lundi 10 juin 2013

Sainte OLIVA di PALERMO (ou de CARTHAGE), vierge et martyre

Icona del secolo XIII con S. Olivia, inoltre S. Elia, S. Venera e S. Rosalia. Museo Diocesano, Palermo

Die hll. Oliva, Elija, Venera und Rosalia. Ikone aus dem 13. Jahrhundert im Diözesanmuseum von Palermo

Święte: Oliwa z Palermo w otoczeniu Elii, Venery Rozalii. (ikona z XIII w. w muzeum diecezjalnym w Palermo).

Olivia with the saints EliasVenera and Rosalia, 13th century.


Sainte Olive

Cette Sainte a la particularité d'être honorée par certains musulmans. La plus grande mosquée de Tunis était naguère « la mosquée d'Olive », et c'est parmi les musulmans de cette ville que naquit le dicton : « Malheur à qui parle mal de Sainte Olive, car Allah sûrement le punira ! »

C'était une petite chrétienne de Sicile qui, à l'âge de treize ans, avait été prise par des pirates et emmenée à Tunis. Là elle résista à toutes les intimidations et à tous les mauvais traitements, impressionnant tout le monde par sa beauté et sa sérénité. Elle fut décapitée à cause de son rayonnement spirituel. C'était au IXème siècle.

SOURCE : http://www.paroisse-saint-aygulf.fr/index.php/prieres-et-liturgie/saints-par-mois/icalrepeat.detail/2015/06/10/301/-/sainte-olive

Statua marmorea raffigurante Santa Oliva, opera proveniente dalla dismessa Tribuna di Antonello Gagini, oggi collocata su un pilastro della navata nella cattedrale di Palermo.

Antonello Gagini, Statua di sant'Oliva , Cattedrale di Palermo


Sainte Olive de Palerme

Vierge, martyre à Tunis (9ème s.)

ou Olivia.

La légende dit qu'elle était une petite chrétienne de Palerme en Sicile et qu'à treize ans, elle fut prise par des pirates et emmenée à Tunis. Quand ils apprirent qu'elle était de sang royal, ils l'épargnèrent, la laissant dans un forêt pour que ce soient les bêtes sauvages qui la tuent. Elles la protégèrent et le gouverneur la ramena dans sa prison, la soumit à de dures tortures et, pour s'en débarrasser, il n'eut d'autres solutions que de la faire décapiter. Chose étonnante, la légende ajoute qu'il y eut à Tunis une "mosquée d'Olive".

Sainte Olive est patronne de la Cathédrale de Tunis 'Cathédrale Saint Vincent de Paul et Sainte Olive' (sur GoogleMaps)

En 1890, le cardinal Lavigerie donne comme titulaires à la Cathédrale, un saint français: Saint Vincent de Paul, et une sainte italienne: Sainte Olive, tous deux ayant vécu à Tunis.

SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1303/Sainte-Olive-de-Palerme.html

Sainte Olive de Carthage

On ignore beaucoup de choses sur cette Vierge martyre. Beaucoup de détails se racontent depuis plusieurs siècles, dont on n’a aucune preuve certaine, à tel point que certains se demandent si certains indices n’auraient pas purement et simplement fait apparaître cette Martyre dans l’hagiographie sicilienne, ou au contraire si les maigres informations qu’on avait sur elle auraient suscité la fantaisie des hagiographes.

Olive aurait donc été de noble famille palermitaine. Chrétienne et zélée, elle allait réconforter les chrétiens apeurés par la lourde persécution organisée par le roi Vandale Genséric. Elle aurait donc été exilée à Carthage (ou Tunis) pour lui faire perdre ses envies de prosélytisme. Elle n’avait que treize ans.

L’autre tradition prétend qu’elle aurait plutôt vécu aux IXe-Xe siècles, lors de la domination musulmane, le sanguinaire Abd-Allah régnant sur la Sicile, et le non moins cruel Hibraim-’ibn-Ahmed étant gouverneur du royaume d’Afrique.

Dans sa solitude elle aurait successivement dompté les bêtes féroces, trouvé miraculeusement de quoi se nourrir, guéri un aveugle et un boiteux et, lorsque des soldats lui furent envoyés pour la mettre en prison ou la torturer, aurait eu cette force de conviction de les convertir tous et de leur inculquer une telle foi que, de retour chez eux, on les fit tous périr par le martyre. Cette féconde solitude aurait duré sept années.

Ce qui est étonnant ici, c’est qu’aucun document ne parle de ces faits, de ces nombreux martyrs, de leurs noms, de leur nombre. Toujours est-il que notre sainte Olive fut à son tour présentée au Préfet de Tunis, qui la fit torturer de toutes les façons : fouets, chevalet, huile bouillante, feu. A chaque épisode, la Sainte n’éprouvait aucun mal, en était même revigorée, faisait éteindre le feu (et convertissait les bourreaux, comme on l’a dit plus haut). A la fin, elle fut décapitée.

Il est vrai qu’à Tunis une ancienne mosquée portait le nom de Djamoa-ez-Zitoums, Mosquée d’Olive, ou Mosquée de l’Olivier ; certains en effet prétendent que cette mosquée fut simplement construite “près d’un olivier”.

Il reste qu’à Palerme et dans toute la Sicile, le culte de “sainte Olive” s’est beaucoup répandu, avec force cérémonies et manifestations locales. Mais, à Palerme, là où des Religieux de l’Ordre des Minimes construisirent leur couvent, beaucoup de “signes” furent observés, apparitions fréquentes d’un jeune fille merveilleuse qui les aidait, les protégeait, puis disparaissait.

On n’a jamais retrouvé son corps. Est-il resté en Tunisie ? A-t-il été enlevé et porté jusqu’en Espagne durant certains conflits entre ce pays et la Sicile ? Est-il à Palerme sous les fondations du couvent des Minimes ? Ou bien simplement dans l’imagination des fervents dévots de notre Sainte ?

De fait, à cause de ces nombreuses incertitudes, le Martyrologe Romain n’a pas retenu le nom de sainte Olive, qui reste fêtée le 10 juin en Sicile, dont elle est une des Patronnes célestes.

SOURCE : http://nouvl.evangelisation.free.fr/olive_de_carthage.htm

OLIVE de PALERME OU DE Carthage

Laïque, Martyre

Ve (ou Xe) siècle 

En ce qui concerne sainte Olive, Olivia en italien, il est très difficile de faire la distinction entre ce qui concerne la légende du réel. Ce qui semble réel, c'est qu'Olive serait issue d'une famille noble de Palerme, en Sicile. Ensuite, deux traditions s'installent…

Dans la première tradition, Olive, sicilienne de Palerme, et chrétienne fervente, serait allée réconforter des chrétiens effrayés par les persécutions lancées par le roi Vandale Genséric, qui aurait régné de 427 à 477. Nous sommes donc au Ve siècle. Mais elle aurait été exilée à Carthage (Tunis actuelle) à cause de son prosélytisme. Elle n'avait que treize ans.

L'autre tradition, plus plausible, raconte qu'Olive, petite chrétienne très jolie, aurait vécu au IXe siècle, lors de la domination musulmane.  Elle aurait été prise par des pirates alors qu'elle n'avait que treize ans, et emmenée à Tunis. Les Maures voulaient la faire périr, mais, ils ne la tuèrent pas car ils avaient appris qu'elle était de sang royal. Arrivée à Tunis, par ordre du gouverneur, Olive fut condamnée à vivre parmi les mendiants, souffrant de la faim, de la soif et du froid. Heureusement deux mendiants aidèrent Olive qui les baptisa après les avoir évangélisés. Et ces deux nouveaux chrétiens commencèrent à prêcher et à faire connaître publiquement leur foi. Mais ils furent arrêtés et atrocement torturés.

Mais il fallait se débarrasser d'Olive sans la tuer. On la conduisit donc dans une forêt pleine de bêtes féroces, dans l'espoir que celles-ci la dévoreraient. Mais les bêtes sauvages devinrent les amies d'Olive et lui procurèrent ce dont elle avait besoin. Dans sa solitude Olive aurait même guéri un aveugle et un boiteux. Cette féconde solitude aurait duré sept années. Par ailleurs, les chasseurs qu'Olive rencontrait abandonnaient l'islam et devenaient chrétiens. Le gouverneur de Tunis voulut la mettre à mort. On l'enferma donc pendant de longues semaines dans un cachot sans nourriture; mais elle en sortit vivante et en parfaite santé. Des supplices plus violents commencèrent: écartèlement, estrapade, supplice consistant à hisser le patient sur une potence et à le laisser retomber plusieurs fois près du sol.

On tenta de brûler vive Olive, mais les flammes refusaient de la toucher. On la mit dans une marmite d'huile bouillante. Car Dieu la sauvait toujours miraculeusement ce qui provoquait la conversion de ses bourreaux. Excédé, le gouverneur lui fit trancher la tête. On aurait alors vu son âme monter au ciel sous la forme d'une blanche colombe.

De tous ces faits, lesquels sont authentiques? Nous ne le saurons probablement jamais. Par contre, à Palerme et dans toute la Sicile, le culte de “sainte Olive” s’est beaucoup répandu, avec force cérémonies et manifestations locales. À Palerme, quand les Religieux de l’Ordre des Minimes construisirent leur couvent, beaucoup de “signes” furent observés, dont des apparitions fréquentes d’une jeune fille merveilleuse qui les aidait, les protégeait, puis disparaissait.

À cause de ces nombreuses incertitudes, le Martyrologe Romain n’a pas retenu le nom de sainte Olive, qui reste fêtée le 10 juin en Sicile, dont elle est une des Patronnes célestes. En 1890, le cardinal Lavigerie donna comme titulaires à la cathédrale de Tunis, saint Vincent de Paul et sainte Olive, tous les deux ayant vécu à Tunis. Sainte Olive est la patronne d'un des quatre quartiers de Palerme, les trois autres étant confiés à Agathe, Christine de Tyr et Nymphe, une martyre du Ve siècle.

À cause des nombreuses incertitudes concernant la vie et la mort d'Olive, le Martyrologe Romain n’a pas retenu le nom de sainte Olive, qui reste cependant fêtée le 10 juin en Sicile, dont elle est une des Patronnes célestes.

Paulette Leblanc

SOURCE : http://nova.evangelisation.free.fr/leblanc_olive_de_palerme.htm


Statua argentea raffigurante 'Santa Oliva, Chiesa San Francesco di Paola, Palermo


Saint Olivia of Palermo

Also known as

Oliva

Olive

Oliwa

Uliva

Memorial

formerly 10 June

Profile

Fictional character who achieved a large following when her story was mistaken for a biography.

She was described as a ravishing beauty of 13 years when Saracens captured her at PalermoSicily in the 9th century. She was deported to Tunis where she began to perform miracles and convert Muslims to Christianity. Wishing to get rid of her, but fearing her power, her captors abandoned her in a forest, giving her to the beasts. Some hunters found her and took her themselves as a slave, but she converted them to the Faith. Exasperated Muslim authorities arrestedtortured, and beheaded her. At the moment of her death, her soul was seen to fly to heaven in the form of a dove.

She has been honoured in Carthage and Palermo, and was held in great esteem by Christians and Muslims. The great mosque of Tunis is called the Mosque of Olivia, and Tunisian Muslims say that who speaks ill of her is always punished by God.

Patronage

Carthage

in Italy

Alcamo

Cefalù

Monte San Giuliano

Palermo

Pettineo

Raffadali

Termini Imerese

Trivigliano

in Spain

Olesa de Montserrat

Additional Information

Saints of the Day, by Katherine Rabenstein

books

Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints

other sites in english

Catholic Online

Catholic Online

uCatholic

Wikipedia

images

Wikimedia Commons

llocs web en català

Wikipedia

webseiten auf deutsch

Wikipedia

sitios en español

Catholic Net

Wikipedia

fonti in italiano

PalermoWeb

Santi e Beati

strony w jezyku polskim

Wikipedia

MLA Citation

“Saint Olivia of Palermo“. CatholicSaints.Info. 9 June 2024. Web. 5 March 2025. <https://catholicsaints.info/saint-olivia-of-palermo/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-olivia-of-palermo/

Oliva of Palermo VM (AC)

(also known as Olive, Olivia)

9th century. Oliva is said to have been a Sicilian girl who was captured by the Saracens when she was 13 years old and taken to Tunis. There she converted so many to Christ that she was martyred. She is held in high veneration by the Islamics, who named the great mosque of Tunis in her honor, as well as by Christians at Palermo and Carthage. Unfortunately, Oliva is a fictional character (Benedictines, Encyclopedia).

SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0610.shtml

St. Olivia

According to a pious legend, St. Olivia was described as a ravishing beauty of 13 years when Saracens captured her at Palermo, Sicily in the 9th century. She was deported to Tunis where she began to perform miracles and convert Muslims to Christianity.

Wishing to get rid of her, but fearing her power, her captors abandoned her in a forest, giving her to the beasts. Some hunters found her and took her themselves as a slave, but she converted them to the Faith. Exasperated Muslim authorities arrested, tortured, and beheaded her. At the moment of her death, her soul was seen to fly to heaven in the form of a dove.

She has been honoured in Carthage and Palermo, and was held in great esteem by Christians and Muslims. The mosque of Tunis is called the Mosque of Olivia, and Tunisian Muslims say that who speaks ill of her is always punished by God.

St. Olivia is considered a Patron Saint of Music and Palermo, Italy.

SOURCE : http://www.ucatholic.com/saints/saint-olivia/

Bl. Olive

Feastday: June 10

According to a pious fictional legend, Olive was a beautiful girl of thirteen, of a noble Palermo, Italy family who was carried off to Tunis by raiding Moslems. They allowed her to live in a nearby cave, but when they found that her miracles and cures had converted many Mohammedans, she was imprisoned, tortured, and after converting her executioners trying to burn her to death, was beheaded. Her feast day is June 10.

SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=519

Bl. Olivia

Feastday: June 10

Olivia is a derivative of Olive whose feast day is June 10th. According to pious fictional legend, she was a beautiful girl of thirteen, of a noble Palermo, Italy, family who was carried off to Tunis by raiding Moslems. They allowed her to live in a nearby cave but when they found that her miracles and cures had converted many Mohammedans, she was imprisoned, tortured, and after converting her executioners trying to burn her to death, was beheaded.

SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=784

Chiesa di Sant'Oliva ad Alcamo

Antonello Gagini, Statua di sant'Oliva, Chiesa di Sant'Oliva (Alcamo)

Statua in marmo di” S. Oliva” del Gagini particolare


Sant' Oliva di Palermo Vergine e martire

10 giugno

sec. X

Il nome deriva dal latino Oliba, documentato solo in avanzata età cristiana e tradizionalmente connesso con il termine oliva, variante di olea,che in latino indica sia l’albero che il suo frutto, l’oliva. 

La Santa non è menzionata in alcun Martirologio latino, che pure riportano i martiri della persecuzione vandalica, né della Chiesa Greco-Sicula, ove non esiste alcuna memoria del suo culto.

Un noto studioso dell'Agiografia sicula, il benedettino Domenico Gaspare Lancia di Brolo scrisse: "Molti scrittori siciliani vogliono il martirio di S. Oliva durante la persecuzione vandalica, ma senza sicuro fondamento, poichè mancano gli Atti del suo martirio e pochi cenni si trovano nell'antico Lezionario Gallo-Siculo senza nota cronologica, così che possono bene convenire alla persecuzione dei Vandali come a quella dei saraceni. Tanto i primi che i secondi deportavano in Africa; costringevano talvolta i vinti a rinnegare la propria religione, punivano con la morte coloro che cercavano di fare proseliti".

Ma la Leggenda di S. Oliva non ha nulla di inverosimile perchè non si debba ricevere: infatti ha delle straordinarie somiglianze con il martirio di altri Santi... ". 

Secondo Mons. Paolo Collura "Il nucleo essenziale delle nostre antiche Leggende ha un substrato che non deve essere sottovalutato e poichè la dominazione araba (827-1092) proprio in Sicilia fece piazza pulita di tutti i documenti scritti sacri e profani, il ricordo di parecchi Santi ci è stato tramandato soltanto sul filo della memoria. La più antica notizia di lei nella Città di Palermo risale al 1310, mentre il Corpo si trovava ancora a Tunisi, in una piccola Moschea che sorgeva vicino quella grande, detta in arabo " Gamie Azzaytun " (dell'ulivo e di Oliva), diventata poi basilica cristiana. Nel 1402 il re Martino I lo richiese al Califfo Abû Azir, ma ne ebbe un rifiuto, poichè ancora oggi i tunisini, presso i quali è ancora oggi venerata, credono che la loro religione e la loro dominazione tramonterà quando scomparirà il Corpo della Vergine Oliva.

La memoria della Santa è ricordata non solo nell'antico Breviario Gallo-Siculo del sec. XII che si conserva ancora a Palermo, ma anche in una antichissima tavola dove appare dipinta la sua immagine con  S. Elia e le Sante Rosalia, Venera, custodita nel Museo Diocesano di Palermo.

Fanno memoria di lei il Martirologio Siculo del P. Gaetani S.J. e  il Martirologio Palermitano del Mongitore del 1742.

"A Tunisi il martirio di S. Oliva vergine e martire, cittadina palermitana e patrona principale, la quale, nata da nobile famiglia, ancora fanciulla, nella persecuzione vandalica per la fede di Cristo cacciata in esilio, a Tunisi attrasse molti alla fede cattolica; superati poi l'eculeo, le unghie di ferro e il fuoco, divinamente liberata dall'olio incandescente, troncato alla fine il capo, le fu data la corona del martirio, la cui anima, tutti ammirando, sotto forma di colomba volò al cielo l'anno 463 ".

Oltre al Breviario Gallo-Siculo fà menzione di Lei anche il Breviario Cefaludese.

Da esso apprendiamo che: 

"La Vergine Oliva si crede nata a Palermo da nobile famiglia in un luogo vicino alla Chiesa Cattedrale e fin dall'infanzia fu piamente istruita nella religione cristiana.    

All'età di 13 anni fu mandata in esilio dai Barbari in Africa perchè cristiana e lì punita atrocemente.

Arrivata a Tunisi, per ordine del governatore,fu costretta a vivere tra i mendicanti, soffrendo la fame,la sete, il freddo, la nudità; guarì dalla storpiezza due di loro e li battezzò nel nome di Gesù Cristo. 

Quando questi neo-cristiani cominciarono a predicare e a far conoscere la loro fede pubblicamente, furono arrestati dai soldati ed uccisi atrocemente: le loro anime volarono in cielo con la corona del martirio. 

Oliva, in seguito a questi fatti,fu condotta con disprezzo in giro per la Città e fu trasferita in una lontana foresta per essere divorata dalle fiere. Alcuni cacciatori, accortisi della fanciulla, furono convertiti alla fede di Cristo e battezzati a loro volta.

La fede di Oliva fu provata con l'eculeo ed unghie di ferro; fu immersa tra le fiamme e nell'olio bollente, ma divinamente salvata, mentre appariva più costante nella confessione della fede, le fu amputata la testa e fu vista salire in cielo sotto forma di colomba. Il Corpo fu portato dai Cristiani a Palermo e seppellito religiosamente in un luogo sconosciuto ".

Quel luogo è stato identificato dagli storici , come l'Inveges, presso Casa Professa o, secondo altri, nella chiesetta a lei dedicata fin dal 1310 nella Chiesa di S. Francesco di Paola.

Alla fine del 1500 il culto fu diffuso dai Francescani, che ne ricercarono il Corpo.

Il popolo  e il Senato palermitano il 5 Giugno 1606 elessero Sant' Oliva Patrona della città con le sante Ninfa ed Agata.    Fu iscritta nel Calendario Palermitano dal Cardinale Giannettino Doria nel 1611 e celebrata dalla Chiesa Palermitana fino al 1980 come Memoria Obbligatoria; dal 1981 è stata espunta dal Calendario Liturgico Regionale, ma nella Città di Palermo può essere sempre celebrata con il grado di Memoria facoltativa.

Le è stata dedicata una Parrocchia della Città nel 1940, mentre il culto è vivo a Pettineo (ME ) e a Raffadali (AG), ove è Patrona principale e nella Chiesa Cattedrale di Tunisi, a lei intitolata.    

Autore: Ugo Russo

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/96417

Palazzo nel quartiere Castellammare o Loggia a NE sulla piazza Quattro Canti a Palermo.

Palace on the NE face of the Quattro Canti square in Palermo.

Palace NE sur la place Quattro Canti à Palerme.

 Palermo - Una delle statue del complesso monumentale detto "I quattro canti", composto da quattro palazzi sormontati da decorazioni barocche e statue dei re spagnoli Carlo VFilippo II di SpagnaFilippo III di Spagna e Filippo IV di Spagna, di Carlo Aprile (1661/63), e dallo stemma regale della Spagna, potenza che all'epoca dominava la Sicilia. Alla base di ogni edificio sta una fontana monumentale. L'insieme fu costruito fra il 1608 e 1620, ed è uno dei complessi barocchi più significativi della città.

Statua di sant'Oliva ai Quattro Canti (quartier nord), Palermo


LA PATRONA DIMENTICATA: S.OLIVA

<Segue

Oliva, la Vergine e Martire palermitana, patrona dimenticata dai fedeli palermitani, la leggenda la vuole come nascita, cittadina di questa città, si presume, secondo alcuni agiografi locali, che sia nata presso un rione del mandamento della Loggia, tanto che la sua statua è presente in una nicchia di uno dei cantoni e, precisamente quello settentrionale perché a suo tempo ne divenne la protettrice.

Sant' Oliva è stata una delle quattro sante protettrici principali di Palermo prima che fossero soppiantate dalla  “Santuzza Rosalia” nel 1624. Rappresentata da una scultura in marmo scolpita da Nunzio La Mattina nel 1621, da questo palazzo dove è addossato il cantone ed esattamente Palazzo Avito dove esisteva al suo interno una cappella a lei dedicata e da dove proviene un raro busto reliquiario del XV secolo, attualmente conservato al museo Diocesano di Palermo, un raffinato capolavoro ligneo intagliato policromo e con decori dorati, con al centro la collocazione per la miracolosa reliquia, che sembra assurdo che c’è ne siano in quanto i resti mortali non ne sono stati mai trovati.

La Santa effigiata con viso giovanile e capelli relegati dietro la nuca a il braccio sinistro alzato e la mano chiusa come se tenesse un ramoscello d’ulivo, nell’altra stringe un libro sicuramente la “Bibbia”, un altro busto reliquiario in argento dove si può vedere l’effige di Sant’Oliva giovanetta eseguito nel 1634 da Giovanni Giacomo Cerasolo ed è conservato nella chiesa a Lei dedicata cioè a San Francesco di Paola a Palermo.

Nata da una famiglia di nobile discendenza all’età di tredici anni durante la dominazione musulmana in Sicilia nel 906 per le sue virtù teologali fu perseguita e, il Cadì d’allora, pervenuto dall’Africa, non assoggettandosi alla sua religione la fece trasferire a Tunisi dove fu esiliata, là compì il miracolo di ridare la vista a due ciechi.

Relegata dagli infedeli in un luogo deserto, aspettando che morisse di fame e di sete, o che si appressasse ad essere divorata dagli animali selvaggi, fu miracolosamente tenuta in vita protetta da quest’ultimi che nei suoi confronti divennero mansueti e sopravvisse a tutte le privazioni.

Rinvenuta da alcuni cacciatori riuscì con la sua costanza a convertirli alla fede cristiana, fu denunciata al signore di Tunisi, che la fece imprigionare, cercando di persuaderla alla conversione.

Fustigata, subì la scarnificazione sull’eculeo, un marchingegno simile ad un cavalletto, introdotta in una caldaia d’olio bollente ne rimase viva, nulla poté far cambiare idea ad Oliva da tutti i tormenti ne usci sempre salva per la sua determinata fede.

Il Cadì vedendo la sua indeformabilità, cerco in tutti i modi di persuaderla, ma alla fine subì il Martirio a Tunisi per decapitazione il 10 giugno.

La data del suo martirio rimane dubbiosa alcuni agiografi la fanno risalire verso la fine del quarto secolo con l’invasione vandalica in Sicilia, ma gli avvenimenti storici non concordano con i fatti narrati anche se il racconto riportato suscita perplessità, sia per la data di nascita, sia per la sua reale esistenza, addirittura le più antiche fonti eortologiche non ne fanno menzione.

Ci piace concordare con il periodo musulmano, anche perché si ha notizia che la moschea più grande esistente a Tunisi e intitolata proprio alla Santa che in arabo viene chiamata Zaytùna di cui i musulmani sono molto devoti.

Più tardi il suo corpo, fu rapito da alcuni cristiani convertiti dalla religione musulmana e trasferito a Palermo dove venne sepolto in una zona di campagna adibita ad utilizzazione cimiteriale, fuori le mura della città.

Nel fra tempo il suo culto in periodo normanno si divulgò e il suo nome apparve per la prima volta nel breviario gallo-siculo.

La Santa, canonizzata sicuramente pochi anni dopo la sua morte per la prima volta viene effigiata nella conosciuta tavola dipinta dalla scuola siculo-bizantina del XIII secolo, proveniente dal monastero della Martorana e, oggi custodita al museo Diocesano di Palermo, nel quale privilegia la figura di Sant’Oliva su altre tre Sante (S.Elia, S.Venera e Rosalia) incorniciato in una cornice di legno intarsiata da formelle d’avorio.

Nel luogo della sua tumulazione in seguito venne costruita una chiesetta in suo onore di cui non si conosce l’anno di costruzione, la più antica notizia di questa esistenza si fa risalire al 1310.
Luogo che d’allora è stato sempre identificato dalla devozione popolare con l’antico piano di Sant’Oliva ricadente fuori Porta Carini che dalla omonima piazza si estendeva fino all’area del Politeama e che fino al 1778 fu adibito come spiazzo per tornei.

Nel 1485 la chiesetta dedicata a Oliva, con il permesso del Senato palermitano venne affidata alla costituente maestranza dei “custureri”, cioè i sartori, che disposero ad ingrandirla e ripararla, Oliva ne divenne la loro patrona come riferisce il Mongitore (notizia attinta da altri cronisti), ed ogni anno il 10 giugno celebravano la sua festa.

I “capitoli” di detta maestranza furono approvati il 4 gennaio 1485 e successivamente confermati il 27 maggio 1505.

Nel 1518 la chiesetta con tutto il terreno a lei adiacente venne ceduto all’Ordine dei Padri Minimi di San Francesco di Paola affinché costruissero il loro convento e chiesa che successivamente gli venne intitolata, con l’impegno di adibire una cappella del nuovo tempio alla Santa, affinché la maestranza continuasse ad esercitare le loro funzioni e la solennità processionale.

Venne assegnata a loro la terza cappella dove si riteneva fossero seppelliti i resti mortali della Santa, nonostante ogni ricerca portasse sempre ad un esito negativo, all’interno di un profondo pozzo che è vicino all’altare ed immetteva in una vasta rete di cavità e gallerie ed, emanava una fresca e purissima acqua.

Acqua che i palermitani con i loro pellegrinaggi continuarono a bere perché era ritenuta miracolosa per la cura di diverse malattie tra cui la malaria.

Il Mongitore di questo pozzo ci racconta una storiella in cui due frati vollero scendere per cercare il corpo di Sant’Oliva, ma senza fare altro e, grazie ad altri monaci che li aiutarono, ne uscirono fuori spaventati e confusi e malamente vivi per il terrore.

L’iconografia sconosciuta della Santa contribuì parecchio nella realizzazione di un quadro che fu esposto nella cappella della Santa e sovrasta l’altare, che la rappresenta nell’atto di battezzare alcune persone convertite di Tunisi, a realizzare l’opera si prestò con molta ammirazione il pittore Gaspare Serenario nel 1758Altre due tele di grandezza parietale con scene della sua vita fra cui il suo martirio e quando era relegata in carcere si trovano sempre nella medesima cappella e, sono state eseguite dal pittore trapanese Onofrio Lipari nel 1758.

Il giorno della festa a lei dedicata la maestranza portava in processione il simulacro argenteo fino in Cattedrale, ad essa partecipavano anche i frati Minimi, oggi la maestranza che è stata trasformata in confraternita esiste ancora, per diversi vicissitudini esercita la sua funzione in un altro luogo.

La seicentesca statua argentea raffigurante Sant’Oliva ancora adesso si trova esposta all’interno della sacrestia della chiesa di San Francesco di Paola dove rimane dimenticata.

Il Mongitore ci ricorda che la statua realizzata nel 1620 fu fatta eseguire dal sartore Giuseppe Taranto che spese 3000 scudi.
L’opera che non presenta punzonature tranne la corona d’argento che evidenzia il marchio del console degli orafi e argentieri di Palermo Gaspare Leone in cui e impresso l’anno 1765, sicuramente un’aggiunta successiva.

Venne realizzata secondo un’usanza in voga nei secoli XVII –XVIII in lamine sbalzate che rivestono lo scheletro di legno e comprendono le parti del tronco assunte dalle vesti che la ricoprono, ne fanno eccezione la testa, le mani ed i piedi che sono stati fabbricati a gettata e rifinite a cesello.

Nella mano sinistra reca un ramoscello d’olivo in argento cesellato che da un lato si mette in evidenza un cartiglio con la scritta Sant’Oliva e dalla parte opposta la scritta sartore con il loro emblema, un paio di forbicine, con chiaro riferimento alla relativa maestranza che la commissionò in quanto non tutte le confraternite si potevano permettere di farsi realizzare un simulacro d’argento se non facoltose.

Nella mano destra porta il libro delle sacre scritture simbolo della sua esistenza e codice singolare della sua pubblica professione di fede.

Nel piano della cattedrale verso la fine del seicento, la precedente balaustra marmorea fu arricchita con statue di Santi, alcuni dei quali legati alla storia della città, tra di esse nella direzione del cassero.

Nel 1656 Carlo D’Aprile scolpì Sant’Oliva in posizione eretta con i simboli del martirio e della fede.

La vita di Sant’Oliva come quella di Santa Rosalia mostrano diverse similitudini, la nascita di entrambe in famiglie nobili, la decisione di lasciare la casa dei genitori per seguire un’ideale che era quello della fede in Dio, infine l’incertezza della sepoltura.
Ma ciò che più conta nei rispettivi culti, è l’aspettare inutilmente il giorno in cui si rinverranno le rispettive spoglie.

Identico pellegrinaggio nei luoghi di antica sepoltura delle due “Santuzze”, spento completamente oggi quello per Oliva, solo nel medioevo poteva essere più frequente, ma poi si è affievolito, sino a divenire un ricordo per i palermitani.

Chiese, altari o semplici statue della Santa si trovano un pò sparse per la provincia di Palermo, solo a Termini Imerese esiste una chiesa a Lei dedicata, ed ad Alcamo, è patrona delle città di Raffadali e Pettineo.

SOURCE : https://www.palermoweb.com/panormus/curiosita/santoliva1.htm

Oliva (u Olivia) de Palermo, Beata

Virgen y Mártir, 10 de junio

Por: P. Felipe Santos |

Virgen y Mártir
Santa Tradicional, no incluida en el actual Martirologio Romano

Etimológicamente: Olivia = La que proteje la paz. Viene de la lengua latina.

Entre algunos musulmanes es uno de los nombres más venerados. Y la mezquita más grande de Túnez era la de "Santa Oliva". En los ciudadanos de esta urbe nació el dicho:" Desgraciado quien hable mal de santa Oliva, pues Alá seguramente lo castigará".

La leyenda no podía faltar. Dicen que era una creyente cristiana de Palermo. A los trece años, unos malvados piratas la cogieron prisionera y se la llevaron hasta Túnez.

En un primer momento, los moros sólo pensaron en acabar con ella. Pero se echaron para atrás cuando se enteraron de que era de sangre real. Era muy bella. Cuando se repuso de su desembarco en nación extraña para ella, empezó a predicar el Evangelio, a curar enfermos que acudían buscando socorro.

A los moros y a sus dirigentes les asaltó la duda de que podía hacer muchos prosélitos si la dejaban trabajar a su aire. Fue entonces cuando decidieron llevarla a una selva en la que habitaban bestias salvajes con la intención de que terminaran con ella. Pero he aquí que todos los animales se hicieron sus amigos y le deban todo lo que necesitaba. Además, todos los cazadores que se cruzaban en el camino con ella, escuchaban su palabra y se convertían al cristianismo. Lo mismo sucedía con los habitantes de Túnez que iban a hacerle una visita.

Todo era un paraíso. Y éste no podía durar demasiado tiempo. Atrás estaban los musulmanes muy molestos por todo lo que hacía y por cuanto le contaban acerca de sus milagros.

El gobernador mandó que la chica fuera a su presencia. La metió en la cárcel sin darle alimento. Y sin embargo, al salir estaba perfectamente bien de salud. Todo cuanto hacían se le volvía en contra. La única solución fue cortarle la cabeza. Era el siglo IX.

¡Felicidades a quien lleve este nombre!

SOURCE : https://es.catholic.net/op/articulos/37235/oliva-u-olivia-de-palermo-beata.html#modal

Voir aussi : https://hozana.org/saints/sainte-olive-de-palerme

https://web.archive.org/web/20190204065825/http://www.preguntasantoral.es/2013/07/santa-oliva-olivia-de-palermo/