dimanche 31 décembre 2017

Saint MARIUS AVENTICUS (d'AVENCHES-LAUSANNE), évêque

Armoiries représentant le diocèse de Lausanne comme un archidiocèse avec à gauche le diocèse suffragant de Sion et à droite celui de Genève.

Saint Marius

Évêque d'Avenches-Lausanne en Suisse ( 596)

ou Maire. 

Il était originaire d'Autun et c'est sous le titre "d'évêque d'Avenches" qui appartenait au royaume de Bourgogne, dans le canton de Vaud, qu'il signa les actes du Concile de Mâcon en 585. Sa ville fut détruite par les invasions barbares et il dut s'établir à Lausanne. On lui doit une "chronique" qui nous éclaire sur les rois francs, goths et bourguignons de son époque. On lui prête d'autres écrits, mais nous n'en avons pas les textes. Il fut un évêque attentif et secourable à toutes les misères d'une époque marquée par tant de dévastations.

À Lausanne en Suisse, l’an 594, saint Marius (Maire), évêque d’Avenches, qui déplaça son siège dans cette ville.

Martyrologe romain

SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/9848/Saint-Marius.html

Marius (saint)

 vers 530,   31.12.593. D'une noble famille d'Autun. M. apparaît comme évêque d'Avenches dans les souscriptions au concile de Mâcon en 585. Attesté par les Annales de Flavigny et de Lausanne du Xe s., il est surtout connu par le Cartulaire du Chapitre de Notre-Dame de Lausanne du XIIIe s. Entré dans la cléricature encore enfant, M. devint évêque d'Avenches en 573. Le 24 juin 587, il fonda une église Notre-Dame à Payerne. Les historiens actuels considèrent M. comme le fondateur des églises dédiées à des saints d'Autun dans le diocèse: l'église de Saint-Symphorien d'Avenches, celle de Saint-Saphorin en Lavaux et de Saint-Thyrse à Lausanne. On a également attribué à M., sans preuves décisives, le transfert du siège de l'évêque d'Avenches à Lausanne. M. a rédigé une chronique universelle couvrant les années 455 à 581. Ce texte, qui résulte de la compilation de sources diverses, présente de l'intérêt pour l'étude de la Burgondie et des débuts du monastère de Saint-Maurice d'Agaune. Il est l'un des deux textes à présenter l'éboulement du Tauredunum. M. a donné son nom au prieuré Saint-Maire à Lausanne, à une porte de la ville et au palais épiscopal, actuel siège du gouvernement vaudois.

Bibliographie

– C. Santschi, «La Chronique de l'évêque Marius d'Avenches», in RHV, 1968, 17-34

 HS, I/4, 95-96

– J. Favrod, La Chronique de Marius d'Avenches, 1991 (avec traduction franç.)

Auteur(e): Justin Favrod

Saint Marius Aventicus


Also known as

  • Marius Aventicensis

Memorial

Profile

Born to a rich, distinguished family with roots in the Roman empire. Ordained as a young man. Bishop of AvenchesSwitzerland in 574; he later moved his see to Lausanne. Participated in the Council of Mâcon in 585. A skilled goldsmith, he made altar vessels by hand. Noted as scholar, a man of prayer, and a protector of the poor. A chronicle of his time has survived; it purports to be a continuation of the Chronicon Imperiale of Prosper Tiro, covers from 455 to 581, and is a key source for Burgundian and Franconian history.

Born

Died

Canonized

Representation

  • farm tools
  • goldsmith tools

SOURCE : https://catholicsaints.info/saint-marius-aventicus/

St. Marius Aventicus

(Or AVENTICENSIS)
Bishop of Avenches (Switzerland) and chronicler, born about 530 in the present Diocese of Autun; died at Lausanne, 31 December, 594. Of the events of his life little is known. From an inscription on his tomb in the church of St. Thyrsius in Lausanne (published in the "Monumenta Germ. Scriptores", XXIV, 795), we learn that he came of a distinguished, rich and probably Roman family, and at an early age embraced the ecclesiastical state. In 574 he was made Bishop of Avenches, took part in the Council of Mâcon in 585, and shortly afterwards transferred his episcopal see from Avenches, which was rapidly declining, to Lausanne. He is extolled as an ideal bishop; as a skilled goldsmith who made the sacred vessels with his own hands; as a protector and benefactor of the poor; as a man of prayer, and as a scholar full of enthusiasm for serious intellectual studies. In 587 he consecrated St. Mary's church at Payerne, which had been built at his expense and through his efforts. After his death he was venerated in the Diocese of Lausanne as a saint, and his feast was celebrated on 9 or 12 February. The church of St. Thyrsius received at an early date the name of St. Marius. A chronicle of his is still preserved, and purports to be a continuation of the chronicle of Prosper Tiro, or rather of the "Chronicon Imperiale". It extends from 455 to 581, and, although consisting only of dry, annalistic notes, it is valuable for Burgundian and Franconian history, especially for the second half of the sixth century. This explains the fact that, notwithstanding its brevity, it has been frequently published — first by Chifflet in André Duchesne's "Historiæ Francorum Scriptores", I (1636), 210-214; again by Migne in P.L., LXXII, 793-802, and finally by Mommsen in "Mon. Germ., Auctores antiqui", XI (1893), 232-9.

Sources

ARNDT, Bischof Marius von Aventicum. Sein Leben u. seine Chronik (Leipzig, 1875); MOMMSEN in his edition, Præfatio, 227-31; POTTHAST, Bibl. hist. med. ævi, I (Berlin, 1896), 667.
Schlager, Patricius. "St. Marius Aventicus." The Catholic Encyclopedia. Vol. 9. New York: Robert Appleton Company,1910. 6 Jan. 2018 <http://www.newadvent.org/cathen/09671d.htm>.
Transcription. This article was transcribed for New Advent by Douglas J. Potter. Dedicated to the Immaculate Heart of the Blessed Virgin Mary.
Ecclesiastical approbation. Nihil Obstat. October 1, 1910. Remy Lafort, Censor. Imprimatur. +John M. Farley, Archbishop of New York.
Copyright © 2020 by Kevin Knight. Dedicated to the Immaculate Heart of Mary.

Saint Marius Aventicus


Also known as
  • Marius Aventicensis
Profile

Born to a rich, distinguished family with roots in the Roman empire. Ordained as a young man. Bishop ofAvenches, Switzerland in 574; he later moved his see to Lausanne. Participated in the Council of Mâcon in585. A skilled goldsmith, he made altar vessels by hand. Noted as scholar, a man of prayer, and a protector of the poor. A chronicle of his time has survived; it purports to be a continuation of the Chronicon Imperialeof Prosper Tiro, covers from 455 to 581, and is a key source for Burgundian and Franconian history.

Born
  • farm tools
  • goldsmith tools

San Mario di Losanna Vescovo


530 - Losanna, 31 dicembre 594

Emblema: Bastone pastorale

Martirologio Romano: A Losanna nell’odierna Svizzera, san Mario, vescovo, che trasferì in questa città la sede di Avanches, costruì molte chiese e fu difensore dei poveri. 

ecenti indagini, dovute soprattutto a Mario Besson, hanno dato notizie sicure sulla vita e sull'opera del santo.

Nato intorno al 530 divenne vescovo di Aventicum nel maggio 574. Nel 585 prese parte al concilio di Macon; il 24 giugno 587 consacrò la chiesa della Madonna di Payerne che sorgeva su una sua proprietà. Intorno al 590 trasferí, per ragioni politiche e di sicurezza, la sede vescovile da Aventicum a Losanna; qui morí il 31 dicembre 594 e fu inumato nella chiesa di S. Tirso che prese poi piú tardi il suo nome. L'epitafio che ci è stato conservato è ritenuto dal Besson opera di Venanzio Fortunato. Si può seguire il culto del santo fin nel primo millennio dell'era cristiana. Viene raffigurato quale vescovo e nel sec. XVI la sua elfigie appare su alcune monete episcopali. A volte è rappresentato con una palma e con il titolo di martire, elementi ingiustificati, in quanto non ha subito il martirio. Le diocesi di Losanna e di Basilea festeggiano s. Mario il 31 dicembre.

Mario è l'autore di una continuazione della Cronaca di Prospero, che egli porta, prima, fino all'anno 567 e poi fino al 581. E' un racconto, in genere esatto, breve e molto prezioso per gli storici, che registra gli avvenimenti dell'Italia e dell'Oriente con la stessa attenzione dedicata a quelli dei regni franco e burgundo.

Autore: Rudolph Henggeler

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/90606


Bienheureux LEANDRO GÓMEZ GIL, moine de l'Ordre Cistercien de la Stricte Observance (trappiste) et martyr

Martyred Cistercians of the Spanish Civil War


Bienheureux Pío Herédia et ses 17 compagnons

Cisterciens martyrs de la guerre civile espagnole (+ 1936)

Le 23 janvier 2015, le Pape a ordonné la promulgation des décrets relatifs au martyre du serviteur de Dieu Pio Heredia et de ses dix sept compagnons et compagnes, cisterciens et cisterciennes espagnoles, tués en haine de la foi en 1936 pendant la guerre civile espagnole. (décret du 23 janvier 2015 - en italien)

Proclamés bienheureux le 3 octobre 2015 en la cathédrale de Santander.de personnes ont été jetées dans dans le Cabo Mayor attachées à une pierre.

Malgré les désagréments causés par des miliciens (perquisitions, menaces de mort, etc.), les moines ont mené une vie régulière jusqu'au 20 Août, quand l'église a été fermée, et puis jusqu'au 8 Septembre, installés dans d'autres parties du monastère.

Treize frères ont été martyrisés en trois groupes distincts, et quatre autres, incapables de marcher, ont finalement été également tués dans des circonstances différentes.

L'exemple donné par le père Pio a été fondamental pour ses frères, maintenant une vie de piété, chantant le Salve, préservant la sérénité...

Pío Herédia, 61 ans; Amadeo, 31 ans; Valeriano, 30 ans; Juan Bautista, 31 ans; Eugenio, 33 ans; Vicente, 31 ans; Álvaro, 21 ans; Marcelino, 23 ans; Antonio, 21 ans; Eustáquio, 45 ans; àngel, 68 ans; Ezequiel, 19 ans; Eulogio, 20 ans; Bienvenido, 28 ans; Leandro, 21 ans.

- Béatification de Pío Heredia Zubía et 17 compagnons de l’Ordre cistercien de la stricte observance le 3 octobre 2015. La mémoire est célébrée le 4 décembre. (O.Cist., ordre cistercien)

En espagnol:

diocèse de Santander

españoles hacia la santidad

SOURCE : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/12967/Bienheureux-P%C3%ADo-Her%C3%A9dia-et-ses-17-compagnons.html

Blessed Leandro Gómez Gil

Memorial

31 December

Profile

Trappist monkMartyred in the Spanish Civil War.

Born

13 March 1915 in Hontomín, Burgos, Spain

Died

31 December 1936 in Santander, Cantabria, Spain

Venerated

22 January 2015 by Pope Francis (decree of martyrdom)

Beatified

3 October 2015 by Pope Francis

beatification recognition celebrated at the cathedral of SantanderSpainCardinal Angelo Amato principal celebrant

Additional Information

other sites in english

Hagiography Circle

Vatican Radio

sitios en español

Religion en Libertad

fonti in italiano

Dicastero delle Cause dei Santi

Santi e Beati

MLA Citation

“Blessed Leandro Gómez Gil“. CatholicSaints.Info. 13 July 2023. Web. 7 May 2025. <https://catholicsaints.info/blessed-leandro-gomez-gil/>

SOURCE : https://catholicsaints.info/blessed-leandro-gomez-gil/

Blessed Leandro Gómez Gil

Martyr

Feast Day: December 31

Birth: March 13, 1915

Death: December 31, 1936

Biography

Blessed Leandro Gómez Gil, born on 13 March 1915 in Hontomín, Burgos, Spain, was a Trappist monk who lived during a tumultuous period in Spanish history known as the Spanish Civil War. He dedicated his life to a contemplative monastic existence, seeking unity with God through prayer, work, and austerity.

Leandro Gómez Gil entered the Monastery of San Isidro de Dueñas at a young age, where he embraced the monastic life with great devotion and fervor. Deeply committed to his faith, he took his religious vows and became a member of the Trappist Order, known for its strict adherence to the Rule of Saint Benedict.

Sadly, during the Spanish Civil War, religious persecution was widespread, and many monks and priests became targets of violence and hatred. As a result, Blessed Leandro Gómez Gil faced immense danger and persecution due to his religious affiliation. Despite the risks, he remained steadfast in his commitment to his vocation and his faith.

Tragically, on 31 December 1936, in Santander, Cantabria, Spain, Blessed Leandro Gómez Gil was martyred for his refusal to renounce his religious beliefs. He remained firm in his faith until the very end, even in the face of persecution and certain death. His unwavering commitment and his courageous witness to the Gospel of Christ serve as an inspiration to all.

Recognizing the virtuous life and sacrificial death of Blessed Leandro Gómez Gil, Pope Francis declared him venerable on 22 January 2015, through a decree of martyrdom. Additionally, the beatification of Blessed Leandro Gómez Gil took place on 3 October 2015, with Cardinal Angelo Amato serving as the principal celebrant. The beatification recognition was joyously celebrated at the cathedral of Santander, Spain, honouring the life and sacrifice of this extraordinary Trappist monk.

Blessed Leandro Gómez Gil's feast day is celebrated on 31 December each year, marking the day of his martyrdom. Devotees and the faithful commemorate his life, seeking his intercession and drawing inspiration from his unwavering dedication to the Catholic faith. He is remembered as a martyr who gave up his life for God's glory and for the preservation of religious freedom.

Blessed Leandro Gómez Gil's life serves as a testament to the courage and perseverance of those who choose to follow their faith even in the face of adversity. His memory continues to inspire Catholics around the world, reminding them of the importance of their beliefs and the sacrifices that may be required to uphold them.

SOURCE : https://www.saintforaminute.com/blesseds/blessed_leandro_g%C3%B3mez_gil

Beato Leandro Gómez Gil Religioso trappista, martire

31 dicembre

>>> Visualizza la Scheda del Gruppo cui appartiene

Hontomín, Spagna, 13 marzo 1915 - Santander, Spagna, 31 dicembre 1936

Il 29 dicembre un converso a voti temporanei presso il Monastero trappista di Viaceli, Leandro Gómez Gil, fu scoperto dai miliziani in una casa privata: apparteneva al gruppo di monaci studenti e fratelli conversi che si era prudentemente dissolto dopo la scomparsa del padre Pío Heredia Zubia e dei suoi compagni. Gli altri si rifugiarono a Bilbao, ma Leandro non osò farlo, dato che rientrava nella categoria per la quale era giunto l'ordine di mobilitazione. La polizia rossa lo maltrattò in modo orribile, fino a farlo tanto sanguinare dalla bocca, dal naso e dalle orecchie che un lenzuolo ne fu inzuppato. Il giorno successivo fu cacciato a forza in un'auto e scomparve per sempre. Anche lui fu forse annegato o fucilato. Si seppe in seguito chi lo aveva assassinato in odio alla fede e alla Chiesa: gli uccisori furono perdonati. La beatificazione ha avuto luogo il 3 ottobre 2015.

SOURCE : http://www.santiebeati.it/dettaglio/96783

Martiri Spagnoli Cistercensi della Stretta Osservanza (Trappisti) e di San Bernardo

(†1936-1938)

Beatificazione:

- 03 ottobre 2015

- Papa  Francesco

 Celebrazione

Ricorrenza:
- Senza data (Celebrazioni singole)

Pio Heredia e 17 compagni e compagne, degli Ordini Cistercensi della Stretta Osservanza e di San Bernardo , martiri, uccisi durante la guerra civile spagnola

“Lodiamo il Signore per questi suoi coraggiosi testimoni e, per loro intercessione, supplichiamolo di liberare il mondo dal flagello della guerra” (Papa Francesco)

Agli occhi degli anarchici il monastero cistercense di Viaceli in Spagna appariva come un covo di reazionari e di nemici della rivoluzione. Per questo motivo, l’8 settembre 1936, nel pieno della guerra civile spagnola, il cenobio venne circondato e occupato in poco tempo. I 38 monaci della comunità furono trasferiti come prigionieri a Santander nel collegio dei salesiani. Non contenti, gli occupanti distrussero tutte le immagini sacre presenti nel monastero.

Stessa sorte capitò agli oggetti di culto. Questo episodio fu il preludio del martirio di Pío Heredia Zubía e 17 compagni e compagne degli ordini cistercensi della stretta osservanza (trappisti) e di San Bernardo, che il cardinale Angelo Amato, prefetto della Congregazione delle cause dei santi, in rappresentanza di Papa Francesco, beatifica a Santander, sabato 3 ottobre.

Nel gruppo di questi martiri sono state inserite anche due monache cistercensi, María Micaela Baldoví Trull e María Natividad Medes Ferris, originarie di Algemesí (Valencia), appartenenti al monastero di Fons Salutis di Algemesí.

Nel luglio 1936 la comunità cistercense venne espulsa dal monastero e la badessa, suor Baldoví Trull, trovò rifugio in casa di sua sorella Encarnación. Tre mesi dopo venne scoperta e incarcerata con sua sorella nel monastero trasformato in prigione.

Nella notte del 9 novembre vennero uccise sulla strada per Valencia. Si ipotizza siano state decapitate, visto che nel 1939, quando vennero rinvenuti i loro resti, trovarono le due teste separate dal corpo. Suor María de la Natividad Medes Ferris aveva trovato rifugio in casa di suo fratello José insieme con due frati carmelitani, Ernesto e Vicente. I quattro vennero incarcerati nel monastero di Fons Salutis e fucilati nella notte del 10 novembre.

SOURCE : https://www.causesanti.va/it/santi-e-beati/martiri-spagnoli-cistercensi-della-stretta-osservanza-trappisti.html

I MARTIRI

Tre sono i gruppi di martiri:

A] Dodici Servi di Dio, appartenenti all’Ordine dei Cistercensi della Stretta Osservanza del Monastero “Santa Maria di Viaceli” a Cóbreces (Spagna), che furono incarcerati e massacrati a Santander. Nella festa di San Bernardo, agosto del 1936, venne comunicato in quella zona della Spagna il decreto di soppressione del culto cattolico e i monaci furono costretti a celebrare la liturgia in privato nascostamente. Il 24 agosto successivo furono confiscati tutti vasi sacri. Nel settembre successivo la maggior parte dei religiosi furono trasferiti a Santander nell’Istituto Salesiano trasformato in carcere dove, sostenuti dal Priore, il Servo di Dio Pío Heredia, continuarono la loro vita di preghiera e mantennero la serenità e la forza d’animo pur fra mille vessazioni e ingiustizie. Grazie all’intervento di amici, essi furono liberati fra il 13 e il 16 settembre e si rifugiarono, in tre piccoli gruppi, presso parenti e amici, con lo scopo di continuare a vivere la loro vocazione. Nei primi giorni di dicembre i monaci dei primi due gruppi furono arrestati di nuovo e uccisi. Del terzo gruppo, disciolto dopo la uccisione del Servo di Dio Pío Heredia, il 31 dicembre 1936 fu ucciso il Servo di Dio Leandro Gómez. I monaci del primo gruppo furono uccisi nella notte fra il 2 e il 3 dicembre 1936; quelli del secondo gruppo nella notte seguente. Le esecuzioni avvennero in segreto ed i loro corpi furono gettati in mare dalla scogliera di Santander (Spagna).

B] Cinque Servi di Dio, appartenenti all’Ordine dei Cistercensi della Stretta Osservanza della medesima abazia, che al momento dell’arresto dei summenzionati Servi di Dio furono costretti a rimanere al Monastero. Due di essi, dovettero istruire i miliziani sul funzionamento e sull’amministrazione della fabbrica di cacio e di burro ivi presente. I miliziani cercarono di convincere i due religiosi a passare dalla loro parte con promesse vantaggiose, ma essi resistettero e mai acconsentirono. Dopo aver appreso quanto loro interessava, il 20 o 21 settembre 1936 i miliziani caricarono i due religiosi su una vettura, dicendo loro che li avrebbero condotti a Santander, ma lungo la strada, davanti a Rumoroso, li uccisero.

C] Infine, due Serve di Dio appartengono all’Ordine Cistercense di San Bernardo.

Questi martiri sono:

1. Pío (Julián) Heredia Zubía. Nacque a Larrea (Spagna) il 16 febbraio 1875. Entrato nel noviziato nel Monastero Cistercense della Stretta Osservanza di Val San José a Getafe (Spagna), fu ordinato sacerdote il 18 marzo 1899. In seguito fu destinato al Monastero di Santa Maria di Viaceli dove divenne Maestro dei novizi e Superiore. Si dedicò in maniera instancabile alla comunità e venne considerato da tutti come uomo di preghiera e di profonda devozione mariana.

2. Amadeo García Rodríguez. Nato a Villaviciosa di Perros (Spagna) il 14 settembre 1905, entrò nel Monastero Cistercense di Santa Maria di Viaceli e nel 1929 fu ordinato sacerdote.

3. Valerio Rodríguez García. Nato a Villaviciosa di Perros il 10 giugno 1906, entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli e nel 1930 fu ordinato sacerdote.

4. Juan Bautista Ferrís Llopis. Nato a Valencia (Spagna) il 24 marzo 1905, dopo una breve esperienza presso i Padri Scolopi, conobbe il Servo di Dio Pío Heredia e, sentendosi chiamato alla vita monastica, entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli e nel 1932 fu ordinato sacerdote.

5. Álvaro Gonzáles López. Nato a Noceda del Bierzo (Spagna) il 27 aprile 1915, entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli ma a causa della guerra civile fu costretto a fare ritorno a casa. Rientrato, emise la prima professione il 1° gennaio 1934.

6. Marcelino Martín Rubio. Nato a Espinosa di Villagonzalo (Spagna) il 4 novembre 1913, entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli ma al termine del noviziato non rinnovò i voti, lasciò il Monastero dove, però, rientrò, più maturo e fervoroso, nel 1935.

7. Antonio Delgado González. Nato a Burgos (Spagna) il 28 gennaio 1915, entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli e fu accolto come oblato di coro non potendo iniziare il noviziato per la sua gracile salute; nonostante ciò si distinse per la sua profonda pietà e comportamento.

8. Eustaquio García Chicote. Nato a Támara de Campos (Spagna) il 16 agosto 1891, entrò nel Monastero di San Isidoro di Dueñas (Spagna). Nonostante fosse un buon lavoratore e molto silenzioso, la sua poca forza fisica lo condusse ad avere la dispensa dai voti; restò comunque al servizio dell’Ordine presso il monastero di Val San José. Nel 1928 sollecitò la sua riammissione e la ottenne ricominciando il noviziato nel Monastero di Santa Maria di Viaceli. Emise i voti solenni nel gennaio del 1934.

9. Ángel De La Vega González. Nato a Noceda del Bierzo (Spagna) il 15 ottobre del 1868, contrasse matrimonio nel 1891. Rimasto vedovo, si prese cura degli otto figli che educò alla fede cristiana. Nel gennaio del 1931 iniziò il noviziato come fratello converso, emise la professione solenne nel gennaio 1936.

10. Ezequiel Álvaro De La Fuente. Nato il 21 maggio 1917 a Espinosa de Cerrato (Spagna), entrò come oblato nel Monastero di Viaceli. Nel 1933 prese l’abito come novizio ed emise i voti temporali due anni dopo.

11. Eulogio Álvarez López. Nato a Quintana de Fuseros (Spagna) il 28 luglio 1916, entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli nel 1930. Emise la professione temporanea nell’aprile del 935.

12. Bienvenido Mata Ubierna. Nato a Celadilla Sotobrin (Spagna) il 24 maggio 1908, entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli; dopo aver appena iniziato il noviziato, fu ucciso.

13. Eugenio García Pampliega. Nato a Villagonzalo Pedernales (Spagna) il 23 novembre 1902, all’età di tredici anni fece il suo ingresso nella scuola monastica di Santa Maria di Viaceli rimase nell’Abazia e fu ordinato sacerdote nell’aprile del 1927.

14. Vincente Pastor Garrido. Nato il 16 febbraio 1905 a Valencia (Spagna). Entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli e nel marzo del 1929, fu ordinato sacerdote.

15. Leandro Gómez Santamaría. Nato il 13 marzo 1915 a Ontomín (Spagna). Entrò nel Monastero di Santa Maria di Viaceli. Emise la professione temporanea nel 1935. Rifugiatosi in una abitazione privata, dopo essere stato scovato, il Servo di Dio ammise di essere un religioso: fu pertanto picchiato selvaggiamente; poi tra il 30 e il 31 dicembre 1936 fu caricato di forza su un auto dei miliziani e barbaramente assassinato.

16. José Camí Camí. Nato ad Aytona (Spagna) il 5 settembre 1907, fu ordinato sacerdote diocesano ma poco dopo, in un ulteriore evoluzione della sua vocazione, cercò di entrare nel Monastero di Santa Maria di Viaceli, ma non vi riuscì per lo scoppio della Rivoluzione. Venne assassinato nella notte tra il 27 ed il 28 luglio 1936.

17. María Micaela Baldoví Trull. Nata ad Algernesi (Spagna) il 28 aprile 1869, fu ammessa nel Monastero Gratia Dei, di Zaydía di Valencia (Spagna). Emessa la professione religiosa, fu poi eletta Abbadessa del Monastero. Dal 1927 la Serva di Dio fu trasferita, con la medesima funzione, nella nuova fondazione di Fons Salutis ad Algemesí. Nel luglio del 1936 un gruppo di rivoluzionari ordinò alle monache di abbandonare il Monastero. La Serva di Dio andò a vivere con i suoi fratelli, ma il 16 ottobre successivo fu arrestata e venne condotta al Monastero, nel frattempo trasformato in carcere. Qui esse subirono interrogatori durissimi e maltrattamenti finché il 9 novembre 1936 la Serva di Dio e sua sorella furono condotte sulla strada che porta a Benifayó e qui fucilate. Essendosi accorti che all’alba la Serva di Dio era ancora in vita, le schiacciarono la testa.

18. María Natividad Medes Ferrís. Nata ad Algemesí (Spagna) il 18 dicembre 1880, entrò nel Monastero di Zaydía di Valencia ed emise la professione solenne. Nel 1927 insieme alla Serva di Dio María Micaela Baldoví Trull si trasferì ad Algemesí per la fondazione del nuovo Monastero di Fons Salutis. Espulsa dal Monastero dai rivoluzionari, trovò rifugio presso casa di suo fratello che aveva già accolto altri due suoi fratelli carmelitani. Venne fatta prigioniera con i suoi tre fratelli e portata al Monastero. Durante la detenzione subì diverse vessazioni finché, la notte del 10 novembre 1936, fu prelevata con i suoi tre fratelli, ammanettata e condotta fino alla strada fra Alcudia e Carlet, dove venne fucilata e schiacciata da diversi veicoli, restando mutilata del capo e dei piedi.

SOURCE : https://www.causesanti.va/it/santi-e-beati/martiri-spagnoli-cistercensi-della-stretta-osservanza-trappisti.html

Beato Leandro Gómez Gil, Religioso y Mártir

El silencio de un monasterio trapense, la austeridad de una vida consagrada a Dios, el heroísmo de la fe en tiempos de persecución. La figura del beato Leandro Gómez Gil, hermano lego y mártir de la Guerra Civil Española, nos invita a contemplar la profunda entrega de un hombre común que, en la adversidad, encontró la gloria suprema de la martirio. Su ejemplo, como el de los 18 mártires de la Guerra Civil, sigue resonando en la Iglesia, recordándonos la valentía de la fe en la hora más oscura. Este artículo explorará la vida, la obra y el legado de este beato, destacando los detalles de su vida consagrada y el testimonio de su fe.

Nombre completo : Leandro Gómez Gil

Fecha de nacimiento : Desconocida

Fecha de muerte : 31 de diciembre de 1936

Lugar de nacimiento : Santander, España

Lugar de fallecimiento : Monasterio Trapense de Viaceli, Santander, España

Día de celebración : 31 de diciembre

Elogios : Mártir de la fe en la persecución religiosa durante la Guerra Civil Española; ejemplo de entrega y valentía.

Atributos : Hermano lego, religioso trapense, mártir.

Canonización : Beatificado por el Papa Francisco el 3 de octubre de 2015.

Patronazgo : No se indica explícitamente.

Nacimiento y primeros años

Aunque la fecha de nacimiento de Leandro Gómez Gil no es conocida con exactitud, se presume que vivió sus primeros años en la ciudad de Santander, España. Sus orígenes y primeros años de vida se pierden en la historia, pero su posterior dedicación a la vida religiosa sugiere una formación con una profunda inclinación espiritual. La falta de información biográfica más detallada sobre sus años previos a su ingreso en la Orden Trapense dificulta una descripción exhaustiva de su formación inicial.

Vocación y conversión

La elección del Beato Leandro Gómez Gil de ingresar en el monasterio trapense de Viaceli representa un paso decisivo en su vida. El monasterio, un lugar de contemplación y oración, se convirtió en su refugio espiritual, donde, presumiblemente, desarrolló una profunda relación con Dios. La vida comunitaria y la disciplina monástica fueron, sin duda, elementos clave en su formación y madurez espiritual.

Vida religiosa y obra

Dentro del monasterio de Viaceli, el beato Leandro Gómez Gil, como hermano lego, dedicó su vida a la oración, al trabajo manual y a la contemplación. Su vida, caracterizada por la sencillez y la humildad, se desarrolló en un contexto de profunda espiritualidad. La descripción detallada de su vida religiosa, aunque se desconoce, es vital para la comprensión completa de su vocación y su papel dentro de la comunidad religiosa. No se cuenta con informes precisos de su labor específica dentro del monasterio.

Milagros y hechos extraordinarios

Según la información disponible, no se atribuyen milagros específicos al beato Leandro Gómez Gil. Su canonización se basa en su martirio, un hecho extraordinario en sí mismo, que demuestra su profunda fe y entrega a Dios en medio de la persecución. Se espera que en las actas de beatificación se describan las circunstancias de su martirio y se recopile la información disponible sobre su vida y su muerte.

Muerte y canonización

El 31 de diciembre de 1936, el beato Leandro Gómez Gil perdió la vida en el monasterio trapense de Viaceli durante la Guerra Civil Española, como consecuencia de la persecución religiosa. Su muerte, producto del sufrimiento causado por la violencia de ese periodo, lo convirtió en un símbolo de la fe inquebrantable durante los tiempos de adversidad. La beatificación de Leandro Gómez Gil, junto con los 17 restantes mártires del grupo de Pío Heredia Zubía, ocurrió el 3 de octubre de 2015, en un acto significativo para la Iglesia en España.

Elogios y culto posterior

El beato Leandro Gómez Gil es elogiado por su entrega incondicional a Dios y su valentía frente a la persecución religiosa. Su ejemplo de fe, vivido en la austeridad y el silencio de un monasterio, continúa inspirando a los creyentes. Sin datos adicionales, es imposible determinar en profundidad cómo su culto se ha desarrollado en los años posteriores a su beatificación.

"La verdadera fortaleza no está en la fuerza, sino en la fe." - (Frase atribuida a fuentes de la Iglesia; se desconoce si esta es una cita literal o de inspiración del beato)

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SOURCE : https://sagradocielo.com/beato-leandro-gomez-gil-religioso-y-martir/

BEATO LEANDRO GÓMEZ GIL

1936 d.C.

31 de diciembre

El 29 de diciembre, un miliciano descubrió en una casa particular a un vocalista temporal en el monasterio trapense de Viaceli, Leandro Gómez Gil, que pertenecía al grupo de monjes estudiantiles y hermanos conversos que se habían disuelto prudentemente después de la muerte de su padre, Pío Heredia Zubia. y sus compañeros. Los otros se refugiaron en Bilbao, pero Leandro no se atrevió a hacerlo, ya que era parte de la categoría para la cual había llegado la orden de movilización. La policía roja lo maltrató horriblemente, hasta que sangró tanto por la boca, la nariz y las orejas que una sábana estaba empapada. Al día siguiente fue forzado a entrar en un auto y desapareció para siempre. Él también fue quizás ahogado o fusilado. Más tarde se supo quién lo había asesinado en odio a la fe y a la Iglesia: los asesinos fueron perdonados. La beatificación tuvo lugar el 3 de octubre de 2015.

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(Parroquia San Martín de Porres)

SOURCE : http://www.parroquiasanmartin.com/leandrogomezgil.html

Beato Leandro Gómez Gil

Religioso trappista e martire († 1936)

Leandro Gómez Gil nasce a Hontomín (Castilla y León, Spagna) il 13 marzo 1915.

Il 29 dicembre 1936 un converso a voti temporanei, presso il Monastero trappista di Viaceli, Leandro Gómez Gil, fu scoperto dai miliziani in una casa privata: apparteneva al gruppo di monaci studenti e fratelli conversi che si era prudentemente dissolto dopo la scomparsa del padre Pío Heredia Zubia e dei suoi compagni.

Gli altri si rifugiarono a Bilbao, ma Leandro non osò farlo, dato che rientrava nella categoria per la quale era giunto l'ordine di mobilitazione. La polizia rossa lo maltrattò in modo orribile, fino a farlo tanto sanguinare dalla bocca, dal naso e dalle orecchie che un lenzuolo ne fu inzuppato. Il giorno successivo fu cacciato a forza in un'auto e scomparve per sempre. Anche lui fu forse annegato o fucilato. Si seppe in seguito chi lo aveva assassinato in odio alla fede e alla Chiesa: gli uccisori furono perdonati.

Leandro Gómez Gil è stato beatificato il 3 ottobre 2015, nella cattedrale Nuestra Señora de la Asunción di Santander (Cantabria, Spagna), insieme al gruppo di 16 monaci trappisti dell’abbazia di Viaceli, con a capo Pio Heredia Zubía, edi due monache di Algemesì (vedi elenco sottostante).

A presiedere il rito, in rappresentanza di Papa Francesco (Jorge Mario Bergoglio, 2013-), è stato il cardinale Angelo Amato S.D.B., prefetto della Congregazione delle cause dei santi.

Elenco dei 18 martiri:

Pío Heredia Zubía (1875-1936), priore, sacerdote

Amadeo García Rodríguez (1905-1936), sacerdote

Eugenio García Pampliega (1902-1936), sacerdote
José Camí Camí (1907-1936), sacerdote

Juan Bautista Ferris Llopis (1905-1936), sacerdote  

Vicente Pastor Garrido (1905-1936), sacerdote

Álvaro González López (1915-1936), professo corista a voti temporanei 

Ángel de la Vega González (1868-1936), converso  

Antonio Delgado González (1915-1936), oblato di coro 

Bienvenido Mata Ubiern (1908-1936), novizio converso

Eulogio Álvarez López (1916-1936), converso a voti temporanei 

Eustaquio García Chicote (1891-1936), sottomaestro dei conversi  

Ezequiel Álvaro de la Fuente (1917-1936), converso a voti temporanei 

Leandro Gómez Gil (1915-1936), converso a voti temporanei

Marcelino Martín Rubio (1913-1936), novizio di coro  

Valeriano Rodríguez García (1906-1936), sacerdote  

María Micaela Baldoví Trull (1869-1936), badessa Bernardina

María Natividad Medes Ferris (1880-1936), monaca bernardina

SOURCE : https://vangelodelgiorno.org/IT/display-saint/3f089621-8181-400b-82bc-b7652adf47f9

Voir aussi : 18 mártires de la Guerra Civil, grupo de Pío Heredia Zubía - https://www.eltestigofiel.org/index.php?idu=sn_5033

~ Martyrs of the Religious Persecution during the Spanish Civil War ~ (†1934, 1936-39) [36] : http://newsaints.faithweb.com/martyrs/MSPC36.htm

Francisco Rafael de PASCUAL RUBIO, ocso, « Les martyrs de Viaceli (1936) », Collectanea Cisterciensia 77 (2015) 28-47, https://www.arccis.org/publications/derniersarticles/les-martyrs-de-viaceli-1936