Bienheureux Jacques
Griesinger d'Ulm
Dominicain, artiste peintre-verrier (+ 1491)
Né dans une famille de négociants, il fut d'abord peintre sur verre à Ulm en Allemagne, s'en fut en pèlerin à Rome et, faute d'argent, s'engagea dans les armées du roi d'Aragon. Après quatre années de service, dégoûté par la vie licencieuse des camps, il quitte l'armée et se met à la disposition d'un bourgeois de Capoue. Voulant revenir dans son pays, il s'arrête à Bologne. Il y rencontre les dominicains et cela change sa vie. Il avait trente quatre ans, il entre dans l'Ordre comme frère laïc. Il y fut un religieux humble et exemplaire. Il y reprit ses talents de verrier et orna beaucoup d'églises de ses œuvres. On lui doit même l'invention de plusieurs coloris de vitraux par ses recherches sur l'oxyde d'argent.
Né en 1407 à Ulm en Allemagne, à l'âge de 25 ans, parti en pèlerinage à Rome, il s'arrêta à Bologne en Emilie, près du tombeau de saint Dominique. Il prit l'habit dominicain en 1441. Son esprit de prière et de mortification, d'humilité profonde et de générosité, lui donnèrent une réputation de sainteté même avant sa mort. Il était illettré. D'une grande sensibilité artistique, il est excellent maître verrier et fit en particulier les vitraux de la chapelle des notaires de la basilique Saint Petronio.
À Bologne en Émilie, l'an 1491, le bienheureux Jacques Griesinger d'Ulm,
religieux de l'Ordre des Prêcheurs. Il était illettré mais peintre verrier très
expert et donna à tous, pendant cinquante ans, un exemple de travail et de
prière.
Martyrologe romain
SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/2003/Bienheureux-Jacques-Griesinger-d-Ulm.html
Jakob Griesinger, Jésus ressuscité, vitrail, Chapelle
des Notaires de la basilique San Petronio, Bologne.
Depuis
2017, la chapelle est dédiée à la famille Rinaldi qui a permis sa
restauration.Le célèbre vitrail de la chapelle a été exécuté entre 1464 et 1466
par le frère dominicain allemand Jacob Griesinger (le bienheureux Giacomo da
Ulma), d'après un dessin de Michele di Matteo ; dans la rosace, il présente le
Christ ressuscité et dans les fenêtres à meneaux le motif habituel de
l'Annonciation avec divers saints. Particulièrement agréable est l'intonation
chromatique du vitrail qui alterne des tons clairs et brillants avec des rouges
très vifs d'une intensité considérable, créant des effets précieux et joyeux à
la fois. SOURCE : Bologne Basilica San Petronio - http://www.maquetland.com/article-2654-italie-bologne-basilica-san-petronio
Bx Jakob Griesinger d'Ulm
Frère lai o.p., artiste peintre verrier
Jakob Griesinger naît, en 1407, à Ulm (Allemagne) dans une famille de négociants chrétiens ; il fut formé dans un atelier de peintre sur verre à Ulm.
À l’âge de 25 ans, avec la bénédiction de ses parents il s'en fut en pèlerinage
à Rome et, faute d'argent, s'engagea dans les armées du roi d'Aragon. Après
avoir été soldat 4 ans à Naples, dégoûté par la vie licencieuse des camps, il
quitte l'armée et devient domestique à Capoue.
En 1441 (il a 34 ans),
voulant revenir dans son pays, il s'arrête à Bologne pour prier sur le tombeau
de saint Dominique, et trouve sa vraie vocation : il entre dans l'Ordre comme
frère lai. Il reprit ses talents de verrier et orna beaucoup d'églises de ses
œuvres. On lui doit même l'invention de plusieurs coloris de vitraux par ses
recherches sur l'oxyde d'argent.
Il fut pendant 50 ans un religieux humble et exemplaire, immergé dans l’art du vitrail. Beaucoup de ses œuvres ont disparu mais on peut encore voir dans la cathédrale San Petronio de Bologne, dans la chapelle des notaires, un vitrail qui lui est attribué. D'une grande sensibilité artistique, il est un des plus grands maîtres verriers de son époque, mais il était très effacé.
Un jour, durant la cuisson d'un vitrail qu’il devait absolument surveiller, le Prieur l’envoya faire la quête. Il obéit sans rien dire, il laissa tout, et à son retour trouva le vitrail cuit juste à point, réussi à merveille avec des teintes magnifiques.
Il conserva toujours l’innocence baptismale. Âme candide et sensible, sa prière touchait à l’extase. Son esprit de prière et de mortification, d'humilité profonde et de générosité, lui donna une réputation de sainteté même avant sa mort. Bien que son cœur fût étranger à la terre, ses mains étaient toujours promptes au travail et à rendre d’humbles services avec cet aimable sourire qui dilate les cœurs. Il était illettré, mais pas du tout inculte. Il disait que la récitation du Notre Père était pour lui plus douce que le miel. Avant de communier, il veillait toute la nuit.
Ses vitraux étaient l’expression artistique de sa prière et de sa
contemplation. En patience et grande obéissance il servait tous ses frères,
particulièrement dévoué envers les malades. Il contemplait profondément la
Passion de Jésus-Christ.
Jacques Griesinger d’Ulm
meurt à Bologne (Italie) le 11 octobre 1491.
Le pape Léon XII (Annibale Sermattei Della Genga, 1823-1829) a confirmé sa canonisation le 3 août 1825. Ses reliques sont gardées dans une urne placée sous l'autel, qui lui est dédié, dans la chapelle du Sacré-Cœur de la basilique San Domenico à Bologne.
Il est le Patron des verriers.
SOURCE : https://levangileauquotidien.org/FR/display-saint/e0cef40f-a0ba-4a04-8329-187109b45cd2
Also
known as
James Griesinger
James of Ulm
Giacomo Griesinger da
Ulma
Profile
Mercenary for
the army of Naples, Italy in 1432.
Disillusioned with military life,
he spent five years as a secretary to
a lawyer in Capua, Italy.
Falling on financial hard times, he briefly rejoined the army,
then left for his true vocation, becoming a Dominican lay
brother in Bologna, Italy in 1441.
He spent most of the next 50 years working in stained
glass and painting images
on the windows of
churches.
Born
1407 at
Ulm, Swabia (modern Germany)
11
October 1491 in Bologna, Italy of
natural causes
interred in the Basilica of Saint Dominic in Bologna
Additional
Information
Saints
and Saintly Dominicans, by Blessed Hyacinthe-Marie
Cormier, O.P.
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
Saints
and Their Attributes, by Helen Roeder
Some Patron Saints, by
Padraic Gregory
other
sites in english
images
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
MLA
Citation
“Blessed James
Grissinger“. CatholicSaints.Info. 16 June 2024. Web. 8 October 2024.
<https://catholicsaints.info/blessed-james-grissinger/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-james-grissinger/
Papst
Leo XII. genehmigt den Kult des seligen Jakob von Ulm (Jakob Griesinger) im
Dominikanerorden und in der Diözese Bologna, Lateinisches Deket der
Ritenkongregation, 3 August 1825. Hieronymus Wilms: Der selige Jakob Griesinger
aus Ulm, Laienbruder des Dominikanerordens Dülmen 1922, S. 206-207
Saints and
Saintly Dominicans – 12 October
Blessed James
of Ulm, Confessor, O.P.
He came to Rome from
Germany out of devotion to the City of Martyrs; then he served during four
years as a soldier at Naples in the army of Alphonsus of Arragon. He next
attached himself to our Fathers at Bologna, among whom he entered as a simple
lay brother, although he was a man of letters and possessed a remarkable talent
for painting. Before his profession, in his humility he besought the brothers
on his knees not to drive him away on account of his crimes. He excelled in the
love of work and in obedience, virtues essential to a lay brother. It is
related that receiving a sudden command to set out for a distant monastery, he
did not even stop to remove from the oven the painted glass which he had placed
there. God was pleased to bless his obedience and the glass was preserved in
all its beauty. Having reached the end of eighty years of life, feeling his
last moments had arrived, he placed himself in the pious and modest attitude he
wished to preserve after death, and expired in peace. He left behind him in the
cloister two inheritors of his talent and his methods as a painter on glass –
Brother Ambrogino and Brother Anastasio, faithful imitators also of his
beautiful virtues. (1491)
Prayer
Blessed James, obtain for
me that I may put the love of labor above my ease, but obedience above labor
and all things else.
Practice
When you come to Holy
Mass regard yourself as unworthy – to be present, and say with the publican in
the Temple: “Lord, be merciful to me, a sinner!”
– taken from the
book Saints
and Saintly Dominicans, by Blessed Hyacinthe-Marie
Cormier, O.P.
SOURCE : https://catholicsaints.info/saints-and-saintly-dominicans-12-october/
JAMES GRIESINGER OF ULM,
BL.
Dominican artist also
known as James (Jakob) of Ulm; b. Ulm, Germany, 1407; d. Bologna, Oct. 11,
1491. He went to Rome when 24, served in the army of Alphonse of Aragon, and
then became steward to a wealthy Italian jurist. When 34, he became a Dominican
lay brother at Bologna. There he turned his talents to glass painting, an art
he must have acquired before entering the Order. Manuscripts tell of his
holiness but not of his artistic activities. Proof of his artistry is found in
the works of his pupils, especially Fra Anastasio of Como and Fra Ambrogino of
Soncino, and in S. Petronio in Bologna. Soon after his death the people of
Bologna invoked him as the patron of glass painters and glaziers. In 1825, leo
xii officially confirmed his cult.
Feast: Oct. 11.
Bibliography: Acta
Sanctorum Oct. 5:790–803. I. Taurisano, Catalogus hagiographicus
ordinis praedictorum (Rome 1918) 46–47. J. L. Baudot and L. Chaussin, Vies des saints et des bienheueux selon l'ordre du calendrier
avec l'historique des fêtes (Paris 1935–56) 10:368–372. J. Wilms, Lay
Brother, Artist and Saint, tr. M. Fulgence (London 1957).
[L. M. Schier]
New Catholic Encyclopedia
Reliquary
altar of Bl James w/glass coffin & wax figure, Basilica of San Domenico,
Rome.
3OP, Filial
Obedience, October, Order
of Preachers, Virtue
Oct 11 – Bl James of Ulm
(Jacob Grissinger/ Griesinger), OP, (1407-1491) – The Art of Obedience
-by Br James Wallace, OP, born
in New York, James became a Catholic after college, where he earned a degree in
applied math.
“I will honor those who
honor Me.” – 1 Samuel 2:30
“What would you do?
You’ve been working on a project for hours. The end is in sight, and you’ve
done well. This might be some of your best work. All that’s left to do is to
watch carefully over the final process—a slight error in timing might ruin
everything. Suddenly, someone enters the room and tells you that you’re needed
elsewhere immediately.
A thousand protests come
to mind. Does it have to be right now? Is it really so urgent? Couldn’t it wait
for just an hour? Am I the only one who could do this? Who is it that needs me?
It was in a situation
just like this that Blessed James of Ulm found himself one day. But he didn’t
make any of those protests. The order had come from his superior, and somehow
James knew there was nothing to be done but to obey. He immediately left his
stained glass window—a labor of love that he had spent days preparing—in the
furnace to be ruined. And he went out to beg for his community, as his superior
had ordered.
Someone once said that
you can know the depth of a man’s love by how much he is willing to suffer for
the beloved. Blessed James’ act of obedience wasn’t a bitter and
constrained act, but we can imagine how painful it was for him. This gives us
some insight into the depth of his love for his brothers and for God. Today,
people have mostly forgotten the windows which James made over 500 years ago,
but they remember this story of his love and obedience.
James was used to
following orders. He had served for years as a soldier, first under King
Alfonso V of Aragon and later under one Captain Tartari. One day, when the army
was stationed in Bologna, James, who had always been devout, decided to make a
visit to one of the local churches – the one that happened to have the relics
of St. Dominic. While praying before those relics, he was suddenly inspired to
give up military life and consecrate himself to God as a cooperator brother in
St. Dominic’s Order.
Throughout history,
Dominican cooperator brothers have been assigned a variety of offices:
doorkeeper, housekeeper, infirmarian, cook, to name a few. In his youth,
Blessed James’ father had trained him in the craft of making stained glass
windows, and to this craft James returned as a religious brother. He had been
working at it for a number of years when the event described above took place.
There is actually more to
that story. When James returned from his begging trip, he found to his
astonishment that the window was intact and the colors were set perfectly—an
impossible thing, as he knew from long experience. Sometimes God rewards obedience
in remarkable ways even in this life.
James spent 50 years in
religious life, beautifying various churches in Italy. After his death in 1491,
so many attested to his sanctity and to miracles obtained through his
intercession that he was eventually beatified and himself entombed in the
church of San Domenico, where he had received the call of God. Blessed James
had sought to honor God by religious art and religious life; now, in San
Domenico, God has honored him.”
First Vespers:
Ant. Strengthen by holy intercession, O James, confessor of the Lord, those here present, have we who are burdened with the weight of our offenses may be relieved by the glory of thy blessedness, and may by thy guidance attain eternal rewards.
V. Pray for us, Blessed James
R. That we may be made worthy of the promises of Christ.
Lauds:
Ant. Well done, good and faithful servant, because Thou hast been faithful in a few things, I will set thee over many, sayeth the Lord.
V. The just man shall blossom like the lily.
R. And shall flourish forever before the Lord.
Second Vespers:
Ant. I will liken him unto a wise man, who built his house upon a rock..
V. Pray for us. Blessed James.
R. That we may be made worthy of the promises of Christ.
O God, who didst
wonderfully adorn Blessed James, Thy Confessor, with the virtues of humility
and obedience, make us, through his intercession, to despise earthly things and
evermore cleave to Thy commandments. Through Christ our Lord. Amen.
Love, yet not even closely having mastered the virtue of obedience,
Matthew
SOURCE : https://soul-candy.info/2016/04/bl-james-of-ulm-op-1407-1491/
Beato Giacomo
Griesinger da Ulma Religioso domenicano
Festa: 11 ottobre
Ulma, Germania, 1407 -
Bologna, 11 ottobre 1491
Il beato Giacomo,
originario di Ulma in Germania (1407), all'età di venticinque anni sostò a
Bologna, tappa del suo pellegrinaggio verso Roma. Dopo alterne vicende, che lo
videro soldato a Napoli e domestico a Capua, ritornò nella nostra città con le
milizie del Duca di Milano. Visitando la Basilica di San Domenico si sentì
attratto dalla vita religiosa e nel 1441 chiese di vestire l'abito dei fratelli
conversi. Lo spirito di preghiera e di mortificazione, l'umiltà profonda e il
cordiale servizio al prossimo gli accreditarono la fama di santità ancor prima
della sua morte. Tra le sue devote consuetudini erano la recita del Pater
noster, che diceva essergli più dolce del miele, e la preparazione alla
Comunione Eucaristica in un'ininterrotta veglia notturna. Dotato di grande
sensibilità artistica fu maestro nell'arte vetraria: a lui si attribuisce una
delle grandi vetrate nella cappella dei Notai della Basilica di San Petronio.
Martirologio
Romano: A Bologna, beato Giacomo da Ulm Griesinger, religioso dell’Ordine
dei Predicatori, che, sebbene analfabeta, fu un valente decoratore di vetrate e
offrì a tutti per cinquant’anni un esempio di dedizione al lavoro e alla
preghiera.
Giacomo, nato a Ulm nel 1407, ebbe fin da fanciullo nella sua famiglia, i Griesinger i più preziosi esempi di cristiana pietà. A 25 anni, con la benedizione dei genitori, dalle rive del Danubio, s’incamminò pellegrino verso Roma per venerarvi le tombe dei Santi Apostoli. Dopo varie peregrinazioni passò per Bologna, dove si fermò qualche tempo. Sua meta prediletta era la tomba di San Domenico e qui, durante le sue devote visite, sentì forte l’ispirazione d’abbracciare l’Ordine. Sebbene non fosse del tutto incolto, chiese ed ottenne, nel 1441, di essere ammesso tra i fratelli conversi. Anima candida e sensibile, comprese e seppe attuare in pieno la sua santa vocazione. La sua orazione toccava l’estasi, e spesso lo si vedeva circondato di luce Ma sebbene il cuore fosse estraneo alla terra, le mani erano sempre pronte al lavoro e a rendere qualunque umile servizio con quell’amabile sorriso che dilata i cuori. Fu provetto nell’arte di dipingere il vetro, tanto che di lui rimangono eccellenti lavori. Si racconta che un giorno, mentre sorvegliava la cottura di alcuni vetri dipinti, il Priore gli comandò di andare alla cerca. Il Beato, senza aprire bocca, si recò a compiere l’obbedienza. Al suo ritorno invece di trovare i vetri inceneriti, com’era da prevedersi, li trovò cotti al punto giusto, riusciti a meraviglia. Conservò sempre l’innocenza battesimale e, spirata l’anima benedetta, l’11 ottobre 1491, parve comunicato il suo candore anche al corpo, che risplendette di luce celeste. Papa Leone XII il 3 agosto 1825 ha confermato il culto. Le sue reliquie, conservate in San Domenico a Bologna, nel 1965 furono trasferite in una pregiata urna sull’altare a lui dedicato.
Autore: Franco Mariani
SOURCE : https://www.santiebeati.it/dettaglio/74025
Unserer lieben Frau auf dem Kapf in Schemmerhofen in Oberschwaben; Altar in der Schwabenkapelle mit den „Schwabenseligen“:
Sel. Jacob Griesinger von Ulm
Sel. Heinrich Seuse, auch Heinrich (von) Suso
Sel. Elisabeth Achler, "Gute Beth", von Reute
Hl. Krescentia (Anna) Höß von Kaufbeuren
Jakob Griesinger
auch: Jakob von
Ulm, Alemannus
Gedenktag katholisch: 11. Oktober
nicht gebotener Gedenktag im Bistum Rottenburg, im Erzbistum Bologna und im
Dominikanerorden
Name bedeutet: J: der Nachgeborene
oder: Gott schützt (hebr.)
A: der Deutsche (latein.)
Laienbruder, Künstler
* 1407 in Ulm in Baden-Württemberg
† 11. Oktober 1491 in Bologna in
Italien
Jakob wurde im
Glasmalerhandwerk ausgebildet, reiste nach Rom und
lebte einige Jahre als Söldner in Italien. 1441 trat er an San
Domenico in Bologna dem Dominikanerorden bei
und schuf in dieser Stadt außerordentliche Bildnisse.
Ein Glasschrein in der
Kirche San
Domenico in Bologna enthält Jakobs Gebeine.
Kanonisation: 1825 wurde Jakob seliggesprochen.
Attribute: Palette, Taube, Rosenkranz
Patron der Glaser und GlasmalerDie Kirche San
Domenico in Bologna ist täglich von 9 Uhr bis 12 Uhr und von 15.30 Uhr
bis 18 Uhr - sonntags nur am Nachmittag bis 17 Uhr - geöffnet. (2023)
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Autor: Joachim
Schäfer - zuletzt aktualisiert am 19.04.2023
Quellen:
• Vera Schauber, Hanns Michael Schindler: Heilige und Patrone im Jahreslauf. Pattloch, München 2001
• Messbuch. Für die Bistümer des deutschen Sprachgebietes. F. Pustet, Regensburg
1988
korrekt zitieren: Joachim Schäfer: Artikel Jakob Griesinger, aus dem Ökumenischen Heiligenlexikon - https://www.heiligenlexikon.de/BiographienJ/Jakob_Griesinger_Alemannus.html, abgerufen am 11. 10. 2024
Die Deutsche Nationalbibliothek verzeichnet das Ökumenische
Heiligenlexikon in der Deutschen Nationalbibliografie; detaillierte
bibliografische Daten sind im Internet über https://d-nb.info/1175439177 und https://d-nb.info/969828497 abrufbar.
SOURCE : https://www.heiligenlexikon.de/BiographienJ/Jakob_Griesinger_Alemannus.html
Heinrich Seuse und Jakob Griesinger, Wengenkirche Ulm
Jakob Griesinger, Wengenkirche Ulm
Griesinger, Jakob
(Jacobus de Alemania, Jacobus Teutonicus, Tedesco, Jacopo da Ulma, Giacomo di
Ulma, Giacomo d'Alemagna)
Genealogie
V Dietrich (?). Der
Familienname des Jacobus de Alemania ist v. d. Ulmer Dominikanerprior
Felix Fabri (1441–1502) überliefert. Die Griesinger waren im 15. Jh. in
Ulm Handwerker u. Müller. Eine Griesingermühle wird 1462-1529 genannt.
Biographie
G., der wohl in Ulm das
Maler- oder Glaserhandwerk erlernte, wanderte 1432 nach Rom, verbrachte 4 Jahre
als Landsknecht im Heere des Königs Alfons V. von Aragonien und 5 Jahre als
Hausverwalter eines Juristen in Capua. 1441 trat er als Laienbruder in das
Dominikanerkloster San Domenico in Bologna ein und arbeitete dort als
kunstfertiger und geachteter Glaser, Maler, Schlosser und Schmied bis zu seinem
Tode. 1463 entstanden die 6 großen Rundfenster des Mittelschiffs von San
Petronio und das Rundbogenfenster der Fassade von San Domenico. 1464-66 schuf
er mit anderen Mitbrüdern und dem Maler Michele di Matteo das, als einziges
noch erhaltene, Glasfenster der Gesellschaft der Notare in der Heilig
Kreuzkapelle der Basilika, ein realistisches Kunstwerk, in dem sich deutsche
und italienische Stilelemente mischen. In den Jahren bis 1476 ist die Bemalung
der Klosterbibliothek, die Arbeit an den großen Rundbogenfenstern ihres Mitteltraktes
und an den Spitzbogenfenstern der Dominikuskapelle bezeugt. G. bildete
mehrere Schüler heran, darunter auch seinen Biographen Ambrogino da Soncino.
Ihnen schreibt die Überlieferung Glasfenster im Mailänder Dom und in anderen
Kirchen Oberitaliens zu. Gleich nach seinem Tode wurde G. als Seliger
verehrt. Papst Leo XII. gestattete 1825 der Diözese Bologna und dem
Dominikanerorden seine Erwähnung im Offizium und in der Messe am 12. Oktober.
Literatur
ADB IX;
Frater Felix Fabri, Sionspilgerin, Hs. 1493, Bl. 343;
AA SS Oct., Bd. 5, S. 790-803 (Ber. d. Ambrogino da Soncino, 1501);
J. N. Sepp, J. G. v. Ulm, Patron d. Glasmaler, in: Münsterbll. 1888, 5, S. 37-51;
J. Burckhardt, Der Cicerone 2, S. 241 (Gesamtausg. 1933, III);
H. Wilms, Der sel. J. G. aus Ulm, 1922;
F. Filippini, Il Beato Fra. Jacopo da Ulma, domenicano, maestro di vetrate, in: Il VII. centenario di S. Domenico, Bologna, 1921, XII, S. 279 ff.;
M. Casali, La Bibl. di San Domenico in Bologna, ebd. 1959;
V. Alce, Der Ulmer Glasmaler J. G. in Bologna, in: Ulm u.
Oberschwaben 36, 1962, S. 39-45.
Autor/in
Zitierweise
Huber, Max,
"Griesinger, Jakob" in: Neue Deutsche Biographie 7 (1966), S. 65-66
[Online-Version]; URL: https://www.deutsche-biographie.de/pnd128648864.html#ndbcontent
SOURCE : https://www.deutsche-biographie.de/gnd128648864.html#ndbcontent
Darstellung
des seligen Jakob Griesinger aus dem Annus dierum Sanctorum (erschienen in
Augsburg, 1750, Augustinermuseum Rattenberg, Johann Sebastian und Johann
Baptist Klauber sowie Gottfried Bernhard Göz
Griesinger: Jacob G., geboren zu Ulm 1407, gestorben zu Bologna den
11. October 1491, zweiter Sohn des Ulmer Kaufmanns Dietrich G., brachte den
größten Theil seines Lebens in Italien zu. Als Jüngling von 25 Jahren pilgerte
er nach Rom; da es ihm aber an Mitteln zur Heimreise gebrach, wandte er sich
nach Neapel und ließ sich für das Heer König Alfons’ V. anwerben, jedoch
angewidert durch das Treiben der raublustigen Söldnerbanden verließ er ihre
Reihen und trat in die Privatdienste eines adlichen Rechtsgelehrten in Capua. Nachdem
er fünf Jahre in dessen Hause zugebracht, riß er sich los, um endlich die
Heimath wiederzusehen. Allein auf der Rückreise machte er längeren Halt in
Bologna und dort reifte in ihm der Entschluß, bei den Dominicanern, deren
ernste Frömmigkeit ihm imponirte, als Novize einzutreten (um 1437 oder 1438).
So blieb er denn zeitlebens im Kloster S. Domenico zu Bologna als Laienbruder.
Während er es an keiner mönchischen Tugend fehlen ließ, suchte er für seine
fleißige und geschickte Hand einen Beruf in der Glasmalerei, welche damals
vorzugsweise in Klöstern gepflegt wurde. Er schmückte zunächst sein Kloster und
die dazu gehörige Kirche mit Proben seiner Kunstfertigkeit, besonderen Ruhm
aber erwarb er sich durch seine Arbeiten für [668] die städtische
Domkirche S. Petronio. Die Behauptung, daß er auch ins Elsaß gekommen sei und
dort gemalt habe, ermangelt jeglichen Beleges und ist unvereinbar mit den
Nachrichten über seinen Lebensgang. In Bologna allein hat er gewirkt; dort
hinterließ er auch Schüler im Kloster S. Domenico selbst. Unter diesen that
sich Ambrogino aus Soncino hervor, welcher auch mit G. in Petronio malte. Er
setzte seinem Lehrer ein schönes Denkmal in der Biographie, die ursprünglich
italienisch abgefaßt und besonders gedruckt (Bologna 1510 und 1613), später in
die Acta Sanctorum aufgenommen wurde; es ist darin allerdings über G.
ein Heiligenschein ausgegossen, weshalb ihn auch die Glasmalerzunft in Paris zu
ihrem zweiten Patron erhob und Papst Leo XII. ihn im J. 1825 selig sprach.
Während ihn seine Klosterbrüder unter dem Namen Giacomo Alemanno (Jacobus
Teutonicus) kannten, verehrt ihn die katholische Kirche als den sel. Jacob
von Ulm. In der Geschichte der Glasmalerei ist ihm kein unbedeutender Platz zu
vindiciren, wenn auch sein Wirkungskreis nicht über Bologna hinausging. Ob er
aber zu denen zu zählen sei, welche deutsche Kunst nach Italien verpflanzten,
ist fraglich. Sein Biograph sagt nirgends, daß er irgend welche Erfahrung in
der Glasmalerei aus der Heimath mitgebracht hat. Manches mittelitalienische
Kloster (Pisa, Arezzo, Florenz, Perugia) zählte schon ehe G. in Bologna wirkte,
in seiner Mitte Mönche, welche in der Glasmalerkunst wohlerfahren waren; wie
leicht konnte sich von solchen naheliegenden Herden aus diese Kunstübung auch
nach Bologna verpflanzen! Doch wenn auch nicht deutsche Technik, so trug er
doch deutsche Kunstanschauungen über die Alpen. Sein Stil mischte sich, wie
Jacob Burckhardt sagt, aus deutschem und italienischem Realismus. Leider ist es
schwer, Malereien zu finden, welche ganz unzweifelhaft von der Hand dieses
Meisters stammen. Was er in S. Domenico malte, ist zerstört; in S. Petronio ist
es noch nicht vollkommen gelungen, die von ihm herrührenden Malereien von denen
seiner Schüler und Anderer zu scheiden; eine sichere Ueberlieferung über die
Urheber liegt nicht vor. Nach einer alten Tradition unter den Glasmalern
Frankreichs wäre Jacob von Ulm durch einen glücklichen Zufall Erfinder des
sogenannten Kunstgelb geworden; allein neueren Forschungen zufolge war diese
Schmelzfarbe bereits im vierzehnten Jahrhundert im Gebrauch.
Der Lebensgang Jac.
Griesinger’s ist hier geschildert nach Ambrogino’s (da Soncino) Biographie
desselben, wie sie in lateinischer Uebertragung durch Isidor von Mailand
in Acta SS. Boll. Oct. T. 5 p. 790–803 vorliegt (eine andere
Uebersetzung bei Surius T. 5 – 1574 – p. 722 ff.), wozu zu
vergleichen Melloni, Atti degli uomini illustri in santità nati o morti in
Bologna 3, 224–272. Den Geschlechtsnamen G. schöpfte Weyermann, Neue
Nachrichten von Ulmer Gelehrten und Künstlern, S. 137, aus Felix Fabri’s
„Sionspilgerinnen“ (ungedr.). Ueber Griesinger’s künstlerische Thätigkeit
bringt Vinc. Marchese, Memorie dei più insigni pittori, scultori e
architetti Domenicani, Ed. 3 T. 1 p. 504 ff., urkundlichen Nachweis.
Weiteres zu seiner Charakteristik s. bei Schnaase, Gesch. der bildenden Künste, Bd. 7, 2.
Aufl., S. 464, bei Burckhardt, Cicerone, 2. Aufl., S. 865, und bei Wackernagel,
Die deutsche Glasmalerei, S. 26. 64. 158 f. Ueber die angebliche Erfindung des
Kunstgelb vgl. Levieil in der Description des arts et métiers, T. 21, p.
108, col. 2, not. a, vgl. auch p. 34. Unger, Art. Glasmalerei bei
Ersch u. Gruber, S. 59. Labarte, Hist. des arts industriels, 3, 363.
Die Wirksamkeit Griesinger’s im Elsaß erörtert mit negativem Resultat
Gérard, Les artistes d’Alsace pendant le moyen-âge, 2, 342 f.
Heyd.
Wilhelm Heyd: Griesinger, Jacob. In: Allgemeine Deutsche Biographie (ADB).
Band 9, Duncker & Humblot, Leipzig 1879, S. 667 f.
SOURCE : https://de.wikisource.org/wiki/ADB:Griesinger,_Jakob