Icona
del secolo XIII con S. Olivia, inoltre S. Elia, S. Venera e S. Rosalia. Museo
Diocesano, Palermo
Die
hll. Oliva, Elija,
Venera und Rosalia. Ikone aus dem 13. Jahrhundert
im Diözesanmuseum von Palermo
Święte: Oliwa
z Palermo w otoczeniu Elii, Venery Rozalii. (ikona z XIII w. w muzeum
diecezjalnym w Palermo).
Olivia
with the saints Elias, Venera and Rosalia,
13th century.
Sainte Olive
Cette Sainte a la particularité d'être honorée par
certains musulmans. La plus grande mosquée de Tunis était naguère « la
mosquée d'Olive », et c'est parmi les musulmans de cette ville que naquit
le dicton : « Malheur à qui parle mal de Sainte Olive, car Allah sûrement
le punira ! »
C'était une petite chrétienne de Sicile qui, à l'âge de treize ans, avait été prise par des pirates et emmenée à Tunis. Là elle résista à toutes les intimidations et à tous les mauvais traitements, impressionnant tout le monde par sa beauté et sa sérénité. Elle fut décapitée à cause de son rayonnement spirituel. C'était au IXème siècle.
Statua marmorea raffigurante Santa Oliva, opera proveniente dalla dismessa Tribuna di Antonello Gagini, oggi collocata su un pilastro della navata nella cattedrale di Palermo.
Antonello Gagini, Statua di sant'Oliva , Cattedrale di Palermo
Sainte Olive de Palerme
Vierge, martyre à Tunis (9ème s.)
ou Olivia.
La légende dit qu'elle était une petite chrétienne de
Palerme en Sicile et qu'à treize ans, elle fut prise par des pirates et emmenée
à Tunis. Quand ils apprirent qu'elle était de sang royal, ils l'épargnèrent, la
laissant dans un forêt pour que ce soient les bêtes sauvages qui la tuent.
Elles la protégèrent et le gouverneur la ramena dans sa prison, la soumit à de
dures tortures et, pour s'en débarrasser, il n'eut d'autres solutions que de la
faire décapiter. Chose étonnante, la légende ajoute qu'il y eut à Tunis une
"mosquée d'Olive".
Sainte Olive est patronne de la Cathédrale de Tunis 'Cathédrale Saint Vincent de Paul et Sainte Olive' (sur GoogleMaps)
En 1890, le cardinal Lavigerie donne comme titulaires à la Cathédrale, un saint
français: Saint Vincent
de Paul, et une sainte italienne: Sainte Olive, tous deux ayant vécu à
Tunis.
SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1303/Sainte-Olive-de-Palerme.html
Sainte Olive de Carthage
On ignore beaucoup de
choses sur cette Vierge martyre. Beaucoup de détails se racontent depuis
plusieurs siècles, dont on n’a aucune preuve certaine, à tel point que certains
se demandent si certains indices n’auraient pas purement et simplement fait
apparaître cette Martyre dans l’hagiographie sicilienne, ou au contraire si les
maigres informations qu’on avait sur elle auraient suscité la fantaisie des
hagiographes.
Olive aurait donc été de
noble famille palermitaine. Chrétienne et zélée, elle allait réconforter les
chrétiens apeurés par la lourde persécution organisée par le roi Vandale
Genséric. Elle aurait donc été exilée à Carthage (ou Tunis) pour lui faire
perdre ses envies de prosélytisme. Elle n’avait que treize ans.
L’autre tradition prétend
qu’elle aurait plutôt vécu aux IXe-Xe siècles, lors de la domination musulmane,
le sanguinaire Abd-Allah régnant sur la Sicile, et le non moins cruel
Hibraim-’ibn-Ahmed étant gouverneur du royaume d’Afrique.
Dans sa solitude elle
aurait successivement dompté les bêtes féroces, trouvé miraculeusement de quoi
se nourrir, guéri un aveugle et un boiteux et, lorsque des soldats lui furent
envoyés pour la mettre en prison ou la torturer, aurait eu cette force de conviction
de les convertir tous et de leur inculquer une telle foi que, de retour chez
eux, on les fit tous périr par le martyre. Cette féconde solitude aurait duré
sept années.
Ce qui est étonnant ici,
c’est qu’aucun document ne parle de ces faits, de ces nombreux martyrs, de
leurs noms, de leur nombre. Toujours est-il que notre sainte Olive fut à son
tour présentée au Préfet de Tunis, qui la fit torturer de toutes les façons :
fouets, chevalet, huile bouillante, feu. A chaque épisode, la Sainte n’éprouvait
aucun mal, en était même revigorée, faisait éteindre le feu (et convertissait
les bourreaux, comme on l’a dit plus haut). A la fin, elle fut décapitée.
Il est vrai qu’à Tunis
une ancienne mosquée portait le nom de Djamoa-ez-Zitoums, Mosquée
d’Olive, ou Mosquée de l’Olivier ; certains en effet prétendent que cette
mosquée fut simplement construite “près d’un olivier”.
Il reste qu’à Palerme et
dans toute la Sicile, le culte de “sainte Olive” s’est beaucoup répandu, avec
force cérémonies et manifestations locales. Mais, à Palerme, là où des
Religieux de l’Ordre des Minimes construisirent leur couvent, beaucoup de
“signes” furent observés, apparitions fréquentes d’un jeune fille merveilleuse
qui les aidait, les protégeait, puis disparaissait.
On n’a jamais retrouvé
son corps. Est-il resté en Tunisie ? A-t-il été enlevé et porté jusqu’en
Espagne durant certains conflits entre ce pays et la Sicile ? Est-il à Palerme
sous les fondations du couvent des Minimes ? Ou bien simplement dans
l’imagination des fervents dévots de notre Sainte ?
De fait, à cause de ces
nombreuses incertitudes, le Martyrologe Romain n’a pas retenu le nom de sainte
Olive, qui reste fêtée le 10 juin en Sicile, dont elle est une des Patronnes
célestes.
SOURCE : http://nouvl.evangelisation.free.fr/olive_de_carthage.htm
OLIVE de PALERME OU DE Carthage
Laïque, Martyre
Ve (ou Xe) siècle
En ce qui concerne sainte Olive, Olivia en italien, il
est très difficile de faire la distinction entre ce qui concerne la légende du
réel. Ce qui semble réel, c'est qu'Olive serait issue d'une famille noble de Palerme,
en Sicile. Ensuite, deux traditions s'installent…
Dans la première
tradition, Olive, sicilienne de Palerme, et chrétienne fervente, serait allée
réconforter des chrétiens effrayés par les persécutions lancées par le roi
Vandale Genséric, qui aurait régné de 427 à 477. Nous sommes donc au Ve siècle.
Mais elle aurait été exilée à Carthage (Tunis actuelle) à cause de son
prosélytisme. Elle n'avait que treize ans.
L'autre tradition, plus
plausible, raconte qu'Olive, petite chrétienne très jolie, aurait vécu au IXe siècle,
lors de la domination musulmane. Elle aurait été prise par des pirates
alors qu'elle n'avait que treize ans, et emmenée à Tunis. Les Maures voulaient
la faire périr, mais, ils ne la tuèrent pas car ils avaient appris qu'elle
était de sang royal. Arrivée à Tunis, par ordre du gouverneur, Olive fut
condamnée à vivre parmi les mendiants, souffrant de la faim, de la soif et du
froid. Heureusement deux mendiants aidèrent Olive qui les baptisa après les
avoir évangélisés. Et ces deux nouveaux chrétiens commencèrent à prêcher et à
faire connaître publiquement leur foi. Mais ils furent arrêtés et atrocement
torturés.
Mais il fallait se
débarrasser d'Olive sans la tuer. On la conduisit donc dans une forêt pleine de
bêtes féroces, dans l'espoir que celles-ci la dévoreraient. Mais les bêtes
sauvages devinrent les amies d'Olive et lui procurèrent ce dont elle avait
besoin. Dans sa solitude Olive aurait même guéri un aveugle et un boiteux.
Cette féconde solitude aurait duré sept années. Par ailleurs, les chasseurs
qu'Olive rencontrait abandonnaient l'islam et devenaient chrétiens. Le
gouverneur de Tunis voulut la mettre à mort. On l'enferma donc pendant de
longues semaines dans un cachot sans nourriture; mais elle en sortit vivante et
en parfaite santé. Des supplices plus violents commencèrent: écartèlement,
estrapade, supplice consistant à hisser le patient sur une potence et à le
laisser retomber plusieurs fois près du sol.
On tenta de brûler vive
Olive, mais les flammes refusaient de la toucher. On la mit dans une marmite
d'huile bouillante. Car Dieu la sauvait toujours miraculeusement ce qui
provoquait la conversion de ses bourreaux. Excédé, le gouverneur lui fit
trancher la tête. On aurait alors vu son âme monter au ciel sous la forme d'une
blanche colombe.
De tous ces faits,
lesquels sont authentiques? Nous ne le saurons probablement jamais. Par contre,
à Palerme et dans toute la Sicile, le culte de “sainte Olive” s’est beaucoup
répandu, avec force cérémonies et manifestations locales. À Palerme, quand les
Religieux de l’Ordre des Minimes construisirent leur couvent, beaucoup de
“signes” furent observés, dont des apparitions fréquentes d’une jeune fille
merveilleuse qui les aidait, les protégeait, puis disparaissait.
À cause de ces nombreuses
incertitudes, le Martyrologe Romain n’a pas retenu le nom de sainte Olive, qui
reste fêtée le 10 juin en Sicile, dont elle est une des Patronnes célestes. En
1890, le cardinal Lavigerie donna comme titulaires à la cathédrale de Tunis,
saint Vincent de Paul et sainte Olive, tous les deux ayant vécu à Tunis. Sainte
Olive est la patronne d'un des quatre quartiers de Palerme, les trois autres
étant confiés à Agathe, Christine de Tyr et Nymphe, une martyre du Ve siècle.
À cause des nombreuses
incertitudes concernant la vie et la mort d'Olive, le Martyrologe Romain n’a
pas retenu le nom de sainte Olive, qui reste cependant fêtée le 10 juin en
Sicile, dont elle est une des Patronnes célestes.
Paulette Leblanc
SOURCE : http://nova.evangelisation.free.fr/leblanc_olive_de_palerme.htm
Also
known as
Oliva
Olive
Oliwa
Uliva
formerly 10 June
Profile
Fictional character who
achieved a large following when her story was mistaken for a biography.
She was described as a
ravishing beauty of 13 years when Saracens captured her at Palermo, Sicily in
the 9th
century. She was deported to Tunis where she began to perform miracles and convert Muslims
to Christianity.
Wishing to get rid of her, but fearing her power, her captors abandoned her in
a forest, giving her to the beasts. Some hunters found
her and took her themselves as a slave,
but she converted them to
the Faith.
Exasperated Muslim authorities arrested, tortured,
and beheaded her.
At the moment of her death,
her soul was seen to fly to heaven in the form of a dove.
She has been honoured
in Carthage and Palermo,
and was held in great esteem by Christians and
Muslims. The great mosque of Tunis is called the Mosque of Olivia, and Tunisian
Muslims say that who speaks ill of her is always punished by God.
in Italy
in Spain
Additional
Information
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
images
llocs
web en català
webseiten
auf deutsch
sitios
en español
fonti
in italiano
strony
w jezyku polskim
MLA
Citation
“Saint Olivia of
Palermo“. CatholicSaints.Info. 9 June 2024. Web. 5 March 2025.
<https://catholicsaints.info/saint-olivia-of-palermo/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-olivia-of-palermo/
Oliva of Palermo VM (AC)
(also known as Olive, Olivia)
9th century. Oliva is
said to have been a Sicilian girl who was captured by the Saracens when she was
13 years old and taken to Tunis. There she converted so many to Christ that she
was martyred. She is held in high veneration by the Islamics, who named the
great mosque of Tunis in her honor, as well as by Christians at Palermo and
Carthage. Unfortunately, Oliva is a fictional character (Benedictines,
Encyclopedia).
SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0610.shtml
St. Olivia
According to a pious
legend, St. Olivia was described as a ravishing beauty of 13 years when
Saracens captured her at Palermo, Sicily in the 9th century. She was deported
to Tunis where she began to perform miracles and convert Muslims to
Christianity.
Wishing to get rid of
her, but fearing her power, her captors abandoned her in a forest, giving her
to the beasts. Some hunters found her and took her themselves as a slave, but
she converted them to the Faith. Exasperated Muslim authorities arrested,
tortured, and beheaded her. At the moment of her death, her soul was seen to
fly to heaven in the form of a dove.
She has been honoured in
Carthage and Palermo, and was held in great esteem by Christians and Muslims.
The mosque of Tunis is called the Mosque of Olivia, and Tunisian Muslims say
that who speaks ill of her is always punished by God.
St. Olivia is considered
a Patron Saint of Music and Palermo, Italy.
SOURCE : http://www.ucatholic.com/saints/saint-olivia/
Bl. Olive
Feastday: June 10
According to a pious
fictional legend, Olive was a beautiful girl of thirteen, of a noble Palermo, Italy family who
was carried off to Tunis by
raiding Moslems. They allowed her to live in a nearby cave, but when they found
that her miracles and cures had converted many Mohammedans, she was imprisoned,
tortured, and after converting her executioners trying to burn her to death,
was beheaded. Her feast
day is June 10.
SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=519
Bl. Olivia
Feastday: June 10
Olivia is a derivative of
Olive whose feast day is
June 10th. According to pious fictional legend, she was a beautiful girl of
thirteen, of a noble Palermo, Italy, family who
was carried off to Tunis by
raiding Moslems. They allowed her to live in a nearby cave but when they found
that her miracles and cures had converted many Mohammedans, she was imprisoned,
tortured, and after converting her executioners trying to burn her to death,
was beheaded.
SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=784
Chiesa di Sant'Oliva ad Alcamo
Antonello Gagini, Statua di sant'Oliva, Chiesa di Sant'Oliva (Alcamo)
Statua
in marmo di” S. Oliva” del Gagini particolare
Sant' Oliva di Palermo Vergine
e martire
sec. X
Il nome deriva dal latino Oliba, documentato solo in avanzata età cristiana e tradizionalmente connesso con il termine oliva, variante di olea,che in latino indica sia l’albero che il suo frutto, l’oliva.
La Santa non è menzionata in alcun Martirologio latino, che pure riportano i
martiri della persecuzione vandalica, né della Chiesa Greco-Sicula, ove non
esiste alcuna memoria del suo culto.
Un noto studioso dell'Agiografia sicula, il benedettino Domenico Gaspare Lancia
di Brolo scrisse: "Molti scrittori siciliani vogliono il martirio di S.
Oliva durante la persecuzione vandalica, ma senza sicuro fondamento, poichè
mancano gli Atti del suo martirio e pochi cenni si trovano nell'antico
Lezionario Gallo-Siculo senza nota cronologica, così che possono bene convenire
alla persecuzione dei Vandali come a quella dei saraceni. Tanto i primi che i
secondi deportavano in Africa; costringevano talvolta i vinti a rinnegare la
propria religione, punivano con la morte coloro che cercavano di fare
proseliti".
Ma la Leggenda di S. Oliva non ha nulla di inverosimile perchè non si debba ricevere: infatti ha delle straordinarie somiglianze con il martirio di altri Santi... ".
Secondo Mons. Paolo Collura "Il nucleo essenziale delle nostre antiche Leggende ha un substrato che non deve essere sottovalutato e poichè la dominazione araba (827-1092) proprio in Sicilia fece piazza pulita di tutti i documenti scritti sacri e profani, il ricordo di parecchi Santi ci è stato tramandato soltanto sul filo della memoria. La più antica notizia di lei nella Città di Palermo risale al 1310, mentre il Corpo si trovava ancora a Tunisi, in una piccola Moschea che sorgeva vicino quella grande, detta in arabo " Gamie Azzaytun " (dell'ulivo e di Oliva), diventata poi basilica cristiana. Nel 1402 il re Martino I lo richiese al Califfo Abû Azir, ma ne ebbe un rifiuto, poichè ancora oggi i tunisini, presso i quali è ancora oggi venerata, credono che la loro religione e la loro dominazione tramonterà quando scomparirà il Corpo della Vergine Oliva.
La memoria della Santa è ricordata non solo nell'antico Breviario Gallo-Siculo del sec. XII che si conserva ancora a Palermo, ma anche in una antichissima tavola dove appare dipinta la sua immagine con S. Elia e le Sante Rosalia, Venera, custodita nel Museo Diocesano di Palermo.
Fanno memoria di lei il Martirologio Siculo del P. Gaetani S.J. e il Martirologio Palermitano del Mongitore del 1742.
"A Tunisi il martirio di S. Oliva vergine e martire, cittadina palermitana e patrona principale, la quale, nata da nobile famiglia, ancora fanciulla, nella persecuzione vandalica per la fede di Cristo cacciata in esilio, a Tunisi attrasse molti alla fede cattolica; superati poi l'eculeo, le unghie di ferro e il fuoco, divinamente liberata dall'olio incandescente, troncato alla fine il capo, le fu data la corona del martirio, la cui anima, tutti ammirando, sotto forma di colomba volò al cielo l'anno 463 ".
Oltre al Breviario Gallo-Siculo fà menzione di Lei anche il Breviario Cefaludese.
Da esso apprendiamo che:
"La Vergine Oliva si crede nata a Palermo da nobile famiglia in un luogo vicino alla Chiesa Cattedrale e fin dall'infanzia fu piamente istruita nella religione cristiana.
All'età di 13 anni fu mandata in esilio dai Barbari in Africa perchè cristiana e lì punita atrocemente.
Arrivata a Tunisi, per ordine del governatore,fu costretta a vivere tra i mendicanti, soffrendo la fame,la sete, il freddo, la nudità; guarì dalla storpiezza due di loro e li battezzò nel nome di Gesù Cristo.
Quando questi neo-cristiani cominciarono a predicare e a far conoscere la loro fede pubblicamente, furono arrestati dai soldati ed uccisi atrocemente: le loro anime volarono in cielo con la corona del martirio.
Oliva, in seguito a questi fatti,fu condotta con disprezzo in giro per la Città e fu trasferita in una lontana foresta per essere divorata dalle fiere. Alcuni cacciatori, accortisi della fanciulla, furono convertiti alla fede di Cristo e battezzati a loro volta.
La fede di Oliva fu provata con l'eculeo ed unghie di ferro; fu immersa tra le fiamme e nell'olio bollente, ma divinamente salvata, mentre appariva più costante nella confessione della fede, le fu amputata la testa e fu vista salire in cielo sotto forma di colomba. Il Corpo fu portato dai Cristiani a Palermo e seppellito religiosamente in un luogo sconosciuto ".
Quel luogo è stato identificato dagli storici , come l'Inveges, presso Casa Professa o, secondo altri, nella chiesetta a lei dedicata fin dal 1310 nella Chiesa di S. Francesco di Paola.
Alla fine del 1500 il culto fu diffuso dai Francescani, che ne ricercarono il Corpo.
Il popolo e il Senato palermitano il 5 Giugno 1606 elessero Sant' Oliva Patrona della città con le sante Ninfa ed Agata. Fu iscritta nel Calendario Palermitano dal Cardinale Giannettino Doria nel 1611 e celebrata dalla Chiesa Palermitana fino al 1980 come Memoria Obbligatoria; dal 1981 è stata espunta dal Calendario Liturgico Regionale, ma nella Città di Palermo può essere sempre celebrata con il grado di Memoria facoltativa.
Le è stata dedicata una Parrocchia della Città nel 1940, mentre il culto è vivo a Pettineo (ME ) e a Raffadali (AG), ove è Patrona principale e nella Chiesa Cattedrale di Tunisi, a lei intitolata.
Autore: Ugo Russo
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/96417
Palazzo
nel quartiere Castellammare o Loggia a NE sulla
piazza Quattro Canti a Palermo.
Palace
on the NE face of the Quattro Canti square in Palermo.
Palace NE sur la place Quattro Canti à Palerme.
Palermo - Una delle statue del complesso monumentale detto "I quattro canti", composto da quattro palazzi sormontati da decorazioni barocche e statue dei re spagnoli Carlo V, Filippo II di Spagna, Filippo III di Spagna e Filippo IV di Spagna, di Carlo Aprile (1661/63), e dallo stemma regale della Spagna, potenza che all'epoca dominava la Sicilia. Alla base di ogni edificio sta una fontana monumentale. L'insieme fu costruito fra il 1608 e 1620, ed è uno dei complessi barocchi più significativi della città.
Statua
di sant'Oliva ai Quattro Canti (quartier nord), Palermo
LA PATRONA DIMENTICATA:
S.OLIVA
Oliva, la Vergine e
Martire palermitana, patrona dimenticata dai fedeli palermitani, la leggenda la
vuole come nascita, cittadina di questa città, si presume, secondo alcuni
agiografi locali, che sia nata presso un rione del mandamento della Loggia,
tanto che la sua statua è presente in una nicchia di uno dei cantoni e,
precisamente quello settentrionale perché a suo tempo ne divenne la
protettrice.
Sant' Oliva è stata una
delle quattro sante protettrici principali di Palermo prima che fossero
soppiantate dalla
La Santa effigiata con
viso giovanile e capelli relegati dietro la nuca a il braccio sinistro alzato e
la mano chiusa come se tenesse un ramoscello d’ulivo, nell’altra stringe un
libro sicuramente la “Bibbia”, un altro busto reliquiario in argento dove si può
vedere l’effige di Sant’Oliva giovanetta eseguito nel 1634 da Giovanni Giacomo
Cerasolo ed è conservato nella chiesa a Lei dedicata cioè a San Francesco di
Paola a Palermo.
Nata da una famiglia di
nobile discendenza all’età di tredici anni durante la dominazione musulmana in
Sicilia nel 906 per le sue virtù teologali fu perseguita e, il Cadì d’allora,
pervenuto dall’Africa, non assoggettandosi alla sua religione la fece
trasferire a Tunisi dove fu esiliata, là compì il miracolo di ridare la vista a
due ciechi.
Relegata dagli infedeli
in un luogo deserto, aspettando che morisse di fame e di sete, o che si
appressasse ad essere divorata dagli animali selvaggi, fu miracolosamente
tenuta in vita protetta da quest’ultimi che nei suoi confronti divennero mansueti
e sopravvisse a tutte le privazioni.
Rinvenuta da alcuni
cacciatori riuscì con la sua costanza a convertirli alla fede cristiana, fu
denunciata al signore di Tunisi, che la fece imprigionare, cercando di
persuaderla alla conversione.
Fustigata, subì la
scarnificazione sull’eculeo, un marchingegno simile ad un cavalletto,
introdotta in una caldaia d’olio bollente ne rimase viva, nulla poté far
cambiare idea ad Oliva da tutti i tormenti ne usci sempre salva per la sua
determinata fede.
Il Cadì vedendo la sua
indeformabilità, cerco in tutti i modi di persuaderla, ma alla fine subì il
Martirio a Tunisi per decapitazione il 10 giugno.
La data del suo martirio
rimane dubbiosa alcuni agiografi la fanno risalire verso la fine del quarto
secolo con l’invasione vandalica in Sicilia, ma gli avvenimenti storici non
concordano con i fatti narrati anche se il racconto riportato suscita
perplessità, sia per la data di nascita, sia per la sua reale esistenza,
addirittura le più antiche fonti eortologiche non ne fanno menzione.
Ci piace concordare con
il periodo musulmano, anche perché si ha notizia che la moschea più grande
esistente a Tunisi e intitolata proprio alla Santa che in arabo viene chiamata
Zaytùna di cui i musulmani sono molto devoti.
Più tardi il suo corpo,
fu rapito da alcuni cristiani convertiti dalla religione musulmana e trasferito
a Palermo dove venne sepolto in una zona di campagna adibita ad utilizzazione
cimiteriale, fuori le mura della città.
Nel fra tempo il suo
culto in periodo normanno si divulgò e il suo nome apparve per la prima volta
nel breviario gallo-siculo.
La Santa, canonizzata
sicuramente pochi anni dopo la sua morte per la prima volta viene effigiata
nella conosciuta tavola dipinta dalla scuola siculo-bizantina del XIII secolo,
proveniente dal monastero della Martorana e, oggi custodita al museo Diocesano
di Palermo, nel quale privilegia la figura di Sant’Oliva su altre tre Sante
(S.Elia, S.Venera e Rosalia) incorniciato in una cornice di legno intarsiata da
formelle d’avorio.
Nel luogo della sua
tumulazione in seguito venne costruita una chiesetta in suo onore di cui non si
conosce l’anno di costruzione, la più antica notizia di questa esistenza si fa
risalire al 1310.
Luogo che d’allora è stato sempre identificato dalla devozione popolare con
l’antico piano di Sant’Oliva ricadente fuori Porta Carini che dalla
omonima piazza si estendeva fino all’area del Politeama e che fino al 1778 fu
adibito come spiazzo per tornei.
Nel 1485 la chiesetta
dedicata a Oliva, con il permesso del Senato palermitano venne affidata alla
costituente maestranza dei “custureri”, cioè i sartori, che disposero ad
ingrandirla e ripararla, Oliva ne divenne la loro patrona come riferisce il
Mongitore (notizia attinta da altri cronisti), ed ogni anno il 10 giugno
celebravano la sua festa.
I “capitoli” di detta
maestranza furono approvati il 4 gennaio 1485 e successivamente confermati il
27 maggio 1505.
Nel 1518 la chiesetta con
tutto il terreno a lei adiacente venne ceduto all’Ordine dei Padri Minimi di San
Francesco di Paola affinché costruissero il loro convento e chiesa che
successivamente gli venne intitolata, con l’impegno di adibire una cappella del
nuovo tempio alla Santa, affinché la maestranza continuasse ad esercitare le
loro funzioni e la solennità processionale.
Venne assegnata a loro la
terza cappella dove si riteneva fossero seppelliti i resti mortali della Santa,
nonostante ogni ricerca portasse sempre ad un esito negativo, all’interno di un
profondo pozzo che è vicino all’altare ed immetteva in una vasta rete di cavità
e gallerie ed, emanava una fresca e purissima acqua.
Acqua che i palermitani
con i loro pellegrinaggi continuarono a bere perché era ritenuta miracolosa per
la cura di diverse malattie tra cui la malaria.
Il Mongitore di questo pozzo ci racconta una storiella in cui due frati vollero scendere per cercare il corpo di Sant’Oliva, ma senza fare altro e, grazie ad altri monaci che li aiutarono, ne uscirono fuori spaventati e confusi e malamente vivi per il terrore.
L’iconografia sconosciuta
della Santa contribuì parecchio nella realizzazione di un quadro che fu esposto
nella cappella della Santa e sovrasta l’altare, che la rappresenta nell’atto di
battezzare alcune persone convertite di Tunisi, a realizzare l’opera si prestò
con molta ammirazione il pittore Gaspare Serenario nel 1758Altre due tele di
grandezza parietale con scene della sua vita fra cui il suo martirio e quando
era relegata in carcere si trovano sempre nella medesima cappella e, sono state
eseguite dal pittore trapanese Onofrio Lipari nel 1758.
Il giorno della festa a
lei dedicata la maestranza portava in processione il simulacro argenteo fino in
Cattedrale, ad essa partecipavano anche i frati Minimi, oggi la maestranza che
è stata trasformata in confraternita esiste ancora, per diversi vicissitudini
esercita la sua funzione in un altro luogo.
La seicentesca statua
argentea raffigurante Sant’Oliva ancora adesso si trova esposta all’interno
della sacrestia della chiesa di San Francesco di Paola dove rimane
dimenticata.
Il Mongitore ci ricorda
che la statua realizzata nel 1620 fu fatta eseguire dal sartore Giuseppe
Taranto che spese 3000 scudi.
L’opera che non presenta punzonature tranne la corona d’argento che evidenzia
il marchio del console degli orafi e argentieri di Palermo Gaspare Leone in cui
e impresso l’anno 1765, sicuramente un’aggiunta successiva.
Venne realizzata secondo
un’usanza in voga nei secoli XVII –XVIII in lamine sbalzate che rivestono lo
scheletro di legno e comprendono le parti del tronco assunte dalle vesti che la
ricoprono, ne fanno eccezione la testa, le mani ed i piedi che sono stati
fabbricati a gettata e rifinite a cesello.
Nella mano sinistra reca
un ramoscello d’olivo in argento cesellato che da un lato si mette in evidenza
un cartiglio con la scritta Sant’Oliva e dalla parte opposta la scritta sartore
con il loro emblema, un paio di forbicine, con chiaro riferimento alla relativa
maestranza che la commissionò in quanto non tutte le confraternite si potevano
permettere di farsi realizzare un simulacro d’argento se non facoltose.
Nella mano destra porta
il libro delle sacre scritture simbolo della sua esistenza e codice singolare
della sua pubblica professione di fede.
Nel piano della
cattedrale verso la fine del seicento, la precedente balaustra marmorea fu
arricchita con statue di Santi, alcuni dei quali legati alla storia della
città, tra di esse nella direzione del cassero.
Nel 1656 Carlo D’Aprile
scolpì Sant’Oliva in posizione eretta con i simboli del martirio e della fede.
La vita di Sant’Oliva
come quella di Santa Rosalia mostrano diverse similitudini, la nascita di
entrambe in famiglie nobili, la decisione di lasciare la casa dei genitori per
seguire un’ideale che era quello della fede in Dio, infine l’incertezza della sepoltura.
Ma ciò che più conta nei rispettivi culti, è l’aspettare inutilmente il giorno
in cui si rinverranno le rispettive spoglie.
Identico pellegrinaggio
nei luoghi di antica sepoltura delle due “Santuzze”, spento completamente oggi
quello per Oliva, solo nel medioevo poteva essere più frequente, ma poi si è
affievolito, sino a divenire un ricordo per i palermitani.
Chiese, altari o semplici statue della Santa si trovano un pò sparse per la provincia di Palermo, solo a Termini Imerese esiste una chiesa a Lei dedicata, ed ad Alcamo, è patrona delle città di Raffadali e Pettineo.
SOURCE : https://www.palermoweb.com/panormus/curiosita/santoliva1.htm
Oliva (u Olivia) de
Palermo, Beata
Virgen y Mártir, 10 de junio
Por: P. Felipe Santos |
Virgen y Mártir
Santa Tradicional, no incluida en el actual Martirologio Romano
Etimológicamente: Olivia
= La que proteje la paz. Viene de la lengua latina.
Entre algunos musulmanes es uno de los nombres más venerados. Y la mezquita más
grande de Túnez era la de "Santa Oliva". En los ciudadanos de esta
urbe nació el dicho:" Desgraciado quien hable mal de santa Oliva, pues Alá
seguramente lo castigará".
La leyenda no podía faltar. Dicen que era una creyente cristiana de Palermo. A
los trece años, unos malvados piratas la cogieron prisionera y se la llevaron
hasta Túnez.
En un primer momento, los moros sólo pensaron en acabar con ella. Pero se
echaron para atrás cuando se enteraron de que era de sangre real. Era muy
bella. Cuando se repuso de su desembarco en nación extraña para ella, empezó a
predicar el Evangelio, a curar enfermos que acudían buscando socorro.
A los moros y a sus dirigentes les asaltó la duda de que podía hacer muchos
prosélitos si la dejaban trabajar a su aire. Fue entonces cuando decidieron
llevarla a una selva en la que habitaban bestias salvajes con la intención de
que terminaran con ella. Pero he aquí que todos los animales se hicieron sus
amigos y le deban todo lo que necesitaba. Además, todos los cazadores que se
cruzaban en el camino con ella, escuchaban su palabra y se convertían al
cristianismo. Lo mismo sucedía con los habitantes de Túnez que iban a hacerle
una visita.
Todo era un paraíso. Y éste no podía durar demasiado tiempo. Atrás estaban los
musulmanes muy molestos por todo lo que hacía y por cuanto le contaban acerca
de sus milagros.
El gobernador mandó que la chica fuera a su presencia. La metió en la cárcel
sin darle alimento. Y sin embargo, al salir estaba perfectamente bien de salud.
Todo cuanto hacían se le volvía en contra. La única solución fue cortarle la
cabeza. Era el siglo IX.
¡Felicidades a quien lleve este nombre!
SOURCE : https://es.catholic.net/op/articulos/37235/oliva-u-olivia-de-palermo-beata.html#modal
Voir aussi : https://hozana.org/saints/sainte-olive-de-palerme