Le
miracle des roses : Roseline et son père Arnaud de Villeneuve, tableau de
l'église Sainte-Roseline de Roquefort-la-Bédoule.
Sainte Roseline de Villeneuve
Chartreuse en Provence (+ 1329)
ou sainte Roseline des Arcs.
Prieure de la chartreuse de Celle Roubaud dans le diocèse de Fréjus en Provence. Elle fut favorisée de phénomènes mystiques. Son culte fut confirmée en 1851.
La famille de Villeneuve, installé sur le fief des Arcs, Trans et la Motte, vers 1200, par le comte de Provence règne sur ce territoire pendant quatre siècles.
Fille de Giraud II de Villeneuve, Roseline naît aux Arcs en 1263. En période de disette, elle distribue les vivres de la famille aux pauvres. Surprise par son père, lorsqu’elle ouvre son tablier, les vivres se transforment en roses. A 16 ans, Roseline entre en religion chez les Chartreusines, fit son noviciat à Prébayon, couvent de Saint-André de Ramière, près du Mont Ventoux, puis à l’abbaye de Bertaud (Gap) où elle prononce ses vœux. Elle rejoint sa tante Jeanne à l’abbaye de la Celle-Roubaud, sept ans après le début de son noviciat, puis elle lui succède à son décès comme prieure.
Vivant dans la piété et la pénitence, elle sera toujours attentive aux pauvres et aux malades qui venaient chercher aide et soulagement. La population la considère sainte dès son vivant.
Après avoir renoncé à sa charge de prieure pour mener une vie plus effacée, elle mourut le 17 janvier 1329.
Elle est la protectrice des Marins, elle qui ne manquait pas de prier pour les Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem dont son frère Hélion, fut le Grand Maître.
Le corps de sainte Roseline est conservé aux Arcs dans une châsse de verre.
(Histoire des saints de Provence - diocèse de Fréjus-Toulon)
Un internaute nous écrit:
"Elle est née aux Arcs le 27 janvier 1263, elle
est la fille d’Arnaud de Villeneuve et de Sybille de Burgolle de Sabran des
Arcs, seigneurs des Arcs, de Trans, de Flayosc, de La Motte et des
Esclans.
- Premier noviciat à Saint-André de Ramières (Vaucluse)
- Second noviciat à la Chartreuse de Bertaud (Hautes-Alpes) où elle est admise à la profession religieuse à l’unanimité le jour de Noël 1280.
- En 1285 elle est nommée à l’abbaye de La Celle Roubaud des Arcs où elle succède à sa tante comme prieure en 1300.
- Elle restera prieure jusqu’en 1328 date à laquelle elle demande à redevenir simple religieuse.
- Elle meurt le 17 janvier 1329.
- Exhumée cinq ans après sa mort son corps est retrouvé intact et ses yeux sont aussi vifs et brillants que si elle était en vie. Le miracle de la conservation des yeux de sainte Roseline sera constaté sur ordre du roi en 1660 par le médecin personnel de Louis XIV. Mis dans une châsse le corps de sainte Roseline ne sera embaumé qu'en 1894, près de six siècles après sa mort.
- Elle symbolise la perfection des vertus cartusiennes d’humilité, de pureté et de charité."
À Fréjus en Provence, vers 1329, sainte Roseline, prieure de la Chartreuse de la Celle Roubaud, qui fut célèbre pour son abnégation, ses jeûnes, ses veilles et ses austérités.
Martyrologe romain
Sainte
Roselyne de Villeneuve, fille de Arnaud II de Villeneuve, marquis des Arcs et
d'Aiglesire et de Sibylle de Sabran. Née au château des Arcs en Provence.
Religieuse chartreuse au monastère de Bertaud en 1282, puis à la Celle Roubaud
en 1283, Diaconesse en 1288, prieure en 1300, abdique en 1325 en mourant en
odeur de sainteté en 1329.
Arms
of de Villeneuve: Gules semée of escutcheons and fretty or with
inescutcheon Azure, a fleur-de-lis argent
Sainte Roseline de
Villeneuve
Fille aînée d'Arnaud de
Villeneuve et Sybille de Sabran, Roseline naît au Château des Arcs le 27
janvier 1263. Très vite l'enfant fait preuve d'une grande bonté : elle
distribue sans compter des réserves du Château aux pauvres du castrum malgré
l'interdiction de son père. Un jour il la surprend le tablier rempli de pain,
quand Roseline, confuse, montre ce qu'elle cache, une brassée de roses
s'échappe du tablier. C'est le "Miracle des Roses". Au contact de sa
tante Jeanne, Prieure du monastère de la Celle-Roubaud, Roseline souhaite
devenir chartreuse; son père qui lui destine un beau mariage cède aux vœux de
sa fille. Elle devint novice en 1278 à Saint-André de Ramières puis à la
Chartreuse de Bertaud où elle est admise à la profession religieuse le jour de
Noël 1280. En 1285, elle entre à l’abbaye de La Celle Roubaud des Arcs où elle
succède à sa tante comme prieure en 1300. Elle restera prieure jusqu’en 1328
date à laquelle elle demande à redevenir simple religieuse. Elle meurt le 17
janvier 1329. Exhumée cinq ans après sa mort son corps est retrouvé intact et
ses yeux sont aussi vifs et brillants que si elle était en vie. Le miracle de
la conservation des yeux de sainte Roseline sera constaté sur ordre du roi en
1660 par le médecin personnel de Louis XIV, Antoine Vallot, qui, croyant à une
supercherie, creva l'œil gauche, la prunelle se troubla instantanément, les
yeux étaient bien naturels. Mis dans une châsse le corps de sainte Roseline ne
sera embaumé qu'en 1894, près de six siècles après sa mort.
Sainte Roseline
Vierge
Roseline, fille aînée
d'Arnaud de Villeneuve et Sybille de Sabran, naît au Château des Arcs le 27
janvier 1263.
Très vite l'enfant fait
preuve d'une grande bonté : elle distribue sans compter des réserves du Château
aux pauvres du castrum malgré l'interdiction de son père.
Un jour il la surprend le
tablier rempli de pain, quand Roseline, confuse, montre ce qu'elle cache, une
brassée de roses s'échappe du tablier. C'est le « Miracle des Roses ».
Au contact de sa tante
Jeanne, Prieure du Monastère de la Celle-Roubaud, Roseline souhaite devenir
Chartreuse.
Son père, qui lui destine
un beau mariage, cède aux vœux de sa fille. Elle devint novice en 1278.
En 1285, elle retourne à
la Chartreuse de La Celle-Roubaud-aux-Arcs, pour la plus grande joie de sa
famille et des Arcois.
En 1300, à l'âge de 37
ans, elle succède à sa tante comme Prieure. Plusieurs miracles dont « le
repas des anges » se sont produits depuis son noviciat.
Elle expire le 17 janvier
1329 à l'âge de 66 ans.
Exhumé cinq ans après sa
mort, son corps est retrouvé intact et ses yeux ouverts avaient conservé tout
leur éclat.
Afin que les fidèles
puissent l'honorer, son corps fut placé dans une châsse et les yeux sertis dans
un reliquaire.
En 1660, Louis XIV
souhaita vérifier la réalité de ce prodige. Croyant à une supercherie, son
médecin Vallot creva l'œil gauche, la prunelle se troubla instantanément, les
yeux étaient bien naturels.
http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20150117&id=1263&fd=0
SAINTE ROSELINE
1263-1329
Fille d'Arnault de
Villeneuve et de Sibylle de Sabran, Roseline naît au château des Arcs, en
Provence, le 27 janvier 1263, aînée d'une famille de neuf enfants. Lors d'une
famine causée par une grande sécheresse, les paysans viennent aux portes du
château pour réclamer du pain. Roseline, qui n'était encore qu'une enfant, vide
en cachette les réserves des greniers pour venir en aide aux malheureux. Un
jour elle est surprise par son père qui lui ordonne de lui montrer ce qu'elle
cache dans son tablier. Confuse, Roseline ouvre son tablier d'où s'échappe une
brassée de roses. La tante de Roseline est la prieure d'un monastère de la
chartreuse à la Celle-Roubaud. Les fréquentes visites de Roseline à sa tante
finissent par faire éclore chez elle une vocation religieuse. Son père, qui
souhaitait pour elle une riche mariage, commence par s'opposer à ce projet mais
finit par accepter qu'elle entre comme novice à la chartreuse de
Saint-André-de-Ramières, près du Mont Ventoux. Elle terminera son noviciat au
couvent de Bertaud, près de Gap et y restera six ans. En 1285, Roseline est
nommée à la chartreuse de La Celle-Roubaud et revient aux Arcs rendre une
visite à sa famille. En 1300, elle succède à sa tante comme prieure du
monastère et le demeurera jusqu'en 1328, époque à laquelle, épuisée par sa
tâche, elle demande à redevenir simple religieuse. Elle meurt moins d'un an
après, le 17 janvier 1329. Exhumée cinq ans après sa mort son corps est
retrouvé intact et ses yeux sont aussi vifs et brillants que si elle était en vie.
Le miracle de la conservation des yeux de sainte Roseline sera constaté sur
ordre du roi en 1660 par le médecin personnel de Louis XIV. Mis dans une châsse
le corps de sainte Roseline ne sera embaumé qu'en 1894, près de six siècles
après sa mort.
SOURCE : http://apotres.amour.free.fr/page4/ROSELINE.htm
La
vie de Sainte Roseline de Villeneuve et l'histoire de sa momie
Roseline naquit le le 12
janvier 1263 au château des Arcs. Elle était la fille de Giraud II de
Villeneuve, seigneur des Arcs, Trans, La Motte et Esclans et d'Aigline son
épouse. Alors qu’elle était enceinte, celle-ci aurait entendu une voix lui
prédire : "Tu enfanteras une rose sans épine, une rose dont le parfum
embaumera toute la contrée". Dès lors, un doux parfum de rose se serait
répandu autour d’elle. Roseline était l’aînée de six enfants. Dès le berceau,
Roseline portait les stigmates de la sainteté : son front rayonnait d'une
clarté surnaturelle.
Toute jeune fille, déjà
la foi chrétienne était sa principale vertu et Dieu était le seul objet de ses
sentiments. Elle faisait preuve d’une grande générosité en distribuant de
la nourriture aux pauvres ce qui mettait à mal les réserves du château, car elle
y puisait tous les jours de quoi les nourrir. Son père lui interdisait pourtant
toutes ces largesses mais Roseline ne pouvait s’empêcher de lui désobéir.
À douze ans, le tablier de sa robe empli de pain, elle se fit surprendre
par son père. "Mais que portes-tu dans ton tablier ?" lui
demanda-t-il. Toute rougissante mais candide comme un ange, elle répondit :
"Ce sont des roses, père" et ouvrant les pans de son vêtement, elle
laissa échapper une brassée de roses des plus odorantes. Cet épisode connu sous
le nom du "miracle des roses" eut lieu en plein mois de janvier ce
qui convainquit Giraud II de la bénédiction divine de sa fille. De cet
évènement, il reste aujourd'hui le lieu où il se serait produit : la porte du
miracle à côté du donjon.
En 1278, Roseline intégra
la Chartreuse de Saint-André-de-Ramières, au pied du mont Ventoux, en tant que
novice. Par la suite, elle termina son noviciat au couvent de Bertaud près de
Gap. Alors qu’un soir, elle était chargée de préparer le repas de la
communauté, elle se mit en prière et tomba en extase. Elle sentit le Seigneur
près d’elle et s’entretint avec lui "dans le doux secret de son
cœur". A l'arrivée des religieuses, rien n'était prêt. La prieure
était sur le point de gronder Roseline lorsqu'elle vit des anges qui
s'éloignaient après avoir dressé la table et disposé la nourriture.
En 1285, Roseline fut
nommée au monastère de la Celle-Roubaud, sur le terroir des Arcs-sur-Argens et
revint ainsi près de sa famille. Elle en devint prieure en 1300, après avoir
succédé à sa tante Jeanne à la tête du monastère. Elle y restera pendant
quarante-quatre ans. Elle continuera à répandre autour d’elle sa générosité.
Les malheureux prendront l'habitude de venir frapper à la porte du couvent où
Roseline et ses religieuses leur distribueront de la nourriture.
Epuisée par sa tâche et
ses mortifications, elle demandera à redevenir simple religieuse et mourra
moins d'un an après avoir abandonné son rôle de prieure, le 17 janvier 1329. De
nombreux pèlerins affluèrent alors à son chevet et "des miracles se
produisirent dans sa cellule. Des malades furent délivrés de leurs maux, des
paralytiques retrouvèrent la liberté de leurs mouvements, des aveugles
recouvrirent à nouveau la vue".
Enseveli dans le
cimetière du cloître, le corps de Roseline fut exhumé cinq années plus tard,
une forte odeur de rose se dégageant de sa tombe. Miraculeusement, il apparut
intact, les yeux de la défunte ayant même gardé tout leur éclat. Ceux-ci furent
alors placés dans un reliquaire exposé à la vénération des fidèles, tandis que
le corps de la sainte reposait dans une châsse en bois.
La relique disparut
ensuite pendant 280 années, peut-être mise à l’abri dans un caveau ou un
souterrain, pour la préserver durant des "temps troublés". Elle
fut longtemps cachée et aurait pu être perdue si un aveugle ne l’avait
finalement retrouvée : la sainte lui révéla sa position dans un rêve et lui
redonna miraculeusement la vue. En 1614, le corps de sainte Roseline était à
nouveau exposé, toujours prodigieusement intact.
En 1660, de passage dans
la région et entendant parler de ce miracle, le roi Louis XIV envoya son
médecin, Antoine Vallot constater par lui-même le phénomène. Le Dr Vallot
fasciné par les yeux de Roseline perça d’une aiguille le globe gauche. Le corps
vitré s’échappa et la prunelle se ternit instantanément.
La dépouille de sainte
Roseline subit de nombreuses translations au cours des siècles, pour restaurer
ou changer la châsse, vérifier l’état de conservation du corps ou prélever des
reliques. Aujourd’hui, le reliquaire des yeux* et la châsse où repose le corps
sont toujours exposés aux fidèles et aux touristes, dans l’ancienne chapelle du
monastère de la Celle-Roubaud, devenue Chapelle sainte Roseline.
En 1881, le corps ne
présentait pas de trace de corruption mais avait subi des dégradations par des
insectes qui avaient pénétré la châsse dont l’étanchéité n’était plus assurée.
En 1894, il était
totalement ravagé et une intervention rapide s'imposait. Le diagnostic fut
confié au Dr Pietro Neri qui fit un état des lieux désastreux. Il conclut que
les dommages "n’auraient pas été si grands si le corps n’avait pas été
transporté dans une atmosphère pareille où, en raison de puissantes causes, il
n’aurait jamais pu à la longue conserver son intégrité". C'est à cette
époque que le corps avait donc dû être, non pas embaumé comme le mentionne le
livret de la chapelle, mais bien restauré comme le montrent les photos prises
par le Dr Neri. C'est ainsi que le médecin italien le reconstitua en
cire d'abeille pour lui donner l'apparence d'un corps desséché.
En 1968, pour remercier
sainte Roseline, Marguerite Maeght décide de faire restaurer entièrement la
chapelle laissée à l'abandon y compris le retable du XVe siècle et le choeur du
XVIe siècle. Amie de grands artistes contemporains, elle demande à Marc Chagall
de réaliser une mosaïque de plus de quatre mètres de haut intutulée "le
repas des anges" (1975). Elle sollicite Jean Bazaine et Raoul Ubac pour
refaire les vitraux ainsi que Diego Giocometti pour un lutrin et un bas-relief
"Le miracle des roses".
En 1995, le corps de
sainte Roseline dut subir une intervention de conservation, des signes de
putréfaction commençant à apparaître sur les mains et sur les pieds. Les
autorités religieuses acceptèrent alors que des analyses scientifiques soient
réalisées sur la relique par une équipe de chercheurs. Le corps de sainte
Roseline fut confié au Laboratoire de recherches et d’anthropologie de
Draguignan et l’étude coordonnée par Gilles Grévin et l'Abbé Raymond Boyer (dont
je vous ai parlé dans un article voir ICI).
La châsse de sainte Roseline fut ouverte le 23 octobre 1995. L’objectif était
d’identifier la nature des traces blanchâtres suspectes repérées sur les mains
et les pieds et d’en savoir davantage sur les techniques d’embaumement mises en
œuvre par le Docteur Neri en 1894. Différents examens furent pratiqués dont des
radiographies qui révèlèrent la structure métallique insérée par le Dr Neri
lors de la restauration de la relique.
Le corps embaumé depuis
1894 était revêtu de l’habit monastique des cartusiennes, reposant sur le dos
dans une position allongée, bras replié sur le torse et mains jointes. L’aspect
général apparut aux scientifiques comme celui d’un corps qui se serait desséché
naturellement même si la couleur n’était pas uniforme : noirâtre, brun foncé à
clair.
En 1894, le Dr Neri avait
découvert un squelette ravagé par les insectes et sur lequel il ne restait que
très peu de tissus organiques. Les scientifiques comprirent rapidement que son
embaumement avait constitué en une recomposition complète de la relique par un
modelage en cire d’abeille, donnant l’apparence d’un corps momifié. Les taches
blanchâtres repérées sur les mains étaient en réalité dues à une altération du
vernis balsamique et antiseptique dont le médecin avait recouvert le corps. Les
pieds, les mains, le visage de la sainte, des lèvres au nez, paupières et
oreilles, toutes les parties visibles sont donc depuis la fin du XIXe siècle
des sculptures de cire colorée en brun foncé.
Les examens achevés, le
corps de sainte Roseline fut sollennellement déposé dans sa châsse en
cristal le 14 janvier 1996 en présence de Monseigneur Madec évêque du diocèse
de Fréjus-Toulon. Il fut placé aux pieds de la sainte un parchemin paraphé de
la main de l'évêque.
* Le reliquaire actuel
contient une boîte en argent scellée datant du XVIIe siècle dont la face a
la forme d'un masque percé de deux ouvertures laissant apparaître les yeux..
L’œil gauche, qui est celui que le Docteur Vallot a percé en 1660, se présente
sous une forme grisâtre, amorphe et desséchée. L’œil droit, dont l’éclat semble
encore "vif", semble avoir conservé sa forme mais l’iris est
indissociable de la pupille. Cette boîte est placée dans le reliquaire
ciselé, chef-d'oeuvre du maître lyonnais Armand Caillat, qui reçut le grand
prix de l'exposition universelle de Paris en 1889.
Sources : Je me suis
inspirée pour écrire cet article (1) Du livret en vente à la chapelle
des Arcs sur Argens : La vie de Roseline de Villeneuve (2) Du livre
: Les Arcs sur Argens, du passé au présent paru en 2005 (3)
ainsi que des informations trouvées sur le site internet de l'Observatoire
Zététique : Sainte Roseline de Villeneuve.
SOURCE : http://www.transenprovence.org/article-23177294.html
Sainte Roseline de
Villeneuve, la « rose sans épine » de Provence
Sainte du diocèse et
protectrice des marins, Roseline de Villeneuve naît en 1263 au château des
Arcs. Issue d’une famille noble de Provence, elle incarne une figure de charité
agissante envers les plus pauvres.
Durant sa grossesse, sa
mère entend une voix lui annoncer le destin exceptionnel de sa fille :
« Tu enfanteras une rose sans épine, une rose dont le parfum embaumera
toute la contrée ». La vie de sainte Roseline, qui laissait émaner un
parfum de rose, se ponctue ainsi de miracles…
Un modèle de charité
chrétienne
Dès son enfance, Roseline
fait preuve de compassion et de charité envers les plus démunis, ce qui ne
cesse de surprendre son entourage. En période de disette, son père lui reproche
de nourrir les pauvres avec les réserves du château. Un jour de janvier, alors
qu’il la surprend avec un tablier rempli de pains qu’elle essaie de dissimuler,
il lui demande des explications. En dépliant son tablier, elle laisse tomber,
devant son père stupéfait, de magnifiques roses. Plus tard, lorsqu’elle devient
prieure de la chartreuse de la Celle Roubaud aux Arcs, elle continue ses bonnes
œuvres, malgré la stricte règle du cloître. Les pauvres ont l’habitude de se
présenter à la porte du monastère. Un an avant sa mort, elle demande avec humilité
à redevenir une simple religieuse. Elle s’éteint le 17 janvier 1329.
Des miracles et la
ferveur populaire provençale
Suite au « miracle
des roses », elle reçoit d’autres signes du Ciel. Un jour, alors qu’elle
doit préparer le repas de sa communauté, elle tombe en extase et manque à son
devoir. Des anges viennent à son secours devant les yeux ébahis des
religieuses. Autre épisode emblématique : la libération miraculeuse de son
frère, qui, emprisonné par les Sarrasins sur l’île de Rhodes suite aux croisades,
se voit libéré de ses chaînes et ramené instantanément en Provence.
À sa mort, de nombreux
pèlerins affluent aux Arcs, et témoignent de grâces et de guérisons reçues. En
1334, son corps est exhumé et retrouvé intact 5 ans après son décès. Ses yeux
bleus sont extraits et exposés dans un reliquaire. Son corps repose désormais
dans une châsse de verre dans la chapelle Sainte-Roseline aux Arcs-sur-Argens.
La fête de sainte
Roseline aux Arcs
Chaque année, 40 000
visiteurs viennent vénérer le corps de la sainte dans la chapelle de l’ancienne
chartreuse. Depuis le 29 septembre 1859, une indulgence plénière est accordée à
tous ceux qui visitent une église des chartreux le jour de sa fête, le 17
janvier.
Programme du lundi 17
janvier 2022
10h00 : Procession et
messe solennelle à la chapelle Sainte-Roseline
15h30 : Chapelet à la
chapelle
16h15 : Vêpres et salut à
la chapelle
18h00 : Messe à l’église
des Arcs
À partir du 1er
février 2022, vous pouvez également venir vénérer ses reliques du mardi au
dimanche.
De février à mai ; d’octobre à décembre : 14h30 – 17h00
De juin à septembre : 14h30 – 18h00
Fermeture annuelle : Vendredi saint (15 avril), Samedi saint (16 avril)
et du 12 décembre 2022 au 30 janvier 2023.
Du 24 avril au 16 octobre
(sauf le 26 juin), la messe y est célébrée tous les dimanches à 18h00.
écrit par Lætitia
d’Hérouville
Le saviez-vous ?
La chartreuse de
sainte-Roseline est devenue en 1781 la résidence d’été de l’évêque de Fréjus.
Elle est aujourd’hui un domaine viticole.
SOURCE : https://frejustoulon.fr/sainte-roseline-de-villeneuve-la-rose-sans-epine-de-provence/
Blessed Rosalina of
Villeneuve
Also
known as
Roseline
Roselyne
Rosalinde
Rossolina
11
July (translation of relics)
Profile
Born to an ancient and
noble family; daughter of Count Arnaud.
As a child,
Rosalina was noted for her charity to
the poor,
often slipping away to give food to beggars outside
the family castle. Her father,
seeing that she was giving away expensive meals, ordered her to stop. Saddened,
she obeyed for about a week, but the sight of the beggars at
the castle door was too much for her. Late one night, she filled her apron with
food, and started toward the doors. Her father caught
her, and demanded to know what she carried; when she opened the apron, it was
filled with roses.
He immediately ordered the cooks to
feed everyone at the door.
She became a Carthusian
nun, entering the monastery of
Bertrand in the diocese of Gap, France. Prioress of
Celle-Roubaud in Provence, France.
Her mother joined
the order with her, and her brother built a church for their house.
Rosalina had frequent
visions, the gift of reading hearts, and other mystical phenomena.
Her brother Hélian fought and was captured in
the Crusades.
Legend says he was freed from his chains and
led safely home across the seas by a vision of Rosalina who appeared to him in
a cloud of roses.
Born
1267 in
a castle at Villeneuve, Alpes-de-Haute-Provence, France
buried at
Celle-Roubaud, Provence, France
body incorrupt
relics translated
in 1607 to
a chapel devoted
to her
her tomb became a scene
for miracles
1851 Frejus, France by Pope Blessed Pius
IX (cultus
confirmed)
extneded to all of France in 1857
woman with
an apron full
of roses
Carthusian nun with
a maniple and stole
Additional
Information
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
sites
en français
fonti
in italiano
nettsteder
i norsk
spletne
strani v slovenšcini
MLA
Citation
“Blessed Rosalina of
Villeneuve“. CatholicSaints.Info. 21 April 2022. Web. 30 May 2025.
<https://catholicsaints.info/blessed-rosalina-of-villeneuve/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-rosalina-of-villeneuve/
Blessed Roseline de
Villeneuve, O. Cart. V (AC)
Died 1329; cultus
confirmed 1851. Roseline, an austere Carthusian nun of noble birth, became
prioress of Celle-Roubaud in Provence, France. She was favored with frequent
visions, the gift of reading hearts, and other mystical phenomena (Attwater2,
Benedictines, Encyclopedia).
SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0117.shtml
Tombeau
de Sainte-Roseline, Chapelle
Sainte-Roseline, Les Arcs
ROSELINE, ST.
Virgin, known also as
Rossolina; b. Chateau d'Arcs (Fréjus), France, 1263; d. Celle-Roubaud
(Provence), Jan. 17, 1329. Roseline, of the noble family De Villeneuve, entered
the Carthusians in Bertrand about age 15–16 and was honored even during her
lifetime for her severe penances and miracles. She became prioress in
Celle-Roubaud c. 1300. When her coffin was opened in 1334, her body
was found incorrupt. Her veneration was approved for Fréjus in 1851, for the
whole of France in 1857. She is pictured in iconography as a Carthusian nun
with maniple and stole.
Feast: Jan. 17; Oct. 16
(Carthusians); July 11 (translation of relics).
Bibliography: Acta
Sanctorum June 2:484–498. J. E. Stadler and F. J. Heim, Vollständiges
Heiligen-Lexikon, 5 v. (Augsburg 1858–82) 5:147. L. Liotard, Vie édifiante
et populaire de Sainte Roseline de Villeneuve (2d ed. Draguignan, France
1873). M. C. de Ganay, La Vie spirituelle 19 (1928–29) 420–433. J. L. Baudot and L. Chaussin, Vies des saints et des bienheureux selon l'ordre du
calendrier avec l'historique des fêtes, ed. by The Benedictines of Paris,
12 v. (Paris 1935–56) 1:358. The Book of Saints (4th ed. New
York 1947) 517. D. Attwater, A Dictionary of Saints (new
ed. New
York 1958). A. Butler, The Lives of the Saints, ed. H. Thurston and D. Attwater, 4 v. (New York 1956) 1:112–113, G. Spahr, Lexikon
für Theologie und Kirche, ed. J. Hofer and K. Rahner, 10v. (2d, new ed.
Freiburg 1957–65) 9:45.
[M. Csáky]
New Catholic Encyclopedia
SOURCE : https://www.encyclopedia.com/religion/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/roseline-st
St. Roseline
Born at Château of Arcs
in eastern Provence, 1263; d. 17 January, 1329. Having overcome her father's
opposition Roseline became a Carthusian nun at
Bertaud in the Alps of Dauphiné. Her "consecration" took place in
1288, and about 1330 she succeeded her aunt, Blessed Jeanne or Diane de
Villeneuve, as Prioress of Celle-Robaud in the Diocese
of Fréjus near her home. In 1320 her brother Hélion, Grand Master
(1319-46) of the Knights of St. John, restored the monastery,
and in 1323 and 1328 John
XXII, formerly Bishop of Fréjus,
increased its revenue, granting indulgences for
the anniversary of the dedication of the church. Roseline obtained leave to
resign her office before her death. Many visions together with extraordinary
austerities and great power over demons are
ascribed to her. Her feast is
given in the Acta SS. on 11 June, the day of the first translation of her
remains in 1334 by her brother Elzear, Bishop of Digne;
but by the Carthusian
Order it is celebrated in 16 October. There has always been a local
cultus and this was confirmed for the Diocese
of Fréjus by a Decree of
1851, for the Carthusian
Order in 1857. The saint is usually represented with a reliquary containing
two eyes, recalling the fact that her eyes were removed and preserved apart.
This relic was
still extant at Arcs in 1882. There is no ancient life of the saint,
but that given in the Acta SS., 2 June, 489 sq., was constructed by Papebroch
from ancient documents.
Webster, Douglas Raymund. "St.
Roseline." The Catholic Encyclopedia. Vol. 13. New York:
Robert Appleton Company,1912. 17 Jan.
2016 <http://www.newadvent.org/cathen/13192a.htm>.
Transcription. This
article was transcribed for New Advent by Christine J. Murray.
Ecclesiastical
approbation. Nihil Obstat. February 1, 1912. Remy Lafort, D.D.,
Censor. Imprimatur. +John Cardinal Farley, Archbishop of New York.
Copyright © 2020 by Kevin
Knight. Dedicated to the Immaculate Heart of Mary.
SOURCE : http://www.newadvent.org/cathen/13192a.htm
Santa Roselina di
Villeneuve Vergine e monaca certosina
m. 1329
Roselina condivide con
santa Rosa da Viterbo non solo il nome, ma anche un prodigio... floreale. Si
narra, infatti, che, mentre portava del pane a un povero, il padre (un barone
provenzale) le avesse chiesto cosa nascondesse. Ella rispose che erano fiori.
Quando aprì il grembiule, essi effettivamente apparvero. Divenuta monaca
certosina a Bertaud, fu poi priora della certosa di Celle-Robaud presso il
Fréjus. Il fratello Hélion di Villeneuve ne fu benefattore e fece costruire una
chiesa consacrata dal vescovo di Digne, Elzeario. In essa Roselina fu sepolta
nel 1329 e presso la sua tomba si verificarono numerosi prodigi. È patrona
della cittadina francese di Draguignan. (Avvenire)
Roseline (o Rossolina, in
provenzale) nacque intorno al 1270 ad Arcs-sur-Argens, nell’attuale
dipartimento francese del Var, figlia di una nobile famiglia provenzale.
Entrata nella Certosa di Sant’Andrea a Ramières per il noviziato, passò al
monastero di Bertaud per la professione monastica, quindi si trasferì nel
monastero di Celle-Roubaud, dove morì il 17 gennaio 1329. Alcune Vite
agiografiche le attribuiscono miracoli e prodigi sia in vita, sia dopo la
morte. Il 9 maggio 1851, il Beato Pio IX concesse alla diocesi di Fréjus (oggi
di Fréjus-Tolone) di poter celebrare Roseline con Messa e Ufficio propri. La
concessione fu estesa all’ordine certosino il 17 settembre 1857. Il
Martirologio Romano del 2004, però, commemora Roseline col titolo di Santa. Le
reliquie a lei attribuite sono venerate nella cappella a lei dedicata, a
Celle-Roubaud.
Patronato: Draguignan
Martirologio
Romano: Presso Fréjus nella Provenza in Francia, santa Roselina, priora di
Celle-Roubaud dell’Ordine certosino, che rifulse per l’abnegazione, il digiuno
dal cibo e dal sonno e l’austerità di vita.
Roselina, nacque nella nobilissima famiglia provenzale di Villeneuve, figlia del barone Arnaldo des Arcs e di Sibilla di Sabran, i quali le dettero una educazione cristiana.
La santità si può rendere evidente in una persona, in tutte le età, è la Provvidenza che dispone e con Roselina fu davvero precoce, biografi amanti del meraviglioso, raccontano che mentre portava del cibo preso di nascosto per un povero, fu sorpresa da suo padre, che le chiese cosa portasse così accortamente, ella rispose che erano fiori e aprendo il grembiule, mostrò effettivamente un fascio di rose.
È singolare che questa specie di prodigio con le rose, viene narrato anche nella vita di s. Rosa da Viterbo e che le protagoniste si chiamano Rosa e Roselina.
Si consacrò a Dio nella certosa di Bertaud nella diocesi di Gap in Francia e qualche anno dopo venne scelta come priora nella certosa di Celle-Roubad nel Fréjus; il fratello Hélion de Villeneuve fu un grande benefattore di questa certosa, facendo costruire a sue spese una chiesa consacrata dal vescovo di Digne, Elzeario.
Roselina morì il 17 gennaio 1329 e sepolta nel cimitero della certosa pur avendo fama di santità; il fratello Hélion dopo qualche giorno fece trasferire il corpo nella chiesa, dove si verificarono numerosi miracoli sulla sua tomba.
Nel 1607 fu effettuata una traslazione e le reliquie furono sistemate in una tomba di marmo bianco, in una cappella a lei dedicata. È patrona della città francese di Draguignan, la sua festa si celebra il 17 gennaio nelle diocesi di Gap e Fréjus.
Autore: Antonio Borrelli
I dati storici
Roseline (o Rossolina, in provenzale) nacque intorno al 1270 ad Arcs-sur-Argens, nell’attuale dipartimento francese del Var, figlia di una nobile famiglia provenzale, i de Villeneuve. L’identità dei suoi genitori è disputata: il padre, Arnaud II (o Giraud II) de Villeneuve; la madre, Sybille de Burgolle de Sabran des Arcs (o Aigline, di famiglia incerta).
Entrata nella Certosa di Sant’Andrea a Ramières per il noviziato, passò al monastero di Bertaud, nella diocesi di Gap, per la professione monastica, quindi si trasferì nel monastero di Celle-Roubaud, nella diocesi di Fréjus, dove morì il 17 gennaio 1329.
Suo fratello Hélion de Villeneuve fu un grande benefattore di quella Certosa,
facendo costruire a proprie spese una chiesa consacrata dal vescovo di Digne,
Elzeario.
I dati leggendari
Nelle due «Vite» a lei riferite, ovvero una in latino, scritta nel 1527, e una in francese, quest’ultima opera di un anonimo francescano, sono riferiti miracoli e prodigi prima ancora che Roseline nascesse.
Ad esempio, mentre sua madre era incinta, udì una voce che le preannunciava il
destino a cui la figlia sarebbe andata incontro: «Partorirai una rosa senza
spine, una rosa il cui profumo pervaderà tutta la contrada».
Fatti altrettanto leggendari
Quand’era poco più che una bambina, Roseline cominciò a esercitare la carità verso i più poveri. In un giorno di gennaio, nel pieno di una carestia, suo padre la sorprese mentre si recava a portare loro dei viveri. Quando però le chiese cosa contenesse il suo grembiule, la ragazza lo aprì, lasciando cadere una grande quantità di rose. Un episodio simile ricorre nelle agiografie di molti altri Santi, come Germana Cousin, Elisabetta del Portogallo, Elisabetta d’Ungheria, Casilda di Burgos, Diego di Alcalá e Rosa da Viterbo.
Una volta entrata in monastero, poi, si sarebbe verificato un altro episodio eccezionale. Roseline, talmente raccolta nella sua preghiera, si era dimenticata di preparare il pasto per le altre monache. Sotto i loro occhi, degli angeli si sostituirono a lei per allestire la mensa.
Le fu attribuita anche l’intercessione per uno dei suoi fratelli, prigioniero nell’isola di Rodi durante una Crociata, il quale si vide liberato dalle catene e trasportato immediatamente in Provenza.
Anche quando divenne priora a Celle-Roubaud, Roseline non dimenticò i poveri,
che continuavano a bussare alle porte del monastero. Infine, poco prima di
morire, domandò di poter tornare una semplice religiosa.
La questione delle reliquie
Roseline fu sepolta nel cimitero della Certosa di Celle-Roubaud, dove molti pellegrini vennero a pregare. Cinque anni dopo la morte, il suo corpo fu riesumato, ma gli occhi, per conservarli meglio, vennero posti in un reliquiario a parte.
Nel 1607 fu effettuata un’ulteriore traslazione: le reliquie furono sistemate in una tomba di marmo bianco. Nel 1894, un medico italiano, Pietro Neri, realizzò un trattamento conservativo: sul viso e sulle mani venne applicato uno strato di cera, che fece sembrare il corpo come mummificato. Lo scheletro fu poi sorretto da una struttura metallica, quindi rivestito dell’abito certosino e posto in un’urna di cristallo, sempre all’interno della chiesa di Celle-Roubaud.
Tuttavia, alcuni studiosi hanno dubitato che queste reliquie appartengano
effettivamente a Roseline: è infatti uso dei Certosini essere sepolti senza
cassa e con una croce senza iscrizioni. Sarebbe stato un intenso profumo,
raccontano le agiografie, a rendere identificabile la sua esatta sepoltura.
Il culto
Il 9 maggio 1851, il Beato Pio IX concesse alla diocesi di Fréjus di poter celebrare Roseline con Messa e Ufficio propri. La concessione fu estesa all’ordine certosino il 17 settembre 1857. Il Martirologio Romano del 2004, però, commemora Roseline col titolo di Santa.
Il monastero di Celle-Roubaud era però già stato abbandonato dalle Certosine. In seguito ad alterne vicende, nel 1781 era diventato la sede estiva del vescovo di Fréjus. Oggi è sede di una tenuta vinicola, dove si produce un vino che prende appunto il nome di “Château Sainte-Roseline”.
La chiesa dell’ex monastero divenne quindi una cappella intitolata alla sola Roseline; ne conserva tuttora le reliquie. Dopo lavori di restauro, è stata arricchita da un mosaico realizzato da Marc Chagall nel 1975, che rappresenta l’episodio del pasto preparato dagli angeli.
Il 17 gennaio di ogni anno, santa Roselina viene festeggiata nelle diocesi di Gap e Fréjus-Tolone, mentre la cittadina di Draguignan, vicina ad Arcs-sur-Argens, la considera come propria patrona.
Autore: Emilia Flocchini
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/90540
Sainte-Roseline
chapel (XIth century) of the former abbey of La Celle-Roubaud, Les Arcs, Var
(France)
Chapelle
Sainte-Roseline (XIe siècle.de l'ancienne abbaye de La
Celle-Roubaud, Les Arcs, Var (France)
Den salige Roseline ( -1329)
Minnedag:
17. januar
Den salige Roseline de
Villeneuve var kartheusernonne og ble priorinne i Celle-Roubaud i Provence. Hun
hadde hyppige visjoner, og kunne lese hjertene. Kult anerkjent 1851. Minnedag
17. januar.
Sist oppdatert: 1998-06-08 08:58
SOURCE : https://www.katolsk.no/biografier/historisk/roseline
Jacques Paul, « Raymond Boyer et Gilles Grévin (dir.). Une sainte provençale du XIVe siècle. Roseline de Villeneuve. Enquête sur sa momie. Paris, De Boccard, 2006 », Revue d'histoire de l'Église de France Année 2008 232 p. 210 : https://www.persee.fr/doc/rhef_0048-7988_2008_num_94_232_4390_t15_0210_0000_1
Sainte Roseline Entre
richesse et pauvreté Le miracle des Roses By Claude Plouviet| 26 décembre 2024 :
https://tiersinclus.fr/sainte-roseline-entre-richesse-et-pauvrete-le-miracle-des-roses/
Géraldine Fabre. « Sainte Roseline de Villeneuve : une légende fabriquée ? » : http://www.zetetique.fr/divers/SainteRoseline.pdf
https://zetetique.fr/sainte-roseline-de-villeneuve-une-legende-fabriquee/