Bienheureuse Alfonsa
Clerici
Religieuse
italienne (+ 1930)
Sœur Alfonsa Clerici
(1860-1930).
Elle était déjà enseignante quand elle entra chez les Sœurs du Précieux Sang de Monza. Son champ d'apostolat est l'enseignement et l'éducation des jeunes. Elle a également été secrétaire et conseillère générale de son Institut.
Née le 14 février 1860 à Lainate et morte le 14 janvier 1930 à Vercelli où elle était depuis 1911 y dirigeant l'institut de la Providence au service des défavorisés et des pauvres.
En italien:
- Déclarée
vénérable par le décret du 22 juin 2004
- Beata Alfonsa Clerici, SantiBeati
"C'è una bellezza
che mi attrae" - Il y a une beauté qui m'attire
SOURCE ` https://nominis.cef.fr/contenus/saint/12943/Bienheureuse-Alfonsa-Clerici.html
Benoît XVI salue en
Alfonsa Clerici, un témoin de la « charité parfaite »
Béatification samedi 23
octobre à Verceil
OCTOBRE 26, 2010 00:00REDACTIONÉGLISE
CATHOLIQUE
ROME, Mardi 26 octobre
2010 (ZENIT.org)
– Benoît XVI salue en Alfonsa Clerici, béatifiée samedi dernier, 23 octobre à
Verceil, en Italie, un témoin de la « charité parfaite ».
Le pape a évoqué la
nouvelle bienheureuse après l’angélus de dimanche, 24 octobre, en disant, en
italien : « Je suis heureux de rappeler qu’hier, soeur Alfonsa
Clerici – de la congrégation de précieux Sang de Monza – a été proclamée
bienheureuse ».
Le pape a souligné
qu’elle était « née à Lainate, près de Milan, en 1860 », et qu’elle est
« morte à Verceil en 1930 ».
« Rendons grâce à
Dieu pour notre soeur qu’Il a conduite à la charité parfaite », a ajouté
le pape.
C’est le préfet de la
Congrégation pour les causes des saints, Mgr Angelo Amato, SDB, futur cardinal,
qui a représenté le pape Benoît XVI et a présidé la célébration eucharistique,
en la cathédrale de Verceil.
Née le 14 février 1860,
Alfonsa était la dernière des dix enfants d’Angelo Clerici et de Maria Romanò
qui formaient une famille chrétienne cohérente avec sa foi. Quatre de ces
enfants répondirent à l’appel du Christ : Alfonsa, une sœur et deux de ses
frères.
C’est grâce à une tante
qu’Alfonsa put s’inscrire au Collège du Précieux Sang de Monza où elle obtint
le diplôme d’institutrice et elle commença à enseigner pour soutenir sa
famille. Quatre ans plus tard, elle entra au noviciat des sœurs, en 1883.
Devenue directrice d’école, elle fait preuve de sagesse et de prudence, sauvant
les finances de l’institut.
En 1906, l’évêque de
Verceil, Mgr Teodoro Valfré di Bonzo, lui demanda d’assumer la direction d’une
maison d’éducation pour petites filles et jeunes filles pauvres, la
« Retraite de la Providence ». Une charge qu’elle exerça, à Verceil,
pendant 19 ans, jusqu’à sa mort.
On rapporte qu’elle était
remarquable par sa « pédagogie de la douceur », notamment avec les
caractères les plus difficiles. Sa bonté, et son souci de la formation humaine
et spirituelle des élèves, de sa sollicitude pour les plus nécessiteux, étaient
en effet un signe de sa « communion avec Dieu ». Elle est décédée
après une hémorragie cérébrale le 14 janvier 1930.
La Congrégation du
Précieux Sang, fondée par Mère Maria Matilde Bucchi et reconnue canoniquement
en 1876, compte actuellement environ 500 sœurs, en Italie, au Brésil, au Kenya
et au Timor oriental. En 2011 une communauté sera inaugurée en Birmanie, à
Yangoon, avec des sœurs birmanes.
Anita S. Bourdin avec
Radio Vatican
OCTOBRE 26, 2010 00:00ÉGLISE
CATHOLIQUE
About Redaction
SOURCE : https://fr.zenit.org/articles/benoit-xvi-salue-en-alfonsa-clerici-un-temoin-de-la-charite-parfaite/
ALFONSA CLERICI
Religieuse, Bienheureuse
1860-1930
Alfonsa Clerici naquit le
14 février 1860, à Lainate, en Lombardie, à une quinzaine de kilomètres de
Milan, en Italie. Elle était l'aînée d'une famille d'humbles paysans chrétiens,
Angelo Clerici et Maria Romano. Quatreenfants moururent en bas âge et quatre
furent consacrés à Dieu: Prospero et Ildefonso devinrent prêtres dans la
congrégation des Barnabites; Bonaventura et Alfonsa entrèrent chez les Sœurs du
Précieux Sang.
Alfonsa était une enfant
douce, pieuse et obéissante. Elle fut confirmée en 1868, à l'âge de huit
ans. C'est à cette époque qu'une paysanne rencontra Alfonsa un soir d'été,
seule sur la route qui mène au sanctuaire de Rho, à quatre kilomètres de
Lainate. Très surprise, la paysanne lui demanda où elle allait, et la petite
fille répondit: "Je vais au Sanctuaire, pour dire les prières." À
l'école, Alfonsa était une excellente élève; mais comment pourrait-elle
poursuivre des études? Heureusement, grâce à l'une de ses tantes, elle put être
inscrite au Collège du Précieux Sang, à Monza, chez les religieuses du Précieux
Sang. Vers 1878-1879, elle obtint le diplôme d'institutrice, et elle commença à
travailler pour soutenir sa famille. Pendant quatre ans elle enseigna à l'école
communale de garçons de Lainate, au cours préparatoire.
En 1883, Alfonsa put
entrer au noviciat des Sœurs du Précieux Sang de Monza, où sa sœur Bonaventura
l'avait devancée. Elle prit l'habit en 1884 et fit sa première profession en
1886. Alfonsa était une femme ferme et résolue, active et cependant très
obéissante; elle enseigna pendant deux ans au collège du Précieux sang; elle en
devint rapidement sous-directrice puis directrice.
Alfonsa remplissait ses
fonctions de directrice de collège avec beaucoup de sagesse et de
prudence. En 1906, elle réussit même à sauver le collège et l'institut qui
étaient gravement menacés par une mauvaise gestion économique. En
1911, l'évêque de Verceil, Mgr Teodoro Valfré di Bonzo demanda à
Alfonsa d'assurer la direction de la maison appelée "Retraite de la
Providence" (en italien Ritiro della Provvidenza). La fondation
de cette maison de Verceil remontait à 1840; elle était destinée à
l’éducation des petites filles et des jeunes filles des familles pauvres. Les
enseignantes laïques qui avaient la charge de cette institution mettaient toute
leur ardeur pour faire vivre l’école; mais parfois elles avaient besoin d'être
épaulées, et on faisait appel aux Religieuses de Monza.
En 1911, lorsque Alfonsa
arriva, la Retraite de la Providence était en péril. Il fallait
d'abord redonner du souffle aux structures matérielles et rétablir des finances
en péril. Il fallait aussi redonner une bonne formation spirituelle au
personnel de cet établissement. Alfonsa se mit donc au travail avec ardeur. Ce
ne fut pas sans mal. Elle dut affronter des contradictions, des critiques, et
parfois même des accusations. Mais, ce qui comptait le plus pour Alfonsa,
c'était l’éducation des jeunes filles; aussi n’épargnait-elle aucun effort.
Cependant, les enseignantes ne devaient pas être délaissées, et Alfonsa savait,
tout en restant pleine de tact et de douceur dans ses réprimandes, donner les
conseils les plus judicieux. En effet, des professeurs ne peuvent travailler à
la formation intégrale de leurs élèves, que s'ils ont eux-mêmes reçu la
formation culturelle, humaine et chrétienne indispensable. Alfonsa se montra
particulièrement douée pour accomplir ce travail de formation spirituelle et
humaine. Son union à Dieu était souvent visible.
Alfonsa se dépensa sans
relâche, pendant dix neuf ans, dans cette maison de la Retraite de la
Providence. Dans la nuit du 12 au 13 janvier 1930, elle eut une hémorragie
cérébrale; on la retrouva dans sa chambre, dans sa position habituelle de
prière. Elle mourut le lendemain 14 janvier 1930. Elle avait 70 ans.
Les choses auraient pu en
rester là, et nous n'aurions jamais connu Sœur Alfonsa. Mais un miracle survenu
en 2003, fut reconnu en 2010: un malade avait été frappé d'un arrêt cardiaque
prolongé, doublé d'un œdème pulmonaire massif et d'un arrêt respiratoire. Ce
malade recouvrit la santé, sans aucune séquelle, à l'étonnement de tous les
médecins: son épouse avait prié la sœur Alfonsa Clerici.
Alfonsa Clerici fut
déclarée vénérable le 22 juin 2004, par le pape Jean-Paul II. Elle fut
béatifiée le 23 octobre 2010, à Verceil.
Paulette Leblanc
SOURCE : http://nova.evangelisation.free.fr/leblanc_alfonsa_clerici.htm
Alfonsa Clerici
1860-1930
Angelo Clerici et Maria
Romanò eurent dix enfants, la première desquels fut Alfonsa, née le 14 février
1860 à Lainate (Milan, Italie). Elle fut baptisée dès le lendemain.
Dans cette famille
d’humbles paysans chrétiens, outre Alfonsa, il y aura deux prêtres de la
Congrégation des Barnabites (Prospero et Ildefonso), et une Religieuse des
Sœurs du Précieux Sang (Bonaventura). Il y eut aussi des tristesses, car quatre
de ces enfants moururent en bas âge.
Alfonsa se montra douce,
pieuse et obéissante. Elle reçut la Confirmation en 1868.
Dans ces années-là, une
paysanne fut bien surprise de la voir toute seule un soir d’été sur la route du
sanctuaire de Rho, à quatre kilomètres de Lainate ; et sa surprise grandit
encore plus quand la petite fille répondit : Je vais au Sanctuaire, pour
dire les prières.
Bonne élève à l’école,
elle fut envoyée à Monza, au collège des Sœurs du Précieux Sang, où elle obtint
le diplôme de Maîtresse d’Ecole (1878-1879). C’est là que mûrit sa vocation
religieuse.
Après son diplôme, elle
enseigna pendant quatre ans à l’école communale de Lainate, aux petits garçons
du cours préparatoire.
En 1883, elle se décida à
entrer chez les Religieuses du Précieux Sang, à Monza, où l’avait précédée de
quelques semaines sa sœur Bonaventura.
Elle prit l’habit en
1884, et fit la première profession en 1886. Elle était, disait-on, simple,
active, obéissante et l’évêque qualifia cette vocation de ferme et
résolue.
Après deux années
d’enseignement dans ce collège, elle en devint sous-directrice, puis
directrice.
En 1906, elle parvint à
«refonder» l’Institut, qui était menacé par une mauvaise gestion économique.
A partir de 1911, elle
fut à Vercelli dans la maison Retraite de la Providence (Ritiro della
Provvidenza). Cette fondation remontait à 1840, destinée à l’éducation des
jeunes filles, en priorité celles de familles pauvres ; on faisait appel aux Religieuses
de Monza pour redonner souffle aux structures de cet établissement.
Les enseignantes,
laïques, avaient mis toute leur ardeur à faire vivre l’école, mais avaient
besoin maintenant d’assistance, et aussi de formation spirituelle, ce à quoi
travailla la bonne Alfonsa.
Elle reçut des
contradictions, des critiques, des accusations parfois, mais elle mettait au
premier plan l’éducation des jeunes filles et n’épargnait aucun effort.
Toujours douce et maternelle dans les réprimandes, dans les conseils. Ces
élèves devaient, dans son esprit, recevoir tout ce qui pouvait contribuer à une
formation intégrale, culturelle, humaine, chrétienne.
Dans la nuit du 12 au 13
janvier 1930, elle eut une hémorragie cérébrale ; on la trouva dans sa chambre,
dans son habituelle position de prière, le front à terre. Elle mourut le 14
janvier 1930.
Un miracle survenu en
2003, fut reconnu en 2010 : après arrêt cardiaque prolongé doublé d’œdème
pulmonaire massif et arrêt respiratoire, un malade retrouva la santé sans
aucune séquelle. Son épouse avait prié Alfonsa Clerici.
La Sœur Alfonsa Clerici
fut béatifiée en 2010.
SOURCE : http://www.samuelephrem.eu/article-01-14-116018972.html
Profile
The eldest of ten children born
to Angelo and Maria Romano Clerici; hers was a poor but
pious family with two of her brothers becoming monks,
one sister a Sister of the Precious Blood. Received a Master’s degree from
the College of the Sisters of the Precious Blood in Monza, Italy. Taught in Lainate, Italy from 1880 to 1883.
During her time in college and
her work as a teacher,
Alfonsa had felt a call to religious
life, but her work helped
support her family, and she stayed with it. She finally answered the call, and
on 15
August 1883 joined
the Sisters of the Most Precious Blood in Monza. Teacher at
the College in Monza.
Director of the College on 22
November 1898.
Born
14
February 1860 in Lainate, Milan, Italy
13:30 on 14
January 1930 in Vercelli, Italy of
a cerebral haemorrhage suffered on the night of 12 to 13 January 1930 while
at prayer
in 1965 she
was re-interred in the cemetery chapel of
the College of the Sisters of the Precious Blood in Monza, Italy
22 June 2004 by Pope John
Paul II (decree of heroic
virtues)
23
October 2010 by Pope Benedict
XVI
beatification recognition
celebrated in the Piazza of San Eusebio, Diocese of Vercelli, Italy with Archbishop Angelo
Amato as chief celebrant
the beatification miracle involved
the healing of
a nearly-fatal heart condition
of Mr Nedo Frosini following the prayers of
his wife,
Carla Demi Frosini, for the intervention of Blessed Alfonsa
Additional
Information
other
sites in english
fonti
in italiano
Dicastero delle Cause dei Santi
Suore del Preziosissimo Sangue
nettsteder
i norsk
MLA
Citation
“Blessed Alfonsa
Clerici“. CatholicSaints.Info. 10 July 2023. Web. 20 May 2025.
<https://catholicsaints.info/blessed-alfonsa-clerici/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-alfonsa-clerici/
BENEDICT XVI
ANGELUS
St Peter's Square
Sunday, 24 October 2010
Dear Brothers and
Sisters,
This morning at the
Vatican Basilica the
solemn Celebration concluded the Special Assembly for the Middle East of the
Synod of Bishops with the theme with the slogan: “The Catholic Church
in the Middle East: communion and witness”. Moreover this Sunday is also World
Mission Day: “The construction of Ecclesial Communion is the key to the
Mission”. This motto displays a similarity between the themes of both ecclesial
events. Each invite us to look at the Church as a mystery of communion that, by
her nature, is destined for the whole person and for all people. The Servant of
God Pope Paul vi stated the Church “exists in order to evangelize,
that is to say, in order to preach and teach, to be the channel of the gift of
grace, to reconcile sinners with God, and to perpetuate Christ's sacrifice in
Holy Mass, which is the memorial of His death and glorious resurrection”
(Apostolic Exortation Evangelii
Nuntiandi, 8 December 1975, n. 14: p. 8 ). So the next Ordinary General
Synod of Bishops in 2012 will have the theme: “The New Evangelization for the
Transmission of the Christian Faith”. At any time or any place, even today in
the Middle East, the Church is present and works to welcome every person and
offer him/her the fullness of life in Christ. As the Italian-German theologian
Romano Guardini once wrote, “The reality of the ‘Church’ implies a complete
fullness of being Christian, which grows as it embraces the fullness the human
being in relation to God” (cf. Formazione liturgica, Brescia, 2008, pp.
106-107).
Dear friends, in the
today's Liturgy we read the testimony of St Paul concerning the final reward
that the Lord will grant “to all who have loved his appearing” (2 Tim 4:8).
This testimony does not mean an idle or solitary waiting. Quite the contrary!
The Apostle lived in communion with the Risen Christ to “proclaim the Word
[Gospel] fully” so that “all the Gentiles might hear it” (2 Tim 4:17). The
missionary task is not to revolutionize the world, rather to transfigure it,
drawing upon the strength of Jesus Christ who “summons us to the banquet of his
word and of the Eucharist, to taste the gift of his presence, to be formed at
his school and to live ever more closely united to him, our teacher and Lord” (Message
for the 84th World Mission Sunday). Also, Christians of today – as it is
written in the Epistle to Diognetus – “show how marvellous and...
extraordinary their associated life is. They spend their life on earth, but
they are citizens of heaven. They obey the established laws, but in their way
of living go beyond these laws... They are condemned to death, from which they
draw life. While doing good, they are... persecuted and they grow in number
every day” (v, 4.9.12.16; vi 9, n. 33, Paris 1951, 62-66).
To the Virgin Mary, that from Jesus crucified received the new mission to be the Mother of all those who desire to believe in and follow Him, we entrust the Christian community of the Middle East and all missionaries of the Gospel.
After the Angelus:
I am pleased to announce
that yesterday in Vercelli, Italy, Sr Alfonsa Clerici of the Congregation of
Most Precious Blood of Monza was proclaimed Blessed. She was born in Lainate,
near Milan in 1860, and died in Vercelli in 1930. We give thanks to God for
this Sister, who the Lord guided to perfect charity.
To the English-speaking
pilgrims gathered for this Angelus prayer I offer warm greetings. We give
thanks to God for the blessings received during the Special Assembly for the
Middle East of the Synod of Bishops, which concluded this morning in St Peter’s
Basilica. We also celebrate today World Mission Sunday, which reminds us that
ecclesial communion is the key to our task of proclaiming the Gospel.
Entrusting this mission to the intercession of our Mother Mary, I invoke upon
you and your families God’s abundant blessings.
Copyright © Dicastero per
la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana
SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/en/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html
Wednesday’s Woman:
Blessed Alfonsa Clerici
by MELANIE on JANUARY
14, 2015
in CATHOLICISM, NONFICTION, SAINTS, SISTERHOOD
OF SAINTS, SPIRITUALITY, UNCATEGORIZED
The Basics: Born
February 14, 1860, in Italy; died January 14, 1930, in Italy; beatified July 1,
2010, by Benedict XVI; feast day, January 14. Teacher; woman religious.
The Story: Alfonsa
felt called to be a woman religious, but she also had a love of learning. The
oldest of ten children, her family’s finances required her to work, so she
became a teacher after graduating from the College of the Sisters of the
Precious Blood. It turned out God wanted her to combine her gifts: In 1883,
Alfonsa joined the congregation, and for a time served as the college’s
director. She then spent about the last twenty years of her life in service to
the poor and disadvantaged.
What We Can Learn from
Alfonsa: Different times, different ways we’re led to God. Alfonsa’s
charism was to be instructive, no matter how she was called to use that gift.
Are you being too limited in the way you are using your own talents to serve
the Lord?
To Learn More About
Alfonsa: Check out the St. EusebioCathedral in Vercelli, where
Alfonsa’s relics are housed.
To Learn More About Other
Women Saints and Blesseds: Come back next week, or consider buying my
book, Sisterhood of
Saints: Daily Guidance and Inspiration.
SOURCE ` http://melanierigney.com/blog/uncategorized/3170/
Beata Alfonsa Clerici Vergine
Lainate, Milano, 14
febbraio 1860 - Vercelli, 14 gennaio 1930
Suor Alfonsa Clerici
(1860-1930) era già insegnante quando entrò tra le Suore del Preziosissimo
Sangue di Monza. Il suo campo di apostolato fu l’insegnamento e l’educazione
dei giovani. Fu anche segretaria e consigliera generale del suo Istituto.
Etimologia: Alfonsa
= valorosa e nobile, dal gotico
La nascita e l’infanzia
Alfonsa Clerici nacque il
14 febbraio 1860 a Lainate (Milano), prima dei dieci figli di Angelo Clerici e
Maria Romanò. La piccola Alfonsa fu battezzata nella chiesa S. Vittore
Martire di Lainate il giorno dopo la nascita, il 15 febbraio 1860, dal parroco
don Francesco Spreafico. Era la primogenita di una coppia di «umili, ma
onestissimi e religiosi contadini, che guadagnavano il pane quoti¬diano con la
fatica e il frutto del loro lavoro»; erano anche molto religiosi e
la chiamata di Dio in casa Clerici si manifestò anche in altri tre suoi
fratelli che divennero religiosi: due barnabiti, Prospero e Ildefonso, e la
sorella Bonaventura, che diventerà una Suora del Preziosissimo Sangue. All'età
di otto anni, il 6 ottobre 1868, nella chiesa prepositurale di S. Stefano, in
Nerviano, ricevette la Cresima da Sua Eccellenza mons. Luigi Nazari di
Calabiana, arcivescovo di Milano; non si conosce, invece, la data della prima
Comunione, ma tenuto conto della prassi allora vigen¬te, si può ipotizzare che
l'abbia ricevuta tra il 1870 e il 1872.
In questo periodo della
sua fanciullezza è da notare la "fuga" da ca¬sa, in una sera
d'estate, verso il vicino Santuario di Rho, a quattro chilometri da Lainate.
Alla contadina che, stupita di vederla per strada a quell'ora del giorno, così
piccola e così sola, le chiese dove era diretta, Alfonsa ri¬spose: "Al
Santuario, a dire le preghiere".
La prima istruzione la
ricevette sicuramente già a casa, dal momen¬to che il padre Angelo Clerici
nelle sere d'inverno, insegnava ai contadini e ai figli gli elementi di lingua
e di aritmetica. Quindi frequentò la scuola elementare, in Lainate. Ultimata la
for¬mazione elementare, "considerata la sua spiccata inclinazione allo
stu¬dio", a quindici anni (nel 1875), su interessamento di una zia
materna, signora Giuseppina Romano, "fu iscritta al Collegio delle Suore
del Preziosissimo San¬gue, a Monza, per conseguire il diploma di
Maestra".
Suor Alfonsa rimase in
Collegio fino al 1878; tra il 1878 e il 1879, consegui il diploma di Maestra di
grado superiore. Dal 1880 al 1883, inse¬gnò nella Classe prima maschile della
Scuola Comunale di Lainate. Durante gli anni di Collegio, la giovane Alfonsa
ebbe modo di chia¬rire a se stessa e alla famiglia la propria vocazione alla
vita religiosa. Pri¬ma di decidere di andare in convento, parlò anzitutto con
la zia Giuseppina, la stessa che l'aveva voluta a Monza a studiare. Suor
Alfonsa, quindi, non entrò in convento subito dopo gli studi e durante
l'insegnamento a Lainate, per quattro anni, cercò di aiutare la famiglia anche
economicamente.
Religiosa preziosina
Il 15 agosto 1883,
nonostante le costasse molto lasciare la famiglia, si recò a Monza, lasciando
definitivamente Lainate ed entrò tra le suore del Preziosissimo Sangue.
Nell'agosto 1884 vestì l'abito religioso, iniziando il noviziato. Alla
professione fu ammessa sottolineando la sua "semplicità, attività e
obbedienza". Mons. Gaetano Annoni dopo l'esame canonico trovò la novizia
"ferma e risoluta nella vocazione Il 7 settembre 1886 quando conta 26 anni
e mezzo, emise i voti temporanei. A suo fratello Prospero, che in quel medesimo
anno fece la pro¬fessione religiosa tra i Barnabiti, scrisse: “Diamoci la mano
dunque per salire al Calvario, ed io che ho l'onore di por¬tare il nome di
Suora del Preziosissimo Sangue, io sarò contenta ove più vi sarà di sacrificio,
sarò contenta di spargere il sangue della volontà, dell'amor proprio”.
Qualche settimana prima
an¬che la sorella Bonaventura, era entrata nella Congregazione delle Suore del
Preziosissimo Sangue. Dopo la professione si dedicò all'attività di insegnante
nel Collegio di Monza: dal 1887-1889 la vediamo come insegnante, diventando il
18 ottobre 1898 Vice-Direttrice del medesimo e il 22 novembre dello stesso
anno, Diret¬trice. Il suo compito era seguire le educande nello studio,
accompagnarle nelle uscite, preparare le feste, rappresentare l'Istituto nelle
circo¬stanze ufficiali. Nel 1906 l'Istituto attraversò un grave periodo di
crisi a causa di alcune imprudenze nella gestione economica. Suor Alfonsa
mediante le sue doti di saggezza e prudenza, svolse un “ruolo determinante per
la soluzione della crisi che sfociò in una vera e pro¬pria rifondazione
dell'Istituto”, lo riteneva infatti, come ella stessa scrisse al Card.
Ferrari, che si trattava di "una Comunità da riordinare, da riformare, ma
non da disperdere”.
A Vercelli
Dal 20 novembre 1911 suor
Alfonsa fu a Vercelli, ove rimase per diciannove anni, fino alla fine del¬la
sua vita. Il “Ritiro della Provvidenza” di Vercelli era stato fondato intorno
al 1840 da Salvatore e Paolo Montagnini, sacerdoti vercellesi che alla non
comune spiritualità e cultura unirono una significativa sensibilità ai problemi
sociali della loro città. Lo scopo dell'Istituto era l'educazione delle
giova¬ni, con assoluta preferenza per quelle povere e con precarie situa¬zioni
familiari. In quali¬tà di direttrice, fu incaricata della guida dell'Istituto
della Provvidenza. Le Suore del Preziosissimo Sangue era¬no state chiamate dal
Consiglio di Amministrazione per ridare vitalità a una realtà
scolastico-assistenziale in difficoltà, a condizione però "di con¬servare
e mantenere tutto il personale già operante nell'Istituto”.
La richiesta delle suore
per il «Ritiro» di Vercelli era stata accettata subito, perché l'opera era in
sintonia con le finalità educative della Congregazione, nonostante
l'intui¬zione della «difficile posizione» nella quale le suore si sarebbero
trovate. Questa sobria annotazione nelle Cronache della Congregazione trovò
una conferma di gran lunga superiore alle previsioni; le difficoltà erano
anzitutto di carattere amministrativo e il problema più delicato era tuttavia
il riordinamento interno dell'Istituto: le suore erano state chiamate a
Vercelli dall'Arcivescovo, Mons. Teodoro Valfrè di Bonzo, per succedere nella
dire¬zione dell'Istituto ad alcune Maestre laiche che, avendo speso in quel
servizio tutte le energie giovanili, non erano più in grado di sostenerne da
sole la gestione.
A Vercelli, tutta la vita
spirituale della Serva di Dio si raccoglie a poco a poco intorno all'obbedienza
che la introduce più intimamente nel mistero di Cristo, dalla sua umiliazione
nell'Incarnazio¬ne, alla sua condivisione con gli uomini, alla sua immolazione
per la gloria del Padre e la salvezza del mondo. Gli anni di Vercelli, che sono
poi quelli conclusivi della sua vicenda terre¬na, sono dominati da una sapiente
ed esigente pedagogia divi¬na, alla quale Suor Alfonsa si abbandona con umile
docilità, la¬sciando spazi sempre più ampi all'azione dello Spirito Santo. “La
grazia che vi domando oggi, o Santissima Trinità, - pregava Suor Alfonsa la
sera della sua prima giornata a Vercelli - è di es¬sere strumento di Dio nella
direzione dell'Istituto, in maniera che le mie parole, le opere, il contegno, i
rimproveri, i castighi, le correzioni, siano di edificazione e di sprone per
condurre le ani¬me al vostro amore”.
Pur nelle situazioni più
difficili, suor Alfonsa non perse mai di vi¬sta che la dimensione più
importante era l'educazione delle giovani ospiti dell'Istituto. Anche per
questo non fece mai rivendicazioni perso¬nali, lasciò correre, accettò
umiliazioni, contrasti, critiche, accu¬se e cercò di mirare sempre all'essenziale,
al fine per il quale era stata chiamata a Vercelli. Di lei e degli anni
trascorsi al “Ritiro” tutte le sue ex alunne conservano un ricor¬do affettuoso
e commosso: “Per le sue figliole era una vera mamma; se sbagliavano, aveva una
dolcezza nel riprenderle che non ebbe mai superiora alcuna; se veni¬vano
castigate, private della merenda o di altro, essa intercedeva presso le Maestre
per ottenere loro il perdono, scusando la vivaci¬tà del carattere se il castigo
era dovuto a parole o ad atti sgarbati, attribuendo a malessere la svogliatezza
rimproverata nel lavoro. Ciascuna aveva la sicurezza di essere la privilegiata
della Madre, per i molti riguardi che usava.., scoprendo poi che anche le altre
allieve si ritenevano, ciascuna per la sua parte, delle privilegiate. Quello
che edificava maggiormente era la sua grande bontà verso tutte, anche con
quelle che le davano dei dispiaceri”.
Suor Alfonsa viveva una
preghiera molto intensa e profonda, e, proprio da questa fedeltà traeva la
grazia di un quotidiano dimenticarsi e morire in un servizio non solo poco
gratificante, ma anche carico di difficoltà e di problemi non facilmente
risolvibili.
Nella notte tra il 12 e
il 13 gennaio 1930 fu colpita da emorragia ce¬rebrale: la trovarono nella sua
stanza, nel suo abituale atteggiamento di preghiera, con la fronte per terra.
Morì il giorno dopo il 14 gennaio 1930 verso le ore 13,30.
Il 16 gennaio
vennero celebrati i solenni funerali nel Duomo di Vercelli, seguiti da una
celebrazione nel trigesimo della morte, il 16 febbraio 1930, con la
partecipazione delle autorità religiose e civili di Vercelli.
La causa di
canonizzzazione
La causa della Serva di
Dio è stata avviata soltanto 35 anni dopo la sua morte per due motivi: la
situazione economica del suo Istituto e il desiderio di dare la precedenza alla
causa della Fondatrice, Madre Maria Matilde Bucchi. Le pratiche preliminari
all'avvio del processo canonico furono avviate nel 1965. L' 8 maggio di questo
stesso anno, i resti mortali della Serva di Dio furono traslati dal cimitero di
Vercelli alla cappella del "Ritiro della Provvidenza", a Vercelli.
Il 1° luglio 1965,
l'arcivescovo di Vercelli, Mons. Francesco Imberti, promulgò l'editto per la
requisizione degli scritti e ne fissò la consegna al 31 dicembre dello stesso
anno.
Il 13 gennaio 1966
l'arcivescovo di Vercelli, Mons. Francesco Imberti, apre a Vercelli il Processo
Diocesano che viene chiuso il 30 giugno 1969 dall'arcivescovo di Vercelli,
mons. Albino Mensa. Nello stesso anno, la Causa passa alla Congregazione per le
Cause dei Santi che il 04 gennaio 1974 dà il Nulla osta per il proseguimento
della Causa.
Il 12 novembre 1988 la
Congregazione della Congregazione delle Cause dei Santi dà voto
favorevole sulla validità del Processo Informativo diocesano.
Il 22 giugno 2004 lettura
pubblica davanti al Servo di Dio Giovanni Paolo II, nella Sala Clementina in
Vaticano, del Decreto super virtutibus.
Dopo il parere favorevole
della Consulta medica, del Congresso peculiare dei Teologi sulla guarigione
miracolosa del Sig. Frosini attribuita all'intercessione della Serva di Dio
suor Alfonsa Clerici, il 13 aprile 2010 la Congregazione dei Cardinale e dei Vescovi
riconosce il miracolo attribuito alla Serva di Dio suor Alfonsa Clerici ed il
01 luglio 2010 Il Santo Padre Benedetto XVI promulga il Decreto riguardante il
miracolo della Venerabile serva di Dio suor Alfonsa Clerici.
ll 23 ottobre 2011, Suor
Alfonsa è stata beatificata nel Duomo di Vercelli. La cerimonia è stata
presieduta da Sua Em. za il Cardinal Angelo Amato, Prefetto della Congregazione
per le Cause dei Santi, in rappresentanza di Papa Benedetto XVI.
I resti mortali della
Beata Alfonsa, dopo la Ricognizione canonica, il 2 ottobre 2011 sono stati
posti sull’altare della Cappella del Crocifisso nel Duomo di Vercelli, alla
venerazione pubblica dei fedeli.
Preghiera per chiedere
l'intercessione della Beata Alfonsa Clerici
Dio di misericordia
e Padre di ogni
consolazione,
che nella vita della
Beata Alfonsa Clerici
hai rivelato il tuo amore
per i giovani,
per i poveri e per i
tribolati,
trasforma anche noi in
docili strumenti
della tua bontà
per tutti coloro che
incontriamo.
Esaudisci quanti si
affidano
alla sua intercessione
e concedi a noi di
rinnovarci
nella fede, nella
speranza e nell’amore
così che possiamo più
efficacemente
testimoniare nella vita
il mistero pasquale di
Cristo, tuo Figlio,
che con Te vive e regna
nei secoli dei secoli.
Amen.
Chi ricevesse grazie per
intercessione della Beata Alfonsa è pregato di informare la
- Postulazione Generale
delle Suore del Preziosissimo Sangue
- Via Lecco 6
- 20900 Monza (MB).
Autore: Congregazione
Suore del Preziosissimo Sangue
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/91105
Alfonsa Clerici
(1860-1930)
Beatificazione:
- 23 ottobre 2010
- Papa Benedetto
XVI
Ricorrenza:
- 14 gennaio
Suora professa della
Congregazione delle Suore del Preziosissimo Sangue di Monza
“Sarò contenta ove più vi
sarà di sacrificio, sarò contenta di spargere il sangue della volontà,
dell'amor proprio”
Alfonsa Clerici nacque il
14 febbraio 1860 a Lainate nella provincia di Milano, in seno ad una famiglia
di profonda fede cristiana.
Nell’anno 1875, Alfonsa
s’iscrisse presso il Collegio delle Suore del Preziosissimo Sangue di Monza per
poter conseguire il diploma magistrale ed è proprio durante questi anni di
formazione scolastica che ella maturò nel suo cuore la scelta di consacrarsi
totalmente al Signore.
Il 15 agosto 1883,
infatti, conclusi gli studi, la giovane venne accolta presso il noviziato della
suddetta Congregazione, fondata pochi anni prima dalla Serva di Dio Maria
Matilde Bucchi. Dopo aver emesso la Professione Religiosa, a Suor Alfonsa venne
affidato, prima, il compito di maestra, poi quello di Direttrice del Collegio.
In seguito, per le sue eccellenti qualità, ella ricoprì anche il ruolo di
Consigliera capitolare con lo scopo di risolvere la crisi economica che, nei
primi anni del 1900, angosciò l’intero Istituto.
Su invito
dell’Arcivescovo di Vercelli, la Congregazione accettò e si assunse l’incarico
riguardante la gestione dell’Istituto Diocesano della Provvidenza, il quale
svolgeva il compito di accogliere e curare l’educazione delle bambine e delle
ragazze appartenenti alle classi più disagiate della città. In seno a questa
nuova realtà così complessa, Alfonsa ricoprì il ruolo di Direttrice per circa
diciannove anni: per questo suo caritatevole servizio, venne da molti amata e
stimata per la sua pietà e per il suo zelo apostolico.
La Serva di Dio morì
improvvisamente il 14 gennaio 1930 a Vercelli.
La sua morte suscitò una
grande commozione e lasciò un vuoto significativo nell’Istituto e nei cuori di
molti. Il 22 giugno 2004 il Servo di Dio Papa Giovanni Paolo II ne promulgò il
decreto sulla eroicità delle virtù.
SOURCE : https://www.causesanti.va/it/santi-e-beati/alfonsa-clerici.html
IL MIRACOLO
la Postulazione della
Causa ha presentato al giudizio di questa Congregazione delle Cause dei Santi
un presunto miracolo avvenuto durante la notte del 22 febbraio 2003 nella città
di Pisa. Il fatto in questione riguarda la perfetta guarigione del Signor Nedo
Frosini da un grave arresto cardiaco e respiratorio, associato o preceduto da
un edema polmonare, che gli aveva provocato una forte carenza di ossigeno al
cervello.
Successivamente vi furono
ancora altri episodi di fibrillazione ventricolare con arresto cardiaco.
Nonostante una prolungata rianimazione presso adeguate strutture ospedaliere,
il paziente era pervenuto ad uno stato di incoscienza e di coma irreversibile.
Vista la gravità della
situazione, la moglie dell’infermo, la signora Carla Demi, angosciata per le
condizioni del marito, stringendo nelle mani un’immaginetta della Venerabile
Alfonsa pregò ed invocò, durante la notte del 22 febbraio, la Serva di Dio
chiedendo per sua intercessione, il dono della guarigione per Nedo. La mattina
seguente i medici, che erano estremamente preoccupati per gli esiti a livello
neurologico conseguenti alle prolungate manovre rianimatorie, trovarono il
paziente lucido, in grado di parlare e addirittura di scherzare, senza
manifestare alcun segno di aver riportato danni neurologici o psichici: il
signor Nedo Frosini aveva riacquistato la salute in un contesto e con delle
circostanze straordinarie.
Tale presunto miracolo è
stato oggetto dell’Inchiesta Diocesana svolta presso l’Arcidiocesi di Milano
dal 16 febbraio al 24 giugno 2004. La validità giuridica di quest’ultima è
stata riconosciuta dalla Congregazione delle Cause dei Santi con il decreto del
5 novembre 2004. I diversi atti raccolti durante l’Inchiesta sono stati posti
alla valutazione e all’esame della Consulta Medica del Dicastero il 27 novembre
2008.
I componenti della
Consulta hanno dichiarato la gravità della prognosi del sanato, sottolineando
che le modalità del risveglio del signor Nedo Frosini dallo stato di
incoscienza, con assenza di reliquati neurologici, sono da ritenersi
inspiegabili secondo le attuali conoscenze mediche. I medici hanno infine
concluso e affermato che il recupero della funzione neurologica del sanato è
stato molto rapido, completo, durato e inspiegabile dal punto di vista medico e
scientifico.
Il 22 aprile 2009 si è
svolto il Congresso Peculiare dei Consultori Teologi, il cui esito positivo è
stato in seguito confermato dai Padri Cardinali e Vescovi nella Sessione
Ordinaria del 13 aprile 2010 dopo la relazione dell’Ecc.mo Ponente, Sua
Eccellenza
SOURCE : https://www.causesanti.va/it/santi-e-beati/alfonsa-clerici.html
BENEDETTO XVI
ANGELUS
Cari fratelli e sorelle!
Con la solenne Celebrazione
di questa mattina nella Basilica Vaticana si è conclusa l’Assemblea
Speciale per il Medio Oriente del Sinodo dei Vescovi, sul tema: “La Chiesa
Cattolica in Medio Oriente: comunione e testimonianza”. In questa domenica,
inoltre, ricorre la Giornata Missionaria Mondiale, che ha per motto: “La
costruzione della comunione ecclesiale è la chiave della missione”. Colpisce la
somiglianza tra i temi di questi due eventi ecclesiali. Entrambi invitano a
guardare alla Chiesa come mistero di comunione che, per sua natura, è destinato
a tutto l’uomo e a tutti gli uomini. Il Servo di Dio Papa Paolo VI così
affermava: “La Chiesa esiste per evangelizzare, vale a dire per predicare ed
insegnare, essere il canale del dono della grazia, riconciliare i peccatori con
Dio, perpetuare il sacrificio del Cristo nella Santa Messa che è il memoriale
della sua morte e della sua gloriosa risurrezione” (Esort. Ap. Evangelii
nuntiandi, 8 dicembre 1975, 14: AAS 68, [1976], p. 13). Per
questo la prossima Assemblea Generale Ordinaria del Sinodo dei Vescovi, nel
2012, sarà dedicata al tema “La nuova evangelizzazione per la trasmissione
della fede cristiana”. In ogni tempo e in ogni luogo – anche oggi nel Medio
Oriente – la Chiesa è presente e opera per accogliere ogni uomo e offrirgli in
Cristo la pienezza della vita. Come scriveva il teologo italo-tedesco Romano
Guardini: “La realtà «Chiesa» implica tutta la pienezza dell’essere cristiano
che si sviluppa nella storia, in quanto essa abbraccia la pienezza dell’umano
che è in rapporto con Dio” (Formazione liturgica, Brescia 2008, 106-107).
Cari amici, nella
Liturgia odierna si legge la testimonianza di san Paolo riguardo al premio
finale che il Signore consegnerà “a tutti coloro che hanno atteso con amore la
sua manifestazione” (2 Tm 4,8). Non si tratta di un’attesa inoperosa
o solitaria, al contrario! L’Apostolo ha vissuto in comunione con Cristo
risorto per “portare a compimento l’annuncio del Vangelo” così che “tutte le
genti lo ascoltassero” (2 Tm 4,17). Il compito missionario non è
rivoluzionare il mondo, ma trasfigurarlo, attingendo la forza da Gesù Cristo
che “ci convoca alla mensa della sua Parola e dell’Eucaristia, per gustare il
dono della sua Presenza, formarci alla sua scuola e vivere sempre più
consapevolmente uniti a Lui, Maestro e Signore” (Messaggio
per la 84.ma Giornata Missionaria Mondiale). Anche i cristiani di oggi –
come è scritto nella lettera A Diogneto – “mostrano come sia
meravigliosa e … straordinaria la loro vita associata. Trascorrono l’esistenza
sulla terra, ma sono cittadini del cielo. Obbediscono alle leggi stabilite, ma
con il loro modo di vivere oltrepassano le leggi … Sono condannati a morte, e
da essa traggono vita. Pur facendo il bene, sono … perseguitati e crescono di
numero ogni giorno». (V, 4.9.12.16; VI, 9 [SC 33], Paris 1951, 62-66).
Alla Vergine Maria, che
da Gesù Crocifisso ha ricevuto la nuova missione di essere Madre di tutti
coloro che vogliono credere in Lui e seguirlo, affidiamo le comunità cristiane
del Medio Oriente e tutti i missionari del Vangelo.
Dopo l'Angelus
Sono lieto di ricordare
che ieri, a Vercelli, è stata proclamata beata Suor Alfonsa Clerici, della
Congregazione del Preziosissimo Sangue di Monza, nata a Lainate, presso Milano,
nel 1860, e morta a Vercelli nel 1930. Rendiamo grazie a Dio per questa nostra
Sorella, che Egli ha guidato alla perfetta carità.
Je suis heureux de saluer
les pèlerins francophones, en particulier ceux du Diocèse de Sion. En célébrant
aujourd’hui la Journée mondiale des missions, nous nous rappelons que tous les
baptisés sont appelés à annoncer la Bonne Nouvelle du salut, en renforçant les
liens de communion entre eux et en effectuant une constante conversion
personnelle et communautaire. En ce jour s’achève aussi l’Assemblée Spéciale
pour le Moyen-Orient du Synode des Évêques. Je vous invite à prier pour tous
les peuples de cette région, demandant au Seigneur de susciter partout dans le
monde des hommes et des femmes de paix et de réconciliation. Bon dimanche à
tous!
To the English-speaking
pilgrims gathered for this Angelus prayer I offer warm greetings. We
give thanks to God for the blessings received during the Special Assembly for
the Middle East of the Synod of Bishops, which concluded this morning in St.
Peter’s Basilica. We also celebrate today World Mission Sunday, which reminds
us that ecclesial communion is the key to our task of proclaiming the Gospel.
Entrusting this mission to the intercession of our Mother Mary, I invoke upon
you and your families God’s abundant blessings.
Sehr herzlich grüße ich
die Pilger und Besucher deutscher Sprache, besonders die Teilnehmer und Gäste
des Festivals Pro Musica e Arte Sacra. Heute feiern wir den
Weltmissionssonntag. Die Kirche hat von Christus den Auftrag erhalten, allen
Völkern in aller Welt das Evangelium zu verkünden und Botschafter seines Heils
und seines Friedens zu sein. Wir alle haben teil an dieser Sendung und tragen
Verantwortung dafür, daß Gottes Wort die Menschen erreicht. So wollen wir die
Mission der Kirche durch unser Gebet und unseren persönlichen Einsatz
unterstützen. Dabei helfe euch der Heilige Geist.
Saludo con afecto a los
peregrinos de lengua española presentes en esta oración mariana, en particular
a los fieles peruanos y de otros países latinoamericanos de la Hermandad del
Señor de los Milagros, de Roma. En este domingo, la Iglesia celebra la Jornada
Mundial de las Misiones. Invito a todos a orar al Señor por aquellos que han
entregado generosamente su vida a la evangelización de los pueblos, a menudo
entre grandes dificultades. Confío a todos los misioneros del mundo a la
protección maternal de la Santísima Virgen María, que en el transcurso de este
mes invocamos especialmente con el título de Nuestra Señora del Rosario, para
que no les falte nunca nuestro apoyo espiritual y material en el desempeño de
su hermosa tarea apostólica. Feliz domingo.
Pozdrawiam serdecznie
wszystkich Polaków. Dzisiaj Kościół przeżywa dwa ważne wydarzenia: zakończenie
Synodu Biskupów dla Bliskiego Wschodu i Światowy Dzień Misyjny. W Polsce pod
hasłem: „Misje – świadectwo miłości i komunii” będziecie obchodzić także
Tydzień Misyjny. Polecając waszej modlitwie te wydarzenia życzę, by przyczyniły
się one do wzrostu jedności Kościoła i dzielenia się ewangelicznym świadectwem
wiary. Z serca wam błogosławię i życzę dobrej niedzieli.
[Saluto cordialmente
tutti i Polacchi. La Chiesa vive oggi due eventi importanti: la chiusura del
Sinodo dei Vescovi per il Medio Oriente e la Giornata Missionaria Mondiale. In
Polonia celebrerete anche la Settimana Missionaria il cui motto è: “Le missioni
– testimonianza d’amore e di comunione”. Raccomandandoli alla vostra preghiera
auguro che questi eventi contribuiscano alla crescita della comunione nella
Chiesa e alla condivisione della testimonianza evangelica della fede. Vi
benedico di cuore e vi auguro una buona domenica.]
Saluto infine con affetto
i pellegrini di lingua italiana, in particolare quelli che hanno preso parte
all’iniziativa “Le Vie di Roma nel Lazio”, per valorizzare gli antichi
itinerari di pellegrinaggio verso Roma. Saluto le Suore di Carità
dell’Assunzione con un gruppo della Fraternità di Comunione e Liberazione, e i
partecipanti all’Ecorally San Marino-Città del Vaticano. A tutti auguro
una buona domenica e una buona settimana. Grazie.
© Copyright 2010 -
Libreria Editrice Vaticana
Copyright © Dicastero per
la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana
SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/it/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html
Den salige Alfonsa
Clerici (1860-1930)
Minnedag:
14. januar
Den salige Alfonsa
Clerici ble født den 14. februar 1860 i Lainate i provinsen Milano i regionen
Lombardia i Nord-Italia. Hun var den eldste av elleve barn av Angelo Clerici og
Maria Romanò, som opprinnelig kom fra Rovellasca i Como, men som flyttet til Lainate
etter bryllupet. Det var en fattig, men from familie. To av hennes brødre ble
munker, mens en søster ble søster i samme kongregasjon som henne. Alfonsa ble
døpt i hjemsognet den 15. januar, og hun fikk sin første utdannelse i hjemmet
og i sognet. Hun ble fermet (konfirmert) og mottok sin første kommunion i 1868
i Nerviano av biskop Calabiana av Milano. Mariahelligdommen i Rho ble besøkt av
hele familien og spilte en avgjørende rolle i Alfonsas religiøse utvikling.
I 1875 begynte Alfonsa
etter forslag fra tante Giuseppina på en utdannelse til lærerinne ved kollegiet
til søstrene av det dyrebare blod i Monza i Lombardia. Deretter underviste hun
på grunnskolen i Lainate fra 1880 til 1883. Mens hun tok lærerutdanning og
senere arbeidet som lærer, hadde Alfonsa kjent et kall til det religiøse liv,
men hennes arbeid bidro til å forsørge familien, og hun ble værende hos den.
Men til slutt svarte hun på kallet, og den 15. august 1883 trådte hun inn hos
«Søstrene av det dyrebare blod i Monza » (Suore del Preziosissimo Sangue
di Monza – SPS), kalt Preziosine. Kongregasjonen var grunnlagt i 1852
av Maria Matilde Bucchi (1812-82).
Etter avleggelsen av sine
løfter underviste hun på kollegiet i Monza, og hun ble direktør for kollegiet
den 22. november 1898. Denne stillingen hadde hun til 1907. Hun var også
sekretær, rådssøster og generalassistent for sitt institutt. I november 1911
ble hun kalt til å lede kollegiet Ritiro della provvidenza i
Vercelli, som var en institusjon for foreldreløse jenter. I Vercelli ble hun værende
i atten år.
Hun døde klokken 13.30
den 14. januar 1930 i Vercelli av en hjerneblødning som rammet henne natten
mellom 12. og 13. januar, mens hun knelte i bønn foran sengen med hodet mot
gulvet – hennes vanlige bønnestilling. Det var nøyaktig en måned før hennes
syttiårsdag. Hun ble gravlagt i Vercelli, men i 1965 ble hennes jordiske
levninger flyttet til kapellet i søstrenes kollegium i Monza.
I 1966 ble hennes
saligkåringsprosess åpnet i Vercelli. Den 22. juni 2004 ble hennes «heroiske
dyder» anerkjent av pave Johannes Paul II (1978-2005) og hun fikk
tittelen Venerabilis («Ærverdig»). Den 1. juli 2010 undertegnet
pave Benedikt
XVI dekretet fra Helligkåringskongregasjonen som godkjente et mirakel
på hennes forbønn. Den som ble helbredet, var en Nedo Frosini, som hadde en
dødelig hjertesykdom, men som ble frisk etter at hans hustru Carla Demi Frosini
hadde bedt om Alfonsa Clericis forbønn.
Hun ble saligkåret lørdag
den 23. oktober 2010 i på plassen foran katedralen Sant'Eusebio i Vercelli i
Italia. Som vanlig under dette pontifikatet ble seremonien ikke ledet av paven
selv, men av hans personlige utsending, i dette tilfelle erkebiskop Angelo Amato SDB,
prefekt for Helligkåringskongregasjonen i Vatikanet. Hennes minnedag er
dødsdagen 14. januar.
Kilder: Patron
Saints SQPN, santiebeati.it - Kompilasjon og oversettelse: p. Per Einar Odden -
Sist oppdatert: 2010-11-02 19:14
SOURCE : https://www.katolsk.no/biografier/historisk/aclerici
BENEDIKT XVI.
ANGELUS
Liebe Brüder und
Schwestern!
Mit dem feierlichen
Gottesdienst am heutigen Vormittag in der Vatikanischen Basilika ist
die Sonderversammlung der Bischofssynode für den Nahen Osten zu Ende gegangen,
die unter dem Thema stand: »Die Kirche im Nahen Osten: Gemeinschaft und
Zeugnis.« An diesem Sonntag wird auch der Weltmissionssonntag begangen, dessen
Motto lautet: »Der Aufbau der kirchlichen Gemeinschaft ist der Schlüssel der
Mission.«
Die Ähnlichkeit zwischen
den Themen dieser beiden kirchlichen Ereignisse fällt sofort ins Auge. Beide
laden ein, auf die Kirche als Geheimnis der Gemeinschaft zu blicken, das in
seinem Wesen für einen jeden und für alle Menschen bestimmt ist. Der Diener
Gottes Papst Paul
VI. sagte: »Die Kirche ist da, um zu evangelisieren, das heißt um zu
predigen und zu unterweisen, Mittlerin des Geschenkes der Gnade zu sein, die
Sünder mit Gott zu versöhnen, das Opfer Christi in der heiligen Messe immer
gegenwärtig zu setzen, welche die Gedächtnisfeier seines Todes und seiner
glorreichen Auferstehung ist« (Apostolisches Schreiben Evangelii
nuntiandi, 8. Dezember 1975, 14). Aus diesem Grund wird die nächste
Ordentliche Vollversammlung der Bischofssynode im Jahr 2012 dem Thema: »Die
Neuevangelisierung zur Weitergabe des christlichen Glaubens« gewidmet sein. Zu
allen Zeiten und an allen Orten – auch heute im Nahen Osten – ist die Kirche
gegenwärtig und wirkt, um alle Menschen aufzunehmen und ihnen in Christus die
Fülle des Lebens anzubieten. Der deutsch-italienische Theologe Romano Guardini
schrieb in diesem Zusammenhang: »Die Wirklichkeit ›Kirche‹ schließt die ganze
Fülle des christlichen Seins ein, das sich in der Geschichte entfaltet,
insofern sie die Fülle des Menschlichen umfaßt, das in Beziehung zu Gott steht«
(vgl. Liturgische Bildung [1923]).
Liebe Freunde, in der
heutigen Liturgie ist das Zeugnis des hl. Paulus im Hinblick auf die Belohnung
zu lesen, die der Herr »allen [geben wird], die sehnsüchtig auf sein Erscheinen
warten« (2 Tim 4,8). Es handelt sich dabei um kein untätiges oder einsames
Warten, im Gegenteil! Der Apostel hat in Gemeinschaft mit dem auferstandenen
Christus gelebt, damit »die Verkündigung vollendet wird«, so daß »alle Heiden
sie hören« (2 Tim 4,17). Die missionarische Aufgabe besteht nicht darin,
die Welt zu revolutionieren, sondern sie zu verklären und dabei die Kraft aus
Jesus Christus zu schöpfen, der »uns an den Tisch seines Wortes und der
Eucharistie lädt. Auf diese Weise läßt er uns in den Genuß des Geschenks seiner
Gegenwart kommen und lehrt uns, immer bewußter vereint mit ihm, unserem Herrn
und Meister, zu leben« (Botschaft
zum 84. Weltmissionssonntag).
Wie im Brief an
Diognet geschrieben steht, legen auch die Christen von heute »einen
wunderbaren und anerkanntermaßen überraschenden Wandel in ihrem bürgerlichen
Leben an den Tag. Sie weilen auf Erden, aber ihr Wandel ist im Himmel. Sie
gehorchen den bestehenden Gesetzen und überbieten in ihrem Lebenswandel die
Gesetze … Man tötet sie und bringt sie dadurch zum Leben. Sie tun Gutes und
werden wie Übeltäter gestraft … und nehmen, wenn sie mit dem Tode bestraft
werden, von Tag zu Tag mehr zu« (V, 4.9.12.16; VI, 9).
Der Jungfrau Maria, die
vom gekreuzigten Jesus die neue Sendung empfangen hat, Mutter all derer zu
sein, die an ihn glauben und ihm nachfolgen wollen, empfehlen wir die
christliche Gemeinschaft im Nahen Osten und alle Missionare des Evangeliums.
Grußworte nach dem
Angelus
...auf italienisch: Voll
Freude erinnere ich daran, daß gestern in Vercelli Schwester Alfonsa Clerici
aus der Kongregation vom kostbarsten Blut von Monza seliggesprochen worden ist.
Sie wurde 1860 in Lainate bei Mailand geboren und starb 1930 in Vercelli. Wir
wollen Gott für diese unsere Schwester danken, die er zur vollkommenen Liebe
geführt hat.
... auf
französisch: Mit Freude grüße ich die französischsprachigen Pilger,
besonders jene aus der Diözese Sion. Am heutigen Weltmissionssonntag wollen wir
uns daran erinnern, daß alle Getauften dazu aufgerufen sind, die Frohe
Botschaft des Heils zu verkündigen und dabei die Bande der Gemeinschaft unter
allen zu stärken sowie eine beständige persönliche und gemeinschaftliche Umkehr
anzustreben. Heute ist auch die Sonderversammlung der Bischofssynode für den
Nahen Osten zu Ende gegangen. Ich lade euch ein, für alle Völker jener Region
zu beten und den Herrn zu bitten, uns in der ganzen Welt Männer und Frauen des
Friedens und der Versöhnung zu schenken. Einen gesegneten Sonntag euch allen!
… auf englisch: Von
Herzen heiße ich die englischsprachigen Pilger willkommen, die zu diesem
Angelusgebet versammelt sind. Wir danken Gott für die Gnadengaben, die wir im
Laufe der Sonderversammlung der Bischofssynode für den Nahen Osten empfangen
haben, die heute vormittag in der Petersbasilika ihren Abschluß gefunden hat.
Heute begehen wir auch den Weltmissionssonntag, der uns in Erinnerung ruft, daß
die kirchliche Gemeinschaft der Schlüssel für unseren Auftrag ist, das
Evangelium zu verkündigen. Während ich diesen Sendungsauftrag der Fürsprache
unserer Mutter Maria anvertraue, rufe ich auf euch und eure Familien Gottes
reichen Segen herab.
… auf deutsch: Sehr
herzlich grüße ich die Pilger und Besucher deutscher Sprache, besonders die
Teilnehmer und Gäste des Festivals Pro Musica e Arte Sacra. Heute feiern
wir den Weltmissionssonntag. Die Kirche hat von Christus den Auftrag erhalten,
allen Völkern in aller Welt das Evangelium zu verkünden und Botschafter seines
Heils und seines Friedens zu sein. Wir alle haben teil an dieser Sendung und
tragen Verantwortung dafür, daß Gottes Wort die Menschen erreicht. So wollen
wir die Mission der Kirche durch unser Gebet und unseren persönlichen Einsatz
unterstützen. Dabei helfe euch der Heilige Geist.
… auf spanisch: Ich
grüße herzlich die zu diesem Mariengebet anwesenden Pilger aus dem spanischen
Sprachraum, besonders die Gläubigen aus Peru und anderen lateinamerikanischen
Ländern der Bruderschaft »Señor de los Milagros« aus Rom. Am heutigen Sonntag
begeht die Kirche den Weltmissionssonntag. Ich lade alle ein, zum Herrn für all
jene zu beten, die unter oft sehr schwierigen Umständen großherzig ihr Leben
für die Evangelisierung der Völker eingesetzt haben. Ich empfehle alle
Missionare der Welt dem mütterlichen Schutz der allerseligsten Jungfrau Maria,
die wir während dieses Monats besonders unter dem Titel »Unsere Liebe Frau vom
Rosenkranz « anrufen, auf daß es niemals an unserer geistlichen und materiellen
Unterstützung bei der Erfüllung ihrer schönen apostolischen Arbeit fehle. Einen
gesegneten Sonntag.
… auf polnisch: Herzlich
grüße ich nun alle Polen. Die Kirche erlebt heute zwei wichtige Ereignisse: den
Abschluß der Bischofssynode für den Nahen Osten und den Weltmissionssonntag. In
Polen werdet ihr auch die »Woche der Mission« begehen, deren Motto lautet: »Die
Missionen – Zeugnis der Liebe und der Gemeinschaft.« Während ich diese
Ereignisse eurem Gebet empfehle, spreche ich die Hoffnung aus, daß sie zur
Vertiefung der Gemeinschaft in der Kirche und zum gemeinsamen und am Evangelium
ausgerichteten Zeugnis des Glaubens beitragen. Ich segne euch von Herzen und
wünsche einen schönen Sonntag.
... auf
italienisch: Schließlich grüße ich voll Zuneigung die Pilger italienischer
Sprache, besonders all jene, die an der Initiative »Die Straßen Roms in Latium«
teilgenommen haben, um die antiken Pilgerwege nach Rom zu fördern. Ich grüße
die Schwestern der Nächstenliebe von Mariä Himmelfahrt zusammen mit einer
Gruppe der Fraternität »Comunione e Liberazione« sowie die Teilnehmer an der
Öko-Rallye San Marino – Vatikanstadt. Allen wünsche ich einen gesegneten
Sonntag und eine gute Woche. Danke.
© Copyright 2010 -
Libreria Editrice Vaticana
Copyright © Dicastero per
la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana
SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/de/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html
BENEDICTO XVI
ÁNGELUS
Queridos hermanos y
hermanas:
Con la solemne
celebración de esta mañana en la basílica vaticana se ha concluido
la Asamblea
especial para Oriente Medio del Sínodo de los obispos, sobre el tema: «La
Iglesia católica en Oriente Medio: comunión y testimonio». En este domingo se
celebra, además, la Jornada mundial de las misiones, que tiene por lema: «La
construcción de la comunión eclesial es la clave de la misión». Llama la
atención la similitud entre los temas de estos dos acontecimientos eclesiales.
Ambos invitan a mirar a la Iglesia como misterio de comunión que, por su
naturaleza, está destinado a todo el hombre y a todos los hombres. El siervo de
Dios Papa Pablo vi afirmó: «La Iglesia existe para evangelizar, es decir, para
predicar y enseñar, ser canal del don de la gracia, reconciliar a los pecadores
con Dios, perpetuar el sacrificio de Cristo en la santa misa, memorial de su
muerte y resurrección gloriosa» (Exhort. ap. Evangelii
nuntiandi, 8 de diciembre de 1975, 14: aas 68, [1976], p. 13). Por
esto la próxima Asamblea general ordinaria del Sínodo de los obispos, en 2012,
se dedicará al tema «La nueva evangelización para la transmisión de la fe
cristiana». En todo tiempo y en todo lugar —también hoy en Oriente Medio— la
Iglesia está presente y actúa para acoger a todo hombre y ofrecerle en Cristo
la plenitud de la vida. Como escribía el teólogo italo-alemán Romano Guardini:
«La realidad “Iglesia” implica toda la plenitud del ser cristiano que se
desarrolla en la historia, en cuanto que ella abraza la plenitud de lo humano
que está en relación con Dios» (Formación litúrgica, Brescia 2008, pp.
106-107).
Queridos amigos, en la
liturgia de hoy se lee el testimonio de san Pablo respecto al premio final que
el Señor entregará «a todos aquellos que han esperado con amor su
manifestación» (2 Tm 4, 8). No se trata de una espera ociosa o solitaria.
Al contrario. El Apóstol vivió en comunión con Cristo resucitado para «llevar a
cumplimiento el anuncio del Evangelio» a fin de que «todas las gentes lo escucharan»
(2 Tm 4, 17). La tarea misionera no es revolucionar el mundo, sino
transfigurarlo, tomando la fuerza de Jesucristo que «nos convoca a la mesa de
su Palabra y de la Eucaristía, para gustar el don de su presencia, formarnos en
su escuela y vivir cada vez más conscientemente unidos a él, Maestro y Señor» (Mensaje
para la 84ª Jornada mundial de las misiones: L’Osservatore Romano, edición
en lengua española, 28 de marzo de 2010, p. 3). También los cristianos de hoy
—como está escrito en la carta a Diogneto— «muestran cuán maravillosa y
extraordinaria es su vida asociada. Viven en la tierra pero son ciudadanos del
cielo. Obedecen las leyes establecidas, pero con su manera de vivir sobrepasan
las leyes... Son condenados a muerte, y de ella sacan vida. Aun haciendo el
bien, son... perseguidos y crecen en número cada día» (v, 4.9.12.16; vi, 9 [sc
33], París 1951, pp. 62-66).
A la Virgen María, que de
Jesús Crucificado recibió la nueva misión de ser Madre de todos los que quieren
creer en él y seguirlo, encomendamos a las comunidades cristianas de Oriente
Medio y a todos los misioneros del Evangelio.
Después del Ángelus
(En italiano)
Me complace recordar que
ayer, en Vercelli, fue proclamada beata sor Alfonsa Clerici, de la Congregación
de la Preciosísima Sangre de Monza, que nació en Lainate, cerca de Milán, en
1860, y murió en Vercelli en 1930. Demos gracias a Dios por esta hermana
nuestra, que él guió a la perfecta caridad.
(En lengua española)
Saludo con afecto a los
peregrinos de lengua española presentes en esta oración mariana, en particular
a los fieles peruanos y de otros países latinoamericanos de la Hermandad del
Señor de los Milagros, de Roma. En este domingo, la Iglesia celebra la Jornada
mundial de las misiones. Invito a todos a orar al Señor por aquellos que han
entregado generosamente su vida a la evangelización de los pueblos, a menudo
entre grandes dificultades. Confío a todos los misioneros del mundo a la
protección maternal de la santísima Virgen María, que en el transcurso de este
mes invocamos especialmente con el título de Nuestra Señora del Rosario, para
que no les falte nunca nuestro apoyo espiritual y material en el desempeño de
su hermosa tarea apostólica. ¡Feliz domingo!
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SOURCE : https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/es/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20101024.html