samedi 25 mai 2019

Saint AGUSTÍN CALOCA CORTÉS, prêtre et martyr



Agustín Caloca Cortés

1898-1927

Agustín était né le 5 mai 1898 à Teúl de González Ortega (Zacatecas, Mexique), un des dix enfants de J. Edwiges Caloca et María Plutarca Cortés.

A cinq ans, le petit Agustín eut la variole, dont les conséquences firent que ses bras restèrent comme atrophiés, ce qui ne l’empêcha pas de jouer allègrement avec ses camarades.

Il reçut sa première formation du curé du village lequel, voyant des signes de vocation sacerdotale, le dirigea vers le séminaire de Guadalajara (1912).

Après deux années, il fut obligé de revenir chez lui, car le séminaire était menacé par les troupes révolutionnaires. 

Lorsque le curé de Totatiche ouvrit un séminaire dans sa paroisse, Agustín y fut admis pour terminer ses études de latin et de philosophie. Or, le curé était justement Cristóbal Magallanes.

Après les études de théologie, Agustín fut ordonné prêtre en 1923. A la demande du même Cristóbal Magallanes, Agustín fut nommé vicaire de Totatiche et professeur au séminaire : c’est que, durant ses années de préparation, on avait noté ses qualités excellentes d’humilité, d’obéissance, de piété. On jugeait avec raison qu’il pouvait être un excellent modèle pour les jeunes séminaristes.

Au début de 1927, il fut contraint, avec les douze séminaristes, de se réfugier à Cocoazco. En mai, il dut cependant se rendre à Totatiche pour voir où en était la situation des autres séminaristes. Or, le 21 mai vers dix heures du matin, on apprit que des soldats se trouvaient à l’entrée de Totatiche. Le père Agustín conseilla à tout le monde de se disperser rapidement dans les maisons alentour.

Lui et un autre séminariste cherchèrent à mettre en sûreté des livres ; en cours de route, Agustín remarquait l’inquiétude du séminariste et le rassura.

A un certain moment, Agustín conseilla au séminariste de cacher les livres sous une grosse pierre. Pendant qu’il y était, une troupe de soldats passa, bousculant des Cristeros. Le séminariste était derrière un tronc d’arbre ; quand il sortit de sa cachette, le père Agustín avait disparu.

En réalité, la troupe, guidée par le général Goñi, avait enlevé Agustín et l’avait emmené à Totatiche. Le même jour, on arrêta le curé, Cristóbal Magallanes. Tous deux se retrouvèrent en prison, avec quatre Cristeros.

On proposa à Agustín la liberté, en raison de son jeune âge, mais il ne voulut pas se séparer de son curé.

Les habitants supplièrent le général de libérer ces prêtres qui étaient si pacifiques. Le général promit sur l’honneur de les transférer à Mexico, où leur vie ne serait pas en danger. Les faits furent assez différents.

Le 23 au matin, les deux prêtres furent conduits, via Momáx, à Colotlán, où ils arrivèrent le 25 au matin. Un ordre semblait devoir les faire partir pour Mexico : c’était en réalité pour aller les fusiller.

Devant la mort, le père Agustín dit seulement ces mots de saint Paul : 

C’est pour Dieu que nous vivons, c’est pour Lui que nous mourons (cf. Rm 14:8).

Agustín eut un moment de panique, comme pour éviter la décharge en se détournant ; le chef du peloton vint le «remettre en place» à coups de crosse dans le visage. Le père Magallanes le tranquillisa : Calme-toi, Père, Dieu a besoin de martyrs ; juste un instant, et nous serons au Ciel.

Les deux corps furent ensevelis sur place. Lorsqu’on voulut les transférer, en 1933, on s’aperçut que le cœur du père Caloca était incorrompu, parmi les os du Martyr. Une balle était restée incrustée dans ce cœur, preuve du martyre.

Le père Agustín Caloca a été béatifié en 1992 et canonisé en 2000.

SOURCE : http://www.samuelephrem.eu/article-05-25-116072016.html

Saint Agustin Caloca Cortes

Also known as

Agustin Caloca

Augustine Caloca

Memorial

25 May

21 May as one of the Martyrs of the Mexican Revolution

Profile

Studied at the seminary in Guadalajara, Mexico until it was closed down by anti-clerical government forces. He resumed his studies in the covert Auxiliary Seminary of Our Lady of Guadalajara founded by Saint Cristobal MagallanesOrdained on 5 August 1923. Prefect of the Auxiliary Seminary. Arrested for his continued religious work, and for unfounded suspicion of involvement in the armed Cristeros rebellion. Martyred with Saint Cristobal Magallanes. One of the Martyrs of the Cristera War.

Born

5 May 1898 at Teul, Zecatecas, Mexico

Died

shot on 25 May 1927 at Colotitlan, Jalisco, Mexico

relics at the chapel at Teul, Zecatecas, Mexico

Venerated

7 March 1992 by Pope John Paul II (decree of martyrdom)

Beatified

22 November 1992 by Pope John Paul II

Canonized

21 May 2000 by Pope John Paul II during the Jubilee of Mexico

Additional Information

books

Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints

other sites in english

Catholic Online

Hagiography Circle

fonti in italiano

Cathopedia

Martirologio Romano2005 edition

Santi e Beati

MLA Citation

“Saint Agustin Caloca Cortes“. CatholicSaints.Info. 17 May 2022. Web. 21 May 2025. <https://catholicsaints.info/saint-agustin-caloca-cortes/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-agustin-caloca-cortes/

St. Agustin Caloca Cortes

Feastday: May 21

Birth: May 5, 1898

Death: May 25, 1927

Beatified: Pope John Paul II

Canonized: May 21, 2000 by Pope John Paul II

Agustín Caloca Cortés was one of the martyrs of Mexico during the Cristero War.

SOURCE : https://www.catholic.org/saints/saint.php?saint_id=7019

Agustin Caloca Cortes

May 25, Saint

Source: Catholicsaints.info

Also known as

Agustin Caloca

Augustine Caloca

Memorial : 21 May as one of the Martyrs of the Mexican Revolution

Profile : Studied at the seminary in Guadalajara, Mexico until it was closed down by anti-clerical government forces. He resumed his studies in the covert Auxiliary Seminary of Our Lady of Guadalajara founded by Saint Cristobal Magallanes. Ordained on 5 August 1923. Prefect of the Auxiliary Seminary. Arrested for his continued religious work, and for unfounded suspicion of involvement in the armed Cristeros rebellion. Martyred with Saint Cristobal Magallanes. One of the Martyrs of the Cristera War.

Born : 5 May 1898 at Teul, Zecatecas, Mexico

Died : shot on 25 May 1927 at Colotitlan, Jalisco, Mexico

Relics at the chapel at Teul, Zecatecas, Mexico

Venerated : 7 March 1992 by Pope John Paul II (decree of martyrdom)

Beatified : 22 November 1992 by Pope John Paul II


Canonized : 21 May 2000 by Pope John Paul II during the Jubilee of Mexico

SOURCE : https://catholic.net/op/articles/2494/cat/1205/agustin-caloca-cortes.html

CALOCA CORTÉS, AGUSTÍN, ST.

Martyr, priest; b. May 5, 1898, La Presa Ranch, San Juan Bautista del Teúl, Zacatecas, Archdiocese of Guadalajara, Mexico; d. May 25, 1927, Colotitlán, Jalisco, Diocese of Zacatecas. After revolutionaries seized the seminary in Guadalajara, he retreated to his home, then resumed his studies in a minor seminary directed by Fr. magallanes. In 1919, he returned to the one at Guadalajara and was ordained (Aug. 15, 1923). He served as priest of the parish of Totatiche, Jalisco, as well as prefect of its minor seminary. He was also responsible for the surrounding ranches, founded catechetical centers, and organized a weekly social. He was arrested while helping his seminarians to escape and imprisoned with Magallanes at Totatiche. Because of his youth, he was offered his liberty, but he refused unless Magallanes was also released. General Goñi had him transferred to Colotitlán, where the prisoners were lined up against the wall for execution. His body was transferred to the parish church of Totalice (1933). In April 1952, his remains were translated to the parish of San Juan Bautista de Teúl. Fr. Caloca was both beatified (Nov. 22, 1992) and canonized (May 21, 2000) with Cristobal magallanes [see mexico, mar tyrs of, ss.] by Pope John Paul II.

Feast: May 25 (Mexico).

Bibliography: J. Cardoso, Los mártires mexicanos (Mexico City 1953). J. Díaz Estrella, El movimiento cristero: sociedad y conflicto en los Altos de Jalisco (Mexico City 1979). V. García Juárez, Los cristeros (Fresnillo, Zac. 1990).

[K. I. Rabenstein]

SOURCE : https://www.encyclopedia.com/religion/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/caloca-cortes-agustin-st

Sant' Agostino Caloca Cortes Sacerdote e martire

25 maggio

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San Juan Bautista de Teúl, Messico, 5 maggio 1898 - Catatlán, Messico, 25 maggio 1927

Nacque a San Juan Bautista de Teúl, Zacatecas (Arcidiocesi di Guadalajara), il 5 maggio 1898. Priore (diacono, economo) nella parrocchia di Totatiche e Prefetto del Seminario Ausiliare sito nello stesso paese, fu un esempio di purezza sacerdotale. Un militare, commosso per la sua giovane età, gli offrì la libertà; lui l'avrebbe accettata solo se fosse stata concessa anche al parroco Don Cristobal Magallanes. Di fronte al plotone di esecuzione, l'atteggiamento e le parole di quest'ultimo lo colmarono di forza, tanto che esclamò: "Grazie a Dio viviamo e per Lui moriamo". Il 25 maggio 1927 vennero fucilati insieme a Catatlán. Papa Giovanni Paolo II il 21 maggio 2000 li ha canonizzati insieme ad altre ventitré vittime della medesima persecuzione, uccise per aver difeso la loro fede in Cristo Re.

Emblema: Palma

Martirologio Romano: Nella cittadina di Catatlán nel territorio di Guadalajara in Messico, santi Cristoforo Magallanes e Agostino Caloca, sacerdoti e martiri, che, durante la persecuzione messicana, confidando strenuamente in Cristo Re, ottennero la corona del martirio. 

A 29 anni si può ancora aver paura di morire. Soprattutto se si ha, per natura, un carattere troppo sensibile, come Padre Agostino Cortes Caloca. In quei momenti è davvero una fortuna avere al proprio fianco un maestro, anzi un padre, che ti fa coraggio e ti sostiene. Agostino è nato in Messico il 5 maggio 1898 e nel suo fisico porta le conseguenze del vaiolo che lo ha colpito all’età di 5 anni: le sue braccia non si sono sviluppate come il resto del corpo e malgrado ciò è cresciuto vivace, allegro e molto socievole, facendo sport e giocando insieme ai coetanei, per supplire con l’esercizio fisico a quanto la malattia gli ha menomato.  In compenso ha un’intelligenza viva e una gran voglia di studiare, facendo intravedere anche i segni inequivocabili della vocazione al sacerdozio. Ed è così che a 14 anni si trova in seminario, ma due anni dopo deve tornare a casa perché questo ha chiuso i battenti a causa della persecuzione anticlericale che avanza. Non perde, però, la vocazione per strada: se ne accorge il parroco di Totatiche, Christopher  Magallanes, che si prende cura di lui e del suo cammino vocazionale. Così, appena la persecuzione sembra rallentare, lo fa rientrare in seminario per proseguire gli studi interrotti. E quando il 5 agosto 1923 viene ordinato sacerdote, chiede ed ottiene che Padre Agostino gli venga assegnato come collaboratore parrocchiale. Il parroco è come conquistato da quel giovane, profondamente buono, autenticamente puro, umile fino all’eccesso, che si dedica con entusiasmo alla pastorale parrocchiale e che sa conquistare i giovani. Generoso e disponibile, Padre Agostino si divide tra la parrocchia e il seminario, dove insegna e dove fa anche da assistente ai giovani seminaristi. Pallamano, nuoto e allegria, insieme al suo entusiasmo di giovane prete, sono la sua ricetta per agganciare i giovani e per proporre ad alcuni di entrare in seminario: anche se i tempi  non sono dei migliori, la situazione precipita e di lì a poco inizierà la “caccia al prete”. Infatti,nel 1927, tocca a lui chiudere il seminario e rimandare a casa gli studenti, per evitare che vengano massacrati: solo dopo aver avuto la certezza che tutti sono al sicuro, anche lui si dà alla fuga, portando con sé il più giovane: che è del suo paese, ma che è anche il più impaurito. Entrambi portano sottobraccio alcuni dei loro amati libri dai quali non si vogliono separare e cammin facendo padre Agostino si fa premura di confortare il giovane e terrorizzato Raffaele, al quale ricorda che anche Gesù nel Getsemani ha avuto paura. Raffaele, che è stato uno dei principali testimoni al processo di beatificazione, ricorda che ad un tratto padre Agostino gli dice: “non succederà nulla, a te!”, con un tono così fermo e rassicurante da far sparire come d’incanto la paura. Il senso di quella frase lo scoprirà solo in seguito, perché da quel momento gli avvenimenti incalzano,si sentono delle voci, si sentono degli spari. Padre Agostino dice a Raffaele di cercare un posto in cui nascondere i libri e, quando il ragazzo ritorna, di lui non c’è più traccia: si è trattato solo di un piccolo espediente per distaccarlo da sé ed impedirgli di fare la sua stessa fine, perché, proprio in quella manciata di minuti, i soldati hanno messo le mani su Agostino, arrestandolo e trascinandolo nel carcere di Totatiche. Dove, appena un paio d’ore dopo, ha la sorpresa di trovarsi in compagnia del suo parroco Magallanes, che la soldataglia è andata prelevare in canonica. Poiché è evidente a cosa vanno incontro i due preti, la gente del villaggio si raduna davanti al carcere chiedendo la loro liberazione e il generale Francisco Goñi sembra cedere per evitare una sommossa popolare. A padre Agostino, solo perché così giovane e forse perché ancora poco coinvolto, viene offerta la libertà, che lui rifiuta se anche il suo parroco non viene graziato: così poco dopo si trovano entrambi davanti al plotone d’esecuzione. Soltanto quando si vede le armi puntate contro, padre Agostino ha un attimo di paura e di sbandamento, ma prontamente il suo parroco lo tranquillizza: sarà solo “una questione di minuti, dopo ci sarà il paradiso”. Sono le ultime parole, stroncate da una raffica di colpi e subito i corpi dei due martiri sono sepolti in gran fretta: è il 25 maggio 1927. Quando, alcuni anni dopo, i loro resti vengono recuperati, nella fossa di padre Agostino invasa dall’acqua e in cui galleggiano le sue povere ossa, trovano, sorprendentemente incorrotto, il suo cuore che conserva ancora le schegge di quella pallottola che ha stroncato la sua giovane vita.  Padre Agostino Cortes Caloca,insieme al suo parroco e ad altri 23 martiri, è stato canonizzato nel 2000.

Autore: Gianpiero Pettiti

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/90116

AGUSTÍN CALOCA CORTÉS

Naque a San Juan Bautista de Teúl, Zacatecas (Arcidiocesi di Guadalajara), il 5 maggio 1898. Cooperatore nella parrocchia di Totatiche e prefetto del Seminario Ausiliare sito nello stesso paese, fu un esempio di purezza sacerdotale. Dopo aver aiutato i seminaristi a fuggire, fu fatto prigioniero e condotto nella stessa prigione nella quale si trovava il suo parroco, il signor curato Magallanes. Un militare, commosso per la sua giovane età, gli offrì la libertà. Lui l'avrebbe accettata solo se veniva concessa anche al parroco. Di fronte al plotone di esecuzione, l'atteggiamento e le parole del suo parroco lo colmarono di forza, tanto che esclamò: «Grazie a Dio viviamo e per Lui moriamo». Il 25 maggio 1927 venne fucilato a Colotlán, Jalisco (Diocesi de Zacatecas, Zac.). Di fronte al carnefice ebbe la forza di confortare il suo ministro e compagno di martirio, che lo consolò, dicendogli: «Stai tranquillo, figliolo, solo un momento e poi il cielo». Dopo, rivolgendosi alla truppa, esclamò:«Io muoio innocente e chiedo a Dio che il mio sangue serva per l'unione dei miei fratelli messicani».

SOURCE : http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20000521_caloca-cortes_it.html

AGUSTÍN CALOCA CORTÉS

Nació en San Juan Bautista del Teúl, Zac. (Arquidiócesis de Guadalajara), el 5 de mayo de 1898. Ministro en la parroquia de Totatiche y Prefecto del Seminario Auxiliar establecido en la misma población, para quienes fue un modelo de pureza sacerdotal. Fue hecho prisionero después de ayudar a escapar a los seminaristas y conducido a la misma prisión en donde se encontraba su párroco el Sr. Cura Magallanes. Un militar, en atención a su juventud, le ofreció la libertad, pero no aceptó si no la concedían también al señor Cura. Frente al pelotón encargado de su ejecución, la actitud y las palabras de su párroco lo llenaron de fortaleza y pudo exclamar: «Por Dios vivimos y por Él morimos». Sufrió el martirio el 25 de mayo de 1927 en Colotlán, Jalisco (Diócesis de Zacatecas, Zac.). Frente al verdugo tuvo la fuerza de confortar a su ministro y compañero de martirio, que lo consoló, diciéndole: «Reanímate, Dios quiere mártires; un momento, Padre, y estaremos en el cielo». Después volviéndose a las tropas exclamó: «Soy y muero inocente y pido a Dios que mi sangre sirva para la paz de mexicanos desunidos».

SOURCE : http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20000521_caloca-cortes_sp.html

The Inspiring Life of Agustín Caloca Cortés : https://catholicsaints.day/agustin-caloca-cortes/

~ Martyrs of the Religious Persecution during the Mexican Revolution [I] ~ († 1915-37) http://newsaints.faithweb.com/martyrs/Mexico1.htm#Caloca_Cortes

Santi Martiri Messicani (Cristoforo Magallanes Jara e 24 compagni) : https://it.cathopedia.org/wiki/Santi_Martiri_Messicani_(Cristoforo_Magallanes_Jara_e_24_compagni)

Saint Augustín Coloca Cortés | Stories of Saints | Episode 126 : https://www.youtube.com/watch?v=fyspsyqb_ug