurs again in the biography of the pope in the "Liber Pontificalis" (Ed. Duchesne, I, 58), is unsupported by any authentic earlier evidence and is manifestly due to a confusion of names. According to the notice in the "Liber Pontificalis", Felix erected a basilica on the Via Aurelia; the same source also adds that he was buried there ("Hic fecit basilicam in Via Aurelia, ubi et sepultus est"). The latter detail is evidently an error, for the fourth century Roman calendar offeasts says that Pope Felix was interred in the Catacomb of St. Callistus on the Via Appia ("III Kal. Januarii,Felicis in Callisti", it reads in the "Depositio episcoporum"). The statement of the "Liber Pontificalis"concerning the pope's martyrdom results obviously from a confusion with a Roman martyr of the same nameburied on the Via Aurelia, and over whose grave a church was built. In the Roman "Feriale" or calendar offeasts, referred to above, the name of Felix occurs in the list of Roman bishops (Depositio episcoporum), and not in that of the martyrs. The notice in the "Liber Pontificalis" ascribes to this pope a decree that Massesshould be celebrated on the tombs of martyrs ("Hic constituit supra memorias martyrum missas celebrare"). The author of this entry was evidently alluding to the custom of celebrating the Holy Sacrifice privately, at thealtars near or over the tombs of the martyrs in the crypts of the catacombs (missa ad corpus), while thesolemn celebration of the Sacred Mysteries always took place in the basilicas built over the catacombs. This practice, still in force at the end of the fourth century (Prudentius, "Peristephanon", XI, vv. 171 sqq.), datesapparently from the period when the great cemeterial basilicas were built in Rome, and owes its origin to thesolemn commemoration services of martyrs, held at their tombs on the anniversary of their burial, as early as the third century. Felix probably issued no such decree, but the compiler of the "Liber Pontificalis" attributed it to him because he made no departure from the custom in force in his time. According to the above-mentioned detail of the "Depositio episcoporum", Felix was interred in the catacomb of St. Callistus, 30 December. In the present Roman Martyrology his name occurs 30 May, the date given in the "Liber Pontificalis" as that of his death (III Kal. Jun.); it is probably an error which could easily occur through a transcriber writing Jun. for Jan.

Sources

Liber Pontificalis, ed. Duchesne, I, introd. cxxv; text, 158, with the notes; De Rossi, Roma sotterranea, II, 98-104; Acta SS., May, VII, 236-37; Langen, Geschichte der römischen Kirche (Bonn, 1881), I, 365-69; Allard, Histoire des persécutions, III, 243 sqq.

Kirsch, Johann Peter. "Pope St. Felix I." The Catholic Encyclopedia. Vol. 6. New York: Robert Appleton Company, 1909. 30 May 2015 <http://www.newadvent.org/cathen/06029b.htm>.

Transcription. Dedicated to the memory of Brother Declan Brown, LC.

Ecclesiastical approbation. Nihil Obstat. September 1, 1909. Remy Lafort, Censor. Imprimatur. +John M. Farley, Archbishop of New York.

Copyright © 2021 by Kevin Knight. Dedicated to the Immaculate Heart of Mary.

SOURCE : http://www.newadvent.org/cathen/06029b.htm

Felix I, Pope M (RM)

Died December 30, 274. Nothing is known of him except that he was a Roman, the son of one Constantius, was elected pope to succeed Saint Dionysius on January 5, 269. He ordered the celebration of Mass over the tombs of martyrs in the catacombs and was the first to condemn the heresy of Paul of Samosata, patriarch of Antioch. He died a natural death--not as a martyr as stated by the Roman Martyrology (Benedictines, Delaney). In art, Saint Felix is a pope with an anchor (Roeder).

SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0530.shtml

May 30

St. Felix I., Pope and Martyr

See the Bollandists, and Tillemont, t. 4

A.D. 274.

HE was a Roman by birth, and succeeded St. Dionysius in the government of the church in 269. Paul of Samosata, the proud bishop of Antioch, to the guilt of many enormous crimes, added that of heresy, teaching that Christ was no more than a mere man, in whom the Divine Word dwelt by its operation, and as in its temple, with many other gross errors concerning the capital mysteries of the Trinity and Incarnation. Two councils were held at Antioch to examine his cause; but by various arts and subterfuges he escaped condemnation. However, in a third, assembled at the same place in 269, being clearly convicted of heresy, pride, and many scandalous crimes, he was excommunicated and deposed, and Domnus was substituted in his room. Paul still maintained himself in the possession of the episcopal house. The bishop, therefore, had recourse to the Emperor Aurelian, who, though a pagan, gave an order that the house should belong to him to whom the bishops of Rome and Italy adjudged it, as Eusebius writes. 1 St. Felix had before declared himself against that heresiarch; for the council had sent the synodal letter to St. Dionysius, who being dead, it had been delivered to St. Felix. It must have been on that occasion that our holy pope wrote to Maximus, bishop of Alexandria, a learned epistle, quoted by the council of Ephesus, St. Cyril of Alexandria, and St. Vincent of Lerins; in which he clearly explained the Catholic doctrine of the whole mystery of the Incarnation. St. Cyril has preserved us a fragment of it. 2 The persecution of Aurelian breaking out, St. Felix, fearless of dangers, strengthened the weak, encouraged all, baptised the catechumens, and continued to exert himself in converting infidels to the faith. He himself obtained the glory of martyrdom; which title is given him by the council of Ephesus, 3 by St. Cyril, 4 and by St. Vincent of Lerins. 5 He governed the church five years, and passed to a glorious eternity in 274. The western Martyrologies name him on the 30th of May.

The example of Christ, and of all his saints, ought to encourage us under all trials to suffer with patience, and even with joy. We shall soon begin to feel that it is sweet to tread in the steps of a God-man, and shall find that if we courageously take up our crosses, he will make them light by bearing them with us. The soul will find it sweet to be abandoned by creatures, that she may more perfectly feel their emptiness, and learn that men are false and treacherous. Then will she place her whole confidence in God alone, and cleave to him with her whole heart. Forsaken and forgotten by creatures, she finds no relish but in God who enters her more powerfully, and fills her with his consolations the more sweetly, as she is the more weaned and separated from all earthly things, and more purely adheres to him who never forsakes those who sincerely seek Him. O happy exchange! cries out St. Francis of Sales; the soul thus abandoned in the eyes of men, now possesses God instead of creatures.

Note 1. L. 7, c. 80, p. 282. [back]

Note 2. Apologet. p. 852. [back]

Note 3. Act. 1, Conc. t. 1, p. 512. [back]

Note 4. Apol. t. 3, Conc. p. 852. [back]

Note 5. P. 375. [back]

Rev. Alban Butler (1711–73).  Volume V: May. The Lives of the Saints.  1866.

SOURCE : http://www.bartleby.com/210/5/301.html

Golden Legend – Saint Felix the Pope

Article

Here followeth the Life of Saint Felix, and first of his name.

Felix is said of felicitas, that is blessedness; or else Felix as bearing strifes and tribulations of this world for everlasting life. Or Felix, bearing light or water to faith, which is to say, leading people to the faith.

Of Saint Felix

Felix was chosen pope instead of Liberius, and was ordained and sacred, for because Liberius the pope would not consent to the heresy of the Arians, he was sent into exile of Constantius, son of Constantine, and there abode three years, wherefore all the clergy of Rome ordained Felix to be pope by the will and consent of Liberius. And then this Felix assembled a council of forty-eight bishops and condemned Constantius as Arian and heretic, and two priests, which favoured and sustained him in his heresy. For which thing Constantius was wroth and chased Felix out of his bishopric, and called again Liberius by this covenant, that he should be partner with him and the other whom Felix had condemned. And Liberius, which was tormented by the grievousness of his exile, submitted him unto the evil heresy, and thus the persecution grew more, in so much that many priests and clerks were slain within the church, without that Liberius defended them. And Felix, which was cast out of his bishopric, dwelled in his own heritage, of which he was put out, and martyred by smiting off his head, about the year of our Lord three hundred and forty.

SOURCE : https://catholicsaints.info/golden-legend-saint-felix/


San Felice I Papa

30 dicembre

m. 274

(Papa dal 05/01/269 al 30/12/274)

Romano. Gli si attribuisce la disposizione a celebrare le Messe sopra le tombe che custodivano le reliquie dei martiri cristiani.

Etimologia: Felice = contento, dal latino

Martirologio Romano: A Roma nel cimitero di Callisto sulla via Appia, deposizione di san Felice I, papa, che resse la Chiesa di Roma sotto l’imperatore Aureliano.

Secondo la breve biografia contenuta nel Liber Pontificalis Felice era romano, figlio di un certo Costantino; eletto al sommo pontificato agli inizi del 269, stabilì con un decreto che si celebrasse la Messa sulle "memorie" dei martiri; durante l'impero di Aureliano ottenne la palma del martirio e fu sepolto al secondo miglio della via Aurelia, in una basilica da lui stesso edificata, il 30 maggio 274.

Parecchie di queste notizie sono false; non consta, infatti, che Felice sia morto martire, poiché il suo nome non fu inserito nella Depositio martyrum, ma in quella episcoporum, il che vuol dire che all'inizio del sec. IV non era venerato a Roma come martire. Il suo dies natalis non è il 30 maggio come dice il Liber Pontificalis e ripete il Martirologio Romano, ma il 30 dicembre; evidentemente l'anonimo compilatore lesse III Kal.iun. invece di III Kal.ian. Non è certo che abbia edificato una basilica sulla via Aurelia ed è sicuramente falso ch'egli sia stato sepolto sulla stessa via, perché la Depositio episcoporum attesta chiaramente che il suo sepolcro era nel cimitero di Callisto sulla via Appia. L'equivoco nacque dal fatto che sulla via Aurelia era realmente sepolto e venerato un martire Felice col quale fu identificato e confuso il papa. Anche del decreto liturgico attribuitogli dal Liber Pontificalis non si può affermare l'autenticità, come è certamente apocrifa la lettera che Felice avrebbe scritto alla Chiesa di Alessandria, un frammento della quale fu riferito da s. Cirillo d'Alessandria, e letto al concilio di Efeso (431): in realtà si tratta di un falso degli Apollinaristi. L'unica notizia certa su Felice rimane perciò il latercolo della Depositio episcoporum, e gli anni del suo pontificato.

Probabilmente egli dovette interessarsi della questione di Paolo di Samosata, perché fu lui a ricevere la lettera sinodale che il concilio di Antiochia del 268 aveva inviato al papa Dionigi che nel frattempo era morto. Fu infatti durante il governo di Felice che l'imperatore Aureliano, dopo la deposizione di Paolo, decise di assegnare i beni immobili della Chiesa antiochena a quei fedeli che erano in comunione con la Chiesa di Roma.

Autore: Agostino Amore

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/55150

FELICE I, santo

di Giovanni Maria Vian - Enciclopedia dei Papi (2000)

Secondo la breve notizia del Liber pontificalis (I, p. 158), F. era romano e figlio di un Costanzo. Fu vescovo di Roma dopo Dionigi, come attesta anche Eusebio (Historia ecclesiastica VII, 30, 23), e il Catalogo Liberiano (la lista dei papi fino a Liberio contenuta nel Cronografo del 354 e utilizzata poi dal Liber pontificalis) assegna al suo episcopato una durata di cinque anni, undici mesi e venticinque giorni al tempo degli imperatori Claudio e Aureliano, dal consolato di Claudio e Paterno fino a quello di Aureliano e Capitolino, quindi probabilmente tra il 5 gennaio 269 e il 30 dicembre 274 (cfr. Le Liber pontificalis, I, pp. 6-7); una durata leggermente diversa ha proposto C.H. Turner. Nulla si sa della sua vita precedente e ben poco del suo stesso pontificato, legato tuttavia alla deposizione di Paolo di Samosata come vescovo di Antiochia e soprattutto a una rilevante testimonianza della considerazione acquisita dalla Sede romana e ormai a essa largamente riconosciuta.

Importante funzionario dell'amministrazione finanziaria (ducenarius) dell'autonomo Regno di Palmira (retto prima da Odenato e poi, in nome del figlio Vaballato, dalla vedova Zenobia) e vescovo di Antiochia dal 260, Paolo venne presto accusato da una parte della comunità cristiana locale per la sua condotta di vita troppo sfarzosa e mondana, per sconcertanti innovazioni liturgiche e disciplinari (forse di tenore carismatico), ma soprattutto per le sue opinioni dottrinali considerate poco ortodosse (da quanto si può ricostruire, la dottrina di Paolo identificava il Figlio di Dio non con il Logos preesistente ma con l'uomo Gesù nel quale il Logos era comunque in qualche modo presente); questo contrasto venne con ogni probabilità aggravato dalla contrapposizione tra gli ambienti più ellenizzati, influenzati dalla teologia alessandrina, e quelli invece maggiormente radicati nella cultura locale, della quale Paolo era certo tra gli esponenti più in vista. Dopo un concilio che nel 264 si riunì senza esito ad Antiochia, un altro concilio antiocheno tenutosi nel 268 depose Paolo, lo sostituì con Domno (figlio di Demetriano, che era stato il predecessore di Paolo) e informò dei fatti il vescovo di Roma Dionigi e quello di Alessandria Massimo. La lettera, in buona parte conservata da Eusebio (Historia ecclesiastica VII, 30, 1-18), arrivò a Roma quando, dopo la morte di Dionigi, già era stato eletto come suo successore Felice.

Nonostante la deposizione decretata dal concilio antiocheno del 268 e l'elezione di Domno, Paolo non accettò queste decisioni e resistette al suo posto finché Zenobia non fu sconfitta nel 272 dall'imperatore Aureliano e questi, sulla base di un appello dei suoi avversari, decise la sua rimozione e assegnò la sede e gli edifici episcopali al gruppo che era in rapporto con i vescovi d'Italia e di Roma, secondo la notizia di Eusebio (ibid. VII, 30, 19). Quest'ultima espressione non esclude, secondo F. Millar, una possibile allusione alla lealtà politica nei confronti di Roma del partito avverso a Paolo ma, di sicuro sapore ecclesiastico, potrebbe essere stata ricavata dal testo del ricorso, perduto, all'imperatore e comunque appare una rilevante conferma dell'importanza attribuita alla Sede romana non solo nella cristianità orientale ma anche da parte dello Stato.

A tale episodio va molto probabilmente riferita una lettera, se autentica, attribuita a F. "santissimo vescovo di Roma e martire" e indirizzata a Massimo vescovo di Alessandria e al suo clero. Di questo testo, perduto, è sopravvissuta una breve professione di fede preceduta dall'intestazione citata nella quale si afferma tra l'altro che Gesù Cristo è "il Figlio eterno di Dio e Logos e non un uomo assunto da Dio". Citata due volte da Cirillo di Alessandria, quindi in un florilegio da lui ispirato letto durante il concilio di Efeso del 431 e poi inserita in altri florilegi più tardi, soprattutto siriaci e di origine monofisita, fin dal Settecento questa breve professione di fede è stata generalmente riconosciuta come un falso apollinarista (risalente cioè ai seguaci di Apollinare di Laodicea, sostenitore nel IV secolo di una cristologia fortemente unitiva, opposta quindi alle opinioni teologiche di Paolo di Samosata); tuttavia secondo P. Nautin, che ammette l'innegabile tenore apollinarista del frammento, questo potrebbe benissimo risalire in origine a una lettera di F. in seguito rimaneggiata, soprattutto perché la fabbricazione di un falso avrebbe comportato l'attribuzione al vescovo di Roma Dionigi, che figurava tra i destinatari della lettera del concilio antiocheno del 268, piuttosto che al suo successore F., che nulla metteva invece in rapporto con l'affare di Paolo di Samosata.

Certamente non autentiche e confezionate invece nell'alto Medioevo (quando furono inserite nelle decretali pseudoisidoriane, raccolte di testi canonistici che si voleva risalissero ai papi dell'epoca antica) sono altre tre lettere attribuite a F. e indirizzate a un Paterno vescovo (su garanzie e procedure da osservare nei processi ecclesiastici e sul diritto d'appello alle sedi primaziali e a Roma), ai vescovi della Gallia (su analoghi temi nei processi contro i vescovi) e a un vescovo Benigno (contro l'opinione teologica, dichiarata erronea, dell'inferiorità del Figlio nei confronti del Padre); indicazioni in proposito sono nella seconda edizione dei Regesta Pontificum Romanorum, a cura di Ph. Jaffé-G. Wattenbach-S. Loewenfeld-F. Kaltenbrunner-P. Ewald, I, Lipsiae 1885, p. 23.

La breve notizia del Liber pontificalis afferma che F. ordinò di celebrare messe sulle memorie dei martiri. Secondo G.B. de Rossi il testo andrebbe interpretato nel senso che F. avrebbe riservato ai soli sepolcri dei martiri il privilegio della celebrazione di messe e in questo stesso senso si spiegherebbe l'uso, iniziato appunto verso la fine del III secolo, di chiudere gli arcosoli nelle catacombe con transenne marmoree mediante le quali sarebbe stato così possibile impedire la celebrazione di messe sulle memorie di chi martire non fosse stato. L. Duchesne, come sua abitudine, preferisce invece vedervi traccia dell'uso romano agli inizi del VI secolo, cioè dell'epoca a cui risale la redazione del Liber pontificalis; la consuetudine liturgica delle messe ad corpus (letteralmente "presso il corpo") è tuttavia attestata già verso la fine del IV secolo, ma soprattutto, dalla notizia del Liber pontificalis non si ricavano altri particolari su quest'uso romano; per quanto poi riguarda la chiusura degli arcosoli Duchesne pensa piuttosto a una misura precauzionale per impedire usi profani delle tombe dei martiri o anche solo la loro trasformazione in loculi per deporvi altri corpi. Il Liber pontificalis attribuisce poi a F. due ordinazioni annuali (di nove presbiteri, cinque diaconi e cinque vescovi) e la costruzione di una basilica al II miglio della via Aurelia dove ("in cymiterio suo" si legge nella prima redazione del Liber pontificalis), dopo aver subito il martirio, sarebbe stato sepolto il 30 maggio ("III kal. iunias"). Gli itinerari del VII secolo parlano di un luogo di culto dove sarebbero stati venerati i due pontefici e martiri di nome Felice (quindi F. e Felice II, l'antipapa del IV secolo) sulla via Aurelia, in una località nei pressi del cimitero dei SS. Processo e Martiniano. Nel Cronografo del 354 tuttavia F. compare nella Depositio episcoporum alla data del 30 dicembre ("III kal. ianuar.") e il suo luogo di sepoltura è indicato nel cimitero di Callisto (Codice topografico, p. 12), come è confermato anche dalla grande lastra marmorea collocata da Sisto III sul lato interno della parete d'ingresso della cripta dei papi recante i nomi dei vescovi, anche di alcuni non romani, sepolti nel cimitero (Inscriptiones Christianae urbis Romae, IV, nr. 9516: "Xystus Dionysius Stephanus Urbanus / Cornelius Felix Lucius Manno / Pontianus Eutychianus Anteros Numidianus / Fabianus Gaius Laudiceus Iulianus / Eusebius Miltiades Polycarpus Optatus"). Le spoglie di F., unitamente a quelle di altri papi, vescovi e martiri sepolti nel cimitero callistiano, al tempo di Pasquale I furono traslate nella chiesa di S. Prassede, come è documentato dall'iscrizione posta sul primo pilastro della navata destra (cfr. il testo riportato in Le Liber pontificalis, II, pp. 63-4). Il nome di F. è invece assente nella Depositio martyrum. Le indicazioni di questi antichi e affidabilissimi calendari liturgici romani portano quindi a escludere che papa F. sia morto martire. La notizia del suo martirio (fama diffusa anche in Oriente già nel V secolo, come si è visto dall'intestazione della professione di fede attribuitagli e sopra esaminata) e della sua sepoltura sulla via Aurelia, asserita dal Liber pontificalis, sarebbe quindi nata dalla confusione con uno o forse addirittura due personaggi di nome Felice realmente venerati come martiri e poi erroneamente identificati con i due omonimi pontefici. L'errore infine dello stesso Liber pontificalis per quanto riguarda la data si spiega facilmente secondo Duchesne con una svista dell'autore della notizia su F. che avrebbe erroneamente letto "III kal. iun." (30 maggio) invece dell'esatta lezione "III kal. ian." (30 dicembre), confermata nel V secolo anche dal Martyrologium Hieronymianum. Nel Calendarium Romanum la memoria liturgica di F., celebrata il 30 maggio, dal 1971 è stata spostata al 30 dicembre.

fonti e bibliografia

Le Liber pontificalis, a cura di L. Duchesne, I-II, Paris 1886-92: I, pp. CXXIII-CXXVI, 6-7, 10, 70-1, 158; II, pp. 63-4; III, a cura di C. Vogel, ivi 1957, p. 75.

Eusebio di Cesarea, Historia ecclesiastica VII, 30, a cura di E. Schwartz, Leipzig 1908 (Die Griechischen Christlichen Schriftsteller. Eusebius Werke, II, 2), pp. 704-15.

Sulla notizia di Eusebio a proposito dell'appello ad Aureliano e della sua decisione v.: G. Bardy, Paul de Samosate. Étude historique, Louvain 1929 (Spicilegium Sacrum Lovaniense, 4), pp. 358-63; F. Millar, Paul of Samosata, Zenobia and Aurelian: The Church, Local Culture and Political Allegiance in Third-Century Syria, "The Journal of Roman Studies", 71, 1971, pp. 14-6; J. Rist, Paul von Samosata und Zenobia von Palmyra: Anmerkungen zu Aufstieg und Fall eines frühchristlichen Bischofs, "Römische Quartalschrift", 92, 1997, pp. 145-61.

Per la professione di fede attribuita a F., v. H. Lietzmann, Apollinaris von Laodicea und seine Schule. Texte und Untersuchungen, Tübingen 1904, pp. 91-4 (introduzione), 318-21; il frammento 186 è costituito dal testo greco e dalla traduzione tedesca di un suo ampliamento siriaco e il frammento 187 dalla traduzione tedesca di un altro testo siriaco; questi frammenti sono tradotti in italiano in Apollinare, Epifanio, Gregorio di Nazianzio, Gregorio di Nissa et al., Su Cristo: il grande dibattito nel quarto secolo, a cura di E. Bellini, Milano 1978 (Di fronte e attraverso, 35), pp. 185-87; sulla questione v. anche O. Bardenhewer, Geschichte der altkirchlichen Literatur, II, Vom Ende des zweiten Jahrhunderts bis zum Beginn des vierten Jahrhunderts, Freiburg i. Br. 1914², pp. 645-46; per le citazioni dei frammenti da parte di Cirillo e le edizioni (curate da E. Schwartz negli Acta Conciliorum Oecumenicorum) successive alla raccolta di H. Lietzmann v. la voce di P. Nautin nel D.H.G.E., XVI, coll. 886-87.

Per la bibliografia su Paolo di Samosata v. la rassegna critica di L. Perrone, L'enigma di Paolo di Samosata. Dogma, chiesa e società nella Siria del III secolo: prospettive di un ventennio di studi, "Cristianesimo nella Storia", 13, 1992, pp. 253-327.

Sugli aspetti agiografici v.: Propylaeum ad Acta Sanctorum Maii, Antverpiae 1742, pp. 142-43; Bibliotheca Hagiographica Latina [...], I, Bruxellis 1898-99, p. 430; H. Delehaye, Commentarius perpetuus in Martyrologium Hieronymianum [...], in Acta Sanctorum Novembris [...], II, pars posterior, ivi 1931, pp. 15-6; Martyrologium Romanum [...] scholiis historicis instructum, in Propylaeum ad Acta Sanctorum Decembris, ivi 1940, p. 215; B. de Gaiffier, Les notices des papes Félix dans le Martyrologe Romain, "Analecta Bollandiana", 81, 1963, pp. 333-36.

Tra gli altri studi si ricordano: A Dictionary of Christian Biography, II, London 1880, s.v., pp. 479-80; C.H. Turner, The Papal Chronology of the Third Century, "The Journal of Theological Studies", 17, 1916, p. 349; J.P. Kirsch, Le memorie dei martiri sulle vie Aurelia e Cornelia, in Scritti di storia e paleografia pubblicati sotto gli auspici di S.S. Pio XI in occasione dell'ottantesimo natalizio dell'E.mo cardinale Francesco Ehrle, II, Per la storia di Roma, Roma 1924 (Studi e Testi, 38), pp. 76-81; Codice topografico della città di Roma, a cura di R. Valentini-G. Zucchetti, II, Roma 1942 (Fonti per la Storia d'Italia, 88), p. 12; Catholicisme, IV, Paris 1956, s.v., coll. 1147-48; Inscriptiones Christianae urbis Romae. Nova series, IV, a cura di G.B. de Rossi-A. Ferrua, In Civitate Vaticana 1964, nr. 9516; J.N.D. Kelly, The Oxford Dictionary of Popes, Oxford-New York 1986, s.v., p. 23; Biographisch-bibliographisches Kirchenlexikon, II, Herzberg 1990, s.v., col. 9.

SOURCE : https://www.treccani.it/enciclopedia/santo-felice-i_(Enciclopedia-dei-Papi)