jeudi 15 juin 2017

Saint LUIGI MARIA PALAZZOLO, prêtre et fondateur de la Congrégation des Fratelli della Sacra Famiglia et de l'Istituto delle Suore delle Poverelle

Socha sv. Luigiho Maria Palazzolo v Bergamu

Luigi Maria Palazzolo

Prêtre, Fondateur, Bienheureux

1827-1886

Luigi Maria Palazzolo naquit le 10 décembre 1827 à Bergame, le dernier de huit frères, dont il devint seul survivant : la mortalité enfantine était alors très grande, car les vaccinations et les antibiotiques devaient encore arriver.

En 1837 il resta orphelin du père et reçut de sa pieuse mère, une éducation tournée vers la charité envers les pauvres et les malades.

Il eut le bonheur d'avoir d’excellents directeurs spirituels, qui le dirigèrent vers la vie consacrée.

Il fut ordonné prêtre par l'évêque de Bergame le 23 juin 1850 et fut vite engagé dans l'apostolat dans la paroisse de S. Alexandre in Colonne, dans l'oratoire situé dans la localité « la Foppa » et ensuite dans l'église de S. Bernardin dont il devint recteur en 1855.

Pendant les années qui suivirent, il fonda la Congrégation du “Sœurs des Pauvres” avec la collaboration de Teresa Gabrieli, femme experte et de grande foi, qui en devint la première supérieure. Quelques années plus tard, le 4 octobre 1872 il fonda les Frères de la Sainte Famille pour l'assistance des orphelins, et les établit à Torre Boldone (BG) mais cet Institut prit fin en 1928.

Entre temps les “Les Sœurs des Pauvres” allaient en s'étendant, ouvrant diverses maisons dans les provinces de Bergame, Vicenza, Brescia ; les Règles de l'Institut furent approuvées par l'évêque de Bergame Mgr. Guindani et en 1912 elles le furent définitivement par le Saint-Siège.

Le travail apostolique du père Luigi Palazzolo fut énorme.

Grand prédicateur populaire il prêcha des missions et des exercices spirituels ; organisateur du temps libre de ses fidèles, il mit en scène des comédies et autres pièces de théâtre dans le but d’attirer les jeunes. Dans son oratoire sont entrés quarante jeunes désirant poursuivre des études pour devenir prêtres.

Les Sœurs des Pauvres, quant à elles, selon une statistique de 1970 sont arrivées à gérer les 133 maisons ; le nombre des sœurs est arrivé à 1400, avec des centaines de novices et postulantes

La congrégation est présente en Italie, au Luxembourg, en Suisse, en France, en Afrique et leur œuvre se déroule dans tous les branches de l'éducation, de l'assistance, du réconfort envers les besogneux.

Le Père Luigi Maria Palazzolo mourut le 15 juin 1886 et fut enterré dans le cimetière de S. George à Bergame. Le 4 janvier 1904, son corps, fut ramené dans l'église principale de la Maison mère de l'Institut.

Le 31 janvier 1913 fut introduite la cause de béatification, qui eut son épilogue dans la cérémonie solennelle de béatification célébrée à Rome par le bienheureux Pape Jean XXIII le 19 Mars 1963.

SOURCE : http://alexandrina.balasar.free.fr/luigi_maria_palazzolo.htm

Bienheureux Louis-Marie Palazzolo

Prêtre - fondateur (+ 1886)

L'Évangile de la charité - Appelés à être dans le monde signe de la miséricorde de Dieu et de sa prédilection pour les petits et les pauvres - Louis Marie Palazzolo: un apôtre sur les routes de la charité (en italien)

Louis M. Palazzolo naît à Bergame le 10 décembre 1827, dans une famille riche en biens et en culture; dès son enfance il exprime une sensibilité particulière envers les plus pauvres et les défavorisés, sensibilité qui augmente au fil des années et qui porte sa mère à exclamer anxieusement: ce fils à moi va mourir sans-le-sou.

Devenu prêtre le 23 juin 1850, l’Abbé Louis a devant lui de nombreuses possibilités d’exercer son ministère: il peut approfondir ses études, devenir un bon orateur ou un musicien expérimenté. Au contraire, il choisit de dépenser à pleines mains son enthousiasme de jeune prêtre dans le patronage de Rue de la Foppa, une impasse périphérique et très pauvre de la ville; ici, dès que sa mère meurt, il transfère définitivement même sa maison, décidé à “faire famille avec les pauvres”.

À partir de cet instant il s’agit pour lui d’une ouverture continuelle à des situations toujours nouvelles de besoin, que son Évêque et la vie elle-même lui présentent. 

Palazzolo est un homme d’intelligence éveillée et créative, de volonté tenace, avec une bonne capacité de risquer, avec un grand équilibre. Dans son amour passionné à Dieu et aux pauvres il sait trouver des modalités d’intervention capables de résoudre des situations d’une façon innovatrice et respectueuse de la dignité de la personne. Aux nombreux collaborateurs qu’il intéresse peu à peu il demande avec insistance ce que, par ailleurs, lui aussi il vit: humilité de cœur et simplicité de vie, parce que humilité et simplicité font sentir le pauvre “une personne accueillie et aimée”. Le programme opérationnel qui s’annonce peu à peu, se condense dans une de ses phrases fortes et efficaces: “Je cherche et recueille le rebut de tous les autres, car là où d’autres pourvoient ils le font beaucoup mieux de ce que je pourrais faire, mais là où d’autres n’arrivent pas, j’essaye de faire quelque chose, comme je peux”.

L’expérience spirituelle de Palazzolo se distingue par une obéissance totale à l’appel de Christ à être “comme Lui, le Christ Crucifié, Nu sur la croix”; pour cela l’Abbé Louis, grandi dans l’aisance, choisit de vivre dans la pauvreté absolue, en sérénité d’esprit et dans l’abandon confiant à la Providence: ceux-ci sont les points principaux d’une existence qui se décline sur la seule loi de l’amour et du don “sans retours”. 

Dans son apostolat, vue l’augmentation des demandes d’aide, l’abbé Louis cherche à multiplier cœur et bras. Ainsi il commence une congrégation religieuse masculine, les Frères de la Sainte Famille, pour les orphelins rassemblés dans ses maisons de Torre Boldone et Lallio; malgré la bonne volonté et la sainteté de quelques-uns de ses membres, parmi lesquels le premier “frère” Battista Leidi, cette expérience ne verra pas les développements espérés.

Une rencontre vraiment heureuse et guidée par la Providence, est, au contraire, celle avec Thérèse Gabrieli, une jeune institutrice que son directeur spirituel lui a recommandée en tant que femme de grande vertu, sagesse et sensibilité envers les pauvres. À elle Palazzolo propose de partager son aventure de charité. Thérèse accepte, dans la foi et dans le mystère, une telle proposition et pendant la nuit du 22 mai 1869, elle prononce sa consécration à Dieu, commençant ainsi la famille des Sœurs des Pauvres.

Pendant des jours de retraite à Rome, à la fin de juin 1869, l’abbé Louis contemple avec une profonde émotion “Jésus qui meurt nu sur la croix par amour des êtres humains”. Cela renforce sa décision de répondre à un tel amour L’imitant dans le choix d’une pauvreté radicale et d’un dévouement sans réserves aux plus pauvres et abandonnés par tout le monde, dans lesquels il voit, sert et aime Jésus Christ lui-même. L’abbé Louis Palazzolo meurt le 15 juin 1886 et est proclamé Bienheureux le 19 mars 1963 par son compatriote et estimateur, Pape Jean XXIII - homélie en italien.

Istituto delle Suore delle Poverelle - Istituto Palazzolo - site en italien

À Bergame en Lombardie, l’an 1886, le bienheureux Louis-Marie Palazzolo, prêtre, fondateur des Congrégations des Frères de la Sainte-Famille et des Sœurs “Poverelle”.

Martyrologe romain

Qu’il est bon

notre cher Jésus d’amour,

Jésus de miséricorde,

Jésus compatissant,

Jésus vraiment amoureux des êtres humains”.

Abbé Louis Palazzolo

SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/11825/Bienheureux-Louis-Marie-Palazzolo.html

Bienheureux Louis Marie PALAZZOLO

Nom: PALAZZOLO

Prénom: Louis Marie (Luigi - Maria)

Pays: Italie

Naissance: 1827  (Bergame)

Mort: 15.06.1886  à Bergame

Etat: Prêtre - Fondateur

Note: Prêtre en 1880. D'abord directeur d'un "oratoire" pour enfants abandonnés, puis fondateur(1864) de l'Œuvre Ste Dorothée pour filles légères et ensuite (1869) de l'Oratoire Ste-Dorothée pour fillettes normales

Béatification: 19.03.1963  à Rome  par Jean XXIII

Canonisation:

Fête: 15 juin

SOURCE : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0138.htm

Saint Luigi Maria Palazzolo

Also known as

Palazzolino (childhood nickname)

Memorial

15 June (Roman Martyrology)

22 May (Diocese of BergamoItaly; Poverelle Sisters, based on the date of founding of the Sisters)

Profile

Youngest of eight boys born to Octavius and Theresa Antoine Palazzolo; his father died when Luigi was about 10 years old. Ordained a priest in the diocese of BergamoItaly on 23 June 1850. As a parish priest, he would occasionally encounter children who were abandoned or orphaned and living on their own; he would take them in and care for them until he could get them placed somewhere caring and safe. He founded the Little House of Divine Providence to care for neglected children, and the Work of Saint Dorothy home to care for abandoned girls. Founded the Brothers of the Sacred Family, a congregation that died out in 1928. With Venerable Maria Teresa Gabrieli, he founded the Sisters of the Poor (Poverelle Sisters; Palazzolo Institute) on 22 May 1869 to care for and educate neglected girls; the Sisters received papal approval from Pope Pius X on 25 May 1912, and continue their good work today in Brazil, Burkina Faso, CongoItaly, Ivory Coast, Kenya, Malawi, Peru and Switzerland. Founded an orphanage in TraonaItaly on 4 October 1872. Due to respiratory problemsFather Luigi had to sleep sitting up during the last year or so of his life.

Born

10 December 1827 in Bergamo, Kingdom of Lombardy-Venetia (in modern Italy)

Died

in the early hours of 15 June 1886 in BergamoItaly of natural causes

he died murmuring the name “Jesus Christ” over and over

buried in the cemetery of San Giorgio in Bergamo

re-interred at the mother-house of the Poverelle Sisters, Via San Bernardino 56, Bergamo, on 4 January 1904

Venerated

7 July 1962 by Pope John XXIII (decree of heroic virtues)

Beatified

19 March 1963 by Pope John XXIII

beatification recognition celebrated in the Basilica of Saint Peter in RomeItaly

one of the beatification miracles involved the healing of a young Sardinian woman with peritonitis and tuberculosis on the afternoon of 21 July 1956 when she had a vision of Father Luigi asking her to get out of bed and go to church to thank God for her cure

another beatification miracle involved the 1959 healing of a 65 year old woman from a severe head injury that left her comatose; the cure followed the family praying for the intercession of Father Luigi

Canonized

15 May 2022 by Pope Francis

the canonization miracle involved the healing of Sister Gianmarisa Perani, who had joined the Poverelle Sisters in 1950; in November 2015 was rushed into emergency surgery, experienced complications, lapsed into a coma, and two months later was declared to be terminal; the Sisters prayed for her, she soon after recovered, and is alive and well today

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Sisters of the Poor

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“Saint Luigi Maria Palazzolo“. CatholicSaints.Info. 10 November 2021. Web. 15 June 2022. <https://catholicsaints.info/saint-luigi-maria-palazzolo/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-luigi-maria-palazzolo/

San Luigi Maria Palazzolo


Beato Luigi Maria Palazzolo Fondatore

15 giugno

Sacerdote (1827-1886), fondatore dei Fratelli della Sacra Famiglia e delle Piccole sorelle dei Poveri, le «suore Poverelle». Di queste ultime molto si è parlato mentre in Africa infuriava l’epidemia di Ebola: accanto al letto dei contagiosissimi malati – alla fine vittime esse stesse del virus – c’erano loro, le figlie del Palazzolo. Il carisma del fondatore è infatti legato all’assistenza a malati, bisognosi e anziani. Palazzolo è stato beatificato nel 1963. (Avvenire)

Etimologia: Luigi = derivato da Clodoveo

Martirologio Romano: A Bergamo, beato Luigi Maria Palazzolo, sacerdote, che fondò le Congregazioni delle Suore Poverelle e dei Fratelli della Santa Famiglia.

Luigi Maria Palazzolo nacque il 10 dicembre 1827 a Bergamo, ultimo di otto fratelli, di cui divenne l’unico sopravvissuto; la mortalità infantile era molto diffusa, le vaccinazioni e gli antibiotici dovevano ancora arrivare. 

Nel 1837 rimase orfano del padre, ricevé dalla pia madre, un’educazione improntata verso la carità per i poveri e gli ammalati, ebbe la fortuna di avere ottimi direttori spirituali, che lo indirizzarono alla vita consacrata. 

Fu ordinato sacerdote dal vescovo di Bergamo il 23 giugno 1850 e fu subito impegnato nell’apostolato nella parrocchia di S. Alessandro in Colonna, nell’oratorio sito in località “la Foppa” e poi nella chiesa di S. Bernardino di cui nel 1855 divenne rettore. 

Negli anni che seguirono, fondò la Congregazione delle ‘Suore delle Poverelle’ con la collaborazione di Teresa Gabrieli, donna esperta e di grande fede, che ne divenne la prima superiora. Qualche anno dopo, il 4 ottobre 1872 fondò i Fratelli della S. Famiglia per l’assistenza degli orfani, stabilendoli a Torre Boldone (BG) ma questo Istituto si estinse nel 1928. 

Intanto le ‘Suore delle Poverelle’ andavano espandendosi, aprendo varie case nelle province di Bergamo, Vicenza, Brescia; le Regole dell’Istituto furono approvate dal vescovo di Bergamo mons. Guindani e nel 1912 definitivamente dalla Santa Sede. 

Il lavoro apostolico di padre Luigi Palazzolo fu enorme, grande predicatore popolare nelle missioni e negli esercizi spirituali; organizzatore del tempo libero dei suoi fedeli, inventò canovacci di commedie, burattinaio di prim’ordine nel manovrare la maschera di Gioppino; istituì le scuole serali; dal suo oratorio ben quaranta giovani si avviarono al sacerdozio. 

Le sue Suore delle Poverelle secondo una statistica del 1970 sono arrivate a gestire 133 case, il numero delle suore è arrivato a 1400, con centinaia di novizie e postulanti, sono presenti in Italia, Lussemburgo, Svizzera, Francia, Africa e la loro opera si svolge in tutti i rami dell’educazione, assistenza, conforto verso i bisognosi. 

Padre Luigi Maria Palazzolo morì il 15 giugno 1886 e sepolto nel cimitero di S. Giorgio a Bergamo; il 4 gennaio 1904, la salma, fu traslata nella chiesa principale della Casa madre dell’Istituto. 

Il 31 gennaio 1913 fu introdotta la causa di beatificazione, che ebbe il suo epilogo nella solenne cerimonia di proclamazione celebrata dal papa Giovanni XXIII il 19 marzo 1963.

Nella diocesi di Bergamo la sua memoria si celebra il 22 maggio.

Autore: Antonio Borrelli

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/54400

San Luigi Maria Palazzolo Sacerdote e fondatore

15 giugno

Bergamo, 10 dicembre 1827 – 15 giugno 1886

Luigi Maria Palazzolo, Sacerdote della Diocesi di Bergamo, si dedicò all’educazione dei ragazzi abbandonati sin dai primi tempi del suo Sacerdozio. Col tempo comprese di doversi occupare anche delle ragazze, avviando l’Opera di Santa Dorotea nel popoloso e povero quartiere bergamasco di San Bernardino. Persuaso di dover affiancare alle ragazze delle educatrici esperte, il 22 maggio 1869, con Teresa Gabrieli, iniziò l’Istituto delle “Suore delle Poverelle”, impegnate a condividere in tutto la vita dei poveri. Fondò anche un Istituto maschile, i Fratelli della Sacra Famiglia, che però si estinsero nel 1928. Don Luigi morì a Bergamo, nella Casa Madre del suo Istituto, il 15 giugno 1886. È stato beatificato il 19 marzo 1963 nella basilica di San Pietro a Roma da San Giovanni XXIII e canonizzato il 15 maggio 2022 da papa Francesco. Il Martirologio Romano lo ricorda il 15 giugno, giorno della sua nascita al Cielo, ma per la Diocesi di Bergamo e le Suore delle Poverelle la sua memoria liturgica è stata stabilita per il 22 maggio, giorno anniversario della fondazione dell’Istituto. I suoi resti mortali sono venerati a Bergamo, nella chiesa della Casa Madre in via San Bernardino 56.

Etimologia: Luigi = derivato da Clodoveo

Martirologio Romano: A Bergamo, beato Luigi Maria Palazzolo, sacerdote, che fondò le Congregazioni delle Suore Poverelle e dei Fratelli della Santa Famiglia.

Da una famiglia ricca di beni e di fede

Luigi Maria Palazzolo nacque il 10 dicembre 1827 a Bergamo, ultimo degli otto figli, quasi tutti morti prematuramente, di Ottavio Palazzolo e Teresa Antoine, entrambi di famiglie benestanti. Fu battezzato il giorno dopo la nascita, nella vicina chiesa di Sant’Alessandro in Colonna.

L’8 agosto 1837 Luigi rimase orfano di padre. Ricevette dalla madre, molto religiosa al pari del marito, un’educazione improntata alla carità verso i poveri e gli ammalati. Un giorno, tornando da scuola, Luigi svenne e fu portato in un caffè perché si riprendesse, ma non aveva i soldi per il pagamento: li aveva dati tutti a un mendicante.

All’età di 13 anni, il 15 aprile 1841, ricevette il Sacramento della Cresima, quando era Vescovo di Bergamo Mons. Carlo Gritti Morlacchi. Ebbe la fortuna di avere un ottimo Direttore spirituale nella persona di don Pietro Sironi, il quale, insieme a don Alessandro Valsecchi, lo indirizzò al Sacerdozio.

In cammino verso il Sacerdozio

Nel novembre 1839 Luigi iniziò il ginnasio e, cinque anni dopo, cominciò gli studi di filosofia come studente esterno del Seminario di Bergamo: vi si applicò con impegno, pur definendosi «un ignorante» perché non molto attratto dai ragionamenti teorici. Nel 1846 passò in Teologia, indossando la veste talare e ricevendo la tonsura.

Fu ordinato Sacerdote il 23 giugno 1850 dal Vescovo di Bergamo, Monsignor Carlo Gritti Morlacchi. Nella Diocesi in quel tempo i Sacerdoti erano molti e don Luigi poté facilmente scegliere il contesto in cui esplicare il suo servizio sacerdotale: tra i più poveri, nel rione più povero della sua Parrocchia di nascita, Sant’Alessandro in Colonna.

Tra i ragazzi dell’Oratorio di via della Foppa

Attento e sensibile com’era ai bisogni degli altri, ancor più se ragazzi, non esitò ad orientarsi verso la zona di via della Foppa, un quartiere povero e disagiato di Bergamo. Nel 1855 fu nominato Rettore della vicina chiesa di San Bernardino, diventando un abile organizzatore del tempo libero dei suoi ragazzi: inventò canovacci di commedie coi burattini e si dimostrò particolarmente abile nel manovrare e dar voce al “Gioppino”, personaggio simpatico e tipica maschera bergamasca.

Istituì anche delle scuole serali per giovani e adulti, sul modello di quelle già esistenti in città: l’opera educativa e la formazione religiosa da lui offerte furono tanto efficaci che una quarantina di giovani dell’Oratorio scelsero di diventare Sacerdoti.

Oltre ogni difficoltà

Nel 1859, alla scadenza del contratto d’affitto di una delle due case dell’Oratorio con annesso cortile, don Luigi fu costretto a chiudere l’Oratorio. Egli non si arrese comunque e per la domenica successiva diede appuntamento. a chi lo frequentava. in un boschetto poco fuori città, nella zona del “Polaresco”. Purtroppo con il passare del tempo il gruppo di ragazzi si assottigliò e don Luigi cadde in una forte crisi: perse l’appetito e, con esso, il suo abituale buonumore.

 Sua madre, intuendo l’origine di tanta difficoltà, riuscì a farsi raccontare il perché di quella profonda tristezza: senza i ragazzi, don Luigi sembrava aver perso la sua ragione di vita. Monsignor Alessandro Valsecchi, Direttore spirituale del giovane Sacerdote, consigliò alla mamma di dargli la possibilità di aprire un altro Oratorio.

La signora Teresa diede infatti fondo a quanto rimaneva del patrimonio di famiglia, permettendo a don Luigi l’acquisto di due case nel vicolo dei Genovesi, non molto lontano da via della Foppa. Purtroppo il 10 settembre 1862 la stessa mamma di don Luigi morì.

L’Oratorio dedicato a San Filippo Neri e l’apostolato tra le ragazze

Poco tempo dopo don Luigi, anche per condividere maggiormente la vita dei poveri, scelse di abbandonare la casa dove fino allora aveva abitato e inaugurò la sede del nuovo Oratorio, ponendolo sotto la protezione di San Filippo Neri, suo modello di educatore.

Consigliato in seguito da Monsignor Valsecchi, vinse la propria riservatezza nei confronti delle donne, estendendo il suo apostolato anche alle ragazze, iniziando ad ascoltare le loro confessioni nella chiesa di San Bernardino. Gradualmente prese coscienza che, come aveva contribuito all’educazione dei ragazzi, così doveva occuparsi anche delle bambine e ragazze abbandonate.

Fu favorito in ciò quando gli venne proposto di iniziare nel quartiere la Pia Opera di Santa Dorotea, in quegli anni avviata in gran parte del Nord d’Italia dai fratelli don Marco e don Luca Passi (quest’ultimo beato dal 2013). Il giorno dell’Epifania del 1864 l’iniziativa era già funzionante e fu completata dalla fondazione di un Oratorio femminile nella vecchia casa di via della Foppa.

Una presenza continua anche tra le ragazze?

L’Oratorio femminile era aperto solo la domenica, mentre quello maschile tutti i giorni della settimana. Don Luigi era preoccupato per le ragazze, che nei giorni feriali non avevano alcun sostegno educativo e correvano anche rischi di tipo morale.

Soffriva tra l’altro per una forma grave di malattia ad una gamba, e proprio in tale sosta forzata per le necessarie cure, iniziò a pensare che fosse necessaria una comunità femminile, che si prendesse cura in modo costante delle ragazze.

Teresa Gabrieli, la persona adatta allo scopo

Don Luigi, per il quale le cure conseguirono un buon risultato, individuò in Teresa Gabrieli la persona che cercava. Maestra diplomata, pur di umili origini, era stata eletta da poco Vice-superiora della Pia Opera di Santa Dorotea; stava inoltre meditando di entrare in una Congregazione religiosa. Don Luigi parlò, oltre che con la diretta interessata, con il suo Direttore spirituale don Alessandro Alessandri, ed in breve tempo giunse ad ottenere il consenso di entrambi.

Teresa, in compagnia di due compagne, trascorse la notte tra il 21 e il 22 maggio 1869 vegliando e pregando. Alle 3 di notte don Luigi celebrò la Messa e al termine si recarono tutti nella casetta di via della Foppa: dinanzi ad un quadro dei Sacri Cuori di Gesù e di Maria, Teresa pronunciò i tre voti religiosi, cui aggiunse altre due promesse speciali: quella di fedeltà al Papa (erano gli anni della “questione romana”) e di incondizionata dedizione ai poveri, specialmente tra la gioventù.

A Roma folgorato dal “Cristo ignudo sulla croce”

Nel giugno dello stesso 1869, don Luigi accompagnò a Roma Monsignor Valsecchi, scelto per essere Vescovo ausiliare di Bergamo, e colse l’occasione per vivere gli Esercizi spirituali presso i padri Gesuiti nel Convento di Sant’Eusebio.

Il 1° luglio ebbe un’intuizione profonda, che non lo lasciò più. Scrisse: «Ho sentito desiderio di non allontanarmi più dall’amorosissimo Iddio. In questo giorno ho celebrato la Santa Messa, vorrei sperare con devozione. Non so se nella Santa Messa o nella meditazione prima, mi si presentò alla mente che Gesù morì ignudo sulla croce, e perciò sentii desiderio di povertà, di abbandonare tutto».
 
Le prime Suore delle Poverelle

Entro breve tempo a Suor Teresa si aggiunsero altre compagne, condividendone la vita: Giuditta Broletti il 21 novembre 1869, giorno in cui entrambe vestirono per la prima volta l’abito scuro, che divenne la loro divisa, ed il 1° marzo 1870 Maria Esposita Flutti. Don Luigi nel frattempo si era già attivato per stendere le Prime Costituzioni.

Quanto al nome, per qualche tempo continuò a chiamarle Dorotee, visto il rapporto pre-esistente con la Pia Opera di Santa Dorotea, ma dopo poco le chiamò «Benedette Figlie e Madri delle Poverelle», nome ben presto semplificato in «Suore delle Poverelle». Significative le parole da lui stesso usate per caratterizzarle: «Le Suore delle Poverelle siano persuase che per questa vita dovranno avvolgersi continuamente tra i poveri, adoperarsi per i poveri, amare i poveri. Ogni Suora delle Poverelle preghi Dio che le conceda spirito di madre verso i poveri».

Negli anni successivi, pur tra difficoltà e grandi sacrifici, sempre con il sostegno della fede e la forza del Signore, furono aperte varie case nelle province di Bergamo, Vicenza, Brescia.

I Fratelli della Sacra Famiglia

Un altro forte interesse di don Luigi era per i figli dei contadini poveri. Dalla madre aveva ereditato una tenuta a Torre Boldone, in provincia di Bergamo: l’affidò a Battista Leidi, il suo giovane tuttofare, che dopo un viaggio a Roma nel giugno 1870 accettò di porsi a capo di quella famiglia di orfanelli, vivendo con loro.

Per lui e per i compagni che si aggiunsero, don Luigi si ispirò alla Regola dei Fratelli della Sacra Famiglia, fondati nel 1856 da Suor Paola Elisabetta Cerioli (al secolo Costanza, canonizzata nel 2004) oltre alla Congregazione femminile che porta lo stesso nome. Aveva in effetti preso contatti con lei, ma riconobbe che le finalità erano diverse. Il 4 ottobre 1872 Battista Leidi e due compagni emisero i voti religiosi a Martinengo; la loro opera caritativa continuò per alcuni decenni, fino ad estinguersi nel 1928.

Umile, fiducioso, per «giungere dove altri non può»

Don Luigi aveva un fisico esile, che gli valse il soprannome di “Palazzolino”. A una corporatura magra faceva da contraltare un carattere tenace, capace di piegarsi solo quando era necessario chiedere personalmente l’elemosina per i suoi ragazzi e poveri. Spesso si sottoponeva ad aspre penitenze corporali, come il digiuno a pane e acqua.

Non voleva essere considerato il Fondatore, per umiltà, ma di fatto lo era; consigliava in continuità le Suore sia di persona sia per iscritto, anche se a volte con espressioni dialettali o sgrammaticate, e infondeva sempre una grande fiducia nella Provvidenza, oltre che sperare e sollecitare con ottimismo la collaborazione e solidarietà degli uomini.

«Non dobbiamo aspettare gli gnocchi dalla luna», ripeteva ad esempio, continuando: «S. Ignazio ci insegna a fare di tutto noi per riparare le traversie come se toccasse solo a noi fare tutto, e poi, quando abbiamo fatto tutto quello che possiamo, aspettare da Dio tutto, come se non avessimo fatto niente e solo a Lui spettasse il cavarci da ogni angustia, come è di fatto. In breve fare tutto ciò che possiamo dal canto nostro, e poi confidare tutto in Dio».

La sua missione è stata chiaramente espressa da lui stesso in questi termini: «Io cerco e raccolgo il rifiuto degli altri, perché dove altri provvede lo fa assai meglio di quello che faccio io, ma dove altri non può giungere cerco di fare qualcosa io come posso».

Gli ultimi giorni e la morte

All’inizio del 1886, don Luigi fu costretto a letto: l’asma non gli dava tregua e, insieme ad essa, un’erisipela migrante gli intaccò prima le gambe, poi tutto il corpo. Fu inoltre assalito da una forte depressione, motivata dai reali problemi economici e dalla paura di non riuscire a salvarsi l’anima.

Ricevette una grande consolazione da Monsignor Camillo Guindani, che il 12 maggio 1886 gli portò approvate le Regole delle Suore. Trascorse gli ultimi giorni ricevendo frequenti visite, mentre un senso di pace andava subentrando alla precedente angoscia.

Nella prima metà di giugno gli fu amministrata l’Unzione degli Infermi ed il giorno 15 dello stesso mese, all’1.20 del mattino, don Luigi morì. Fu dapprima sepolto nel cimitero di San Giorgio a Bergamo; il 4 gennaio 1904 i suoi resti mortali furono traslati nella Casa Madre delle Suore delle Poverelle.

La Causa di beatificazione

Il 31 gennaio 1913 fu iniziato il Processo informativo per dimostrare l’eroicità delle virtù cristiane di don Luigi. Lo scoppio della prima guerra mondiale ne comportò la sospensione. Fu quindi ripreso nel 1916, e gli Atti dell’Inchiesta furono consegnati a Roma nel 1921.

Nel 1929 venne approvato il decreto sull’introduzione della Causa, che, secondo la legislazione dell’epoca, segnava l’inizio della fase romana, ripresa effettivamente solo nel 1952, per ordine del S. Padre Pio XII. Essa continuò sotto il Pontificato di Giovanni XXIII, che fin da bambino e poi sempre nella vita aveva avuto profonda ammirazione e devozione per il Palazzolo.

Il decreto d’introduzione della Causa porta la data del 20 novembre 1958; il 7 luglio 1962 fu promulgato il decreto sull’eroicità delle virtù, con il quale don Luigi Maria Palazzolo riceveva il titolo di Venerabile.

I miracoli e la beatificazione

I due miracoli richiesti per la Beatificazione avvennero tra il 1956 e il 1959.

Nel 1956 una giovane sarda, affetta negli anni precedenti da peritonite e tubercolosi polmonare, ricoverata in diversi ospedali, approdò in condizioni gravi e costanti all’Ospedale Marino di Cagliari, dove prestava servizio anche una comunità di Suore delle Poverelle. Dopo aver conosciuto il Servo di Dio don Luigi Palazzolo, ogni giorno si rivolgeva più volte a lui con la preghiera della novena. La stessa giovane testimonia che il 21 luglio 1956, nel primo pomeriggio, vide accanto a sé un Sacerdote che la invitò ad alzarsi dal letto e recarsi in chiesa a ringraziare: era improvvisamente guarita.

Nel 1959 una signora di 65 anni sposa e madre che risiedeva nella provincia di Bergamo, mentre estraeva da una cassapanca un libro di preghiere, fu colpita al capo dal pesante coperchio: perse la conoscenza e le fu amministrata l’Unzione degli Infermi. Ripresasi poi senza ricordare nulla, dopo una settimana cadde di nuovo a terra, priva di sensi, e fu ricoverata nel reparto di medicina dell’Ospedale nell’Istituto Palazzolo in Bergamo per trauma cranico, sospetta emorragia sottoaracnoidea e condizioni che andavano aggravandosi sempre più. Era seguita costantemente dalla Suora infermiera, che invitò i parenti a pregare il Servo di Dio don Luigi Maria Palazzolo e pose contemporaneamente una immaginetta di lui con reliquia sotto il capo della paziente, pregando con le malate vicine. Il quinto giorno successivo al ricovero, al mattino presto verso le cinque, la paziente seduta sul letto e in condizioni di salute normale, da rigida e immobile che era, guardava verso la finestra dicendo alla Suora infermiera e alla vicina di camera che l’aveva guarito quel Sacerdote in cortile: era la statua del Palazzolo.

Dopo l’approvazione dei miracoli, fu proprio Papa Giovanni XXIII, bergamasco e suo devoto, a beatificare don Luigi, il 19 marzo 1963, nella basilica di San Pietro a Roma. Nella Diocesi di Bergamo e nelle comunità delle Suore delle Poverelle la sua memoria si celebra il 22 maggio, giorno anniversario della fondazione dell’Istituto.

Un ulteriore miracolo e la canonizzazione

Come riferiscono il sito della diocesi di Bergamo e «L’Eco di Bergamo», il miracolo preso in esame per ottenere la sua canonizzazione riguarda suor Gianmarisa Perani, Suora delle Poverelle dal 1950, che nel novembre 2015 fu operata d’urgenza, ma finì presto in condizioni preagoniche.

Fu accolta a Torre Boldone, nella residenza assistenziale dell’Istituto, ma la mattina del 14 gennaio 2016 venne dichiarata in fase terminale; di lì a poco, entrò in coma. Dopo un giorno e parte della notte, rispose all’infermiera di turno che l’aveva chiamata per nome. Prima di cadere in coma, durante le sue sofferenze, suor Gianmarisa non aveva mai smesso d’invocare il suo fondatore; oggi è viva e in salute.

Il 28 novembre 2019, ricevendo in udienza il cardinal Giovanni Angelo Becciu, Prefetto della Congregazione delle Cause dei Santi, papa Francesco ha autorizzato la promulgazione del terzo miracolo attribuito all’intercessione di don Luigi, aprendo la via alla sua canonizzazione. Pochi mesi prima, il 19 marzo 2019, lo stesso Pontefice aveva autorizzato la promulgazione del decreto relativo all’eroicità delle virtù di madre Teresa Gabrieli.

Papa Francesco ha quindi canonizzato don Luigi Maria Palazzolo e altri nove Beati il 15 maggio 2022, in piazza San Pietro a Roma.

Le Suore delle Poverelle oggi

Le Suore delle Poverelle, le cui Regole furono approvate dalla Santa Sede nel 1912, contano attualmente circa 650 membri in 86 case. La Casa madre e generalizia è a Bergamo, in via San Bernardino 56; esse sono presenti, oltre che in Italia, in Africa (Repubblica Democratica del Congo, Costa d’Avorio, Malawi, Burkina Faso, Kenya) e in America Latina (Brasile e Perù). Svolgono attività, in collaborazione con le Chiese locali, nei contesti educativi a vario livello, in strutture sanitarie, nell’assistenza e promozione di quanti sono nel bisogno, con predilezione a favore dei più poveri.

Già nelle Prime Costituzioni scritte per le sue Suore, il Beato Palazzolo chiedeva «di adoperarsi a servizio dei malati poveri e che giacevano nelle loro case, anche in tempo di malattie contagiose». Esempio di fedeltà radicale a questa consegna sono sei “Poverelle” morte per contagio nel 1995 durante l’epidemia di Ebola nella Repubblica Democratica del Congo, mentre erano al servizio dei malati: Suor Floralba Rondi, Suor Clarangela Ghilardi, Suor Danielangela Sorti, Suor Dinarosa Belleri, Suor Annelvira Ossoli, Suor Vitarosa Zorza. Anche per loro sono state aperte le rispettive Cause: sono state dichiarate Venerabili nel 2021 (Suor Floralba, Suor Clarangela e Suor Dinarosa il 20 febbraio 2021, Suor Danielangela, Suor Annelvira e Suor Vitarosa il 17 marzo 2021).

Autore: Emilia Flocchini e Suor Linadele Canclini, Postulatrice generale delle Suore delle Poverelle

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/54400

PALAZZOLO, Luigi Maria

di Simona Negruzzo - Dizionario Biografico degli Italiani - Volume 80 (2014)

PALAZZOLO, Luigi Maria. – Nacque a Bergamo il 10 dicembre 1827 da Ottavio e da Teresa Antoine.

Il giorno seguente fu battezzato nella chiesa di S. Alessandro in Colonna ed ebbe come madrina la nobile Silvia Celati. La famiglia, benestante, gestiva in città un negozio di libri. Ultimo di nove figli, Palazzolo fin da bambino manifestò sensibilità verso i più bisognosi, che visitava in ospedale o presso case private, accompagnato da un domestico. Educato in famiglia, frequentò solo le ultime classi elementari; dopo la morte del padre, nel 1837, la madre affidò la sua formazione a Pietro Sironi, rettore della chiesa di S. Giuseppe.

Nel 1839 Palazzolo entrò nel ginnasio pubblico di Bergamo, dove predilesse scrittura, letteratura e musica, divenendo un abile organista e compositore. Conclusi gli studi secondari (1844), cominciò a frequentare il corso di filosofia del seminario come esterno. Seguendo i consigli dei direttori spirituali e del parroco, Giovanni Serughetti, si mostrò apertamente contrario allo spirito liberale del tempo, perciò venne considerato ‘austriacante’ e ‘nemico della patria’. Il 3 marzo 1849 ricevette il suddiaconato e il 16 marzo 1850, dopo aver perso l’ultimo fratello superstite, Aquilino, fu ordinato diacono nella parrocchia di Calcinate. Il 23 giugno 1850, con dispensa sull’età canonica, fu ordinato sacerdote dal vescovo di Bergamo, Carlo Gritti Morlacchi.

Iniziò subito a collaborare con l’oratorio situato in località ‘La Foppa’, nel centralissimo Borgo S. Bernardino, uno dei rioni più poveri della città. Sceglieva così, con l’aiuto della madre, di dedicarsi all’educazione della gioventù maschile, di orfani e abbandonati, che preparava a ricevere i sacramenti. Si impegnò nella predicazione di missioni popolari ed esercizi spirituali, riscuotendo un notevole consenso per lo stile semplice e chiaro, e nella catechesi ai giovani, che intratteneva con musiche, farse, commedie e drammi a sfondo religioso, manovrando con maestria i burattini con la locale maschera di Gioppino. Divenuto rettore della chiesa di S. Bernardino, accompagnò il vescovo, Pier Luigi Speranza, a Vienna alla conferenza dei vescovi dell’Impero austriaco per la firma del Concordato (1855). Trovando al suo rientro l’amministrazione dell’oratorio in dissesto, ne assunse la direzione e vendette parte dei beni familiari per migliorarne i locali, che ampliò e attrezzò con teatro e giochi.

Convinto della necessità di offrire istruzione ai ragazzi, anche poveri, nei locali dell’oratorio istituì scuole serali aperte a tutti, sul modello di quelle avviate a Bergamo dall’ex gesuita Luigi Mozzi e da Carlo Botta. L’iniziativa incontrò subito il favore della popolazione e delle autorità ecclesiastiche e civili; l’Università di Padova riconobbe il servizio didattico prestato in quella scuola come titolo per ottenere la patente d’insegnamento.

Nel 1855 si fece promotore di due compagnie oratoriane: quella ‘della Madre amabile’, per i ragazzi più piccoli, e quella ‘dell’Immacolata e di S. Luigi’ per i giovani al di sopra dei sedici anni. Nel 1858 entrò a far parte del Collegio apostolico di Bergamo, una congregazione sacerdotale di stampo gesuitico.

Palazzolo restò estraneo ai moti del 1859, ma l’oratorio non fu esente dai fermenti patriottici: le attività e le presenze diminuirono; si dovette lasciare la sede per l’insostenibile costo dell’affitto, ma i ragazzi continuarono a riunirsi nei boschi alla periferia della città.

Nel maggio del 1862, con l’aiuto economico della madre, Palazzolo acquistò la casa di proprietà Sappettini in vicolo dei Genovesi (ora via Palazzolo) e il contiguo terreno dei Pesenti, su cui sarebbe sorta una chiesa: il nuovo oratorio fu intitolato a S. Filippo Neri. Il 10 settembre 1862 morì la madre e si decise perciò a vendere la casa natale e a costruirsi una modesta abitazione nell’oratorio. Il suo impegno e le opere crebbero. Il 6 gennaio 1864 inaugurò una sezione della Pia Opera di S. Dorotea per l’educazione della gioventù femminile, dotandola di spazi d’incontro e formazione con le scuole festive per le operaie. Nel 1868 aprì una sezione del Circolo della gioventù cattolica.

Per formare personale femminile destinato all’insegnamento, fondò una congregazione religiosa destinata ad affiancarlo. Nel maggio del 1869 chiese ad alcune maestre della Pia opera libere da impegni familiari di stabilirsi in oratorio per garantirne l’apertura. La proposta fu accolta con entusiasmo da una giovane insegnante, Maria Teresa Gabrieli. Da questo primo nucleo, il 22 maggio 1869 nacque la Congregazione delle suore delle poverelle, con la professione religiosa della Gabrieli e di due compagne alla presenza di Palazzolo. La piccola comunità si stabilì con alcune ragazze orfane in un edificio che divenne laboratorio per la lavorazione della seta.

L’Istituto prevedeva che le religiose, oltre ai tradizionali voti di povertà, castità e obbedienza, emettessero altre tre promesse solenni: obbedienza e sudditanza verso il pontefice; impegno a favore della gioventù femminile, specialmente delle orfane abbandonate; dedizione al servizio degli ammalati poveri e dei disabili, soprattutto durante le malattie contagiose e le epidemie. Negli antichi locali della Foppa Palazzolo gestiva ormai due oratori: uno maschile e uno femminile.

Dal 27 giugno al 6 luglio 1869 accompagnò a Roma, per il Concilio Vaticano I, Alessandro Valsecchi, vescovo di Tiberiade e ausiliare di Bergamo, e si dedicò agli esercizi spirituali nella casa dei gesuiti a S. Eusebio. Al suo rientro stilò la bozza delle prime costituzioni delle Poverelle e predicò un corso di esercizi a nove giovani che desideravano far parte del nascente istituto.

Da alcuni anni Palazzolo accoglieva nella sua casa di villeggiatura a Torre Boldone degli orfani, per la cui educazione aveva trasformato il luogo in una sorta di colonia agricola gestita da volontari, che sperava veder organizzato in una nuova famiglia religiosa. Nel giugno del 1870 si recò a Roma, accompagnato dal giovane Battista Leidi, che avrebbe voluto alla guida della futura congregazione maschile dei Fratelli della Sacra Famiglia di S. Giuseppe secondo la regola stilata da Costanza Cerioli per l’Istituto da lei fondato. L’iniziativa andò a buon fine, e Leidi acconsentì al progetto: il 4 ottobre 1872 i primi tre fratelli della Sacra Famiglia emisero i voti religiosi a Martinengo. Esigenze di spazio richiesero l’apertura di nuove case, dove i ragazzi venivano formati al lavoro dei campi, alla calzoleria e alla falegnameria. L’Istituto si estinse nel 1928.

Nel luglio del 1871, Palazzolo iniziò a scrivere i Brevi cenni sullo spirito delle suore delle poverelle, in cui rifletteva sul carisma della congregazione religiosa.

Il biennio 1875-76 fu di grande operosità con l’apertura di una nuova casa a Vicenza, due a Bergamo (per la gioventù femminile e gli ammalati poveri), una a Lallio e una a Brescia. Nel 1882 si aggiunse il servizio gratuito nelle ‘cucine economiche’ a beneficio degli operai poveri. Tra il 1885 e il 1886 egli seguì la fondazione di case a Breganze, Desenzano al Serio, Vicenza e Brescia.

Continuava la predicazione di esercizi spirituali e missioni al clero, ai religiosi e ai laici nelle sue case e nelle città di Bergamo, Vicenza e Brescia, dove tenne una delle ultime missioni, nel 1880, a Borgo Pile. In Palazzolo l’apostolato fu sostenuto da una spiritualità sacerdotale che definì «amore di abbracciamento», cioè d’immedesimazione a Gesù, nudo sulla croce, nell’atto di donare tutto se stesso, «perché il Padre sia amato e glorificato e perché ogni fratello e sorella siano salvati». Divulgatore della Sacra Scrittura, sostenitore della devozione eucaristica e ai Sacri Cuori di Gesù e di Maria, si ispirò agli scritti di S. Alfonso de Liguori, S. Francesco di Sales, S. Ignazio di Loyola e alla Imitazione di Cristo. La spiritualità gesuitica e i modelli di predicazione di Daniello Bartoli e Paolo Segneri costituirono i suoi punti di riferimento e si tenne aggiornato attraverso la rivista gesuita La Civiltà Cattolica.

Nel dicembre del 1885 si manifestarono i sintomi della malattia cardiaca. Il vescovo di Bergamo, Gaetano Camillo Guindani, si recò spesso a fargli visita, consegnandogli le Costituzioni dell’Istituto delle poverelle approvate il 12 maggio.

Morì a Bergamo il 15 giugno 1886.

Sepolta nel cimitero di S. Giorgio, nel 1904 la salma fu traslata nella chiesa principale della casa madre delle suore delle poverelle in Bergamo.

Come Giuseppe Benedetto Cottolengo, Giovanni Bosco, Luigi Guanella e Giovanni Battista Piamarta, Palazzolo rientra a pieno titolo fra gli esponenti di quel «clero novatore», che nei decenni risorgimentali e post-unitari fu impegnato nell’assistenza e nell’educazione delle fasce marginali della società: «Io cerco e raccolgo il rifiuto di tutti gli altri, perché dove altri provvede, lo fa assai meglio di quello che io potrei fare; ma dove altri non può giungere, cerco di fare qualche cosa io così come posso» (Castelletti, 1996, p. 34).

La fama di santità di Palazzolo motivò il vescovo Giacomo Maria Radini-Tedeschi a introdurre la causa di beatificazione presso la Curia diocesana di Bergamo, avviando, il 31 gennaio 1913, la raccolta delle testimonianze circa le virtù eroiche. Il processo fu ripreso nel 1952 e caldeggiato nel 1958 dall’antico segretario di Radini-Tedeschi, Angelo Roncalli, che, divenuto papa Giovanni XXIII, lo proclamò beato il 19 marzo 1963 e ne fissò la festa liturgica al 22 maggio.

Opere. Predicazioni, I-VI, Bergamo 1999; Omelie e altri scritti inediti. Stralci, ibid. 2000.

Fonti e Bibl.: Bergamo, Archivio generale della Congregazione delle suore delle poverelle, Archivio Fondatori, armadi 1-8 (comprende una serie di composizioni musicali e teatrali manoscritte di Palazzolo); Epistolario (1827-1886), Bergamo 1989; Positio super virtutibus beatificationis et canonizationis, Roma 1961; C. Castelletti, Vita del Servo di Dio Don L. P. e memorie storiche intorno agli istituti di carità da lui fondati, Bergamo 1894 (1920, 1996); Id., Nella traslazione delle ossa del servo di Dio sac. L. P. dal cimitero di S. Giorgio alla cappella del suo istituto, Bergamo 1904; P. Valoti, Don L. P. nella sua vita e nelle sue opere, Bergamo 1927; L. Frigeni, Vita di Suor Teresa Gabrieli confondatrice delle Suore poverelle e prima madre generale dell’Istituto Palazzolo di Bergamo, Bergamo 1928; G. Belloli, Il Servo di Dio don L.M. P. a cinquant’anni dalla sua morte, 1886-1936, Bergamo 1936; E. Federici, Don L. P.: «il cenciaiolo della carità», Bergamo 1957; B. Belotti, Storia di Bergamo e dei bergamaschi, I-V, Bergamo 1959; A Pesenti, I preti del Sacro Cuore, Bergamo 1959; Nova positio super virtutibus, Bergamo 1962; Novissima positio super virtutibus, Bergamo 1962; Breve apostolico con cui Sua Santità Giovanni papa XXIII proclama beato il ven. servo di Dio L.M. P., sacerdote secolare fondatore delle Suore delle poverelle, Città del Vaticano 1963; G.B. Scaglia, Don Luigi P. un «ignorante» che vide lontano, in Studium, III (1963), pp. 173-183; P. Bertocchi, P., L.M., in Bibliotheca Sanctorum, X, Roma 1968, coll. 49-51; D.T. Donadoni, «Non dire mai basta!». La personalità, l’attività, gli scritti del b. L. P., fondatore delle Suore delle poverelle, Torino 1969; X. Toscani, Secolarizzazione e frontiere sacerdotali. Il clero lombardo nell’Ottocento, Bologna 1982, pp. 264-276; A. Francoli, Poverelle dell’Istituto Palazzolo, in Dizionario degli Istituti di perfezione, VII, Roma 1983, coll. 213 s.; Id., P., L.M., beato, ibid., VI, col. 1087; Lettere a madre Teresa Gabrieli di don L. P., Bergamo 1984; G. Lubich - P. Lazzarin, Don L. P.: la misericordia continua, Brescia 1986; R. Amadei, Dalla Restaurazione a Leone XIII, in Diocesi di Bergamo, a cura di A. Caprioli - A. Rimoldi - L. Vaccaro, Brescia 1988, 235-258; A. Fappani, P. L.M., in Enciclopedia bresciana, XI, Brescia 1994, p. 387; B. Cattaneo Mangini, Editoria a Bergamo tra ’700 e ’800. Il caso degli Antoine, in Atti dell’Ateneo di scienze, lettere ed arti di Bergamo, LX (1996-1997), pp. 223-234; G. Gregorini, Per i bisogni dei «non raggiunti». L’Istituto delle suore delle poverelle tra Lombardia orientale e Veneto (1869-1938), Milano 2007; G. Zanchi, I rapporti del can. Giuseppe Benaglio e di Teresa Verzeri nella fondazione dell’Istituto delle Figlie del S. Cuore (1818-1836), in Il Collegio apostolico. Una esperienza singolare della Chiesa di Bergamo, a cura di G. Zanchi, Milano 2009, pp. 117-127.

SOURCE : https://www.treccani.it/enciclopedia/luigi-maria-palazzolo_(Dizionario-Biografico)

Don Palazzolo, il beato che portava i poveri a Gesù

Autorizzato da papa Francesco il riconoscimento di un miracolo attribuito all’intercessione del beato Luigi Maria Palazzolo, fondatore delle Suore delle Poverelle.

Un apostolato verso i giovani e gli orfani, il suo, che fruttò molte vocazioni.

Il 28 novembre papa Francesco ha autorizzato la Congregazione delle cause dei Santi a promulgare diversi decreti, tra cui quello relativo al riconoscimento di un miracolo attribuito all’intercessione del beato Luigi Maria Palazzolo (1827-1886), sacerdote bergamasco fondatore delle Suore delle Poverelle, che sarà quindi presto proclamato santo.

Come già ricordò nell’omelia di beatificazione il conterraneo Giovanni XXIII, che aveva sentito parlare per la prima volta di don Palazzolo all’età di 5 anni, quest’anima prediletta fa parte di quell’«assai copioso» numero di sacerdoti vissuti nell’Ottocento, «sacerdoti che, mediante l’istituzione di scuole, l’educazione della gioventù, le missioni al popolo, le opere di assistenza, vollero ancora una volta svelare al mondo il volto luminoso della Chiesa».

Nell’epoca risorgimentale e post-unitaria, che vide diffondersi in Italia il pensiero liberal-massonico con tutta la sua carica anticattolica, don Palazzolo, sostenuto da un tenero amore per la Madonna e una salda fiducia nella Provvidenza, fu dunque uno dei sacerdoti che mantenne vivo l’annuncio di Gesù, testimoniando in concreto, con la sua vita di fede e le sue opere, l’illusione di una società che già allora pretendeva di escludere dai propri orizzonti il Dio che si è fatto uomo.

Luigi Maria, nato il 10 dicembre a Bergamo, era l’ultimo degli otto figli di Ottavio e Teresa, due genitori benestanti e cristiani devoti.

Fin dalla sua fanciullezza visse diversi lutti familiari. Rimase orfano del padre quando non aveva ancora compiuto 10 anni, e intorno ai 23 gli morì anche l’ultimo dei fratelli.

Educato nella fede cattolica, già da bambino aveva mostrato una grande pietà verso i poveri e pian piano era maturata in lui la vocazione sacerdotale.

Fu ordinato sacerdote il 23 giugno 1850 e iniziò il suo ministero presso l’oratorio di via della Foppa nella parrocchia di Sant’Alessandro in Colonna, in una delle zone più disagiate di Bergamo.

La formazione cristiana dei ragazzi fu il nucleo del suo apostolato, insieme al venire incontro ai bisogni di orfani, malati indigenti, adulti analfabeti, secondo un proponimento che lui stesso riassunse con queste parole: «Io cerco e raccolgo il rifiuto di tutti gli altri, perché dove altri provvede lo fa assai meglio di quello che io potrei fare, ma dove altri non può giungere cerco di fare qualcosa io così come posso».

Certo è che la sua opera non rimase senza frutti, abbondanti in primis nel numero di vocazioni: una quarantina di giovani formatisi in via della Foppa scelsero la strada del sacerdozio.

Di carattere gioviale, mite e al tempo stesso tenace, don Palazzolo trasmetteva agli altri grande allegria e vedeva in questa una chiave per aprire i cuori.

Era abilissimo a maneggiare Gioppino, una maschera bergamasca. «Le sue rappresentazioni sono avvenimenti cittadini - scriveva Giovanni Battista Scaglia.

Naturalmente nessuno immaginava che il “burattinaio” dispensatore di letizia a tante anime che non conoscevano che le sofferenze e gli stenti, usciva dalla sua camera per entrare nella “baracca” preparato da una lunga preghiera e da un’aspra penitenza, come per una vera e propria predicazione, e col cilicio ai fianchi.

Era la sua cattedra, la cattedra del “povero ignorante”, quale egli si definiva, che trovava per tal via la possibilità di parlare anche a coloro che non avrebbero capito un linguaggio elegante, ma astratto».

Insomma, il suo naturale buonumore era parte integrante della sua pedagogia, come del resto di altri santi quali il contemporaneo don Giovanni Bosco e ancor prima san Filippo Neri, sotto la protezione del quale mise un nuovo oratorio, da lui inaugurato grazie alla donazione fatta dalla madre poco prima di morire.

Su consiglio di monsignor Alessandro Valsecchi, suo direttore spirituale, andò via via estendendo la sua missione anche alle fanciulle, alle loro necessità materiali e spirituali.

E in questo si rivelò fondamentale l’incontro con la maestra Teresa Gabrieli, oggi venerabile, attorno alla quale nacque - passando per l’avvio a Bergamo della Pia Opera di Santa Dorotea (già diffusasi in altre città italiane e originata dall’iniziativa dei fratelli Luca e Marco Passi, entrambi sacerdoti) - la comunità di quelle che poi vennero chiamate Suore delle Poverelle, di cui la Gabrieli è considerata cofondatrice.

L’atto di inizio del nuovo istituto avvenne la notte tra il 21 e il 22 maggio 1869, che Teresa trascorse immersa nella preghiera: alle 3 di notte don Luigi Maria celebrò Messa e infine, nella casa in via della Foppa, Teresa professò i voti religiosi davanti a un dipinto dei Sacri Cuori di Gesù e Maria. Lo stesso don Palazzolo si adoperò per scrivere le costituzioni dell’istituto religioso, che accolse rapidamente nuove vocazioni.

Per ogni passaggio cruciale della sua vita e del suo apostolato, il futuro santo chiedeva consiglio al suo direttore spirituale, con cui intrattenne anche uno scambio epistolare dal quale emerge più volte il valore dato da don Palazzolo all’obbedienza.

Come quando, nel 1872, chiese a monsignor Valsecchi di consigliarlo per il progetto di «una casa opportuna, sana e salutare», necessaria perché «crescono le monache e crescono le orfanelle».

«Abbiamo fatto un Settenario alla Madonna perché si compia intorno a quest’affare la volontà santa di Dio […].
Manca adesso il suo consiglio, o Padre e Monsignor mio, e la sua obbedienza che vale più di tutti i consigli e mezzi che mi possono offrire mille mondi».

Nell’ottobre dello stesso anno ci fu anche l’atto di inizio di una congregazione maschile (durerà fino agli anni Venti del XX secolo), ai cui membri don Palazzolo affidò il compito di prendersi cura dei figli dei contadini poveri e degli orfani.

Portava avanti queste opere tenendo ferme virtù ben precise: «Occorre umiltà e semplicità.

L’umiltà toglie ogni timore e invita chiunque ha bisogno ad entrare…

La semplicità dà ai poveri sicurezza ad aprire il cuore e versare tutte le loro amarezze».

Scriveva ancora: «Vi metto nei cuori di Gesù e di Maria, e vorrei chiudervi dentro a chiave, da poter proprio respirare e mangiare e bere umiltà e così crescere umili».

I suoi frequenti problemi di salute, che accettava e offriva unendoli alla Passione di Nostro Signore, si aggravarono all’inizio del 1886, costringendolo a letto.

Tornò infine alla Casa del Padre nelle prime ore del 15 giugno, a 58 anni e mezzo, sussurrando, con le ultime sue forze terrene, il nome di Gesù.

Ermes Dovico

SOURCE : https://concristopietrevive.forumfree.it/?t=77235779

B. LUIGI MARIA PALAZZOLO (1827-1886)

14 Febbraio 2010 calogeroVite di Santi, Beati, Venerabili...

Sacerdote nato il 10 dicembre 1827 a Bergamo. Fu fondatore dei Fratelli della Sacra Famiglia e delle Piccole sorelle dei Poveri, le «suore Poverelle» che in tempi recenti si trovarono accanto al letto dei contagiosissimi malati di Ebola, alla fine vittime esse stesse del virus . Il carisma del fondatore è infatti legato all’assistenza a malati, bisognosi e anziani. Morì il 15 giugno 1886. Palazzolo è stato beatificato nel 1963.

Colui che è passato alla storia con l\’appellativo di "cenciaiolo della carità" è nato il 10-12-1827 a Bergamo, da Ottavio e Teresa Antoine, penultimo ed unico superstite di dodici figli. I genitori si potevano considerare ricchi possedendo varie case e terre oltre ad una ben avviata libreria, legata al nome della vecchia tipografia Locatelli. Luigino, rimasto orfano di padre a dieci anni, crebbe gracile sotto la guida della madre. Costei, dopo le elementari, fece frequentare al figlio il pubblico ginnasio e lo affidò alla direzione spirituale di Don Pietro Sirone, piissimo sacerdote bergamasco, il quale, per vent\’anni, ebbe cura di lui e lo avviò alla santità.

La virtù che Luigino praticò maggiormente nell\’adolescenza, fu la carità. Quanto riceveva in dono, egli lo faceva passare nelle mani di qualche povero. La mamma se ne inquietava e un giorno esclamò: "Prevedo che questo mio figlio ha da morire spiantato!…". Pur essendo molto occupato negli studi, il beato trovava il tempo di fare ogni tanto una visita, in compagnia di un domestico, ai malati dell\’ospedale e delle case private, recando con sé cibo, vesti e denaro. Poiché sentiva tanta attrattiva per i poveri e i sofferenti, è chiaro che Dio lo chiamava a servirlo nella vita sacerdotale. Al termine degli studi ginnasiali il Palazzolo passò al seminario per lo studio della filosofia in qualità di alunno esterno. Un suo condiscepolo attestò che era pio, faceto, schietto, illibato di costumi, affabilissimo di modo che tutti gli volevano un gran bene.

Il giovane si preparò con impegno al sacerdozio che ricevette nel 1850 senza lasciarsi infatuare dai moti rivoluzionari che in quel tempo serpeggiavano per tutta Europa. In vista delle sue condizioni familiari non ebbe mai benefici ecclesiastici e impegni di cura d\’anime. Rimase così un sacerdote aperto a tutti gli apostolati, come i due fratelli bergamaschi, i conti Luca e Marco Passi, entrambi preti, i quali stavano propagando in varie regioni d\’Italia l\’opera di Santa Dorotea per l\’educazione della gioventù femminile. A che genere di attività si sarebbe dedicato Don Luigi? Un sentimento interiore, che egli reputava d\’ispirazione divina, lo spinse a prendersi cura della gioventù. Suo primo campo di lavoro, sotto la direzione spirituale del canonico Alessandro Valsecchi, (+1879), fu l\’oratorio di S. Filippo Neri che sorgeva nella viuzza detta della Poppa, nel quartiere più povero di Sant\’Alessandro in Colonna, la sua parrocchia.

Col suo carattere aperto e gioviale, col suo fare accogliente e paterno, il beato divenne presto l\’idolo dei ragazzi. Essi lo ricercavano, lo seguivano, lo amavano perché era l\’angelo buono che insegnava loro ad amare Dio anche nel gioco, nelle passeggiate, nelle accademie che alimentava sempre con nuove produzioni in poesia e in musica. Nel 1857 Don Luigi rimase l\’esclusivo direttore responsabile dell\’oratorio. Nessuno seppe mai quanto egli spese in restauri e ampliamenti dello stabile, nella costruzione della sala per le riunioni e le rappresentazioni dei burattini ai quali egli stesso prestava la voce e le mani con arte raffinata.

Possedeva una collezione di teste di legno che, completate con varie fogge di vestiti, rappresentavano sul teatro gli attori di commedie divertentissime, di cui era sempre protagonista Gioppino, la famosa maschera bergamasca. In questa maniera Don Luigi distoglieva gli adulti dai pericolosi divertimenti ed esilarava i piccoli al punto da renderli pronti al catechismo e alle funzioni religiose. Da due anni il Palazzolo dirigeva da solo l\’oratorio quando fu costretto a licenziare i ragazzi, con la morte nell\’anima, perché venne a scadergli il contratto d\’affitto. Per tre anni ne soffrì atrocemente fino a dimagrire.
La mamma gli ridonò la gioia del sacerdozio il giorno in cui si decise a sborsare una somma perché, nei pressi della Foppa, acquistasse un fondo con immobili che, restaurati, potevano servire per i suoi disegni. Compiuto il gesto magnanimo, la pia signora quasi repentinamente se ne tornò a Dio (+1862) lasciando il figlio erede di tutte le sue sostanze.

Liberato dall\’ultimo filo che lo legava alla famiglia terrena, il beato impresse alla propria vita un carattere religioso, consacrandosi a Dio con voti privati. Il nuovo oratorio fu da lui dotato di una chiesetta, di un vasto cortile, di un salone teatrino e varie stanze per le scuole serali. Accanto ad esso sorgeva la casetta in cui egli viveva molto poveramente, digiunava più giorni la settimana a pane ed acqua, si flagellava a sangue, dormiva sopra un panca, pregava, preparava le missioni che di quando in quando andava a predicare nei paesi della diocesi e accoglieva in occasioni straordinarie qualche chierico o giovane dell\’oratorio. I ragazzi che sotto la sua esperta guida arrivarono al sacerdozio furono quaranta. Ascoltando le confessioni delle donne nella sua chiesa e in quella di San Bernardino di cui era stato fatto rettore nel 1855, Don Luigi capì che c\’erano molte piaghe da curare anche tra la gioventù femminile. Decise di fare qualcosa per loro istituendo nei pressi della sua rettoria la Pia Opera di Santa Dorotea (1864) per le ragazze traviate o pericolanti. Non volendo i giovani che, sia pure nei giorni feriali, il loro oratorio fosse usato dalle ragazze, il beato ne fondò uno per conto loro nei locali di sua proprietà in via della Poppa (1869), ma per non lasciare deserta tutta la settimana la casa che ospitava le giovani la domenica e qualche rara sera feriale, egli pregò Maria Teresa Gabrieli (+1908), maestra elementare e vicesuperiora dell\’Opera di Santa Dorotea, di stabilirvi la sua dimora per accogliere le ragazze che volevano avere contatti più frequenti a loro sostegno nel bene (1869).

La Gabrieli acconsentì di trasferirvisi con le masserizie e la scuola e di accogliervi un\’orfanella sciancata, deforme, coperta di piaghe che da pochi mesi il Palazzolo le aveva affidato. Nasceva così la Congregazione delle Suore delle Poverelle il cui fine sarebbe stato quello di esercitare tutte le opere di misericordia. Più tardi il fondatore scriverà: "Io cerco e raccolgo il rifiuto di tutti gli altri, perché dove altri provvede lo fa assai meglio di quello che io potrei fare, ma dove altri non può giungere, cerco di fare qualche cosa io, così come posso".

Quando il Valsecchi si recò a Roma per la nomina a vescovo ausiliare di Mons. Luigi Speranza (+1879), ordinario di Bergamo, il Palazzolo ve lo accompagnò. Durante gli esercizi spirituali che fece con lui si sentì fortemente spinto a spogliarsi di tutte le sostanze per le opere che aveva iniziato. E annotò: "Che onore essere povero e disprezzato e poi andare in Paradiso". Ritornato a casa spinse fino all\’eroismo l\’opera di totale spogliazione. Ai materassi di lana sostituì cuccette di crine vegetale o di paglia; alle poltrone e sedie, rozze panche di legno, alle camicie di fine tela, camicie di canapa grossolana; alle vesti di lana, vesti rattoppate. Sul terreno di sua proprietà, vicino alla casetta in cui abitava, il beato fece costruire un edificio-laboratorio (1874) in cui le orfanelle cominciarono subito il lavoro di incannatura e stracannatura della seta e, due anni più tardi, un teatrino per le loro ricreazioni. Fu criticato, fu preso per pazzo, ma sostenuto dal direttore spirituale e fidente soltanto nell\’aiuto della Provvidenza, perseverò nell\’opera intrapresa a costo di umiliazioni, di povertà estrema. Devotissimo del Sacro Cuore di Gesù, gli parlava ad alta voce nel suo oratorio, coi gesti persino, per dirgli le sue pene, per snocciolargli elenchi di debiti da pagare subito all\’indomani. Il vescovo un giorno lo richiamò alla realtà dei fatti e Don Luigi, con umiltà eroica, gli dichiarò che se era volontà di Dio e quella del pastore della diocesi di sospendere ogni cosa egli avrebbe prontamente ubbidito. Il saggio superiore, ben lontano dall\’impartire un tale ordine, si limitò a costatare: "Don Luigi finisce sempre con l\’aver ragione… Certe cose, che parrebbero temerità, a lui riescono, e bisogna andare adagio nel contraddirlo, perché si vede alfine che è un uomo illuminato e guidato da Dio".

A Torre Boldone la famiglia Antoine possedeva un bella casa di villeggiatura con una grande tenuta condotta a mezzadria. Il Palazzolo pensò di affidarla ad un gruppo di orfani di contadini sotto la direzione di tre uomini timorati di Dio. La B. Elisabetta Cerioli Buzzecchi di Soncino (+1865), fondatrice delle Suore della Sacra Famiglia per la cura degli orfani dei contadini, venutane a conoscenza tramite forse il suo direttore spirituale, Mons. Valsecchi, gli propose di unire le loro forze, ma siccome avevano intenti diversi, non riuscirono ad accordarsi. Fu allora che Don Luigi pensò di legare con vincoli religiosi e con opportune regole i preposti alla casa di Torre Boldone sotto la guida di Battista Leidi, da anni al servizio del Palazzolo nella casa materna. Essi assunsero il nome di Fratelli della Sacra Famiglia (1872), ma nel 1928 si estinsero.

Pareva che tutta l\’attività del beato dovesse essere assorbita dalle opere esistenti, invece, siccome le Suore delle Poverelle furono richieste da varie parti, egli dovette allargare il campo delle sue fatiche. Ovunque le religiose si stabilirono, vestite da buone massaie con un rosario al fianco, si diedero anche all\’assistenza degl\’infermi poveri. Esse furono sempre fedeli alla consegna del fondatore: "State ferme nel vivere povere e serve dei poveri. I ricchi hanno denari e trovano facilmente chi li serva, i poveri hanno bisogno di assistenza e non la trovano e languiscono. Non vi faccia gola la roba; state fedeli al vostro spirito e Dio non vi abbandonerà mai, anzi sarà la vostra ricchezza". Diceva ancora: "Ogni suora delle Poverelle preghi Iddio che le conceda spirito di madre verso le povere… Quelle che hanno inclinazione ad operare il bene nella classe signorile e nobile, a preferenza della classe povera, non sono da accettarsi". Per amore delle orfane, in anni di carestia, il Palazzolo non si vergognò di andare a chiedere l\’elemosina di porta in porta e di sollecitare la carità di amici e di persone facoltose. Per quanto grande fosse la miseria nelle undici case che aveva fondato in Lombardia e nel Veneto, raccomandava alle suore: "Trattiamo bene le orfanelle e Dio ci aiuterà. Esse si possono trattare bene anche senza mancare al voto di povertà. Sono immagini di Gesù Cristo". Ad una superiora, tra le altre raccomandazioni fece anche questa: "Non risparmiare spese per le mie orfanelle; ti darò un buon castigo se troverò che hai speso poco". Diceva abitualmente che bisognava "fare il bene in grande", lungi da ogni spirito di grettezza e di pedanteria. A Vicenza, avendo una suora rifiutato un po\’ di uva ad una povera donna con il pretesto che non bastava per gli orfani, le impose di portargliene una cesta dicendo: "Quando i poveri domandano qualcosa, da subito, anche la casa". Un giorno castigo severamente una suora perché, oltraggiata continuamente da una donna a cui aveva curato la fìgliuoletta malata, si era risentita con lei. E le disse: "Che suore di peso ho io mai! Che gente insensata che non sa custodire le perle! Fare del bene e ricevere del male, non è una perla, una gioia, un gran bene?".

Finché la salute glielo permise Don Luigi non stette fermo mai. Fu continuamente da una casa all\’altra del suo Istituto per sorvegliare, provvedere, animare, correggere, predicare ritiri ed esercizi spirituali. Il moto continuo non lo distraeva perché si sentiva eccitato all\’unione con Dio più dallo spettacolo delle creature che dal raccoglimento silenzioso. Continuò pure a predicare missioni al popolo in vari paesi della diocesi sostenendo ordinariamente la parte dell\’ignorante nei dialoghi e riservandosi le istruzioni alla gioventù che incantava col suo dire arguto e pieno di unzione. Del gran bene che operava egli attribuiva il merito soltanto a Dio. Non voleva neppure che lo chiamassero fondatore tant\’era convinto di essere un povero peccatore, un buono a nulla, un sacco di miserie pur sentendosi l\’anima monda da colpe gravi. Pari alla sua umiltà era la sua ubbidienza. Mentre le sue opere si moltiplicavano, ebbe a dire: "Se il mio vescovo me ne mostrasse desiderio, sarei pronto a lasciare qui tutto, e recarmi oggi stesso nella più piccola e più alpestre parrocchia della diocesi a fare il coadiutore".

Al principio del 1886 il Palazzolo fu inchiodato a letto dall\’asma e da una risipola migrante che, dalle gambe, salì a impiagargli tutto il corpo. Ai dolori fisici pazientemente sopportati si aggiunsero quelli morali eroicamente accettati, costituiti da una profonda malinconia; dalle preoccupazioni di mantenere le orfanelle che versavano in strettezze finanziarie; da una desolante aridità di spirito; da pensieri di disperazione dell\’eterna salvezza. Morì il 15-6-1886.

Giovanni XXIII lo beatificò il 19-3-1963. Le sue reliquie sono venerate a Bergamo nella cappella dell\’Istituto.

Sac. Guido Pettinati SSP,

I Santi canonizzati del giorno, vol. 6, Udine: ed. Segno, 1991, pp. 187-193

http://www.edizionisegno.it/

SOURCE : https://www.paginecattoliche.it/B-LUIGI-MARIA-PALAZZOLO-18271886/

Aloisius Maria Palazzolo

italienischer Name: Luigi

Gedenktag katholisch: 15. Juni

Name bedeutet: der ganz Weise (latein. Form von Alwis, althochdt.)

Priester, Ordensgründer

* 10. Dezember 1827 in Bergamo in Italien

† 15. Juni 1886 in Bergamo in Italien

Aloisius Maria Palazzolo war Priester und in der Seelsorge für Jugendliche tätig. Er gründete 1869 die Suore delle Poverelle, die Schwestern der armen Mädchen zum Katechismusunterricht und karitative Aktivitäten zugunsten armer Mädchen und 1872 die Kongregation der Fratelli della Sacra Famiglia, der Brüder von der heiligen Familie zur Betreuung von Waisenkindern und eine Abendschule für arbeitende Jungen.

Die Suore delle Poverelle sind bis heute stark vertreten mit caritativen und edukativen Aktivitäten in Bergamo und anderen oberitalienischen Städten sowie in der Betreuung italienischer Auswanderer in Frankreich, Belgien und Luxemburg, seit 1952 auch mit einem Missionhaus im Kongo. Die Fratelli della Sacra Famiglia starben 1928 aus.

Kanonisation: Am 19. März 1963 wurde Aloisius durch Papst Johannes XXIII. seliggesprochen. Die Heiligsprechung durch Papst Franziskus fand am 15. Mai 2022 statt.

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Autor: Joachim Schäfer - zuletzt aktualisiert am 18.05.2022

Quellen:

• Vera Schauber, Hanns Michael Schindler: Heilige und Patrone im Jahreslauf. Pattloch, München 2001
• https://it.wikipedia.org/wiki/Luigi_Maria_Palazzolo

korrekt zitieren: Joachim Schäfer: Artikel Aloisius Palazzolo, aus dem Ökumenischen Heiligenlexikon - https://www.heiligenlexikon.de/BiographienA/Aloisius_Palazzolo.html, abgerufen am 15. 6. 2022

Die Deutsche Nationalbibliothek verzeichnet das Ökumenische Heiligenlexikon in der Deutschen Nationalbibliografie; detaillierte bibliografische Daten sind im Internet über http://d-nb.info/1175439177 und http://d-nb.info/969828497 abrufbar.

SOURCE : https://www.heiligenlexikon.de/BiographienA/Aloisius_Palazzolo.html