mardi 14 janvier 2020

Bienheureuse ALFONSA CLERICI, vierge religieuse de la Congrégation des Soeurs du Précieux Sang


Bienheureuse Alfonsa Clerici

Religieuse italienne (+ 1930)

Sœur Alfonsa Clerici (1860-1930). 

Elle était déjà enseignante quand elle entra chez les Sœurs du Précieux Sang de Monza. Son champ d'apostolat est l'enseignement et l'éducation des jeunes. Elle a également été secrétaire et conseillère générale de son Institut.

Née le 14 février 1860 à Lainate et morte le 14 janvier 1930 à Vercelli où elle était depuis 1911 y dirigeant l'institut de la Providence au service des défavorisés et des pauvres.

Béatifiée en 2010 à Vercelli

En italien:

Déclarée vénérable par le décret du 22 juin 2004 

Beata Alfonsa Clerici, SantiBeati

Bonaventura, sœur d'Alfonsa 

Sœurs du précieux sang 

"C'è una bellezza che mi attrae" - Il y a une beauté qui m'attire

SOURCE ` https://nominis.cef.fr/contenus/saint/12943/Bienheureuse-Alfonsa-Clerici.html

Benoît XVI salue en Alfonsa Clerici, un témoin de la « charité parfaite »

Béatification samedi 23 octobre à Verceil

OCTOBRE 26, 2010 00:00REDACTIONÉGLISE CATHOLIQUE

ROME, Mardi 26 octobre 2010 (ZENIT.org) – Benoît XVI salue en Alfonsa Clerici, béatifiée samedi dernier, 23 octobre à Verceil, en Italie, un témoin de la « charité parfaite ».

Le pape a évoqué la nouvelle bienheureuse après l’angélus de dimanche, 24 octobre, en disant, en italien : « Je suis heureux de rappeler qu’hier, soeur Alfonsa Clerici – de la congrégation de précieux Sang de Monza – a été proclamée bienheureuse ».

Le pape a souligné qu’elle était « née à Lainate, près de Milan, en 1860 », et qu’elle est « morte à Verceil en 1930 ».

« Rendons grâce à Dieu pour notre soeur qu’Il a conduite à la charité parfaite », a ajouté le pape.

C’est le préfet de la Congrégation pour les causes des saints, Mgr Angelo Amato, SDB, futur cardinal, qui a représenté le pape Benoît XVI et a présidé la célébration eucharistique, en la cathédrale de Verceil.

Née le 14 février 1860, Alfonsa était la dernière des dix enfants d’Angelo Clerici et de Maria Romanò qui formaient une famille chrétienne cohérente avec sa foi. Quatre de ces enfants répondirent à l’appel du Christ : Alfonsa, une sœur et deux de ses frères.

C’est grâce à une tante qu’Alfonsa put s’inscrire au Collège du Précieux Sang de Monza où elle obtint le diplôme d’institutrice et elle commença à enseigner pour soutenir sa famille. Quatre ans plus tard, elle entra au noviciat des sœurs, en 1883. Devenue directrice d’école, elle fait preuve de sagesse et de prudence, sauvant les finances de l’institut.

En 1906, l’évêque de Verceil, Mgr Teodoro Valfré di Bonzo, lui demanda d’assumer la direction d’une maison d’éducation pour petites filles et jeunes filles pauvres, la « Retraite de la Providence ». Une charge qu’elle exerça, à Verceil, pendant 19 ans, jusqu’à sa mort.

On rapporte qu’elle était remarquable par sa « pédagogie de la douceur », notamment avec les caractères les plus difficiles. Sa bonté, et son souci de la formation humaine et spirituelle des élèves, de sa sollicitude pour les plus nécessiteux, étaient en effet un signe de sa « communion avec Dieu ». Elle est décédée après une hémorragie cérébrale le 14 janvier 1930.

La Congrégation du Précieux Sang, fondée par Mère Maria Matilde Bucchi et reconnue canoniquement en 1876, compte actuellement environ 500 sœurs, en Italie, au Brésil, au Kenya et au Timor oriental. En 2011 une communauté sera inaugurée en Birmanie, à Yangoon, avec des sœurs birmanes.

Anita S. Bourdin avec Radio Vatican

OCTOBRE 26, 2010 00:00ÉGLISE CATHOLIQUE

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SOURCE : https://fr.zenit.org/articles/benoit-xvi-salue-en-alfonsa-clerici-un-temoin-de-la-charite-parfaite/

ALFONSA CLERICI

Religieuse, Bienheureuse

1860-1930

Alfonsa Clerici naquit le 14 février 1860, à Lainate, en Lombardie, à une quinzaine de kilomètres de Milan, en Italie. Elle était l'aînée d'une famille d'humbles paysans chrétiens, Angelo Clerici et Maria Romano. Quatreenfants moururent en bas âge et quatre furent consacrés à Dieu: Prospero et Ildefonso devinrent prêtres dans la congrégation des Barnabites; Bonaventura et Alfonsa entrèrent chez les Sœurs du Précieux Sang. 

Alfonsa était une enfant douce, pieuse et obéissante. Elle fut  confirmée en 1868, à l'âge de huit ans. C'est à cette époque qu'une paysanne rencontra Alfonsa un soir d'été, seule sur la route qui mène au sanctuaire de Rho, à quatre kilomètres de Lainate. Très surprise, la paysanne lui demanda où elle allait, et la petite fille répondit: "Je vais au Sanctuaire, pour dire les prières." À l'école, Alfonsa était une excellente élève; mais comment pourrait-elle poursuivre des études? Heureusement, grâce à l'une de ses tantes, elle put être inscrite au Collège du Précieux Sang, à Monza, chez les religieuses du Précieux Sang. Vers 1878-1879, elle obtint le diplôme d'institutrice, et elle commença à travailler pour soutenir sa famille. Pendant quatre ans elle enseigna à l'école communale de garçons de Lainate, au cours préparatoire.  

En 1883, Alfonsa put entrer au noviciat des Sœurs du Précieux Sang de Monza, où sa sœur Bonaventura l'avait devancée. Elle prit l'habit en 1884 et fit sa première profession en 1886. Alfonsa était une femme ferme et résolue, active et cependant très obéissante; elle enseigna pendant deux ans au collège du Précieux sang; elle en devint rapidement sous-directrice puis directrice.   

Alfonsa remplissait ses fonctions de directrice de collège avec beaucoup de sagesse et de prudence. En 1906, elle réussit même à sauver le collège et l'institut qui étaient gravement menacés par une mauvaise gestion économique. En 1911, l'évêque de Verceil, Mgr Teodoro Valfré di Bonzo demanda à Alfonsa d'assurer la direction de la maison appelée "Retraite de la Providence" (en italien Ritiro della Provvidenza). La fondation de cette maison de Verceil remontait à 1840; elle était destinée à l’éducation des petites filles et des jeunes filles des familles pauvres. Les enseignantes laïques qui avaient la charge de cette institution mettaient toute leur ardeur pour faire vivre l’école; mais parfois elles avaient besoin d'être épaulées, et on faisait appel aux Religieuses de Monza. 

En 1911, lorsque Alfonsa arriva, la Retraite de la Providence était en péril. Il fallait d'abord redonner du souffle aux structures matérielles et rétablir des finances en péril. Il fallait aussi redonner une bonne formation spirituelle au personnel de cet établissement. Alfonsa se mit donc au travail avec ardeur. Ce ne fut pas sans mal. Elle dut affronter des contradictions, des critiques, et parfois même des accusations. Mais, ce qui comptait le plus pour Alfonsa, c'était l’éducation des jeunes filles; aussi n’épargnait-elle aucun effort. Cependant, les enseignantes ne devaient pas être délaissées, et Alfonsa savait, tout en restant pleine de tact et de douceur dans ses réprimandes, donner les conseils les plus judicieux. En effet, des professeurs ne peuvent travailler à la formation intégrale de leurs élèves, que s'ils ont eux-mêmes reçu la formation culturelle, humaine et chrétienne indispensable. Alfonsa se montra particulièrement douée pour accomplir ce travail de formation spirituelle et humaine. Son union à Dieu était souvent visible.  

Alfonsa se dépensa sans relâche, pendant dix neuf ans, dans cette maison de la Retraite de la Providence. Dans la nuit du 12 au 13 janvier 1930, elle eut une hémorragie cérébrale; on la retrouva dans sa chambre, dans sa position habituelle de prière. Elle mourut le lendemain 14 janvier 1930. Elle avait 70 ans. 

Les choses auraient pu en rester là, et nous n'aurions jamais connu Sœur Alfonsa. Mais un miracle survenu en 2003, fut reconnu en 2010: un malade avait été frappé d'un arrêt cardiaque prolongé, doublé d'un œdème pulmonaire massif et d'un arrêt respiratoire. Ce malade recouvrit la santé, sans aucune séquelle, à l'étonnement de tous les médecins: son épouse avait prié la sœur Alfonsa Clerici.  

Alfonsa Clerici fut déclarée vénérable le 22 juin 2004, par le pape Jean-Paul II. Elle fut béatifiée le 23 octobre 2010, à Verceil.

Paulette Leblanc

SOURCE : http://nova.evangelisation.free.fr/leblanc_alfonsa_clerici.htm

Alfonsa Clerici

1860-1930

Angelo Clerici et Maria Romanò eurent dix enfants, la première desquels fut Alfonsa, née le 14 février 1860 à Lainate (Milan, Italie). Elle fut baptisée dès le lendemain.

Dans cette famille d’humbles paysans chrétiens, outre Alfonsa, il y aura deux prêtres de la Congrégation des Barnabites (Prospero et Ildefonso), et une Religieuse des Sœurs du Précieux Sang (Bonaventura). Il y eut aussi des tristesses, car quatre de ces enfants moururent en bas âge.

Alfonsa se montra douce, pieuse et obéissante. Elle reçut la Confirmation en 1868.

Dans ces années-là, une paysanne fut bien surprise de la voir toute seule un soir d’été sur la route du sanctuaire de Rho, à quatre kilomètres de Lainate ; et sa surprise grandit encore plus quand la petite fille répondit : Je vais au Sanctuaire, pour dire les prières.

Bonne élève à l’école, elle fut envoyée à Monza, au collège des Sœurs du Précieux Sang, où elle obtint le diplôme de Maîtresse d’Ecole (1878-1879). C’est là que mûrit sa vocation religieuse.

Après son diplôme, elle enseigna pendant quatre ans à l’école communale de Lainate, aux petits garçons du cours préparatoire.

En 1883, elle se décida à entrer chez les Religieuses du Précieux Sang, à Monza, où l’avait précédée de quelques semaines sa sœur Bonaventura.

Elle prit l’habit en 1884, et fit la première profession en 1886. Elle était, disait-on, simple, active, obéissante et l’évêque qualifia cette vocation de ferme et résolue. 

Après deux années d’enseignement dans ce collège, elle en devint sous-directrice, puis directrice.

En 1906, elle parvint à «refonder» l’Institut, qui était menacé par une mauvaise gestion économique.

A partir de 1911, elle fut à Vercelli dans la maison Retraite de la Providence (Ritiro della Provvidenza). Cette fondation remontait à 1840, destinée à l’éducation des jeunes filles, en priorité celles de familles pauvres ; on faisait appel aux Religieuses de Monza pour redonner souffle aux structures de cet établissement. 

Les enseignantes, laïques, avaient mis toute leur ardeur à faire vivre l’école, mais avaient besoin maintenant d’assistance, et aussi de formation spirituelle, ce à quoi travailla la bonne Alfonsa. 

Elle reçut des contradictions, des critiques, des accusations parfois, mais elle mettait au premier plan l’éducation des jeunes filles et n’épargnait aucun effort. Toujours douce et maternelle dans les réprimandes, dans les conseils. Ces élèves devaient, dans son esprit, recevoir tout ce qui pouvait contribuer à une formation intégrale, culturelle, humaine, chrétienne.

Dans la nuit du 12 au 13 janvier 1930, elle eut une hémorragie cérébrale ; on la trouva dans sa chambre, dans son habituelle position de prière, le front à terre. Elle mourut le 14 janvier 1930.

Un miracle survenu en 2003, fut reconnu en 2010 : après arrêt cardiaque prolongé doublé d’œdème pulmonaire massif et arrêt respiratoire, un malade retrouva la santé sans aucune séquelle. Son épouse avait prié Alfonsa Clerici.

La Sœur Alfonsa Clerici fut béatifiée en 2010.

SOURCE : http://www.samuelephrem.eu/article-01-14-116018972.html

Blessed Alfonsa Clerici

Memorial

14 January

Profile

The eldest of ten children born to Angelo and Maria Romano Clerici; hers was a poor but pious family with two of her brothers becoming monks, one sister a Sister of the Precious Blood. Received a Master’s degree from the College of the Sisters of the Precious Blood in MonzaItalyTaught in LainateItaly from 1880 to 1883. During her time in college and her work as a teacher, Alfonsa had felt a call to religious life, but her work helped support her family, and she stayed with it. She finally answered the call, and on 15 August 1883 joined the Sisters of the Most Precious Blood in MonzaTeacher at the College in Monza. Director of the College on 22 November 1898.

Born

14 February 1860 in LainateMilanItaly

Died

13:30 on 14 January 1930 in VercelliItaly of a cerebral haemorrhage suffered on the night of 12 to 13 January 1930 while at prayer

buried in Vercelli

in 1965 she was re-interred in the cemetery chapel of the College of the Sisters of the Precious Blood in MonzaItaly

Venerated

22 June 2004 by Pope John Paul II (decree of heroic virtues)

Beatified

23 October 2010 by Pope Benedict XVI

beatification recognition celebrated in the Piazza of San Eusebio, Diocese of VercelliItaly with Archbishop Angelo Amato as chief celebrant

the beatification miracle involved the healing of a nearly-fatal heart condition of Mr Nedo Frosini following the prayers of his wife, Carla Demi Frosini, for the intervention of Blessed Alfonsa

Additional Information

other sites in english

Hagiography Circle

fonti in italiano

Dicastero delle Cause dei Santi

Santi e Beati

Suore del Preziosissimo Sangue

nettsteder i norsk

Den katolske kirke

MLA Citation

“Blessed Alfonsa Clerici“. CatholicSaints.Info. 10 July 2023. Web. 20 May 2025. <https://catholicsaints.info/blessed-alfonsa-clerici/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-alfonsa-clerici/

BENEDICT XVI

ANGELUS

St Peter's Square

Sunday, 24 October 2010

Dear Brothers and Sisters,

This morning at the Vatican Basilica the solemn Celebration concluded the Special Assembly for the Middle East of the Synod of Bishops with the theme with the slogan: “The Catholic Church in the Middle East: communion and witness”. Moreover this Sunday is also World Mission Day: “The construction of Ecclesial Communion is the key to the Mission”. This motto displays a similarity between the themes of both ecclesial events. Each invite us to look at the Church as a mystery of communion that, by her nature, is destined for the whole person and for all people. The Servant of God Pope Paul vi stated the Church “exists in order to evangelize, that is to say, in order to preach and teach, to be the channel of the gift of grace, to reconcile sinners with God, and to perpetuate Christ's sacrifice in Holy Mass, which is the memorial of His death and glorious resurrection” (Apostolic Exortation Evangelii Nuntiandi, 8 December 1975, n. 14: p. 8 ). So the next Ordinary General Synod of Bishops in 2012 will have the theme: “The New Evangelization for the Transmission of the Christian Faith”. At any time or any place, even today in the Middle East, the Church is present and works to welcome every person and offer him/her the fullness of life in Christ. As the Italian-German theologian Romano Guardini once wrote, “The reality of the ‘Church’ implies a complete fullness of being Christian, which grows as it embraces the fullness the human being in relation to God” (cf. Formazione liturgica, Brescia, 2008, pp. 106-107).

Dear friends, in the today's Liturgy we read the testimony of St Paul concerning the final reward that the Lord will grant “to all who have loved his appearing” (2 Tim 4:8). This testimony does not mean an idle or solitary waiting. Quite the contrary! The Apostle lived in communion with the Risen Christ to “proclaim the Word [Gospel] fully” so that “all the Gentiles might hear it” (2 Tim 4:17). The missionary task is not to revolutionize the world, rather to transfigure it, drawing upon the strength of Jesus Christ who “summons us to the banquet of his word and of the Eucharist, to taste the gift of his presence, to be formed at his school and to live ever more closely united to him, our teacher and Lord” (Message for the 84th World Mission Sunday). Also, Christians of today – as it is written in the Epistle to Diognetus – “show how marvellous and... extraordinary their associated life is. They spend their life on earth, but they are citizens of heaven. They obey the established laws, but in their way of living go beyond these laws... They are condemned to death, from which they draw life. While doing good, they are... persecuted and they grow in number every day” (v, 4.9.12.16; vi 9, n. 33, Paris 1951, 62-66).

To the Virgin Mary, that from Jesus crucified received the new mission to be the Mother of all those who desire to believe in and follow Him, we entrust the Christian community of the Middle East and all missionaries of the Gospel.

After the Angelus:

I am pleased to announce that yesterday in Vercelli, Italy, Sr Alfonsa Clerici of the Congregation of Most Precious Blood of Monza was proclaimed Blessed. She was born in Lainate, near Milan in 1860, and died in Vercelli in 1930. We give thanks to God for this Sister, who the Lord guided to perfect charity.

To the English-speaking pilgrims gathered for this Angelus prayer I offer warm greetings. We give thanks to God for the blessings received during the Special Assembly for the Middle East of the Synod of Bishops, which concluded this morning in St Peter’s Basilica. We also celebrate today World Mission Sunday, which reminds us that ecclesial communion is the key to our task of proclaiming the Gospel. Entrusting this mission to the intercession of our Mother Mary, I invoke upon you and your families God’s abundant blessings.

Copyright © Dicastero per la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana

SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/en/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html

Wednesday’s Woman: Blessed Alfonsa Clerici

by MELANIE on JANUARY 14, 2015

in CATHOLICISMNONFICTIONSAINTSSISTERHOOD OF SAINTSSPIRITUALITYUNCATEGORIZED

The Basics: Born February 14, 1860, in Italy; died January 14, 1930, in Italy; beatified July 1, 2010, by Benedict XVI; feast day, January 14. Teacher; woman religious.

The Story: Alfonsa felt called to be a woman religious, but she also had a love of learning. The oldest of ten children, her family’s finances required her to work, so she became a teacher after graduating from the College of the Sisters of the Precious Blood. It turned out God wanted her to combine her gifts: In 1883, Alfonsa joined the congregation, and for a time served as the college’s director. She then spent about the last twenty years of her life in service to the poor and disadvantaged.

What We Can Learn from Alfonsa: Different times, different ways we’re led to God. Alfonsa’s charism was to be instructive, no matter how she was called to use that gift. Are you being too limited in the way you are using your own talents to serve the Lord?

To Learn More About Alfonsa: Check out the St. EusebioCathedral in Vercelli, where Alfonsa’s relics are housed.

To Learn More About Other Women Saints and Blesseds: Come back next week, or consider buying my book, Sisterhood of Saints: Daily Guidance and Inspiration.

SOURCE ` http://melanierigney.com/blog/uncategorized/3170/

Beata Alfonsa Clerici Vergine

14 gennaio

Lainate, Milano, 14 febbraio 1860 - Vercelli, 14 gennaio 1930

Suor Alfonsa Clerici (1860-1930) era già insegnante quando entrò tra le Suore del Preziosissimo Sangue di Monza. Il suo campo di apostolato fu l’insegnamento e l’educazione dei giovani. Fu anche segretaria e consigliera generale del suo Istituto.

Etimologia: Alfonsa = valorosa e nobile, dal gotico

La nascita e l’infanzia

Alfonsa Clerici nacque il 14 febbraio 1860 a Lainate (Milano), prima dei dieci figli di Angelo Clerici e Maria Romanò. La piccola Alfonsa fu battezzata nella chiesa S. Vittore Martire di Lainate il giorno dopo la nascita, il 15 febbraio 1860, dal parroco don Francesco Spreafico. Era la primogenita di una coppia di «umili, ma onestissimi e religiosi contadini, che guadagnavano il pane quoti¬diano con la fatica e il frutto del loro lavoro»; erano anche  molto  religiosi e la chiamata di Dio in casa Clerici si manifestò anche in altri tre suoi fratelli che divennero religiosi: due barnabiti, Prospero e Ildefonso, e la sorella Bonaventura, che diventerà una Suora del Preziosissimo Sangue. All'età di otto anni, il 6 ottobre 1868, nella chiesa prepositurale di S. Stefano, in Nerviano, ricevette la Cresima da Sua Eccellenza mons. Luigi Nazari di Calabiana, arcivescovo di Milano; non si conosce, invece, la data della prima Comunione, ma tenuto conto della prassi allora vigen¬te, si può ipotizzare che l'abbia ricevuta tra il 1870 e il 1872.

In questo periodo della sua fanciullezza è da notare la "fuga" da ca¬sa, in una sera d'estate, verso il vicino Santuario di Rho, a quattro chilometri da Lainate. Alla contadina che, stupita di vederla per strada a quell'ora del giorno, così piccola e così sola, le chiese dove era diretta, Alfonsa ri¬spose: "Al Santuario, a dire le preghiere".

La prima istruzione la ricevette sicuramente già a casa, dal momen¬to che il padre Angelo Clerici nelle sere d'inverno, insegnava ai contadini e ai figli gli elementi di lingua e di aritmetica. Quindi frequentò la scuola elementare, in Lainate. Ultimata la for¬mazione elementare, "considerata la sua spiccata inclinazione allo stu¬dio",  a quindici anni (nel 1875), su interessamento di una zia materna, signora Giuseppina Romano, "fu iscritta al Collegio delle Suore del Preziosissimo San¬gue, a Monza, per conseguire il diploma di Maestra". 

Suor Alfonsa rimase in Collegio fino al 1878; tra il 1878 e il 1879, consegui il diploma di Maestra di grado superiore. Dal 1880 al 1883, inse¬gnò nella Classe prima maschile della Scuola Comunale di Lainate. Durante gli anni di Collegio, la giovane Alfonsa ebbe modo di chia¬rire a se stessa e alla famiglia la propria vocazione alla vita religiosa. Pri¬ma di decidere di andare in convento, parlò anzitutto con la zia Giuseppina, la stessa che l'aveva voluta a Monza a studiare.  Suor Alfonsa, quindi, non entrò in convento subito dopo gli studi e durante l'insegnamento a Lainate, per quattro anni, cercò di aiutare la famiglia anche economicamente.

Religiosa preziosina

Il 15 agosto 1883, nonostante le costasse molto lasciare la famiglia, si recò a Monza, lasciando definitivamente Lainate ed entrò tra le suore del Preziosissimo Sangue. Nell'agosto 1884 vestì l'abito religioso, iniziando il noviziato. Alla professione fu ammessa sottolineando la sua "semplicità, attività e obbedienza". Mons. Gaetano Annoni dopo l'esame canonico trovò la novizia "ferma e risoluta nella vocazione Il 7 settembre 1886 quando conta 26 anni e mezzo, emise i voti temporanei. A suo fratello Prospero, che in quel medesimo anno fece la pro¬fessione religiosa tra i Barnabiti, scrisse: “Diamoci la mano dunque per salire al Calvario, ed io che ho l'onore di por¬tare il nome di Suora del Preziosissimo Sangue, io sarò contenta ove più vi sarà di sacrificio, sarò contenta di spargere il sangue della volontà, dell'amor proprio”.

Qualche settimana prima an¬che la sorella Bonaventura, era entrata nella Congregazione delle Suore del Preziosissimo Sangue. Dopo la professione si dedicò all'attività di insegnante nel Collegio di Monza: dal 1887-1889 la vediamo come insegnante, diventando il 18 ottobre 1898 Vice-Direttrice del medesimo e il 22 novembre dello stesso anno, Diret¬trice. Il suo compito era seguire le educande nello studio, accompagnarle nelle uscite, preparare le feste, rappresentare l'Istituto nelle circo¬stanze ufficiali. Nel 1906 l'Istituto attraversò un grave periodo di crisi a causa di alcune imprudenze nella gestione economica. Suor Alfonsa  mediante le sue doti di saggezza e prudenza, svolse un “ruolo determinante per la soluzione della crisi che sfociò in una vera e pro¬pria rifondazione dell'Istituto”, lo  riteneva infatti, come ella stessa scrisse al Card. Ferrari, che si trattava di "una Comunità da riordinare, da riformare, ma non da disperdere”. 

A Vercelli

Dal 20 novembre 1911 suor Alfonsa fu a Vercelli, ove rimase per diciannove anni, fino alla fine del¬la sua vita. Il “Ritiro della Provvidenza” di Vercelli era stato fondato intorno al 1840 da Salvatore e Paolo Montagnini, sacerdoti vercellesi che alla non comune spiritualità e cultura unirono una significativa sensibilità ai problemi sociali della loro città. Lo scopo dell'Istituto era l'educazione delle giova¬ni, con assoluta preferenza per quelle povere e con precarie situa¬zioni familiari. In quali¬tà di direttrice, fu incaricata della guida dell'Istituto della Provvidenza. Le Suore del Preziosissimo Sangue era¬no state chiamate dal Consiglio di Amministrazione per ridare vitalità a una realtà scolastico-assistenziale in difficoltà, a condizione però "di con¬servare e mantenere tutto il personale già operante nell'Istituto”.

La richiesta delle suore per il «Ritiro» di Vercelli era stata accettata subito, perché l'opera era in sintonia con le finalità educative della Congregazione, nonostante l'intui¬zione della «difficile posizione» nella quale le suore si sarebbero trovate. Questa sobria annotazione nelle Cronache della Congregazione trovò una  conferma di gran lunga superiore alle previsioni; le difficoltà erano anzitutto di carattere amministrativo e il problema più delicato era tuttavia il riordinamento interno dell'Istituto: le suore erano state chiamate a Vercelli dall'Arcivescovo, Mons. Teodoro Valfrè di Bonzo, per succedere nella dire¬zione dell'Istituto ad alcune Maestre laiche che, avendo speso in quel servizio tutte le energie giovanili, non erano più in grado di sostenerne da sole la gestione.

A Vercelli, tutta la vita spirituale della Serva di Dio si raccoglie a poco a poco intorno all'obbedienza che la introduce più intimamente nel mistero di Cristo, dalla sua umiliazione nell'Incarnazio¬ne, alla sua condivisione con gli uomini, alla sua immolazione per la gloria del Padre e la salvezza del mondo. Gli anni di Vercelli, che sono poi quelli conclusivi della sua vicenda terre¬na, sono dominati da una sapiente ed esigente pedagogia divi¬na, alla quale Suor Alfonsa si abbandona con umile docilità, la¬sciando spazi sempre più ampi all'azione dello Spirito Santo. “La grazia che vi domando oggi, o Santissima Trinità, - pregava Suor Alfonsa la sera della sua prima giornata a Vercelli - è di es¬sere strumento di Dio nella direzione dell'Istituto, in maniera che le mie parole, le opere, il contegno, i rimproveri, i castighi, le correzioni, siano di edificazione e di sprone per condurre le ani¬me al vostro amore”.

Pur nelle situazioni più difficili, suor Alfonsa non perse mai di vi¬sta che la dimensione più importante era l'educazione delle giovani ospiti dell'Istituto. Anche per questo non fece mai rivendicazioni perso¬nali, lasciò correre, accettò umiliazioni, contrasti, critiche, accu¬se e cercò di mirare sempre all'essenziale, al fine per il quale era stata chiamata a Vercelli. Di lei e degli anni trascorsi al “Ritiro” tutte le sue ex alunne conservano un ricor¬do affettuoso e commosso: “Per le sue figliole era una vera mamma; se sbagliavano, aveva una dolcezza nel riprenderle che non ebbe mai superiora alcuna; se veni¬vano castigate, private della merenda o di altro, essa intercedeva presso le Maestre per ottenere loro il perdono, scusando la vivaci¬tà del carattere se il castigo era dovuto a parole o ad atti sgarbati, attribuendo a malessere la svogliatezza rimproverata nel lavoro. Ciascuna aveva la sicurezza di essere la privilegiata della Madre, per i molti riguardi che usava.., scoprendo poi che anche le altre allieve si ritenevano, ciascuna per la sua parte, delle privilegiate. Quello che edificava maggiormente era la sua grande bontà verso tutte, anche con quelle che le davano dei dispiaceri”. 

Suor Alfonsa viveva una preghiera molto intensa e profonda, e, proprio da questa fedeltà traeva la grazia di un quotidiano dimenticarsi e morire in un servizio non solo poco gratificante, ma anche carico di difficoltà e di problemi non facilmente risolvibili. 

Nella notte tra il 12 e il 13 gennaio 1930 fu colpita da emorragia ce¬rebrale: la trovarono nella sua stanza, nel suo abituale atteggiamento di preghiera, con la fronte per terra. Morì il giorno dopo il 14 gennaio 1930 verso le ore 13,30.  

Il 16 gennaio vennero celebrati i solenni funerali nel Duomo di Vercelli, seguiti da una celebrazione nel trigesimo della morte, il 16 febbraio 1930, con la partecipazione delle autorità religiose e civili di Vercelli. 

La causa di canonizzzazione

La causa della Serva di Dio è stata avviata soltanto 35 anni dopo la sua morte per due motivi: la situazione economica del suo Istituto e il desiderio di dare la precedenza alla causa della Fondatrice, Madre Maria Matilde Bucchi. Le pratiche preliminari all'avvio del processo canonico furono avviate nel 1965. L' 8 maggio di questo stesso anno, i resti mortali della Serva di Dio furono traslati dal cimitero di Vercelli alla cappella del "Ritiro della Provvidenza", a Vercelli.

Il 1° luglio 1965, l'arcivescovo di Vercelli, Mons. Francesco Imberti, promulgò l'editto per la requisizione degli scritti e ne fissò la consegna al 31 dicembre dello stesso anno.

Il 13 gennaio 1966 l'arcivescovo di Vercelli, Mons. Francesco Imberti, apre a Vercelli il Processo Diocesano che viene chiuso il 30 giugno 1969 dall'arcivescovo di Vercelli, mons. Albino Mensa. Nello stesso anno, la Causa passa alla Congregazione per le Cause dei Santi che il 04 gennaio 1974 dà il Nulla osta per il proseguimento della Causa. 

Il 12 novembre 1988 la Congregazione della Congregazione delle Cause dei Santi  dà voto favorevole  sulla validità del Processo Informativo diocesano.

Il 22 giugno 2004 lettura pubblica davanti al Servo di Dio Giovanni Paolo II, nella Sala Clementina in Vaticano, del Decreto super virtutibus.

Dopo il parere favorevole della Consulta medica, del Congresso peculiare dei Teologi sulla guarigione miracolosa del Sig. Frosini attribuita all'intercessione della Serva di Dio suor Alfonsa Clerici, il 13 aprile 2010 la Congregazione dei Cardinale e dei Vescovi riconosce il miracolo attribuito alla Serva di Dio suor Alfonsa Clerici ed il 01 luglio 2010 Il Santo Padre Benedetto XVI promulga il Decreto riguardante il miracolo della Venerabile serva di Dio suor Alfonsa Clerici.

ll 23 ottobre 2011, Suor Alfonsa è stata beatificata nel Duomo di Vercelli. La cerimonia è stata presieduta da Sua Em. za il Cardinal Angelo Amato, Prefetto della Congregazione per le Cause dei Santi, in rappresentanza di Papa Benedetto XVI.

I resti mortali della Beata Alfonsa, dopo la Ricognizione canonica, il 2 ottobre 2011 sono stati posti sull’altare della Cappella del Crocifisso nel Duomo di Vercelli, alla venerazione pubblica dei fedeli. 

Preghiera per chiedere l'intercessione della Beata Alfonsa Clerici

Dio di misericordia 

e Padre di ogni consolazione, 

che nella vita della

Beata Alfonsa Clerici

hai rivelato il tuo amore per i giovani,

per i poveri e per i tribolati,

trasforma anche noi in docili strumenti 

della tua bontà

per tutti coloro che incontriamo.

Esaudisci quanti si affidano

alla sua intercessione

e concedi a noi di rinnovarci

nella fede, nella speranza e nell’amore

così che possiamo più efficacemente

testimoniare nella vita

il mistero pasquale di Cristo, tuo Figlio,

che con Te vive e regna

nei secoli dei secoli.

Amen.

Chi ricevesse grazie per intercessione della Beata Alfonsa è pregato di informare la

- Postulazione Generale delle Suore del Preziosissimo Sangue

- Via Lecco 6 

- 20900 Monza (MB).

Autore: Congregazione Suore del Preziosissimo Sangue

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/91105

Alfonsa Clerici

(1860-1930)

Beatificazione:

- 23 ottobre 2010

- Papa  Benedetto XVI

 Celebrazione

Ricorrenza:

- 14 gennaio

Suora professa della Congregazione delle Suore del Preziosissimo Sangue di Monza

Sarò contenta ove più vi sarà di sacrificio, sarò contenta di spargere il sangue della volontà, dell'amor proprio

Alfonsa Clerici nacque il 14 febbraio 1860 a Lainate nella provincia di Milano, in seno ad una famiglia di profonda fede cristiana.

Nell’anno 1875, Alfonsa s’iscrisse presso il Collegio delle Suore del Preziosissimo Sangue di Monza per poter conseguire il diploma magistrale ed è proprio durante questi anni di formazione scolastica che ella maturò nel suo cuore la scelta di consacrarsi totalmente al Signore.

Il 15 agosto 1883, infatti, conclusi gli studi, la giovane venne accolta presso il noviziato della suddetta Congregazione, fondata pochi anni prima dalla Serva di Dio Maria Matilde Bucchi. Dopo aver emesso la Professione Religiosa, a Suor Alfonsa venne affidato, prima, il compito di maestra, poi quello di Direttrice del Collegio. In seguito, per le sue eccellenti qualità, ella ricoprì anche il ruolo di Consigliera capitolare con lo scopo di risolvere la crisi economica che, nei primi anni del 1900, angosciò l’intero Istituto.

Su invito dell’Arcivescovo di Vercelli, la Congregazione accettò e si assunse l’incarico riguardante la gestione dell’Istituto Diocesano della Provvidenza, il quale svolgeva il compito di accogliere e curare l’educazione delle bambine e delle ragazze appartenenti alle classi più disagiate della città. In seno a questa nuova realtà così complessa, Alfonsa ricoprì il ruolo di Direttrice per circa diciannove anni: per questo suo caritatevole servizio, venne da molti amata e stimata per la sua pietà e per il suo zelo apostolico.

La Serva di Dio morì improvvisamente il 14 gennaio 1930 a Vercelli.

La sua morte suscitò una grande commozione e lasciò un vuoto significativo nell’Istituto e nei cuori di molti. Il 22 giugno 2004 il Servo di Dio Papa Giovanni Paolo II ne promulgò il decreto sulla eroicità delle virtù.

SOURCE : https://www.causesanti.va/it/santi-e-beati/alfonsa-clerici.html

IL MIRACOLO

la Postulazione della Causa ha presentato al giudizio di questa Congregazione delle Cause dei Santi un presunto miracolo avvenuto durante la notte del 22 febbraio 2003 nella città di Pisa. Il fatto in questione riguarda la perfetta guarigione del Signor Nedo Frosini da un grave arresto cardiaco e respiratorio, associato o preceduto da un edema polmonare, che gli aveva provocato una forte carenza di ossigeno al cervello.

Successivamente vi furono ancora altri episodi di fibrillazione ventricolare con arresto cardiaco. Nonostante una prolungata rianimazione presso adeguate strutture ospedaliere, il paziente era pervenuto ad uno stato di incoscienza e di coma irreversibile.

Vista la gravità della situazione, la moglie dell’infermo, la signora Carla Demi, angosciata per le condizioni del marito, stringendo nelle mani un’immaginetta della Venerabile Alfonsa pregò ed invocò, durante la notte del 22 febbraio, la Serva di Dio chiedendo per sua intercessione, il dono della guarigione per Nedo. La mattina seguente i medici, che erano estremamente preoccupati per gli esiti a livello neurologico conseguenti alle prolungate manovre rianimatorie, trovarono il paziente lucido, in grado di parlare e addirittura di scherzare, senza manifestare alcun segno di aver riportato danni neurologici o psichici: il signor Nedo Frosini aveva riacquistato la salute in un contesto e con delle circostanze straordinarie.

Tale presunto miracolo è stato oggetto dell’Inchiesta Diocesana svolta presso l’Arcidiocesi di Milano dal 16 febbraio al 24 giugno 2004. La validità giuridica di quest’ultima è stata riconosciuta dalla Congregazione delle Cause dei Santi con il decreto del 5 novembre 2004. I diversi atti raccolti durante l’Inchiesta sono stati posti alla valutazione e all’esame della Consulta Medica del Dicastero il 27 novembre 2008.

I componenti della Consulta hanno dichiarato la gravità della prognosi del sanato, sottolineando che le modalità del risveglio del signor Nedo Frosini dallo stato di incoscienza, con assenza di reliquati neurologici, sono da ritenersi inspiegabili secondo le attuali conoscenze mediche. I medici hanno infine concluso e affermato che il recupero della funzione neurologica del sanato è stato molto rapido, completo, durato e inspiegabile dal punto di vista medico e scientifico.

Il 22 aprile 2009 si è svolto il Congresso Peculiare dei Consultori Teologi, il cui esito positivo è stato in seguito confermato dai Padri Cardinali e Vescovi nella Sessione Ordinaria del 13 aprile 2010 dopo la relazione dell’Ecc.mo Ponente, Sua Eccellenza 

SOURCE : https://www.causesanti.va/it/santi-e-beati/alfonsa-clerici.html

BENEDETTO XVI

ANGELUS

Piazza San Pietro

Domenica, 24 ottobre 2010

Cari fratelli e sorelle!

Con la solenne Celebrazione di questa mattina nella Basilica Vaticana si è conclusa l’Assemblea Speciale per il Medio Oriente del Sinodo dei Vescovi, sul tema: “La Chiesa Cattolica in Medio Oriente: comunione e testimonianza”. In questa domenica, inoltre, ricorre la Giornata Missionaria Mondiale, che ha per motto: “La costruzione della comunione ecclesiale è la chiave della missione”. Colpisce la somiglianza tra i temi di questi due eventi ecclesiali. Entrambi invitano a guardare alla Chiesa come mistero di comunione che, per sua natura, è destinato a tutto l’uomo e a tutti gli uomini. Il Servo di Dio Papa Paolo VI così affermava: “La Chiesa esiste per evangelizzare, vale a dire per predicare ed insegnare, essere il canale del dono della grazia, riconciliare i peccatori con Dio, perpetuare il sacrificio del Cristo nella Santa Messa che è il memoriale della sua morte e della sua gloriosa risurrezione” (Esort. Ap. Evangelii nuntiandi, 8 dicembre 1975, 14: AAS 68, [1976], p. 13). Per questo la prossima Assemblea Generale Ordinaria del Sinodo dei Vescovi, nel 2012, sarà dedicata al tema “La nuova evangelizzazione per la trasmissione della fede cristiana”. In ogni tempo e in ogni luogo – anche oggi nel Medio Oriente – la Chiesa è presente e opera per accogliere ogni uomo e offrirgli in Cristo la pienezza della vita. Come scriveva il teologo italo-tedesco Romano Guardini: “La realtà «Chiesa» implica tutta la pienezza dell’essere cristiano che si sviluppa nella storia, in quanto essa abbraccia la pienezza dell’umano che è in rapporto con Dio” (Formazione liturgica, Brescia 2008, 106-107).

Cari amici, nella Liturgia odierna si legge la testimonianza di san Paolo riguardo al premio finale che il Signore consegnerà “a tutti coloro che hanno atteso con amore la sua manifestazione” (2 Tm 4,8). Non si tratta di un’attesa inoperosa o solitaria, al contrario! L’Apostolo ha vissuto in comunione con Cristo risorto per “portare a compimento l’annuncio del Vangelo” così che “tutte le genti lo ascoltassero” (2 Tm 4,17). Il compito missionario non è rivoluzionare il mondo, ma trasfigurarlo, attingendo la forza da Gesù Cristo che “ci convoca alla mensa della sua Parola e dell’Eucaristia, per gustare il dono della sua Presenza, formarci alla sua scuola e vivere sempre più consapevolmente uniti a Lui, Maestro e Signore” (Messaggio per la 84.ma Giornata Missionaria Mondiale). Anche i cristiani di oggi – come è scritto nella lettera A Diogneto – “mostrano come sia meravigliosa e … straordinaria la loro vita associata. Trascorrono l’esistenza sulla terra, ma sono cittadini del cielo. Obbediscono alle leggi stabilite, ma con il loro modo di vivere oltrepassano le leggi … Sono condannati a morte, e da essa traggono vita. Pur facendo il bene, sono … perseguitati e crescono di numero ogni giorno». (V, 4.9.12.16; VI, 9 [SC 33], Paris 1951, 62-66).

Alla Vergine Maria, che da Gesù Crocifisso ha ricevuto la nuova missione di essere Madre di tutti coloro che vogliono credere in Lui e seguirlo, affidiamo le comunità cristiane del Medio Oriente e tutti i missionari del Vangelo.

Dopo l'Angelus

Sono lieto di ricordare che ieri, a Vercelli, è stata proclamata beata Suor Alfonsa Clerici, della Congregazione del Preziosissimo Sangue di Monza, nata a Lainate, presso Milano, nel 1860, e morta a Vercelli nel 1930. Rendiamo grazie a Dio per questa nostra Sorella, che Egli ha guidato alla perfetta carità.

Je suis heureux de saluer les pèlerins francophones, en particulier ceux du Diocèse de Sion. En célébrant aujourd’hui la Journée mondiale des missions, nous nous rappelons que tous les baptisés sont appelés à annoncer la Bonne Nouvelle du salut, en renforçant les liens de communion entre eux et en effectuant une constante conversion personnelle et communautaire. En ce jour s’achève aussi l’Assemblée Spéciale pour le Moyen-Orient du Synode des Évêques. Je vous invite à prier pour tous les peuples de cette région, demandant au Seigneur de susciter partout dans le monde des hommes et des femmes de paix et de réconciliation. Bon dimanche à tous!

To the English-speaking pilgrims gathered for this Angelus prayer I offer warm greetings. We give thanks to God for the blessings received during the Special Assembly for the Middle East of the Synod of Bishops, which concluded this morning in St. Peter’s Basilica. We also celebrate today World Mission Sunday, which reminds us that ecclesial communion is the key to our task of proclaiming the Gospel. Entrusting this mission to the intercession of our Mother Mary, I invoke upon you and your families God’s abundant blessings.

Sehr herzlich grüße ich die Pilger und Besucher deutscher Sprache, besonders die Teilnehmer und Gäste des Festivals Pro Musica e Arte Sacra. Heute feiern wir den Weltmissionssonntag. Die Kirche hat von Christus den Auftrag erhalten, allen Völkern in aller Welt das Evangelium zu verkünden und Botschafter seines Heils und seines Friedens zu sein. Wir alle haben teil an dieser Sendung und tragen Verantwortung dafür, daß Gottes Wort die Menschen erreicht. So wollen wir die Mission der Kirche durch unser Gebet und unseren persönlichen Einsatz unterstützen. Dabei helfe euch der Heilige Geist.

Saludo con afecto a los peregrinos de lengua española presentes en esta oración mariana, en particular a los fieles peruanos y de otros países latinoamericanos de la Hermandad del Señor de los Milagros, de Roma. En este domingo, la Iglesia celebra la Jornada Mundial de las Misiones. Invito a todos a orar al Señor por aquellos que han entregado generosamente su vida a la evangelización de los pueblos, a menudo entre grandes dificultades. Confío a todos los misioneros del mundo a la protección maternal de la Santísima Virgen María, que en el transcurso de este mes invocamos especialmente con el título de Nuestra Señora del Rosario, para que no les falte nunca nuestro apoyo espiritual y material en el desempeño de su hermosa tarea apostólica. Feliz domingo.

Pozdrawiam serdecznie wszystkich Polaków. Dzisiaj Kościół przeżywa dwa ważne wydarzenia: zakończenie Synodu Biskupów dla Bliskiego Wschodu i Światowy Dzień Misyjny. W Polsce pod hasłem: „Misje – świadectwo miłości i komunii” będziecie obchodzić także Tydzień Misyjny. Polecając waszej modlitwie te wydarzenia życzę, by przyczyniły się one do wzrostu jedności Kościoła i dzielenia się ewangelicznym świadectwem wiary. Z serca wam błogosławię i życzę dobrej niedzieli.

[Saluto cordialmente tutti i Polacchi. La Chiesa vive oggi due eventi importanti: la chiusura del Sinodo dei Vescovi per il Medio Oriente e la Giornata Missionaria Mondiale. In Polonia celebrerete anche la Settimana Missionaria il cui motto è: “Le missioni – testimonianza d’amore e di comunione”. Raccomandandoli alla vostra preghiera auguro che questi eventi contribuiscano alla crescita della comunione nella Chiesa e alla condivisione della testimonianza evangelica della fede. Vi benedico di cuore e vi auguro una buona domenica.]

Saluto infine con affetto i pellegrini di lingua italiana, in particolare quelli che hanno preso parte all’iniziativa “Le Vie di Roma nel Lazio”, per valorizzare gli antichi itinerari di pellegrinaggio verso Roma. Saluto le Suore di Carità dell’Assunzione con un gruppo della Fraternità di Comunione e Liberazione, e i partecipanti all’Ecorally San Marino-Città del Vaticano. A tutti auguro una buona domenica e una buona settimana. Grazie.

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SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/it/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html

Den salige Alfonsa Clerici (1860-1930)

Minnedag:

14. januar

Den salige Alfonsa Clerici ble født den 14. februar 1860 i Lainate i provinsen Milano i regionen Lombardia i Nord-Italia. Hun var den eldste av elleve barn av Angelo Clerici og Maria Romanò, som opprinnelig kom fra Rovellasca i Como, men som flyttet til Lainate etter bryllupet. Det var en fattig, men from familie. To av hennes brødre ble munker, mens en søster ble søster i samme kongregasjon som henne. Alfonsa ble døpt i hjemsognet den 15. januar, og hun fikk sin første utdannelse i hjemmet og i sognet. Hun ble fermet (konfirmert) og mottok sin første kommunion i 1868 i Nerviano av biskop Calabiana av Milano. Mariahelligdommen i Rho ble besøkt av hele familien og spilte en avgjørende rolle i Alfonsas religiøse utvikling.

I 1875 begynte Alfonsa etter forslag fra tante Giuseppina på en utdannelse til lærerinne ved kollegiet til søstrene av det dyrebare blod i Monza i Lombardia. Deretter underviste hun på grunnskolen i Lainate fra 1880 til 1883. Mens hun tok lærerutdanning og senere arbeidet som lærer, hadde Alfonsa kjent et kall til det religiøse liv, men hennes arbeid bidro til å forsørge familien, og hun ble værende hos den. Men til slutt svarte hun på kallet, og den 15. august 1883 trådte hun inn hos «Søstrene av det dyrebare blod i Monza » (Suore del Preziosissimo Sangue di Monza – SPS), kalt Preziosine. Kongregasjonen var grunnlagt i 1852 av Maria Matilde Bucchi (1812-82).

Etter avleggelsen av sine løfter underviste hun på kollegiet i Monza, og hun ble direktør for kollegiet den 22. november 1898. Denne stillingen hadde hun til 1907. Hun var også sekretær, rådssøster og generalassistent for sitt institutt. I november 1911 ble hun kalt til å lede kollegiet Ritiro della provvidenza i Vercelli, som var en institusjon for foreldreløse jenter. I Vercelli ble hun værende i atten år.

Hun døde klokken 13.30 den 14. januar 1930 i Vercelli av en hjerneblødning som rammet henne natten mellom 12. og 13. januar, mens hun knelte i bønn foran sengen med hodet mot gulvet – hennes vanlige bønnestilling. Det var nøyaktig en måned før hennes syttiårsdag. Hun ble gravlagt i Vercelli, men i 1965 ble hennes jordiske levninger flyttet til kapellet i søstrenes kollegium i Monza.

I 1966 ble hennes saligkåringsprosess åpnet i Vercelli. Den 22. juni 2004 ble hennes «heroiske dyder» anerkjent av pave Johannes Paul II (1978-2005) og hun fikk tittelen Venerabilis («Ærverdig»). Den 1. juli 2010 undertegnet pave Benedikt XVI dekretet fra Helligkåringskongregasjonen som godkjente et mirakel på hennes forbønn. Den som ble helbredet, var en Nedo Frosini, som hadde en dødelig hjertesykdom, men som ble frisk etter at hans hustru Carla Demi Frosini hadde bedt om Alfonsa Clericis forbønn.

Hun ble saligkåret lørdag den 23. oktober 2010 i på plassen foran katedralen Sant'Eusebio i Vercelli i Italia. Som vanlig under dette pontifikatet ble seremonien ikke ledet av paven selv, men av hans personlige utsending, i dette tilfelle erkebiskop Angelo Amato SDB, prefekt for Helligkåringskongregasjonen i Vatikanet. Hennes minnedag er dødsdagen 14. januar.

Kilder: Patron Saints SQPN, santiebeati.it - Kompilasjon og oversettelse: p. Per Einar Odden - Sist oppdatert: 2010-11-02 19:14

SOURCE : https://www.katolsk.no/biografier/historisk/aclerici

BENEDIKT XVI.

ANGELUS

Petersplatz

Sonntag, 24. Oktober 2010

Liebe Brüder und Schwestern!

Mit dem feierlichen Gottesdienst am heutigen Vormittag in der Vatikanischen Basilika ist die Sonderversammlung der Bischofssynode für den Nahen Osten zu Ende gegangen, die unter dem Thema stand: »Die Kirche im Nahen Osten: Gemeinschaft  und Zeugnis.« An diesem Sonntag wird auch der Weltmissionssonntag begangen, dessen Motto lautet: »Der Aufbau der kirchlichen Gemeinschaft ist der Schlüssel der Mission.«

Die Ähnlichkeit zwischen den Themen dieser beiden kirchlichen Ereignisse fällt sofort ins Auge. Beide laden ein, auf die Kirche als Geheimnis der Gemeinschaft zu blicken, das in seinem Wesen für einen jeden und für alle Menschen bestimmt ist. Der Diener Gottes Papst Paul VI. sagte: »Die Kirche ist da, um zu evangelisieren, das heißt um zu predigen und zu unterweisen, Mittlerin des Geschenkes der Gnade zu sein, die Sünder mit Gott zu versöhnen, das Opfer Christi in der heiligen Messe immer gegenwärtig zu setzen, welche die Gedächtnisfeier seines Todes und seiner glorreichen Auferstehung ist« (Apostolisches Schreiben Evangelii nuntiandi, 8. Dezember 1975, 14). Aus diesem Grund wird die nächste Ordentliche Vollversammlung der Bischofssynode im Jahr 2012 dem Thema: »Die Neuevangelisierung zur Weitergabe des christlichen Glaubens« gewidmet sein. Zu allen Zeiten und an allen Orten – auch heute im Nahen Osten – ist die Kirche gegenwärtig und wirkt, um alle Menschen aufzunehmen und ihnen in Christus die Fülle des Lebens anzubieten. Der deutsch-italienische Theologe Romano Guardini schrieb in diesem Zusammenhang: »Die Wirklichkeit ›Kirche‹ schließt die ganze Fülle des christlichen Seins ein, das sich in der Geschichte entfaltet, insofern sie die Fülle des Menschlichen umfaßt, das in Beziehung zu Gott steht« (vgl. Liturgische Bildung [1923]).

Liebe Freunde, in der heutigen Liturgie ist das Zeugnis des hl. Paulus im Hinblick auf die Belohnung zu lesen, die der Herr »allen [geben wird], die sehnsüchtig auf sein Erscheinen warten« (2 Tim 4,8). Es handelt sich dabei um kein untätiges oder einsames Warten, im Gegenteil! Der Apostel hat in Gemeinschaft mit dem auferstandenen Christus gelebt, damit »die Verkündigung vollendet wird«, so daß »alle Heiden sie hören« (2 Tim 4,17). Die missionarische Aufgabe besteht nicht darin, die Welt zu revolutionieren, sondern sie zu verklären und dabei die Kraft aus Jesus Christus zu schöpfen, der »uns an den Tisch seines Wortes und der Eucharistie lädt. Auf diese Weise läßt er uns in den Genuß des Geschenks seiner Gegenwart kommen und lehrt uns, immer bewußter vereint mit ihm, unserem Herrn und Meister, zu leben« (Botschaft zum 84. Weltmissionssonntag).

Wie im Brief an Diognet geschrieben steht, legen auch die Christen von heute »einen wunderbaren und anerkanntermaßen überraschenden Wandel in ihrem bürgerlichen Leben an den Tag. Sie weilen auf Erden, aber ihr Wandel ist im Himmel. Sie gehorchen den bestehenden Gesetzen und überbieten in ihrem Lebenswandel die Gesetze … Man tötet sie und bringt sie dadurch zum Leben. Sie tun Gutes und werden wie Übeltäter gestraft … und nehmen, wenn sie mit dem Tode bestraft werden, von Tag zu Tag mehr zu« (V, 4.9.12.16; VI, 9).

Der Jungfrau Maria, die vom gekreuzigten Jesus die neue Sendung empfangen hat, Mutter all derer zu sein, die an ihn glauben und ihm nachfolgen wollen, empfehlen wir die christliche Gemeinschaft im Nahen Osten und alle Missionare des Evangeliums.

Grußworte nach dem Angelus

...auf italienisch: Voll Freude erinnere ich daran, daß gestern in Vercelli Schwester Alfonsa Clerici aus der Kongregation vom kostbarsten Blut von Monza seliggesprochen worden ist. Sie wurde 1860 in Lainate bei Mailand geboren und starb 1930 in Vercelli. Wir wollen Gott für diese unsere Schwester danken, die er zur vollkommenen Liebe geführt hat.

... auf französisch: Mit Freude grüße ich die französischsprachigen Pilger, besonders jene aus der Diözese Sion. Am heutigen Weltmissionssonntag wollen wir uns daran erinnern, daß alle Getauften dazu aufgerufen sind, die Frohe Botschaft des Heils zu verkündigen und dabei die Bande der Gemeinschaft unter allen zu stärken sowie eine beständige persönliche und gemeinschaftliche Umkehr anzustreben. Heute ist auch die Sonderversammlung der Bischofssynode für den Nahen Osten zu Ende gegangen. Ich lade euch ein, für alle Völker jener Region zu beten und den Herrn zu bitten, uns in der ganzen Welt Männer und Frauen des Friedens und der Versöhnung zu schenken. Einen gesegneten Sonntag euch allen!

… auf englisch: Von Herzen heiße ich die englischsprachigen Pilger willkommen, die zu diesem Angelusgebet versammelt sind. Wir danken Gott für die Gnadengaben, die wir im Laufe der Sonderversammlung der Bischofssynode für den Nahen Osten empfangen haben, die heute vormittag in der Petersbasilika ihren Abschluß gefunden hat. Heute begehen wir auch den Weltmissionssonntag, der uns in Erinnerung ruft, daß die kirchliche Gemeinschaft der Schlüssel für unseren Auftrag ist, das Evangelium zu verkündigen. Während ich diesen Sendungsauftrag der Fürsprache unserer Mutter Maria anvertraue, rufe ich auf euch und eure Familien Gottes reichen Segen herab.

… auf deutsch: Sehr herzlich grüße ich die Pilger und Besucher deutscher Sprache, besonders die Teilnehmer und Gäste des Festivals Pro Musica e Arte Sacra. Heute feiern wir den Weltmissionssonntag. Die Kirche hat von Christus den Auftrag erhalten, allen Völkern in aller Welt das Evangelium zu verkünden und Botschafter seines Heils und seines Friedens zu sein. Wir alle haben teil an dieser Sendung und tragen Verantwortung dafür, daß Gottes Wort die Menschen erreicht. So wollen wir die Mission der Kirche durch unser Gebet und unseren persönlichen Einsatz unterstützen. Dabei helfe euch der Heilige Geist.

… auf spanisch: Ich grüße herzlich die zu diesem Mariengebet anwesenden Pilger aus dem spanischen Sprachraum, besonders die Gläubigen aus Peru und anderen lateinamerikanischen Ländern der Bruderschaft »Señor de los Milagros« aus Rom. Am heutigen Sonntag begeht die Kirche den Weltmissionssonntag. Ich lade alle ein, zum Herrn für all jene zu beten, die unter oft sehr schwierigen Umständen großherzig ihr Leben für die Evangelisierung der Völker eingesetzt haben. Ich empfehle alle Missionare der Welt dem mütterlichen Schutz der allerseligsten Jungfrau Maria, die wir während dieses Monats besonders unter dem Titel »Unsere Liebe Frau vom Rosenkranz « anrufen, auf daß es niemals an unserer geistlichen und materiellen Unterstützung bei der Erfüllung ihrer schönen apostolischen Arbeit fehle. Einen gesegneten Sonntag.

… auf polnisch: Herzlich grüße ich nun alle Polen. Die Kirche erlebt heute zwei wichtige Ereignisse: den Abschluß der Bischofssynode für den Nahen Osten und den Weltmissionssonntag. In Polen werdet ihr auch die »Woche der Mission« begehen, deren Motto lautet: »Die Missionen – Zeugnis der Liebe und der Gemeinschaft.« Während ich diese Ereignisse eurem Gebet empfehle, spreche ich die Hoffnung aus, daß sie zur Vertiefung der Gemeinschaft in der Kirche und zum gemeinsamen und am Evangelium ausgerichteten Zeugnis des Glaubens beitragen. Ich segne euch von Herzen und wünsche einen schönen Sonntag.

... auf italienisch: Schließlich grüße ich voll Zuneigung die Pilger italienischer Sprache, besonders all jene, die an der Initiative »Die Straßen Roms in Latium« teilgenommen haben, um die antiken Pilgerwege nach Rom zu fördern. Ich grüße die Schwestern der Nächstenliebe von Mariä Himmelfahrt zusammen mit einer Gruppe der Fraternität »Comunione e Liberazione« sowie die Teilnehmer an der Öko-Rallye San Marino – Vatikanstadt. Allen wünsche ich einen gesegneten Sonntag und eine gute Woche. Danke.

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SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/de/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html

BENEDICTO XVI

ÁNGELUS

Plaza de San Pedro

Domingo 24 de octubre 2010

Queridos hermanos y hermanas:

Con la solemne celebración de esta mañana en la basílica vaticana se ha concluido la Asamblea especial para Oriente Medio del Sínodo de los obispos, sobre el tema: «La Iglesia católica en Oriente Medio: comunión y testimonio». En este domingo se celebra, además, la Jornada mundial de las misiones, que tiene por lema: «La construcción de la comunión eclesial es la clave de la misión». Llama la atención la similitud entre los temas de estos dos acontecimientos eclesiales. Ambos invitan a mirar a la Iglesia como misterio de comunión que, por su naturaleza, está destinado a todo el hombre y a todos los hombres. El siervo de Dios Papa Pablo vi afirmó: «La Iglesia existe para evangelizar, es decir, para predicar y enseñar, ser canal del don de la gracia, reconciliar a los pecadores con Dios, perpetuar el sacrificio de Cristo en la santa misa, memorial de su muerte y resurrección gloriosa» (Exhort. ap. Evangelii nuntiandi, 8 de diciembre de 1975, 14: aas 68, [1976], p. 13). Por esto la próxima Asamblea general ordinaria del Sínodo de los obispos, en 2012, se dedicará al tema «La nueva evangelización para la transmisión de la fe cristiana». En todo tiempo y en todo lugar —también hoy en Oriente Medio— la Iglesia está presente y actúa para acoger a todo hombre y ofrecerle en Cristo la plenitud de la vida. Como escribía el teólogo italo-alemán Romano Guardini: «La realidad “Iglesia” implica toda la plenitud del ser cristiano que se desarrolla en la historia, en cuanto que ella abraza la plenitud de lo humano que está en relación con Dios» (Formación litúrgica, Brescia 2008, pp. 106-107).

Queridos amigos, en la liturgia de hoy se lee el testimonio de san Pablo respecto al premio final que el Señor entregará «a todos aquellos que han esperado con amor su manifestación» (2 Tm 4, 8). No se trata de una espera ociosa o solitaria. Al contrario. El Apóstol vivió en comunión con Cristo resucitado para «llevar a cumplimiento el anuncio del Evangelio» a fin de que «todas las gentes lo escucharan» (2 Tm 4, 17). La tarea misionera no es revolucionar el mundo, sino transfigurarlo, tomando la fuerza de Jesucristo que «nos convoca a la mesa de su Palabra y de la Eucaristía, para gustar el don de su presencia, formarnos en su escuela y vivir cada vez más conscientemente unidos a él, Maestro y Señor» (Mensaje para la 84ª Jornada mundial de las misiones: L’Osservatore Romano, edición en lengua española, 28 de marzo de 2010, p. 3). También los cristianos de hoy —como está escrito en la carta a Diogneto— «muestran cuán maravillosa y extraordinaria es su vida asociada. Viven en la tierra pero son ciudadanos del cielo. Obedecen las leyes establecidas, pero con su manera de vivir sobrepasan las leyes... Son condenados a muerte, y de ella sacan vida. Aun haciendo el bien, son... perseguidos y crecen en número cada día» (v, 4.9.12.16; vi, 9 [sc 33], París 1951, pp. 62-66).

A la Virgen María, que de Jesús Crucificado recibió la nueva misión de ser Madre de todos los que quieren creer en él y seguirlo, encomendamos a las comunidades cristianas de Oriente Medio y a todos los misioneros del Evangelio.

Después del Ángelus

(En italiano)

Me complace recordar que ayer, en Vercelli, fue proclamada beata sor Alfonsa Clerici, de la Congregación de la Preciosísima Sangre de Monza, que nació en Lainate, cerca de Milán, en 1860, y murió en Vercelli en 1930. Demos gracias a Dios por esta hermana nuestra, que él guió a la perfecta caridad.

(En lengua española)

Saludo con afecto a los peregrinos de lengua española presentes en esta oración mariana, en particular a los fieles peruanos y de otros países latinoamericanos de la Hermandad del Señor de los Milagros, de Roma. En este domingo, la Iglesia celebra la Jornada mundial de las misiones. Invito a todos a orar al Señor por aquellos que han entregado generosamente su vida a la evangelización de los pueblos, a menudo entre grandes dificultades. Confío a todos los misioneros del mundo a la protección maternal de la santísima Virgen María, que en el transcurso de este mes invocamos especialmente con el título de Nuestra Señora del Rosario, para que no les falte nunca nuestro apoyo espiritual y material en el desempeño de su hermosa tarea apostólica. ¡Feliz domingo!

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SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/es/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html