Justino
Orona Madrigal
Saints Justin Orona et
Atila Cruz
Prêtres et martyrs au
Mexique (+ 1928)
Canonisés avec Cristóbal Magallanes et ses 24 compagnons.
Enfant, Atilano Gruz Alvarado, né en 1901, s'occupait du bétail à Ahuetita de Abajo. A l'âge de 17 ans, il commence ses études pour le ministère sacerdotal et est ordonné prêtre en 1927. Le père Cruz commence son ministère au moment où la persécution du gouvernement envers l'Église catholique est dans sa phase la plus violente. Quelques mois après son ordination, il remplace Saint Toribio Romo, un prêtre qui a été exécuté par les soldats. Le 29 juin 1928, il rejoint son curé Justin Orona. Ils prient et discutent de la situation de leur paroisse. Les troupes de l'armée attaquent le ranch le 1er juillet au matin et tuent le père Orona puis le père Cruz.
Homélie de Jean-Paul II pour la canonisation, dimanche 21 mai 2000.
Au village de Rancho de las Cruces sur le territoire de Guadalajara au Mexique,
en 1928, les saints Justin Orona et Atila Cruz, prêtres et martyrs, qui furent
fusillés le même jour pour le Christ dans la persécution mexicaine.
Martyrologe romain
SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/11878/Saints-Justin-Orona-et-Atila-Cruz.html
Saint Justin ORONA
MADRIGAL
Nom: ORONA MADRIGAL
Prénom: Justin (Justino)
Pays: Mexique
Naissance:
14.04.1877 à Atoyac (Jalisco – Diocèse de Ciudad Guzman)
Mort: 01.07.1928 à
Cuquio (Jalisco – Diocèse de Guadalajara)
Etat:
Prêtre - Martyr du Groupe des 25 martyrs du Mexique (1915-1937) 2
Note: Curé de Cuquio
(Jalisco – Diocèse de Guadalajara). Fondateur de la Congrégation des Sœurs
clarisses du Sacré Cœur. Durant la persécution il reste au milieu de ses
fidèles. Il meurt avec son vicaire, le Père Atilano CRUZ 2 , dans une maison du “Rancho de las Cruces”.
Béatification:
22.11.1992 à Rome par Jean Paul II
Canonisation:
21.05.2000 à Rome par Jean Paul II
Fête: 21 mai
Réf. dans l’Osservatore
Romano: 1992 n.48 - 2000 n.22 p.5-7
Réf. dans la
Documentation Catholique: 1993 n.1 p.49
Saint Atilano CRUZ
ALAVARADO
Nom: CRUZ ALAVARADO
Prénom: Atilano
Pays: Mexique
Naissance:
05.10.1901 à Ahuetita d’Abajo (paroisse de Teocaltiche - Jalisco –
Diocèse d’Aguascalientes)
Mort: 01.07.1928 à
Cuquio (Jalisco – Diocèse de Guadalajara)
Etat:
Prêtre - Martyr du Groupe des 25 martyrs du Mexique (1915-1937) 2
Note: Vicaire à Cuquio.
Ordonné en cachette, il meurt 11 mois plus tard avec son curé, le Père Justino ORONA 2 .
Béatification:
22.11.1992 à Rome par Jean Paul II
Canonisation:
21.05.2000 à Rome par Jean Paul II
Fête: 21 mai
Réf. dans l’Osservatore
Romano: 1992 n.48 - 2000 n.22 p.5-7
Réf. dans la
Documentation Catholique: 1993 n.1 p.49
Notice
Atila Cruz, prêtre martyr
des cristeros
Atila Cruz, martyr de la
Cristiada.
Anne Bernet - publié
le 30/06/23
On trouve parfois au
calendrier des saints dont le prénom surprend. C’est le cas d’Atila Cruz qui,
pourtant, loin d’être un "fléau de Dieu", en a été, jusqu’à la mort,
le fidèle serviteur. Prêtre et martyr, l’Église le fête le 1er juillet.
Il ne fait pas bon être
prêtre au Mexique dans les années 1920. Ni même catholique, d’ailleurs… En
1917, sous prétexte d’en finir avec l’Église, perçue comme un héritage de la
période coloniale espagnole, une puissance réactionnaire et un facteur
d’obscurantisme, le pays s’est doté d’une constitution ouvertement
anti-chrétienne qui, si elle était appliquée au pied de la lettre, équivaudrait
à interdire le culte catholique. Dans un premier temps, si les vexations et les
empêchements au libre exercice de la religion se multiplient au fil des ans,
personne n’ose, cependant, aller au bout de cette logique. Il faut attendre
l’arrivée au pouvoir du nouveau président de la République, Calles, franc-maçon
qui hait fanatiquement le catholicisme, pour que la législation persécutrice
soit mise en œuvre. Du jour au lendemain, ordre est donné de fermer les
églises, interdire le culte et les sacrements, expulser les prêtres. Ceux qui
prétendraient désobéir, passer dans la clandestinité et continuer d’assurer des
secours spirituels aux fidèles désemparés sont passibles de la peine de mort,
sans même qu’il soit nécessaire de les déférer devant un tribunal. Une mesure
qui se veut hautement dissuasive mais aura des effets exactement contraires à
ceux recherchés par Calles.
Les prêtres résistent
Nombreux, en effet, sont
les prêtres qui, en cette année 1926, n’envisagent même pas d’obéir et décident
de rester à leur poste, quoiqu’il leur en coûte. Certains, tel le jeune jésuite
Miguel Pro, alors étudiant en Europe, décident de rentrer au pays afin
d’assurer à tout prix la messe et les sacrements. D’autres, qui n’ont pas
encore reçus les ordres sacrés, poursuivent en cachette leur formation grâce,
entre autres, au séminaire clandestin crée par l’abbé Cristobal Magallès qui,
en pleine persécution, continue à donner des prêtres à l’Église mexicaine.
À travers tout le pays,
des dizaines de prêtres sont torturés, battus à mort, criblés de balles ou de
coups de baïonnette, pendus devant leur église ou le long des routes.
Parmi ces ordinands se
trouve, en 1927, Atila, ou Atiliano, Cruz, 26 ans, né en 1901 dans la région de
Ahuetita de Abajo. De très modeste origine, Atiliano passe son enfance à garder
les bêtes. À 17 ans, sa piété remarquée par son curé, il entre au séminaire,
qu’il ne quitte pas lorsque, cette même année, la nouvelle Constitution laisse
présager une prochaine persécution. Sitôt ordonné, alors que la terreur,
orchestrée par les troupes de Calles, se déchaîne, Atiliano est envoyé dans la
province de Guadalajara afin d’y remplacer l’abbé Turibio Romo, martyrisé pour
avoir refusé d’abandonner ses paroissiens.
Un apostolat héroïque
Il n’est pas le seul… À
travers tout le pays, des dizaines de prêtres sont torturés, battus à mort,
criblés de balles ou de coups de baïonnette, pendus devant leur église ou le
long des routes pour montrer ce qu’il en coûte de résister à la politique de
déchristianisation. Leur supplice, loin d’épouvanter, provoque une colère
énorme qui éclatera avec l’insurrection catholique de la Cristiada, cette
"Vendée mexicaine" soulevée au cri de Vive le Christ Roi ! Il
entraîne aussi, en vertu de l’éternel adage "le sang des martyrs est
semence de chrétiens", de nouvelles vocations au sacrifice suprême.
Atiliano sait très bien ce qu’il risque. Il l’accepte, conscient et déterminé,
dans la certitude que la restauration des autels est à ce prix.
Son apostolat héroïque
sera bref, quelques mois à peine. Le 29 juin 1928, alors qu’il a rejoint son
curé, l’abbé Justin Orona, à Rancho de las Cruces afin de discuter avec lui des
mesures à prendre pour maintenir le culte et des secteurs à se partager pour
leur apostolat, les soldats de Calles, peut-être à la suite d’une dénonciation,
surprennent les deux hommes, les frappent, leur infligent diverses tortures, avant
de les fusiller. Atiliano Cruz et Justin Orona ont été canonisés par Jean Paul II en 2001 en même temps que
vingt autres prêtres et trois laïcs tombés pour la royauté sociale du Christ
sur le Mexique, et sur le monde.
[EN IMAGES] Les pires
supplices des saints martyrs :
Lire aussi :José
Luis Sanchez del Rio, héros des cristeros devenu patron des JMJ
Lire aussi :La
tragédie héroïque des Cristeros mexicains
SOURCE : https://fr.aleteia.org/2023/06/30/atila-cruz-pretre-martyr-des-cristeros/
Shrine
to Saint Justino Orona Madrigal at the parish of Encarnacion de Diaz, Jalisco,
Mexico
Reliquia
de Justino Orona Madrigal en la Parroquia de Encarnación de Díaz.
21 May as
one of the Martyrs
of the Mexican Revolution
Profile
Priest in
the archdiocese of Guadalajara, Mexico.
Founded the Hermanas Clarisas del Sagrado Corazón. Martyred in
the Mexican Revolution.
Born
14
April 1877 in
Cuyucapán, Atoyac, Jalisco, Mexico
1 July 1928 in
Las Cruces, Cuquío, Jalisco, Mexico
7 March 1992 by Pope John
Paul II (decree of martyrdom)
22
November 1992 by Pope John
Paul II
21 May 2000 by Pope John
Paul II
Additional
Information
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
Martirologio Romano, 2005 edition
MLA
Citation
“Saint Justino
Orona-Madrigal“. CatholicSaints.Info. 31 January 2019. Web. 1 July 2025.
<https://catholicsaints.info/saint-justino-orona-madrigal/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-justino-orona-madrigal/
St. Justino Orona
Madrigal
The son of a very poor
family, Justino Orona Madrigal, of Atoyac, Mexico, was ordained a priest at
the age of twenty-seven after having interrupted his seminary studies for
several years to work in support of his parents. A dedicated pastor, he founded
a religious congregation for the care of orphans and other needy children, the
Claretian Brothers of the Sacred Heart. As the anti-Catholic Mexican government
was intensifying its persecution of
the Church, Father Orona was advised to flee, to which he replied, “I am here
with my people, live or die.” To continue serving his parishioners, he had to
go into hiding, taking refuge at a nearby ranch together with the
assistant priest of
his parish, (Saint) Atilano Cruz Alvarado. Here the two priests said the rosary together and
discussed their plans for continuing their pastoral labors. At dawn on July 1,
1928, forty government troops stormed the ranch house. Opening the door of his
room to the invaders, Father Orona bravely shouted, “Long live Christ the King!”
Instantly the soldiers
SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=5822
ORONA MADRIGAL, JUSTINO,
ST.
Martyr, pastor, b. April
14, 1877, Atoyac, Jalisco, Diocese of Ciudad Guzmán, Mexico; d. July 1, 1928,
Guadalajara. Justino was the son of an extremely poor family. He completed his
initial studies at Zapotlán, then entered Guadalajara's seminary (1894). After
his ordination (1904), he served as a parish priest at Poncitlán, Encarnación,
Jalisco, and Cuquío. Despite an atmosphere of anticlericalism and religious
indifference, he was an exemplary priest. While he was pastor of Cuquío
(Archdiocese of Guadalajara), he founded the Congregation of Claretian Brothers
of the Sacred
Heart to care for orphans and poor children. When the persecution
intensified, he and his pastor, (St.) Atilano cruz, decided to remain with their
flock despite the danger, but hid themselves on the nearby ranch of Las
Cruces with Justino's brother José María and Toribio Ayala (June
28, 1928). Federal forces arrived there at dawn with the mayor of Cuquío.
Justino opened the door, shouted "Viva Cristo Rey!," and was shot.
His body was deposited in the Cuquío's town square. His mortal remains were
moved to San Felipe Church in Cuquío. Fr. Orona was both beatified (Nov. 22,
1992) and canonized (May 21, 2000) with Cristobal magallanes [see guadalajara
(mexico), martyrs of, ss.] by Pope John
Paul II.
Feast: May 25 (Mexico).
Bibliography: J. Cardoso, Los
mártires mexicanos (Mexico
City 1953). J. Díaz Estrella, El movimiento cristero: sociedad y
conflicto en los Altos de Jalisco (Mexico, D.F. 1979).
[K. I. Rabenstein]
New Catholic Encyclopedia
19 July on
some calendars
21 May as
one of the Martyrs
of the Mexican Revolution
Profile
Priest in
the archdiocese of Guadalajara, Mexico at
a time when ordination was
a crime in Mexico.
He ministered to covert Catholics,
administering the sacraments in secret and hiding from the authorities. Martyred in
the Mexican Revolution.
Born
5
October 1901 in
Ahuetita de Abajo, Teocaltiche, Jalisco, Mexico
shot at
dawn on 1 July 1928 in
Las Cruces, Cuquío, Jalisco, Mexico
7 March 1992 by Pope John
Paul II (decree of martyrdom)
22
November 1992 by Pope John
Paul II
21 May 2000 by Pope John
Paul II
Additional
Information
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
Martirologio Romano, 2005 edition
MLA
Citation
“Saint Atilano
Cruz-Alvarado“. CatholicSaints.Info. 3 July 2021. Web. 1 July 2025.
<https://catholicsaints.info/saint-atilano-cruz-alvarado/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-atilano-cruz-alvarado/
St. Atilano Cruz Alvarado
Feastday: May 21
Birth: 1901
Death: 1928
As a boy, Atilano Cruz
Alvarado, of Ahuetita de Abajo, Mexico, tended cattle. At the age of seventeen,
he began studying for the priesthood. He was ordained in July of 1927. Father
Cruz thus began his priestly ministry at a time when
the Mexican government’s persecution of
the Catholic Church
was in its most violent phase. Only a few months after his ordination, he was
assigned to replace another parish priest shot
to death by soldiers (Saint Toribio Romo Gonzalez). On June 29, 1928, Father
Cruz went to join his pastor, (Saint) Justino Orona Madrigal (see July 2), at a
nearby ranch, where they prayed and discussed the situation in their parish. As
government troops raided the ranch at dawn on July 1, Father Cruz heard the
soldiers gunning down Father Orona. Thereupon Father Cruz knelt in prayer to await the troops.
Upon finding him, the soldiers executed him.
SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=5829
Saint Atilano Cruz
Alvarado
Saint of the Day: July
1
Saint Atilano Cruz
Alvarado,
Pray for us!
Memorial: 21 May as
one of the Martyrs of the Mexican Revolution
Born: 5 October 1901
in Ahuetita de Abajo, Teocaltiche, Jalisco, Mexico
Died: Shot at dawn
on 1 July 1928 in Las Cruces, Cuquío, Jalisco, Mexico
Canonized: 21 May
2000 by Pope John Paul II
Early Life
Atilano Cruz Alvarado was born on October 5, 1901, in Ahuetita de Abajo,
Aguascalientes, Mexico. He was one of the many children in a devout Catholic
family. From a young age, Atilano demonstrated a strong commitment to his
faith, which guided his decisions throughout his life.
Priesthood
Atilano entered the seminary in 1918 and was ordained as a priest on April 22,
1927. His ordination took place during a tumultuous period in Mexican history,
marked by severe religious persecution under the anti-clerical laws of
President Plutarco Elías Calles.
Ministry
Despite the dangers, Father Atilano served his parishioners with great
dedication. He conducted clandestine Masses, administered sacraments, and
provided spiritual support to his community. His commitment to his priestly
duties made him a target for the government, which sought to suppress the
Catholic Church.
Martyrdom
On July 1, 1928, Father Atilano was arrested by government forces. He was taken
to a location near the town of Teocaltiche, Jalisco, where he was executed. His
steadfast faith and refusal to renounce his priestly vows even in the face of
death exemplify his martyrdom for the faith.
Canonization
Saint Atilano Cruz Alvarado was canonized by Pope John Paul II on May 21, 2000,
as one of the Martyrs of the Mexican Revolution. His life and death are a
testament to his unwavering faith and dedication to his priestly mission, even
under the threat of persecution and death.
Legacy
Saint Atilano is remembered for his courage and steadfastness in the face of
severe oppression. His legacy continues to inspire Catholics around the world,
particularly in Mexico, where he is revered as a symbol of faith and
resilience.
Feast Day
Saint Atilano Cruz Alvarado is commemorated on July 1, the anniversary of his
martyrdom. His feast day is a reminder of his ultimate sacrifice for his faith
and his enduring legacy as a martyr of the Church.
Prayer to Saint Atilano
Cruz Alvarado
O glorious Saint Atilano
Cruz Alvarado, your unwavering faith and courage in the face of persecution
inspire us to remain steadfast in our own trials. You served your flock with
love and devotion, even at the cost of your own life.
We ask for your
intercession today, that we may have the strength to live our faith with
boldness. Help us to trust in God's providence, and to remain faithful to His
commandments, no matter the challenges we face.
Guide us to be
compassionate and courageous, serving others with the same dedication you
showed. May your example lead us closer to Christ, and may we one day join you
in the eternal joy of Heaven.
Amen.
SOURCE : https://saintscatholic.blogspot.com/2017/07/saint-atilano-cruz-alvarado.html
CRUZ ALVARADO, ATILANO,
ST.
Martyr, priest, b. Oct.
5, 1901, Ahuetita de Abajo (parish of Teocaltiche), Jalisco, Diocese of
Aguascalientes, Mexico; d. July 1, 1928, Las
Cruces Ranch, Cuquío, Guadalajara. Atilano herded cattle until his
Native parents sent him to Teocaltiche for schooling. He began his seminary
studies there (1918), continued in Guadalajara (1920), and was ordained (July
24, 1927) at the height of the religious persecution when it was a felony to be
a priest. Thereafter he was sent to replace St. Toribio romo, another martyr,
in the parish of Cuquío, Jalisco, but hidden on the ranch of Ponciano Jiménez
called Las
Cruces. Eleven months after his ordination, forty soldiers arrived in the
dead of night with civilian authorities. When Atilano heard them killing his
superior, Justino Orona, he knelt in prayer to await them. His naked body,
deposited by the soldiers in the city square, was retrieved and buried by the
faithful at the parish church of Cuquío, where it is venerated today. He was
both beatified (Nov. 22, 1992) and canonized (May 21, 2000) with Cristobal
magallanes [see guadalajara (mexico), martyrs of, ss.] by Pope John
Paul II.
Feast: May 25 (Mexico).
Bibliography: J. Cardoso, Los
mártires mexicanos (Mexico
City 1953). j. Díaz Estrella, El movimiento cristero: sociedad y
conflicto en los Altos de Jalisco (México, D.F. 1979). Y. Padilla Rangel, El
Catolicismo social y el movimiento Cristero en Aguascalientes (Aguascalientes
1992).
[K. I. Rabenstein]
New Catholic Encyclopedia
San Giustino Orona
Madrigal Sacerdote e fondatore, martire
Festa: 1 luglio
>>> Visualizza la
Scheda del Gruppo cui appartiene
Atoyac, Messico, 14
aprile 1877 - Rancho de Las Cruces, Messico, 1° luglio 1928
Justino Orona Madrigal
nacque a Atoyac, in Messico, il 14 aprile 1877 e fu parroco di Cuquío,
nell'arcidiocesi di Guadalajara e fondatore della congregazione delle Sorelle
Clarisse del Sacro Cuore. La sua vita fu segnata da dolori ma sempre restò
cortese e generoso. Una volta scrisse: «Coloro che perseguono il cammino del
dolore con fedeltá, sicuramente possono salire al cielo». Quando la
persecuzione contro la Chiesa divenne più pesante rimase tra i fedeli dicendo:
«Resterò tra i miei vivo o morto». Una notte, dopo aver deciso con il suo
vicario e compagno di martirio, padre Atilano Cruz, una speciale pastorale da
tenersi in mezzo ad innumerevoli pericoli, entrambi si ritirarono in una
fattoria vicino a Cuquío per riposare. All'alba del 1° luglio 1928 le forze federali
irruppero nella fattoria e colpirono la porta della stanza in cui i due
religiosi dormivano. Justino aprì e salutò il giustiziere esclamando «Viva
Cristo Re!». Per tutta risposta gli spararono. (Avvenire)
Emblema: Palma
Martirologio
Romano: Nel villaggio di Rancho de las Cruces nel territorio di
Guadalajara in Messico, santi Giustino Orona e Attilano Cruz, sacerdoti e
martiri, uccisi insieme per il regno di Cristo durante la persecuzione
messicana.
Nacque a Atoyac, Jalisco (Diocesi di Ciudad Guzmán) il 14 aprile 1877. Parroco di Cuquío, Jalisco (Arcidiocesi di Guadalajara). Fondadore della congregazione religiosa delle serelle Clarisse del Sacro Cuore. La sua vita fu segnata da dolori ma sempre si mantenne cortese e generoso. Una volta scrisse: "Coloro che perseguono il cammino del dolore con fedeltá, sicuramente possono salire al cielo". Quando la persecuzione dicenne più pesante rimase tra i suoi fedeli dicendo: "Io resterò tra i miei vivo o morto". Una notte, dopo aver deciso con il suo vicario e compagno di martirio, padre Atilano Cruz, una speciale pastorale, da tenersi in mezzo ad innumerevoli pericoli, entrambi si ritirarono in una casa del "Rancho de Las Cruces", vicino a Cuquío per riposare. All`alba del 1° luglio 1928 forze federali ed il presidente municipale de Cuquío irrumpero violentemente nel rancho e colpirono la porta della stanza in cui dormivano. Il Signor Curato Orona aprì e con voce forte salutò il giustiziere: "Viva Cristo Re!". La risposta fu una piogga di pallottole.
Autore: Mons. Oscar Sánchez Barba, Postulatore
SOURCE : https://www.santiebeati.it/dettaglio/90128
San Atilano Cruz
Alvarado Sacerdote e martire
Festa: 1 luglio
>>> Visualizza la
Scheda del Gruppo cui appartiene
Ahuetita de Abajo,
Messico, 5 ottobre 1901 - Rancho de las Cruces, Messico, 1 luglio 1928
Nacque ad Ahuetita de
Abajo, appartenente alla parrocchia di Teocaltiche, Jalisco (Diocesi de
Aguascalientes) il 5 ottobre 1901. Venne ordinato sacerdote quando esserlo era
il maggior delitto che poteva commettere un messicano. Ma lui, con una allegria
che sprizzava da tutti i pori, stese le sue mani affinchè fossero consacrate
sotto il cielo azzurro dello stato di Jalisco vicino al quale si nascondevano
sia l`Arcivescovo che il Seminario. Undici mesi dopo il tranquillo ed allegro
sacerdote, mentre esercitava, come poteva, il suo ministero, venne chiamato dal
suo parroco il Signor Curato Justino Orona. Obbediente si avvió verso il
"Rancho de las Cruces" luogo che sarebbe stato il suo calvario.
Mentre dormiva giunsero le forze militari e le autorita civili. II padre
Atilano udendo la scarica che troncò la vita al suo superiore, si inginocchiò
sul letto ed attese il monento del suo sacrificio. Lui venne fucilato, dando
prova della sua fedelta a Cristo Sacerdote, all'alba del 1° luglio 1928.
Emblema: Palma
Martirologio
Romano: Nel villaggio di Rancho de las Cruces nel territorio di
Guadalajara in Messico, santi Giustino Orona e Attilano Cruz, sacerdoti e
martiri, uccisi insieme per il regno di Cristo durante la persecuzione
messicana.
Il “prete ragazzino”: così Atilano Cruz Alvarado è stato consegnato al martirologio della Chiesa messicana, quasi a ricordare con i suoi lineamenti giovanili, se mai ce ne fosse bisogno, che un autentico ministro di Dio non si misura con gli anni di ministero né tantomeno con quelli di vita, ma unicamente dall’intensità con cui è capace di vivere il proprio sacerdozio anche fino alle estreme conseguenze. Nasce il 5 ottobre 1901, in una famiglia profondamente cristiana ma autenticamente povera, e che proprio per questo fatica non poco ad accettare la sua vocazione, che si manifesta prestissimo. Ed è soltanto dopo molte insistenze che nel 1914 riesce a convincere papà a lasciarlo andare in collegio per imparare a leggere e a scrivere e nel 1917 può entrare così nel “piccolo seminario” che il suo parroco ha aperto in parrocchia. Vi resta tre anni, per proseguire poi gli studi nel seminario di Guadalajara, dove riceve gli “ordini minori”. Il 1924, però, non è soltanto l’anno di questi suoi importanti passi verso il sacerdozio, ma soprattutto l’inizio di un periodo di autentica passione per i cristiani messicani. Nel solo mese di dicembre il seminario viene perquisito due volte e chiuso con sigilli, i seminaristi vengono dispersi e attorno a loro c’è un clima che impedisce loro di proseguire la preparazione. E’ per questo che i superiori decidono in fretta e furia di trasferirli a piccoli gruppi in luoghi sicuri, facendoli partire senza bagagli e alla spicciolata per non dare nell’occhio. Il gruppo dei “teologi” di cui fa parte Atilano si trasferisce in un luogo isolato, protetto da una fitta vegetazione: qui proseguono la loro preparazione e qui lui viene ordinato diacono il 17 luglio 1927 e sacerdote appena sette giorni dopo. E’ perfettamente cosciente che, quello, da un punto di vista puramente umano, è il periodo meno adatto e più rischioso per voler essere prete. La rigida applicazione della nuova Costituzione, approvata dieci anni prima, vieta, ad esempio, di celebrare fuori dai luoghi di culto, di portare l’abito talare in pubblico, di indossare medagliette con figure sacre, di conservare o distribuire santini religiosi, di suonare le campane. Atilano, scrivendo alla sorella poco prima dell’ordinazione, confida di sapere perfettamente che, soprattutto in quei giorni, essere prete significa “lasciarsi associare alla passione di Gesù”, ma le chiede anche di avere fiducia, sapendo che “come per Gesù il suo dolore si cambierà presto in gioia”. Il 6 agosto torna tra i suoi, a Teocaltiche, per celebrare la sua prima messa con le precauzione e le limitazioni che la delicata situazione politica impone. Pochi giorni di riposo tra le mura di casa e poi subito il suo primo incarico come viceparroco a Cuquío, per prendere il posto di Padre Toribio Romo, destinato ad altro incarico (che sarà martirizzato sei mesi dopo e che adesso noi veneriamo come santo). A Cuquío è parroco Padre Justino Orona, altro sacerdote santo, di grande prudenza ed intensa vita spirituale. E’ lui ad accompagnarlo nei primi passi del ministero, a spianargli le prime difficoltà, ad insegnargli ciò che prima di tutto va ripetendo a se stesso come un ritornello, che cioè, malgrado i pericoli, “i parrocchiani non devono essere abbandonati e che in mezzo a loro bisogna restare, o da vivo o da morto”. Quando poi vivere in canonica diventa davvero impossibile e troppo rischioso, si fanno entrambi pellegrini da un “rancho” all’altro, invitati e nascosti dai loro stessi parrocchiani, che per tutto questo sanno di mettere in gioco la loro stessa vita e, malgrado ciò , li proteggono, organizzando messe clandestine nei granai e la celebrazione notturna dei sacramenti. Padre Atilano, anche se giovanissimo, si cala perfettamente nel ruolo di “prete clandestino”, vestendo come i campesinos e indossando un sombrero a larga tesa per passare inosservato da un rancho all’altro dove il suo parroco lo indirizza. Malgrado la differenza di età, tra i due si è stabilita una profonda intesa spirituale e una grande collaborazione. Il parroco vuole rendere partecipe il suo giovane collaboratore dei suoi piani pastorali ed è per questo che a fine giugno 1928 lo manda a chiamare per farlo venire in tutta fretta nel rancho "Las Cruces", nella casa ospitale della famiglia Jiménez dove ha anche dato appuntamento a suo fratello e ad un altro fidato collaboratore laico, per quello che noi chiameremmo oggi un incontro di programmazione pastorale. Padre Atilano si mette subito in viaggio e arriva dal suo parroco la sera del 30 giugno: il tempo per recitare insieme il rosario, mangiare un boccone e raccontarsi qualcosa prima di dormire. Non sanno che una spia ha già denunciato la loro presenza in quella casa e i federali sono sulle loro tracce: verso le due di notte l’abitazione è completamente circondata e qualcuno bussa energicamente alla porta. E’ Padre Justino a venire ad aprire, salutando i suoi assassini con il tradizionale “Viva Cristo Re” e ricevendo per tutta risposta una scarica di pallottole che lo freddano sull’uscio di casa. Stesso trattamento per suo fratello e per Padre Atilano, che viene trovato inginocchiato ai piedi del letto. Poi i tre cadaveri sono trasportati in piazza ed esposti davanti alla chiesa in mezzo alle volgarità e alle oscenità dei militari. Il macabro rituale dovrebbe servire come monito per la popolazione, ma ne nasce un tafferuglio, perché i parrocchiani vogliono riprendersi i corpi dei loro preti e qualcuno per questo finisce anche in carcere. Ci riescono solo a tarda sera, dando loro sepoltura quando è buio, ma tutti sono convinti che Padre Justino e Padre Atilano avevano la solpa di essere preti, come tali sono stati uccisi in odio alla fede e al loro ministero e pertanto, come veri martiri, Giovanni Paolo II li ha beatificati nel 1992 e canonizzati nel 2000.
Autore: Gianpiero Pettiti
SOURCE : https://www.santiebeati.it/dettaglio/90118
Santos Justino Orona y
Atilano Cruz
Presbíteros y mártires
Por: Ágel Martínez Puche, O.P. | Fuente: AlforjasDePastoral.wordpress.com
Justino Orona Madrigal nació en el seno de una familia
cristiana, el día 14 de abril de 1877 en Atoyac, Jalisco (México); fue educado
en un ambiente religioso, donde vivían casi en extrema pobreza. Sintió en su
alma la vocación al sacerdocio, pero tuvo muchas dificultades, pues su familia
contaba con sus ingresos económicos. Por fin se decidió a hacer los primeros
estudios e ingresó en el seminario de Guadalajara a los 17 años. Sufrió muchas
carencias en sus estudios por la pobreza de su familia. Era buen estudiante,
estimado por sus compañeros y superiores.
Después de terminar sus
estudios tuvo la alegría de ser ordenado sacerdote en 1904, fue párroco de
Poncitlán, Encarnación y Cuquío, en el estado de Jalisco. Fue sacerdote durante
veinticuatro años, en los que dio ejemplo donde ejerció su apostolado en un
medio muy difícil por el anticlericalismo reinante, sobre todo por el gobierno
y la indiferencia religiosa.
Ejerció su ministerio
sacerdotal con muchas penurias, pues tenía que ir ocultándose de los
perseguidores. En una carta que escribió a una religiosa, expresaba sus
sentimientos más íntimos: «El camino que lleva a la patria hay que seguirlo con
mucha alegría, sirviendo a Dios en la tierra y viviendo por el bien de los
hombres. Los que siguen el camino del dolor con fidelidad pueden subir al cielo
con seguridad».
En su parroquia de Cuquío
fundó una congregación religiosa para atender a las niñas huérfanas y pobres.
Cuando la persecución se
iba poniendo más tensa, bastante gente le aconsejaba que huyera pero él les
respondía: «Yo, entre los míos, vivo o muerto».
Milano Cruz Alvarado, el presbítero más joven de
los 22 mártires mexicanos, nació en la ciudad de Atoyac, Jalisco (México),
nació Atilano el 5 de octubre de 1901, en una familia de ascendencia indígena,
de la que recibió una buena educación cristiana de costumbres fielmente
católicas. Cuando tuvo la edad suficiente le encargaron que cuidara el ganado:
en aquellos tiempos la mayoría de los niños no iban a la escuela, porque tenían
que ayudar a los padres y por lo retirado que estaban las escuelas del pueblo
más cercano. Más tarde lo llevaron sus padres a Teocaltiche para que aprendiera
a leer y escribir.
Milano puso mucho interés
y en poco tiempo recibió buenas calificaciones.
Sintió la llamada del
Señor para ser sacerdote y cuando tuvo 17 años, en 1918, ingresó en el
Seminario Auxiliar de Teocaltiche. Después de dos años fue trasladado al de
Guadalajara. En toda su carrera obtuvo, por su gran inteligencia, magníficas
calificaciones y varios premios.
A la mitad de la carrera
tuvo que interrumpir sus estudios, porque el gobernador de Jalisco, J.
Guadalupe Zuno, desalojó del seminario a todos los seminaristas, en diciembre
de 1924. Tuvo que terminar la carrera sacerdotal con muchas dificultades hasta
que lo ordenaron sacerdote el día 24 de julio de 1927. El obispo lo destinó a
una parroquia como vicario de Cuquío, Jalisco. En muy poco tiempo de su
ministerio sacerdotal, un año, trabajó en la pastoral con gran celo y
entusiasmo.
MÁRTIRES DE CRISTO
El día 28 de junio de
1928, llegó el padre Justino al rancho «Las Cruces», de la familia Jiménez
Loza, feligreses suyos. Le acompañaba su hermano José María y Toribio Ayala, un
abnegado cristiano que, por el delito de ayudar y proteger a su párroco, fue ahorcado
poco después del asesinato de los dos sacerdotes.
El padre Atilano llegó el
29, al atardecer, cenaron juntos y después rezaron el rosario. Le preguntó la
familia si no sentían ningún miedo del gobierno y él le contestó que si los
viera enfrente les daría el saludo de «¡Viva Cristo Rey!» Después, los dos se
retiraron a descansar. Por la tarde del día 30 y hasta altas horas de la noche
estúvieron planificando la pastoral parroquial que había de realizarse en
circunstancias adversas, porque se iban acercando los perseguidores.
El capitán Vega y el
presidente municipal de Cuquío, José Ayala, allanaron la casa. Cuando estaban
acostados, de madrugada se presentó un pelotón de soldados que ya conocían el
lugar, porque una persona, llamada Rosalío Gómez, fue a cerciorarse de que
estaban allí los padres. Llegaron los soldados y dieron grandes golpes a la
puerta de la habitación, donde en seguida se levantó el párroco Justino y abrió
la puerta gritando ¡Viva Cristo Rey!, y en ese instante lo acribillaron a balazos.
Expiró al momento, junto con su hermano José María. El padre Atilano, al ver
tanta sangre y asustado, se puso de rodillas al pie de la cama y a continuación
dispararon contra él. Esto acaeció en la madrugada del 1 de julio de 1928.
Su cuerpo, que estaba
agonizante, lo tiraron a un patio, lo mismo hicieron con el párroco y su
hermano, después de mofarse y burlarse de los cadáveres, que fueron llevados a
Cuquío y arrojados en la plaza principal. El padre Atilano tenía el cráneo
deshecho por las balas expansivas. Ese mismo día, los feligreses los enterraron
en el panteón de Cuquío. Se veneran ahora en el templo parroquial.
El papa Juan Pablo II los
beatificó el 22 de noviembre de 1992 y los canonizó el 21 de mayo del
2000.
SOURCE : https://es.catholic.net/op/articulos/70132/cat/913/santos-justino-orona-y-atilano-cruz.html#modal
Justino Orona Madrigal, párroco mártir (1877-1928);
Atilano Cruz Alvarado, vicario mártir (1901-1928)
Fecha: 30 de junio de
2023
Santos: Aarón (hermano de
Moisés), Anastasio, Basilio, Domiciano, Cibardo, abades; Reina, virgen; Cayo,
presbítero; Rumoldo, obispo y mártir; Casto, Secundino, Julio, Aarón, mártires;
Justino Orona Madrigal y Atilano Cruz Maldonado, sacerdotes y mártires; Regina
(Carolina), Simeón, Teobaldo, Teodorico, Tierry, Felices, confesores; Galo,
Hilario, Arnoldo, Leoncio, Martín, obispos; Ester, reina.
Santos mexicanos. Párroco
y coadjutor. De 51 y 27 años. Uno experto y otro comenzando. El párroco,
colmado de virtudes; y el bisoño coadjutor aprendiendo heroicidades desde la
raíz de su ordenación. El tiempo de las amenazas hacía de lo ordinario virtud.
Justino había nacido en
Atoyac, Jalisco, diócesis de Ciudad Guzmán, el 14 de abril de 1877. Era el
Párroco de Cuquío, Jalisco, archidiócesis de Guadalajara. Tiempo atrás había
fundado la Congregación religiosa de las Hermanas Clarisas del Sagrado
Corazón.
Su vida estuvo
habitualmente marcada por la cruz, pero siempre se conservó amable y generoso.
En cierta ocasión escribió: «Los que siguen el camino del dolor con
fidelidad, pueden subir al cielo con seguridad». Cuando arreció la
persecución, permaneció entre sus feligreses diciendo: «Yo entre los míos
vivo o muerto».
Atilano, su coadjutor,
vicario o ministro –que es lo mismo– en la misma parroquia de Cuquío, había
nacido en Ahuetita de Abajo, perteneciente a la parroquia de Teocaltiche,
Jalisco, diócesis de Aguascalientes, el 5 de octubre de 1901.
Se ordenó sacerdote
cuando esto se consideraba como el mayor crimen que podía cometer un mexicano.
Pero él, con una alegría que le desbordaba, extendió sus manos para que fueran
consagradas bajo el cielo azul de una barranca jalisciense donde se escondía el
Arzobispo y el Seminario. Porque la clandestinidad no ha sido exclusiva situación
de los primeros siglos del cristianismo.
Una noche, después de
planear párroco y vicario su especial actividad pastoral, ejercida en medio de
incontables peligros, en la clandestinidad y siempre a salto de mata, ambos
sacerdotes se recogieron para descansar en una casa del rancho de ‘Las Cruces’,
cercano a Cuquío. Ese sería el Calvario para los dos. En la madrugada del
primero de julio de 1928 las fuerzas federales y el presidente municipal de
Cuquío –autoridades militares y civiles– irrumpieron violentamente en el rancho
y golpearon la puerta donde dormían el párroco y su vicario.
El Sr. Cura Orona abrió y
con fuerte voz saludó a los verdugos: «¡Viva Cristo Rey!». La
respuesta fue una lluvia de balas.
El padre Atilano, al oír
la descarga que cortó la vida de su párroco, se arrodilló en la cama y esperó
el momento de su sacrificio. Allí fue acribillado, dando testimonio de su
fidelidad a Cristo Sacerdote, la madrugada del 1 de julio de 1928.
Poco antes había
escrito: «Nuestro Señor Jesucristo nos invita a que lo acompañemos en la
pasión».
Llevaba once meses de
sacerdote el pacífico, alegre y servicial ciudadano.
A los dos sacerdotes los
canonizó en Roma el papa Juan Pablo II, el 21 de mayo del Año Jubilar 2000.
¿Tendrán razón los que se
empeñan en presentar al estamento eclesiástico, como dominante, aliado del
poder constituido, hegemónico, feudalista, intolerante y violento? El
anticlericalismo fanático está más emparentado con el odio a Dios y a su
Iglesia; lo que pasa es que, además de servirle los calificativos expresados
como excusa, con frecuencia encuentran acogida en mentes débiles, envidiosas o
enfermas. Así entiende la sensibilidad popular este aspecto del problema:
¡Calumnia, que algo queda!
Nació
en Atoyac, Jal. (Diócesis de Ciudad Guzmán), el 14 de abril de 1877. Párroco de
Cuquío, Jal. (Arquidiócesis de Guadalajara). Fundador de la Congregación
religiosa de las Hermanas Clarisas del Sagrado Corazón. Su vida estuvo marcada
por la cruz pero siempre se conservó amable y generoso. En cierta ocasión
escribió: «Los que siguen el camino del dolor con fidelidad, pueden subir al
cielo con seguridad». Cuando arreció la persecución, permaneció entre sus
feligreses diciendo: «Yo entre los míos vivo o muero». Una noche, después de
planear con su vicario y compañero de martirio, el padre Atilano Cruz, su
especial actividad pastoral, ejercida en medio de incontables peligros, ambos
sacerdotes se recogieron para descansar en una casa de rancho de “Las Cruces”
cercano a Cuquío. En la madrugada del 1° de julio de 1928 las fuerzas federales
y el presidente municipal de Cuquío irrumpieron violentamente en el rancho y
golpearon la puerta donde dormían el párroco y su vicario. El Sr. Cura Orona
abrió y con fuerte voz saludó a los verdugos:«¡Viva Cristo Rey!» La respuesta
fue una lluvia de balas.
SOURCE :
https://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20000521_madrigal_sp.html
Beatos y Santos de
Jalisco
San Tranquilino Ubiarco
Robles
San Toribio Romo
SAN JUSTINO ORONA MADRIGAL
Nació en Atoyac, Jal. el 14 de abril de 1877
Murió en Las Cruces, Jal. el 01 de julio de 1928
Sus restos se encuentran en Cuquío, Jal.
Nació el 14 de abril de
1877 en un hogar sumido en la pobreza; muy pronto manifestó su inclinación por
la vida clerical, pero su familia se opuso porque contaban con su mano de obra
para obtener recursos, finalmente pudo ingresar al Seminario Conciliar de
Guadalajara en octubre de 1894.
Las limitaciones
materiales cribaron su adolescencia, carecía de recursos para adquirir los
libros de texto, razón por la cual debió cursar muchas asignaturas tomando
notas y usando los impresos de sus condiscípulos.
Fue ordenado sacerdote
por su arzobispo, Don José de Jesús Ortiz, el 7 de agosto de 1904 y fue
asignado a diferentes parroquias, hasta que el 19 de octubre de 1916, se le
confió la Parroquia de Cuquío, con un especial encargo de atender la
preceptoría del Seminario establecida en esa población.
Los vecinos de Cuquío se
distinguían por su apatía a las prácticas religiosas y aún por sus actitudes
anticlericales; lo cual, lejos de intimidar al pastor, le sirvió de estímulo.
Sobrellevó con dignidad las muestras gratuitas de odio que le fueron proferidas
por su condición de consagrado, inclusive murmuraciones calumniosas acerca de
su vida privada.
Sus virtudes, en especial
la esperanza, le permitieron afrontar la adversidad con entereza: cuantas
mayores eran las trabajas, más aumentaba su ahínco para ganar adeptos a la
causa de Cristo.
Quienes lo trataron
afirman que su vida fue ejemplar, edificante y entregada, sin tasa ni medida;
en su trato habitual era amable y bondadoso, distinguiendo con particular
deferencia a los pobres.
No supo de límites en la
cura de almas y durante los tiempos de persecución religiosa aprovechó al
máximo la oportunidad de ejercitar su fortaleza, sufrió con heroicidad las
agresiones contra su ministerio de parte de agentes del gobierno civil. Cuando
la persecución arreció, don Justino se alejó de la cabecera parroquial pero sin
abandonar a los suyos.
A partir de agosto de
1926 ejercitó su ministerio en aldeas, ranchos y no pocas veces a campo
abierto, entre muchas limitaciones, a veces con los perseguidores pisando sus
huellas. Así se mantuvo casi dos años hasta el día de su sacrificio.
En 1928 las tropas
gubernamentales se posesionaron de Cuquío. El sábado 30 de junio, sin angustias
ni aflicciones, el Padre Justino presintió su muerte y refiriéndose a la
escasez de lluvia que inquietaba a los campesinos en Las Cruces les dijo: “No
se preocupen, yo pronto iré con mi Madre Santísima y yo les mando la lluvia”.
Esa noche fue denunciado
el paradero de los sacerdotes. Un nutrido contingente salió de Cuquío,
capitaneado por el presidente municipal, José Ayala, el capitán Vega y Gregorio
González Gallo, quienes llegaron a Las Cruces a las 02:00 horas, sitiando la
vivienda donde pernoctaban los clérigos.
Los soldados, haciendo
alarde de fuerza, despertaron a golpes y gritos a los ocupantes; al abrir la
puerta de su aposento, el párroco alzó la voz y exclamó: “¡Viva Cristo Rey!”.
En respuesta José Ayala, el capitán Vega y Gregorio González Gallo, lo
tirotearon dejándolo muerto en el dintel de la puerta, la cual remataron
asesinando a los indefensos presbítero Atilano Cruz y a José María Orona.
Los asesinos enfilaron a
Cuquío llevando como carga los cadáveres, mismos que exhibieron en la plaza del
pueblo durante cuatro o cinco horas, ya que una muchedumbre cerró filas en
torno a los muertos. Algunos vecinos, desafiando el mandato, lavaron, vistieron
y colocaron en ataúdes los restos de las víctimas, a fin de proceder al
sepelio, el cual convocó a muchísimas personas.
Los restos mortales de
Justino Orona, veneradas reliquias, descansan ahora en el templo parroquial de
San Felipe, de Cuquío.
SOURCE : https://arquidiocesisgdl.org/beatos.php?id=47
SAN JUSTINO ORONA
MADRIGAL
Nació en Atoyac el 14 de
abril de 1877. Era hijo de una familia cristiana que vivía en extrema pobreza.
Hizo sus primeros estudios en Zapotlán. Ingresó al seminario de Guadalajara en
1894. Sufrió muchas carencias en sus estudios sin embargo destacó por ser un
buen estudiante, estimado por compañeros y superiores.
Fue ordenado sacerdote en
1904 y nombrado párroco de Poncitlán, Encarnación, Jalisco, Cuquío. Destacó
como sacerdote ejemplar, ejerció su apostolado en un medio difícil por el
anticlericalismo y la indiferencia religiosa. En su parroquia de Cuquío inició
la fundación de una congregación religiosa para atender a las niñas huérfanas y
pobres.
Cuando avanzó la
persecución decidió permanecer entre los suyos. El 28 de junio de 1928 llegó al
rancho "las cruces" acompañado de su hermano José María y de Toribio
Ayala. Al día siguiente llegó el padre vicario Atilano Cruz.
Cuando el gobierno se
enteró del sitio donde se encontraba, salió en su búsqueda un pelotón de
soldados. Llegaron a la casa y acribillaron a ambos sacerdotes y al hermano del
P. Orona. Luego arrojaron los cuerpos al patio de la casa, y después a la plaza
pública de Cuquío. Sus restos descansan en el templo parroquial de San Felipe
de Cuquío.
Fue beatificado en 22 de
noviembre de 1992 y canonizado por el Papa Juan Pablo II el 21 de mayo del
2000.
Mártires de la
Guerra Cristera
SOURCE : https://www.aciprensa.com/testigosdefe/cristera/orona.htm
ATILANO
CRUZ ALVARADO
Nació
en Ahuetita de Abajo, perteneciente a la parroquia de Teocaltiche, Jal.
(Diócesis de Aguascalientes), el 5 de octubre de 1901. Ministro de la parroquia
de Cuquío, Jal. Se ordenó sacerdote cuando esto se consideraba como el mayor
crimen que podía cometer un mexicano. Pero él, con una alegría que le
desbordaba extendió sus manos para que fueran consagradas bajo el cielo azul de
una barranca jalisciense donde se escondía el Arzobispo y el Seminario. Once
meses después, el pacífico y alegre sacerdote, mientras ejercía a salto de mata
su ministerio, fue llamado por su párroco el Sr. Cura Justino Orona. Obediente
se encaminó al rancho de “Las Cruces”, lugar que sería su calvario. Poco
antes había escrito: «Nuestro Señor Jesucristo nos invita a que lo acompañemos
enla pasión». Mientras dormía llegaron las fuerzas militares y la autoridad
civil. El padre Atilano, al oír la descarga que cortó la vida de su párroco, se
arrodilló en la cama y esperó el momento de su sacrificio. Allí fue acribillado,
dando testimonio de su fidelidad a Cristo Sacerdote, la madrugada del 1° de
julio de 1928.
SOURCE : https://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20000521_cruz-alvarado_sp.html
San Atilano Cruz
Alvarado, Pbro
Nació en la aldea
Ahuetita Abajo, en Teocaltiche, Jalisco, el 5 de octubre de 1901. Fue hijo de
José Isabel Cruz y de Máxima Alvarado.
Estudió tres años en el
pequeño Seminario que estableció, en 1917, el párroco de Teocaltiche, y en 1920
pasó a la ciudad de Guadalajara para estudiar en el Seminario fugitivo, que
debido a las dificultades y peligros se movía de un lugar a otro; entre casas
particulares y anexos de los templos se daba acogida a los alumnos. Atilano
obtuvo, en todos sus cursos, excelentes calificaciones en disciplina y
estudios.
El gobierno expulsó por
la fuerza a los seminaristas de sus domicilios y clausuró sus locales en dos
ocasiones. Los seminaristas se ocultaron. El grupo de 4º. de Teología, en el
que iban Atilano y su maestro, el padre Narciso Aviña R., se estableció en
Ocotengo, Jal., lugar escondido en las faldas del Cerro Alto.
No obstante la terrible
persecución contra la Iglesia y sus sacerdotes, Atilano Cruz pide ser ordenado
sacerdote. En una barranca, bajo la hermosa bóveda celeste, entre las peñas y
la exuberante vegetación, por ministerio del señor arzobispo Francisco Orozco y
Jiménez, el 17 de julio de 1927 Atilano Cruz fue ordenado diácono y el 24 del
mismo mes, a la edad de 25 años, fue ordenado sacerdote.
Desempeñó su ministerio
en la parroquia de Cuquío. Once meses ejerció allí su ministerio, en medio de
sacrificios, privaciones y peligros; sin quejarse. Su Párroco fue el Sr. Cura
Justino Orona.
A mediados del 1928, el
padre Justino Orona (quien después se convirtiera en su compañero de martirio),
se encontraba escondido en el rancho de Las Cruces y lo mandó llamar para tomar
acuerdos sobre el trabajo pastoral. Atilano acudió al llamado y se presentó el
29 de junio de 1928. Durante la tarde tuvieron una fraternal convivencia de
oración, alimentos y diálogo pastoral; rezaron el rosario y después de platicar
largamente se acostaron a dormir.
Un espía los denunció a
sus perseguidores y éstos aprovecharon la noche para atacarlos mientras
dormían. El presidente municipal de Cuquío, Sr. José Ayala, y el capitán Vega
planearon el asalto. Mandaron 40 soldados federales que llegaron directamente a
la casa donde estaban los padres y José María Orona, hermano del Sr. Cura. Los
soldados sitiaron el lugar y golpearon la puerta con los rifles; al oír los
fuertes golpes, el padre Justino abrió la puerta al tiempo en que
gritaba: “¡Viva Cristo Rey!”; los soldados le dispararon y cayó al
suelo. El P. Atilano, al escuchar los disparos, se arrodilló en la cama para
encomendar su alma. Llegaron los soldados a la habitación y le dispararon, lo
mismo hicieron al Sr. José María Orona. Eran las dos de la madrugada cuando se
consumó el sacrificio. Los soldados sacaron al patio los cuerpos,
maltratándolos a patadas, burlándose y gritándoles injurias.
Por la mañana exigieron a
los vecinos de Las Cruces que les llevaran tres burros para echar, atravesados
sobre sus lomos, los cadáveres de los victimados y así llevárselos a Cuquío.
Allí, en la plaza principal, arrojaron sus cuerpos; los fieles cristianos
lloraban y rezaban, algunos recogían , como reliquias, sus cabellos y ropas
ensangrentadas, y después, con gran devoción, los sepultaron.
Saints Cristóbal Magallanes et ses 24 compagnons Martyrs mexicains (+ 1927) : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/10187/Saints-Crist%F3bal-Magallanes-et-ses-24-compagnons.html
~ Martyrs of the
Religious Persecution during the Mexican Revolution [I] ~ († 1915-37) : http://newsaints.faithweb.com/martyrs/Mexico1.htm
Santi Martiri Messicani (Cristoforo Magallanes Jara e 24 compagni) : https://it.cathopedia.org/wiki/Santi_Martiri_Messicani_(Cristoforo_Magallanes_Jara_e_24_compagni)
The Blessed Martyr of the Cristero War: Atilano Cruz Alvarado. Read more here: https://catholicsaints.day/atilano-cruz-alvarado/