Sant'Antonio Maria Gianelli. Storica immagine del Santo di Ferro
Saint Antoine-Marie
Gianelli
Évêque de Bobbio,
fondateur des Sœurs de Sainte-Marie du Jardin (+ 1846)
Né dans la région de
Gênes, il fut tout d'abord prêtre en paroisse, puis fonda une communauté
missionnaire et une congrégation de religieuses enseignantes. Il devint ensuite
évêque de Bobbio dans la région de Piacenza, en Émilie au centre nord de
l'Italie.
À Plaisance en Émilie,
l’an 1846 le trépas de saint Antoine-Marie Gianelli, évêque de Bobbio.
Fondateur de la Congrégation des Sœurs de Sainte-Marie du Jardin, il fut un
exemple remarquable de vigilance pour les indigents et le salut des âmes, ainsi
que pour la promotion de la sainteté dans le clergé.
Martyrologe romain
SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1286/Saint-Antoine-Marie-Gianelli.html
Lundi 17 février 2003
1. Je suis heureux
de vous adresser un salut cordial, Révérende Mère, ainsi qu'au Conseil général
et aux religieuses réunies à Rome à l'occasion du XVII Chapitre général de
votre Institut. J'exprime à chacune de vous ma proximité spirituelle et je vous
assure de mon souvenir dans la prière. Je souhaite en outre faire parvenir à
toutes les Filles de "Maria Santissima dell'Orto" présentes
à travers le monde une parole particulière d'encouragement, en les invitant à
persévérer dans leur témoignage de vie consacrée et à oeuvrer généreusement
dans leurs différentes activités dans les domaines de la pastorale, de
l'éducation et de l'assistance.
Le thème qui guide vos
réflexions et l'échange d'expériences au cours de ces journées est extrêmement
stimulant: "Consacrées et envoyées au service du Royaume".
Il vous invite, chères soeurs, à retourner aux racines de votre charisme afin
de les confronter aux exigences actuelles, dans un monde en perpétuelle
évolution. L'inspiration originelle qui conduisit votre Fondateur, dans la
première moitié du XIX siècle, à donner naissance, à Chiavari, à une
institution religieuse essentiellement orientée au service de la personne,
continue de vous offrir, aujourd'hui, d'excellents motifs pour un élan
renouvelé au service de la mission éducative et caritative.
2. Saint Antonio
Maria Gianelli vécut avec vigueur et passion sa mission au service du Royaume
de Dieu. Il aimait répéter: "Dieu, Dieu, et Dieu seul".
Toute son action était animée par le désir ardent d'appartenir au Christ. Il
désirait servir le Seigneur à travers les personnes pauvres, malades, sans
instruction, ainsi que celles qui ne connaissaient pas ou n'avaient pas encore
rencontré Dieu dans leur existence. Il ouvrait son coeur à l'accueil des frères
et se préoccupait de chaque personne. Ses enseignements sont bien exprimés dans
vos Constitutions, qui reflètent le style qui caractérise votre Famille
religieuse: la fidélité au charisme, à travers une vie de charité
évangélique vigilante, dans l'oubli de votre propre intérêt et de votre propre
confort; l'application à demeurer attentives aux besoins de votre temps, dans
la joie de vous faire toutes pour tous à travers un engagement qui ne connaisse
pas d'autre limite que ce qui est impossible ou inopportun. (cf. n. 2).
3. Poursuivez,
chères soeurs, sur ce chemin, en mettant le Christ au coeur de votre vie et de
votre mission. Je suis heureux de souligner ici ce qui a été dit dans une
récente Instruction de la Congrégation pour les Instituts de Vie
con-sacrée: "Il faut repartir du Christ, car c'est de lui que
sont partis les premiers disciples en Galilée; c'est de lui que sont partis, au
cours de l'histoire de l'Eglise, des hommes et des femmes de toute condition et
de toute culture qui, consacrés dans l'Esprit en vertu de leur appel, ont
quitté pour lui leur famille et leur patrie et l'ont suivi sans condition, se
rendant disponibles pour annoncer le Royaume et faire du bien à tous (cf. Ac 10,
38)" (Repartir
du Christ, 19 mai 2002, n. 21; cf. ORLF n. 37 du 10 septembre 2002). Chères
soeurs, avancez en eaux profondes dans le nouveau millénaire, avec la
conscience que votre apostolat représente une possibilité providentielle de
faire resplendir dans le monde la gloire de Dieu.
Qu'à la base de votre
oeuvre se trouve cet amour que votre saint Fondateur considère - à juste titre
- comme un principe pédagogique fondamental. Il recommandait à ses filles
spirituelles: "Qu'elles se préoccupent en priorité d'aimer
véritablement et de faire preuve d'un grand amour à l'égard des petites filles
qui leur sont confiées, car personne n'aime celui qui ne l'aime pas; et si
elles ne sont pas aimées par elles, elles ne viendront même pas à l'école,
elles ne resteront pas volontiers en leur compagnie et elles n'apprendront pas
la moitié de ce qu'elles apprendraient en aimant leurs Maitresses et en se
voyant aimées d'elles".
4. La pauvreté,
assumée avec plaisir et dans la joie, constitue une condition qui facilite et
rend plus fructueux votre témoignage. Que la pauvreté, comme aimait le répéter
Saint Antonio Maria Gianelli, soit "le véritable signe distinctif de
votre Institut". Avec l'amour fidèle à la pauvreté, que ne fasse jamais
défaut l'esprit de sacrifice, dans la conscience quotidienne qu'une fille de
Marie "ne peut demeurer sans Croix".
Soyez ensuite
d'inlassables témoins de l'espérance. Parmi les vertus que doivent pratiquer
les Filles de "Maria Santissima dell'Orto", saint Antonio Maria
Gianelli met à l'honneur la grande confiance en Dieu. Vivre abandonnées en
Lui: voilà ce qui vous permettra de ne pas vous laisser déranger par les
échecs apparents, mais vous rendra au contraire capable de soutenir les
personnes angoissées et désorientées. Votre fondateur exhortait vos consoeurs
d'alors avec ces mots: "Lorsque quelque chose ne se terminera
pas très bien, voire mal, elles n'en seront pas perturbées, et ne croiront pas
que ce soit véritablement un mal; mais elles feront acte d'humilité devant Dieu
et auront confiance dans Son pouvoir à en tirer un bien".
5. Révérende Mère,
tout en formant pour vous et pour vos consoeurs capitulaires le souhait d'un
travail intense et fructueux au bénéfice de la Congrégation tout entière, je
vous exhorte toutes à mettre à profit la riche expérience spirituelle qui
caractérise votre Famille religieuse. Chères filles de Marie, que votre regard
demeure fixé sur votre Fondateur et sur vos consoeurs qui vous ont précédées
dans le service fidèle à l'Eglise. Soyez persuadées que même dans les moments
difficiles, la Divine Providence ne cesse de vous soutenir efficacement.
Que la Bienheureuse
Vierge "dell'Orto", votre protectrice particulière, vous accompagne
sur le chemin de sainteté que vous avez entrepris et qu'elle vous aide à tirer
des fruits importants de votre Assemblée capitulaire. Je vous assure de ma
prière, et j'accorde de tout coeur à chacune de vous la Bénédiction
apostolique, en l'étendant volontiers à toute votre Famille religieuse et à
tous ceux que vous rencontrez au cours de vos activités.
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la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana
Saint Antoine-Marie
GIANELLI
Nom: GIANELLI
Prénom: Antoine-Marie
Pays: Italie
Naissance:
12.04.1789 (Ligurie)
Mort:
07.06.1846 à Plaisance
Etat: Evêque - Fondateur
Note: Fondateur en 1829
des "Filles de Marie très sainte" pour l'éducation de la jeunesse,
les malades et les vieillards. Evêque de Bobbio en 1838.
Béatification:
19.04.1925 à Rome par Pie XI
Canonisation:
21.10.1951 à Rome par Pie XII
Fête: 7 juin
Réf. dans l’Osservatore
Romano: 2003 n.9 p.5
Réf. dans la Documentation
Catholique: 1951 col.1555-1562
Notice
Né à Cerreto, en Ligurie,
Antoine-Marie Gianelli est ordonné prêtre à vingt-trois ans. Professeur de
petit séminaire, il fonde en 1829 les "Filles de Marie de l'orto" (du
jardin), pour l'éducation de la jeunesse, le soin des malades et des
vieillards, congrégation qui essaime hors frontières. Puis après avoir été curé
d'une grosse paroisse, il est sacré évêque de Bobbio en 1838. Homme d'action
qui puise ses ressources dans la contemplation, il mène une vie très mortifiée,
à quoi s'ajoute bien des croix, notamment la défection d'un proche collaborateur
qu'il convertira par ses prières et ses larmes. "Son zèle courageux et
infatigable le fait appeler 'un homme de fer'" et dans son apostolat, il
agit "avec force et douceur". Une vie comblée de fruits spirituels,
ce fidèle intendant rend son âme à Dieu à 57 ans, le 7 juin 1846.
SOURCE : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0072.htm
Saint Antonio Maria
Gianelli
Évêque, fondateur
1789-1846
Notice biographique
Né à Cerreto, en Ligurie,
le 12 avril 1789, Antoine-Marie Gianelli est ordonné prêtre à vingt-trois ans.
Professeur de petit séminaire, il fonde en 1829 les “Filles de Marie de l'orto”
(du jardin), pour l'éducation de la jeunesse, le soin des malades et des vieillards,
congrégation qui essaime hors frontières. Puis après avoir été curé d'une
grosse paroisse, il est sacré évêque de Bobbio en 1838. Homme d'action qui
puise ses ressources dans la contemplation, il mène une vie très mortifiée, à
quoi s'ajoute bien des croix, notamment la défection d'un proche collaborateur
qu'il convertira par ses prières et ses larmes. «Son zèle courageux et
infatigable le fait appeler “un homme de fer”» et dans son apostolat, il agit
“avec force et douceur”. Une vie comblée de fruits spirituels, ce fidèle
intendant rend son âme à Dieu à 57 ans, le 7 juin 1846, à Plaisance.
Béatifié le 19 avril 1925
à Rome par Pie XI
Canonisé le 21 octobre
1951 à Rome par Pie XII
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/hagiographie/listes/listeprenom.htm
SOURCE : http://voiemystique.free.fr/antonio_maria_gianelli.htm
Saint Antoine-Marie Gianelli
Évêque et fondateur des
:« Filles de Sainte-Marie dell’Orto »
Antonio Maria Gianelli naît
à Cerreta, près de Chiavari, archidiocèse de Gênes (en Ligurie), le 12 avril
1789, jour de Pâques ; il est baptisé le 19 avril.
À l’âge de 19 ans il
entre au séminaire et, quatre ans après, le mois de mai 1812, il est ordonné
prêtre à Gênes.
Professeur du petit
séminaire, il fonde en 1829 les « Filles de Sainte-Marie dell’Orto »
(du Jardin), « Gianellines », pour l’éducation de la jeunesse, le
soin des malades et des vieillards. Puis après avoir été curé d’une grosse
paroisse, il est sacré évêque de Bobbio en 1838. Homme d’action qui puise
ses ressources dans la contemplation, il mène une vie très mortifiée, à
laquelle s’ajoutent bien des croix, notamment la défection d’un proche
collaborateur qu’il convertira par ses prières et ses larmes. « Son zèle
courageux et infatigable le fait appeler “un homme de fer” » et dans
son apostolat, il agit « avec force et douceur ».
Après une vie comblée de
fruits spirituels, ce fidèle intendant rend son âme à Dieu à 57 ans, le 7 juin
1846, à Plaisance.
Antonio Maria Gianelli a
été béatifié le 19 avril 1925 par Pie XI (Ambrogio Damiano Ratti,
1922-1939), à Rome, et canonisé le 21 octobre 1951 par le vénérable
Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958) toujours à Rome.
Le 04 juin de l’année
2000 a été nommé saint patron de Bobbio.
Pour un
approfondissement :
Sources principales :
martyretsaint.com ; wikipédia.org (« Rév. x gpm »).
©Evangelizo.org 2001-2017
Navata del santuario di Cerreta, Carro, Liguria, Italia
Altare destro del santuario di Cerreta, Carro, Liguria, Italia
Statua del santo Antonio Maria Gianelli del santuario di Cerreta, Carro,
Liguria
Antonio Maria Gianelli
Évêque, Fondateur, Saint
1789-1846
« Antoine-Marie
Gianelli est né en Ligurie, le 12 avril 1789. Devenu prêtre, il se distingua
comme missionnaire et comme prédicateur populaire ; il enseigna aussi la
rhétorique dans les Petits Séminaires de Gênes et de Chiavari, où il fonda en
1829 la Congrégation des Figlie di Maria Santissima All'Orto, dont les
activités sont consacrées à l'éducation de la jeunesse féminine et aux soins
des malades (Italie, Amérique du Sud, Asie, Jérusalem). Le bienheureux Gianelli
devint évêque de Bobbio en 1838 et mourut à Plaisance Ie 7 juin 2846. Il avait
été béatifié par Pie XI le 19 avril 1925.
Antoine-Marie Gianelli,
doué naturellement d'une riche nature, l'enrichit des dons de la grâce et des
progrès de la science et de la vertu, si bien que, dès sa jeunesse, on put
présager qu'il parviendrait à un haut degré dans la sainteté et qu'il
produirait les meilleurs fruits de salut. Elevé au sacerdoce, il passa de
nombreuses années à éduquer comme maître et comme directeur, de jeunes clercs
dont le développement faisait l'espoir de l'Eglise, plus remarquable à leurs
yeux par l'exemple de sa sainteté que par l'autorité de son magistère. Chargé
ensuite d'une très grande paroisse à Chiavari, il se dévoua tout entier au
salut des âmes. Sa charité envers les pauvres, les malheureux et les malades le
fit appeler le père de tous ; son zèle courageux et infatigable, un
« homme de fer ». Ensuite la dignité épiscopale qui lui fut conférée
ayant ouvert un champ plus vaste à son activité, il s'y montra rempli de
sagesse et de vertu, non moins que de prudence dans les affaires, prudence
acquise par l'expérience. Il s'appliqua à former ses jeunes clercs à la piété
et à la discipline, à diriger ses prêtres, à les gouverner et à les pousser
d'une façon salutaire et activé vers toutes les bonnes oeuvres ; il entreprit
lui-même les saintes prédications au peuple, qu'on désigne sous le nom de
missions, ou il en fit prêcher le plus souvent possible par ses collaborateurs
; le tout avec un grand succès. Par-dessus tout, il eut à coeur que tous, au
milieu des temps troublés que l'on traversait, entraînés par son exemple,
restent très attachés au Saint-Siège.
Il fut en outre le
fondateur d'une Congrégation de religieuses, dont le but était d'élever
chrétiennement la jeunesse et de soigner les malades et les vieillards dans les
hôpitaux et les hospices avec cette bonté qu'inspire la charité chrétienne. A
la fin, ceux qui le voyaient tellement accablé et fatigué le reprenaient
doucement et il leur répondait que le prêtre n'avait que deux lieux de repos,
la tombe pour son corps et le paradis pour son âme.
Si l'on veut suivre le
chemin et l'ascension de saint Antoine-Marie Gianelli, de la modeste petite
maison natale au palais épiscopal de Bobbio, le souvenir du Bienheureux Pie X
revient naturellement à la pensée. Pauvre et fier de sa pauvreté, il l'aime et
en fait la compagne de toute sa vie.
Il renonce à tout ce qui
aurait pu contaminer avec l'esprit du siècle son amour pour sa famille, amour
qu'il n'étouffe pas mais qu'il transfigure. Il aurait regardé comme un acte
d'odieux népotisme toute démarche pour promouvoir le bien matériel ou l'honneur
mondain des siens, mais, il veut auprès de lui, avec une tendresse filiale, sa
pauvre et toujours humble mère. Rien n'est plus émouvant que l'exemple de cet
évêque qui, pleinement soucieux de ses devoirs de fils, entièrement appliqué à
ses devoirs de pasteur et de père, écrit au chevet de sa mère mourante, une de
ses plus belles lettres de direction spirituelle.
Il est, en effet, un
maître de la vie spirituelle, une de ces âmes privilégiées, qui reversent sur
les autres la surabondance de la vie divine fermentant dans leur esprit et dans
leur coeur. Tout son être est une réponse triomphante à ceux qui voudraient
trouver dans l'agitation d'un zèle sincère mais indiscret, une excuse ou un
prétexte pour déserter la contemplation au bénéfice de l'action. L'histoire ne
désigne-t-elle point les plus actifs et féconds apôtres comme les plus grands
contemplatifs ? Notre saint est un des leurs.
Contemplation et
mortification, fidélité aux devoirs de son état et de la mission reçue, c'est
tout ce que Dieu attend de ceux dont il veut faire ses apôtres ; le résultat,
c'est Lui-même qui s'en charge. Or, à la prière et à l'union avec Dieu, le
saint évêque associe, à un haut degré, la mortification intérieure et
extérieure, dans son activité apostolique comme dans sa vie privée. Le
témoignage en a été rendu par ceux qui, en raison de leur condition et de leur
charge, étaient en mesure de surprendre le secret de ses âpres austérités personnelles
; ou qui le voyaient dans les missions et dans les processions de pénitence,
pieds nus, une corde au cou et le front ceint d'épines, ou se flagellant
sévèrement. Et comme si tout cela n'eût point suffi, aux afflictions
volontaires et spontanées, viennent s'ajouter celles dont Dieu le comble. Rien
ne lui est épargné : hostilité, contradictions, soupçons, calomnies,
persécutions ; même pas l'abandon et l'apostasie de son plus cher
disciple, dont l'émouvante conversion, bien plus tard, fut le fruit de ses
prières et de ses larmes.
Personne ne peut suivre
le Maître divin, ni participer à son oeuvre de salut, s'il ne porte après Lui
la croix, sa propre croix, proportionnée, adaptée, ajustée à son destin
providentiel. Celle de saint Antoine-Marie Gianelli a pesé de tout son poids
sur ses épaules, prenant, comme la Croix de Jésus, tous les aspects, parce que
la mission qui lui est confiée s'étend à tous et à toutes. L'objet direct de
cette mission ? C'est l'enseignement, l'éducation, le gouvernement, l'administration,
parce que là encore, il est apôtre. Sa manière ? Fortiter et
suaviter ; la douceur et la fermeté, soutenues au prix des plus graves
sacrifices, tempérées seulement par la charité pour la gloire et le service de
Dieu et pour le plus grand bien des âmes. Son champ d'action ? Les collèges,
séminaires, paroisses et diocèses. Son extension ? Bien au-delà de ce qu'il
peut faire et fait par lui-même, les prêtres et les religieux formés par lui,
les missionnaires et les oblats, tant qu'ils durent, font rayonner et comme se
multiplier son activité personnelle. Son oeuvre préférée, les Soeurs
« Filles de Notre-Dame de l'Orto », formées à son école et à son
exemple, étendent efficacement son influence salutaire, surtout parmi les
catholiques de toute condition et de tout niveau.
Ignace de Laconi,
François Xavier Marie Bianchi, Antoine Marie Gianelli sont là vraiment trois
apôtres de la meilleure trempe. Ils en ont les caractères naturels, qui les
font semblables, alors qu'ils ont avancé et travaillé dans des voies bien
différentes, manifestant ainsi la grâce multiforme de Dieu. Chers fils et
filles, que la reconnaissance, la dévotion, l'esprit filial ont réunis autour
de vos trois saints, rappelez-vous que, bien que dans les activités et les
circonstances les plus variées, Dieu vous appelle tous à l'apostolat. Pour
répondre à l'invitation divine, efforcez-vous, dans la mesure de la grâce
accordée à chacun et à chacune de vous, de progresser toujours dans l'esprit de
prière et d'abnégation, et, avec cet esprit, appliquez-vous à remplir chaque
jour les devoirs de votre état. En cela les trois nouveaux saints et encore
plus hautement saint Joseph, l'époux de la Bienheureuse Vierge, dans
l'obscurité de son humble métier, Marie, Reine des Apôtres, Jésus, Rédempteur
du monde, sont vos modèles et, en même temps, vos intercesseurs pour vous
obtenir les plus hautes grâces de Dieu, en gage desquelles Nous vous donnons, à
vous, à tous ceux que vous représentez et à toutes les personnes et les choses
qui vous sont chères, Notre Bénédiction apostolique. »[1]
[1] Pie
XII : Homélie lors de la canonisation des saints Antoine Marie Gianelli,
François Xavier Marie Bianchi et Ignace de Laconi (22 octobre 1951).
SOURCE : http://nouvl.evangelisation.free.fr/antonio_maria_gianelli.htm
Also
known as
Antony Gianelli
Profile
Son of Mary and James
Gianelli, Anthony grew up in a poor,
pious family in a small farming village.
His mother taught catechism,
and his father was
known as a generous peace-maker in
the town. Anthony was such a promising student that
the owner of his family farm paid
for his seminary education. Ordained a priest on 24 May 1812;
he was so young that he needed special dispensation for the ordination,
but was such a promising candidate that he received it. Served as a parish priest.
Archpriest of Chiavari, Italy in 1826.
Founder of the Missionaries of Saint Alphonsus in 1827,
a men’s missionary congregation
that lasted until 1856.
Founder of the Oblates of Saint Alphonsus in 1828,
which lasted until 1848.
Founder of the Sisters of Our Lady of the Garden 1829,
a women‘s teaching order
that also worked with the sick,
and which continues its work today in Europe,
the United
States, and Asia. Bishop of Bobbio, Italy in 1837.
Organized the Society of Saint Raphael and Society of Saint
Dorothea to instruct the faithful in his diocese.
Restored devotion to Saint Columbanus in
his diocese.
Conducted two synods, and was constantly on the road from parish to parish,
visiting his flock.
Born
12
April 1789 at
Cerreto, Italy
7 June 1846 of
a serious fever
11
April 1920 by Pope by
Pope Benedict
XV (decree of heroic
virtues)
21
October 1951 by Pope Pius
XII
Bobbio, Italy (proclaimed
on 7
December 1963 by Pope Paul
VI)
–
Missionaries
of Saint Alphonsus
Sisters
of Our Lady of the Garden
Additional
Information
Book
of Saints, by the Monks of
Ramsgate
Saints
of the Day, by Katherine Rabenstein
The
Holiness of the Church in the 19th Century
books
Our Sunday Visitor’s Encyclopedia of Saints
other
sites in english
images
video
sitios
en español
Martirologio Romano, 2001 edición
fonti
in italiano
Dicastero delle Cause dei Santi
Readings
O Saint Anthony Gianelli,
who through your work have shown such great love to all, intercede for the
bishops of the world and especially my bishop {name of your bishop}. Help
our bishops to
spread the Gospel to all men so that through them all men may find the way to
salvation. I ask you to intercede on my behalf so that through your powerful
intercession I may obtain the grace that I so ardently desire {name your
intention}. Intercede for me and for all those who are dear to me peace of
mind, perseverance in good works and a holy death. Amen. – prayer to Saint Anthony
Gianelli
MLA
Citation
“Saint Anthony Mary
Gianelli“. CatholicSaints.Info. 6 June 2024. Web. 9 May 2025.
<https://catholicsaints.info/saint-anthony-mary-gianelli/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-anthony-mary-gianelli/
Statua
(interamente ideata e realizzata dal Maestro d'Arte spezzino Claudio Caporaso)
di Sant'it:Antonio Maria Gianelli patrono
della Val di Vara a Brugnato
Monday, 17 February
2003
To Reverend Mother Sr Maria Antonietta Cappelli
Superior General of the Institute "Daughters of Our Lady of the
Garden"
1. I am pleased to
address my cordial greetings to you, Reverend Mother, to the General Council
and to the sisters, meeting in Rome for the 17th General Chapter of this
Institute. To each one I manifest my spiritual closeness and assure you of my
remembrance in prayer. I would also like to extend to all the Daughters of Our
Lady of the Garden scattered throughout the world a special word of
encouragement, inviting them to continue in their witness of consecrated life
and to work generously in their various pastoral, educational and charitable
activities.
You have chosen a
provocative guiding theme for your reflections and exchange of experiences:
"Consecrated and sent out to serve the Kingdom". It impels you, dear
Sisters, to return to the roots of your charism to examine them in the light of
the current needs in a world in continuous evolution. The original inspiration
which led your Founder in the first half of the 19th century to found a
religious institute in Chiavari essentially oriented to the service of the
person continues to offer you valid motives for a renewed dedication to your
educational and charitable mission today.
2. With energy and zeal,
St Anthony Mary Gianelli lived his mission at the service of the Kingdom of
God. He was fond of repeating: "God, God, God alone". All
his activity was motivated by his burning desire to belong to Christ. He wanted
to serve the Lord in the poor, the sick, the uneducated and in those who did
not yet know or had not yet met God in their lives. He opened his heart to
welcome his brethren and showed concern for everyone. His teachings are well
expressed in your Constitutions which describe the style that identifies your
religious family: fidelity to the charism, living in watchful Gospel
charity, forgetting your own interest and comfort, being attentive to the needs
of the times, happy to make yourselves all things to all people with a devotion
that knows no bounds, other than the impossible or the inopportune (cf. n. 2).
3. Dear Sisters, continue
on this path putting Christ at the centre of your life and mission. I am
pleased here to stress what was said to you in a recent Instruction of the
Congregation for the Institutes of Consecrated Life and Societies of Apostolic
Life: "One must start afresh from Christ because it was from him that the
first disciples started in Galilee; from him, that throughout history men and
women of every status and culture, consecrated by the Spirit in the strength of
their call, have started out; for him they have left family and homeland,
following him unconditionally, making themselves available for the announcement
of the Kingdom and doing good for all (cf. Acts 10,38)" (Starting
Afresh from Christ, 19 May 2002, n. 21; ORE, 26 June 2002, p. V).
Dear Sisters, put out into the deep in the new millennium conscious that your
apostolate is a providential opportunity to make God's glory shine in the
world.
Let your activity be
founded on that love which for your holy Founder was - and rightly so - a
fundamental pedagogical principle. He recommended to his spiritual daughters:
"In the first place see that you are truly loving and show great love to
the little girls who are entrusted to you, for no one loves those who do not
love; if they are not loved by you, they will not come to school, or they will
not want to be with you and will learn only half of what they would learn if
they loved their Teachers and realized that their Teachers loved them".
4. Poverty, accepted
willingly and joyfully, is a condition that makes your witness easier and more
fruitful. As St Anthony Mary Gianelli liked to repeat, let poverty be
"the true badge of your Institute". Next to faithful love of poverty,
let the spirit of sacrifice never be absent in the daily consciousness that a
Daughter of Mary "cannot be without the Cross".
Then be tireless
witnesses of hope. Among the virtues that the Daughters of Our Lady of the
Garden should cultivate, St Anthony Mary Gianelli stressed great confidence in
God. Live abandoned to Him: it is this that will enable you not to be
upset by apparent failures and, indeed, will enable you to give support to
people who are anxious and confused. In his time, your Founder exhorted your
sisters: "When something turns out not very well or even badly, do
not be disturbed nor think it a real evil; but be humble before God and be
confident that from it He will draw some good".
5. Reverend Mother, as I
express to you and the Chapter Sisters my best wishes for an intense and
fruitful outcome for the benefit of the entire Congregation, I urge you all to
cherish the rich spiritual experience that distinguishes your religious family.
May your gaze, dear Daughters of Mary, remain fixed on the Founder and on your
Sisters who preceded you in faithful service to the Church. Rest assured that
even in difficult moments Divine Providence does not cease to support you
effectively.
May the Blessed Virgin
Mary, Our Lady of the Garden, your special Protectress, accompany you on the
path of holiness on which you have set out, and help you draw abundant fruit
from your Chapter Meeting. I assure you of my prayers, and cordially impart to
each of you my Apostolic Blessing, which I gladly extend to your entire
religious family and to those you meet in your activities.
Copyright © Dicastero per
la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana
Book
of Saints – Antony Mary Gianelli (Blessed) Bishop
Article
(19th century) Born at
Cerreto near Genoa in 1789, and remarkable from his early years for his
devotion to Our Lady, Antonio Gianelli was ordained in 1812 and, after twelve
years spent as a devoted parish priest, was consecrated Bishop of Bobbio in
1838, in which office he was a model of pastoral zeal. He died in 1846 and was
beatified in 1925.
MLA
Citation
Monks of
Ramsgate. “Antony Mary Gianelli (Blessed) Bishop”. Book
of Saints, 1931. CatholicSaints.Info.
16 April 2024. Web. 9 May 2025.
<https://catholicsaints.info/book-of-saints-antony-mary-gianelli-blessed-bishop/>
SOURCE : https://catholicsaints.info/book-of-saints-antony-mary-gianelli-blessed-bishop/
The
Holiness of the Church in the Nineteenth Century – Venerable Anthony Gianelli
Entry
The Venerable Anthony
Gianelli, bishop of Bobbio on the Trebbia, was held in high repute throughout
Upper Italy. The most prominent feature of his sanctity was his unwearying zeal
for souls. His natural gifts of eloquence served him greatly in this. While professor
of Rhetoric in the seminary of Genoa he used his spare time in giving missions
to the country folk. Later, when archpriest at Chiavari, he devoted himself
entirely to this work and founded a Society of secular priests, called the
Oblates of Saint Alphonsus of Liguori, for the purpose of giving missions and
spiritual exercises. After his appointment as bishop of Bobbio, he verily
consumed himself by his zeal in keeping far from his flock whatever might bring
it harm. His life, says his biographer, recalls to mind the most amiable and
consoling traits found in hagiography. Widely mourned, this distinguished
bishop died in 1846, in the fifty-seventh year of his age. A Congregation of
Sisters – the Daughters of Mary del Orto – founded by him when archpriest, is
widely distributed throughout Italy and South America.
MLA
Citation
Father Constantine
Kempf, S.J. “Venerable
Anthony Gianelli”. The
Holiness of the Church in the Nineteenth Century, 1916. CatholicSaints.Info.
28 April 2022. Web. 9 May 2025.
<https://catholicsaints.info/the-holiness-of-the-church-in-the-nineteenth-century-venerable-anthony-gianelli/>
Antony Mary Gianelli B (RM)
Born at Cereta (near Genoa), Liguori, Italy, in 1789; died June 8, 1846; beatified in 1925; canonized in 1951. As a youth Antony was conspicuous for his gentle docility, industry, and intelligence. A generous benefactress made it possible for this middle-class boy to study in Genoa. He so distinguished himself in his seminary studies that he was allowed to preach while he was still only a subdeacon. Even then his eloquence drew crowds. He was ordained to the priesthood in 1812 by special dispensation because he was not of canonical age for ordination. He engaged in pastoral and educational work as a parish priest, gave numerous missions, and became known for his preaching and as a confessor besieged by penitents. He became archpriest of Chiavari in 1826. Before he was 40, he had founded a congregation of priests (in 1827), Missioners of Saint Alphonsus Liguori, and one of women (in 1829), Sisters of Santa Maria dell'Orto ('of the Garden'), who were devoted to teaching poor children and caring for the sick. These sisters spread to the United States and Asia. In 1838, he was appointed bishop of Bobbio, where he ruled wisely until his death. Because he was a man of extraordinary virtue and prudence, he gained the support of his priests. He also restored the cultus of Saint Columbanus (Benedictines, Delaney, Farmer, Walsh).
SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0607.shtml
ST. ANTHONY MARY GIANELLI
Anthony grew up in a poor
but pious family in a small farming village near Genoa, Italy. The owner of his
family farm paid for Anthony's seminary education because he was such a
promising student. He was very young for ordination and required a special
dispensation, however he was ordained in 1812 and served as a parish
priest, and eventually founded several religious communities, some of them
short-lived.
In 1827, he founded the
Missionaries of St. Alphonsus, which lasted until 1848. He also founded the
Oblates of Saint Alphonsus in 1828, which lasted only 20 years. The Sisters of
Our Lady of the Garden, which he founded in 1829, still continue their ministry
in education and among the sick in Europe, Asia and the United States.
He was named bishop
of Bobbio, Italy in 1837 and actively restored devotions and instructed the
faithful. He was a people’s bishop, visiting with his parishes and organizing
two synods. He died after nine years as bishop on June 7, 1846 due to a serious
fever.
He was canonized in 1951.
SOURCE : http://www.catholicnewsagency.com/saint.php?n=493
St. Anthony Gianelli
(Feast: June 7)
Anthony Maria Gianelli
was born in 1789 into a middle-class family living near Genoa in the north of
Italy. As a child, people were often struck by his gentle nature,
industriousness, and extraordinary intelligence. When he came of age, the lady
who owned the farm his family lived on became his generous benefactress and
financed his schooling and entry into the ecclesiastical seminary in Genoa.
He quickly distinguished
himself by his virtue and exceptional eloquence, thus earning him the unusual
privilege of being allowed to preach while still a subdeacon. In 1812, when he
was twenty-three years old, he was granted special dispensation to be ordained
a priest two years before the required canonical age.
Although Fr. Anthony was
dedicated to his educational work, he also devoted himself to the work of
preaching and hosting missions which resulted in a great harvest of souls. All
this was in addition to all his ordinary duties and functions as a parish
priest – indeed, he was often confined to his confessional for long stretches
of time in order to accommodate the endless stream of penitents who flocked to
him for spiritual aid.
He was ordained a bishop
in 1838 and appointed to the diocese of Bibbio, where he led his flock by his
extraordinary example of virtue, prudence and firm government.
Before his death from a
fever in 1846, at the age of fifty-seven, Bishop Gianelli founded three
religious orders - two for men and one for women. The Missionaries of St.
Alphonsus and the Oblates of St. Alphonsus were established in 1827-1828; but
sadly, both lasted only twenty years.
The Sisters of Our Lady
of the Garden were founded in 1829 and dedicated their lives to teaching poor
children and caring for the ill and infirm. They are still active and well
known today in Italy and in other parts of the world as well.
Anthony Gianelli was
canonized in 1951 by Pope Pius XII.
SOURCE : https://www.americaneedsfatima.org/Saints-Heroes/st-anthony-gianelli.html
Saint Anthony Gianelli
Jul 21, 2020 /
Written by: America
Needs Fatima
Feast June 7
Anthony Maria Gianelli
was born in 1789 into a middle-class family living near Genoa in the north of
Italy. As a child, people were often struck by his gentle nature,
industriousness, and extraordinary intelligence. When he came of age, the lady
who owned the farm his family lived on became his generous benefactress and
financed his schooling and entry into the ecclesiastical seminary in Genoa.
He quickly distinguished
himself by his virtue and exceptional eloquence, thus earning him the unusual
privilege of being allowed to preach while still a subdeacon. In 1812, when he
was twenty-three years old, he was granted special dispensation to be ordained
a priest two years before the required canonical age.
Although Fr. Anthony was
dedicated to his educational work, he also devoted himself to the work of
preaching and hosting missions which resulted in a great harvest of souls. All
this was in addition to all his ordinary duties and functions as a parish
priest – indeed, he was often confined to his confessional for long stretches
of time in order to accommodate the endless stream of penitents who flocked to him
for spiritual aid.
He was ordained a bishop
in 1838 and appointed to the diocese of Bibbio, where he led his flock by his
extraordinary example of virtue, prudence and firm government.
Before his death from a
fever in 1846, at the age of fifty-seven, Bishop Gianelli founded three
religious orders - two for men and one for women. The Missionaries of St.
Alphonsus and the Oblates of St. Alphonsus were established in 1827-1828; but
sadly, both lasted only twenty years.
The Sisters of Our Lady
of the Garden were founded in 1829 and dedicated their lives to teaching poor
children and caring for the ill and infirm. They are still active and well
known today in Italy and in other parts of the world as well.
Anthony Gianelli was
canonized in 1951 by Pope Pius XII.
SOURCE : https://americaneedsfatima.org/articles/saint-anthony-gianelli
Sant' Antonio Maria Gianelli Vescovo
Carro, La Spezia, 12 aprile 1789 - Piacenza, 7 giugno
1846
Nato il 12 aprile 1789, a Cereta, presso Chiavari,
Antonio Maria Gianelli entrò in seminario a 19 anni e fu ordinato sacerdote
quattro anni dopo. Insegnante di lettere e di retorica, per accogliere il nuovo
vescovo, Lambruschini, organizzò a Genova una recita intitolata «La riforma del
seminario» che ebbe una notevole eco. Dal 1826 al 1838 fu arciprete a Chiavari.
Questo periodo è contrassegnato da una serie di innovazioni pastorali e dalla
creazione di varie istituzioni, come un proprio seminario. Sotto il nome
inconsueto di «Società Economica» prese l'avvio un'istituzione culturale e assistenziale
affidata da don Gianelli «alle cure delle Signore della Carità» per
l'istruzione gratuita delle ragazze povere. Era l'abbozzo della fondazione,
avvenuta nel 1829, delle Figlie di Maria, conosciute tuttora col nome di suore
Gianelline. Due anni prima aveva creato una piccola congregazione
missionaria per la predicazione al popolo e l'organizzazione del clero. Nel
1838 venne eletto vescovo di Bobbio. Aiutato dai Liguoriani, ricostituì la sua
congregazione col nome di Oblati di Sant'Alfonso. Morì il 7 giugno 1846. (Avvenire)
Etimologia: Antonio = nato prima, o che fa fronte ai
suoi avversari, dal greco
Emblema: Bastone pastorale
Martirologio Romano: A Piacenza, transito di
sant’Antonio Maria Gianelli, vescovo di Bobbio, che fondò la Congregazione
delle Figlie di Maria Santissima dell’Orto e rifulse per l’impegno e il
luminoso esempio di dedizione ai bisogni dei poveri e alla salvezza delle anime
e nel promuovere la santità del clero.
Antonio Maria Gianelli, vescovo di Bobbio e fondatore
delle Figlie di Maria SS. dell’Orto, nacque a Cereta, frazione di Carro in
provincia di La Spezia, il 12 aprile 1789, domenica di Pasqua. I genitori,
poveri contadini, lo avviarono ben presto al lavoro dei campi ma un’amica di
famiglia, Nicoletta Rebizzo, conoscendo l’intelligenza del ragazzo che col
passare degli anni aveva manifestato segni evidenti di vocazione al sacerdozio,
lo condusse a Genova presentandolo all’arcivescovo cardinale Giuseppe Spina e
favorendone l’entrata in seminario. Il diciannovenne Antonio si mise subito in
luce per la sua condotta esemplare, caratterizzata da una profonda pietà
eucaristica e da una filiale devozione alla Madonna. Anche negli studi il
profitto era eccellente, al punto che l’arcivescovo lo ammise al suddiaconato
prima che iniziasse il corso di teologia e, colpito dalla sua facilità di
parola, gli consentì di predicare e grazie a una speciale dispensa, lo ordinò
sacerdote il 23 maggio 1812 a soli 23 anni. In seguito lo nominò coadiutore di
S. Matteo, la celebre abbazia dei Doria e due anni dopo lo mandò a insegnare
lettere a Carcare, provincia di Savona, nel collegio degli Scolopi, dove il
giovane prete si schierò a favore del metodo educativo preventivo. Nel
frattempo si era iscritto alla Congregazione dei Missionari Suburbani,
istituita nel 1713, per specializzarsi nella predicazione popolare. Ma nel
1816, resasi vacante la cattedra di retorica nel seminario, Antonio vi fu
destinato e lì ebbe tra i suoi alunni il futuro arcivescovo genovese mons.
Magnasco e il venerabile Giuseppe Frassinetti, fondatore dei Figli
dell’Immacolata. Il tempo libero degli impegni scolastici egli lo impiegava
nella predicazione, nella confessione e nella direzione spirituale di vari
istituti religiosi.
Dal 1821 al 1826, come direttore della Confraternita
della Santa Croce, ebbe modo di aiutare persone di ogni condizione sociale. Il
suo zelo non sfuggì all’attenzione del nuovo arcivescovo mons. Luigi
Lambruschini (futuro cardinale e Segretario di Stato di Gregorio XVI) che gli
affidò la parrocchia di San Giovanni Battista a Chiavari, città che allora non
era diocesi ma faceva parte di quella genovese. Nel comunicargli l’incarico, il
prelato gli disse: «Fate conto d’intraprendere una missione non di pochi
giorni, ma di dieci o dodici anni». E nella lettera inviata ai chiavaresi per
annunciare l’arrivo del nuovo parroco, scrisse: «Vi mando il più bel fiore del
mio giardino».
Erano tempi difficili, quelli, per la diffusione che
avevano avuto le idee rivoluzionarie e il Gianelli si inserì attivamente nel
gruppo dei cattolici che lavoravano per una “seconda controriforma” promuovendo
una più adeguata formazione del clero, reintroducendo nei seminari la Summa
Theologiae di san Tommaso d’Aquino come testo di dogmatica e, per lo studio
della morale, le opere di S. Alfonso de’ Liguori. Nel 1827 fondò una piccola
congregazione missionaria di Liguoriani (che però non gli sopravvisse) con il
compito di predicare gli esercizi al clero e le missioni al popolo. Nello
stesso anno, aderì alla Società Economica, fondata a Chiavari dal patrizio
genovese Stefano Rivarola con scopi culturali e di beneficenza; e poiché essa
manteneva un ospizio per orfanelle, egli affidò la direzione di quest’opera
alle “Signore della Carità”, da lui istituite con criteri che fanno di lui un
precursore dell’apostolato sociale femminile. Fu questo un primo passo verso la
fondazione delle “Figlie di Maria Santissima dell’Orto “ (che il popolo chiamò
poi “Gianelline”): all’inizio del 1829 egli condusse dodici sue penitenti a far
vita comune in una piccola casa con il compito di istruire la gioventù e di
curare i malati negli ospedali e nei lazzaretti; la comunità si ingrandì e le
Figlie, dopo aver aperto una scuola per fanciulle povere, presero la direzione
dell’Ospedale civico e poi dell’Ospizio di Carità e Lavoro e, nel 1835,
dell’Ospedale di La Spezia. In quello stesso anno infuriò anche in Liguria
l’epidemia del colera e l’arciprete Gianelli, per chiedere al Signore che la
città fosse risparmiata dal flagello, organizzò una processione di penitenza
con il crocifisso venerato nella parrocchia con la partecipazione di tutta la
popolazione che, cantando e pregando, raggiunse il santuario della Madonna
dell’Orto. Mentre il santo predicava sul piazzale antistante, uno stuolo di
rondini scese volteggiando attorno al crocifisso e questo fu interpretato come
una risposta positiva del Cielo: il crocifisso rimase esposto per ottanta
giorni, al termine dei quali si fece un’altra processione per ringraziare Dio
di avere preservato la città dal morbo.
Come riconoscimento dell’indefesso zelo apostolico
arrivò al Gianelli la nomina a vescovo di Bobbio. La piccola diocesi, legata
alla memoria del suo patrono san Colombano, era rimasta vacante per anni dopo
la soppressione avvenuta durante l’occupazione francese. Prima di prenderne
possesso, il nuovo pastore distribuì ai poveri i proventi che gli spettavano
come arciprete di Chiavari, e continuò nel suo metodo di vita basato sulla
semplicità e sulla povertà: il suo alloggio era composto di due soli locali, una
camera per la notte e un piccolo studio dove riceveva le persone. Per
rendere efficace il suo ministero, oltre alla incessante preghiera per la
conversione dei peccatori, faceva penitenza, indossava il cilicio e spesso si
flagellava. Cominciò subito con la visita pastorale, che non si faceva da
diciannove anni e lui per tre volte percorse tutta la diocesi, togliendo abusi,
favorendo la predicazione, regolando l’insegnamento del catechismo e
sollecitando l’amministrazione dei sacramenti; inoltre tenne due sinodi,
riorganizzò il seminario negli studi e nella disciplina. Non esitò a rimuovere
ecclesiastici indegni. Di grande aiuto furono al vescovo le Figlie di Maria SS.
dell’Orto, da lui chiamate a Bobbio per dirigere l’ospedale cittadino, ridotto
in condizioni precarie, e più tardi anche le scuole femminili, che mancavano di
locali e di insegnanti.
Grande amarezza gli procurò Cristoforo Bonavino, da
lui stesso chiamato a Bobbio e ordinato sacerdote. Costui purtroppo, dopo
essere entrato fra gli Oblati di Sant’Alfonso creati dal Gianelli per la
riforma del clero, apostatò e con lo pseudonimo di Ausonio Franchi arrivò a
dichiararsi «maestro di ateismo» entrando nella massoneria. Prima di morire
incontrerà il beato Tommaso Reggio, arcivescovo di Genova che era stato suo
compagno di seminario, e tornerà alla fede, riprendendo a celebrare la Messa.
Ed ecco che cosa dirà di mons. Gianelli: «La sua vita può dirsi che fosse un
atto continuo e perpetuo di fede, di speranza e di carità verso il prossimo.
Tutte le sue azioni, come tutte le sue parole,tutti i suoi pensieri, come tutti
i suoi affetti, avevano un solo e stesso principio, un solo e stesso fine: la
gloria di Dio e la salute delle anime». Stroncato dalle fatiche del suo
incessante ministero, il santo si recò a Piacenza per un periodo di riposo,
ospite del vescovo locale, ma si ammalò gravemente e il 7 giugno morì in
seguito a un attacco di apoplessia. Pio XI lo beatificò nel 1925 e Pio XII lo
canonizzò il 21 ottobre 1951. L’Istituto delle Figlie di Maria SS. dell’Orto si
sviluppò rapidamente in Italia, approdando poi in tutta l’America Latina, in
Palestina e in vari Paesi d’Europa.
SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/33150
Domenica, 14 gennaio 1990
1. In occasione della
Visita Pastorale alla parrocchia romana dei Santi Fabiano e Venanzio, non
potevo non compiere una sosta, seppur breve, in mezzo a voi, in questo Istituto
che ha come Patrono Sant’Antonio Maria Gianelli. Porto a tutti il mio cordiale
ed affettuoso saluto, esprimendo il mio vivo ringraziamento per quanto qui
realizzate nel campo così importante della formazione umana e cristiana.
Mi piace ricordare che il
vostro Istituto svolge la sua attività educativa nel quartiere fin dal 1931 e
che conta, oggi, circa 800 alunni distribuiti tra la Scuola Materna, la Scuola
Elementare, la Scuola Media e quelle Tecniche Commerciali e per Programmatori.
Siete indubbiamente una grande Comunità: siate anche una grande famiglia, in
cui tutti i componenti si amano, si aiutano, si confortano a vicenda; in cui
tutti i singoli doveri e impegni siano svolti nella carità e nella edificazione
reciproca.
2. In questo incontro
qui, nella Cappella, che è come il cuore pulsante della vita dell’Istituto, mi
viene spontaneo esortarvi alla pratica quotidiana della meditazione.
Evidentemente tutti siamo in un modo o nell’altro occupati ed impegnati.
Eppure, bisogna riuscire a ritagliare ogni giorno uno spazio di tempo per
raccogliersi nel silenzio e nella preghiera. Ve ne offre un luminoso esempio il
Fondatore delle Suore “Gianelline”, che presiedono alla gestione dell’Istituto:
Sant’Antonio Maria Gianelli.
Egli, nonostante i suoi
numerosi impegni, come insegnante nel Seminario di Genova, Parroco a Chiavari,
dove fondò appunto la Congregazione dedicandola alla Vergine Santissima, e poi
come Vescovo a Bobbio, non tralasciò mai la pratica della meditazione e di
inculcarla negli animi dei suoi fedeli.
Uomo intelligente e
lungimirante, colto e sensibile alle correnti ideologiche del tempo, era ben
conscio che la meditazione personale delle Verità rivelate da Gesù può creare
salde convinzioni che formano le coscienze ed illuminano le menti. La
meditazione infatti aiuta a mantenere vivo il contatto con il Signore,
fortifica la volontà, fa emergere i difetti che devono essere corretti, eleva
il tono della vita, fa respirare una atmosfera più alta e serena.
3. Vi lascio anch’io come
ricordo questa esortazione, mentre con grande affetto imparto la mia
Benedizione alle Suore, ai docenti, agli alunni, agli ex alunni ed ai
rispettivi familiari.
© Copyright 1990 -
Libreria Editrice Vaticana
Copyright © Dicastero per
la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana
Lunedì, 17 febbraio 2003
1. Sono lieto di rivolgere il mio cordiale saluto a
Lei, Reverenda Madre, al Consiglio generale e alle Religiose convenute a Roma
per il XVII Capitolo generale di codesto Istituto. A ciascuna manifesto la mia
spirituale vicinanza e assicuro il ricordo nella preghiera. Desidero inoltre
far giungere a tutte le Figlie di Maria Santissima dell'Orto sparse nel mondo
una speciale parola di incoraggiamento, invitandole a proseguire nella loro
testimonianza di vita consacrata e ad operare generosamente nelle varie loro
attività pastorali, scolastiche ed assistenziali.
Il tema che guida le riflessioni e lo scambio di
esperienze di questi giorni è assai stimolante: "Consacrate e inviate a
servizio del Regno". Esso vi spinge, care Sorelle, a ritornare alle radici
del vostro carisma per metterle a confronto con le esigenze attuali, in un
mondo in continua evoluzione. L'ispirazione originaria che portò il vostro
Fondatore, nella prima metà del XIX secolo, a dare inizio, a Chiavari, ad
un'istituzione religiosa essenzialmente orientata al servizio della persona,
continua ad offrirvi oggi validi motivi per un rinnovato slancio nella missione
educativa e caritativa.
2. Sant'Antonio Maria Gianelli visse con vigore e passione
la sua missione a servizio del Regno di Dio. Amava ripetere: "Dio, Dio,
Dio solo". Tutta la sua azione era animata dall'ardente anelito di
appartenere a Cristo. Bramava servire il Signore nel povero, nel malato, nella
persona senza istruzione, come pure in coloro che ancora non conoscevano o non
avevano incontrato Iddio nella loro esistenza. Apriva il cuore all'accoglienza
dei fratelli e si preoccupava di ogni persona. I suoi insegnamenti sono ben
espressi nelle vostre Costituzioni, che delineano lo stile tipico della vostra
Famiglia religiosa: fedeltà al carisma, vivendo in vigilante carità evangelica,
dimenticando il proprio interesse e il proprio comodo; restare attente alle
necessità dei tempi, godendo di farvi tutte a tutti con un impegno che non
conosca altro limite che la impossibilità o la inopportunità (cfr n. 2).
3. Proseguite, care Sorelle, su questo cammino,
ponendo Cristo al centro della vostra vita e della vostra missione. Mi piace
qui evidenziare quanto viene detto in una recente Istruzione della
Congregazione per gli Istituti di vita consacrata e le Società di vita
apostolica: "Bisogna ripartire da Cristo, perché da Lui sono partiti i
primi discepoli in Galilea; da Lui, lungo la storia della Chiesa, sono partiti
uomini e donne di ogni condizione e cultura che, consacrati dallo Spirito in
forza della chiamata, per Lui hanno lasciato famiglia e patria e lo hanno
seguito incondizionatamente, rendendosi disponibili per l'annuncio del Regno e
per fare del bene a tutti (cfr At 10, 38)" (Ripartire
da Cristo, 19 maggio 2002, n. 21). Prendete il largo, care Sorelle, nel
nuovo millennio, con la consapevolezza che il vostro apostolato rappresenta una
provvidenziale possibilità per far risplendere nel mondo la gloria di Dio.
A fondamento del vostro operare ci sia quell'amore che
per il vostro santo Fondatore costituisce - a ragione - un principio pedagogico
fondamentale. Egli raccomandava alle sue figlie spirituali: "Procurino in
primo luogo di amar davvero e di mostrare un grande amore alle fanciulle, che
sono loro affidate, perché nessuno ama chi non ama; e se non sono da loro amate
neanche verranno alla scuola, o non staranno volentieri con loro e non
impareranno la metà di quello che imparerebbero amando le loro Maestre e
vedendosi da loro amate".
4. La povertà, assunta volentieri e con gioia, è una
condizione che facilita e rende più feconda la vostra testimonianza. La
povertà, come amava ripetere sant'Antonio Maria Gianelli, sia "il vero
distintivo del vostro Istituto". Accanto all'amore fedele alla povertà, non
manchi mai lo spirito di sacrificio, nella quotidiana consapevolezza che una
Figlia di Maria "non può essere senza Croce".
Siate poi instancabili testimoni di speranza. Tra le
virtù che devono praticare le Figlie di Maria SS.ma dell'Orto, sant'Antonio Maria
Gianelli pone in rilievo la grande confidenza in Dio. Vivere abbandonate
in Lui: ecco ciò che vi permetterà di non lasciarvi turbare dagli apparenti
insuccessi, ma anzi, vi renderà capaci di sostenere le persone angosciate e
disorientate. Il vostro Fondatore così esortava le vostre Consorelle di allora:
"Quando alcuna cosa andrà a finir meno bene o anche male, non si
turberanno, né la crederanno vero male; ma si umilieranno innanzi a Dio e
confideranno che Egli ne saprà ricavare qualche bene".
5. Reverenda Madre, mentre formulo per Lei e per le
Consorelle capitolari l'auspicio di un intenso e proficuo lavoro a vantaggio
dell'intera Congregazione, esorto tutte a far tesoro della ricca esperienza
spirituale che contraddistingue la vostra Famiglia religiosa. Il vostro
sguardo, care Figlie di Maria, rimanga fisso sul Fondatore e sulle vostre
Sorelle che vi hanno precedute nel fedele servizio alla Chiesa. Siate persuase
che anche nei momenti difficili la Divina Provvidenza non cessa di sostenervi
efficacemente.
La Beata Vergine dell'Orto, vostra speciale
protettrice, vi accompagni sul cammino di santità che avete intrapreso, e vi
aiuti a trarre abbondanti frutti dall'Assemblea capitolare. Io vi assicuro la
mia preghiera, e imparto di cuore a ciascuna di voi la Benedizione Apostolica,
estendendola volentieri all'intera vostra Famiglia religiosa e a quanti
incontrate nelle vostre attività.
Copyright © Dicastero per la Comunicazione - Libreria
Editrice Vaticana
Antonio Maria Gianelli
(1789-1846)
Beatificazione:
- 19 aprile 1925
- Papa Pio XI
Canonizzazione:
- 21 ottobre 1951
- Papa Pio XII
- Basilica Vaticana
Ricorrenza:
- 7 giugno
Religioso, Vescovo di
Bobbio, che fondò la Congregazione delle Figlie di Maria Santissima dell’Orto e
rifulse per l’impegno e il luminoso esempio di dedizione ai bisogni dei poveri
e alla salvezza delle anime e nel promuovere la santità del clero
"La sua vita può
dirsi che fosse un atto continuo e perpetuo di fede, di speranza e di carità
verso il prossimo. Tutte le sue azioni, come tutte le sue parole, tutti i suoi
pensieri, come tutti i suoi affetti, avevano un solo e stesso principio, un
solo e stesso fine: la gloria di Dio e la salute delle anime" (Tommaso
Reggio, arcivescovo di Genova)
Antonio Maria Gianelli
nacque a Cereta, presso Chiavari in provincia di Genova il 12 aprile 1789.
Entrò in seminario a 19
anni e fu ordinato sacerdote quattro anni dopo. Insegnante di lettere e di
retorica, per accogliere il nuovo vescovo, Lambruschini, organizzò a Genova una
recita intitolata «La riforma del seminario» che ebbe una notevole eco. Dal
1826 al 1838 fu arciprete a Chiavari.
Questo periodo è
contrassegnato da una serie di innovazioni pastorali e dalla creazione di varie
istituzioni, come un proprio seminario. Sotto il nome inconsueto di «Società Economica»
prese l'avvio un'istituzione culturale e assistenziale affidata da don Gianelli
«alle cure delle Signore della Carità» per l'istruzione gratuita delle ragazze
povere: un ente di beneficenza che affida alle Signore della Carità. È il primo
passo verso le Figlie di Maria Santissima dell’Orto, conosciute come
Gianelline.
Nel 1838 venne eletto
vescovo di Bobbio. Aiutato dai Liguoriani, ricostituì la sua congregazione col
nome di Oblati di Sant'Alfonso.
Morì il 7 giugno 1846.Due
anni prima aveva creato una piccola congregazione missionaria per la
predicazione al popolo e l'organizzazione del clero.
È stato canonizzato da
Pio XII.
SOURCE : https://www.causesanti.va/it/santi-e-beati/antonio-maria-gianelli.html
Sant'Antonio Maria
Gianelli
1789 - 1846
vescovo cattolico,
professore
Persone
BiografiaElementi
descrittiviDettagliRisorse collegateAltro dal webInformazioni sulla scheda
È stato un vescovo
cattolico italiano, fondatore delle congregazioni delle Figlie di Maria
Santissima dell'Orto (suore Gianelline) e degli Oblati di Alfonso Maria de'
Liguori, noto per le sue missioni rurali popolari. Entra in seminario a 19 anni
ed è ordinato sacerdote quattro anni dopo. Insegnante di lettere e di retorica,
per accogliere il nuovo vescovo mons. Lambruschini, organizza a Genova una
recita intitolata «La riforma del seminario» che ha una notevole eco. Dal 1826
al 1838 è arciprete a Chiavari e in questo periodo promuove una serie di
innovazioni pastorali e crea varie istituzioni, come un proprio seminario.
Sotto il nome inconsueto di «Società Economica» prende l'avvio un'istituzione
culturale e assistenziale che affidata «alle cure delle Signore della Carità»
per l'istruzione gratuita delle ragazze povere. È l'abbozzo della fondazione,
avvenuta nel 1829, delle Figlie di Maria, conosciute tuttora col nome di suore
Gianelline. Due anni prima ha creato una piccola congregazione missionaria per
la predicazione al popolo e l'organizzazione del clero. Nel 1838 viene eletto
vescovo di Bobbio. Aiutato dai Liguoriani, ricostituisce la sua congregazione
col nome di Oblati di Sant'Alfonso. È stato canonizzato da papa Pio XII il 21
ottobre 1951.
SOURCE : https://www.beweb.chiesacattolica.it/persone/persona/12309/
GIANELLI NEL MONDO
MISSIONI IN INDIA
Condividendo la gioia della missione...
Khandwa - India, anno 2007-2008
"Facciamo meglio che possiamo e lasciamo fare il resto a Dio” (cf. A. Gianelli)
Casa per l’infanzia “Navjeevan”: I bambini sono l’elemento centrale nella società ed il loro benessere è il benessere della nazione e del mondo intero. Siamo fiere di dichiarare che i bambini che fanno parte della nostra questa missione hanno avuto grandi benefici. Stiamo facendo lo sforzo enorme di far “riemergere” quei bambini che hanno smarrito il senso dell’educazione, della socializzazione e molte volte anche di una vita sana di cui tutti i bambini comuni godono. Le attività dell'anno trascorso sono state tante e tutte importanti dal contatto con i ragazzi di strada, all’accoglienza, dal supporto nutrizionale, alla cura della salute, dall’ascolto e formazione convenzionale e non convenzionale, incontri con i genitori, educazione morale, ricreazione, allo sviluppo delle capacità (uso del computer, cucito, fabbricazione di candele, cartoline, buste, “rakhi”= braccialetti), educazione fisica, senza dimenticare ovviamente la celebrazione di date importanti (nazionali, religiose e personali), visite ad esposizioni (Akashvani, cartiera di Nepa), gite, partecipazione a competizioni, ecc… sono alcune delle cose che facciamo con i nostri ragazzi.
Lo sforzo fatto insieme per favorire lo sviluppo di questi ragazzi poveri (urchins) è risultato efficace e fruttuoso. Non si possono però mantenere sempre i ragazzi sotto le ali protettive, bisogna invece indirizzarli verso nuove vie preparandoli ad affrontare la vita. A questo proposito abbiamo fatto un programma per raggiungere i ragazzi adolescenti, per aiutarli ad inserirsi negli ostelli della gioventù e svolgere ulteriori studi ed esperienze professionali. Ciò è progettato in coordinazione con altre agenzie simili alla nostra. Tutto questo li aiuterà a trasformarsi da... “nessuno” in “qualcuno”. Anche se la missione ha fornito buoni risultati, devono essere menzionate pure le difficoltà affrontate per effettuare questo lavoro. Vincere la riservatezza degli urchins, consigliarli e incoraggiarli a far parte di un’istituzione educativa ha richiesto tremendi sforzi ed i bambini inseriti nel programma di riabilitazione sono una piccola parte dei molti che abbiamo incontrato. Molti di loro hanno lasciato il centro a metà del percorso e questo ci fa soffrire.
Siamo contente di comunicare che la Ferrovia Centrale ci ha dato il permesso speciale di visitare altre stazioni (dove “risiedono” molti ragazzi di strada), supportate dal servizio di sicurezza della polizia ferroviaria. Con l'aiuto della Ferrovia stiamo progettando di iniziare un centro di contatto a Busawal e a Nasha Mukti Kendra in Khandwa. Attraverso questo servizio possiamo so-stenere molti bambini. Ci riteniamo soddisfatte di poter realizzare la missione di nostro Signore e rendere viva la Parola che dice "ogni cosa che farete a uno di questi piccoli l’avrete fatto a me".
Programma di lavoro dei Ragazzi: Ciò che è impossibile all’uomo è possibile a Dio. Lo sforzo del nostro lavoro con i bambini delle stazioni ferroviarie e l’apertura della “scuola professionale per i ragazzi” hanno ispirato le autorità di governo a prendere coscienza di questo problema e a chiederci di continuare in questa nuova avventura. Lo scopo del corso è di formare la mente dei ragazzi che sono coinvolti a frequentare con regolarità gli studi e l’apprendimen-to professionale. Stiamo portando avanti due scuole e la terza sta per iniziare nel mese di aprile 2008. Ci sono circa 100 ragazzi. Queste scuole sono aperte principalmente per i bambini emarginati e per quelli sfruttati sul lavoro. Essi erano ingaggiati in diverse attività, quali: raccolta di stracci, impieghi negli hotel e nei garages, richiesta di elemosina. I bambini lavorano per sostenere le loro famiglie. Abbiamo iniziato a rapportarci con loro avvicinandoli ogni giorno e non è stato facile convincere i loro genitori a mandarli a scuola. Ma oggi frequentano regolarmente i corsi e stanno apprendendo tante cose nuove. È evidente il miglioramento del loro comportamento, della pulizia e dell’abbigliamento. Questo piccoli sono il fiore del futuro che cresce nel giardino di Dio, innaffiato con amore, pazienza, bontà e fede. Non c’è nulla di impossibile per chi si applica nel lavoro con mente vigilante ed inventiva.
Sartoria: Il centro mira all’apprendimento di un mestiere, particolarmente per ragazze affinché acquisiscano uno stato sociale dignitoso. A Khandwa sono presenti indù e mussulmani. Fra le diverse comunità i mussulmani sono la maggior parte e il loro stato finanziario e sociale è molto precario. Generalmente una famiglia può avere due madri e sei o sette bambini che vivono sotto lo stesso tetto. Molti dei bambini sono emarginati e la loro educazione è molto rara, mentre lo sfruttamento è assai frequente. Le ragazze non hanno opportunità di uscire di casa e frequentare coetanee. Questa loro cultura impedisce alle giovani di apprendere una professione o di sviluppare le loro attitudini. In questo contesto abbiamo espresso al governo provinciale il nostro desiderio di iniziare un centro professionale. Con il loro incoraggiamento abbiamo aperto il centro nei locali del convento il 1° febbraio ed esso sta progredendo bene.
Con affetto ringraziamo,
Sr. Giuseppina Kanattu e comuni
MISIONI IN BRASILE
Nel mese di agosto del 2004 ebbi l’opportunità di accompagnare un gruppo di “Ami-ci del Gianelli” al-l’aeroporto di Fiu-micino (Sr. Vitto-ria, Ettore, Loreda-na, Marino e altri) che partivano con destinazione Porto Alegre, Centro Sociale Antonio Gianelli, a Sertão. E lo stesso avvenne negli anni seguenti, 2005 e 2006. Nel viaggio di ritorno dall’aeroporto dissi a Sr. Giuditta che sarebbe piaciuto anche a me fare questa esperienza missionaria, ma misi il sogno nel cassetto...
Finalmente il 1° di marzo di quest’anno, sono partito assieme ad altri volontari. Dopo 30 ore di viaggio siamo giunti a Porto Alegre, dove ci attendevano per darci il benvenuto, Sr. Ana Maria, Sr. Raquel, Sr. Angela e Sr. Sonia… Esse ci hanno condotto alla Casa Provinciale dove abbiamo alloggiato.
Nei giorni della nostra permanenza abbiamo visitato anzitutto il Centro Sociale, poi le famiglie del Barrio Sertão, un accampamento di Indios assieme a Sr. Nanubia, la scuola “Mãe de Deus” con Sr. Raquel e la pedagogista Leonete e infine Belém Novo dove lavora Sr. Neiva, e lì abbiamo visitato anche un Barrio povero.
Una sera c’è stata l’inaugurazione della nuova Cappella del Barrio Sertão: una bella e commovente cerimonia alla presenza di tutta la comunità locale, con la donazione di un calice da parte degli amici di Collesalvetti. Alla domenica abbiamo partecipato alla messa nel Centro D. Orione.
Sono rimasto molto toccato dalla povertà che ho visto, ma allo stesso tempo il
mio cuore è pieno di gioia per gli abbracci sinceri e calorosi, per l’affetto
ricevuto da parte di tutti, in particolare dai bambini.
A tutti il mio GRAZIE!
Giuseppe Bonaiuti – Roma
MISSIONE IN CONGO
Le Figlie di Maria nella Rep. Dem. del Congo
Dopo 10 anni... eccomi nuovamente a Kinshasa... La gioia del popolo è la stessa, la volontà di vivere, il desiderio di pregare, la lotta per sopravvivere, la musica e la danza… Ma l’incertezza per il futuro continua, accentuata ora dalla difficoltà di instaurare un percorso di democrazia stabile, attraverso le elezioni che si dovrebbero realizzare alla fine di luglio.
In questo contesto si inserisce il servizio realizzato dalle nostre Sorelle che, con impegno ammirevole, offrono la loro vita in carità evangelica vigilante.
Le due comunità portano avanti con fedeltà il registro “storico” - la cronaca... e il Progetto Aurora è stato accolto con molto interesse. Tre Sorelle, tra le altre attività, sono studenti... e per studiare è necessario percorrere grandi distanze ed affrontare alcune difficoltà…
Le cinque aspiranti sono piene di entusiasmo, di un senso di accoglienza particolare e formano un coro meravi-glioso, accompagnato dagli strumenti tradizionali africani!
Il Complesso Scolastico Gianelli, della prima comunità a Cité Mama Mobutu, va via via progredendo, le aule sono “sature” per la grande affluen-za di alunni. E i genitori, gli insegnanti e gli alunni dell’ulti-mo anno sollecitano la Scuola Secondaria…
L’altra comunità, che a maggio ha compiuto 10 anni, svolge diverse “opere e servizi”:
il Gruppo di Preghiera “Figlie di N. S. dell’Orto”, che ogni giorno prega il rosario dinanzi all’immagine della Madonna dell’Orto secondo le intenzioni della Chiesa e dell’Istituto.
Il Dispensario e la Maternità, struttura che gode di buon prestigio nel sistema di Salute locale, tanto che è stata scelta, con altre 10 istituzioni sanitarie, per la diagnosi e il trattamento dell’Aids, per la prevenzione della trasmissione del virus HIV dalla madre al bambino. E ancora il Centro Nutrizionale e il Giardino d’Infanzia. Con l’aiuto di un’altra Sorella (proveniente dall’India) sarà possibile riaprire il Centro per la Formazione della Donna, a partire dal prossimo ottobre…
Le Sorelle sono poche, ma possono contare su collaboratori molto competenti, in tutti i settori in cui operano. Nella “rete tra noi” ci sono alcuni progetti in corso, nelle Province europee, per aiutare finanziariamente le diverse iniziative a favore della gente, per esempio le adozioni a distanza, la costruzione del pozzo, il dono di un’ambulanza, ecc.
Per “celebrare” la Giornata Mondiale della "Marcia contro la fame" i bambini del Complesso Scolastico Gianelli hanno fatto una colletta, a partire dalle loro rinunce, per offrire un pasto un poco migliore ai piccoli del Centro Nutrizionale. E’ stato un gesto molto bello.
Rendo grazie a Dio per questa opportunità di convivenza con le mie Sorelle
della Repubblica Democratica del Congo e ringrazio molto per l’accoglienza
ricevuta: “Merci mingi!”
Sr. Terezinha MariaPetry
Bibliografia
Dal Gianelli
MANOSCRITTI AUTOGRAFI:
Conservati nell'Archivio generale A. Gianelli: Roma, via dei Quattro Cantoni,
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1. Regole e
costituzioni dei sacerdoti Oblati sotto il titolo e la protezione di
sant'Alfonso Maria dei LiguriRegole e costituzioni della Pia Opera Evangelica
dei sacerdoti secolari sotto il titolo e la protezione di sant'Alfonso
Maria dei Liguori.
2. Regole e
costituzioni delle Figlie di Maria.
3. Scritti su San
Colombano.
4. Lettere varie.
5. Prediche.
6. Raccolta di
prediche e panegirici su Maria Santissima
7. Raccolta di
panegirici in onore dei Santi
8. Arte retorica.
Carmina
9. Altri manoscritti
SCRITTI A STAMPA:
1. La religione e
l'arte. Trattenimento accademico. Stamperia arcivescovile, Genova 1821.
2. Regole di civiltà
e buona creanza, pubblicate per ordine dell'ill.mo Arcivescovo Luigi
Lambruschini ad uso del seminario di Genova. Stamperia arcivescovile, Genova 1823
3. La felicitá Stamperia arcivescovile, Genova 1823
4. Elogio della
miracolosa immagine del Santissimo Crocifisso, venerato nell'insigne Collegiata
plebana chiesa di san Giovanni Battista di Chiavari ed ivi detto l'anno secondo
del colera morbus 1836, 25 agosto, anniversario dell'ottenuta miracolosa
preservazione. Tipografia Argiroffo, Chiavari, 1836
5. Allocuzione al
popolo di Chiavari in occasione che si gettava la prima pietra del Ritiro delle
Figlie di Maria SS.ma dell'Orto e della Chiesa dedicata a Santa Filomena,
il 13 aprile 1837. Tipografia Argiroffo, Chiavari, 1837
6. La pia Opera
della propagazione della fede. Tipografia Argiroffo, Chiavari, 1839
7. Synodus Diocesana
Bobiensis ab Illustrissimo D. D. A. Gianelli, Episcopo Bobiesi et Comite,
celebrata die 23, 24, 25 septembris 1840. Ex Provinciali Tipografia Argiroffo, Chiavari, 1842
8. Orazione di Mons.
Antonio Gianelli, Vescovo di Bobbio sul Santissimo Crocifisso di Chiavari. Stamperia Argiroffo, Chiavari 1842
9. Vita di San
Colombano Abate. Stabilmento tipografico, Torino, 1840
10. Per la solenne
festività di Nostra Signora dell'Orto, celebrata in Chiavari il 2 luglio 1844.
Orazione panegirica dell'Illustrissimo e reverendissimo Monsignore Antonio
Gianelli Vescovo di Bobbio. Tipografia Argiroffo, Chiavari, 1845
11. Lettere
Pastorali: Tipografia Rossi, Tortona 1845
12. Memorie del
nuovo conservatorio o ritiro delle Figlie di Maria di Chiavari. A cura di Suor Tarquini. Pro manuscrito. 1976.
13. Lettere
Pastorali di Mons. Antonio Gianelli Vescovo di Bobbio e Santo nella
Chiesa.
a cura di Suor Maria della Natività Tarquini Edizioni Gianelliane. Roma, 1980
14. Altri: Novene, Discorsi e panegirici, Discorsi morali, Colloqui, Regolamenti vari,
ecc.
15. Processi.
Sul Gianelli
BIOGRAFIE
1. P. Agostino Dasso:
Elogio funebre di Mons. Antonio Gianelli. Stamperia Casamara, Genova 1846
2. Nicoló Barabino:
Vita di Mons. Antonio Gianelli. Manoscritto inedito, 1847.
3. Antonio Pellicani:
Della vita di Mons. Antonio Gianelli. Letture Cattoliche, Genova 1878
4. Fedele Luxardo:
Istoria della vita di Mons. Antonio Gianelli. Tipografia Cristoforo Colombo, Genova 1882
5. Luigi Rodino:
Vita del venerabile Servo di Dio Antonio Gianelli. Tipografia della Gioventù, Genova1896.
6. Luigi Sanguineti:
Il beato Antonio Maria Gianelli, Vescovo di Bobbio. Marietti, Torino 1925
7. Giuseppe Frediani:
Il santo di ferro. Orbis Catholicus, Roma 1951
8. Salvatore
Garofalo: Un grande Vescovo per una piccola Diocesi. Edizione Paoline: Milano 1989
BIOGRAFIE DIVULGATIVE:
1. Luigi Sanguinetti:
Compendio della vita del beato Antonio M. Gianelli.Pisani, Isola del Liri 1924
2. G. Ingolotti: Il
Beato Antonio Maria Gianelli. Rapallo, 1925
3. Anonimo:
Sant'Antonio Maria Gianelli, Vescovo e Fondatore. Roma, 1951
4. Anonimo: E
tutte le parole umane parlano di te. Genova, 1979
5. Lucia Moscatelli:
Antonio Gianelli, Santo nella Chiesa. Pro-manuscrito.
6. AA.VV. Antonio
Maria Gianelli (Biografia e riflessioni) Pro-manuscrito. Genova, 1988
7. T. Lasconi, A. Sardiello: Un uomo che sapeva amare (Biografia e fumetto) Edizioni Gianelliane. Genova, 1988
8. Diego Coletti: Una vita per il Vangelo. Lo slancio evangelizzatore di
Sant'Antonio Maria Gianelli e la sua attualità. Edizioni Gianelliane. Genova 1997
9. Suor Maria de la
Nativitá Tarquini: La chiesa Proclama la Santitá di Antonio Maria Gianelli
(numero unico). Edizioni Gianelliane. Roma, 2001
10. Suor Rosa
Pensiero: Noi lo abbiamo conosciuto. Sant'Antonio M. Gianelli Vescovo e
Fondatore.
Edizioni Gianelliane. Roma, 2001
11. José Félix
Mendía Braco: Gianelli. Edizioni Newbook. Spagna, 2001
STUDI
1. AA.VV. Antonio Maria Gianelli: un santo fra due rivoluzioni (Atti del
Convegno Chiavari, maggio 1989) Erredi Grafiche Editoriali. Genova 1995
2. P. Mario Lessi
Ariosto, S.J. ed Equipe per lo studio del Carisma: I Quindici Articoli di
Antonio Gianelli, nostra sorgente di vita. Edizioni Gianelliane. Roma, 2003
STUDI E PROFILI VARI
TESI
SOURCE : https://web.archive.org/web/20070220174614/http://www.gianelline.net/ita/articolo.asp?id=15
La
tomba di Sant'Antonio Maria Gianelli all'interno del duomo di Bobbio, Emilia-Romagna, Italia
1. Me alegra
dirigirle mi cordial saludo a usted, reverenda madre, al consejo general y a
las religiosas que se han reunido en Roma para el XVII capítulo general de ese
instituto. A cada una manifiesto mi cercanía espiritual y aseguro mi recuerdo
en la oración. Deseo, además, enviar a todas las Hijas de María Santísima del
Huerto esparcidas por el mundo una palabra especial de aliento, invitándolas a
proseguir en su testimonio de vida consagrada y a trabajar generosamente en sus
diversas actividades pastorales, educativas y asistenciales.
El tema que guía las
reflexiones y el intercambio de experiencias de estos días es muy
estimulante: "Consagradas y enviadas al servicio del Reino". Os
impulsa, queridas hermanas, a volver a las raíces de vuestro carisma para
confrontarlas con las exigencias actuales, en un mundo en continua evolución.
La inspiración originaria que llevó a vuestro fundador, en
la primera mitad del siglo XIX, a dar inicio, en Chiávari,
a una institución religiosa esencialmente orientada al servicio de la persona,
sigue ofreciéndoos hoy motivos válidos para un renovado impulso en la misión
educativa y caritativa.
2. San Antonio María
Gianelli vivió con vigor y pasión su misión al servicio del reino de Dios.
Solía repetir: "Dios, Dios, Dios solo". Toda su acción estaba
animada por el ardiente anhelo de pertenecer a Cristo. Deseaba servir al Señor
en los pobres, en los enfermos y en las personas sin instrucción, así como en
los que aún no conocían o no habían encontrado a Dios en su existencia. Abría
su corazón a la acogida de los hermanos y se interesaba por toda persona. Sus
enseñanzas se encuentran bien expresadas en vuestras Constituciones, que
delinean el estilo típico de vuestra familia religiosa: fidelidad al
carisma, viviendo en vigilante caridad evangélica, olvidando el propio interés
y las propias comodidades; estar atentas a las necesidades de los tiempos,
alegrándoos de haceros todas a todos mediante un compromiso que no conozca otro
límite que la imposibilidad o la inoportunidad (cf. n. 2).
3. Proseguid,
queridas hermanas, por este camino, poniendo a Cristo en el centro de vuestra
vida y de vuestra misión. Me complace destacar aquí lo que se dice en una
reciente instrucción de la Congregación para los institutos de vida consagrada
y las sociedades de vida apostólica: "Es necesario recomenzar desde
Cristo, porque de él partieron los primeros discípulos en Galilea; de él, a lo
largo de la historia de la Iglesia, han partido hombres y mujeres de toda
condición y cultura que, consagrados por el Espíritu en virtud de la llamada,
por él han dejado su familia y su patria y lo han seguido incondicionalmente,
estando disponibles para el anuncio del Reino y para hacer el bien a todos (cf.
Hch 10, 38)" (Caminar
desde Cristo, 21). Remad mar adentro, queridas hermanas, en el nuevo
milenio, con la certeza de que vuestro apostolado constituye una posibilidad providencial
para hacer que resplandezca en el mundo la gloria de Dios.
El fundamento de vuestra
actividad debe ser el amor, que para vuestro fundador constituye, con razón, un
principio pedagógico indispensable. Recomendaba a sus hijas espirituales:
"Procuren, en primer lugar, amar de verdad y demostrar un gran amor a las
jóvenes que se les confían, porque nadie ama a quien no ama; y si no las aman,
ni siquiera irán a la escuela, o no estarán a gusto con ellas y no aprenderán
ni la mitad de lo que aprenderían amando a sus maestras y sintiéndose amadas
por ellas".
4. La pobreza,
aceptada de buen grado y con alegría, es una condición que facilita y hace más
fecundo vuestro testimonio. La pobreza, como solía repetir san Antonio María
Gianelli, ha de ser "el verdadero distintivo de vuestro instituto".
Además del amor fiel a la pobreza, no debe faltar jamás el espíritu de
sacrificio, con la certeza diaria de que una Hija de María "no puede estar
sin cruz".
Sed, asimismo, testigos
incansables de esperanza. Entre las virtudes que deben practicar las Hijas de
María Santísima del Huerto, san Antonio María Gianelli pone de relieve la gran
confianza en Dios. Vivir abandonadas a él: esto os ayudará a que no os
turben los fracasos aparentes; al contrario, os permitirá sostener a las
personas angustiadas y desorientadas. Vuestro fundador exhortaba así a vuestras
hermanas de entonces: "Cuando las cosas no van bien, o incluso
cuando van mal, no se turbarán, ni las considerarán un verdadero mal, sino que
se humillarán ante Dios y confiarán en que él sabrá sacar algún bien de
ellas".
5. Reverenda madre,
a la vez que le expreso a usted y a las religiosas capitulares el deseo de un
intenso y fecundo trabajo en beneficio de toda la congregación, exhorto a todas
a atesorar la rica experiencia espiritual que distingue a vuestra familia
religiosa. Que vuestra mirada, queridas Hijas de María, permanezca fija en
vuestro fundador y en las hermanas que os han precedido en el servicio fiel a
la Iglesia. Estad convencidas de que también en los momentos difíciles la
divina Providencia no deja de sosteneros eficazmente.
La bienaventurada Virgen
del Huerto, vuestra protectora especial, os acompañe a lo largo del camino de
santidad que habéis emprendido, y os ayude a sacar abundantes frutos de la
asamblea capitular. Os aseguro mi oración, e imparto de corazón a cada una la
bendición apostólica, extendiéndola de buen grado a toda
vuestra familia religiosa y a cuantos encontréis en
vuestra actividad.
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la Comunicazione - Libreria Editrice Vaticana
7 de junio de 2015
San
ANTONIO MARÍA GIANELLI. (1789 - 1846).
Floreciente. El
defensor, el enemigo de los burros.
Martirologio Romano: En
Piacenza, de la región de Emilia, tránsito de san Antonio María Gianelli,
obispo de Bobbio, fundador de la Congregación de las Hijas de María Santísima
del Huerto, que se distinguió por su atención hacia los pobres, por la
salvación de las almas y, con su ejemplo y dedicación, impulsó la santidad
entre el clero.
Nació en Cerreto
(Chiavari-Liguria), en el seno de una familia de agricultores; su padre se
llamaba Gianelli Tosso. Desde muy joven sintió vocación sacerdotal, y fue
ayudado para realizarla por una rica dama genovesa que le pagó los estudios en
el seminario de Génova. Esta señora era Nicolasa Asseretto de Rebisso, que era
dueña de la mayor parte de las tierras que cultivaban la familia de Antonio
María.
Cuando todavía era archidiácono se le encargó la misión de predicar. Sus
superiores solicitaron la dispensa para que pudiera ordenarse antes de la edad
establecida en 1812. Todo lo que hizo lo confió a María. Su primer destino fue
el de coadjutor de la abadía de San Mateo donde ya ejerció su carisma de
predicador con general aplauso. Animado por este deseo misionero se inscribió
en la Congregación de los Misioneros Suburbanos, comenzando a tomar parte en
varias tandas de ejercicios espirituales y en misiones en pueblos de la ribera.
Dos años después fue enviado como profesor de literatura en el colegio de los
escolapios. Fue maestro de retórica en el seminario de Génova, prefecto y
director de estudios durante diez años. Al tiempo que desempeñaba sus deberes
docentes se ocupaba en la predicación y en obras de caridad, como la ayuda que
prestó a los genoveses durante la carestía de 1816.
En 1826 fue nombrado arcipreste del pueblo de Chiavari, donde estuvo 12 años. Y
allí fundó un seminario local que acogió numerosas vocaciones, y para fomento
de las misiones populares y de los ejercicios espirituales al clero fundó una
sociedad sacerdotal bajo el patrocinio de san Alfonso María de Ligorio (Los
Ligorianos, que se disolvió en 1856), y en 1829 fundo otra femenina llamada
Hijas de María Santísima del Huerto (o Gianelinas), dedicadas a la asistencia
de los hospicios, hospitales, cárceles, manicomios y a la educación de la
juventud femenina. Su carisma se basa en estas palabras del santo fundador;
"Hacerse todo a todos, en espíritu de caridad perfecta, sacrificarse para
todos, evangelizar e instruir, ganar a todos para su Dios". Fue un párroco
lleno de celo, conocedor de su feligresía, en la que fomentó la frecuencia de
los sacramentos y la devoción a María. Previendo los tiempos, fue precursor de
la Acción Católica, logró despertar en los laicos una llama de fuego apostólico
y un movimiento religioso colectivo. Reformó las benedictinas de Varese.
Los últimos años de su vida los pasó como obispo de Bobbio (1838-1846), a
propuesta del rey de Cerdeña. Su diócesis, suprimida y vuelta a restaurar y
vacante una temporada, estaba muy necesitada de un alma apostólica que
insuflase nuevo espíritu en la comunidad cristiana. Quiso ante todo, con la
ayuda de sus ligorianos, reanimar el espíritu religioso mediante las misiones
populares. Llamó al clero a ejercicios espirituales donde se replanteó todo el
deber de los sacerdotes, que a muchos animó decididamente a un ministerio más
intenso y pelear, y tuvo que apartar de su ministerio sacerdotal a algunos
recalcitrantes e indignos. Como ayudantes de su obra apostólica creó la Asociación
de Oblatos de San Alfonso, que hoy tampoco existen. Hizo renacer el seminario y
reflorecer el culto a san Columbano. Difundió los escritos del venerable
Frassinetti, que había sido alumno suyo y que cooperó con él en la difusión de
la moral y de la ascética de san Alfonso María. Celebró un sínodo diocesano,
revelándose como hombre de gobierno, que se opuso a las primeras invasiones
laicistas en el terreno de la Iglesia. De su ardiente amor a María Inmaculada,
nació el deseo de que en las letanías lauretanas se incluyera la advocación:
Reina sin pecado concebida...; que en el prefacio de la misa se mencionara a
María Inmaculada y además pidió que en breve se definiera el dogma de la
Inmaculada. Murió en Piacenza, buscando una cura de reposo para mejorar su
salud. Fue canonizado el 21 de octubre de 1951 por SS Pío XII.
SOURCE : https://hagiopedia.blogspot.com/2013/06/san-antonio-maria-gianelli-1789-1846.html
Oratorio di Sant′Antonio Gianelli (Anzola, Bedonia) - facciata e lato sud
Oratorio di Sant′Antonio Gianelli (Anzola, Bedonia) - facciata e lato nord
17 de Fevereiro de 2003
1. Sinto-me contente por lhe dirigir a minha cordial saudação, Reverenda Madre,
ao Conselho geral e às Religiosas vindas a Roma para o XVII Capítulo Geral
deste Instituto. Manifesto a cada uma de vós a minha proximidade espiritual e
garanto-vos a minha lembrança na oração. Desejo, ainda, fazer chegar a todas as
Filhas de Maria Santíssima do Horto, espalhadas pelo mundo uma palavra especial
de encorajamento, convidando-as a continuar o seu testemunho de vida consagrada
e a trabalhar generosamente nas suas várias actividades pastorais, escolásticas
e assistenciais.
O tema que orienta as
reflexões e a permuta de experiências destes dias é muito encorajador:
"Consagradas e enviadas ao serviço do Reino". Isso impele-vos,
queridas Irmãs, a voltar às raízes do vosso carisma para o pôr em confronto com
as exigências actuais, num mundo em contínua evolução. A inspiração original
que levou o vosso Fundador, na primeira metade do século XIX, a dar início, em
Chiavari, a uma instituição religiosa essencialmente orientada para o serviço
da pessoa, continua hoje a oferecer-vos motivos válidos para um impulso
renovado na missão educativa e caritativa.
2. Santo António Maria
Gianelli viveu com coragem e paixão a sua missão ao serviço do Reino de Deus.
Gostava de repetir: "Deus, Deus, só Deus". Toda a sua
actividade era animada por um ardente desejo de pertencer a Cristo. Desejava
servir o Senhor no pobre, no doente, na pessoa sem instrução, como também
naqueles que ainda não conheciam ou não tinham encontrado Deus na sua vida.
Abria o coração ao acolhimento dos irmãos e preocupava-se com todos. Os seus
ensinamentos estão bem expressos nas vossas Constituições, que traçam o estilo
típico da vossa Família religiosa: fidelidade ao carisma, vivendo em
vigilante caridade evangélica, esquecendo o próprio interesse e as próprias
comodidades; estar atentas às necessidades dos tempos, sentindo alegria por vos
fazerdes todas para todos com um compromisso que não conheça outros limites
senão a impossibilidade ou a inoportunidade (cf. n. 2).
3. Continuai, estimadas
Religiosas, neste caminho, pondo Cristo no centro da vossa vida e da vossa
missão. Apraz-me evidenciar aqui tudo o que foi dito numa recente Instrução da
Congregação para os Institutos de Vida Consagrada e as Sociedades de vida
apostólica: "É preciso voltar a partir de Cristo, porque dele
partiram os primeiros discípulos na Galileia; dele, ao longo da história da
Igreja, partiram homens e mulheres de todas as condições e culturas que,
consagradas pelo Espírito por força da chamada, por Ele deixaram a família e a
pátria e seguiram-no incondicionalmente, tornando-se disponíveis para o anúncio
do Reino e para fazer bem a todos (cf. Act 10, 38)" (Recomeçar
a partir de Cristo, 19 de Maio de 2002, n. 21). Fazei-vos ao largo,
queridas Irmãs, no novo milénio, com a consciência de que o vosso apostolado
representa uma providencial possibilidade para fazer brilhar no mundo a glória
de Deus.
Na base do vosso trabalho
esteja o amor que para o vosso santo Fundador constitui com razão um princípio
pedagógico fundamental. Ele recomendava às suas filhas espirituais:
"Procurem em primeiro lugar amar verdadeiramente e mostrar um grande amor
às crianças, que lhes estão confiadas, porque ninguém ama quem não ama; e se
não são amadas por elas também não irão à escola, ou não estarão de boa vontade
com elas e não aprenderão metade daquilo que aprenderiam amando as suas
Mestras e vendo-se amadas por elas".
4. A pobreza, assumida
voluntariamente e com alegria, é uma condição que facilita e torna mais fecundo
o vosso testemunho. A pobreza, como gostava de repetir Santo António Maria
Gianelli, seja "o verdadeiro distintivo do vosso Instituto". Ao lado
do amor fiel à pobreza, não falte nunca o espírito de sacrifício, na consciência
quotidiana de que uma Filha de Maria "não pode estar sem a Cruz".
Sede, pois, incansáveis
testemunhas de esperança. Entre as virtudes que a Filhas de Maria Santíssima do
Horto devem praticar, Santo António Maria Gianelli põe em relevo a grande
confiança em Deus. Viver abandonadas a Ele: eis o que vos permitirá não
vos deixardes perturbar pelos aparentes insucessos, antes vos tornará capazes
de ajudar as pessoas angustiadas e desorientadas. O vosso Fundador falava assim
às vossas Irmãs de então: "Quando alguma coisa andar a correr menos
bem ou até mal, não se perturbarão ou julgarão verdadeiro mal; mas
humilhar-se-ão diante de Deus e confiarão que Ele saberá tirar daí algum
bem".
5. Enquanto formulo para
a Reverenda Madre e para as suas Irmãs capitulares os votos de um intenso e
profícuo trabalho em favor de toda a Congregação, exorto-vos a todas a fazer um
tesouro da rica experiência espiritual que distingue a vossa Família religiosa.
O vosso olhar, queridas Filhas de Maria, permaneça fixo sobre o Fundador e
sobre as vossas Irmãs que vos precederam no fiel serviço à Igreja.
Convencei-vos de que, também nos momentos difíceis, a Providência Divina não
deixa de vos proteger eficazmente.
A Bem-Aventurada Virgem
do Horto, vossa especial protectora, vos acompanhe no caminho de santidade que
empreendestes e vos ajude a colher abundantes frutos da Assembleia capitular.
Asseguro-vos a minha oração e concedo de coração a cada uma de vós a Bênção
Apostólica, tornando-a extensiva de bom grado a toda a vossa Família religiosa
e a quantos encontrardes nas vossas actividades.
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Duomo di Bobbio cripta
del Santo Giannelli : https://www.youtube.com/watch?v=g_tLW4o0iDQ&ab_channel=vunsarveigu
Voir aussi : https://web.archive.org/web/20060924174746/http://www.castello-di-carro.it/santo.htm