samedi 17 janvier 2015

Sainte ROSELINE de VILLENEUVE, vierge religieuse, prieure de la Chartreuse de la Celle Roubaud et mystique

Le miracle des roses : Roseline et son père Arnaud de Villeneuve, tableau de l'église Sainte-Roseline de Roquefort-la-Bédoule.


Sainte Roseline de Villeneuve

Chartreuse en Provence (+ 1329)

ou sainte Roseline des Arcs.

Prieure de la chartreuse de Celle Roubaud dans le diocèse de Fréjus en Provence. Elle fut favorisée de phénomènes mystiques. Son culte fut confirmée en 1851.

La famille de Villeneuve, installé sur le fief des Arcs, Trans et la Motte, vers 1200, par le comte de Provence règne sur ce territoire pendant quatre siècles.

Fille de Giraud II de Villeneuve, Roseline naît aux Arcs en 1263. En période de disette, elle distribue les vivres de la famille aux pauvres. Surprise par son père, lorsqu’elle ouvre son tablier, les vivres se transforment en roses. A 16 ans, Roseline entre en religion chez les Chartreusines, fit son noviciat à Prébayon, couvent de Saint-André de Ramière, près du Mont Ventoux, puis à l’abbaye de Bertaud (Gap) où elle prononce ses vœux. Elle rejoint sa tante Jeanne à l’abbaye de la Celle-Roubaud, sept ans après le début de son noviciat, puis elle lui succède à son décès comme prieure.

Vivant dans la piété et la pénitence, elle sera toujours attentive aux pauvres et aux malades qui venaient chercher aide et soulagement. La population la considère sainte dès son vivant.

Après avoir renoncé à sa charge de prieure pour mener une vie plus effacée, elle mourut le 17 janvier 1329.

Elle est la protectrice des Marins, elle qui ne manquait pas de prier pour les Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem dont son frère Hélion, fut le Grand Maître.

Le corps de sainte Roseline est conservé aux Arcs dans une châsse de verre.

(Histoire des saints de Provence - diocèse de Fréjus-Toulon)

Un internaute nous écrit:

"Elle est née aux Arcs le 27 janvier 1263, elle est la fille d’Arnaud de Villeneuve et de Sybille de Burgolle de Sabran des Arcs, seigneurs des Arcs, de Trans, de Flayosc, de La Motte et des Esclans. 

- Premier noviciat à Saint-André de Ramières (Vaucluse) 

- Second noviciat à la Chartreuse de Bertaud (Hautes-Alpes) où elle est admise à la profession religieuse à l’unanimité le jour de Noël 1280. 

- En 1285 elle est nommée à l’abbaye de La Celle Roubaud des Arcs où elle succède à sa tante comme prieure en 1300. 

- Elle restera prieure jusqu’en 1328 date à laquelle elle demande à redevenir simple religieuse. 

- Elle meurt le 17 janvier 1329. 

- Exhumée cinq ans après sa mort son corps est retrouvé intact et ses yeux sont aussi vifs et brillants que si elle était en vie. Le miracle de la conservation des yeux de sainte Roseline sera constaté sur ordre du roi en 1660 par le médecin personnel de Louis XIV. Mis dans une châsse le corps de sainte Roseline ne sera embaumé qu'en 1894, près de six siècles après sa mort. 

- Elle symbolise la perfection des vertus cartusiennes d’humilité, de pureté et de charité."

À Fréjus en Provence, vers 1329, sainte Roseline, prieure de la Chartreuse de la Celle Roubaud, qui fut célèbre pour son abnégation, ses jeûnes, ses veilles et ses austérités.

Martyrologe romain


Sainte Roselyne de Villeneuve, fille de Arnaud II de Villeneuve, marquis des Arcs et d'Aiglesire et de Sibylle de Sabran. Née au château des Arcs en Provence. Religieuse chartreuse au monastère de Bertaud en 1282, puis à la Celle Roubaud en 1283, Diaconesse en 1288, prieure en 1300, abdique en 1325 en mourant en odeur de sainteté en 1329.

Arms of de Villeneuve: Gules semée of escutcheons and fretty or with inescutcheon Azure, a fleur-de-lis argent


Sainte Roseline de Villeneuve

Fille aînée d'Arnaud de Villeneuve et Sybille de Sabran, Roseline naît au Château des Arcs le 27 janvier 1263. Très vite l'enfant fait preuve d'une grande bonté : elle distribue sans compter des réserves du Château aux pauvres du castrum malgré l'interdiction de son père. Un jour il la surprend le tablier rempli de pain, quand Roseline, confuse, montre ce qu'elle cache, une brassée de roses s'échappe du tablier. C'est le "Miracle des Roses". Au contact de sa tante Jeanne, Prieure du monastère de la Celle-Roubaud, Roseline souhaite devenir chartreuse; son père qui lui destine un beau mariage cède aux vœux de sa fille. Elle devint novice en 1278 à Saint-André de Ramières puis à la Chartreuse de Bertaud où elle est admise à la profession religieuse le jour de Noël 1280. En 1285, elle entre à l’abbaye de La Celle Roubaud des Arcs où elle succède à sa tante comme prieure en 1300. Elle restera prieure jusqu’en 1328 date à laquelle elle demande à redevenir simple religieuse. Elle meurt le 17 janvier 1329. Exhumée cinq ans après sa mort son corps est retrouvé intact et ses yeux sont aussi vifs et brillants que si elle était en vie. Le miracle de la conservation des yeux de sainte Roseline sera constaté sur ordre du roi en 1660 par le médecin personnel de Louis XIV, Antoine Vallot, qui, croyant à une supercherie, creva l'œil gauche, la prunelle se troubla instantanément, les yeux étaient bien naturels. Mis dans une châsse le corps de sainte Roseline ne sera embaumé qu'en 1894, près de six siècles après sa mort.

SOURCE : http://www.paroisse-saint-aygulf.fr/index.php/prieres-et-liturgie/saints-par-mois/icalrepeat.detail/2015/01/17/12469/-/sainte-roseline-de-villeneuve


Sainte Roseline 

Vierge

Roseline, fille aînée d'Arnaud de Villeneuve et Sybille de Sabran, naît au Château des Arcs le 27 janvier 1263. 

Très vite l'enfant fait preuve d'une grande bonté : elle distribue sans compter des réserves du Château aux pauvres du castrum malgré l'interdiction de son père.

Un jour il la surprend le tablier rempli de pain, quand Roseline, confuse, montre ce qu'elle cache, une brassée de roses s'échappe du tablier. C'est le « Miracle des Roses ».

Au contact de sa tante Jeanne, Prieure du Monastère de la Celle-Roubaud, Roseline souhaite devenir Chartreuse. 

Son père, qui lui destine un beau mariage, cède aux vœux de sa fille. Elle devint novice en 1278. 

En 1285, elle retourne à la Chartreuse de La Celle-Roubaud-aux-Arcs, pour la plus grande joie de sa famille et des Arcois.

En 1300, à l'âge de 37 ans, elle succède à sa tante comme Prieure. Plusieurs miracles dont « le repas des anges » se sont produits depuis son noviciat.

Elle expire le 17 janvier 1329 à l'âge de 66 ans. 

Exhumé cinq ans après sa mort, son corps est retrouvé intact et ses yeux ouverts avaient conservé tout leur éclat. 

Afin que les fidèles puissent l'honorer, son corps fut placé dans une châsse et les yeux sertis dans un reliquaire.

En 1660, Louis XIV souhaita vérifier la réalité de ce prodige. Croyant à une supercherie, son médecin Vallot creva l'œil gauche, la prunelle se troubla instantanément, les yeux étaient bien naturels.

http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20150117&id=1263&fd=0

SOURCE : http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/janvier/sainte-roseline-de-villeneuve-prieure-chartreuse-en-provence-1263-1329-fete-le-17-janvier.html

SAINTE ROSELINE

1263-1329

Fille d'Arnault de Villeneuve et de Sibylle de Sabran, Roseline naît au château des Arcs, en Provence, le 27 janvier 1263, aînée d'une famille de neuf enfants. Lors d'une famine causée par une grande sécheresse, les paysans viennent aux portes du château pour réclamer du pain. Roseline, qui n'était encore qu'une enfant, vide en cachette les réserves des greniers pour venir en aide aux malheureux. Un jour elle est surprise par son père qui lui ordonne de lui montrer ce qu'elle cache dans son tablier. Confuse, Roseline ouvre son tablier d'où s'échappe une brassée de roses. La tante de Roseline est la prieure d'un monastère de la chartreuse à la Celle-Roubaud. Les fréquentes visites de Roseline à sa tante finissent par faire éclore chez elle une vocation religieuse. Son père, qui souhaitait pour elle une riche mariage, commence par s'opposer à ce projet mais finit par accepter qu'elle entre comme novice à la chartreuse de Saint-André-de-Ramières, près du Mont Ventoux. Elle terminera son noviciat au couvent de Bertaud, près de Gap et y restera six ans. En 1285, Roseline est nommée à la chartreuse de La Celle-Roubaud et revient aux Arcs rendre une visite à sa famille. En 1300, elle succède à sa tante comme prieure du monastère et le demeurera jusqu'en 1328, époque à laquelle, épuisée par sa tâche, elle demande à redevenir simple religieuse. Elle meurt moins d'un an après, le 17 janvier 1329. Exhumée cinq ans après sa mort son corps est retrouvé intact et ses yeux sont aussi vifs et brillants que si elle était en vie. Le miracle de la conservation des yeux de sainte Roseline sera constaté sur ordre du roi en 1660 par le médecin personnel de Louis XIV. Mis dans une châsse le corps de sainte Roseline ne sera embaumé qu'en 1894, près de six siècles après sa mort.

SOURCE : http://apotres.amour.free.fr/page4/ROSELINE.htm

La vie de Sainte Roseline de Villeneuve et l'histoire de sa momie

Roseline naquit le le 12 janvier 1263 au château des Arcs. Elle était la fille de Giraud II de Villeneuve, seigneur des Arcs, Trans, La Motte et Esclans et d'Aigline son épouse. Alors qu’elle était enceinte, celle-ci aurait entendu une voix lui prédire : "Tu enfanteras une rose sans épine, une rose dont le parfum embaumera toute la contrée". Dès lors, un doux parfum de rose se serait répandu autour d’elle. Roseline était l’aînée de six enfants. Dès le berceau, Roseline portait les stigmates de la sainteté : son front rayonnait d'une clarté surnaturelle.

Toute jeune fille, déjà la foi chrétienne était sa principale vertu et Dieu était le seul objet de ses sentiments. Elle faisait preuve d’une grande générosité en distribuant de la nourriture aux pauvres ce qui mettait à mal les réserves du château, car elle y puisait tous les jours de quoi les nourrir. Son père lui interdisait pourtant toutes ces largesses mais Roseline ne pouvait s’empêcher de lui désobéir. À douze ans, le tablier de sa robe empli de pain, elle se fit surprendre par son père. "Mais que portes-tu dans ton tablier ?" lui demanda-t-il. Toute rougissante mais candide comme un ange, elle répondit : "Ce sont des roses, père" et ouvrant les pans de son vêtement, elle laissa échapper une brassée de roses des plus odorantes. Cet épisode connu sous le nom du "miracle des roses" eut lieu en plein mois de janvier ce qui convainquit Giraud II de la bénédiction divine de sa fille. De cet évènement, il reste aujourd'hui le lieu où il se serait produit : la porte du miracle à côté du donjon.

En 1278, Roseline intégra la Chartreuse de Saint-André-de-Ramières, au pied du mont Ventoux, en tant que novice. Par la suite, elle termina son noviciat au couvent de Bertaud près de Gap. Alors qu’un soir, elle était chargée de préparer le repas de la communauté, elle se mit en prière et tomba en extase. Elle sentit le Seigneur près d’elle et s’entretint avec lui "dans le doux secret de son cœur". A l'arrivée des religieuses, rien n'était prêt. La prieure était sur le point de gronder Roseline lorsqu'elle vit des anges qui s'éloignaient après avoir dressé la table et disposé la nourriture.

En 1285, Roseline fut nommée au monastère de la Celle-Roubaud, sur le terroir des Arcs-sur-Argens et revint ainsi près de sa famille. Elle en devint prieure en 1300, après avoir succédé à sa tante Jeanne à la tête du monastère. Elle y restera pendant quarante-quatre ans. Elle continuera à répandre autour d’elle sa générosité. Les malheureux prendront l'habitude de venir frapper à la porte du couvent où Roseline et ses religieuses leur distribueront de la nourriture.

Epuisée par sa tâche et ses mortifications, elle demandera à redevenir simple religieuse et mourra moins d'un an après avoir abandonné son rôle de prieure, le 17 janvier 1329. De nombreux pèlerins affluèrent alors à son chevet et "des miracles se produisirent dans sa cellule. Des malades furent délivrés de leurs maux, des paralytiques retrouvèrent la liberté de leurs mouvements, des aveugles recouvrirent à nouveau la vue".

Enseveli dans le cimetière du cloître, le corps de Roseline fut exhumé cinq années plus tard, une forte odeur de rose se dégageant de sa tombe. Miraculeusement, il apparut intact, les yeux de la défunte ayant même gardé tout leur éclat. Ceux-ci furent alors placés dans un reliquaire exposé à la vénération des fidèles, tandis que le corps de la sainte reposait dans une châsse en bois.

La relique disparut ensuite pendant 280 années, peut-être mise à l’abri dans un caveau ou un souterrain, pour la préserver durant des "temps troublés".  Elle fut longtemps cachée et aurait pu être perdue si un aveugle ne l’avait finalement retrouvée : la sainte lui révéla sa position dans un rêve et lui redonna miraculeusement la vue. En 1614, le corps de sainte Roseline était à nouveau exposé, toujours prodigieusement intact.

En 1660, de passage dans la région et entendant parler de ce miracle, le roi Louis XIV envoya son médecin, Antoine Vallot constater par lui-même le phénomène. Le Dr Vallot fasciné par les yeux de Roseline perça d’une aiguille le globe gauche. Le corps vitré s’échappa et la prunelle se ternit instantanément.

La dépouille de sainte Roseline subit de nombreuses translations au cours des siècles, pour restaurer ou changer la châsse, vérifier l’état de conservation du corps ou prélever des reliques. Aujourd’hui, le reliquaire des yeux* et la châsse où repose le corps sont toujours exposés aux fidèles et aux touristes, dans l’ancienne chapelle du monastère de la Celle-Roubaud, devenue Chapelle sainte Roseline.

En 1881, le corps ne présentait pas de trace de corruption mais avait subi des dégradations par des insectes qui avaient pénétré la châsse dont l’étanchéité n’était plus assurée.

En 1894, il était totalement ravagé et une intervention rapide s'imposait. Le diagnostic fut confié au Dr Pietro Neri qui fit un état des lieux désastreux. Il conclut que les dommages "n’auraient pas été si grands si le corps n’avait pas été transporté dans une atmosphère pareille où, en raison de puissantes causes, il n’aurait jamais pu à la longue conserver son intégrité". C'est à cette époque que le corps avait donc dû être, non pas embaumé comme le mentionne le livret de la chapelle, mais bien restauré comme le montrent les photos prises par le Dr Neri. C'est ainsi que le médecin italien le reconstitua en cire d'abeille pour lui donner l'apparence d'un corps desséché.

En 1968, pour remercier sainte Roseline, Marguerite Maeght décide de faire restaurer entièrement la chapelle laissée à l'abandon y compris le retable du XVe siècle et le choeur du XVIe siècle. Amie de grands artistes contemporains, elle demande à Marc Chagall de réaliser une mosaïque de plus de quatre mètres de haut intutulée "le repas des anges" (1975). Elle sollicite Jean Bazaine et Raoul Ubac pour refaire les vitraux ainsi que Diego Giocometti pour un lutrin et un bas-relief "Le miracle des roses".

En 1995, le corps de sainte Roseline dut subir une intervention de conservation, des signes de putréfaction commençant à apparaître sur les mains et sur les pieds. Les autorités religieuses acceptèrent alors que des analyses scientifiques soient réalisées sur la relique par une équipe de chercheurs. Le corps de sainte Roseline fut confié au Laboratoire de recherches et d’anthropologie de Draguignan et l’étude coordonnée par Gilles Grévin et l'Abbé Raymond Boyer (dont je vous ai parlé dans un article voir ICI). La châsse de sainte Roseline fut ouverte le 23 octobre 1995. L’objectif était d’identifier la nature des traces blanchâtres suspectes repérées sur les mains et les pieds et d’en savoir davantage sur les techniques d’embaumement mises en œuvre par le Docteur Neri en 1894. Différents examens furent pratiqués dont des radiographies qui révèlèrent la structure métallique insérée par le Dr Neri lors de la restauration de la relique.

Le corps embaumé depuis 1894 était revêtu de l’habit monastique des cartusiennes, reposant sur le dos dans une position allongée, bras replié sur le torse et mains jointes. L’aspect général apparut aux scientifiques comme celui d’un corps qui se serait desséché naturellement même si la couleur n’était pas uniforme : noirâtre, brun foncé à clair.

En 1894, le Dr Neri avait découvert un squelette ravagé par les insectes et sur lequel il ne restait que très peu de tissus organiques. Les scientifiques comprirent rapidement que son embaumement avait constitué en une recomposition complète de la relique par un modelage en cire d’abeille, donnant l’apparence d’un corps momifié. Les taches blanchâtres repérées sur les mains étaient en réalité dues à une altération du vernis balsamique et antiseptique dont le médecin avait recouvert le corps. Les pieds, les mains, le visage de la sainte, des lèvres au nez, paupières et oreilles, toutes les parties visibles sont donc depuis la fin du XIXe siècle des sculptures de cire colorée en brun foncé.

Les examens achevés, le corps de sainte Roseline fut sollennellement déposé dans sa châsse en cristal le 14 janvier 1996 en présence de Monseigneur Madec évêque du diocèse de Fréjus-Toulon. Il fut placé aux pieds de la sainte un parchemin paraphé de la main de l'évêque.

* Le reliquaire actuel contient une boîte en argent scellée datant du XVIIe siècle dont la face a la forme d'un masque percé de deux ouvertures laissant apparaître les yeux.. L’œil gauche, qui est celui que le Docteur Vallot a percé en 1660, se présente sous une forme grisâtre, amorphe et desséchée. L’œil droit, dont l’éclat semble encore "vif", semble avoir conservé sa forme mais l’iris est indissociable de la pupille. Cette boîte est placée dans le reliquaire ciselé, chef-d'oeuvre du maître lyonnais Armand Caillat, qui reçut le grand prix de l'exposition universelle de Paris en 1889.

Sources : Je me suis inspirée pour écrire cet article (1) Du livret en vente à la chapelle des Arcs sur Argens : La vie de Roseline de Villeneuve (2) Du livre : Les Arcs sur Argens, du passé au présent paru en 2005 (3) ainsi que des informations trouvées sur le site internet de l'Observatoire Zététique : Sainte Roseline de Villeneuve.

SOURCE : http://www.transenprovence.org/article-23177294.html

Sainte Roseline de Villeneuve, la « rose sans épine » de Provence

Sainte du diocèse et protectrice des marins, Roseline de Villeneuve naît en 1263 au château des Arcs. Issue d’une famille noble de Provence, elle incarne une figure de charité agissante envers les plus pauvres.

Durant sa grossesse, sa mère entend une voix lui annoncer le destin exceptionnel de sa fille : « Tu enfanteras une rose sans épine, une rose dont le parfum embaumera toute la contrée ». La vie de sainte Roseline, qui laissait émaner un parfum de rose, se ponctue ainsi de miracles…

Un modèle de charité chrétienne

Dès son enfance, Roseline fait preuve de compassion et de charité envers les plus démunis, ce qui ne cesse de surprendre son entourage. En période de disette, son père lui reproche de nourrir les pauvres avec les réserves du château. Un jour de janvier, alors qu’il la surprend avec un tablier rempli de pains qu’elle essaie de dissimuler, il lui demande des explications. En dépliant son tablier, elle laisse tomber, devant son père stupéfait, de magnifiques roses. Plus tard, lorsqu’elle devient prieure de la chartreuse de la Celle Roubaud aux Arcs, elle continue ses bonnes œuvres, malgré la stricte règle du cloître. Les pauvres ont l’habitude de se présenter à la porte du monastère. Un an avant sa mort, elle demande avec humilité à redevenir une simple religieuse. Elle s’éteint le 17 janvier 1329.

Des miracles et la ferveur populaire provençale

Suite au « miracle des roses », elle reçoit d’autres signes du Ciel. Un jour, alors qu’elle doit préparer le repas de sa communauté, elle tombe en extase et manque à son devoir. Des anges viennent à son secours devant les yeux ébahis des religieuses. Autre épisode emblématique : la libération miraculeuse de son frère, qui, emprisonné par les Sarrasins sur l’île de Rhodes suite aux croisades, se voit libéré de ses chaînes et ramené instantanément en Provence.

À sa mort, de nombreux pèlerins affluent aux Arcs, et témoignent de grâces et de guérisons reçues. En 1334, son corps est exhumé et retrouvé intact 5 ans après son décès. Ses yeux bleus sont extraits et exposés dans un reliquaire. Son corps repose désormais dans une châsse de verre dans la chapelle Sainte-Roseline aux Arcs-sur-Argens.

La fête de sainte Roseline aux Arcs

Chaque année, 40 000 visiteurs viennent vénérer le corps de la sainte dans la chapelle de l’ancienne chartreuse. Depuis le 29 septembre 1859, une indulgence plénière est accordée à tous ceux qui visitent une église des chartreux le jour de sa fête, le 17 janvier.

Programme du lundi 17 janvier 2022

10h00 : Procession et messe solennelle à la chapelle Sainte-Roseline

15h30 : Chapelet à la chapelle

16h15 : Vêpres et salut à la chapelle

18h00 : Messe à l’église des Arcs

À partir du 1er février 2022, vous pouvez également venir vénérer ses reliques du mardi au dimanche.

De février à mai ; d’octobre à décembre : 14h30 – 17h00

De juin à septembre : 14h30 – 18h00

Fermeture annuelle : Vendredi saint (15 avril), Samedi saint (16 avril) et du 12 décembre 2022 au 30 janvier 2023.

Du 24 avril au 16 octobre (sauf le 26 juin), la messe y est célébrée tous les dimanches à 18h00.

écrit par Lætitia d’Hérouville

Le saviez-vous ?

La chartreuse de sainte-Roseline est devenue en 1781 la résidence d’été de l’évêque de Fréjus. Elle est aujourd’hui un domaine viticole.

SOURCE : https://frejustoulon.fr/sainte-roseline-de-villeneuve-la-rose-sans-epine-de-provence/

Blessed Rosalina of Villeneuve

Also known as

Roseline

Roselyne

Rosalinde

Rossolina

Memorial

17 January

16 October (Carthusians)

11 July (translation of relics)

Profile

Born to an ancient and noble family; daughter of Count Arnaud. As a child, Rosalina was noted for her charity to the poor, often slipping away to give food to beggars outside the family castle. Her father, seeing that she was giving away expensive meals, ordered her to stop. Saddened, she obeyed for about a week, but the sight of the beggars at the castle door was too much for her. Late one night, she filled her apron with food, and started toward the doors. Her father caught her, and demanded to know what she carried; when she opened the apron, it was filled with roses. He immediately ordered the cooks to feed everyone at the door.

She became a Carthusian nun, entering the monastery of Bertrand in the diocese of GapFrancePrioress of Celle-Roubaud in Provence, France. Her mother joined the order with her, and her brother built a church for their house.

Rosalina had frequent visions, the gift of reading hearts, and other mystical phenomena. Her brother Hélian fought and was captured in the Crusades. Legend says he was freed from his chains and led safely home across the seas by a vision of Rosalina who appeared to him in a cloud of roses.

Born

1267 in a castle at Villeneuve, Alpes-de-Haute-Provence, France

Died

17 January 1329

buried at Celle-Roubaud, Provence, France

body incorrupt

relics translated in 1607 to a chapel devoted to her

her tomb became a scene for miracles

Beatified

1851 Frejus, France by Pope Blessed Pius IX (cultus confirmed)

extneded to all of France in 1857

Patronage

DraguignanFrance

Representation

woman with an apron full of roses

Carthusian nun with a maniple and stole

Additional Information

Catholic Encyclopedia

Saints of the Day

books

Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints

other sites in english

New Catholic Encyclopedia

sitios en español

Martirologio Romano2001 edición

sites en français

Diocese de Frejus-Toulon

Diocese de Frejus-Toulon

fonti in italiano

Santi e Beati

nettsteder i norsk

Den katolske kirke

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Svetniki

MLA Citation

“Blessed Rosalina of Villeneuve“. CatholicSaints.Info. 21 April 2022. Web. 30 May 2025. <https://catholicsaints.info/blessed-rosalina-of-villeneuve/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-rosalina-of-villeneuve/

Blessed Roseline de Villeneuve, O. Cart. V (AC)

Died 1329; cultus confirmed 1851. Roseline, an austere Carthusian nun of noble birth, became prioress of Celle-Roubaud in Provence, France. She was favored with frequent visions, the gift of reading hearts, and other mystical phenomena (Attwater2, Benedictines, Encyclopedia).

SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0117.shtml

Tombeau de Sainte-Roseline, Chapelle Sainte-Roseline, Les Arcs


ROSELINE, ST.

Virgin, known also as Rossolina; b. Chateau d'Arcs (Fréjus), France, 1263; d. Celle-Roubaud (Provence), Jan. 17, 1329. Roseline, of the noble family De Villeneuve, entered the Carthusians in Bertrand about age 15–16 and was honored even during her lifetime for her severe penances and miracles. She became prioress in Celle-Roubaud c. 1300. When her coffin was opened in 1334, her body was found incorrupt. Her veneration was approved for Fréjus in 1851, for the whole of France in 1857. She is pictured in iconography as a Carthusian nun with maniple and stole.

Feast: Jan. 17; Oct. 16 (Carthusians); July 11 (translation of relics).

Bibliography: Acta Sanctorum June 2:484–498. J. E. Stadler and F. J. Heim, Vollständiges Heiligen-Lexikon, 5 v. (Augsburg 1858–82) 5:147. L. Liotard, Vie édifiante et populaire de Sainte Roseline de Villeneuve (2d ed. Draguignan, France 1873). M. C. de Ganay, La Vie spirituelle 19 (1928–29) 420–433. J. L. Baudot and L. Chaussin, Vies des saints et des bienheureux selon l'ordre du calendrier avec l'historique des fêtes, ed. by The Benedictines of Paris, 12 v. (Paris 1935–56) 1:358. The Book of Saints (4th ed. New York 1947) 517. D. Attwater, A Dictionary of Saints (new ed. New York 1958). A. Butler, The Lives of the Saints, ed. H. Thurston and D. Attwater, 4 v. (New York 1956) 1:112–113, G. Spahr, Lexikon für Theologie und Kirche, ed. J. Hofer and K. Rahner, 10v. (2d, new ed. Freiburg 1957–65) 9:45.

[M. Csáky]

New Catholic Encyclopedia

SOURCE : https://www.encyclopedia.com/religion/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/roseline-st


St. Roseline

Born at Château of Arcs in eastern Provence, 1263; d. 17 January, 1329. Having overcome her father's opposition Roseline became a Carthusian nun at Bertaud in the Alps of Dauphiné. Her "consecration" took place in 1288, and about 1330 she succeeded her aunt, Blessed Jeanne or Diane de Villeneuve, as Prioress of Celle-Robaud in the Diocese of Fréjus near her home. In 1320 her brother Hélion, Grand Master (1319-46) of the Knights of St. John, restored the monastery, and in 1323 and 1328 John XXII, formerly Bishop of Fréjus, increased its revenue, granting indulgences for the anniversary of the dedication of the church. Roseline obtained leave to resign her office before her death. Many visions together with extraordinary austerities and great power over demons are ascribed to her. Her feast is given in the Acta SS. on 11 June, the day of the first translation of her remains in 1334 by her brother Elzear, Bishop of Digne; but by the Carthusian Order it is celebrated in 16 October. There has always been a local cultus and this was confirmed for the Diocese of Fréjus by a Decree of 1851, for the Carthusian Order in 1857. The saint is usually represented with a reliquary containing two eyes, recalling the fact that her eyes were removed and preserved apart. This relic was still extant at Arcs in 1882. There is no ancient life of the saint, but that given in the Acta SS., 2 June, 489 sq., was constructed by Papebroch from ancient documents.

Webster, Douglas Raymund. "St. Roseline." The Catholic Encyclopedia. Vol. 13. New York: Robert Appleton Company,1912. 17 Jan. 2016 <http://www.newadvent.org/cathen/13192a.htm>.

Transcription. This article was transcribed for New Advent by Christine J. Murray.

Ecclesiastical approbation. Nihil Obstat. February 1, 1912. Remy Lafort, D.D., Censor. Imprimatur. +John Cardinal Farley, Archbishop of New York.

Copyright © 2020 by Kevin Knight. Dedicated to the Immaculate Heart of Mary.

SOURCE : http://www.newadvent.org/cathen/13192a.htm


Santa Roselina di Villeneuve Vergine e monaca certosina

17 gennaio

m. 1329

Roselina condivide con santa Rosa da Viterbo non solo il nome, ma anche un prodigio... floreale. Si narra, infatti, che, mentre portava del pane a un povero, il padre (un barone provenzale) le avesse chiesto cosa nascondesse. Ella rispose che erano fiori. Quando aprì il grembiule, essi effettivamente apparvero. Divenuta monaca certosina a Bertaud, fu poi priora della certosa di Celle-Robaud presso il Fréjus. Il fratello Hélion di Villeneuve ne fu benefattore e fece costruire una chiesa consacrata dal vescovo di Digne, Elzeario. In essa Roselina fu sepolta nel 1329 e presso la sua tomba si verificarono numerosi prodigi. È patrona della cittadina francese di Draguignan. (Avvenire)

Roseline (o Rossolina, in provenzale) nacque intorno al 1270 ad Arcs-sur-Argens, nell’attuale dipartimento francese del Var, figlia di una nobile famiglia provenzale. Entrata nella Certosa di Sant’Andrea a Ramières per il noviziato, passò al monastero di Bertaud per la professione monastica, quindi si trasferì nel monastero di Celle-Roubaud, dove morì il 17 gennaio 1329. Alcune Vite agiografiche le attribuiscono miracoli e prodigi sia in vita, sia dopo la morte. Il 9 maggio 1851, il Beato Pio IX concesse alla diocesi di Fréjus (oggi di Fréjus-Tolone) di poter celebrare Roseline con Messa e Ufficio propri. La concessione fu estesa all’ordine certosino il 17 settembre 1857. Il Martirologio Romano del 2004, però, commemora Roseline col titolo di Santa. Le reliquie a lei attribuite sono venerate nella cappella a lei dedicata, a Celle-Roubaud.

Patronato: Draguignan

Martirologio Romano: Presso Fréjus nella Provenza in Francia, santa Roselina, priora di Celle-Roubaud dell’Ordine certosino, che rifulse per l’abnegazione, il digiuno dal cibo e dal sonno e l’austerità di vita. 

Roselina, nacque nella nobilissima famiglia provenzale di Villeneuve, figlia del barone Arnaldo des Arcs e di Sibilla di Sabran, i quali le dettero una educazione cristiana. 

La santità si può rendere evidente in una persona, in tutte le età, è la Provvidenza che dispone e con Roselina fu davvero precoce, biografi amanti del meraviglioso, raccontano che mentre portava del cibo preso di nascosto per un povero, fu sorpresa da suo padre, che le chiese cosa portasse così accortamente, ella rispose che erano fiori e aprendo il grembiule, mostrò effettivamente un fascio di rose. 

È singolare che questa specie di prodigio con le rose, viene narrato anche nella vita di s. Rosa da Viterbo e che le protagoniste si chiamano Rosa e Roselina. 

Si consacrò a Dio nella certosa di Bertaud nella diocesi di Gap in Francia e qualche anno dopo venne scelta come priora nella certosa di Celle-Roubad nel Fréjus; il fratello Hélion de Villeneuve fu un grande benefattore di questa certosa, facendo costruire a sue spese una chiesa consacrata dal vescovo di Digne, Elzeario. 

Roselina morì il 17 gennaio 1329 e sepolta nel cimitero della certosa pur avendo fama di santità; il fratello Hélion dopo qualche giorno fece trasferire il corpo nella chiesa, dove si verificarono numerosi miracoli sulla sua tomba. 

Nel 1607 fu effettuata una traslazione e le reliquie furono sistemate in una tomba di marmo bianco, in una cappella a lei dedicata. È patrona della città francese di Draguignan, la sua festa si celebra il 17 gennaio nelle diocesi di Gap e Fréjus.

Autore: Antonio Borrelli

I dati storici

Roseline (o Rossolina, in provenzale) nacque intorno al 1270 ad Arcs-sur-Argens, nell’attuale dipartimento francese del Var, figlia di una nobile famiglia provenzale, i de Villeneuve. L’identità dei suoi genitori è disputata: il padre, Arnaud II (o Giraud II) de Villeneuve; la madre, Sybille de Burgolle de Sabran des Arcs (o Aigline, di famiglia incerta).

Entrata nella Certosa di Sant’Andrea a Ramières per il noviziato, passò al monastero di Bertaud, nella diocesi di Gap, per la professione monastica, quindi si trasferì nel monastero di Celle-Roubaud, nella diocesi di Fréjus, dove morì il 17 gennaio 1329.

Suo fratello Hélion de Villeneuve fu un grande benefattore di quella Certosa, facendo costruire a proprie spese una chiesa consacrata dal vescovo di Digne, Elzeario.

I dati leggendari

Nelle due «Vite» a lei riferite, ovvero una in latino, scritta nel 1527, e una in francese, quest’ultima opera di un anonimo francescano, sono riferiti miracoli e prodigi prima ancora che Roseline nascesse.

Ad esempio, mentre sua madre era incinta, udì una voce che le preannunciava il destino a cui la figlia sarebbe andata incontro: «Partorirai una rosa senza spine, una rosa il cui profumo pervaderà tutta la contrada».

Fatti altrettanto leggendari

Quand’era poco più che una bambina, Roseline cominciò a esercitare la carità verso i più poveri. In un giorno di gennaio, nel pieno di una carestia, suo padre la sorprese mentre si recava a portare loro dei viveri. Quando però le chiese cosa contenesse il suo grembiule, la ragazza lo aprì, lasciando cadere una grande quantità di rose. Un episodio simile ricorre nelle agiografie di molti altri Santi, come Germana Cousin, Elisabetta del Portogallo, Elisabetta d’Ungheria, Casilda di Burgos, Diego di Alcalá e Rosa da Viterbo.

Una volta entrata in monastero, poi, si sarebbe verificato un altro episodio eccezionale. Roseline, talmente raccolta nella sua preghiera, si era dimenticata di preparare il pasto per le altre monache. Sotto i loro occhi, degli angeli si sostituirono a lei per allestire la mensa.

Le fu attribuita anche l’intercessione per uno dei suoi fratelli, prigioniero nell’isola di Rodi durante una Crociata, il quale si vide liberato dalle catene e trasportato immediatamente in Provenza.

Anche quando divenne priora a Celle-Roubaud, Roseline non dimenticò i poveri, che continuavano a bussare alle porte del monastero. Infine, poco prima di morire, domandò di poter tornare una semplice religiosa.

La questione delle reliquie

Roseline fu sepolta nel cimitero della Certosa di Celle-Roubaud, dove molti pellegrini vennero a pregare. Cinque anni dopo la morte, il suo corpo fu riesumato, ma gli occhi, per conservarli meglio, vennero posti in un reliquiario a parte.

Nel 1607 fu effettuata un’ulteriore traslazione: le reliquie furono sistemate in una tomba di marmo bianco. Nel 1894, un medico italiano, Pietro Neri, realizzò un trattamento conservativo: sul viso e sulle mani venne applicato uno strato di cera, che fece sembrare il corpo come mummificato. Lo scheletro fu poi sorretto da una struttura metallica, quindi rivestito dell’abito certosino e posto in un’urna di cristallo, sempre all’interno della chiesa di Celle-Roubaud.

Tuttavia, alcuni studiosi hanno dubitato che queste reliquie appartengano effettivamente a Roseline: è infatti uso dei Certosini essere sepolti senza cassa e con una croce senza iscrizioni. Sarebbe stato un intenso profumo, raccontano le agiografie, a rendere identificabile la sua esatta sepoltura.

Il culto

Il 9 maggio 1851, il Beato Pio IX concesse alla diocesi di Fréjus di poter celebrare Roseline con Messa e Ufficio propri. La concessione fu estesa all’ordine certosino il 17 settembre 1857. Il Martirologio Romano del 2004, però, commemora Roseline col titolo di Santa.

Il monastero di Celle-Roubaud era però già stato abbandonato dalle Certosine. In seguito ad alterne vicende, nel 1781 era diventato la sede estiva del vescovo di Fréjus. Oggi è sede di una tenuta vinicola, dove si produce un vino che prende appunto il nome di “Château Sainte-Roseline”.

La chiesa dell’ex monastero divenne quindi una cappella intitolata alla sola Roseline; ne conserva tuttora le reliquie. Dopo lavori di restauro, è stata arricchita da un mosaico realizzato da Marc Chagall nel 1975, che rappresenta l’episodio del pasto preparato dagli angeli.

Il 17 gennaio di ogni anno, santa Roselina viene festeggiata nelle diocesi di Gap e Fréjus-Tolone, mentre la cittadina di Draguignan, vicina ad Arcs-sur-Argens, la considera come propria patrona.

Autore: Emilia Flocchini

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/90540

Sainte-Roseline chapel (XIth century) of the former abbey of La Celle-Roubaud, Les Arcs, Var (France)

Chapelle Sainte-Roseline (XIe siècle.de l'ancienne abbaye de La Celle-Roubaud, Les Arcs, Var (France)


Den salige Roseline ( -1329)

Minnedag:

17. januar

Den salige Roseline de Villeneuve var kartheusernonne og ble priorinne i Celle-Roubaud i Provence. Hun hadde hyppige visjoner, og kunne lese hjertene. Kult anerkjent 1851. Minnedag 17. januar.

Sist oppdatert: 1998-06-08 08:58

SOURCE : https://www.katolsk.no/biografier/historisk/roseline

 Jacques Paul, « Raymond Boyer et Gilles Grévin (dir.). Une sainte provençale du XIVe siècle. Roseline de Villeneuve. Enquête sur sa momie. Paris, De Boccard, 2006 », Revue d'histoire de l'Église de France  Année 2008  232  p. 210 : https://www.persee.fr/doc/rhef_0048-7988_2008_num_94_232_4390_t15_0210_0000_1

 Paulette Leclercq   Daniel Le Blévec, « Une sainte cartusienne : Roseline de Villeneuve », Cahiers de Fanjeaux  Année 1988  23  pp. 55-76. Fait partie d'un numéro thématique : La femme dans la vie religieuse du Languedoc : https://www.persee.fr/doc/cafan_0575-061x_1988_act_23_1_1997

Sainte Roseline Entre richesse et pauvreté Le miracle des Roses By Claude Plouviet| 26 décembre 2024 : https://tiersinclus.fr/sainte-roseline-entre-richesse-et-pauvrete-le-miracle-des-roses/

Géraldine Fabre. « Sainte Roseline de Villeneuve : une légende fabriquée ? » : http://www.zetetique.fr/divers/SainteRoseline.pdf

https://zetetique.fr/sainte-roseline-de-villeneuve-une-legende-fabriquee/